(#)Sujet: Simply because I love you. | Lun 12 Oct - 18:40
Simply because I love you.
Ce soir j'avais inviter Bellamy pour un dînée chez moi. Cette soirée était pour nous une façon de se retrouver et surtout depuis mon agression. Il avait pris soin de moi pendant plus de deux semaines, grâce à lui cette nuit n'était qu'un souvenir. Les cauchemar avaient disparu et je ne voulais en parler, car même si je n'avais pas voulu cette enfant au départ maintenant je l'aimais de tout mon cœur et je voulais prendre soin de lui et cela commençait d'accoucher en temps voulu. Je préparais cela depuis des semaines et cette soirée dans ses châteaux était tombe à pique. J'avais tout installé sur une couverture dans mon jardin au bord de la piscine. Quand tout était installé, je m'installais sur la petite couverture par terre et lui envoyais un message pour qu'il me rejoigne. Dix minutes après il fit son apparition , mon cœur ne fit qu'un bon quand je croisais son regard. Il y a un an jour pour jour que je croisais son regard pour la première fois et aujourd'hui j'en avais aucun doute j'en étais folle amoureuse " Salut toi " lui dit je en souriant alors qu'il s'installait à côté de moi, je déposais un tendre baiser sur ses lèvres " Bon déjà je sais pas si tu te souviens mais il y a un an jour pour jour on sait croiser dans ce bar " lui dit je en prenant la petite boîte derrière moi et lui tendait " Avant je voudrais que tu m'écoutes, je sais qu'on a vécu des moments difficiles notre relation a été mis à rude épreuve et que cette grossesse n'était pas arrivée au bon moment et tu as su l'accepter et franchement je suis admiratif de ta bonté et je sais que j'ai de la chance d'avoir un homme comme toi dans ma vie " lui dit je alors qu'il ouvrait la boîte pour y découvrir deux billets d'avion pour le Mexique " Je t'aime Bellamy de tout mon cœur et je sais que tu ne serais comblé que quand ta fille sera avec toi et je veux t'aider à avoir cela alors si tu veux on pourrait la faire venir ici et je t'aiderais sur le plan financier ou autre chose et bien sûr il est évident que si sa mère veut venir ce qui est normal je l'aiderais elle aussi " lui dit je en lui prenant la main " Ne sois pas fâchés ne refuse pas tout de suite je veux qu'on partage notre vie tous les deux et toi tu n'as pas hésité à vouloir t'occuper de mon fils alors que tu n'es pas le papa et je sais que tu le fera parce que tu m'aimes " lui dit je les yeux plein de larmes. C'était quelque chose d'important pour lui et je voulais lui prouver que je l'aimais assez pour tout accepter de lui car j'en étais folle amoureuse.
(#)Sujet: Re: Simply because I love you. | Jeu 22 Oct - 22:37
Simply because I love you.
Je me rappelais encore parfaitement de ce que j'avais ressenti quand Hannah m'avait appelé, deux semaines auparavant. Il était assez tard, et c'était la sonnerie de mon portable qui m'avait réveillé. Une sorte de vague d'angoisse s'était immiscée en moi quand j'avais vu l'identifiant. Je m'étais demandé pourquoi Hannah m'appelait maintenant, aussi tardivement. Généralement, ce genre d'appels ne présageaient rien de bon… J'avais décroché sans réfléchir, au quart de tour. Et ce qu'elle m'avait annoncé m'avait pétrifié sur place. Elle s'était faite agressée, et elle se trouvait à l'hôpital. Pour le coup, je ne m'attendais pas du tout à ça. Ou du moins, j'espérais qu'elle n'allait pas m'annoncer quelque chose dans le genre. N'est-ce pas le pire cauchemar de tout le monde que de recevoir un appel de l'hôpital en pleine nuit ? En tout cas, c'était le mien. Que les urgences vous appellent pour vous dire qu'il est arrivé quelque chose à l'un de vos proches. J'avais toujours crains cela, et voilà que ça m'était arrivé. C'était horrible. Je n'avais plus réussi à fermer l'oeil de la nuit après cela, et même maintenant, je tressaille à chaque vibrement de mon téléphone. J'avais été très inquiet, ces derniers temps. Heureusement, elle était maintenant hors de danger et était sortie de l'hôpital. Mais quand même. Dans quel monde de fous vivait-on ? Comment un mec peut avoir l'idée de frapper une femme enceinte ? Sincèrement ?! Les gens n'avaient plus aucun code moral ni aucun sens de l'honneur, de nos jours, et c'était vraiment dommage. Il fallait savoir se poser des limites. Moi-même, j'étais quelqu'un de plutôt sanguin et d'assez bagarreur, même si je m'étais largement calmé ces temps-ci. Mais je savais où se trouvaient les limites à ne pas franchir. L'homme qui avait fait cela me dégoûtait. C'était un lâche, une pourriture. Et je ne disais pas cela parce qu'il s'agissait de ma Hannah ; je disais cela car frapper une femme enceinte, en général, c'est un acte incroyablement lâche, digne d'un être faible et répugnant. Une femme qui porte la vie en elle, c'est sacré. On n'y touche pas, un point c'est tout. Cet être n'avait aucune éducation, aucun respect, aucun respect de lui et des autres. Une crapule de la pire espèce.
Enfin, tout cela était plus ou moins derrière nous désormais. Hannah était rétablie. Maintenant, il suffisait que j'attrape celui qui avait fait ça et que je le réduise en miettes. Je prenais cela très personnellement. Un type comme lui ne devrait pas être en liberté, c'était un danger publique. S'il s'attaquait aux femmes enceintes, qui disait qu'il ne pouvait pas s'attaquer aux personnes âgées, aux enfants ? C'était un fou. J'en faisais une affaire personnelle. J'allais lui expliquer les bonnes manières, vu que personne ne semblait l'avoir fait jusqu'à présent. Enfin, tout cela était une autre affaire. Hannah m'avait invité à manger chez elle ce soir et c'était tout ce qui comptait à mes yeux. Qu'Hannah aille bien. Nous avions eu pas mal de soucis ces temps-ci. Nous nous étions disputés pratiquement tout l'été à cause des révélations de Cassidy sur ma bisexualité et le fait que j'avais omis de lui dire que j'avais couché avec Matthias. Et ensuite, j'étais retombé dans l'héro… Et pile au moment où ça allait mieux, il y avait eu l'agression. J'en venais presque à croire que le sort était contre nous. Néanmoins, j'avais bon espoir que cette soirée se passerait tranquillement, comme à notre habitude avant toutes ces histoires. Je la retrouvai dans son jardin, où elle avait installé une couverture au bord de la piscine. J'étais toujours aussi fasciné par sa baraque, moi qui avait toujours vécu dans une maison minuscule et miteuse dans le quartier chaud de Tijuana. Je m'installai à ses côtés après lui avoir déposé un baiser sur les lèvres. Je portai ma veste en cuir et un bonnet. " Bon déjà je sais pas si tu te souviens mais il y a un an jour pour jour on sait croiser dans ce bar " commença-t-elle. Je n'y avais pas pensé, mais oui, elle avait raison. Cela faisait déjà un an, et pourtant, j'avais l'impression que c'était hier. Je n'aurais jamais cru, un an auparavant, que cette fille deviendrait ma copine. Ça n'a pas été le coup de foudre, l'amour au premier regard si je puis dire. Au début, c'était loin d'être sérieux. Et puis… Tout a changé. Elle avait saisi une petite boîte derrière elle, ce qui m'intriguait. Je la regardai, curieux. " Avant je voudrais que tu m'écoutes, je sais qu'on a vécu des moments difficiles notre relation a été mis à rude épreuve et que cette grossesse n'était pas arrivée au bon moment et tu as su l'accepter et franchement je suis admiratif de ta bonté et je sais que j'ai de la chance d'avoir un homme comme toi dans ma vie " Elle ne m'avait pas fait venir ici juste pour me dire à quel point j'étais un copain parfait, non…? Surtout que ce qu'elle omettait de dire était que notre couple avait été en péril par ma seule faute. J'ouvrai la boîte qu'elle me tendait et découvrit deux billets pour le Mexique. Je ne comprenais rien du tout. Elle voulait qu'on parte en vacances ?
" Je t'aime Bellamy de tout mon cœur et je sais que tu ne serais comblé que quand ta fille sera avec toi et je veux t'aider à avoir cela alors si tu veux on pourrait la faire venir ici et je t'aiderais sur le plan financier ou autre chose et bien sûr il est évident que si sa mère veut venir ce qui est normal je l'aiderais elle aussi. Ne sois pas fâchés ne refuse pas tout de suite je veux qu'on partage notre vie tous les deux et toi tu n'as pas hésité à vouloir t'occuper de mon fils alors que tu n'es pas le papa et je sais que tu le fera parce que tu m'aimes " Hannah me regardait les yeux embués de larmes. J'étais littéralement bouche bée. Mon regard passait successivement des deux billets à Hannah. Je ne pus m'empêcher de lâcher un petit « Mierda ! », comme à chaque fois que quelque chose me bouleversait. Je ne savais pas quoi dire. Je n'aurais jamais imaginé qu'Hannah puisse me faire plus plaisir. Jamais cette idée ne me serait venu à l'esprit. Faire venir Charlotte ici. J'avais bien dans l'idée de faire venir Adela ici, mais Charlotte seule… Est-ce que je pourrais être un bon père pour elle alors que je n'avais jamais été très présent ? « Hannah, je… Je ne sais pas quoi te dire. J'suis sur le cul » balbutia-je. Je ne réalisais pas du tout à quel point ce que m'offrait Hannah était génial. « Pourquoi je serais fâché ? Je crois que tu n'aurais pas pu me faire plus beau cadeau… Je… Je ne mérite pas trop ça ». Je la regardai, un sourire aux lèvres. « Bon, je ne dis pas que ce sera simple, Adela va gueuler, mais… D'un côté, elle sera peut-être contente de pouvoir enfin dormir tranquille » Cela faisait bientôt un an et demi qu'Adela s'occupait seule de Charlotte. Je saisis la main d'Hannah. « Merci. Vraiment, merci. Je ne sais pas comment te remercier maintenant, mais crois-moi, je le ferais ».
(#)Sujet: Re: Simply because I love you. | Sam 24 Oct - 22:12
Simply because I love you.
Ses dernières semaines n'avaient été simples ni pour lui ni pour moi. Entre nous nos disputes et nos mensonges et cette agression notre relation avait été mis à rude épreuve. Cette nuit restera sans doute la plus horrible de toute ma vie et cet appel le plus difficile qui m'a été donné de passer de toute ma vie. Bellamy avait réagi comme je l'avais imaginé, et peu être deux fois pire et retrouver l'homme qui m'avait fait cela était devenu une obsession et pour moi c'était devenu une peur qui ne me quittait pas. Je n'étais pas du tout rassuré par cette histoire qui restais assez présente dans mon quotidien. Quand Bellamy était avec moi il ne l'était pas vraiment, chaque petit indice était une victoire pour lui et de mon coté j'aurais vraiment voulu tourner la page car le simple fait de perdre Bellamy me rendait encore plus malade que cette nuit elle-même. Je ne supportais plus de parler de cette nuit-là et pourtant Bellamy me posait encore et encore les mêmes questions pour savoir si un détail ne m'avait pas échappé quelque chose que je pouvais me souvenir sur l'homme qui m'avait agressé et à chaque fois je lui répondais que je ne me rappelais plus de rien, la peur m'avait fait perdre tous mes moyens et je crois que mon inconscient avait fait en sorte que je ne me rappelle de rien. Mais dans tout cela je ne pouvais pas le blâmer, cette nuit là il avait sans doute eu peur autant que moi et il ne pourrait être totalement rassuré que quand il retrouvera ce malade, le seul problème c'était que je ne savais pas ce qu'il lui ferait si jamais il le retrouvait. Le médecin m'avait enfin autorisé à sortir de mon lit. Le bébé et moi on allait bien et c'était le principal. J'étais enfin remise sur pied et j'étais contente de pouvoir préparer une soirée pour Bel et moi et puis ce n'était pas n'importe quelle soirée. Il y a un an jour pour jour on se rencontrait dans ce bar, et ce soir là que ma vie avait complètement changé. Après avoir tout préparé dans le jardin, le jeune homme ne tardait pas à faire son apparition. J'étais vraiment contente de le voir, la nuit précédente il n'avait pas dormi à la maison car il avait des choses à régler avec Cassidy et je comprenais car depuis cette dispute à cause de son aventure avec mon ancien meilleur ami les choses avaient changé entre les deux colocataires. Bellamy s'installait à côté de moi, j'étais anxieuse à l'idée de lui parler de mon projet de faire venir sa petite princesse ici. Je lui expliquais comme je le pouvais en voulant trouver les mots pour ne pas le froisser, après tout cela ne me regardait pas mais je voulais tellement le voir heureux que je susse que c'était la seule chose à faire. Son petit " mierda " me fit légèrement rire et puis c'était bon signe il n'était pas en colère contre moi " Oui je le comprends ... " dit je en lui souriant, il avait vraiment bien réagi c'était bon signe " Si bien sur que tu le mérites tu t'occupes tellement bien de moi que je sais pas si sans toi j'aurais pu supporter cette grossesse et puis même si les mois ont été difficiles notre amour a réussi à nous sauver alors je pense qu'on a eu assez de malheur et il est temps pour nous de penser à l'avenir à notre avenir à tous les deux" lui dit je plus sincèrement du monde , il se rapprocha de moi pour saisir ma main avec un grand sourire aux lèvres un sourire que je n'avais jamais eu l’occasion de voir auparavant " Tu viens de le faire " lui dit déposant un baiser sur ses lèvres, cette soirée était exactement comme je l'imaginais " J'ai vraiment hâte de voir ta fille " dit je en collant mon front au sien, je ne savais pas que c'était possible d'aimer quelqu'un autant " Je t'aime Bel ".
(#)Sujet: Re: Simply because I love you. | Lun 26 Oct - 23:31
Simply because I love you.
J'étais encore sous le choc de ce qu'Hannah m'avait annoncé. Je m'attendais à tout sauf à cela. Je n'aurais jamais cru… Je veux dire, j'avais toujours su qu'Hannah était d'une grande générosité mais de là à accepter sous son toit, et même à me proposer d'amener l'enfant que j'avais eu avec quelqu'un d'autre… C'était sûrement le plus beau cadeau qu'elle pouvait me faire. Charlotte me manquait. J'avais trouvé cela tellement étrange, au début, que je puisse autant aimer ma fille. Elle était arrivée dans ma vie comme un cheveu sur la soupe. Sa mère, Adela, n'était rien pour moi. Juste une amie avec qui je couchais de temps à autre. Et encore, amie est un bien grand mot. Notre relation avait toujours été compliquée. Adela avait un caractère très fort et elle était également très excessive. Toujours en train de faire des caisses pour un rien. Il y avait des moments où je l'avais beaucoup appréciée et d'autres où j'avais eu envie de lui trancher la gorge tant elle était insupportable. Mais malheureusement, quoi que je puisse penser d'elle, Adela ferait toujours partie de ma vie car c'était la mère de Charlotte. En un sens, je trouvais cela très triste que ma fille ne puisse jamais grandir avec ses deux parents réunis, comme n'importe quelle autre famille. Mais je n'y pouvais rien ; je ne pourrais jamais m'entendre avec Adela, pas sur le long terme. Le mieux que je puisse était de rester en bon terme avec elle, histoire que les gardes se déroulent bien, et de faire le maximum pour Charlotte. Elle était devenu tellement importante. Au début, je ne pensais pas qu'elle le serait autant. Quand Adela m'avait appris être enceinte, j'avais décidé d'assumer mes responsabilités. De l'élever, de prendre soin d'elle, de lui inculquer ce que je pensais être important. Pas question pour moi de l'abandonner, comme l'aurait fait bon nombre de mes camarades à cette époque. Je n'avais que dix-neuf ans à l'époque, j'étais encore moi-même un enfant que je devais m'occuper d'un petit bout. Je n'avais pas du tout prévu d'en devenir aussi dingue.
Charlotte me manquait, et penser qu'elle pourrait être dans quelques temps ici me rendait fou de joie. Oui, de la joie pure et simple. Une grande excitation, aussi. Je me voyais là, dans ce jardin, entourée de Charlotte et d'Hannah. Je pourrais aussi la montrer à ma mère et à ma soeur, qui avaient aussi toujours été gaga d'elle. Ma pauvre mère avait failli tomber raide évanouie quand je lui avais appris que j'allais être père, si peu après que l'on ait tenté de m'assassiner. Je lui en avais fait baver pendant mon adolescence, mais maintenant, tout ce que je voulais était la rendre fière de moi. Lui montrer que j'en avais plus ou moins fini avec les conneries, avec la drogue. Je ne pourrais jamais me débarrasser de cette part d'ombre qui revenait me hanter de temps à autre. Il y aurait toujours une partie de moi que je cacherais par pure honte. Mais j'avais l'intime conviction qu'avec Charlotte à mes côtés, les choses iraient mieux. Pour elle, j'essaierais de faire mieux. Je voulais me montrer bon pour elle. Je ne voulais pas qu'elle ait pour modèle un espèce de junkie incapable, non. Je voulais qu'elle puisse prendre exemple sur moi, et un bon exemple. " Si bien sur que tu le mérites tu t'occupes tellement bien de moi que je sais pas si sans toi j'aurais pu supporter cette grossesse et puis même si les mois ont été difficiles notre amour a réussi à nous sauver alors je pense qu'on a eu assez de malheur et il est temps pour nous de penser à l'avenir à notre avenir à tous les deux" me dit-elle d'un ton sincère. Le sourire ne quittait pas mes lèvres. Je lui avouai ne pas savoir comment la remercier. " Tu viens de le faire " me répondit-elle. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu le coeur aussi léger. D'habitude, j'avais toujours deux ou trois petits soucis qui m'empêchaient véritablement d'être heureux. Et là, je n'en voyais aucun. Tout allait bien dans le meilleur des mondes. " J'ai vraiment hâte de voir ta fille " Moi aussi, j'avais hâte. Je l'avais vu cet été, mais elle m'avait manqué dès l'instant où j'avais fait un mètre loin d'elle. « Je suis sûr que tu vas l'adorer. Bon, elle ressemble plus à Adela qu'à moi, mais vraiment, elle est mignonne. Elle marche bien et elle commence à dire des choses… » racontai-je d'un ton rapide. J'étais à chaque fois émerveillé devant ses progrès. " Je t'aime Bel " Je la regardai dans les yeux. « Moi aussi, je t'aime, Hannah. J'espère que tu n'en doutes plus désormais ». C'était bien l'une des premières fois que je disais un truc comme cela. C'était pas mon genre les déclarations d'amour, mais là, j'avais vraiment envie de le dire. « J'ai été complètement idiot de ne pas te faire confiance dès le départ… À cause de moi, ces derniers mois ont été gâchés. On a passé trop de temps à s'embrouiller. Je te demande pardon de t'avoir menti, c'était… lâche. Indigne de toi. Excuse-moi ». Peut-être que ce n'était pas le moment de remettre ce sujet sur le tapis, mais j'avais commis une faute et je me devais de demander pardon. Et de reconnaître ladite faute. C'était bien la moindre des choses.