Nous étions allés à la visite chez le médecin, apparemment notre princesse ne semblait pas vouloir faire sortir son petit nez afin de nous rejoindre. Liséa était à bout et je subissais ses colères, j’encaissais et c’était normal qu’elle en peut plus, elle arrivait à terme et aucun signe d’accouchement. Je l’écoute me dire que le prochain je devrais le porter, cela me fis sourire, elle faisait un boulot remarquable et oui je pense que j’en voudrais un autres afin qu’elle ne soit pas toute seule « on paris combien que c’est toi qui me demandera le deuxième, en fait oublie je pense que c’est moi qui demandera. » la laissant se diriger dans la chambre farfouillait sur son pc, pendant que je préparais le café. Allant ensuite dans le salon afin de détendre. D’un coup je la vois arrivé avec un petit air coquin sur le visage. Elle m’embrasse et s’installe à côtés de moi me demandant de lui faire l’amour. J’avais lu que cela aider pour l’accouchement. On se déshabille et j’accélère les préliminaire afin que nous commencions, j’aimais toujours la voir ainsi. Je la pénétré et on commence à faire l’amour « han oui mon cœur c’est bon… » J’accélère la cadence, aimant l’entendre gémir de la sorte et d’un coup elle me stoppe, je ne compris pas de suite et sentis du liquide contre mes cuisses. Je la regarde toujours surpris et l’entend dire qu’elle croit avoir perdu les eaux « quoi ?  Retire toi je t’emmène a l’hôpital et vite. » Elle se déplace, je l’aide à s’habiller et prend ses affaires pour l’emmener dans la voiture.


20 min plus tard

J’ai roulé comme un fou furieux à travers la ville pour atteindre l’hôpital. Je l’aide à descendre « fais la respiration que t’as dit le médecin mon cœur… » Je la porte et l’emmène a l’accueil « vite ma femme va accoucher elle a perdu les eaux chez nous… » L’infirmière semblait ne pas réagir, je vois un médecin « vous là emmener ma femme elle va accoucher d’une minute à l’autres. » Là je vois notre médecin prévu pour l’accouchement et fut surpris de nous voir « elle a perdu les eaux à la maison… » Il me regarde et regarde Lisea qui était en train de m’écraser la main. On nous amène un brancard et je l’y dépose doucement, tenant toujours sa main « ça va aller chérie, elle va arriver, tu vas mettre au monde notre princesse. » Je lui embrasse la main et les suis jusqu’au bloque pour qu’elle puisse accoucher.



   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

 

Putain ! Elle arrive, elle arrive quoi ! La panique commence à prendre le dessus alors qu'on est en direction vers l'hôpital. Zach conduit comme un malade et j'ai envie de le frapper. La douleur, la peur et sa conduite de taré ne m'aide pas à rester zen ou à penser à faire la respiration du chien. Non mais qui a inventé cette respiration ? En plus ça n'aide pas du tout ! Bon ok, je suis pas objective là surtout que la douleur me fait un peu délirer. Quelques minutes plus tard nous étions arriver à l'hôpital avec un Zach beuglant des "elle va accoucher, elle va accoucher" comme si le faite que j'ai perdu les eaux va me faire accoucher dans la seconde. Le voir comme ça me touche à un point inimaginable mais, je ne dis rien, je le regarde avec amour et admiration enfin jusqu'à ce qu'une horrible contraction fasse surface. Placée sur un brancard on m'emmène dans une chambre à côté de la salle d'accouchement. Je peux voir le regard de mon homme changer comme si il était devant un problème d'algèbre totalement incompréhensible. Une fois installée, mon gynécologue arrive tout sourire. Mademoiselle Ellington ! Mais quel plaisir de vous revoir aussi vite ! Alors alors regardons où en est la petite princesse. me dit-il alors qu'il se place entre mes cuisses pour regarder où j'en suis. Eh bien, je crois que cette petite a envie de se faire une petite beauté avant de sortir. Vous en être à deux centimètres ce qui veut dire que vous en avez pour environs...huit heure voir plus tout dépend d'elle. Vous pouvez voyager ou faire des flexions, monter et descendre les escaliers pour accélérer le processus. ajouta-t-il enjouer. Alors qu'il quitte la pièce, je me tourne vers Zach en faisant la moue. Génial ! Notre fille va être aussi emmerdeuse de quoi... lui dis-je un petit sourire sur les lèvres. Bah quoi ? Faut bien qu'elle tienne de moi cette petite non ?



   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

 

Nous étions finalement arrivé à l’hôpital, je hurlais dans l’accueil que ma femme venait de perdre les eaux et qu’elle allait accoucher, j’étais vraiment en panique. Je ne voulais pas que ma fille naisse sur un brancard ou pire encore dans le couloir. Je voulais qu’elle soit en salle d’accouchement pour venir au monde. Personne ne semblait comprendre qu’on venait ici pour un accouchement apparemment vu que aucun ne bouger pour venir nous prend en charge. Je n’y connaissais rien alors pour moi elle était en train d’accoucher, que notre princesse allait pointer le bout de son nez. Je jetais parfois un coup d’œil sur Liséa pour voir si elle souffrait, au lieu de ça elle était calme et me regardais me débattre avec le corps infirmier.

Finalement on trouve notre médecin qui appela un brancard afin que je la dépose dessus. On est ensuite envoyé dans la chambre proche de la salle d’accouchement. J’étais stressé et en panique. Je lui tenais la main alors que le gynéco viens regarder entre ses cuisses, je m’y ferais jamais qu’un autre homme puisse regarder cet endroit. Heureusement qu’elle ne faisait pas ça tous les jours…l’écoutant on dirait qu’elle faisait sa petite chieuse ce qui veut dire qu’elle ressemblait bien à sa mère. Elle devait faire encore des efforts afin d’accélérer le processus. Je la regarde alors que le gynéco s’en va de la pièce. La regardant en souriant alors qu’elle devait souffrir « elle ressemble tout bonnement à sa mère alors qu’elle n’a pas encore crié pour montrer qu’elle était là… » Je tiens toujours sa main, ça se sentait qu’elle avait de Liséa, le plus effrayant serait de quoi elle tiendrait de moi… Je l’aide à se lever et se mettre debout près du brancard « On va aller jusqu’à la machine à café, j’ai besoin d’un café… » Je serais un peu sa main contre la mienne lui caressant les doigts « tu te rends compte qu’elle va arriver, faudrait que j’appelle Madi et James… je suis à la fois excité et en total panique… et toi mon amour ça va ? Tu veux quelque chose ? » Je la regardais attentivement et me colle contre elle tout en lui embrassant la tempe « viens on va marcher pour accélérer tout ceci… » Je sens que ce moment va être rude et douloureux pour ma chérie.




   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

 

Comme je l'avais prévu mon homme me taquine sur ma propre réflexion et j'avoue que ça a eut le don de me faire rire. Pour suivre les indications du médecin on se dirige vers la machine à café l'écoutant parler et me cajoler alors qu'on reprend la route vers la chambre pour ensuite aller vers la pouponnière voir les bébés. Plus je regarde ces petits anges et plus j'ai envie que la mienne arrive même si je sais que je vais ne chier. Je voudrais te demander quelque chose...ne la quitte pas d'une semelle ok ? Et elle reste dans la chambre avec moi ! Hors de question qu'elle vienne ici avec tous ces bébés. lui dis-je avant de me tourner vers lui. Je veux aussi que tu me promettes que si quelque chose se passe mal que tu donneras la priorité à notre fille. Sauves-la peu importe l'état dans lequel je serais si ça devait mal se passer ok ? lui demandais-je la voix enrouée par la douleur. Malgré ça, je sais que c'est ce que je veux, qu'il protège notre fille, qu'elle soit sa priorité même si pour cela je dois y laisser ma vie.



   

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Je ne pus m’empêcher de la taquiner sur sa propre réflexion, oui notre princesse avait bien de sa mère. En grandissant j’allais avoir deux petites chieuses contre moi, j’aurais plu la majorité et cela me fais sourire, j’aurais les deux femmes de ma vie avec moi. Une fois que nous avons été à la machine à café, elle a voulu aller à la pouponnière, voir les autres bébés et là je me dis que j’ai eu de la chance de me faire virer de la maison, de la chance d’avoir rejoint ma sœur ici et surtout la chance d’avoir rencontré Liséa. En fin de compte mon comportement m’apportait pas que des mauvaises choses, je la regarde alors qu’elle me dit de ne pas la quitter des yeux et qu’elle ne voulait pas qu’elle soit dans cette pièces. Je lui souris et alors qu’elle commence à dire les mots promettes, je ne m’attendais pas à ce qu’elle me dise de l’abandonner pour sauver notre fille si jamais elle était mal au point. Je la regarde en fronçant les yeux « cela se passera bien et en aucun cas je t’abandonnerais tu m’entends, nous rentrerons tous les trois à la maison. J’espère avoir été clair. » Je me tourne vers la vitre serrant les dents, le fait qu’elle ait évoqué que quelque chose puisse se passer me plaisait pas. Je continue de regarder les bébés « je perdrais aucune de vous deux, je le sais alors je n’ai pas besoin de te promettre quoi que ce soit. Je serais présent, je lui ferais prendre son bain et je te l’amènerais pour que tu la prennes dans tes bras. Tu vas la mettre au monde et je… On aura notre famille réunis. » Une larme coula le long de ma joue, elle avait dû l’apercevoir, mais j’étais heureux en ce moment même et elle vient me parler de malheur.




   

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J'aurais jamais dû parler de ça encore moins maintenant mais, je me sens plus tranquille maintenant que je lui ai confié mes peurs même si il ne m'a pas promis. Je sais qu'il angoisse à l'idée d'être un mauvais père j'aurais sans doute dû garder ça pour moi au lieu de lui dire. Doucement, je m'approche de lui et lui embrasse l'épaule alors que je vois une larme couler. Soupirant, je pose ma main sur sa joue et le force à me regarder. Excuses-moi mon amour c'est juste que j'ai peur de lui faire vivre ce que j'ai vécu...j'ai eue un moment de peur mais, tu as raison tout ira bien et on rentrera ensemble à la maison et on te rendra la vie impossible ça te va ? lui dis-je en souriant tendrement alors que je me mets sur la pointe des pieds pour l'embrasser.

Six heures plus tard

Allongée dans ce putain de lit, je lis un magazine alors que le médecin vient voir où j'en suis côté dilatation. Je prie pour que je sois au moins à six centimètres au moins.  Alors mademoiselle Ellington regardons où vous en êtes maintenant ! Hum...quatre centimètres ce n'est pas beaucoup on dirait qu'elle refuse de sortir ou qu'elle n'a pas encore fini de faire sa toilette. nous dit-il en riant. Je repasserais dans une heure voir si il y a du changement si pas je serais forcer de l'aider un peu. ajouta-t-il avant de quitter la pièce toujours affubler de son sourire débile. Je me tourne vers Zach en le fusillant du regard. Je retire ce que j'ai dit en fait elle est vraiment comme toi à jouer avec mes nerfs. lançais-je irritée. Bon ok, je pense pas ce que je dis mais là j'ai envie de l'étriper surtout que les contractions ce font de plus en plus sentir alors que lui est là assit comme si il allait regarder un match de foot pendant que moi je suis en train de souffrir. Tsss! Bonjour l'égalité des sexes.


   

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Voilà elle venait de gâcher le moment à parler de ses promesses qui ne servaient à rien là. Pourquoi elle voyait le mauvais, ce n’est pas comme si elle avait une santé fragile ou encore des complications durant sa grossesse. Tout allait bien, juste notre princesse qui faisait déjà sa chieuse en voulant pas naitre c’est tout. Je la sens s’approcher et m’embrasser l’épaule, elle m’avait foutu le moral au plus bas là, elle est contente j’espère. Elle me force à la voir et me dire qu’elle avait ses peurs, elle est bête, j’étais là et rien ne lui arrivera aussi bien à elle qu’a notre fille, la vie impossible j’en ai déjà peur « il vous arrivera rien tant que je serais là ok ? Oui rendez-moi la vie impossible et remplie d’amour. Répondant à son baiser alors qu’elle se hisse sur la pointe de ses pieds.

Six heures plus tard

On était de nouveau dans sa chambre, afin d’attendre le médecin afin de voir si elle allait pouvoir passer à l’accouchement. Le médecin arrive et regarde de nouveau entre ses cuisses. Je ne m’y ferais jamais à ces détails. Finalement cela n’était pas encore le moment, il repassera dans une heure, je regarde Liséa qui semblait ne plus supporter cela surtout quand elle me fusille du regard, me disant qu’elle vraiment comme moi. Cela me fis sourire et je m’approche plus du lit pour prendre sa main, j’avoue que je n’avais pas sa douleur, mais le fait d’attendre m’énervais, je voulais qu’elle arrive et surtout qu’on arrête de venir regarder entre ses cuisses « faut bien qu’elle est de moi, tous les deux aussi on te rendra la vie impossible. Par contre j’espère qu’il va arrêter bientôt de te regarder entre les cuisses je ne supporte pas ça… » Je me lève et viens lui embrasser le front « ça va venir mon amour, on dirait juste qu’elle est bien où elle est »

Quelque heure plus tard

Je commençais à m’endormir et là je sens ma main se faire complétement écrabouiller « putain ça fait mal » Je la regarde le visage ornée de douleur « putain… » Je lâche sa main pour sortir de la chambre, j’attrape une infirmière « vite ma femme a des contractions, ça doit être l’heure vite… » La jeune infirmière semblait pas être du bon service et là je vois le médecin « dépêcher vous elle doit accoucher… » Je l’attrape par l’épaule et l’attire dans la chambre « le médecin est là mon cœur… » Je la regardais, m’approchant d’elle. On dirait qu’elle allait vouloir sortir cette fois, de longues heures de travail et de douleur semblaient pointer son nez pour Liséa.




   

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Sa façon de me réveiller en me plantant les ongles dans la main était bien un de ses trucs, j’avais horriblement mal à la main maintenant que j’allais chercher infirmière et médecin, car la petite allait arriver. Cela était certains vu comment elle avait mal et vu son visage. Finalement le médecin arriva et retourna entre ses cuisses, heureusement que cela sera l’avant-dernière fois, car je ne supportais absolument pas cela. Apparemment cela était bon, qu’elle était assez dilaté alors c’était direction la salle d’accouchement. Les infirmières préparèrent le lit et je lui tenais la main jusqu’à la salle d’accouchement, afin de la rassurer. Une fois arrivé devant une infirmière m’arrêtant « comment ça je peux pas entrer, c’est ma femme qui va accoucher je veux être prêt d’elle bon sang » L’infirmière en chef arriva et me laissa l’autorisation d’entrer, j’entrai dans la salle et vint près d’elle pour lui tenir la main, la sentant me la serrer, alors qu’elle avait les jambes relevé pour faciliter l’accouchement. Le médecin entre ses cuisses « je commence a voir la tête, maintenant pousser aussi fort que vous pouvez » Je la regarde embrassant sa main l’encourageant « encore un effort mon amour et elle sera là, tu l’auras dans tes bras. » Continuant de la regarder faire un travail remarquable, de donner la vie à notre princesse. J’étais heureux même si j’avais la main totalement écrabouiller, c’est fou la force qu’elle a en ce moment.




   

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Plusieurs minutes plus tard, on me prépare pour l'accouchement et j'avoue que me foutre les pieds dans des étriers et voir qu'on me fout totalement nue c'est un peu choquant mais je m'en fiche là toute suite puisque le médecin m'annonce qu'il voit la tête. D'un coup une autre contraction plus violente que les autres fait surface. Mon seul réflexe est de serrer la main de Zach. Mon envie de pousser et de plus en plus fort c'est alors que je me mets à pousser encore et encore sans lâcher la main de Zach. Plus je pousse et plus j'ai l'impression que ça n'avance pas. AAAAAAAAAAAAH ! PUTAIN JE TE JURE QUE JE VAIS T'ARRACHER LES PARTIES POUR TE FAIRE COMPRENDRE CETTE PUTAIN DE DOULEUR ! hurlais-je sur Zach. PARLE MOI UNE FOIS D'UN SECOND ENFANT ET JE T’ÉMASCULE ! TOUT CA C'EST TA FAUTE TA FAUTE TA FAUUUUUUUUT AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH PUTAIN ! hurlais-je à nouveau alors je pousse de toute mes forces. L'autre idiote de gynécologue qui me hurle de pousser encore un peu. On voit qu'il n'est pas à ma place ce connard ! Trois poussées plus tard un cri ce fait entendre alors qu'à ce moment là une affreuse douleur mélanger à une horrible brûlure au niveau de mon vagin se fait sentir. Ma main broie littéralement celle de Zach alors que notre fille se fait enfin entendre. C'est là que le médecin la pose brièvement sur moi au niveau de mes seins. La voir là est tout bonnement merveilleux et j'avoue avoir du mal à y croire. Avec le peu de force qu'il me reste, je l'entour de mon bras et la regarde avec amour. Elle a les yeux de Zach et par chance mes cheveux. Je ne peux m'empêcher de sourire c'est alors que je regarde mon homme avec un amour infini. C'est officiel, nous sommes vraiment une famille à présent.

   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.