(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. | Sam 13 Aoû - 15:28
La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
Plus elle me cherchait, plus je rentrais dans son jeu. Il était hors de question que je la laisse avoir le dernier mot, et visiblement, elle était elle aussi dans cet optique. Ce côté sûre d'elle me plaisais beaucoup. Elle n'avait pas sa langue dans sa poche. Et surtout, elle répondait du tac au tac, sans réfléchir, ça lui venait comme ça. Je trouvais cela encore plus amusant. Et tandis qu'elle me considérait comme un psychopathe, me donnant une idée, je ne pus me retenir de mordre à l'hameçon est d'y répondre, chose à quoi elle me rétorquait quelque chose d'amusant. C'est comme si d'un coup, elle était plus détendue, au lieu de se retrouver sur la défensive, elle rentrait dans mon jeu mais cette fois-ci de manière amusée. C'était presque si elle ne m'avait pas décroché un sourire lorsqu'elle avait sorti cette phrase. « Tu es foutue Charisma » soufflais-je dans un murmure au creux de son oreille. Désormais elle savait que je connaissais également son prénom. Je me reculais de quelques mètres. Mais elle ne tardait pas à les rompre pour se retrouver là, tout près de moi. Autant vous dire que cette approche ne me laissait pas de marbre. J'essayais pourtant de tout faire pour ne pas me laisser destabiliser par cette déesse à la chevelure blonde, mais je devais avouer que cela commençait à devenir très compliqué. Sa main sur mon torse éveillait en moi l'envie de la plaquer contre le mur, de prendre possession de ses lèvres, et de laisser mes mains faire ce dont elles avaient envie sur son corps. Mais je devais ne pas craquer. Je ne savais pas à quoi elle jouait, quelles étaient ses intentions. Peut être essayait-elle de me piéger ? Même si j'avais du mal à croire qu'elle oserait porter plainte pour ce que je lui avais fais, je ne la connaissais pas après tout, je ne savais pas de quoi elle était capable. Alors je restais sur la réserve, à ne pas faire un faux pas qui pourrait me trahir. Alors que je me retrouvais à l'avoir bloqué entre le mur et moi-même, cette dernière essayait d'analyser la situation, et conclue sur le fait que finalement, c'était peut-être elle la psychopathe de nous deux. Cet avoeux me fit décrocher un sourire malicieux. « Ce n'est pas pour rien si cela fait quatre mois que je t'observe jour et nuit, lâchais-je dans un premier temps. Et si finalement... C'était toi qui n'en sortait pas vivante ? » soufflais-je à quelques centimètres de ses lèvres. La provoquer ? Affirmatif. C'est ce que j'étais entrain de faire. J'aimais bien me sentir près d'elle. La chercher, pousser le vice, tester ses limites, voir jusqu'où elle était capable d'aller. Voilà que lorsque je m'éloignais d'elle, elle revenait à la charge, mais cette fois-ci, elle ne se retenait pas pour m'embrasser, et autant vous dire que lorsque ses lèvres s'étaient posées sur les miennes, cela avait eu l'effet d'un électrochoc. Si jusque là j'avais su me retenir, elle avait éveillé en moi ce côté bestial, et je ne me cachais plus pour lui faire clairement comprendre que j'avais envie d'elle. Elle devait le sentir à ma façon d'agir avec elle. En une fraction de seconde, elle ne s'était pas retenue pour me retirer ma chemise, j'avais fini par en faire de même avec elle pour découvrir le joli soutien-gorge qui cachait sa poitrine, elle n'avait ni une grosse poitrine, ni une petite poitrine, en réalité, elle avait ce qu'il fallait où il fallait, et je ne me cachais pour pas pour admirer cette dernière dont je mourrais d'envie de découvrir, mais je n'en n'eus pas le temps puisque dans un élan cette dernière se jetait sur moi et tandis que mon pantalon était descendu en bas des pieds, j'étais pris au piège et tombais par ailleurs à la renverse l'entraînant avec moi dans ma chute. Plus de peur que de mal. Nous nous étions alors mit à rire car clairement, la situation était des plus drôle qu'il soit. Quelle honte malgré tout, mais cela n'avait pourtant pas coupé l'envie à la jeune fille de continuer ce que nous avions commencé. Je me retrouvais désormais vêtu de mon simple boxer, tandis qu'elle était en sous-vêtement, mais elle ne tardait pas à retirer son soutien-gorge, c'est alors que je découvrais la beauté de sa poitrine. Je m'en mordillais la lèvre inférieur. Je la regardais, je l'admirais, Charisma était belle, dans son entièreté. Il fallait l'avouer. Elle avait un corps de rêve qui donnerait envie à n'importe qui. Sa façon d'embrasser aussi, je ne m'en lassais pas, d'ailleurs, c'est pour cette raison que je l'entraînais vers moi pour l'embrasser de nouveau tandis que mes mains vinrent prendre possession de sa poitrine que je caressais en premier du bout des doigts pour la découvrir avant de la malaxer de manière plutôt sensuelle. Je m'amusais à lui mordiller la lèvre inférieur quand je sentis l'une de ses mains se glisser dans mon boxer, mon sexe était tout dur, dû à l'envie que je pouvais ressentir à son égard. Très vite, elle retirait ce dernier me retrouvant désormais complètement nu. Je nous fis basculer. L'acte approchait et il était hors de question de faire n'importe quoi. Par chance, j'avais toujours un préservatif sur moi, il fallait bien, regardez aujourd'hui j'en avais bien besoin. J'allais le chercher, puis revenais rapidement me positionner au dessus d'elle déchirant le sachet avec mes dents pour ensuite l'enfiler sur mon sexe. Comme je l'avais laissé un court instant, je l'embrassais une nouvelle fois, avant de faire glisser mes lèvres le long de son corps, parsemant ce dernier de baisers du bout des lèvres, et lorsque j'arrivais à son intimité, dans un premier temps, je l'embrassais de-ci, de-là, puis très vite, je sortais ma langue pour venir lui titiller un peu l'intérieur de son intimité. Au début je caressais ses lèvres avec ma langue, puis ensuite, je rentrais légèrement le bout de ma langue à l'intérieur pour lui faire de l'effet. La sentir se cambrer sous mes mouvements de langue me faisais sourire, et lorsque je considérais m'être assez amusé, je remontais délicatement mes baisers, tandis que l'une de mes mains venait s'amuser à jouer avec le bout de son téton. J'attrapais ses lèvres avec les miennes, avec une telle envie. Je brûlais de désir pour elle, à l'intérieur, j'avais l'impression d'être un volcan sur le point d'exploser. J'avais chaud, terriblement chaud. Et j'avais encore plus chaud lorsque cette dernière décidait de me faire à donner à son tour du plaisir. Autant vous dire qu'elle savait si prendre, sa main sur mon sexe exerçait des vas-et-viens qui me rendait fou. Je serrais la mâchoire pour me retenir, j'essayais de me concentrer sur ma respiration mais ce n'était pas évident. C'est alors que je la voyais descendre, le long de mon corps, je la regardais faire et cette dernière fit quelque chose que l'on ne m'avait encore jamais fais, elle prenait mon sexe entre ses deux seins et poursuivait ses mouvements de hauts en bas. Le plaisir qu'elle me procurait était carrément dingue. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un acte aussi intense. Je ne pouvais plus tenir. Elle me rendait fou. Littéralement fou. Tout ce que je désirais c'était ne faire plus qu'un avec elle. Entrer en elle, et quand elle eut terminée son geste, je ne tardais pas à la pénétrer. Au début, j'essayais de me contenir et de faire attention à ne pas lui faire mal puis une fois que j'étais bel et bien en elle, j'entreprenais des mouvements de vas-et-viens. Pour commencer, j'étais plutôt tranquille, bien que l'envie ne me manque pas, et quand je constatais que nos mouvements étaient en parfaite coordination, je me mis à accélérer la cadence, regardant cette dernière qui semblait tout aussi satisfaite que moi. Ma respiration se voulait être parfois couper dû au plaisir que je pouvais actuellement ressentir. L'une de mes mains descendait le long de son corps pour se loger sur sa cuisse que je caressais tout en poursuivant mes gestes en elle. Je ne m'attendais pas à ce que cet entrevue se termine de cette manière, mais je devais avouer que j'aimais bien ce genre de surprise. Dans le fond, je pense que toute cette mise en scène durant quatre mois y était également pour quelque chose. C'était plutôt excitant quand on y repensait. Dieu ce qu'elle était belle. Je venais m'emparer de ses lèvres dans un baiser fougueux, me serrant d'avantage contre elle, au point de sentir sa poitrine contre mon torse. La température de son corps était similairement la même que la mienne. Il faisait tellement chaud dans cette pièce que ça en était presque étouffant, mais l'acte en lui même était tellement plaisant que je me fichais littéralement du reste. Tout ce que je voulais, c'était que Charisma prenne plaisir durant cet acte. C'était le plus important.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. | Mar 16 Aoû - 14:26
les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
isaac and charisma (charisaac)
Ce bel âtre avait fini par me faire réaliser dans un murmure qu’il connaissait mon prénom alors que je ne connaissais pas du tout le sien. Tous les psychopathes ont un prénom. Il doit bien en avoir un aussi mais étrangement, je n’avais pas envie de le savoir tout de suite. Je préférai plutôt continuer de le pousser à poursuivre ce jeu entre nous. Ça avait un côté mystérieux que je semblais apprécier. « Si je n’en ressortais pas vivante, tu aurais certainement la mafia italienne à tes trousses. » Dis-je en affichant un sourire narquois. Je ne faisais pas partis de cette branche d’Italie mais ça, il l’ignore. Un laps de temps plus tard, nous avions fini par nous retrouver entièrement nu. Aussi bien ce beau brun que moi. La tension était devenue animal entre nous. C’était tout d’abord quelque chose de magnétique, quelque chose qu’on ne pouvait pas ignorer. Et à priori, quelque chose qu’on ne pouvait pas éviter non plus puisque ce n’était pas dans mes habitudes de coucher avec un homme que je vois plus ou moins pour la première fois. Ce n’était pas dans mes valeurs mais cette fois, je n’avais pas pu y faire grand-chose. C’était intense et l’envie que je ressentais était de nature animal. Je dirai même pour être plus précise « bestiale ». Je m’étais même surprise à laisser parler mon corps et mon attirance pour lui de cette façon. Je n’avais pas tant d’expérience que ça en matière de sexe car je n’ai dans ma vie coucher qu’avec un seul homme qui était à l’époque qu’un jeune adolescent. J’avais même eu cette idée absurde d’avoir retrouvé ma virginité tant je ne l’avais pas fait depuis une éternité. Comme je lui disais plutôt l’habit ne fait pas le moine. On peut peut-être penser que je suis une femme avec beaucoup de vécut à ce niveau mais là ce n’est pas du tout le cas. J’avais quand même entrepris des choses que je savais et j’ai essayé une manière de le satisfaire que je n’avais jamais essayé dans le passé. J’avais bloqué son sexe entre ma poitrine pour effectuer des mouvements, chose qu’il avait l’air d’apprécier. Tellement qu’il n’avait pas tardé à me pénétrer spontanément. Ce fut donc à mon tour de me cambrer de nouveau. J’émettais même de petit gémissement tant son sexe mettait mes parties intimes dans un état de transe surtout lorsqu’il accéléra la cadence. J’étais si réceptive que je l’aidais à accélérer. Rendant ainsi ses mouvements plus intenses que jamais. C’était fou, c’était jouissif… Ma poitrine fut écrasé contre son torse et un gros gémissement se fit entendre. C’était si brulant. Nos corps semblaient être aussi chaud l’un que l’autre et le plaisir partagé. Je n’avais jamais vécu un moment aussi intense dans ma vie, jamais. « Quel est votre prénom monsieur le proviseur ? » Demandais-je soudainement sous quelques frémissements. L’idée de ne pas savoir son prénom commençait à me déranger maintenant que nous étions aussi… intime. Nous n’étions plus en phase de provocation pour le moment et c’est bien pour ça que l’envie de connaître son identité m’importait. Mais s’il ne me répondait pas, ce n’était pas grave. Je savais bien comment le découvrir. Et très franchement, j’éprouvais en ce moment même tellement de plaisir que s’il ne répondait pas, je n’en ferai pas une affaire d’état. Progressivement, j’avais réussi à faire basculer nos corps pour me retrouver au-dessus de lui. Mon buste s’était redressé pendant que je prenais appuie sur son torse avec mes mains afin d’être cette fois-ci en mouvement. J’essayais d’être aussi rapide que possible en gesticulant parfaitement pour lui procurer des sensations divines. Mes mains bougeaient de haut en bas sur son torse tandis que mon bassin effectuait ses plus beaux mouvements. Je me surprenais énormément en ce moment car j’agissais sans réfléchir, je lui donnais ce que je pensais être bon pour lui sans l’avoir forcément expérimenté dans le passé. Je pouvais bien voir qu’il aimait ça, il semblait encore plus beau qu’à la normal. Il avait ce visage captivant, cette fraicheur enivrante et cette envie flagrante. J’aimais le regarder quelque seconde. Je m’étais même étonnée lorsque mes lèvres se sont mises à lui sourire et à se rapprocher vers les siennes pour engager un baiser sensuellement langoureux. Petit à petit, je ralentissais mes mouvements lorsque mes lèvres se mirent à descendre le long de son torse. Je fus même contrainte de me soulever un instant afin de reculer pour que mes lèvres atteignent son sexe. J’avais délicatement pris possession de ce dernier avec mes doigts pour amener ma langue à venir chatouiller sa partie sensible. Espérant ainsi le rendre satisfait de ma performance et surtout partager un bon moment. J’y allais avec délicatesse… Je prenais soin de faire le tour comme il se devait avant d’effectuer également d’autres mouvements avec ce muscle en faisant passer mes cheveux au-dessus de mon épaule pour ne pas être dérangée. Une fois ce petit épisode terminé, je m’étais redressé pour reprendre où j’en étais restée. De nouveau à califourchon et possédés par son sexe, je m’étais remise à effectuer des mouvements toujours plus rapide.
Emi Burton
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. | Mer 17 Aoû - 12:22
La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
« J'aime le danger » répondis-je avec un tel air sûr de moi. Il y avait deux hypothèses, soit elle se fichait littéralement de moi, et faisait jouer la mafia italienne pour me faire peur, ou alors elle faisait vraiment partie de cette famille là. Mais clairement, je n'avais aucune crainte. Elle comme moi sachions pertinemment que nous plaisantions même si nous gardions cet air si sérieux sur le visage. C'est d'ailleurs ce qui m'amusais le plus. Le fait de rester sérieux alors que dans le fond, nous ne l'étions pas tant que ça. Mais elle comme moi avions cette facilité a garder notre air si sérieux. Sentant que j'allais faiblir, je m'éloignais de cette dernière, et c'est alors que tout se passait très vite. A tel point que nous nous retrouvions là. Dans ma salle de classe. Allongé sur le tapis où les enfants avaient l'habitude de jouer aux petites voitures. Ce n'était pas mon genre de faire ça dans de telles circonstances, et encore moins dans ma salle de classe, mais quelque part, je trouvais ça tout particulièrement excitant. Par chance, l'école était fermée, et par conséquent, personne n'y avait accès, nous n'étions qu'elle et moi. Je n'avais pas prévu que la situation prenne cette tournure là. Loin de là, mais ce n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Mes mains prenaient le temps de découvrir son corps, tandis que mes lèvres étaient totalement devenues dépendantes des siennes. Je ne pensais pas que c'était possible d'être autant attiré par une personne comme je l'étais actuelle de cette italienne qui me faisait littéralement craquer. J'avais cependant l'impression que chaque geste était naturel, à cet instant même, c'est comme si nous nous connaissions depuis des années et que cet acte était inné. Alors qu'au final, nous nous connaissions pas tant que ça, voir même pas du tout. A part connaître quelques détails à son sujet, c'était tout. De plus, ce n'était pas dans mes habitudes de me jeter de la sorte sur une femme, bien que ce soit elle qui se soit lancée la première. Je n'étais pas parvenu à la repousser, et même si je l'avais voulu, j'en aurai été incapable tant l'attirance que j'ai pour elle dépasse tout. On aurait dit deux aimants tant l'attraction entre nous était plus forte que tout. A cet instant même, ça en devenait même bestial tant nous ne pouvions plus nous lâcher. Elle émanait en moi ce côté complètement animal, je ne voyais pas d'autres termes. L'envie d'elle ne cessait d'accroître. Mais je n'avais pas envie de ne faire qu'un avec elle tout de suite, c'est pour cette raison que je venais m'occuper de son intimité du bout de la langue. Au début, je m'amusais à caresser les lèvres de son intimité, avant de légèrement glisser ma langue à l'intérieur, faisant divers mouvements, des vas-et-viens, des cercles. Sentant cette dernière se cambrer sous mes mouvements de langue, j'en concluais très rapidement qu'elle semblait réceptive à ce genre de chose et que cela lui faisait du bien. De mon côté, je m'amusais à la regarder prendre plaisir. Délicatement, je remontais mes lèvres le long de son corps, ne ratant aucune parcelle de ce dernier pour reprendre possession de ses lèvres dans un langoureux baiser au cours duquel ma langue venait jouer avec la sienne. A son tour, elle prenait les directives de venir me faire du bien, et je ne pouvais retenir ces râles de plaisir qui s'échappaient d'entre mes lèvres. Elle était plutôt douée. Elle faisait ça d'une façon différente, on ne m'avait jamais encore touché le sexe de cette manière. Mais elle savait comment s'y prendre, et je ne pouvais qu'apprécier les mouvements qu'elle exerçait sur mon sexe qui était désormais bien dur. Lorsqu'elle remontait jusqu'à moi, brûlant de désir pour elle, je nous faisais basculer pour me retrouver sur elle, et après m'être protégé, car c'était le plus important, je plaçais mes mains de chaque côté de sa tête, et la pénétrais délicatement dans un premier temps, du moins, j'essayais de contenir mes envies pour ne pas lui faire mal. Durant la pénétration, je l'admirais. Elle était magnifique. Elle avait tout simplement l'air bien, l'air libérée. Comme si on se sentait mieux d'avoir craqué l'un pour l'autre. Et je ne regrettais pas ce qui était entrain de se passer. C'était tout simplement magique, il n'y avait pas d'autre mot pour décrire cette situation actuelle. Je me pinçais la lèvre inférieur tant j'avais envie de l'embrasser. Puis je commençais mes mouvements en elle. Dieu que c'était bon. Elle se cambrait et j'en profitais alors pour passer l'une de mes mains dans son dos et la serrer contre moi, sentant sa poitrine venir s'écraser contre mon torse. Sa peau était brûlante. Tout comme la mienne. La température de mon corps était passée de 37 à au moins 45/50 tant ma peau était brûlante, et tant j'avais chaud. Ma respiration se voyait être saccadée à certains moments, dû au coup de bassin que je donnais en elle pour me sentir toujours plus en elle. C'est alors qu'elle me demandait mon prénom. Dans un a-coup. Je portais mes lèvres au creux de son oreille. « Isaac » Après tout, elle avait bien le droit de connaître mon prénom. Et puis, maintenant que nous étions devenus plus intime que nous n'aurions dû. Elle avait tout les droits de le savoir. Alors que nos mouvements de bassin étaient en parfait accord pour rendre l'acte encore plus excitant, cette dernière nous fit basculer se retrouvant au dessus de moi, mes mains venaient alors se balader sur son corps, s'éternisant sur sa poitrine que je trouvais merveilleuse. J'appréciais le fait qu'elle décide de prendre les commandes. Que ce soit à son tour de mettre tout en oeuvre pour me faire du bien, et autant vous dire qu'elle s'y prenait à merveille. C'était une déesse. Je la regardais tout en poursuivant ses mouvements. Elle était captivante. Je me perdais dans son regard, tandis qu'un sourire se glissait sur ses lèvres. C'était le premier sourire qu'elle me lâchait depuis qu'elle était entrée dans cette pièce. Dieu ce qu'elle était encore plus magnifique lorsqu'elle avait se sourire perché aux lèvres. Cette fille avait indéniablement tout pour elle. Un corps de rêve. Des formes parfaitement bien dessinée. Une silhouette à vous faire tomber. J'aimais toucher chaque parcelle de son corps du bout des doigts. Sentir sa peau frissonner au contact de mes doigts sur cette dernière. C'est alors qu'en poursuivant ses mouvements, elle venait prendre possession de mes lèvres, m'offrant un baiser des plus langoureux qui soit. Je me voyais intensifier ce dernier, en remontant ma main jusque derrière sa nuque pour ne pas qu'elle lâche mes lèvres aussi facilement. Suite à cela, elle me surprit à se soulever légèrement, et désormais nos corps ne faisaient plus qu'un. Je la regardais descendre ses baisers un peu bas, et elle se mit à jouer avec mon sexe, cette fois-ci, ce n'était pas avec sa poitrine, ni-même avec ses mains, mais avec sa bouche. Elle prenait possession de mon sexe avec sa bouche, jouant avec le bout de sa langue. Je lâchais des râles de plaisir tant ce qu'elle me procurait était si intense. Je caressais ses cheveux tandis qu'elle poursuivait son amusement. J'avais l'impression qu'au plus profond de moi, j'allais exploser d'une minute à l'autre. On aurait dit que j'étais tel un volcan en pleine éruption volcanique. Je n'avais jamais vécu d'acte aussi fort que celui-ci. C'était la première fois. Au plus profond de moi, même si j'avais des valeurs et des principes, là, à cet instant même, je ne regrettais rien, je ne regrettais pas d'avoir laissé parler mon corps, de m'être laissé guidé par mes envies. Elle me rendait fou. Je me demandais si elle s'en rendait vraiment compte. Je serrais la mâchoire pour me retenir, mais une fois de plus, des râles de plaisir se faisaient entendre. Elle finit par stopper tout cela après m'avoir fait du bien pendant quelques minutes, puis elle venait se remettre en califourchon sur moi de sorte qu'on ne fasse une nouvelle fois plus qu'un. Ses mouvements s'accéléraient, je nous fis pivoter en faisant attention à elle, et me retrouvais au dessus d'elle une nouvelle fois. Tout en accélérant mes mouvements, je laissais mes lèvres venir embrasser son sein droit, tandis que ma main gauche venait prendre possession de son sein gauche. Je m'amusais à titiller son téton avec le bout de ma langue, tout en donnant quelques a-coups un peu plus fort en elle, jusqu'à atteindre le point de non retour. Je me redressais légèrement pour pouvoir me perdre dans son regard azur. Puis nous en arrivions enfin, après un long moment a atteindre l'orgasme. Je ne pus retenir ce soupir de plaisir s'échapper de mes lèvres tant l'acte avait été divin. Je ralentissais mes mouvements en elle, pour ne pas sortir brusquement, puis je me retirais d'elle. Mes lèvres vinrent lui déposer un délicat baiser sur ses lèvres avant que je ne me laisse tomber à ses côtés, tant l'acte avait été aussi bon que fatiguant. J'essayais de reprendre mon souffle, bien que ce ne soit pas facile après ce que nous venions de vivre.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. | Mer 17 Aoû - 14:10
les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
isaac and charisma (charisaac)
Ce n'était pas dans mes valeurs de coucher avec un homme que je connais si peu. Il était donc hors de question que je reparte d'ici son connaître son prénom. Je fus surprise d'apprendre qu'il s'appelait Isaac. Je lui aurais plus vu s'appelé Brandon ou encore Jason. Mais Isaac lui va bien. C'est cohérent. Son prénom semble aussi séduisant que lui. Après avoir jouée avec son sexe avec l'aide généreuse de ma bouche, j'étais remontée sur lui à califourchon pour pouvoir reprendre la partie où nous nous étions arrêté. Digne de sa fierté masculine, Isaac reprit le dessus en nous basculant de nouveau pour se retrouver au dessus de moi. Aussitôt, sa main gauche pris possession de mon sein gauche tandis que ses lèvres s'emparèrent de mon sein droit pareillement à ses mouvements. Mes mains qui étaient alors posés sur le haut de son dos se mirent à se planter plus encore. De là à ne faire qu'un avec sa peau. C'était si intense et si prenant que je ne pouvais m'empêcher de gémir encore et encore en continue tant le plaisir qu'il me faisait était énorme. Je sentais déjà mon intimité s'humidifié d'avantage bien que j'essayais de contrôler ça pour que les choses durent encore plus longtemps. J'aimais être dans cette situation avec lui parce que mine de rien, c'était juste énorme. Le partage parfait de deux corps compatible, c'était le cas de le dire parce que plus il y allait fort et plus j'adorai ça. Il s'y prenait si bien que nous avions fini par atteindre l'orgasme tous les deux. Chose qui n'arrive pas forcément chez une femme lors de ses relations sexuels. Isaac c'était mis à côté de moi après m'avoir embrassé. C'était plaisant de pouvoir mettre un prénom sur un corps aussi fabuleux que le sien. L'un comme l'autre nous cherchions à récupérer notre souffle tant nos ébats avaient été dynamique. Je sais au moins ça de lui... Isaac est un bon coup. Quelques minutes plus tard, une fois ma respiration reprise, je m'étais tournée vers lui pour caresser son torse avec mes doigts avant d'atteindre sa bouche avec mes lèvres pour l'embrasser naturellement. Signe d'un gratitude pour un moment aussi inoubliable. Je m'étais ensuite mise à sourire en constatant que son préservatif était plein et toujours sur son sexe. Il avait pris autant son pied que moi, j'en étais bien consciente et c'est qui me fit sourire d'avantage avant que je me lève pour me rhabiller. J'avais attrapé mon soutien gorge pour l’agrafer. Je m'étais rhabillée en peu de temps mais j'avais oublié une chose, ma petite culotte. Sauf qu'à ce moment précis, je n'y pensais même plus. Espérons qu'Isaac la trouve avant l'un des enfants. « Je sais maintenant pourquoi les directeurs ont autant de travail. Ils ne passent pas leur temps à gérer leur école après les heures de classe je présume. » Dis-je avant de lui faire un petit clin d’œil. Je partis ensuite devant l'écran de son ordinateur pour me recoiffé un minimum. Je ne voulais pas sortir débraillée. Je partis ensuite jusqu'à la porte de sa salle de classe avant de me retourner vers lui. « Au revoir Isaac... Ravis d'avoir pu mettre un nom sur ce mystérieux psychopathe qui m'harcèle depuis quatre mois. » Lui dis-je en riant légèrement. J'aimais le regarder. Il dégage quelque chose d'unique et d'aphrodisiaque. C'est aussi simple que ça. Isaac a un physique attrayant. J'espère simplement pour lui que le reste suit et qu'il ne soit pas un gros connard.
Emi Burton
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. | Mer 17 Aoû - 16:04
La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce moment était juste fabuleux. Ne faire plus qu'un avec cette fille. Nous donnions chacun le meilleur de nous même pour nous marquer à jamais l'un de l'autre. Une chose est sûre, je n'oublierais jamais cette véritable rencontre avec elle. Elle avait réussi à me marquer à sa façon. Ce n'était pourtant pas dans mes principes de coucher ainsi. J'avais beau être un mec, le genre dragueur, j'aimais charmer les filles, je ne vais pas m'en cacher, mais je n'étais pas du genre à coucher comme ça, dès la première rencontre. Mais je ne saurai l'expliquer, avec Charisma, cela avait été différent. Peut-être était-ce dû à la façon dont nous nous étions rencontrés. Et la relation que nous avions pu entretenir par papier. Je ne sais pas, mais en tout cas, il y avait quelque chose de fort entre nous, c'était indéniable, car sans ça, nous n'en serions pas arrivés là. Mais je ne regrettais rien de tout ce qui avait pu se passer. Nous étions jeunes, nous étions beaux. Il fallait profiter de ce que la vie nous offrait, et en rien regretter. Sentant l'acte toucher à sa fin, je m'occupais de cette dernière jusqu'au bout, prenant soin de chaque parcelle de son corps. Et c'est dans un dernier coup de rein que je lâchais un fort et long soupir, nous avions tout deux atteint l'orgasme. Elle comme moi. Je n'en pouvais littéralement plus, tant ça avait été intense. En me retirant d'elle, je me laissais tomber à ses côtés. Incapable de faire quoi que ce soit l'espace de quelques minutes. Reprenant tant bien que mal mon souffle qui avait du mal à revenir. Au moins, c'était bon signe. Elle venait alors m'embrasser avant de se lever. Sans dire un mot, j'en fis de même, récupérant par ailleurs mes affaires de part et d'autre de mon bureau et de ma salle de classe et les ranger dans une poche. J'enfilais mon boxer puis allais dans mon armoire récupérant mon jean, ainsi que mon tee-shirt. Une fois rhabillais, Charisma me lançait une phrase qui me fit rire. Je ne répondis rien en particulier, puis je suivais cette dernière du regard, elle se recoiffait dans l'écran de mon ordinateur, je ne pus me retenir de sourire, ce n'était pas une fille pour rien. Elle tournait ensuite les talons se dirigeant vers la sortie. « A bientôt Charisma » lâchais-je avec malice, restant persuadé que nos chemins finiraient tôt ou tard par se recroiser. Je rangeais alors mon bureau, ainsi que ma salle de classe, et fort heureusement, car je retrouvais sa petite culotte. Un sourire amusé se glissait sur mes lèvres. Une fois que tout fut rangé à sa place, je quittais à mon tour l'établissement, fini l'école jusqu'à la rentrée.
RP CLO.
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(charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.