on a tout les deux besoin de quelque chose.

CALVIN CAMPBELL, et SELENA CASTILLA.

J’attendais dans mon lit pendant plusieurs minutes avant de recevoir un énième message de Selena, qui m’invitait chez elle pour qu’on passe du bon temps ensemble, je ne prends même pas la peine de répondre, que je jette mon portable à côté de moi, à côté de l’oreiller avant de m’étirer en grand pour bien me réveiller, même si la photo qu’elle m’a envoyé un peu plus tôt m’avait déjà bien ouvert mes yeux. Il était tout de même tard dans la matinée, j’étais toujours dans ma maudite chambre d’hôtel, mais j’avais bien pris mes aises. Sans plus tarder, je soupirais avant de passer mes deux mains sur mon visage plusieurs fois pour ne pas avoir l’air endormi, puis je me levais d’un bond pour me diriger vers la salle de bain, où au passage j’attrape un jean noir, avec un pull noir, avant d’attraper également un nouvel boxer. Je saute dans la douche sans plus tarder, où je me savonne bien, histoire de faire partir l’odeur de l’alcool et de la clope. Je n’avais rien bu, je ne buvais que des cocktails, d’où pourquoi je n’avais aucune difficulté d’émerger. Quand j’y repensais à Selena, c’était une jeune fille assez mignonne, au bout de deux minutes je ressors de la douche, en enfilant mon boxer propre puis j’enfile mon pantalon et mon pull. J’en profite pour me brosser les dents, j’ai toujours ma barbe d’une semaine. Bref, j’enchaîne, j’attend plus, je cours vers mon lit défait pour attraper mon portable que je met dans la poche de mon jean, puis j’attrape ma veste en cuir avec les clés de voiture déjà à l’intérieur. J’emprunte mon bolide pour me rendre à l’adresse que Selena m’avait envoyé, je ne connais pas très bien Miami, forcément je met un petit bout de temps à venir, et ça m’agace. J’ai horreur des embouteillages, des gens qui klaxonnent de tous les côtés, j’ai pas de patience, voilà tout! Une fois arrivé sur les lieux, où je pense que c’est là, je gare ma voiture sur le parking en face de l’appartement avant d’enclencher le frein à main. Je sors aussitôt du bolide pour me rendre chez elle, j’entame les marches avant de pouvoir frapper à sa porte, mais avant je prend une grande inspiration. Mes cheveux sont longs, putain, j’arrête pas d’arranger cette mèche, je passe un coup de main dans mes cheveux, la porte s’ouvre, j’avais oublié à quelle point elle était plus petit que moi, ça devrait être un peu plus pratique. Je m’avance vers elle, je glisse ma main autour de son cou avant de l’embrasser langoureusement, entremêlant ma langue dans la sienne, avant de la pousser doucement, à de manière qu’on ne reste pas dans l’entrée. « Bien le bonjour, à ce que j’ai cru comprendre, tu t’ennuierais sans moi? » Demandais-je en reculant doucement, pour pouvoir croiser son regard, un petit sourire s’affiche sur mes lèvres.

on a tout les deux besoin de quelque chose.

CALVIN CAMPBELL, et SELENA CASTILLA.

J’étais le genre de mec qui fonçait, je disais les choses que je pensais, je ne tournais jamais autour du pot, si je le fais un jour, je m’inquiéterais. C’est pourquoi sans hésiter, j’avais accepté l’invitation de Selena, sous-entendu qu’on allait passer un très bon moment tout les deux, et ça m’allait, je ne voulais pas d’histoire sérieuse, j’osais espérer qu’elle ne se fasse pas d’idées. Sans attendre, je toquais déjà à la porte de l’appartement que Selena m’avait indiqué, en espérant que je me sois pas trompé. Lorsque la jolie brune ouvrit la porte, je su directement que j’étais dans le bon appartement, un petit sourire se dessina sur mes lèvres avant de m’approcher près d’elle pour l’embrasser langoureusement pour lui faire comprendre que j’avais déjà envie d’elle. Je reculais doucement ma tête pour qu’on puisse tout de même échanger quelques mots, je déclarais donc que j’avais cru comprendre qu’elle s’ennuyait sans moi, celle-ci me sourit. « C’est ça oui. » Répondait-elle avant de m’attarder la main pour m’entrainer dans l’appartement, tandis que je fermais la porte avec un coup de pieds, peut-être un peu trop fort. Je regardais autour de moi, je constatais qu’il y avait plusieurs affaires, c’était vraiment un appartement à nana. « Et si je ne m’abuse tu devais me montrer quelque chose à propos d’un regret.. » Dit-elle innocemment, où mon regard se pose automatiquement sur son cul, avant de voir qu’elle portait toujours le même shorty que sur la photo qu’elle m’avait envoyé il y a une heure, ce qui me fait hausser le sourcil admiratif, et de lâcher un petit oh en regardant ses jolies formes. « Mh, c’est vrai… Je vais te montrer à quel point tu vas regretter de m’avoir provoqué. » Déclarais-je en rentrant en montant à l’étage, où je la suivais, j’entendais des petits rires de filles derrière une porte fermé ce qui m’intriguait, celle-ci ne dit rien, elle continue à me trainer dans le couloir jusqu’à sa chambre avant de refermer la porte derrière elle. Je retirais donc ma veste avant de la balancer sur la chaise qui trainait dans le coin de la chambre, je me retournais vers elle, en la voyant anxieuse, ou nerveuse, je me contente de m’asseoir sur le devant du lit en l’a regardant, elle a vraiment de jolies formes, ça me donne envie directement, tout comme lui arracher le shorty qu’elle porte actuellement, tout en jouant avec le petit noeud. « Je te sens un peu nerveuse ou je ne sais quoi, aurais-tu besoin que je te détende? » Demandais-je en l’a regardant, je relevais mes yeux pour me concentrer sur son visage, elle a vraiment de ces lèvres toutes pulpeuses. J’espérais qu’on ne passe pas une heure à parler, je n’étais pas du genre à papoter, ou me dévoiler auprès d’une fille. Mais je ne forçais jamais une fille à coucher avec moi, si elle ne le voulait pas, je respectais sa décision, j’osais même espérer que non! Elle s’approcha doucement vers moi, visiblement, maintenant, comme elle est debout, elle est plus grande que moi, je lève ma main où celle-ci l’attrape, je la tire vers moi sans plus attendre, avant de glisser mes deux mains derrière ses cuisses où celle-ci s’avance encore plus pour pouvoir s’asseoir sur moi à califourchon, je lève ma main pour repousser une mèche en l’a remettant derrière l’oreille. « Je te trouve extrêmement belle, je pense ne pas l’avoir assez dit hier soir. » Déclarais-je doucement, je trouvais que toutes les femmes étaient belles après tout. Mais je sens que Selena va me marquer quelque part, je ne sais pas pourquoi, j’ai beau d’avoir eu de nombreuses conquêtes, mais je sais que cette fois-ci, elle sera unique, ou peut-être pas, ça dépendra, mais quelque chose me dit qu’elle se démerde assez bien au lit, peut-être parce qu’elle m’a avoué être une danseuse? Je vais sans doute le découvrir bientôt. Puis soudainement, un éclat de rires se fait entendre à côté de la chambre, où je tourne ma tête intriguer par ce qui se passe. « Tu ne m’as pas dit que tu avais des colocataires. Tu penses être capable de ne pas faire de bruits? » Demandais-je en l’a regardant avec avec un sourire narquois. Mes mains remontent vers ses fesses, et mes pouces se glissent à l’intérieur de son shorty, où je caresse doucement cette extrémité de son corps.  

on a tout les deux besoin de quelque chose.

CALVIN CAMPBELL, et SELENA CASTILLA.

Je ne pouvais pas nier que Selena était une très belle femme, je n’avais jamais caché mon attirance pour elle, chose que je n’hésitais pas à lui faire savoir. Cependant, je la sentais un peu douteuse dans ce qu’elle allait faire, parce qu’on allait tout de même faire quelque chose qui incluait beaucoup de plaisir pour tout les deux. Je découvrais donc la chambre de la jeune brune, où je lui demandais si elle était nerveuse ou bien douteuse, j’osais même espérer qu’elle n’allait pas reculé dans ce qu’on s’apprêtait de faire. « Un peu nerveuse, peut-être. Tu es le premier mâle que j’invite à me rejoindre comme ça. » M’avouait-elle avant d’hausser les épaules en me regardant, décidément, cette femme m’attirait de plus en plus, peut-être parce qu’elle s’apprêtait à faire quelque chose qu’elle n’avait jamais fait auparavant. Ce côté d’innocence m’attirait drôlement dois-je dire. Je me contentais de lâcher un long « ah » étant agréablement surpris, avant d’attraper sa petite main pour l’attirer vers moi, où cette dernière se met à califourchon tandis que mes mains se baladent sur son arrière-train tandis qu’elle entoure ses bras autour de ma nuque. « Mais ça ne veut pas dire pour autant que je regrette. » Ajoutait-elle, je comprend assez rapidement qu’elle ne veut pas revenir sur sa décision. Je sens ses doigts caresser mes cheveux, tirant légèrement sur mes pointes, étant donner que j’ai les cheveux longs, finalement c’était agréable, en règle général, je n’aime pas qu’on soit trop tactile avec moi. « Tant mieux alors. » Me contentais-je de lui dire, je pense que c’était assez clair, parce que je suis un gars qui ne recule devant rien, j’avais envie d’elle, point barre. Je lui avouais donc que je l’a trouvais extrêmement belle, en précisant que je ne l’avais pas assez dit hier soir à mon goût. « Merci… et je te retourne le compliment. C’est plutôt flatteur d’avoir été la fille à retenir ton regard vu la belle brochette de femmes hier soir. » Dit-elle, mais Selena m’avait directement frappé dans l’oeil, et disons que j’avais un don pour repérer les filles qui voulaient se changer les idées, j’étais l’expert dans cette matière. Elle ne me laisse pas parler, qu’aussitôt ses lèvres viennent rejoindre les miennes pour m’embrasser, je suis bien trop concentré par le geste. Je ne tarde pas à glisser ma main dans son débardeur blanc qui met en valeur ses seins et ses formes, mais je fus interrompu par une sorte de rire, qui me fait tourner la tête car j’étais intrigué, visiblement, elle n’est pas toute seule dans cet appartement. Elle attrapa mon menton pour faire tourner ma tête vers elle, où je plonge mon regard dans le sien, ce qui me fait sourire, je suis encore plus tenté, et cette situation m’excite. « Ça ne dépendra que de tes capacités. » Dit-elle, tandis que j’enroule mon bras autour de sa fine silhouette pour l’attirer brutalement contre mon torse, à l’aide de mon autre main, je tire sur sa cuisse où je sens que ses cuisses se serrent autour de ma taille. « Je suppose qu’on va le découvrir tout de suite. » Rétorquais-je avant de me lever assez rapidement pour me retourner et de me jeter sur le lit avec celle-ci qui était accroché sur moi comme un singe. Je me colle doucement à elle, elle lève automatiquement ses genoux avant de les coincés sur mes hanches, où je fais un mouvement assez sensuelle pour m’échauffer. Mes lèvres s’approchent de nouveau contre les siennes, où je l’embrasse assez chaudement pendant plusieurs secondes tandis que mes mains se baladent sur ses hanches, impatient de découvrir ce corps sous ses vêtements. Je me relève doucement, pour retirer mon pull, il commençait à sérieusement faire chaud dans cette pièce, je le balançais à côté du lit, puis je me souviens que je devais lui faire quelque chose qu’elle pourrait sans doute le regretter dans les prochaines minutes. « Ah… Je pense qu’il est grand temps que je joue avec le petit noeud papillon. » Déclarais-je en baissant mon regard vers son sorthy, j’étais impatient, très impatient, je n’allais pas resté plusieurs dizaines de minutes comme ça, je commençais à sentir que ça me compressait. Mes mains se posent sur ce petit noeud papillon, défaisant lentement, c’était comme ouvrir un cadeau. Ma main descend un peu plus, particulièrement mon pouce qui cherche doucement ce petit bouton de plaisir, au bout de quelques secondes, je le trouve, je ne tardais pas à appuyer dessus doucement en faisant des cercles dessus dans le sens d’une aiguille. Putain. Mon sexe durcit de plus en plus sans qu’elle ai besoin de me toucher. Puis, mes longs doigts, mon pouce reste là où il doit être, glissent doucement un peu plus bas, où je tente « faussement » de rentrer mes doigts, ça donne encore plus envie en règle général, je sens le tissu qui se mouille petit à petit. Je décide me pencher davantage d’elle, où je sens que sa respiration est saccadée. J’accélère le mouvement avec mon pouce, tout en ralentissant. « Tu commences à le regretter, je pense. » Dis-je en chuchotant, tandis que mon autre main se glisse à l’intérieur de son débardeur, pour y découvrir qu’elle ne porte pas son soutient gorge, ce qui me fait encore plus sourire, je ne tarde pas à lui malaxer les seins avant de titiller le téton au bout de mes doigts, et qui durcit rapidement au toucher. Ma mèche tombe mais je m’en fou complètement, je suis concentré à lui donner l’extase de sa vie, du moins j’essaie.  

on a tout les deux besoin de quelque chose.

CALVIN CAMPBELL, et SELENA CASTILLA.

On commençait à bien s’amuser je dirais, j’avais pris le dessus sur elle en faisant un mouvement sensuelle entre elle et moi. J’entendais un petit « oh » qui s’échappait de ses lèvres pulpeuses, où je ne tardais pas à les embrassées langoureusement. Je sentais ses mains qui glissaient dans mes cheveux avant de descendre sur le long de mon dos, qui me donnaient légèrement des frissons. Sans plus tarder, je retirais mon pull, il faisait beaucoup trop chaud pour que je puisse garder cette épaisseur sur moi, ses mains se baladaient sur mon torse, elle touche déjà un point sensible, où je sens qu’à l’intérieur ça commence à devenir sérieusement étroit. Putain, elle me fait de l’effet! « C’est encore mieux en vrai qu’en photo. » Dit-elle en souriant, je rigolais légèrement, j’étais bien content de lui plaire. Je voyais son petit regard qui en demandait plus, en réalité elle n’attendait que ça. Je déclarais donc que je m’apprêtais à jouer avec ce petit noeud, elle avait vraiment bien fait de garder son petit shorty où je m’amuserais bien avec. « Fais-toi plaisir espléndido rubio. » Murmurait-elle avec un certain accent, espagnol me semblait-il, où je fronçais mes sourcils en souriant, je n'avais pas spécialement étudier l'espagnol, forcément je ne comprendrais pas grand-chose, puis je me concentrais sur le fameux noeud dont on parlait par message, mon regard se pose sur ce que j’étais en faire, c’est à dire, de trouver le bouton de plaisir avant de jouer avec en faisant des mouvements circulaires, de façon comme le sens d’une aiguille dans une montre. Elle commençait à gémir, elle perdait carrément sa respiration tandis que je continuais ce que je faisais, faisant « faussement » les pénétrations avec mes grands doigts, tandis que je pose mon regard pour la regarder laisser échapper de petits sons de sa délicieuse bouche. Je comptais bien lui faire regretter de m’avoir provoqué, mes doigts prenaient complètement l’emprise de son plaisir. « Regretter n’est pas exactement le mot que j’utiliserais. » Dit-elle, tandis que je glisse de ma main libre à l’intérieur de son débardeur pour y découvrir qu’elle ne porte pas de soutient-gorge, je ne tardais pas à jouer avec son téton qui durcissait au contact. Je laisse glisser ma main pour qu’elle puisse prendre un peu le contrôle, à l’aide de ses mains, elle me rapproche vers elle, laissant toujours ma main sur son entre-jambe. Je m’avançais un peu plus pour pouvoir déposer mes lèvres sur les siennes et l’embrasser langoureusement tout en continuant mon geste,  avant de sentir que ses lèvres glissent de ma joue jusqu’au mon cou, ce qui me lance des coups de pique, ça m’excitait énormément, je sentais qu’elle aspirait ma peau, ce qui me fait sourire, je la laisse faire, j’aime bien ce genre de traces. Puis, je sentais une main curieuse se faufilé dans le peu d’espace entre nous, au moment où elle touche la partie de mon corps la plus sensible, je reçois un énorme frisson à travers mon corps, je m’arrête sans le vouloir sur ce que j’étais en train de lui faire pour me concentrer sur son geste, je commençais à sentir que ma respiration s’accélérait, ça devenait difficile pour moi de me concentrer. Elle défait le bouton de mon jean, putain qu’est-ce-que ça fait du bien, j’ai besoin de libéré, car ça ne va plus du tout. Je recule ma tête doucement pour pouvoir m’échapper de ses baisers dans le cou afin de pouvoir l’embrasser de nouveau, mais cette fois-ci plus fort, car le désir et le plaisir ne cessaient pas d’augmenter à chaque caresses qu’elle me faisait. D’un geste rapide, je descendait légèrement mon jean, de ma main libre, j’attrapais sa main qui se faufilait un peu trop à l’intérieur de mon jean, en réalité, j’en pouvais plus, et je ne voulais pas que ça se termine déjà. Je plaque sa main sur le lit en la bloquant, je retire ma main de son entre-jambe pour attraper sur autre-main, nos nez se frôlent. « Tu m’auras pas comme ça bébé. » Sifflais-je difficilement, avant bien me caler entre ses jambes, et de frotter mon entre-jambe contre le sien. J’aimais bien prendre le contrôle, je n’avais jamais hésité à le faire, j’aimais faire durer les choses, ça donnait encore plus envie d’y goûter cette sensation, le sexe c’était comme une drogue, j’avais hâte de me perdre en elle et de m’oublier comme je l’ai toujours fait, je dépose de petits baisers dans son cou régulièrement. Au bout de quelque minutes, je recule doucement en me levant, je fouille dans ma poche arrière de mon jean pour ressortir une pochette argentée que je balançais sur le drap avant de retirer mon jean, décidément on portait trop de vêtements ici. « On porte trop de choses, retire-ça. » Lâchais-je d’un ton autoritaire en souriant, je pose mes mains sur genoux pour la regarder dévoiler sa poitrine ferme, et superbement dessiner, je ne pu m’empêcher lâcher un « putain » qui signifiait que j’étais agréablement surpris. Je repose mes mains sur ses hanches, ayant toujours mon boxer, je m’appuie d’avantage contre son sexe en faisant de « faux » mouvements, mais plus fort. Je dépose un nouveau baiser sur ses lèvres, cette fois-ci plus doux et plus rapide, au point que mes lèvres sont pressées de descendre sur sa poitrine, je ne tarde pas à lécher sa clavicule, descendant progressivement avant de trouver le premier mamelon où je m’amuse simplement avec ma langue et mes dents mordilles doucement, tandis que mon autre main s’affaire à malaxer son autre sein.  

on a tout les deux besoin de quelque chose.

CALVIN CAMPBELL, et SELENA CASTILLA.

Ça commençait à devenir de plus en plus intéressant puisque mademoiselle avait ôté son haut. Une fois que j’avais sorti la fameuse pochette argenté en la jetant sur le draps, je ne tardais à promener ma langue sur ce corps, où ma langue s’attardait sur le téton tandis que ma main malaxait doucement son autre sein avant d’inverser, une fois qu’ils étaient bien durs, je me relevais doucement, toujours en pressant mon sexe contre le sien, je sentais que ça durcissait de plus en plus, putain, c’est difficile dans des moments comme ça, surtout qu’elle balançant doucement son bassin où je sens que ça me caresse doucement, ça me procure également aussi beaucoup de plaisir, je retiens ma respiration avant de souffler doucement. Je sentis ses mains, surtout ses ongles qui me griffèrent le dos, avant de sentir l’autre main se glisser dans le peu d’espace qu’il y avait entre nous, qui me caresse les abdos à l’aide de ses ongles, c’est pas bon ça pour moi! Je me crispais en souriant, ça me chatouillait, et j’étais très sensible à ça. Il fait trop chaud, il fallait que je sois en elle dans les prochaines secondes sinon j’allais explosé à mon tour. Et je ne voulais pas que ça se fasse aussitôt. « Mon coeur va finir par exploser. » Dit-elle en marmonnant, je me relevais doucement, pour pouvoir la regarder en souriant, ma main glissa sur le long de sa poitrine jusqu’à ses hanches, je fis une pression plus forte sur son entre-jambe. « Tu n’es pas la seule, t’imagine pas à quel point tu me fais de l’effet, putain! » Lâchais-je difficilement, je me rallongeais près d’elle en chopant la petite pochette argentée, tandis qu’elle léchait mon cou avant de choper le lobe de mon oreille, putain, c’en était trop. Beaucoup trop. Je lâche un gémissement, mélanger avec un grognement. Sans plus attendre, je me redresse complètement pour retirer mon jean qui me bloque le passage, je garde mon boxer, je le redescend à moitié pour pouvoir enfiler le préservatif sur mon sexe, où je le déroule assez rapidement en soupirant pour pouvoir me contrôler, putain, je déteste les préservatifs, mais je dois me protéger, je n’ai pas envie de perdre plus de temps! Étant que Selena garde son shorty, à l’aide de mes doigts, j’écarte ce fin tissus, où j’appuie une nouvelle fois sur le bouton de plaisir, avant de glisser mes doigts en elle. Elle est bien mouillée, tant mieux. Je positionne mon sexe, sans la pénétrer, puis je rallonge sur elle en l’embrassant langoureusement, où je continue à balancer mon bassin pour pouvoir me frotter contre elle, puis, lorsque je sens que c’est le bon moment, je pénètre en elle. Un gros frisson me parcoure la colonne, oh putain, qu’est-ce-que ça fait du bien, je lâche un gros soupire. Cependant, je la sens un peu étroite. Je dépose un baiser sur sa mâchoire avant de lui chuchoter : « Ça va? » Demandais-je doucement, avant d’enchaîner plusieurs vas et viens en elle doucement, sinon j’explose trop vite et elle n’aura pas eu ce qu’elle voulait. J’avais hâte de perdre en elle, comme je l’ai fais tant de fois. De mon autre main, je caresse ses formes, ainsi que ses cuisses, je les relèves doucement, car je sais que ça donnera plus de plaisir si on les relèves. Cette fois-ci, je fais un mouvement assez brutal, je rentre plus fort que la première fois. « Putain! » Murmurais-je doucement, mon autre main attrape le draps épais, je serre, ça m’aide à me contrôler d’avantage. J’ai chaud, je sens même mon dos qui dégouline de sueurs.