Enaël  & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

Nous étions la veille de la St Valentin et pendant qu'Ena était au travail je m'occupais de lui trouver un cadeau original. Ce ne fut pas chose facile mais au bout de plusieurs heures de recherche l'idée me vint à l'esprit. Ce ne serait pas un cadeau neuf mais il avait une grande valeur sentimentale pour moi car il s'agissait de la chevalière de mon père. Vu qu'il était en prison il n'avait pas eut le droit de la prendre et me l'avait donné quand il était encore saint d'esprit. La soirée se passa s'en qu'aucun d'entre nous ne parle de la St Valentin. Peut être avait il oublié, peut être n'aimait il pas la St Valentin... Je m'endormis avec du mal et mon sommeil fut perturbé. Mes rêves n'avaient n'y queue n'y tête et plusieurs fois je failli me réveiller mais les bras d'Ena m'apaisait immédiatement. Quelque chose de chaud se fit sentir sur mon front puis sur mes lèvres et lentement j'ouvris les yeux pour tomber nez à nez avec Ena. Quelque chose n'allait pas... je n'étais pas dans mon lit... Tout en me redressant j'observais la chambre dans laquelle on se trouvait et j'écarquillais les yeux. « Où on est ? » Mes yeux se posèrent sur la fenêtre de la chambre et lorsque je m'en approchais je pu voir la vue magnifique. Elle l'avait déjà vu une fois sur une carte postale. C'était Saint-Pétersbourg, la ville ou se trouvait le plus beau Palais au monde. Mon regard se perdit à l'horizon avant de me rendre compte qu'Ena était juste derrière moi. « Tu as fais tout ça pendant que je dormais ? » lui demandais je en me retournant et croisant mes bras autour de son cou. En une nuit il m'avait fait traverser l'océan en avion, m'avait amené dans un hôtel magnifique, sans que je ne me réveille. « C'est magnifique mon amour... » lui dis je en l'embrassant tendrement. Je vis alors les cadeaux posaient sur le canapé et Ena m'entraîna alors pour que je m'asseye sur ses jambes afin de me donner mes cadeaux. Le premier contenait une montre d'une beauté sans nom et elle termina son chemin directement à mon poignet. Le deuxième un peu plus gros contenait une tenue de patinage, moi qui n'arrêtait pas de lui rabâcher qu'il m'en fallait une. « Tu n'aurais pas dut... c'est beaucoup trop » lui dis je en l'embrassant. Il y avait un dernier paquet mais celui ci il l'éloigna, me disant que ce serait pour plus tard. Intriguée je fronçais les sourcils à sa manière. « Moi aussi j'ai quelque chose pour toi » lui soufflais je à l'oreille avant de me lever pour aller chercher mon sac à main. J'en sortis le vieil écrin qui contenait une chevalière que je lui tendis en retournant m'asseoir sur lui. « Elle appartient à ma famille depuis des générations et mon père me l'a donné en me disant que le jour ou j'aurais trouvé la bonne personne je le saurais...  » C'était assez symbolique pour moi car cela voulez bien dire qu'Ena était l'homme de ma vie, celui qui faisait battre mon cœur et me gardais en vie. « Cette personne c'est toi Enaël, je t'aime plus que les mots ne peuvent le dire... »

BY .SOULMATES

Enaël  & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

J'étais assise sur les jambes d'Ena lorsqu'il me proposa de gouter au petit déjeuner de l'hôtel. Je n'avais plus particulièrement faim et lorsqu'il glissa sa main contre mes cuisses je sentis le désir monter en moi. Quoi de mieux pour commencer la journée qu'un câlin en amoureux. M'asseyant à califourchon sur lui je plantais mon regard dans le sien, collant mon nez contre son nez. « Ou alors ? » J'avais très bien compris son allusion au sexe mais j'aimais bien l'entendre dire qu'il avait envie de moi. Je collais mon corps contre le sien, pressant mon intimité contre son sexe qui commençait déjà à se réveiller. Je descendis mes lèvres dans son cou, l'embrassant avec tendresse pendant que ma main se perdait dans ses cheveux. « Joyeuse St Valentin mon amour... » soufflais je en retirant son t-shirt. Il en fit de même avec mes vêtements et mes jambes toujours agrippé à sa taille il me plaqua contre le mur. J'avais envie de lui, il savait comment faire pour attiser mon désir et toujours plaqué contre le mur je sentis son sexe entrer en moi avec facilité tellement j'étais excitée. « Mmmhh Ena... » J'étais accrochée à son cou, mon dos collé contre le mur froid de la chambre mais c'était tellement bon que je ne me rendais même pas compte.
Essoufflée je me laissais tombé nue sur le lit, mon cœur battant la chamade. Ena prit les devant et alla me chercher ma machine. Il était hors de question que je fasse une crise aujourd'hui, je ne voulais pas gâcher notre première St Valentin. Une fois la machine mise je me blottit dans les bras d'Ena qui lui aussi était nu comme un vers et mes doigts parcoururent son torse. « Alors dis moi, c'est quoi notre programme aujourd'hui ? » Le palais n'était qu'à quelques rues d'ici et j'aurais adorée le visité mais quoi qu'il est prévue ce serait surement génial. Je m'habillais donc chaudement car en Russie il faisait encore plus froid qu'aux États Unis et une fois pull, jeans et botte enfilé je me tournais vers Ena nu, qui lui n'avait pas bougé du lit. « Hors de question que tu sortes habillé ainsi je te préviens, tu pourrais prendre froid » lui dis en rigolant avant de lui lancer son boxer à la figure. Pendant qu'il s'habillait je portais mon attention sur le petit déjeuner qui devait être froid à présent. Il y avait certains aliments que je ne connaissais pas alors je bus seulement le verre de jus d'orange.

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Enaël  & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

Ces quelques jours allaient vraiment être très romantique. Apparemment Ena nous avait prévue une belle surprise et je me retint de lui demander de quoi il s'agissait. On s'habillait chaudement et une fois dehors Ena appela une calèche. Émerveillée je montais dedans s'en vraiment l'écouter. Ce fut lorsqu'il me secoua légèrement que je redescendis sur terre. Ou je voulais aller ? C'était une très bonne question, il y avait tellement de chose à visiter dans cette magnifique ville que je ne savais pas par ou commencer. « Et si on allait découvrir un peu la ville ? On pourrait même faire du lèche vitrine... » Je savais très bien qu'il ne pouvait rien me refuser même s'il n'était pas vraiment fan de shopping. Mais qu'il se rassure je voulais juste aller me promener, je n'avais pas d'argent à dépenser dans de vulgaire choses inutiles. Le cocher fit avancer les chevaux qui étaient d'un blanc immaculé. Cette ville n'était vraiment comme aucune autre, elle était éblouissante avec tout ces palais, ces maisons immenses. Nous arrivions dans l'une des rues les plus commerçante de la ville et le cocher arrêta la calèche pour que nous puissions descendre. Mains dans la mains on passaient devant chacune des vitrines illuminées et décorées et avec la neige qui tenait au sol on se croyait encore en période de fête. « Tiens si on rentrait là ? » Je n'attendis pas sa réponse que je l'entraînais déjà dans la boutique de confiserie, mon péché mignon. Il y en avait de toutes les couleurs, de toutes les formes, il y avait même des confiseries qu'on trouvait à Miami comme des pommes d'amour. Pendant qu'Ena flânait dans la boutique j'allais au comptoir nous prendre deux pommes d'amours et un paquet de loukoum. Je revint ensuite vers lui toute contente en lui tendant son paquet de loukoum et une pomme d'amour, c'était symbolique puisque c'était aussi la St Valentin. « Par contre tu ne me feras pas manger de tes bonbons, ça m'a l'air... » Je ne fini pas ma phrase mais fit la grimace pour lui faire comprendre. Une fois sortit de la confiserie je glissais ma main dans celle d'Ena et tout en mangeant ma pomme je regardais les magasins, heureuse de ce petit voyage surprise. Dans la rue des tas de couples se promenaient comme nous mains dans la mains, il y avait aussi des familles, des personnes âges qui venaient faire des emplettes. Après avoir marché un bon moment il fut l'heure du repas. Ena m'emmena dans le premier restaurant sur notre route et une fois installé un serveur nous amena la carte. Il y avait tellement de plat inconnu avec des noms bizarres alors comment faire pour choisir. « Je crois que je vais prendre un bœuf stroganov » dis je au serveur alors qu'il venait prendre commande. « Merci Ena... cette St Valentin est vraiment la plus belle de toute. » Ce n'était pas compliqué en même temps, je n'avais jamais eut d'amoureux avant lui. Doucement je sentais que ma respiration devenir plus difficile mais je ne voulais pas gâcher ce moment. Ce ne fut donc qu'après le repas que je dit à Ena « si tu veux que je sois en forme pour ta surprise on ferait bien de rentrer, je commence à être fatigué et à avoir du mal à respirer. » Le froid, le changement de climat, leur ébats du matin et la longue marche m'avait demandé pas mal d'effort et mon corps me lançait un signal d'alarme. « J'ai juste besoin d'une petite sieste... »

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Enaël  & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

J’étais tellement fatiguée qu’Ena le vit et me porta une fois devant l’hôtel pour m’emmener dans la chambre. Une fois au chaud il me déposa sur le lit et alluma la télé. J’étais désolée de lui faire subir cela, il aurait sûrement préférer sortir, visiter la ville mais si je ne me reposer pas quelques heures je ne tiendrais jamais le coup au soir.  Bercé par les bras d’Ena je me endormis comme un bébé mon souffle commençant  retrouver une allure normale. Au moins on avait évité la crise. Après une bonne heure et demi je sentis le souffle chaud d’Ena dans mon cou et il me porta jusque dans la salle de bain le temps que je me réveille.  Une fois posé par terre j enlevais mes vêtements afin de me glisser dans le bain moussant qu’il avait préparé. Un croissant ainsi qu’une tasse de chocolat avait été déposé prêt de la baignoire et cela devait venir d’Ena. Il pensait vraiment à tout alors croquant dans le croissant je le lui tennis pendant qu’il me faisait un petit massage. L’eau chaude me relaxais et le massage d’Ena y était pour beaucoup aussi. Une fois lavée je sortais du bain et j enfilais un des peignoirs tout doux de l’hôtel. Assise sur le rebord de la baignoire je buvais mon chocolat pendant qu’Ena se prélassait un peu dans le bain. Pendant qu’il se séchait je partis dans la chambre et m’installait sur le lit tout en regardant mon dernier cadeau que je n’avais pas encore eut le droit d’ouvrir.  Que me réservait il comme surprise… Ena me rejoignit dans la chambre et je l’attirais à moi nous faisant tomber à la renverse sur le lit. « Quand est ce que j’aurais le droit d’ouvrir mon dernier cadeau ? » lui demandais je en l embrassant sur le nez.

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Enaël  & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

Ena m'autorisa à ouvrir mon dernier cadeau alors n'y une n'y deux je pris le paquet et déchira l'emballage. Je fus éblouie par une magnifique robe de bal qui avait surement du coûter une petite fortune. Ena en faisait vraiment trop pour moi. Il m'annonça ensuite qu'elle allait servir quelques heures plus tard pour un bal... dans le palais... C'était la cerise sur le gâteau, un véritable comte de fée qui se réalisé et il ne pouvait imaginer à quel point il me rendait heureuse. J'avais trop hâte de l'essayer alors en me levant je me regardais dans la glace la mettant devant moi pour voir. « Elle est vraiment magnifique, merci... » lui soufflais je alors qu'il sortait un jeu de carte. Apparemment il n'était pas encore le temps d'y aller donc j'acceptais avec joie une ou deux petites parties. Je savais comment faire pour gagner et Ena le savait alors il m'attrapa pour me faire tomber dans le canapé en me faisant des chatouilles. Du rire il passa au romantisme et moi qui riait encore je lui caressais son nez. Ce qu'il ferait sans moi ? C'était simple il serait surement moins embêter, pas de cancer, pas de crise, pas d'opération, une belle vie quoi. Mon sourire disparu de mon visage et je détournais le regard, fuyant ses yeux qui lisaient en moi comme dans un livre ouvert. « C'est plutôt moi qui devrait dire ça, sans toi je ne sais même pas si je serais encore là... » A part lui et son père personne ne savait gérer mon cancer et mes crises et sans Ena j'aurais put y rester de nombreuses fois, même à New York. Nous étions allongés tout les deux sur le canapé, ma tête posé sur son épaule et mes yeux croisèrent les siens. « Je t'aimerai jusqu'à la fin de mes jours Enaël, » dis je en déposant mes lèvres sur les siennes. Il fut ensuite l'heure de se préparer et j'allais comme une petite folle m'enfermer dans la salle de bain avec ma robe et des chaussures à talon ainsi que ma trousse de toilette. Je voulais être la plus belle pour lui ce soir et je comptais bien faire un gros effort côté maquillage, moi qui ne me maquillais pratiquement jamais. J'attachais donc mes cheveux en un chignon d’où je faisais sortir quelques mèches bouclées. Un peu de fard à joue pour cacher mon teint pâle de malade, du fard à paupière pour faire ressortir mes yeux bleu, un trait de crayon noir et un peu de mascara et le tour était joué. Vint ensuite le meilleur, le moment d'enfiler la robe. En la voyant sur moi j'en perdu quelques minutes le monde autour de moi. D'ordinaire je me trouvait vraiment trop banale mais aujourd'hui je me trouvais... belle... Je mis mes talons et sortit de la salle de bain pour me mettre devant Ena qui c'était lui aussi mit sur son 31 et qui était entrain de lacer ses chaussures. Quand il releva la tête je tournais sur moi même pour lui faire admirer le formidable cadeau qu'il m'avait acheté. « Alors tu en penses quoi ? » demandais je en mettant un châle sur mes épaules. Il n'y avait rien à dire, Ena avait vraiment très bon gout en matière de vêtement féminin.

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