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 You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine

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(#)Sujet: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Jeu 2 Juin - 12:34
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Cela faisait quelques semaines maintenant que j'avais revu Sunny et me voilà de nouveau en vrac. Pas que je ne l'étais plus du tout, mais disons que je dégringole de nouveau un peu plus qu'avant. Je bois un peu plus et plus uniquement quand je sors, bien que j'aurais dû arrêter tout court. Je m'énerve facilement, je m'en prends à tout le monde pour le moindre petit truc qui va m'irriter. Pourquoi est-elle revenue ? Pourquoi m'a-t-elle laisser alors qu'elle avait promis de ne jamais me quitter ? Un tas de questions et aucunes réponses. C'était de la torture. Et ce qui me torturait encore plus c'était que je l'imaginais avec quelqu'un d'autre durant l'année qui s'est écoulée. Et ça, ça me rendais dingue. Complètement dingue que je serais prêt à casser la gueule au premier mec qui l'approche ne serait-ce que pour lui parler. Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Depuis quand une fille me met dans cet état ? Depuis qu'elle a débarquer dans ma vie tout simplement. Ce soir, après le boulot, je décidais de sortir avec quelques potes en ville, on décidait de se rejoindre sur place et étant donner que c'était pas très loin du garage. Je m'étais quand même changer dans les vestiaires, j'étais donc vêtu d'un simple jean et d'un t-shirt basique, mais pas crade quoi. On se retrouvait alors dans un bar aux alentours de 21 heures 30, on se payait une première tournée de bières tout en faisant une partie de billard, puis la deuxième tournée se transforma en vodka, plusieurs verres même, ça faisait du bien de sentir le liquide brûler ma gorge, au moins je sentais quelque chose. Des gens nous rejoignais, il y avait des filles dans le lot, plutôt canon, mais pas suffisant pour me sortir Sunny de la tête, parce qu'elles ne sont pas ELLE. Bordel ! Je m'enfile un autre verre de shoot tandis que l'une d'elles vient s'asseoir sur mes genoux. Nous nous étions installer sur les banquettes pour prendre notre tournée de shoot. Les heures passaient et les verres s'entassaient sur la petite table devant nous, la plupart de ceux avec qui j'étais venu sont déjà partis. Je ne sais même pas quelle heure il est. En fait, j'ai déjà du mal à me souvenir ce qu'il s'est passer en début de soirée. J'ai probablement dû embrasser cette fille aussi, parce que j'ai un coup fruité dans la bouche, alors que depuis le début c'est du pur que je bois. La soirée se poursuivait et tout le monde partait, enfin mon petit groupe, je décidais donc de m'asseoir au comptoir prendre un dernier verre, j'étais complètement avachis, tenant mon verre dans une main.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Ven 3 Juin - 19:35
L'un des meilleurs sentiments au monde est de savoir que ta présence et ton absence compte pour quelqu'un
Vingt et une heure trente, me voilà tranquillement posée sur mon canapé, Skippy avachi à mes côtés à regarder la télé. La journée a été longue, je l'ai passé à rédiger mon dossier sur mon expérience passée à l'étranger au court de cette dernière année. Tout un tas de souvenirs me rappelait combien j'avais été chanceuse de pouvoir vivre une telle opportunité, et pour rien au monde je ne regretterais d'être partie durant cette année. Elle m'aura été bénéfique en tout point. Passer un an loin de Miami ne m'avais pas fait de mal. Cette ville que j'aimais tant était aussi la ville dans laquelle mon paternelle vivait, bien qu'il soit en prison, j'avais toujours eu cette crainte qu'il puisse sortir un jour où l'autre, cependant cette crainte avait maintenant disparu car il s'était suicidé dans sa cellule. Et vous savez ce qu'est le plus dur ? C'est de se rendre compte que votre père est mort et que vous n'avez pas versé une larme depuis que vous l'avez apprit, pas même à l'enterrement. J'avais l'impression d'être honteuse, de passer pour une fille horrible, sans cœur, mais en même temps, cet homme ne méritait pas une larme de mon corps. Il m'avait bien trop détruite pour que je puisse pleurer sa mort. D'ailleurs, c'est grâce à cette expérience à l'étranger que j'étais parvenue à me reconstruire petit à petit, doucement mais surement. Ça je le devais aux personnes que j'avais pu rencontrer au Canada & en Australie. Ils m'avaient aidé d'une certaine manière, sans pour autant savoir ce que j'avais au fond de moi.
Mon portable sonnait, et lorsque je décrochais, c'était les filles qui me demandaient de sortir, autant dire que j'étais carrément partante, bon en revanche, Skippy était beaucoup moins d'accord avec ça puisque lorsque je bougeais mon chat me lancer un regard qui tue. Je souriais légèrement, et lui fis quelques caresses pour apaiser sa colère, laissant place à ses ronrons que j'adorais tant entendre qui avaient pour don de m'apaiser. Une fois debout, j'allais me préparer dans la salle de bain, je prenais une petite douche car pour sortir, je voulais être bien. J'enfilais une jolie robe simple couleur bleu roi avec une petite paire d'escarpin, puis après avoir prit ce qui me fallait, je quittais la maison direction le bar. Là, je retrouvais mes copines devant l'entrée du bar, je saluais chacune d'une bise sur la joue et c'est alors qu'on entrait à l'intérieur s'installant à une table tranquillement. C'est à coup de mojitos qu'on démarrait la soirée. Ce que ça faisait du bien de passer la soirée avec elles. J'avais la tête tout simplement vidée. Bien entendu, je ne comptais surement pas boire à en perdre la raison car je conduisais, mais je n'avais pas exclu un verre ou deux, surtout quand on sait que j'étais une friande de mojito. Très vite, on se rendait sur la piste de danse, et c'est alors que de loin, mon regard se posait sur... Non, c'est pas vrai. Ce n'est pas possible. Pas lui. Pas maintenant. Pas au bras d'une autre. Et pourtant si. C'était lui. Je me tournais alors immédiatement pour danser dos à lui de sorte qu'il ne parvienne pas à me reconnaître s'il venait à se tourner vers moi. Autant vous dire que ça vue me cassa ma soirée. Mais bon, je n'avais pas le droit de me gâcher ma soirée comme ça. Alors je continuais de danser, rire et chanter avec mes amies. Seulement voilà, la fin de soirée approchait. Certaines étaient complètement déchirées, à vomir derrière le bar, une autre était carrément partie avec une conquête, et moi, je me retrouvais là, assise sur à table. J'attrapais mon petit sac que je mis sur mon épaule, et je me dirigeais vers la sortie, c'est alors que mon regard se posait une nouvelle fois sur Noah, dans un état pitoyable. J'avais l'impression de le revoir un an et demi auparavant. Ce n'était pas possible, quand je disais qu'il n'avait pas changé et qu'il était toujours le même c'était bel et bien vrai. Une part de moi voulait s'approcher de lui, et l'autre me jurait de ne pas y aller. Je le revoyais avec cette fille. Je savais que durant cette année où j'étais partie il avait dû retrouver son statut de gros connard à se sauter tout ce qui bouge, mais bon, je n'avais pas été là pour le voir. Là, malheureusement, ça s'était produit sous mes yeux. Toutefois, je ne pouvais pas le laisser comme ça, sur le trottoir, ce n'était pas possible. C'est alors que je me rapprochais de lui, pas à pas, dans le calme. « Viens je te ramène » Façon, je savais pertinemment que dans l'état dans lequel il était il serait incapable de rentrer chez lui. Prendre la voiture serait un danger à la fois pour lui mais également pour l'entourage, et puis vu qu'il était seul à mon avis, tous ces potes et sa conquête l'avaient lâché, étonnamment.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Sam 4 Juin - 18:20
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Lorsque mes potes m'invitèrent à boire un verre dans un bar, j'acceptais, j'avais besoin de me changer les idées. Je pensais m'être fait à l'absence de Sunny, mais lorsque je l'ai revue, je me suis rendu compte que pas du tout. J'ai gérer la souffrance par le plaisir et c'était tellement plus simple comme ça. Je m'étais vraiment laisser aller avec elle, tellement au point d'en être tomber amoureux. J'ai l'impression que toutes les merdes se sont enchaîner ensuite. Il y a eu aussi le retour de Louise, mon ex, peut-être même bien mon premier amour. Elle aussi je lui en voulais de ne pas m'avoir donner de nouvelles lorsque j'étais en prison. En fait, je crois que j'en veux au monde entier. Je suis ce garçon en colère.
Pour en revenir à ma soirée au début, j'avais dis un verre, sauf que ça c'est très vite transformer en grand n'importe quoi et j'enchaînais les verres en riant avec mes potes, des gens nous rejoignait, une fille s'installait même sur mes genoux, honnêtement j'étais trop déchirer pour réagir face à quoi que ce soit. Elle pourrait me violer sur cette banquette, que je serais incapable de m'y opposer. A la fin de la soirée, les gars décidaient de rentrer, l'un d'entre eux me proposait de me ramener, mais je lui lançais que j'allais rester un petit peu et ensuite rentrer à pieds pour prendre l'air. Si j'y arrive, parce que là, pour le coup, la maison c'est pas la porte à côté. Je me retrouvais donc en fin de soirée, avachis au comptoir, un verre à la main. « Viens je te ramène. » me lance une voix plus que familière que pendant une seconde j'ai cru que je dormais. Je tournais alors le regard vers elle, qui se trouvait à côté de moi. - Naaaan c'bon, j'vais rentrer à pieds. Dis-je alors en me redressant sur mon tabouret et manquant de tomber, je me rattrapais de justesse au bar. - Et puis qu'est-ce que tu fais là d'abord ? Lui demandais-je alors en la regardant. Je l'ai pas vu pendant une année toute entière, une année où j'avais besoin de la voir et maintenant que je ne veux plus la voir, je la vois deux fois en peu de temps, je ne sais pas combien de temps je vais encore arriver à gérer… bien que mon état de ce soir montre que je ne gère plus depuis longtemps. - Vince ! remet moi un verre stp ! Lançais-je au barman.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Lun 6 Juin - 18:32
L'un des meilleurs sentiments au monde est de savoir que ta présence et ton absence compte pour quelqu'un
Passer la soirée avec mes copines me faisait le plus grand bien. Nous avions mi un peu de temps avant de choisir quoi faire. Au final, nous options pour aller se poser tranquillement au bar, l'avantage du bar dans lequel on était c'est qu'il y avait une petite piste de danse pour pouvoir se défouler entre amis autour d'un verre. L'ambiance était vraiment chouette, un petit groupe de jeune était là pour animé la première partie de soirée, tandis que la seconde fut prit en charge par un DJ vraiment doué, résultat, il mettait le feu au bar. Après avoir bu un verre, mes copines et moi nous rendions sur la piste à danser comme des folles. Ça faisait un bien fou de les retrouver. C'est dans ces moments là que je réalisais qu'il était temps de revenir ici. Mes amis, c'était comme ma famille, c'était la seule famille qui me restait finalement avec ma cousine Autumn. Heureusement que je les avais dans ma vie car je pense qu'avec la vie que j'ai eu je pense que je n'en serais pas là à l'heure qu'il est. Connaissant mon petit mental, je serai surement au fond du trou, alors je leur devais bien ça. Comme on dit, on choisit ses amis, pas sa famille, c'était bien vrai, et moi, je pense que j'étais tombée sur les meilleurs. D'ailleurs, lui aussi faisait parti des meilleurs, même si aujourd'hui il en était tout autre. Oui, je parle du jeune homme à l'autre bout de la piste entrain d'embrasser cette blondasse. Cela ne m'étonnais même pas de lui, c'est là où je me rendais compte qu'il avait surement vite dû m'oublier puisque comme on dit, chasser le naturel il revient au galop, comme quoi, son côté coureur de jupon demeurerait toujours en lui. Mes copine voyaient bien que quelque chose me tracassait mais je n'avais aucunement envie de leur parler de Noah car je savais pertinemment que bourrée comme elles étaient, elles auraient été capables d'aller le voir, chose que je ne voulais pas puisque dans le fond j'étais la seule fautive dans l'histoire. Je le savais, et j'assumais mes choix bien que je les avais longuement regretté, quoi qu'aujourd'hui quand je voyais l'état dans lequel il était, au bras de cette gonzesse, je ne regrettais peut être pas tant que ça puisque dans le fond, même si j'étais partie et qu'on serait resté ensembles, en voyant ça, il aurait peut être été capable de le faire en mon absence, donc dans le doute c'était mieux pour tout le monde. Je mentirais si je disais que le voir embrasser une fille comme ça ne me faisais rien mais en même temps, je n'avais rien le droit de dire, alors je tournais le dos pour ne pas le voir faire. Evidemment sur le coup, cela m'avait tout coupé, mais bon, hors de question de me ruiner ma soirée pour ça.
Les heures tournaient et les mojitos se transformaient en shoot de vodka. Pour ma part, j'en avais pris un pour suivre les filles, mais bon comme je conduisais, il était hors de questions de faire n'importe quoi, j'avais déjà abusé entre le mojito et le shoot, ceci dit, j'avais attendu assez longtemps pour pouvoir prendre la voiture. Je n'étais pas inconsciente, et entre nous, malgré le léger taux d'alcoolémie que j'avais dans le sang, j'étais tout à fait capable de conduire car je ne me sentais ni saoule, ni légèrement atteinte. J'étais totalement maître de moi-même et responsable. Les filles quant à elles étaient des épaves, c'était plutôt drôle d'ailleurs, elles criaient, chantaient et dansaient en pleine rue, les gens nous prenaient clairement pour des folles à enfermer à l'asile. Certaines étaient déjà reparties accompagnés d'un charmant jeune homme, elles n'avaient pas fait les choses à moitié. Quand à moi, après être restée un bon moment avec les filles, je décidais de rentrer tranquillement, je m'étais levée tôt la veille, donc autant dire que là, je n'avais qu'une seule envie, celui de retrouver mon lit, mais là, je n'étais pas prête d'y être puisque j'avais accidentellement oublié mon sac à main dans le bar, et lorsque je rentrais à l'intérieur je voyais Noah complètement ivre attendant un autre verre. J'hésitais puis fini par me rendre jusqu'à lui après avoir récupéré mon sac à main. Je m'attendais bien entendu à sa réponse, mais je ne sais pourquoi, je m'étais jetée dans la gueule du loup. « Surement pas la même chose que toi » rétorquais-je du tac au tac lorsqu'il me demandait ce que je faisais là. C'était pour lui faire comprendre que je l'avais bien vu faire le con durant la soirée. Entre temps, sans me calculer, monsieur commandait un énième verre. J'interceptais ce dernier et me penchais légèrement sur le bar pour le vider dans l'évier. « Désolée Cooper, dis-je avant de lui tendre un billet pour régler la commande de Noah. Je te le paye quand même, on dira qu'il l'a bu, puis ensuite je me retourne vers le jeune homme totalement ivre. Maintenant tu la fermes et tu viens, je te ramène t'as pas le choix » Je mourrais d'envie de lui claquer quelque chose en plein visage, mais je me retenais, je m'en chargerais si monsieur osait me rétorquer quoi que ce soit.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Lun 6 Juin - 22:20
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
La soirée s'était dérouler normalement pour ma part, l'alcool que j'ingurgitais m'aidais à oublier le retour de Sunny et le fait que j'allais probablement la recroiser dans Miami. Ça me rendait fou. J'avais réussis à me faire à son absence, même si ça faisait un mal de chien au début, les mois ont passer et ça faisait un peu moins mal, mais ça faisait toujours quelque chose. J'enchaînais les verres et cette fille vint se poser sur mes genoux, je me demandais ce qu'elle était entrain de foutre, mais j'étais trop ivre pour faire quoi que ce soit, même la repousser lorsqu'elle m'embrassait. Si ça l'amuse, laissons-la faire. Demain, j'aurais tout oublier et tant mieux, parce que franchement elle n'est pas du tout mon genre. Déjà elle est blonde et j'ai toujours le foutu visage de Sunshine qui m'apparaît en plein de la gueule. Les mecs terminaient la soirée et s'en allait, certains avec des filles, d'autres tout seul, simplement. Quand à moi, je m'affalais au bar pour commander un énième verre, complètement avachis sur le comptoir. Soudain, SA voix m'extirpait de mes pensées et je lui demandais ce qu'elle foutait là, après lui avoir répondu que je rentrerais à pieds. « Sûrement pas la même chose que toi. » répondit-elle du tac au tac et je décide d'ignorer sa remarque. Je commande un autre verre au barman, mais cette dernière l'intercepte et le vide dans l'évier. - Du gaspillage ! Lâchais-je alors en soupirant. « Désolé Cooper, Je te le paye quand même, on dira qu'il l'a bu. » dit-elle au barman en lui donnant un billet pour ma consommation. Je secouais la tête. Elle se tourne ensuite vers moi. « Maintenant tu la fermes et tu viens, je te ramène t'as pas le choix. » Dit-elle en me regardant. Je me levais alors de mon tabouret et me dirigeais vers la sortie du bar en titubant. - Tu peux pas me foutre la paix ?! Lâchais-je alors en sortant. Il faisait pas vraiment froid dehors, mais l'air me claquait en pleine figure et ça faisait du bien. Je commençais donc à marcher sur le trottoir sans vraiment l'écouter, marcher me ferait probablement du bien, même si je risque de mettre beaucoup plus de temps pour rentrer puisque je ne marche absolument pas droit et en plus je manque de me ramasser à plusieurs reprises. J'entends ses pas derrière moi et ça m'agace qu'elle ne veuille pas me lâcher. - Ok ok je capitule ! Lâchais-je alors, j'acceptais uniquement pour qu'elle me foute la paix, je ne comptais pas lui parler pendant le trajet, absolument rien.

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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Lun 6 Juin - 23:15
L'un des meilleurs sentiments au monde est de savoir que ta présence et ton absence compte pour quelqu'un
Il manquait plus que ça tien, que je tombe sur lui, c'était le pompom sur la Garonne. Alors que je pensais passer une soirée tranquille au court de laquelle je pourrais oublier nos retrouvailles tumultueuses, il fallait qu'il sorte ce soir au même endroit que moi. Et le voir totalement ivre se trémousser contre cette pétasse me donnais envie de vomir. Heureusement que mes amis étaient là pour me changer les idées. Mais bon, en fin de soirée, je me retrouvais de nouveau seule puisque les filles étaient complètement défoncées, ces dernières rentraient à pied, enfin, elles avaient prévu de faire un détour par la plage, et moi, je n'avais qu'une seule envie celle de rentrée, mais voilà que j'avais oublié ton sac à main. Je n'étais pas blonde mais presque. C'est alors qu'en rentrant dans le bar, je le voyais là, assit au comptoir du bar, complètement ivre, on aurait dit une épave. Il ne tenait même plus debout, essayant tant bien que mal de prendre place sur le tabouret. J'hésitais longuement. J'allais d'abord récupérer ton sac à main, puis ma bonne conscience me disait de le rejoindre, de ne pas le laisser seul. S'il lui arrivait quoi que ce soit, je m'en voudrais toute ta vie. Un coma éthylique était si vite arrivé, tout comme un accident, car têtu comme il était, et totalement inconscient, monsieur était capable de rentrer en voiture. Je m'approchais de lui, et bien entendu, s'il s'était montré docile dès le premier coup, ça n'aurait pas été Noah. Rien que pour me faire chier ce crétin commandait un énième shoot. Grrr, j'avais envie de le tarter. Franchement des fois, il méritait vraiment une bonne gifle pour lui remettre les idées en place, mais bon, je n'étais pas comme ça, je me retenais, et pris sur moi, comme très souvent avec lui. Je n'avais pas le choix, et ce qui me peinais le plus, c'était de voir que ses problèmes avec l'alcool ne s'étaient pas arrangés, c'était pareil qu'il y a un an, voir pire.
J'interceptais le verre que le serveur lui filait et le vidait. Je sais que c'était du gaspillage pur et dur, mais là, je n'avais pas d'autre choix que de faire ça. Malgré tout, je payais le verre de cet abruti, puis je lui demandais juste de se taire et de me suivre. « Je te foutrais la paix quand t'auras décidé d'être moins con » Il me mettait hors de moi. Je ne supportais pas de le voir dans cet état, à se détruire de la sorte. Et au lieu d'être gentille, il éveillait en moi une certaine colère, et le problème c'est que ça avait toujours été comme ça entre nous. Des disputes, tout aussi dures et violentes les unes que les autres. La communication était souvent rompue, je voulais qu'il comprenne juste que je ne faisais pas ça pour le faire chier, mais pour son bien. Je n'avais peut être pas été là pendant un an, je ne mettais peut être pas souciée de lui comme il pouvait le penser, mais ce qu'il ne savait pas, c'est que je demandais fréquemment de ses nouvelles auprès de mes amis, et savoir ce qu'il était redevenu me faisait intérieurement mal. Et quelque part, la culpabilité me rongeait car je savais que j'en étais la cause, si je ne l'avais jamais quitté, je suis sûre qu'il ne serait jamais devenu comme ça. Malheureusement, avec des si on referait le monde, et puis de toutes les façons on ne pouvait pas revenir en arrière donc c'était ainsi. En revanche, le jeune homme quittait le bar en titubant, il n'était même pas capable de faire trois pas en ligne droite. Je soupirais, mais le suivais d'un pas décidé, il n'aurait pas le choix quoi qu'il arrive. C'est alors qu'il s'arrêtait net pour capituler. « Toujours plus têtu le mec » Je n'avais aucunement envie d'être gentille avec lui, je faisais uniquement ça pour lui rendre service, et lui éviter quoi que ce soit. « Je t'avertis, si t'as envie de vomir tripes et boyaux tu m'avertis au moins que je m'arrête » Non parce qu'il était hors de question que si monsieur se sente mal il se mette à vomir tête hors de la fenêtre, on connait tous ce truc qui finit par pourrir la voiture. Je préférais le prévenir pour être sûre vu le taux d'alcool que ce dernier avait dans la sang. Enfin bon, acceptant de me suivre, nous regagnions la voiture, et hop, direction chez Noah.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Mar 7 Juin - 17:03
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Sunny avait décider de me faire chier ce soir, à croire qu'elle a pas comprit que ce n'était pas le moment pour ça, en fait, ça ne le sera jamais. Elle payait mon verre qu'elle venait de vider dans l'évier en me lançant que je n'avais pas d'autre choix que de la suivre. « Je te foutrais la paix quand t'auras décidé d'être moins con. » dit-elle légèrement irritée. Je posais alors mon regard sur elle, ma vue était trouble et j'avais les yeux injectés de sang à cause de l'alcool, mais je la voyais parfaitement ou alors c'était l'image que j'avais toujours en tête, enfin bref. - Pourquoi ? Qu'est-ce que ça peut te faire ? Ça ne t'as pas gênée tant que ça que j'sois con ou pas pendant un an. Lui répondis-je alors simplement, mais froidement. Et puis c'est vrai, qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire. Je quittais donc le bar, en titubant bien sûr, et en entendant qu'elle me suivait, décidée à ne pas me lâcher, je levais les bras avant de les laisser retomber le long de mon corps en soupirant. Je capitulais. A vrai dire, plus vite elle me ramenait, plus vite je serais dans mon lit et je dormirais ou pas. « Toujours plus têtu le mec. » dit-elle simplement. - Et c'est toi qui dis ça ! Marmonnais-je en me dirigeant vers sa voiture. D'ailleurs, je remarquais qu'elle en avait trouver une. - Jolie voiture. Lançais-je ironiquement. Je n'étais pas du genre à critiquer les voitures, une voiture c'est une voiture. Enfin non ! Je suis un mec, ma voiture c'est mon bébé et quand j'ai explosé mes deux mustang, j'vous dis même pas l'état dans lequel j'étais. « Je t'avertis, si t'as envie de vomir tripes et boyaux tu m'avertis au moins que je m'arrête. » lance-t-elle sérieusement. - Au moins ça arrangerait ta voiture, j'sais pas où tu la pêcher celle-là, mais bordel, elle est moche. Lâchais-je alors en riant légèrement. Bon bien sûr c'était plus l'alcool qui parlait, je ne voyais pas clair et j'étais décider à lui dire des vacheries. Je montais alors côté passager et elle montait derrière le volant, prenant la route. Je posais ma tête contre la vitre de la voiture, c'était frais ça faisait du bien. Après seulement quelques minutes, je m'endormais, c'était toujours mieux que de lui parler.

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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Mer 8 Juin - 14:28
L'un des meilleurs sentiments au monde est de savoir que ta présence et ton absence compte pour quelqu'un
Croiser Noah ici ce soir était la dernière chose à laquelle je m'attendais. Je savais que si à l'heure actuelle nous n'étions plus ensembles c'était de ma faute, et je ne dirais jamais le contraire, en revanche, le voir se trémoussait contre cette nénette n'était pas quelque chose qui me faisait sourire, au contraire, je savais qu'au fond de moi, ça me faisait mal mais en même temps, j'étais bête de croire qu'il aurait pu changer, et c'est ce genre de comportement qui ne me faisais pas tant regretter que ça le fait de l'avoir quitté avant de partir, qui sait, peut être que malgré les sentiments, il aurait très bien pu continuer ce genre de petit jeu avec la gente féminine puisque c'est ce qu'il a toujours fait, avant moi, car j'étais persuadée que lorsque nous étions ensembles il n'avait jamais fais le con, ou du moins, je l'espérais. Mais bon, vu comme nous étions fou amoureux l'un de l'autre, j'avais du mal à croire qu'il ait pu continuer de dragouiller à droite à gauche. Enfin, quoi qu'il en soit, il fallait que j'arrête de le regarder, cela me faisait bien plus de mal que de bien, mais voilà qu'en fin de soirée, je me retrouvais à quelques mètres de lui, dans ce bar. Il était seul, il était ivre. Honnêtement, je me demandais bien où avait bien pu passer sa conquête. Aux toilettes peut être ? Ou était-elle partie tout simplement ? Quoi qu'il en soit, après l'avoir observé pendant une dizaine de minutes, je décidais d'intervenir, mais ça aurait été trop facile s'il avait coopéré dès le début. Je savais qu'il avait une certaine rancoeur envers moi, mais je devais avouer que l'alcool n'arrangeait en rien son attitude, et me jeter dans la fosse aux lions, c'était du suicide, je le savais mais c'était plus fort que moi, je ne pouvais pas le laisser là à continuer de se détruire devant mes yeux car je savais pertinemment que s'il lui arrivait quoi que ce soit, je m'en voudrais éternellement. « J'osais espérer que tu te sois arrangé, mais je vois que t'en es toujours au même point et visiblement ça ne s'arrange pas d'année en année » Je savais qu'à mon tour j'étais dure avec lui, mais il était hors de question que monsieur arrive à me détruire mentalement, ça je ne le tolérais pas. Car je savais pertinemment qu'il était sans doute le seul a avoir ce pouvoir sur moi, mais je ne lui donnerais pas la possibilité d'y arriver. Enfin, quoi qu'il en soit, après avoir insisté, de toutes les façons il n'avait pas le choix, il finit par accepter, je pense que c'était plutôt par dépit qu'autre chose. Il devait tellement en avoir marre de moi qu'il avait accepté uniquement pour que je me la ferme. Je ne calculais même pas sa remarque me dirigeant d'un pas décidé vers ma voiture. Ironiquement, il me lançait que ma voiture était jolie. Quelle tête à claque ce mec. « Toujours mieux que ta ford focus merdique » rétorquais-je du tac au tac, le tout accompagné d'un sourire faussement ironique. Ce qu'il pouvait m'énerver, il était encore plus désagréable sous l'emprise de l'alcool. Je lui faisais tout de même part du fait que s'il avait envie de vomir, qu'il me prévienne que je m'arrête plutôt qu'il me salisse ma voiture. Ce n'était pas la voiture dernier cri, mais elle me suffisait amplement. « C'est la rage qui te fais parler, je ne retiendrais même pas ce que tu viens de dire » Je savais pertinemment que s'il disait ça, c'était uniquement parce que monsieur avait les boules que j'ai acheté cette voiture ailleurs, et que j'ai refusé celle qu'il essayait soigneusement de me réparer. Mais en même temps, s'il n'avait pas été aussi con ce soir là, j'aurai patienté, et j'aurai pris la ford qu'il m'avait proposé, hors au vue de sa réaction, je n'avais pas eu d'autre choix que de chercher, et au final je l'avais trouvé chez un petit particulier et j'en étais pleinement satisfaite. Je me mis ensuite en route, et par chance, le crétin à mes côtés s'était rapidement endormi, en même temps vu le taux d’alcoolémie qu'il devait avoir dans le sang, ça ne m'étonnais même pas, seulement j'arrivais vite chez lui, et lorsque je me garais, j'essayais de le réveiller en douceur. « On est arrivé » soufflais-je doucement en espérant qu'il m'entende.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Mer 8 Juin - 23:01
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Sunshine a voulu intervenir et je pense qu'elle va très vite le regretter. J'ai toujours été respectueux envers elle et si ce soir ce n'est pas le cas c'est uniquement parce que de un je suis complètement ivre et de deux parce que ça me fait mal de la revoir. J'ai peut-être jouer les mecs fort pendant un an, et je me suis probablement voilé la face aussi. Mais je me suis rendu compte en la revoyant qu'elle m'avait manquer et qu'elle me manque toujours. « J'osais espérer que tu te sois arrangé, mais je vois que t'en es toujours au même point et visiblement ça ne s'arrange pas d'année en année. » Dit-elle tandis que nous nous dirigions vers sa voiture. - En même temps, j'suis toujours le même, tu savais dans quoi tu t'embarquais à l'époque. Lâchais-je alors simplement. Je fis une remarque sur sa voiture et sa rétorque me fis rire. - Ouais t'as sûrement raison. Lâchais-je alors en riant légèrement. Elle me prévenait ensuite que si j'avais envie de vomir, elle préférait que je lui dise plutôt que de gerber dans la voiture, alors je ne pu m'empêcher une nouvelle fois de critiquer sa voiture. « C'est la rage qui te fais parler, je ne retiendrais même pas ce que tu viens de dire. » dit-elle simplement. - Penses ce que tu veux, j'm'en fou. Lâchais-je alors en m'installant côté passager et elle démarra. Quelques minutes plus tard, je pionçais, c'était toujours mieux que de rester dans un silence pénible. Quelques minutes s'écoulaient et je sentais la voiture s'arrêter et la voix de Sunny me dire qu'on était arrivé. J'ouvrais alors doucement les yeux et sans un mot j'ouvrais la porte pour descendre et rejoindre mon lit, seulement je m'écroulais au sol à peine sorti de la voiture en trébuchant sur je ne sais quoi. Je jurais en riant pleinement, les voisins risque de péter un câble, mais franchement je m'en contre fiche. J'essaye de me relever pour atteindre la porte. C'est dingue, elle se trouve qu'à quelques mètres, mais j'ai l'impression que c'est à des kilomètres, alors je vous parle même pas des escaliers que je devrais monter pour rejoindre ma chambre, pourquoi j'ai acheter une maison avec un étage franchement ? Je sentis des mains se poser sur mon bras pour m'aider à me soulever et m'entraîner à l'intérieure, difficilement, parce que faut dire que je n'aidais pas vraiment tellement je ne tenais pas debout.
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(#)Sujet: Re: You see me standing but i'm dying on the floor Ft Sunshine  |   Mer 8 Juin - 23:43
L'un des meilleurs sentiments au monde est de savoir que ta présence et ton absence compte pour quelqu'un
Il m'énervait à tel point que j'en venais à regretter mon geste, seulement, maintenant qu'il s'était décidé à me suivre, je ne pouvais pas faire machine arrière, mais je détestais lorsqu'il était bourré, il était tellement mauvais. Et sa façon de parler m’horripilais. Auparavant, il n'avait jamais été comme ça mais là, étant donné qu'il me détestait de l'avoir laissé, il se montrait désagréable au possible. Je n'avais pas le choix que d'encaisser chaque remarque qu'il m'adressait, cependant, j'étais loin de me laisser faire. Dans le fond, peut être que j'aurai du le laisser croupir dans le bar, et se démerder à rentrer chez lui, mais le problème, c'est que j'avais du mal à lutter. Il avait été mon ange gardien pendant un bon moment, et même si aujourd'hui tout avait changé entre nous, je ne pouvais tout simplement pas le laisser rentrer seul, ce n'était pas envisageable, même si je le regrettais au moins j'étais sûre d'une chose : qu'il rentrerait intact. Tout en nous dirigeant vers ma voiture, ce dernier ne cessait de se montrer désagréable, alors je lui répondais clairement qu'il était toujours aussi con, et qu'il n'avait pas changé, et que d'ailleurs, tant qu'il ne changerait pas, je serais derrière lui, ce qui n'avait pas pour don de lui plaire, mais en même temps je ne faisais pas ça pour lui plaire, je faisais uniquement ça pour son bien. Je savais pertinemment que si j'étais rentrée chez moi sans même le calculer, ça m'aurais travaillé toute la nuit au point de ne pas pouvoir en dormir. Je me serais posée la question toute la nuit de savoir s'il serait rentré sain et sauf ou non. Pour éviter cela, je préférais le ramener moi. Au moins, j'aurai la conscience tranquille. Sa dernière remarque était purement et simplement un reproche. Quelque part, il te reprochait de l'avoir laissé. Répondre ou s'abstenir ? Que faire. Par chance, ma voiture était toute proche, alors j'ouvrais cette dernière d'une pression sur la clé. C'est alors que Noah ne put se retenir de se moquer de ma fiat. C'est alors que du tac au tac, je m'empressais de lui répondre qu'elle était toujours mieux que la voiture qu'il m'avait proposé. Honnêtement, s'il n'avait pas été aussi bête ce jour-là je lui aurais pris car en soit je me fichais de la marque de la voiture, du moment qu'elle roulait c'était l'essentiel, mais sa réaction m'avait tellement agacé que j'avais préféré partir, et c'est en cherchant sur internet, que j'avais trouvé cette petite fiat rouge à un particulier qui la vendait car sa femme était décédée et c'était celle de sa femme.
Une fois à l'intérieur, je lui précisais que si les nausées se faisaient ressentir qu'il me prévienne pour que je m'arrête, au lieu de ça ce dernier ne put s'empêcher une nouvelle fois de dénigrer mon véhicule. Je peux vous assurer que si ce n'était pas Noah je l'aurai viré de la voiture à coup de pied au cul, mais là, je prenais sur moi, j'inspirais un bon coup et posais mes mains sur le volant que je pris soin de serrer pour essayer de me contrôler. En réalité, j'avais qu'une envie, c'était de tout foutre en l'air, et de le laisser se démerder, mais c'est moi qui était venue le chercher, je n'avais plus qu'à assumer. « C'est ça » lâchais-je tout en allumant le moteur et en prenant la route, j'avais répondu ça uniquement pour avoir le dernier mot, et ne pas me laisser me faire déstabiliser par ce dernier. Au bout de dix minutes, ce dernier finit par s'endormir, une chance pour moi, cela m'évitera de supporter sa mauvaise humeur, et sa gueule d'enfariné. Je mis alors la musique en fond, pas trop forte pour éviter de réveiller le fauve se trouvant à mes côtés, et fredonnais les chansons qui passaient à la radio. Cependant, très vite, nous arrivions chez Noah. Je coupais le contact, et tentais de le réveiller de la manière la plus douce qui soit, même si en soit, j'avais juste envie de le bousculer pour qu'il sorte de ma voiture, mais c'était une très mauvaise idée. Au lieu de ça, je lui murmurais que nous étions arrivés. Ce dernier émergeait doucement et c'est sans broncher qu'il sortait de la voiture, mais étant toujours autant alcoolisé, lorsqu'il descendait, ce dernier s'étalait de tout son long sur le sol. Franchement, l'entendre jurer me fis pouffer de rire dans ma voiture, heureusement pour moi la porte était fermée, aucun risque qu'il ne m'entende. Clairement la situation me faisait vraiment rire, le voir galérer comme ça, ça lui faisait les pieds. Ceci dit, il peinait vraiment à arriver à la porte d'entrée. C'est alors que je décidais de quitter ma voiture pour aller l'aider à regagner ne serait-ce que la porte de son appartement, parce que clairement, vu dans l'état dans lequel il était, il allait mettre des heures avant de parvenir à rentrer chez lui. « Tes clés sont où ? » lui demandais-je une fois arrivée devant sa porte d'entrée. Il plongeait sa main dans son jean pour en sortir ses clés. Je les attrapais et lui évitais de se ridiculiser une fois de plus en lui ouvrant cette dernière. « Tu vas réussir à atteindre ton lit ? » lâchais-je ironiquement. C'était fou l'état dans lequel il povuait se mettre avec l'alcool, à tel point d'être incapable de tenir sur ses jambes. S'en était presque désolant. Je ne comprenais pas ce qu'il trouvait à se réfugier dans l'alcool.  
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