Tous aux abris

Alors que je travaillais chez moi sur la ligne du téléphone rose, les lumières de mon appartement s’éteignirent. En faite pas que les lumières et pas que de mon appartement. Je regardai par la fenêtre. Le quartier illuminé en tant normal était plongé dans la nuit noire la plus totale. Le vent soufflait fort dehors et la pluie battante qui tombait sur les vitres faisait un bruit assourdissant. Je parcourrai les tiroirs à la recherche d’une lampe de poche à la faible lumière de mon téléphone portable. Je réussis à mettre la main sur une. Un faible rayon lumineux sortis de la lampe. Les piles devaient être presque mortes. J’allumai ma radio sans fil pour savoir ce que disaient les autorités publiques. On nous avait annoncé un faible risque de tempête plus tôt dans la soirée et cela ne m’étonnait pas que celle-ci soit sur le point d’arriver.

« … Regagnez les gymnases les plus proches de chez vous … »

Il ne m’en fallut pas plus pour savoir ce que je devais faire. Un avis de tempête n’était jamais à prendre à la légère. L’ouragan Katrina avait bien fait assez de dégâts à la Nouvelle-Orléans la dernière fois et je ne voulais pas me retrouver au piège de mon appartement. Je pris une veste, un sac avec quelques affaires de premières nécessité dedans, mon portable et mon portefeuille puis descendis à ma voiture. Le trajet fut difficile. Le vent qui soufflait fortement me faisait faire des écarts de conduite. Heureusement le lieu de regroupement n’était qu’à une dizaine de kilomètres. Sur le parking je me garai au plus près. D’autres voitures affluaient.

Je sortis en courant et rentra dans le grand bâtiment qui avait été aménagé de sorte à accueillir le plus de monde possible. Je me dirigeai de suite vers le stand d’accueil où je me recensai avec mon nom et prénom. On me proposa une boisson chaude que j’acceptai bien volontiers. Ma boisson dans une main, mon sac sur le dos, je me dirigeai vers un coin du gymnase. Je reconnu un jeune homme assis dans un coin, un gobelet en main lui aussi.

« Salut, je peux ? » demandais-je à son intention. « Tu es Ryan c’est ca ? »

Le visage du jeune homme se marqua de stupéfaction. Comment pouvais-je connaitre son nom ? C’était une bien drôle d’histoire. En faite non elle n’était pas drôle mais le monde était tellement petit parfois, même dans une ville aussi grande que Miami.

« Je suis un ami d’enfance de Léna. Je l’a connais depuis qu’on cinq ans et elle me raconte pas mal de choses, du coup je connais ton visage. »

Je m’assis aux côtés du jeune homme. Je savais que cela pouvait paraitre un peu bizarre de se faire accosté par un type comme moi qui semblait connaitre toute notre vie, mais nous allions passé une très longue nuit enfermé ici alors autant ne pas tourner en rond et poser des bases claires et simples dès le début.

Tous aux abris

Ce soir je devais me rendre a la soirée organiser par la ville pour fêter la fin de l'été mais j'avais finalement changer d'avis a la dernier seconde avant que je parte je n'avais tout simplement pas envie d'y allez. Je descendez de mes escaliers après mettre changer en enfilent un survêtement gris, un polo blanc et un gilet noir a capuche je m'approche de mon canapé puis m'allonge dessus en fessent bien attention a me faire mal avec mon bras droit qui était encore un peut fragile depuis l'accident, bref une fois installer sur mon canapé j'allume la télé puis la console je prend la manette qui était sur la table base puis déclenche le jeu le tout dernier assassin creed qui était pas mal d'ailleurs.

Je commencer donc mon jeu lorsque mon chien ce mit a aboyer de plus en plus. Max tais toi. Dit je en commencer en avoir marre qu'il aboie sans arrêt mais il continuer toujours autant a aboyer quelque chose a tu l'interpellée parce que quand il aboie comme ça c'est qui y avait quelque chose de grave, je met mon jeu en pause puis rejoins mon chien qui était devant la fenêtre qui menez sur la plage. Ques qui t'arrive mon gros. Dit je en caressent mon chien pour le rassurez puis je lève les yeux vers l'extérieur puis regarde ce qui ce passe dehors. C'était pas comme d'habitude je sentais que quelque chose avait changer dehors le temps était pas comme d'habitude puis les lumières et la télé c'était mit a ce couper je regarder autour de moi en me demandent a ce qui ce passe je prend téléphone portable pour essayer de joindre mes parents mais je n'avais aucun réseau. Et merde. Chuchotai je avant de ranger mon portable dans les poche de mon jogging puis enfile ma veste puis prend la laisse de mon chien puis l'appel pour qu'ont sorte de l'appartement.

Une fois dehors je constate que le vent souffler très fort une tempête de préparer j'en suis sur pour que le vent souffle aussi fort sa présage jamais rien de bon, je fait vite monté mon chien dans la voiture puis monte dans ma voiture puis roule jusqu'à chez mes parents parce que j'étais comme même inquiet je voulais savoir comment ils allez tout les deux et puis y avait pas que pour eux que je m’inquiéter même pour Léna je m'inquiéter je ne n'avais pas eu de ses nouvelles depuis notre disputes de la dernier fois j'espère qu'elle allez bien elle aussi. Alors que m'apprêter a prendre une ruelle pour me rendre chez mes parents un policier ce mit devant ma voiture obligeant m'arrêter puis il m’ordonna d'allez directement au gymnase pour être en sécurité parce que une grosse tempête ce préparer et qu'il fallait qu'ont soit tous a l'abris je lui informa aussitôt que j'étais inquiet pour mes parents parce que je n'avais pas de nouvelles d'eux il me promis alors qu'il ferait des recherches et qu'ils me tiendrais au courant mais que maintenant je devais allez au gymnase de la ville au plus vite avant que le tempête arrive.

Je fait donc ce que le policier m'avais dit te faire puis je fait demi tour et partir direction le gymnase de la ville, arriver sur les lieu y avait pas mal de monde qui était arriver sur les lieux certaine personne était vraiment paniquer ils courez tous vers l'intérieur du gymnase, quand a moi je descend de ma voiture je fait descendre mon chien de la voiture en lui mettent sa laisse puis me dirigea a mon tour a l'intérieur du bâtiment. J'étais a présent a l'intérieur du gymnase je donne mon prénom et mon nom puis on me donna un gobelet avec du café dedans puis on m'indique un endroit ou m'installez avec mon chien, je me dirigea donc vers l'endroit ou on m'avais indiquer et m'installa une personne vient m'importer une couverture je la remercie puis la plie pour que mon chien puisse s'allonger dessus et regarde autour de moi voir si je voyais mes parents, Léna, mon oncle ou encore Blake et Aloysia je m’inquiéter vraiment pour eux et je me rendais compte que maintenant j'avais était très dur envers eux depuis ma sortie du coma.

Je buvez donc un gorgé de mon café qu'ont m'avais donner mais je recrache aussitôt il était infect leur café puis un jeune homme s'approche de moi en me demandent si il pouvais s'asseoir a coter de moi puis il prononça mon prénom hors lui je l'avais jamais comment il pouvais savoir mon prénom. Comment vous savait comment je m'appel. Demandai je étonner comme même puis il m'expliqua qu'il était un ami d'enfance de Léna et que apparemment il savait tout. Je vois pas de quoi vous parler. Lui dit je en me montrent assez dur envers lui j'espère que Léna lui a rien dit sur nous deux on c'était mit d'accord que personne devais le savoir.

Tous aux abris

Dans le gymnase où j’avais trouvé refuge, j’avais reconnu de visage un ami à Léna. Ce n’était pas n’importe quel ami. Je savais quelle relation particulière tout deux entretenaient. Elle m’avait tout confié, non pas sans craintes au début, sur son histoire d’amour extraconjugale. Oui car je l’avais perçu tant de fois dans ses mots que ce n’était pas juste un amant qu’elle avait prit pour assouvir des besoins, non c’était réel ce qui se passait entre-eux. Je ne comprenais pas bien leur situation, mais je l’acceptais. Je l’avais salué en me présentant comme l’ami d’enfance de Léna et que je le connaissais via des photos qu’elle m’avait montré. Je le sentis sur la défensive, il me répondit qu’il ne savait absolument pas de quoi je parlais. Je comprenais sa réaction. J’étais un parfait inconnu et comment pouvait-il être sûr de ce que je lui racontais ? Je farfouillai dans mon téléphone afin de trouver une photo de ma meilleure amie et moi.

« Tiens regarde, c’est nous gamins. Peu importe ce que je sais de toi, en tout cas je sais que Léna t’apprécie alors faisons connaissance. »

Je rangeai mon téléphone dans ma poche et me regard se porta sur le chien calmement allongé sur une couverture. C’était un très beau chien, avec un poil très soyeux, certes salis par le mauvais temps qu’il faisait dehors, mais je savais reconnaitre de beaux animaux quand j’en voyais.

« C’est ton chien ? Il est vraiment magnifique, c’est un labrador n’est-ce pas ? »

Lancer la conversation sur les animaux permettait de détendre l’atmosphère quelque fois, de même pour les bébés. Je ne voulais pas rendre mal à l’aise Ryan. J’approchai doucement la main de l’animal posé avant de le caresser de manière très douce. L’animal me regarda mais sans faire de geste. Il n’avait rien à craindre de moi et il le savait.

« J’ai un chien aussi, il s’appelle Doggy et ma petite amie le trouve moche mais moi je l’adore ! »

J’enlevai ma main de son chien en offrant un sourire à Ryan. Je bu ensuite une gorgée de mon café qui se révéla être très mauvais. Je crois que je n’avais jamais bu de café aussi … sans gout ? On aurait dit du jus de chaussette pressé !

Tous aux abris

A peine que je soit installez dans un coin de gymnase que un inconnu vient vers moi et me demander tout d'abord la permission de s’asseoir a coter de moi je lui avait répondu d'un oui de la tête après tout il pouvais s'asseoir n'importe ou en faite je m'en foutais je le connaissez pas ce mec contrairement a lui vu qu'il m'appeler par mon prénom. Bien sur je fut étonner qu'il sache mon prénom comment pouvais le savoir mais je tarder pas a le savoir, il me connaissez par l’intermédiaire de Léna a ce qu'il parait ils était tout les deux des amis d’enfance, bien sur je me méfier de lui comme même comment savoir si il disait vrai, il sortie donc son portable de la poche puis il me montra une photo de lui et de Léna quand ils était gamins je pouvais reconnaître Léna même si elle était petite puis il ajouta qu'il savais que Léna m'apprécier énormément ce qui m'avais mis la puce a l'oreille était t'il au courant que Léna et moi nous avions une histoire interdite. Et si j'ai pas envie de faire ta connaissance. Et ouai j'étais aussi désagréable avec les inconnu que je pouvais l'être avec mes proches.

Apparemment il s'en foutais de ce que venez de lui dire parce que il s'installa a coter de moi et il continuer a me parler son intention ce porter maintenant sur mon chien qui était installez sur le couverture que j'avais poser a coter de moi pour lui je m'en foutais si j'avais froid mon chien passez en premier, il approcher sa mains vers mon chien pour qu'il le sente Max avait sentie qu'il n'avais rien a craindre de lui vu qu'il ce laissez caressez. Ouai c'est mon chien, ça ce vois que c'est un labrador. Lui répondis je aussitôt.

Par la suite il commencer à me parler de son chien que sa petite amie détester vu qu'elle le trouver moche, j'avais eu de la chance Léna adoré Max et Max adoré Léna donc le courant passez bien entre les deux mais il il n'avais pas de chance que sa copine n'aimer pas son chien juste parce qu'il était moche. C'est quoi comme race de chien ?. Demandai je finalement mais c'était pour autant que je voulais faire sa connaissance.

Tous aux abris

J’avais engagé la conversation sur le chien de Ryan étant donné qu’il n’était pas vraiment très chaud pour une conversation en tête à tête. Je le comprenais en même temps. Son histoire avec Léna ne devait pas être révélée au grand jour, Léna me l’avait fait comprendre bien des fois alors que j’essayais de lui dire de quitter son mari si elle n’était pas heureuse. Les femmes pouvaient être bien compliquées des fois … Je confiai au jeune homme, à mes côtés, que moi aussi j’avais un chien, il s’appelait Doggy et qu’April le trouvait laid.

« Je ne suis pas sûr que la race te dise quelque chose, tiens regarde. »

Je montrai une photo de mon chien avec un sourire alors que je buvais en même temps une nouvelle fois mon café. Il avait peut-être pas l’air d’un être un chien de garde, mais c’était mon chien à moi et mon amour pour lui était inconditionnel.

« Tu le trouves moche ? » dis-je en plaisantant avec un petit rire.

Je rangeai mon portable dans ma poche après avoir envoyé un petit sms à mes parents. Je voulais m’assurer qu’elle et mon père étaient tout deux en sécurité. Avec cette grosse tempête qui nous tombait dessus il valait mieux être prudent.

« Je l’ai laissé à l’appartement car il est assez turbulent avec la tempête et ca aurait été impossible de l’emmener avec moi. »

Je savais qu’il ne ferait pas de bêtises pendant mon absence. Doggy était un bon chien et tant qu’il se trouvait dans l’appartement il se sentait rassuré. Tout de même je m’inquiétais un peu. Je finis mon café qui avait toujours ce goût abject de chaussette.

« Tu habites dans le quartier ? Personnellement j’habite à dix minutes environ. On avait plus de lumières alors je me suis rendu au gymnase. »

Je ne savais pas trop quoi dire au jeune homme qui se tenait toujours sur la défensive. J’avais envie d’apprendre à connaitre l’homme que Léna chérissait, mais je ne pouvais le forcer à s’ouvrir à moi malheureusement.

Tous aux abris

Ont c'était promis avec Léna qu'on garder notre relation secret parce qu'elle était mariée mais pas a n’importe quel homme elle était la femme de mon oncle alors fallait comprendre que notre relation devais rester secret mais j'avais pu voir ce que Léna n'avais pas tenu cet promesse vu que la personne qui était assise a coter de moi savait la nature de notre relation à Léna et moi même si c'était son meilleur ami depuis l'enfance elle aurait pas du lui en parler même moi je n'avais rien dit a ma propre meilleure amie que je entretenais une relation avec une femme mariée. Je fessais comprendre au jeune homme que ne n'étais d'humeur a vouloir parler de me relation avec Léna et encore moins de entamer une discutions avec lui, je n'étais très sociable en ce moment fallait mieux pour lui qu'il aille parler avec une autre personne que moi.

Mais le jeune homme était bien décider a parler qu'avec moi vu qu'il me lâcher pas d'une semelle, il commencer alors a s’intéresser a mon chien et me demander si c'était bien un labrador que j'avais comme chien aimable que j'étais en ce moment je lui répondit assez sèchement que sa ce voyais bien que mon chien était un labrador puis il commence a me parler de son chien que sa petite amie n'aimer pas. On dirait un caniche ton chien. Lui dit je en regardent la phot de son chien qui me montrais sur son portable et effectivement il était un peut bizarre son chien je comprenez un peut sa copine mais bon aucun chien n'es laide. Y a pire comme chien je ne critique pas les chiens des autres. Lui dit je tout simplement. Puis je me retourne vers mon chien et lui donna une caresse c'était bien le seul que je repousser pas depuis mon accident.

Je me retourner vers le jeune homme comment il a pu laissez son chien tout seul chez lui en plein tempête je sais que les animaux sont débrouilla mais comme même c'est pour autant qu'il faut les oublier jamais j'aurais pu laissez Max chez moi avec cette tempête c'était imaginable que je vienne ici sans mon chien il fessait partie de ma famille. J'espère pour toi que ton chien va s'en sortir avec cette tempête. Lui dit je en le regardent puis me lève mon chien me suivi puis je partie chercher de l'eau pour que Max boivent un peut.

Puis je reviens a ma place avec un bol d'eau en le posent devant mon chien qui c'était mise à boire dedans quand j'étais revenu le mec était toujours sil n'avais pas bouger de place a peine installez il m'avais demander si j'habitez dans le quartier. J'habitude près de la plage. Lui répondit je pourquoi je lui donnerais mon adresse complète il voulais me venir me rendre visite ou quoi.

Tous aux abris

Alors que je tentais d’alimenter la conversation par le biais de nos animaux de compagnie, le jeune homme toujours autant sur la défensive se leva pour donner de l’eau fraiche à son chien. Je bu mon café infecte en attendant qu’il revienne. Apparemment le jeune homme n’avait nullement l’intention de vouloir s’ouvrir un peu à moi, pourtant, curieux de connaitre celui qui faisait battre le cœur de ma meilleure amie, je persistais. J’indiquai au jeune homme que j’habitais à dix minutes du gymnase puis lui retourna la question. Celui-ci, sur un ton sec, me répondit vaguement. Je commençais un peu à perdre patience. Moi qui voulais être sympa avec cet homme je n’étais plus très sûr de moi.

« Je sais que je te fais chier, mais on va être coincé ensemble les prochaines alors je pensais que ca aurait pu être bien que l’on fasse connaissance… » Je fis une légère pause avant de reprendre dans un souffle « … mais apparemment tu n’es pas de cet avis … »

Je fis tourner mon gobelet vide dans mes mains le regard perdu dedans. J’étais à court d’idées et je ne savais plus trop comment m’y prendre avec Ryan. Je ne voulais pas m’aventurer sur le chemin de leur liaison à lui et Léna, mais si c’était le seul moyen, peut-être fallait-il essayer …

« Je voulais juste me montrer sympa, écoute je sais peut-être des choses mais je m’en fou totalement de ce que vous vivez ensembles, enfin non pas totalement car s’il arrive quoi ce soit à Léna je vais me fâcher, mais tu fais son bonheur et c’est ce qui m’importe. Si je connais votre histoire c’est qu’elle me fait un minimum confiance et toi aussi tu peux me faire confiance, j’ai autant de secrets que vous alors c’est pas mon rôle que d’aller crier sur tout les toits ce que je sais. »

J’avais tâché de ne pas élever la voix afin de ne pas attirer l’attention sur nous et avait ainsi gardé mon calme. J’écrasai mon gobelet dans les mains exaspéré par son comportement et aussi car je regrettais un peu mes mots. Je cachais à ma propre petite-amie que j’étais opérateur de téléphone rose alors, Léna et Ryan pouvait bien se cacher en raison d’une liaison. Je ne me permettrais jamais de juger ces deux personnes qu’ils étaient car ce serait me juger par la même occasion.

Tous aux abris

Sa fait au moins une bonne demi heure que le jeune homme était assis a mes coter que j'en avais déjà marre de lui, mais pour qui il ce prend pour me parler comme si nous étions potes depuis dix ans alors que je le connais pas ce mec, je lui fessait comprendre a mes paroles que j'avais pas l'envie de parler avec lui pour le reste de la nuit parce que oui je pense que nous seront tous coincer dans ce gymnase toute la nuit par mesure de sécurité on c'est jamais combien de temps cet tempête pouvais durée. J'arrivais pas croire ce que j’entendais comment il a pu laissez son chien tout seul chez lui cet tempête est dangereuse autant pour nous que nos animaux jamais j'aurais laissez mon chien tout seul chez moi avec cet tempête.

Je lui avait fait comprendre sèchement que pour lui que son chien n'aurais rien a cause de cet tempête et qu'il réussira a s'en sortir comme il le dit si bien, et apparemment j'avais toucher un point sensible vu quand je revenez rapporter de l'eau a mon chien monsieur commencer a faire son discoure du faite qu'ont allez être coincer ici toute la nuit et qu'il avait pensais que sa aurait sympa qu'ont fasse connaissance mais il avait très bien compris que j'avais pas envie de sympathisé. Ecoute moi bien j'en es rien a cirer que tu soit le meilleur ami de Léna en ce moment je suis pas de bonne compagnie alors va voir ailleurs si j'y suis ok ?. Lui répondit je encore plus sèchement que tout a l'heure, si je lui disais cela c'était pour lui parce que en ce moment je repoussez tout ceux qui était proche de moi je devenez agressive et même violent Aloysia en avait fait les frais d'ailleurs et si je repousse tout ce monde c'était de les protéger de moi parce que je me contrôler plus du tout en ce moment.

Sérieusement il commencer a me taper sur les nerfs mais qui sont les gens quand je leur dit de me laissez tranquille a croire qu'il m'écoute pas et que je me fait pas entendre et si il crois qu'il me fessais peur lorsque je voyais qu'il avait écrasez son gobelet parce que monsieur commencer a s’énerver puis il recommence a me parler de me relation avec Léna alors la il jouer sur une pente dangereux parce que en ce moment je ne voulais pas qu'ont me parle de ma relation avec elle sa concerner que elle et moi et personne d'autre en quoi c'est difficile a comprendre. Je te connais pas et j'ai pas envie de te donner ma confiance c'est clair, un conseil que je te donne maintenant me parle plus de ma relation avec Léna t'inquiète pas ta meilleure amie es retourner auprès de son mari je les repoussez dans ses bras maintenant dégage tu veut. Lui dit en lui désignant un coin libre ou il pouvais installez.