(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Mar 2 Aoû - 17:32
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
« Je suis contente de t’entendre dire tout à ça et t’inquiètes pas, je me sens tellement bien avec toi et je te fais confiance. Je sais que jamais tu me feras du mal, même si c’est pas intentionnel. Je ne sais pas si je serai réellement prête un jour mais si ça continue de bien aller comme ça entre nous, je te cacherai pas que ça ne serait pas surprenant que mon avis se développe encore plus. »
Chaque fois c’était parfait. Naturellement, on faisait que s’embrasser mais l’autre fois, Edward avait retiré son t-shirt et la chaleur de nos corps ensemble c’était : WOW. Et puis, on arrivait à se caresser avec nos mains un peu partout et à chaque fois, ça me faisait sentir tellement bien, tellement à me place. Je le regardai manger son sandwich sans rien dire quelques secondes. En fait, je me disais dans ma tête que c’était surprenant à quel point je pouvais l’aimer, à quel point je pouvais être amoureuse de lui. Je croyais bien que ça en faisait peur. Bref, le sujet était clos, nous retournâmes à sa chambre question de reparler de notre futur appartement.
« J’ai ouvert quelques onglets avec des appartements qui rentrent dans notre budget sans avoir l’air des trous à rat. C’est certain qu’on ne pourra pas avoir un très grand appartement à Miami car c’est assez dispendieux… Mais j’aimerais beaucoup qu’on le mettre à notre goût, que ça soit douillet et qu’on s’y sente bien et en sécurité. »
Edward laissa tomber sa tablette de dessin une fois de plus pour prendre son ordinateur et jeter un coup d’oeil à ce que j’avais trouvé. Il y avait trois appartements qui semblaient bien correspondre à ce qu’on pouvait s’offrir et les photos étaient assez belles.
« Oh, on va devoir demander si les chats sont accepter car on laisse pas un membre de la famille derrière. »
Charlot avait déjà été abandonné une fois à la rue, ça n’allait pas être deux fois la même chose. Je m’étais déplacé sur les genoux vers mon chat qui dormait sur l’oreiller d’Edward pour lui donner un petit baiser sur le dessus de sa tête. Il était beaucoup trop mignon! Au lieu de retourner à ma place initiale, je me permis de me mettre un peu derrière Edward qui regardait toujours mes trouvailles. J’enroulai mes bras autour de lui afin de lui faire un câlin tout en posant ma tête dans le creux de son cou, là où ça sentait bon, où ça sentait lui. Je commençai à déposer des petits baisers à cet endroit jusqu’à remonter vers sa joue. Je fus surprise lorsque la tête de mon petit-ami se tourna vers la mienne de sorte que mes baisers de joue se transforment en baisers de lèvres.
« Je...hum, je vais devoir partir bientôt. J’ai dit à Geane que je serai là pour souper… » j’affichai une petite moue. « Mais, est-ce que tu veux passer me prendre demain soir? On pourrait aller manger un truc ensemble. »
Ce fut une réponse positive. Pourtant, je restai encore de longues minutes à lui faire des gros câlins et profiter de son affection. C’était toujours bien difficile de le quitter. En parfait petit-ami, il me proposa même d’aller me reporter chez ma cousine.
Le lendemain, 18h30
Ça avait été une longue journée de travaille, une longue journée qui aurait dû techniquement bien se terminer car les plans étaient qu’Edward passe me prendre que nous allions manger un bout ensemble quelque part, question de passer encore plus de temps en amoureux. Et pourtant! Léo venait tout juste de me débarquer chez Geane, cette dernière étant encore à l’hôpital, je me tapais une crise de panique. Je tournai en rond, j’avais même ouvert toute les fenêtre de la maison en pleurant question de faire circuler l’air et m’aider à mieux respirer. Je devais me calmer, je prenais de grande respiration en me disant que je devais d’abord en parler avec mon petit-ami mais seulement de savoir qu’il arrivait dans quelques minutes à peine me stressait. Je ne voulais pas le voir, pour la première fois depuis toujours car je ne savais pas pas trop comment aborder le tout. Mon seul moyen pour me calmer fut de penser à ma mère, uniquement à elle. Je commençai à lui demander ce que je devais faire - sans trop attendre de réponse, naturellement. Mais simplement de pouvoir lui parler eut l’effet de m’apaiser un peu. Je passai à la salle de bain question de sécher les traces de mes larmes. Je me regardai dans le miroir pour finalement enlever le pendentif autour de mon cou. C’était la première fois que je le faisais depuis qu’Edward me l’avait attaché en Italie. Ce simple geste fit me provoqua de nouveau des larmes que je n’eus pas le temps de sécher car on sonna à la porte. Après avoir prit une grande respiration, je fis entrer mon petit-ami. Il devait bien voir que je portais encore mon uniforme du starbucks et que je n’étais pas prête.
« Salut... »
Je le vis s’approcher de moi comme pour me serrer dans ses bras mais je le contournai pour aller fermer la porte d’abord. J’étais pas trop dans un état d’esprit à recevoir de l’affection, disons.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Ven 5 Aoû - 15:36
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
J'étais soulagé de constater qu'Elizabeth se sentait en confiance avec moi. C'était ce qui était le plus important pour moi. Je ne voulais pas qu'elle se sente stressée par moi, je voulais qu'on aille à son rythme. De toute façon, le sexe ce n'est tellement pas important. Je laissai tomber ma plaquette de dessins pour regarder les appartements qu'Elizabeth voulait me montrer. Il était certain qu'on devait prendre un appartement où les chats seraient acceptés, sinon notre beau Charlot allait être de nouveau à la rue et ça, je ne le permettrai pas.
- OUais, pas mal du tout ce que tu as trouvé! On ira visiter lorsque tu le voudras!
Je sentis ensuite ses bras s'enrouler autour de moi et des baisers se poser contre ma joue. Je ne pouvais qu'être bien en recevant ses baisers, j'aimais Eli et ses caresses me faisaient sentir tellement bien. Malheureusement, ce moment ce termina beaucoup trop vite, elle rentrait pour souper avec Geane.
- Très bien, à demain et on pourra se coller longtemps l'un contre l'autre aussi!!! Tu me manques déjà!
Hé oui, elle n'était pas partie qu'elle me manquait déjà, ce fut une séparation plutôt longue car je ne cessai de l'embrasser dans l'espoir de la faire changer d'avis. Mais bon, elle devait rentrer, donc je la laissai finalement partir. Je me remis aussitôt à mon dessin pour le compléter. J'avais en tête de l'afficher dans ma chambre, ça me faisait un beau portrait d'elle.
****
Nous étions déjà le soir et j'avais hâte de retrouver Elizabeth après son quart de travail. Nous avions convenus de manger et passer la soirée ensemble. C'était toujours bien de se retrouver! Je frappai à la porte pour éviter de réveiller Riley s'il était là et ma petite amie vint m'ouvrir. Elle me salua plutôt froidement avant de contourner mon câlin. Je fronçai automatiquement les sourcils... elle n'avait pas l'air d'aller et je n'aimais pas trop ça.
Je vois que j'arrive trop tôt... j'espère que ça ne te dérange pas?
Je mis mes mains dans mes poches parce que je me sentais un peu délaissé... Mais ce n'était pas grave, nous avons tous de bonnes et de moins bonnes journées. J'espérais juste changer les idées de ma petite amie. Sa réponse ne fut pas meilleure, alors, je voulu savoir ce qui se passait.
- Ça va? Dure journée?
Je restai debout dans l'entrée, si elle avait besoin de plus de temps, je pouvais attendre dans le salon, ça ne me dérangeait pas.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Ven 5 Aoû - 17:56
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
Je ne voulais pas qu’il soit là, limite, j’aurais préféré qu’il annule, qu’il ait un empêchement dernière minute mais qu’est-ce que ça aurait pu bien être? Il n’avait pas de boulot, pas beaucoup d’ami… et on aimait tellement passer du temps ensemble que dès que c’était planifié, on pensait qu’à ça. Je pouvais comprendre, j’étais pareille… sauf cette journée là où ce fut une vraie torture que de lui ouvrir la porte, que de le faire entrer et surtout, de contourner son câlin et de dire non à la chaleur de ses bras pour la première fois depuis bien longtemps.
« Non, t’es pas arrivé trop tôt. »
Parce que bon, c’était un fait. On s’était dit 18h30, il était 18h30… est-ce qu’il me dérangeait? J’étais pas prête à dire que oui mais j’étais pas prête non plus à dire que j’appréciais réellement vers où notre soirée allait prendre tournant. J’avais peur de ce que j’allais entendre, de sa réaction et de la suite pour nous deux parce que moi-même, je ne savais pas trop où me place dans la situation. À la dernière question de mon petit-ami, je haussai positivement la tête, ramenant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.
« Surtout la dernière heure...»
Je pris une grande respiration mais même malgré ça, les larmes recommencèrent à couler sur mes joues. Ça ne valait pas la peine que je tente de les sécher puisque je savais très bien que ce n’était pas les dernières. Juste de penser à ma conversation avec Léo et au fait que je devais maintenant en parler avec Edward me stressais non seulement, mais me faisait tellement de peine aussi! J’osais même plus regarder mon petit-ami dans les yeux. À la place, je soulevai ma main pour l’ouvrir et regarder le pendentif qui y reposait toujours. Ce geste eut certainement le don d’attirer l’attention du jeune homme toujours immobile devant moi. Je m’y approchai doucement et c’est en ayant le coeur brisé en deux que je tournai ma paume de main vers la sienne dans le but de lui rendre son bijou. Il ne comprenait rien, je pouvais bien le voir dans son regard dont je fus capable de croiser que quelques secondes à peine. Puis, je me reculai… question de rompre cette proximité qui me faisait généralement tant de bien mais dont là, je n’étais guère capable de supporter. Mon dos se posa contre le mur en face d’où Edward se tenait toujours, je me raclai un peu la gorge puis, c’est en regardant vers le sol que je lui expliquai difficilement ce qu’il en était.
« Écoute je… j’ai su… on m’a… dit….pour tout ça et je ne peux pas continuer à le porter, désolée... »
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Mar 9 Aoû - 17:28
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
Disons que le ton de la voix de ma petite amie m'inquiéta au plus haut point. Ses réponses étaient directes et froides, tout à coup je me suis sentis mal et voulu savoir ce qui se passait. C'est lorsque je vis ses larmes que je compris que j'avais vu juste, ça n'allait pas du tout. Je voulais la serrer contre moi, mais elle se défilait, tout comme son regard qui m'évitait. J'avais peur, je ne voulais pas qu'il lui soit arrivé quelque chose de mal.
- Hey dis-moi ce qui se passe...
Elizabeth avait le poing fermé et l'ouvrit pour que je vois qu'elle y tenait son pendentif. Mon coeur s'affola aussitôt... J'avais soudainement peur qu'elle me dise qu'elle ne voulait plus de moi, que c'était fini nous deux. L'ambiance était lourde et surtout inattendue. Est-ce qu'elle était en train de me rejeter? Pourquoi? J'avais mille et une questions maintenant et le bijou que je tenais pesait vraiment lourd. J'étais paniqué intérieurement et si elle ne me disait pas plus, j'allais faire une crise, je la sentais déjà venir. Puis, elle ouvrit la bouche et je pus faire quelques associations qui ne me permis pas plus de me calmer...
- Attends.... tu... tu.... non... BON SANG!
Je m'étais mis les mains contre la tête et j'avais à présent de la difficulté à respirer. Léo, c'était de sa faute, il avait fait exprès, je rageais et je ne pouvais pas contrôler la tristesse qui m'envahissait face au regard qu'Elizabeth me lançait à présent. Je ne pus faire autrement que de me mettre à genoux devant elle pour la supplier de me pardonner.
- Ne fais pas ça, ne me laisse pas... Je... voulais que tu sois contente, que tu ailles un cadeau spécial... pour une fille spéciale!!! S'il te plaît ne me regarde pas comme ça. Je t'aime!!! Je ne peux pas vivre sans toi.
Je pleurais à présent et je ne pouvais pas croire qu'elle voulait mettre fin à tout... Je l'aimais tellement. La seule idée de la perdre, me faisait perdre la tête. Juste en la touchant j'eus une vague de flash qui déversa dans ma tête qui représentait la vie d'Elizabeth, mais surtout les moments de déception dans sa vie. Je la décevais donc et je dois dire que j'avais tellement honte et j'avais tellement de colère contre Léo. Je savais très bien que ça venait de lui. Elizabeth se défit de mes mains... sans doute que j'y avais été un peu trop fort dans mon moment de panique. Maintenant, j'avais du mal à respirer, il fallait que je me ressaisisse, mais je ne savais pas comment. Elle était mon équilibre et maintenant, elle venait de s'effondrer.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Mar 9 Aoû - 20:32
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
Edward cherchait à comprendre la source de ma peine et de mon état maussade. Je ne cherchai pas à lui cacher la vérité plus longtemps en lui redonnant son pendentif. Le bijou qu’il m’avait offert à mon anniversaire, qui m’avait rendu tellement heureuse mais que désormais, je n’étais plus capable de porter autour du cou. Je n’étais pas quelqu’un de superficielle, j’étais même tellement facile à faire plaisir mais je ne pouvais pas accepter de supporter un act illégal. C’était encourager Edward et lui faire comprendre que ce n’était pas grave. Ce l’était grave : j’avais énormément de défaut mais je n'étais pas quelqu’un de malhonnête. Je regardai mon petit-ami faire les 100 pas dans mon salon, se prenant la tête entre les mains. Jamais je n’aurais pensé provoquer une réaction aussi démesurée et pour la peine, je fis quelques pas vers l’arrière, surtout qu’il venait de se mettre à crier.
« Calme toi s’il te plaît...tu me fais peur… »
J’aimais pas quand les gens s'affolaient comme ça devant moi. Le monde en colère avait le don de me faire paniquer et voilà que je tremblais. Je savais bien que c'était hors de son contrôle, mais ça me rappelait les dernières années que je tentais d’oublier. Je devins aussitôt nerveuse et c’est pourquoi je fis un saut en voyant Edward se mettre à genoux devant moi pour me tenir les mains. Voilà qu’il me suppliait de ne pas le laisser, il ne niait pas avoir volé le fameux bijou, donnant donc raison aux dires de Léo. C’était un choc, mais jamais autant que de le voir me dire qu’il m’aimait et qu’il ne voulait pas que ça se termine entre nous. Je me défis de l’entraintes un peu trop forte de ses mains en secouant la tête. J’avais du mal à parler, ma gorge était tellement serré, mon coeur s’affolait tellement que ce fut difficile pour moi de placer les mots suivants :
« Pleure pas s’il te plaît, pleure pas… je t’aime!!! Mais…. je…. »
Je pleurais aussi et j’étais incapable de m’arrêter. J’avais déjà le coeur gros mais là c’était pire devant Edward. Je me glissai également à genoux devant lui dans le but de porter mes mains à son visage pour sécher ses larmes comme je le pouvais, comme si ça allait stopper cette image qui me brisait le coeur en deux. Il n'avait pas voulu faire mal, il voulait que me faire plaisir au final. Il s'était juste vraiment mal prit. J’avais uniquement envie de glisser mes lèvres sur les siennes pour le rassurer, pour lui faire comprendre que je l’aimais toujours autant que je ne voulais pas le laisser. Il y avait toutefois cette petite voix dans ma tête qui me disait que je devais m'assurer, que je devais prendre parole pour lui faire comprendre réellement le fond de ma pensée. Chose que je n’avais jamais fait auparavant par peur d’avoir trop gros à perdre. Je n’avais jamais été le genre de personne qui jugeait que son opinion valait quelque chose, que j’avais quelque chose d’intéressant à dire, de bon à mentionner. Mais là, il s’agissait de mon couple, il s’agissait d’Edward que j’aimais tellement mais qui venait de me troubler avec la nouvelle que je venais d’apprendre.
« Je sais pas comment… prendre tout ça… Je pensais que c’était de l’histoire ancienne le vol… je veux pas être celle qui te fait recommencer tout ça… » Je pris une grande respiration question de contrôler mes sanglots. « J’ai pas besoin de gros cadeaux, j’ai juste besoin de toi avec moi… j’ai besoin de continuer à te faire confiance...»
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Jeu 11 Aoû - 2:59
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
Tout était en train de s'écrouler à nouveau, Lys et puis maintenant Elizabeth. Je dois bien le dire, ça me faisait tellement mal que je ne sais pas si j'allais pouvoir m'en remettre, c'était comme si une partie de moi se séparait et maintenant tout ce que je pouvais faire c'était de supplier pour qu'elle me pardonne ça. Je ne sais pas trop ce qui m'avait prit et surtout ça n'avait pas été très malin que Léo me voit faire... Maintenant, Elizabeth était au courant et elle m'en voulait. J'avais mal, je pleurais et surtout j'étais en train de virer fou tellement je ne voulais pas la perdre. Elle était tout pour moi. Elle tremblait et pleurait à la fois, je ne savais plus trop quoi penser ou quoi faire, mes gestes étaient désespérés et peut-être que ça lui faisait du tort. Je me décalai d'Eli pour lui laisser de l'espace tout en continuant de me prendre la tête, j'avais du mal à garder l'esprit clair. Le fait qu'elle me dise qu'elle m'aime me rassura, cependant le "mais" dans sa phrase me faisait mal...
-C'est fini, je te le jure!!! Je voulais pas le faire, mais je voulais tellement t'impressionner, je voulais que tu sois contente de ton cadeau, que tu sois contente de moi! Je n'ai pas d'argent, je n'ai pas d'amis... je ne suis pas grand chose! Tu peux me faire confiance!!!
Maintenant c'était peut-être difficile pour elle de le comprendre, mais j'avais tellement peur de la perdre que j'étais prêt à tout faire pour elle. C'était ma petite amie, je voulais qu'elle soit impressionnée par moi! Je voulais qu'elle soit fière et maintenant j'avais tout fichu en l'air.
- Promis je ne le referai plus, tu comptes beaucoup trop pour moi pour que je refasse ça! Stp Eli, crois-moi! Je veux pas que tu me laisses, j'ai besoin de toi!
Je pleurais toujours et je voulais la convaincre que j'étais quelqu'un de bien malgré ce qu'elle pouvait penser après lui avoir volé son cadeau. Je me sentais tellement cheap, tellement honteux, je ne pouvais que me détester davantage. Ma vie était un réel échec et si Elizabeth ne voulait plus de moi, je serai anéanti pour de bon. Tout ce que je voulais c'était me coller contre elle pour sentir son parfum si doux. Je n'avais pas besoin de plus pour être heureux, elle m'apportait tellement! J'avais peur maintenant.
- J'ai honte de moi, je suis désolé. Je vais te laisser... j'ai besoin d'air, je suis en train d'étouffer...
Je ne voulais plus voir ce regard qu'Elizabeth avait sur moi. Je la décevais et ce n'est pas ce que je voulais. Quand je sentais venir une crise, valait mieux partir, ça allait exploser et Elizabeth n'avait pas à subir ça.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Jeu 11 Aoû - 6:56
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Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
« Tu n’es pas grand chose? Au contraire… t’es tout Edward!!!! »
Il était tout pour moi en tout cas. Je n’aimais pas l’entendre se rabaisser comme ça parce que ce n’était pas parce qu'il n’avait pas beaucoup d’argent et pas beaucoup d’amis qu’il n’était pas grand chose. Si c’était le cas, ça serait mon cas également et ça, jamais il ne me permettrait de parler de moi comme ça. Je m’en voulais beaucoup de ne pas être apte à le consoler aussitôt, de faire taire ses craintes. J’avais bien envie de lui dire que je l’aimais, que c’était pas la fin… je le pensais mais j’étais encore tellement dépassé par les évènements que ce n’était pas aussi facile que je pouvais le penser. J'étais figée, le coeur en miette à le regarder pleurer et bouger constamment. C’est lorsqu’il m'informa qu’il allait me laisser car il étouffait que je fis un pas vers l’avant pour le retenir.
« Je ne vais pas te laisser partir comme ça! »
Pas après qu’il me disait avoir du mal à respirer. Je ne voulais pas non plus qu’on se quitte en froid comme ça. Je passai devant lui pour lui ouvrir la porte, on allait sortir à l’extérieur en espérant que ça l’aide à mieux respirer. Je sentais que ça allait me faire du bien à moi aussi. On prit place dans l’escalier devant l’appartement de Geane, un petit silence s’installa entre nous. J’essayais d’arrêter de pleurer car je voulais qu’il en fasse de même. On était devenu beaucoup trop émotifs rapidement et on devait juste… se contrôler et parler calmement. Ça me faisait beaucoup de peine tout ce qui venait de se passer. Je n’avais pas eu assez de temps pour penser à comment j’allais amener le sujet et je regrettais de m’être prit ainsi. En même temps, je ne pensais pas qu’il y avait vraiment une bonne façon d’apprendre à son petit-ami que je savais qu’il avait volé. Bien que, jamais cette situation devait se présenter à la base.
« Je vais pas te laisser pour ça Edward… Je t'aime beaucoup trop pour ça. Je comprends que tu voulais bien faire les choses mais je veux plus que ça se produise. J’ai pas besoin de bijou, j’ai même pas besoin de cadeau. Le plus beau cadeau que tu me fais chaque jour c’est d’être là, de m’aimer et me faire sentir bien comme jamais je ne l’ai été. » Ma main s’était glissée à son dos que je caressais doucement pour le rassurer et l’aider à aller mieux. J’espérais vraiment fort que ça fonctionne. « J’ai juste besoin de savoir pourquoi tu as dis à Mackenzie devant Léo qu’il n’était pas bien pour elle. Qu’est-ce qui se passe avec lui? »
Je me doutais bien que dans la situation inverse, il n’aurait pas apprécié donc il pouvait au moins se projeter et comprendre que son commentaire avait blessé le couple. Je devais d’ailleurs appeler Mackenzie bientôt pour m’excuser de tout ça. Je pensais que c’était la bonne chose à faire.
« Je voulais pas te mettre dans cet état, je m’excuse… Arrête de pleurer, je serai là… toujours là... »
Je me sentais terriblement mal, je l’aimais tellement et même si j’avais été en colère, la dernière chose au monde que je voulais était de lui faire de la peine. Je pris son visage entre mes mains pour me pencher vers lui et déposer un baiser sur sa joue, puis un deuxième et un troisième s’en suivirent.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Mer 17 Aoû - 2:46
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Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
Je ne pouvais pas rester là plus longtemps, ça me faisait mal au coeur et j'avais besoin d'air parce que je sentais que j'allais exploser et ce n'était jamais bon signe quand mes émotions étaient de la sorte. Je pouvais déjà apercevoir des masses noires venir vers moi dans l'espoir de se nourrir. Il fallait que je parte, je ne savais plus quoi lui dire, j'avais tellement honte de moi et je m'en voulais. Je ne sais pas trop ce qui m'avait pris de lui voler ce bijou, mais si Léo n'avait pas ouvert sa gueule, nous n'en serions certainement pas là. Il l'avait fait exprès dans l'espoir d'ébranler mon couple tout simplement... pure méchanceté. Elizabeth ne voulu pas me laisser tout seul, alors elle me suivit... Je pense qu'elle avait peur de ce qui pourrait se passer pour moi, mais ce n'était pas la peine, je pense qu'il valait mieux que je vive ça seul... avec mes démons. Pourtant, je ne pouvais plus parler, j'avais la gorge nouée et ça faisait très mal. Comment j'avais pu faire ça à Elizabeth? Je ne sais vraiment pas ce qui m'avait pris, j'avais voulu l'épater, j'avais voulu qu'elle soit contente... Je ne me trouvais pas très digne d'elle à vrai dire. Elle m'accompagna jusqu'à l'escalier devant chez Geane et on s'assit, l'air m'aidait un peu, mais sans plus, j'avais besoin du réconfort de ma petite amie et là, je l'avais peut-être perdue! J'écoutai attentivement Elizabeth et elle semblait sincère en disant qu'elle ne voulait pas me laisser. C'était un réel soulagement, mais j'avais peur qu'elle se lasse quand même de moi. Je m'apaisai peu à peu surtout en sentant sa main dans mon dos... elle était mon équilibre, j'avais besoin d'elle. En entendant Elizabeth me parler de Léo, je sentis mes poings se fermer, je le haïssais.
- Lui et moi c'est une longue histoire, mais ce que je peux te dire c'est qu'elle a l'air trop bien pour lui... En fait, je le connais... on a un passé ensemble. On volait des trucs.. Enfin, je volais des choses pour lui... c'est plus ça. Il n'a jamais été sympa avec moi, en fait, il prenait bien plaisir à m'intimider et me rabaisser. J'ai peut-être été dur en disant ça, mais il s'est tellement moqué de moi que je ne pense pas qu'il ait changé. Ça le prouve bien... s'il t'a dit ça... c'est qu'il a pris bien du plaisir dans l'espoir de me voir blessé.
Léo il était comme ça, il avait l'esprit de vengeance et on ne pouvait pas avoir le dernier mot avec lui, il voulait être plus malin et faire du mal. Il n'avait pas changé à mon avis et ça le prouvait bien. Je pris la main d'Elizabeth et me mit à pleurer de nouveau, je ne voulais pas qu'elle me perçoive comme une mauvaise personne.
- Je suis désolé... sincèrement! Je veux être digne de toi! Je ne veux pas que tu sois déçue de moi.
J'espérais qu'elle comprenne qu'entre Léo et moi il y avait un gros différend, qu'il avait dit des trucs sans doute pas vrai à mon sujet. Elizabeth pouvait me faire confiance, je n'allais plus recommencer. Heureusement ma petite amie me fit comprendre qu'elle voulait encore de moi et ce pour toujours. Elle m'embrassa et je ne pus faire autrement que de lui rendre ses baisers avec passion. Je ne pouvais que l'apprécier encore plus en me disant de telles choses.
- Merci de m'aimer, tu es la personne la plus importante pour moi! Je vais te rendre fière!
Je continuai à l'embrasser dehors et je sentie la paix intérieure revenir. C'était fou comme elle me faisait du bien, je voulais être avec elle pour toujours pour ressentir tout ça. Nous restâmes un bon moment avant qu'il ne commence à pleuvoir et nous rentrâmes chez Geane pour nous mettre à l'abri.
- On avait prévu de sortir... est-ce que tu le veux toujours... Je comprendrais si tu ne le veux plus.
J'avais quand même gâché sa soirée... Peut-être qu'elle voulait aussi prendre légèrement ses distances avec moi.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Mer 17 Aoû - 5:40
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Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
« Je comprends vos différents et je suis triste d’apprendre qu’il ne t’a pas fait la vie facile Ed mais Mackenzie n’avait pas à endurer ça. Il doit être différent avec elle, il semble vraiment l’aimer en tout cas et je ne crois pas qu’elle méritait d’être mêlée à vos histoires. Ça me ferait vraiment plaisir si tu allais au moins t’excuser à elle car ça dû lui faire de la peine que tu lui dises tout ça… même si ça partait d’une bonne intention. »
Je me sentais indirectement responsable de la peine que avait pu avoir mon amie à cause de mon petit-ami. Il voulait juste mettre les gens au courant mais des fois, il fallait apprendre à ne rien dire et ne pas se mêler des choses des autres. Il avait eu sa leçon aujourd’hui. N’empêche, je ne trouvais pas ça gentil de la part de Léo d’avoir joué avec mes émotions dans le but de se venger de mon petit-ami. J’avais cru qu’il avait voulu être honnête d’abord mais visiblement, ça n’avait peut-être pas été vraiment le cas. J’écoutai mon amoureux me dire qu’il voulait que je sois fière de lui, il voulait être digne de moi et ça me fasait chaud au coeur.
« Continue à être toi-même, c’est comme ça que je t’aime. »
Je n’avais pas besoin de rien d’autre. Nous nous embrassames un bon moment et ça faisait du bien de sentir ses lèvres contre les miennes. C’était tendre, c’était doux et j’aurais eu envie de continuer encore bien longtemps mais la pluie en avait décidé autrement. Nous rentrâmes donc à l’intérieur. La soirée ne s’était pas passé comme on l’avait pensé mais ce n’était pas une raison pour tout annuler.
« J’ai plus envie de sortir… non. » Surtout que maintenant il pleuvait, c’était pas très motivant. « Mais j’ai pas envie que tu partes… On peut se commander de la pizza et rester ici ensemble?»
. Je voulais qu’on arrête de pleurer et je voulais qu’on se change les idées pour le mieux. J’étais pas prête à définitivement oublier tout ça car je pensais bien que c’était impossible mais je pardonnais mon petit-ami car je l’aimais et je savais qu’il n’avait pas voulu mal faire les choses. Je l'invitai d’un petit signe de la tête pour me suivre jusqu’au salon pendant que je sortais mon téléphone de la poche arrière de mon jeans afin d'appeler la pizza. Toutes ces émotions venaient de m’ouvrir l’appétit. À la fin de mon appel, mon attention se porta vers le petit pendentif qui reposait sur la table du salon ou je me penchai pour le prendre et le faire glisser entre mes doigts.
« Je ne sais pas quoi faire avec ça… je crois que je vais aller le reporter à la bijouterie. » Comme ça, j’aurais la conscience tranquille et même si je le portais depuis quelques mois, il avait l’air encore comme neuf. J’en avais bien pris soin. « Je l’ai adoré, vraiment… mais c’est que du matériel et même si ça me fait de la peine de m’en débarrasser, je crois que c’est la meilleure chose à faire. Et ne t’en fais pas pour moi, ils n’y verront que du feu… j’avais l’habitude de voler moi aussi. Mais moi, c’était de la nourriture dans le garde-manger. »
J’eus un petit grimace à cette pensée car ce n’était pas des bons souvenirs. Je décidai d’aller me glisser aux côtés de mon amoureux sur le canapé en me collant tout contre lui, là où j’étais tellement bien. Il sentait bon en plus, ce que je pouvais aimer son odeur, son toucher… lui au complet.
« Tu pourrais dormir ici avec moi? Enfin si tu veux… Geane n’est pas là… elle est à l’hôpital et je dois t’avouer que j’aime pas trop ça dormir ici toute seule dans ce grand appartement. Puis, dormir avec toi ça me manque beaucoup trop...Comme en voyage!
On ne faisait jamais ça habituellement car j’étais trop gênée de l’inviter alors que ma cousine était présente mais là, c’était différent. Je faisais que repenser à notre dernière nuit ensemble en Italie et ça me donnait bien chaud. Limite, j’avais les joues bien rouge à l'idée de reproduire le tout. J'en avais vraiment envie!
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. | Lun 22 Aoû - 19:57
Between us.
Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.
Je me sentais mal pour Mackenzie, mais en même temps, elle semblait être une gentille jeune femme et j'espérais qu'elle ne se fasse pas avoir par Léo tout simplement. J'avais été trop loin et il est certain que j'irai faire mes excuses quand ça sera le bon moment. - Oui.. j'irai m'excuser, je n'ai pas réfléchi à ce que ça pouvait faire... J'ai laissé ma colère prendre le dessus tout ça à cause de Léo.
Je voulais me reprendre, je savais que je n'avais pas bien réagis, mais bon tout ça à cause que j'avais renversé un peu d'eau sur le chandail de Mackenzie... la petite amie de Léo. Je n'avais pas plus mal tombé ce jour là. Je ne lui en voulais pas à elle, mais plutôt à lui et là c'était encore pire maintenant qu'il avait tout dit à Elizabeth pour le bijou. C'était stupide de ma part, j'en conviens, mais je voulais qu'elle ait quelque chose de spécial venant de moi, pas une babiole. Je sais qu'elle n'était pas très contente de moi, mais je vais essayer de me rattraper d'ici les semaines à venir. Premièrement, un boulot, ça allait être génial. Je demandai donc à ma petite amie si elle voulait toujours sortir et bien entendu, je ne fus pas surpris de voir qu'elle préférai rester pour qu'on se commande de la pizza. J'étais encore bien peiné de ce qui venait d'arriver et j'espérais qu'Elizabeth ne fasse pas tout ça pour me faire plaisir alors qu'elle est mécontente de moi. Je baissai une fois de plus la tête quand elle me dit qu'elle voulait reporter le bijou. Je soupirai et je m'essuyai à nouveau les yeux parce que j'étais honteux.
- Ne dis pas ça pour me déculpabiliser... J'assume ce que j'ai fait...
Elle avait volé de la nourriture, moi aussi... Je savais que la vie était dure. Je pris place sur le canapé et Eli vint m'y rejoindre immédiatement pour se coller à moi. J'appréciais le tout, ça me soulageait qu'elle veuille encore me voir. Même qu'elle m'invita à rester ici pour dormir, ce qui me remonta encore plus le moral.
- oui, je veux bien!
La pizza mit plusieurs minutes à arriver, puis nous mangeâmes tout doucement dans le salon pendant que nous regardions la télévision. C'était une soirée bien simple, mais qui me faisait du bien. Retrouver le calme m'aida à aller mieux et reprendre le contrôle de moi-même.
- J'espère que ta cousine va mieux ainsi que Riley... c'est trop dommage ce qui est arrivé.
Se faire renverser par une voiture, c'était trop affreux. On se prépara ensuite pour se coucher, je n'avais pas amener mes trucs, mais ce n'était pas bien grave, je pouvais dormir tout habiller. ELizabeth alla se changer et je l'attendis dans le lit pour me coller à nouveau. J'aimais sentir son odeur, c'était rassurant et surtout enivrant.
- Je t'aime, je ne veux jamais te quitter!
Elizabeth se retourna alors pour m'embrasser et je ne pu faire autrement qu'en faire autant. Je ne voulais tellement pas la perdre. Mes mains touchèrent son corps tout doucement. Je sentais la chaleur nous envelopper et l'envie prendre le dessus, c'était tellement dur de lui résister, j'en avais mal. Mes mains se glissèrent sous son chandail de pyjama pour toucher doucement sa poitrine. J'espérais qu'elle me le dise si c'était trop. La sensation de sentir ses seins dans mes mains était incroyable! Je crois que je pouvais pas lui cacher vraiment quel effet elle me faisait. J'étais un peu gêné d'ailleurs parce que je ne voulais pas qu'elle soit dégoûter par le fait de sentir quelque chose de dur dans mon pantalon. Je reculai donc la taille pour éviter le toucher. Je serrai ensuite fort ma petite amie avant de continuer à l'embrasser. C'était impossible que je m'arrête, c'était trop bon.
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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI. |
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI.