(#)Sujet: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Lun 4 Juil - 11:50
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Ma soirée avait déjà été merdique à cause de l'autre connard qui m'explose une bouteille de bière sur la tête. On ajoute le fait que je croise Sunny et qu'au final notre discussion vire sur une vérité qui fait mal au cul. Du coup j'avais dessoûler plus vite que prévu et j'avais préférer rentrer à pied pour prendre l'air et réfléchir à tout ça. Il est clair que je lui en voulais, parce qu'elle m'avait menti. Mais sinon j'étais content qu'elle aie pu vivre ça. Il est clair que je n'aurais pas pu la suivre, même pour un an. Et une relation à distance n'aurait probablement pas marcher, peut-être pas parce que elle ou moi aurait tromper l'autre, mais plutôt parce que ce serait trop dur de ne pas se voir. J'aurais pu aller la voir de temps en temps, mais bon ça reviendrait au même au final. Je rentrais chez moi aux alentours de minuit, la chance d'habiter au sud de la ville, au moins j'ai pris l'air. En rentrant je prends une bonne douche, et me jette sur mon lit pour essayer de dormir. Seulement pas moyen, je tourne en rond, ses paroles me reviennent sans cesse dans la tête. 1 heures, 2 heures, 3 heures du matin toujours pas possible de dormir, alors je décide de me lever, j'enfile un jean et un t-shirt, attrape les clés de la chevrolet de mon père qui est enfin réparée et monte dedans pour démarrer. Je roule en direction de chez Sunny, pourquoi j'en sais rien, mais on se posera des questions plus tard. Une fois devant chez elle, je descends, je reste planter un moment devant, hésitant à repartir, me demandant si c'est une bonne idée, puis demi-tour et je me décide enfin à frapper chez elle. Après quelques minutes, elle ouvre enfin la porte, toute endormie et là je craque, je pose mes mains de part et d'autre de ses joues et plaque mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser. Cela ne voulait pas forcement dire que je lui pardonnais ou que c'était parti entre nous, j'avais juste besoin de la sentir contre moi, de l'embrasser..
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Lun 4 Juil - 19:49
I hate you I love you I hate that I love you Don't want to, but I can't put Nobody else above you I hate you I love you I hate that I want you
La soirée était loin de s’être déroulée comme je l’aurais imaginé. Au début, j’étais sortie faire un peu de sport, et me recueillir sur la tombe de ma mère, mais très vite ma soirée avait viré au cauchemar. D’abord, je m’étais faite percuter par un vélo, qui on ne va pas se mentir, ne regardait pas où il allait, résultat j’avais fini aux urgences, pour apprendre que j’avais une vilaine entorse me coûtant quinze jours d’arrêt de sport, et une semaine de béquilles, à voir comment cela irait au bout de sept jours. Si l’évolution était positive, j’aurai la possibilité d’arrêter, si en revanche ça allait mal, alors, je serais contrainte de les garder. Autant vous dire que j’étais raaaavie. Non c’est ironique bien entendu. Enfin pour finir, j’étais tombée sur Noah, j’aurai très bien pu tracer mon chemin, mais finalement j’étais une nouvelle fois intervenue lui évitant de passer la nuit en taule. Mais peut être qu’au final, je n’aurais pas dû, pourquoi, parce que très vite, nous en étions venus à parler de mon départ, et j’avais fini par lui cracher le morceau. Peut être que finalement, il avait besoin de savoir pourquoi j’étais partie. Qu’il arrête de penser que je ne l’acceptais pas comme il était, c’était stupide, mais bon, c’était malheureusement le but recherché lors de notre rupture. Visiblement, il m’en voulait d’avoir choisi pour deux, et je pouvais le comprendre, mais j’étais censée, et je savais pertinemment que lui et moi, ça ne serait pas possible une relation à distance, et je ne voulais aucunement lui imposer de me suivre, parce que sa vie, c’était à Miami, auprès de son meilleur ami, et non avec moi. Je partais du principe que les amis, c’est pour la vie, les petits amis, c’est différent, autant ça peut durer, comme ça peut finir par rompre, c’est pour ça que je ne voulais pas qu’il sacrifie sa vie pour moi. Peut être qu’il ne l’aurait pas fait, mais bon, dans le doute, j’avais préféré éviter tout cela. Enfin bon, désormais il connaissait la véritable raison de mon départ. Je ne lui cachais plus rien. Alors que je tentais de me retenir, j’avais fini par craquer, dos à lui, de sorte à ce qu’il ne me voit pas. Voyant comment la situation était, il préférait rentrer à pied, et finalement, c’était mieux ainsi. Un taxi arrivait et je rentrais chez moi, où je ne tardais pas à me coucher et m’endormir. La sonnette de chez moi me réveillait en sursaut. Je regardais l’heure, qui cela pouvait bien être à une heure aussi tardive. J’espérais ne pas avoir à apprendre une quelconque mauvaise nouvelle, car bon, à une heure pareille, cela ne présage rien de bon. Je sortais de mon lit, vêtue de ma nuisette, et c’est alors que la tête à moitié dans le derrière, j’allais ouvrir la porte d’entrée. Je devais avouer que j’étais légèrement anxieuse de ne pas savoir face à qui j’allais me retrouver. Se fut la plus grande des surprises de voir que c’était Noah qui se trouvait derrière la porte. Il devait avoir lu ma surprise sur mon visage, c’est alors qui posait ses mains sur mes joues pour m’embrasser. Autant vous dire que j’étais totalement dépaysée. Du coup, je ne savais pas si j’étais entrain de rêver, ou si c’était vraiment la réalité. A ce moment même, j’essayais de ne pas me poser de question et entourais mes bras autour de son cou pour l’embrasser avec une telle intensité. La même intensité qu’auparavant, voir pire encore tant il m’avait manqué. Après avoir longuement profité de ce baiser, je me voyais contrainte de le rompre afin de pouvoir reprendre ma respiration. Je le regardais, le regard rempli de questions. « Pourquoi tu as fais ça ? Qu’est-ce que tu fais là ? » Le questionnais-je j’avais besoin qu’il me réponde. Je n’avais aucunement envie de me faire une quelconque idée. Je voulais juste qu’il me dise pourquoi il m’avait embrassé, alors qu’il était supposé me détester.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Lun 4 Juil - 20:58
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
J'étais rentrer chez moi, j'avais pris une douche et je m'étais coucher, mais impossible de fermer l’œil, je repensais à Sunny, à tout ce qu'elle m'avait dit ce soir, sur les vraies raisons de son départ et je lui en voulais, peut-être plus autant qu'avant, mais je lui en voulais toujours. Elle était mon pilier, j'avais envie de devenir quelqu'un de meilleur avec elle et quand elle est partie tout s'est écroulé, j'ai eu l'impression de revenir 9 ans en arrière avant que je me fasse arrêter. Du coup, après avoir tourner en rond pendant une heure ou peut-être deux, je me décidais de me lever, j'enfilais un jean et un t-shirt et pris les clés de ma voiture pour me rendre chez elle. Une fois devant sa porte, je sonnais, elle ouvrit quelques minutes plus tard, le visage tout ensommeillé et avant qu'elle ne dise quoi que ce soit, je l'embrasse tendrement puis langoureusement. Heureusement, elle ne me repousse pas et prolonge même notre baiser. Après quelques minutes, elle mit fin à notre baiser et elle me regardait, un tas de questions dans les yeux. « Pourquoi tu as fais ça ? Qu'est-ce que tu fais là ? » me demande-t-elle en totale incompréhension. - J'arrivais pas à dormir et j'avais envie de te voir, de t'embrasser, ça ne veut pas dire que je te pardonne, mais j'ai besoin de ça.. Et ne me dis pas que tu n'en a pas envie toi aussi.. Lui dis-je alors en la regardant. A vrai dire ça me ferait chier qu'elle me foute à la porte maintenant. J'avais besoin de la sentir contre moi, de la toucher, l'embrasser. Bien sûr, j'aurais pu me taper une autre fille pour passer mon envie, mais aucunes ne valait Sunny.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Mar 5 Juil - 22:45
I hate you I love you I hate that I love you Don't want to, but I can't put Nobody else above you I hate you I love you I hate that I want you
Honnêtement, j’étais loin d’imaginer que lorsque j’allais ouvrir cette porte j’allais me retrouver face à Noah. Surtout pas après l’avœux que j’avais pu lui faire au sujet de mon départ. Au moins une chose est sûre, il savait désormais le pourquoi de mon absence durant une année complète. Et au moins il savait que je l’acceptais tel qu’il était. Il est vrai que ma justification avait été vraiment nulle, mais je n’avais trouvé que ça pour qu’il puisse continuer à vivre, seulement ça avait eu l’effet inverse. Quelque part, je m’en voulais, mais je ne pouvais malheureusement pas appuyer sur le bouton delet, et effacer cet épisode de nos vies. Il fallait maintenant que j’assume, ça serait désormais plus facile puisqu’il était au courant. En revanche, lorsqu’il posait ses lèvres sur les miennes, j’avais envie d’appuyer sur pause, et que ce moment dure aussi longtemps que je le voulais. Mes bras autour de son cou l’attiraient contre moi. La douceur de ses lèvres contre les miennes m’avait tellement manqué, et me provoquais toujours autant de frissons. A cet instant même, c’était comme si nous ne nous étions jamais quittés. Du moins, c’est la sensation que je ressentais dès lors où il avait posé ses lèvres contre les miennes. Son odeur m’avait manqué. Le contact de sa peau contre la mienne aussi. J’avais peur que tout ceci ne soit qu’un rêve, et que lorsque je me réveillerais je réaliserais que tout ceci n’était qu’illusoire, mais non. Tout était bel et bien réel. Lorsque je me détachais doucement de lui par manque de souffle, mon cœur s’étant littéralement emballé, je le regardais l’espace de quelques secondes. Il était tellement beau. Je caressais doucement sa nuque. Le silence, il n’y avait pas plus beau que ce silence. Mais je finis par rapidement le rompre, parce que j’avais besoin de savoir pourquoi il avait fait ça, là, maintenant, et surtout qu’est-ce qu’il faisait là. C’est alors qu’il me répondait qu’il n’arrivait pas à dormir, à coup sur c’était à cause de ce que j’avais pu lui dire précédemment. Je savais combien Noah marchait au psychisme, et je savais aussi que lorsqu’il avait quelque chose en tête qui le travaillait, cela lui empêchait de trouver le sommeil. Il ajoutait qu’il avait envie de me voir, et de m’embrasser. S’il savait combien s’était réciproque, mais bon, il me calmait direct en me disant que ce n’est pas pour autant qu’il me pardonnait, mais alors… Comment arrivait-il a agir ainsi tout en m’en voulant ? C’était quelque peu insensé. Enfin, je n’avais pas tellement envie de me prendre la tête, donc j’évitais de répondre quoi que ce soit à propos de ça. C’est alors qu’il conclut en me disant de ne pas faire comme si je n’en n’avais pas envie. Il me connaissait bien trop pour savoir que j’en mourrais d’envie. Sans me poser de questions je reprenais possession de ses lèvres, fermant les yeux pour pouvoir apprécier ce nouveau baiser. Je me serrais contre lui, n’ayant qu’une seule envie, celle de me retrouver dans ses bras. Qu’il m’entoure de ses bras musclés, où je m’y sentais si bien, et en sécurité. « Viens rentres » lâchais-je en me détachant difficilement de lui pour lui prendre la main et l’attirer avec moi à l’intérieur. « Ne fais pas trop attention à l’état de la maison » En réalité, il y avait encore des choses empaquetaient dans des cartons. Et puis il y avait mes valises que je n’avais pas tout rangé. Il y avait un peu de bazar un peu partout, mais je n’avais pas vraiment eu le temps, entre mon mémoire à rédiger au sujet de mon année passée à l’étranger, c’était le pompom sur la Garonne. Je me retrouvais les fesses posées contre le dossier de mon canapé, à le regarder. J'espérais juste qu'il ne soit pas uniquement venu pour m'embrasser puis repartir. Je voulais qu'il reste là, avec moins, même ne serait-ce qu'une heure. Mais je n'avais aucunement envie de le voir partir, là, maintenant, tout de suite.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Mer 6 Juil - 12:59
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Oui je lui en voulais d'avoir pris une quelconque décision sans m'en parler. Je sais qu'elle pensait bien faire, mais elle a préférer partir en faisant en sorte que je la déteste et elle a réussit. Bien sûr que je n'aurais pas pu la suivre, j'ai mes potes, mon boulot, maintenant mon filleul, je n'aurais pas pu partir un an ça c'est sûr. On aurait pas pu non plus entretenir une relation à distance, pas que je l'aurais tromper, mais ça aurait été dur pour tous les deux, ça on le sait aussi. Mais on aurait pu en parler et se quitter en bons termes. C'est pour cette raison que malgré le fait que je la déteste et qu'il me faudra du temps pour digérer tout ça, je décidais quand même de me pointer chez elle en plein milieu de la nuit. Lorsqu'elle ouvrit la porte encore toute ensommeillée, je ne pu résister à l'envie de l'embrasser, un baiser rempli de passion. Elle se détachait de mes lèvres probablement pour reprendre son souffle, nous restions silencieux quelques instants à nous regarder dans les yeux jusqu'à ce qu'elle rompt ce silence pour me demander pourquoi j'avais fais ça et qu'est-ce que je faisais là. Je lui répondis alors tout simplement que je n'arrivais pas à dormir et que j'avais aussi envie de la voir, de l'embrasser et plus encore. Je précisais quand même que ce n'était pas pour autant que je lui pardonnais, pas tout de suite. Elle ne répondit rien, elle est probablement en train de se poser un tas de questions, donc je lui lançais de ne pas faire comme si elle n'en avait pas envie elle aussi. Elle m'embrassa à nouveau en se serrant contre moi, je passais alors mes bras autour de sa taille pour la coller contre moi. « Viens rentres. » me dit-elle en se détachant de moi pour m'attirer à l'intérieure et fermer la porte derrière nous. « Ne fait pas trop attention à l'état de la maison. » me dit-elle avant de se poser contre le dossier de son canapé. Je m'approchais d'elle, posant mes mains de part et d'autre d'elle, sur le canapé, mon visage proche du sien. - Si tu savais comme j'en ai rien à faire du merdier dans ton salon. Lui soufflais-je alors à l'oreille avant de déposer un baiser, juste là, sous son oreille, puis je descends mes baisers dans son cou.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Ven 8 Juil - 20:25
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Je ne m’attendais pas à le retrouver là, face à moi. Et pourtant, il était bien là. En chaire et en os. A m’embrasser. J’aurai très bien pu le repousser. Mais j’en étais incapable. Je n’avais pas la force de le repousser. Je ne le pouvais pas. Pour la simple et bonne raison que j’en avais tout autant envie que lui. J’essayais tout de même de ne pas trop m’attacher à ce geste de sa part, car s’il faut il finirait sans doute par le regretter, car j’étais persuadée que son geste était plus spontané qu’autre chose. Qu’il n’y avait pas réfléchi. Pour ma part, je ne regretterais pas de l’avoir prolongé, parce que le contact de ses lèvres contre les miennes me faisaient le plus grand bien. Cela me rappelais tout un tas de choses. Ce n’était pas forcément bon, car je me faisais du mal en réalisant qu’il me manquait bien plus que ce que je pensais. Mais je n’avais pas envie de me poser de questions, là je voulais seulement profiter du moment qui s’offrait à nous car je savais que d’un moment à notre, ce moment se terminerait, et là, je n’en n’avais pas envie, c’est pour cette raison que je lui proposais de rentrer à l’intérieur. Enfin, disons que je ne lui laissais pas trop le choix, puisque je l’entraînais avec moi. Qu’est-ce qu’il me prenait. Il venait pourtant de me dire que ce n’est pas pour autant qu’il me pardonnait, mais en même temps, je ne voulais pas qu’il parte, pas maintenant, je voulais passer un peu de temps avec lui. Je savais que si je le repoussais ou si je le laissais partir, je le regretterais surement. Et la vie était bien trop courte pour ne pas en profiter. Par chance, il ne bronchait pas et me suivait à l’intérieur. Je m’excusais toutefois pour le désordre mais je n’avais pas vraiment eu le temps de mettre de l’ordre dans l’appartement. Il me déclarait qu’il se fichait pas mal de tout ça. Je me retrouvais adossée contre le canapé, à le regarder. Dieu ce qu’il était toujours aussi beau, sinon plus, son regard ténébreux me faisait toujours autant craquer. Il se rapprochait de moi. Je maintenais mon regard dans le sien, puis il finit par me bloquer entre lui… et le canapé. J’avais l’impression que mon cœur allait bondir de ma poitrine tant il était proche de moi. J’essayais tant bien que mal de faire comme si je n’étais pas destabilisée, mais … ses baisers dans mon cou provoquaient en moi une multitude de frissons. Je penchais la tête légèrement sur le côté pour qu’il ait le libre accès. Je me pinçais les lèvres, et finis par attraper son visage entre mes mains pour ramener ses lèvres contre les miennes. J’avais cruellement ce besoin de l’embrasser, d’avoir un certain contact avec lui. J'avais l'impression de revivre à cet instant même, comme s'il ne manquait plus que lui dans ma vie. Bien sûr, j'avais eu quelques flirts vite fait, mais je me rendais compte que rien n'était comparable à notre relation. Et au fond de moi, j'avais espoir qu'un jour nous nous retrouvions, j'en étais persuadée. Notre relation ne pouvait pas s'arrêter comme ça. Même si j'en étais la cause, j'avais envie de me dire qu'on finirait par se retrouver. On avait encore beaucoup de choses à vivre tous les deux, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. « Je suis contente que tu sois venue… » soufflais-je tout contre ses lèvres. Il avait aussi besoin de savoir ça. Il s'était sans doute posé tellement de questions. Quand j'y repensais, je me rendais compte combien j'avais été conne, conne de le quitter comme ça.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Sam 9 Juil - 13:54
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Oui j'en voulais à Sunny d'être partie comme ça et surtout de m'avoir fait croire que c'était ma faute, mais je ne pouvais pas nier le fait qu'elle m'avait manquer et ça je m'en suis rendu compte dès le jour où je l'ai revue au garage. Je ne pouvais pas non plus nier que j'avais terriblement envie d'elle, envie d'être avec elle en ce moment, de la toucher, de l'embrasser, de la caresser… même si ce n'est que pour une heure, je m'en contre fou, je veux être dans ses bras. Il n'y a qu'avec elle que je me sens apaisé. Elle m'avait attirer chez elle, prenant soin de fermer la porte derrière elle et de nous diriger dans le salon, je n'allais pas me faire prier. Elle s'excusait pour la bordel, mais je la rassurais en lui disant que je n'étais pas là pour ça et que je m'en fichais, elle n'as pas vu l'état de ma chambre, c'est pire. Je m'approchais d'elle, la bloquant ainsi entre le canapé et moi et déposais quelques baisers dans son cou, juste sous son oreille. Elle penchait alors légèrement la tête sur le côté, m'invitant donc à poursuivre, quelques instants plus tard, elle attrape mon visage entre ses mains pour prendre possession de mes lèvres, je l'embrassais alors langoureusement, ma langue caressant la sienne. Ce que j'aimais avec elle, c'est que nos baisers n'avaient rien à voir avec le reste des filles, ils étaient à la fois doux et passionnés. « Je suis contente que tu sois venue… » me souffle-t-elle, ses lèvres à quelques centimètres des miennes. Je capturais ses lèvres de nouveau, je n'avais pas envie de parler en ce moment même, je ne voulais pas qu'on gâche tout par la parole. Je glissais mes mains le long de son corps, pour les passer ensuite derrière ses cuisses et la soulever légèrement pour l'asseoir sur le dossier du canapé, je me glissais entre ses jambes sans pour autant lâcher ses lèvres que je mordillais légèrement.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Lun 25 Juil - 13:32
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Je me retrouvais là. Coincée entre le canapé, et Noah. C'est comme s'il ne voulait pas me laisser la possibilité de prendre la fuite. Ses lèvres dans mon cou me faisait frissonner de tout mon être. Il le savait, c'est sans doute pour ça qu'il s'amusait à y glisser quelques baisers. Je penchais légèrement la tête sur le côté, les yeux clos. Le laissant faire. Comme avant. Oui. Ses baisers me rappelaient bien trop de bons souvenirs. Toutes ces fois où il avait pu me le faire. Toutes ces fois où nous étions tout simplement heureux lui et moi. C'était du passé tout ça. Et pourtant, ce que nous étions entrain de vivre actuellement me rappeler notre passé. C'était comme une impression de déjà vu. Si je pouvais mettre pause sur ce moment, je le ferais. Juste pour qu'on ne se soucie plus de ce que j'avais pu faire, et que l'on se retrouve. J'essayais de ne pas craquer, j'avais peur de le regretter. Pas regretter d'avoir craqué, parce que je meurs d'envie de ses baisers, de sa peau contre la mienne, de ses battements de coeur contre ma poitrine, mais j'avais peur de me faire des idées. De me laisser aller, et qu'au final, Noah réalise que ce qu'il était entrain de faire était une grossière erreur. J'avais peur de ça. Mais quelque chose en moi me poussais à prendre le risque. C'est pour cette raison que je déposais mes mains sur ses joues pour venir y déposer mes lèvres contre les siennes, laissant par la suite mes mains venir entourer sa nuque, que je prends plaisir à caresser du bout des doigts. Je sens alors sa langue se frayer un chemin pour venir rejoindre la mienne. Un sourire de satisfaction se glisse contre ses lèvres, tandis que j'intensifie ce baiser à la fois langoureux et passionné. A ce moment précis, j'ai l'impression que rien a changé entre nous, c'est comme si nous ne nous étions jamais quittés. Je retrouve cette flamme, cette attirance, cette attraction entre nous qu'il y avait auparavant. Ce besoin l'un de l'autre. Il se glisse ses mains sous mes cuisses, m'essayant sur le dossier du canapé, tandis qu'il se met entre mes jambes pour se retrouvait coller à moi. Les battements de mon coeur s'accélère. Je fais doucement glisser mes mains le long de son torse, avant de les passer sous son tee-shirt pour le lui retirer, faisant tomber ce dernier sur le sol. Mes jambes viennent entourer sa taille pour l'emprisonner contre moi. Le bout de mes doigts effleurent son torse désormais nu, mais je peux sentir également de nouvelles cicatrices. Oui, je connais chaque parcelles de son corps par coeur. Et les yeux fermés. Mais là, je sais que certaines de ses cicatrices n'y étaient pas. Elles me semblent récentes et nouvelles. Dans quel merdier s'était-il encore foutu... Je remonte l'une de mes mains jusqu'à l'arrière de sa nuque, dans ses cheveux. Mes lèvres n'arrivent plus à se séparer des siennes. C'est comme si je voulais rattraper le temps perdu. Je sais désormais qu'il m'a manqué, encore plus que je n'aurai pu l'imaginer. Et ce qui est entrain de se passer ne cesse de me prouver que je n'ai jamais cessé de l'aimer. Quoi qu'il ait pu se passer. Noah est et restera mon premier amour. La personne qui m'a apprit ce que c'était d'aimer et d'être aimé en retour.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Mar 26 Juil - 17:27
Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre...
Je sais que venir chez Sunny n'était pas une bonne idée, pas tant qu'on aura régler tout ce qu'on à régler, mais j'avais tellement envie d'elle, besoin de la sentir contre moi. C'est pour ça qu'à peine qu'elle eut ouvert la porte, je l'embrassais et la stoppais quand elle commençait à trop réfléchir. Je la coinçais contre le canapé sans pour autant lâcher ses lèvres, puis je descendais mes baisers dans son cou. Je connaissais chaque centimètres de son corps, je savais que si je l'embrassais à tel endroit, elle frissonnait et à tel endroit elle se tortillait parce que ça la chatouillais et ce petit grain de beauté qu'elle a juste là, dans le creux des reins. Tout ces petits détails que je pensais avoir oublier, mais qui sont en fait toujours ancrer dans ma mémoire. Elle se laissa finalement aller à ses envies et prit mon visage entre ses mains pour prendre de nouveau possession de mes lèvres, je sais qu'elle réfléchit beaucoup trop, mais je suis assez content de voir que cette nuit, elle se laisse aller. Je pousse ma langue à passer le barrage de ses lèvres pour rejoindre la sienne, tandis que mes mains glissent sous ses cuisses pour la soulever légèrement et l'asseoir sur le dossier du canapé, me rapprochant alors un peu plus d'elle. Quant à elle, ses mains se glissent vers le bas de mon t-shirt pour le retirer et ses jambes entourent ma taille pour me rapprocher. Du bout des doigts elle parcours mon torse désormais nu, comme si elle le découvrait pour la première fois et je constate que mon corps aussi réagit au quart de tour à son contact, ma respiration est haletante. Je la soulève alors légèrement pour contourner le canapé et l'allonger ensuite dessus, me retrouvant au dessus d'elle. Je lui retire son haut, laissant apparaître sa poitrine, sa merveilleuse poitrine qui m'avait manquer aussi. Je déposais quelques baisers juste au dessus de ses seins, puis descendait un peu plus, embrassant son ventre, remontant lentement jusqu'à sa poitrine, puis de nouveau dans son cou. J'avais désespérément besoin d'elle, elle était mon pilier et elle l'est encore probablement aujourd'hui, sauf que je refuse de l'admettre.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. | Jeu 28 Juil - 12:12
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Je savais que ce à quoi nous nous aventurions était dangereux. Je savais pertinemment que c’était un jeu dangereux. Mais je me laissais totalement allée. Il m’avait tant manqué. Chaque partie de lui m’avait manqué. C’est pour cette raison que je n’arrivais pas à le repousser. Ses baisers. J’en étais accroc. Au point de ne plus réussir à me décrocher de ses lèvres. Tandis qu’il m’avait porté pour m’asseoir sur le dossier du canapé, je glissais mes mains sous son tee-shirt pour le lui retirer et le laisser tomber un peu plus loin. Je ne pus me retenir de laisser mes mains découvrir une nouvelle fois son torse nu. J’avais l’impression de le découvrir pour la première fois, tant il avait changé. Des cicactrices, il en avait des nouvelles, et pas des moindres. Pourtant, je me souvenais qu’il en avait, mais pas autant, c’était pire là. Mais je ne pouvais pas me permettre de rompre ce moment qui s’offrait à nous pour lui demander ce qui lui était arrivé, j’aurai bien assez le temps de lui demander plus tard. En espérant qu’il ne regrette rien de tout ça. C’est alors que je le sens me porter, de nouveau, j’enroule mes bras autour de son cou, plongeant mon regard dans le sien, caressant l’arrière de sa tête. Je ne peux me retenir plus longtemps et reprend possession de ses lèvres dans un baiser plus fougueux où j’en perds la raison. Il m’allonge alors sur le canapé, se retrouvant sur moi. Ses mains qui se faufilent sous mon haut me font frissonner comme jamais. Je me retrouve alors en soutient-gorge. J’enroule l’une de mes jambes autour de la sienne tandis que mes mains se logent dans son dos pour le coller d’avantage à moi. Il vient alors embrasser le dessus de ma poitrine avant de descendre sur mon ventre, j’en ferme les yeux, me mordillant la lèvres inférieur. J’ai attendu son moment si longtemps. De le retrouver. Je sais que rien est acquis. Mais j’ai envie de rendre cette nuit merveilleuse, si ça doit être la dernière, alors autant en profiter jusqu’au bout. Afin de ne rien regretter. Je sens ses baisers remonter, le long de ma poitrine pour venir loger ses lèvres dans mon cou. Mon cœur s’emballe sous ses baisers, ma respiration se fait plus forte. J’attrape alors son visage entre mes mains pour l’embrasser de nouveau, laissant ma langue allait jouer avec la sienne pour un baiser langoureux. Je me sers contre lui, encore plus que je ne l’étais déjà. Puis je ramène doucement l’une de mes mains au niveau de sa ceinture que je détache pour ensuite ouvrir son pantalon et caresser son intimité toute dure.
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(#)Sujet: Re: Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris.. |
Rien qu'une fois toi et moi.. rien qu'une nuit, je t'en pris..