Allie effleure mon sexe à travers mon jean, je me raclais la gorge, l’a dévisage dangereusement. « Beaucoup même. » Je grogne durement près de ses lèvres, elle reste haletante contre mon visage, son sourire très espiègle, elle se mordille la lèvre séductrice. « Fait surtout pas ça ! » Je l’avertis d’un ton très sévère, mêlé d’excitation dans mon regard très assombri, caché par l’ombre de la moitié de mon visage. Allie pose sa main délicatement sur mon torse, je ferme les yeux en soupirant près de ses lèvres. « T’es toujours autant impatiente, Allie… » Je murmurais entre mes lèvres d’une voie très grave en respirant lourdement, agrippe sa lèvre inférieure, Allie se redresse en posant ses mains sous mon t-shirt, l’agrippe des deux côtés, d’un geste très brusque remonte mon t-shirt sur le long de mon torse, qui se contracte, se dessine, chacun des traits de ma musculation, reflétant parfaitement et soulignant à la fois, Allie fixe intensément mon torse, ses lèvres entrouvertes, cette lueur dans ses yeux brûlants de désir, mes dents qui s’enfoncent dans sa lèvre inférieure, me fixe à la fois séductrice, très excitée aussi. Elle me pousse d’une main contre mon torse, je reculais en l’a fixant intensément, en admirant son visage qui avait prit un teint plus rouge, ses lèvres gonflées, reluisantes, elle les humidifies en glissant sa langue sensuellement, pose ses lèvres chaudes, brûlantes sur mon torse. Mon corps entier se contracte, je me raidis sur place, je pouvais sentir mon corps, mes muscles de mon dos, très tendus. Au contact des lèvres de celle-ci qui me fixe d’une lueur séduisante, malicieuse dans ses yeux, ses lèvres s’entrouvraient, ses dents éraflaient mon torse, ses doigts avec sensualité, glissent vers l’élastique de mon boxer, je manque un souffle court, je grogne durement en contrôlant ma respiration, ne lâche pas du regard les yeux brûlant de désir d’Allie. À genoux, face à moi, elle repousse ses sacs de shopping, d’un geste de la main troublée, elle me détaille à chacun de ses respirations, elle soulève sa poitrine, tellement arrondie, ça semblait douloureux pour elle. Ses doigts déboutonnent mon jean, je pose une main sur la table de la cuisine, je l’a fixe d’un regard très provoquant, mes pupilles se dilatent, ma mâchoire se crispe, au moment où elle glisse ses doigts vers l’élastique de mon boxer, je grogne durement en l’a fixant dangereusement, d’un regard très assombri de désir, mes dents grincent fortement, mes doigts se replient. J’expire plus profondément quand elle laisse ses doigts frôlés mon sexe, qui est déjà bien dur, Allie avec un sourire sexy sur ses lèvres, ses joues creuses, m’observait attentivement, mon corps réagit, je soulevais mes hanches, quand elle glisse mon jean sur le sol, en faisant un bruit métallique sur le parquet, me lance un regard rempli d’envie, très torride, ses yeux avaient cette lueur si douce, pourtant brûlante. J’expirais de nouveau lourdement en me cambrant quand je sentais sa bouche sur mon sexe. « Putain… Bébé. » Je soufflais sans la moindre trace d’humour, tellement froidement, je glisse ma main brutalement dans ses cheveux, en fermant les yeux, ses lèvres tellement chaudes, je me retenais contre la table, j’ouvrais mes lèvres en grognant plus durement, c’était tellement bon ! Je gémis en inspirant de plus en plus profondément, ma main tirant ses cheveux entre mes doigts qui l’agrippe, froissent ses cheveux blonds, tout mon corps devenait tellement rigide, chaque muscle, étant très tendus, elle le sentait fortement, d’où un sourire très envieux sur ses lèvres, quand elle se recule, se lécha les lèvres en me provoquant du regard, ses doigts, sur mon torse, mon cœur battant durement. « Te faire l’amour ? » Je soufflais avec cette rage dans mes yeux tellement pétillant à la fois, de désir qui me consume, elle se redresse en hochant la tête, ses cheveux collant sur son visage, son regard toujours aussi sexy, elle se mordille les lèvres pour retenir son souffle, quand elle s’approche de mon torse, sentant mon sexe tendu contre elle, puis elle se pose sur la table, je poussais le tabouret, près de la table qui tombe brutalement d’un bruit assourdissant sur le sol. Allie reste très haletante, elle respire de plus en plus rapidement, cambre son corps, quand elle touche le froid de la table sous ses fesses. « J’aime cette vue. » Je murmurais en me penchant brusquement contre ses lèvres, elle s’avance en frôlant mes lèvres, y glisse sa langue, j’agrippe brutalement entre mes dents, sa bouche forme un arrondi, sa main s’agrippe à mon épaule, gémit entre mes lèvres, j’écrase douloureusement ma bouche plus désireuse, avant de reculer, son souffle devenait de plus en plus fort, n’en pouvant plus. Ses yeux fermés son visage contre mon front, elle expirait doucement, son corps se cambre, ses seins contre moi, dans le tissu en dentelle, ses tétons avaient durcies, je voyais à travers son chemisier, qu’ils pointaient. J’attrape sèchement, d’une voix très grave, du désir qui devenait plus chaud. « Laisse-moi t’en débarrasser. » L’ombre d’un sourire apparu sur mes lèvres, pourtant crispés, agrippe des deux mains sur son chemisier boutonné, Allie prit d’un spasme contre mes lèvres, d’une voix très douce, son souffle était si chaud. Elle murmurait d’une voix moelleuse, ses lèvres viennent jouer près de ma joue, ses dents éraflent, j’agrippe alors son chemiser d’un geste très brusque des deux côtés, qui se froisse sous mes doigts, je tire brusquement ! Les boutons sautent tous, qu’ils atterrissent sur la table, d’autres sur le sol. Les yeux d’Allie brillent fortement, sa main s’étale sur la table pour prendre appuie, me sourit malicieusement avec l’aide son pied vers mes fesses, elle fait une légère pression de haut et en bas, en caressant, mes muscles que je contracte fortement, les traits de mes fesses se dessinent, vers le bas, Allie remonte sa robe, déjà retroussée sur ses hanches, je prenais une lourde profonde inspiration, gémit devant celle-ci presque nue, je souris froidement. « Te faire l’amour. » Je laisse un suspense entre mes mots qui sort entre mes dents, chaque mots j’insiste fortement. « Ou te prendre ici. » Je murmurais avec un grognement de désir, ma mâchoire se resserre, ses yeux reluisaient fortement, dans la cuisine remplie de silence insupportable dû à la tension sexuelle entre nous, Allie cambre son dos, dangereusement, près de mon corps, ses seins coincées dans la dentelle de son soutien-gorge, transpirent à la fois, ses tétons toujours gonflés, ses mamelons remplissaient bien le bonnet, que j’admire les détails, l’arrondissement de ses mamelons aussi, ce petit tissu que j’observais fortement, Allie glisse sa main sur ma joue tendrement, elle tremble de désir qui envahi tout son corps, sa respiration de plus en plus irrégulière, pourtant si profonde à la fois, son cœur battait si fort, son rythme cardiaque plus saccadé, quand sa poitrine se soulevait, se rabaissait, ses lèvres s’entrouvraient d’une voix très basse, elle me murmurait si j’aimais la vue, mes cheveux collés sur mon front dû à la sueur, mes yeux étincelles de désir de plus en plus fort, si intense.

Des bruits résonnent encore dans cet hôpital, ma respiration de plus en plus lourd, je regarde partout en hurlant. « IL Y A QUELQU’UN ? » Chaque mots sortant de ma bouche résonne dans ce couloir d’hôpital, mal éclairé, des grincements se font entendre, la lumière s’arrête par moment. Je soupirais lourdement, le cœur battant fort, j’entrouvrais les lèvres avec une respiration de plus en plus irrégulière, pieds nus sur le sol du couloir, en uniforme de patient, je vois trouble, au fond du couloir, n’éclairant pas assez, d’un rouge vif, qui s’intensifiait de plus en plus, j’entendais des médecins rassurés une jeune femme. « Aller ! Poussez ! » Ordonnait l’un des médecins, d’une voix presque paniquée, des machines reliés à une femme, j’avance en tenant mon torse prit d’une douleur atroce, j’arrivais plus à parler, mes jambes tremblaient énormément comme si elles n’arrivaient plus à tenir, les lèvres crispées, les doigts rempliés, humides à la fois, le bruit d’un moniteur des battements de cœur, très rapidement, je me tenais contre le mur. « Non… » Je murmurais difficilement, l’air me manquait de plus en plus, mes yeux se refermaient avec une très lourde aspiration, d’un pas très lourd comme engourdi, pousse la porte d’un geste très lourd, tourne avec une lenteur, le visage vers le lit d’hôpital occupé par une femme. « Allie… » J’arrive à articuler la bouche sèche, de stupeur mon visage se tourne vers ce qu’elle tenait terrorisée, Allie en sueur, des cheveux se collent à son front humide, son visage très pâle, ses lèvres, d’un teint très bleu, essoufflée, haletante, des larmes coulants sur ses joues, longuement vers la petite chose qu’elle tenait, j’avais l’impression de suffoquer, mon corps prit par un spasme, je ne contrôlais plus rien, mes muscles tendus, d’une main je me retenais contre la porte, entendant les pleurs d’un enfant, dans les bras d’Allie, émerveillée d’un sourire si triste, étouffer par des pleurs en se mordant la lèvre, d’une lueur attendrie, le petit attrape son pouce en gazouillant, ses petites mains agrippent le pouce de Allie en gigotant dans les mains de sa mère. Allie essaye de reprendre sa respiration, en larmes, ses yeux remplis d’eau, tout la tendresse, elle embrasse celui-ci avec une telle tendresse, les petites mains du bébé qui avait la tête penchée vers la poitrine de celle-ci, je reste bouché-bé, incapable de parler, le regarde fixant longuement, le bébé qui joue avec la main de sa maman, qui gazouille, ses petites jambes se replient alors qu’il gigote contre elle. Il pousse un petit cri dû au sommeil, Allie toujours en adoration, ses yeux d’une lueur de bonheur, ses cheveux retombent devant son visage cachant l’expression de son visage, le bébé pousse un petit cri en rigolant, essaye d’une main tendue vers les cheveux mouillés de sa mère, ses minuscules  attrape ses cheveux, puis tout change, je suis projeté durement dans le couloir, contre le mur, m’écroule sur le sol. « Noooooooooooon ! » Je hurlais à plein poumons, cette douleur dans ma gorge, des voix résonnaient encore dans ma tête, surtout celle d’Allie qui n’avait jamais cessé de me répéter. « Nathan… Nous n’étions pas prêt. Je ne voulais pas t’imposer une si lourde tâche. » D’une voix douce, si tendre, pourtant remplis de tristesse à la fois, je sursaute brusquement sur mon lit. « Qu’est-ce ? » Je soufflais en essayant de reprendre mon souffle en regardant, ma vision trouble autour de moi, paniqué. Ma main qui avait chiffonné le drap de mon lit, mon torse se contracte en sueur qui dégouline, la bouche entrouverte, encore troublé. Les yeux dans le vide, mon corps s’enfonce dans le matelas, je regarde au sol, un verre brisé en morceaux, des bouts de verres reluisants sur le sol, une goute de sueur glisse vers mon œil, je grogne. « Merde. » D’une voix encore étrange à la fois, remplis de dégoût, d’amertume à la fois, je serre les dents fortement, relâche le drap de mon lit, je suis exténué d’épuisement, je ne pouvais plus bouger, mon cœur battait à toute allure, je pouvais l’entendre à un rythme très rapidement à la fois, mon torse se soulevait à mes respirations très lourdes, détourne mon visage vers le sol, où se trouvait la photo que Allie m’avait donné, déchirer en morceaux sur le sol, près du verre, une goutte d’amertume si profonde, je passe ma main sur mon visage en sueur, ma main devient humide, je me pousse sur le lit, pose mes pieds sur le sol, dans la chambre, il y avait un silence pesant, la baie vitrée de ma chambre ouvertes, les rideaux blancs qui s’envolent dû au coup de vent, sur le côté, je me levais alors en avançant doucement, d’un pas très lourd vers la salle de bain, ferme un œil quand je touche l’interrupteur, m’aveugle par la lumière, baisse la tête sur le côté quelques secondes, en grognant brutalement, je rouvre doucement les yeux, je fixe mon reflet encore floue, les traits de mon visage peu à peu se dessinent, mes pupille se décontractent, mon visage creux, des cernes sous mes yeux, le tient si pâle d’une barbe de 3 jours, les cheveux emmêlés, mes lèvres tellement crispés, j’ouvre l’eau, le bruit de l’eau qui coule me calme doucement, je passe mes mains sous l’eau froide, passant sur mon visage en l’éclaboussant, je soufflais en me calmant, comme les battements de mon cœur qui sont de plus en plus réguliers, mes doigts sont de plus en plus engourdis, j’arrive de nouveau pliés et dépliés mes doigts, le côté gauche de mon visage cacher par l’ombre qui cache ce côté,  les traits de mon visage sont tendus, crispés, reluisants à la fois, d’un œil très assombri à la fois, j’écoute attentivement l’eau coulé. Je regarde si intensément l’eau que ça me ramène il y a quelques jours, devant la voiture d’Allie, ses mains sur le volent, la portière fermée, ma main sur la poignée de sa portière qui s’apprête à l’ouvrir, la mâchoire crispée,  les traits de ma bouche tendant, mon regard vide, hésitant avec un regard très méfiant envers Allie qui me fixe intensément attendant quelque chose dans ses yeux, de l’espoir, je tourne le regard écoeuré, relâche prise sous les yeux qui sont remplis de déception, ses yeux remplis d’eau, d’une main sur sa bouche pour camoufler, je reculais d’un pas sous le regard brisé d’Allie qui se mordille la lèvre, mon corps prit d’une rage très tendu à la fois, dans ma main se trouvait encore la photo, mon regard vide de sentiments, mes doigts chiffonnent la photo, je sentais le papier de la photo. La fenêtre d’Allie se remplie de buer, je voyais qu’elle me dévisage intensément, ses yeux injectés de sang, des larmes coulant sur sa joue. Je ne pouvais pas, la rancœur avait prit place avec ce dégout, rien que d’y penser, je respire plus durement, mes yeux s’enflamment de dégoût, le regard de Allie qui me regarde l’air très songeuse, cachant sa déception aussi, je revenais à moi en stoppant de regarder l’eau coulé, je coupe l’eau, puis je m’avance vers le salon en regardant l’heure, à peine cinq heures du matin, le bruit de l’horloge, des tic-tacs, tellement que le salon était silencieux, mes pieds touchent le carrelage du salon, mon portable sur la table basse du salon, où se trouvait une bouteille d’eau à moitié vide, mes clés, et des dossiers en cours ainsi que des feuilles éparpillés. Je fixe simplement d’un air très songeur en me décontractant aussi, mon corps moins tendu, je me penche pour attraper mon portable, l’écran s’allume, je tape mon code sur l’écran tactile, inspire alors, je cherche dans mes contacts, le prénom Allie, d’une main très hésitante, serrant des dents avec un léger goût très amer dans ma bouche. « Non. » Je crache alors assez froidement en reposant le portable sur la table, je vois l’écran encore allumer qui m’indique plusieurs appels manqués d’Allie. Des messages de Ryan aussi, je ne pouvais pas, je me répète sans cesse, le bruit d’horloge commence à m’agacer fortement, se calme aussi, mes yeux se pose sur un document sur le médecin d’Allie, un sourire très froid sur mes lèvres forcées, il allait le payé. J’étais très satisfait, j’attrape alors mon portable, j’appuie inconsciemment sur appeler, c’était marqué Allie. Je ne stoppe pas, mon pouce reste sur la touche appel. Les sonneries remplies le salon, puis Allie décroche d’une respiration de soulagement que je pouvais entendre, sa petite voix, elle m’appelait, je fixe le portable lourdement en me raclant la gorge, Allie respire d’une voix presque endormie, tellement soulager. « Oui… » Je lâche à contrecœur, d’une voix très grave, le souffle s’était accentué chez Allie, elle était aussi inquiète à la fois je le sentais dans sa manière régulière de reprendre sa respiration, elle me demande d une petite voix si sa allais. Je souris presque malgré moi, en soupirant. « On doit parler Allie. » Je dis en restant froid sur chaque mots, qui sort entre mes lèvres, elle est prit de surprise, elle parle plus durant quelques secondes. « Rejoins-moi ... Je t’envoie l’adresse. » je lance d’un ton très glaciale, autoritaire à la fois, elle allait parlé mais je raccroche. 

AVENGEDINCHAINS