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 Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI.

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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI.  |   Mar 23 Aoû - 2:23
Between us.

Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.

J’étais heureuse qu’Edward veuille bien rester dormir avec moi ce soir. Ce n’était pas arrivé depuis le voyage et j’en avais plus qu’envie. En plus, l’appartement était grand et je n’aimais pas y dormir seule. Lorsque j’étais arrivée à Miami, j’avais louée une chambre dans le sous-sol d’une vieille dame pour ensuite emménager avec une coloc’. Je n’avais donc jamais été réellement seule pour le dodo.

« J’espère qu’ils sortiront bientôt de l’hôpital… » dis-je en prenant une petite voix triste.

Je n’aimais pas que les gens que j’aime souffrent ainsi. Déjà que je n’avais pas le plus gros des entourages, j’avais peur qu’il arrive quelque chose à l’un deux. Je préférais rester optimiste et pour la peine, tenter de penser à autre chose. Heureusement, il y avait de la pizza et les bras de mon petit-ami pour me remonter un peu le moral. On regarda la télévision pendant un moment avant que décider d’aller se coucher. Pyjama enfilé, j’allai rejoindre Edward dans le lit pour me coller aussitôt à lui.

« Ne me quitte jamais alors. »

Parce que si on était plus ensemble un jour, ça n’allait pas être ma décision. Je m’étais tournée pour le regarder et un rien de temps, ses lèvres trouvèrent les miennes. Un frisson traversa mon corps au complet et je m’étais empressée de lui rendre ses baisers. Je sentis ses mains parcourir mon corps et la chaleur monta rapidement entre nous. Mon coeur battait tellement fort que j’avais l’impression qu’il allait sortir de ma poitrine et pourtant, je ne voulais pas que le moment s’arrête. Ce fut plus que déstabilisant que de sentir les mains d’Edward sous mon chandail jusqu’à ma poitrine. Je ne portais pas de soutien-gorge et donc, il y avait entièrement accès. À ce contact, un petit soupir sortit de mes lèvres avant que je ne glisse ces dernière jusqu’à son cou. Je tremblais, mais pas parce que j’avais peur, j’avais seulement l’impression que je tremblais de désir et que je perdais peu à peu le contrôle. Nos lèvres se retrouvèrent pour un baiser encore plus passionné, ma langue vint à la rencontre de la sienne. Je laissai mon petit-ami m’enlever complètement mon chandail pour avoir accès à mon corps. J’avais les joues bien rouge et j’osais espérer que la vue ne lui déplaisait pas. Je n’en revenais pas que j’étais en train de vivre ça, j’avais envie de me cacher la poitrine mais en même temps, il avait une manière de me regarder qui me mit aussitôt à l’aise, comme si j’avais la plus belle chose qu’il avait vu de sa vie.

Je me stoppai lorsqu’Edward se déplaça complètement par-dessus moi. J’avais figé l’espace d’un moment en le regardant, c’était bien la première fois qu’on me dominait ainsi depuis… depuis quelques années, disons. Mes mains se glissèrent jusqu’à son visage, c’était lui, c’était celui que j’aimais et qui n’allait jamais me faire du mal. Je pris une grande respiration puis, je me redressai pour venir déposer un baiser sur ses lèvres.

« On peut continuer… juste… un peu... »

Je ne savais pas trop où ça allait nous mener mais j’étais tellement bien et j’étais bien surprise que c’était le cas. Je voulais donc profiter du moment et voir jusqu'où était ma limite. Les lèvres de mon petit-ami vinrent retrouver les miennes pendant mes mains glissèrent jusqu’à son chandail que je retirai timidement. Ed fit descendre ses baisers jusqu’à mon cou, puis le long de mon corps jusqu’à mon ventre, me faisant immédiatement frissonner. Nous continuâmes de nous embrasser, de nous caresser ainsi pendant un bon moment comme si ni lui, ni moi avions envie que ça se termine. C’est lorsque son bassin se colla tout contre les miennes et que je sentis ce qui se passait réellement dans son pantalon que je figeai, complètement déstabilisée. Je me disais que si on arrêtait pas là, j’allais le faire arrêter plus tard car on avait beau être bien, on vivait un beau moment, je ne voulais pas faire l’amour là, maintenant. Pas dans ces circonstances, on avait rien pour se protéger et je n’étais pas prête...

« Ok.. je… »

Et voilà, j’avais atteint ma limite pour le moment et pourtant, j’étais assez fière de voir que j’avais été en mesure d’aller beaucoup plus loin que je le pensais. Je me glissai un peu sur le côté pour qu’il se retire de sur moi. Edward ne semblait pas en colère, ce dernier se colla contre moi pour déposer un baiser sur mes lèvres. Je sentais son corps en entier contre le mien, la chaleur de sa peau contre la mienne, c’était particulier comme moment. Je relevai la couverture par-dessus nous parce bon, je n’avais pas l’habitude d’être aussi dévêtue et ça me gênait un peu même si pour la première fois, je venais de laisser Edward voir ma poitrine et même la toucher. On venait d’être intime comme jamais et je me sentais timide mais encore tellement sur mon petit nuage. Je fis doucement parcourir le bout de mes doigts sur son torse en souriant.

« Je t’aime, tu es parfait. » dis-je en me penchant pour déposer un baiser sur ses lèvres, collant ensuite mon front contre le sien. « Je pensais jamais être capable de me rendre jusque là… je me sens vraiment bien. Tout ça, c’est grâce à toi. » Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à l’effet que je lui avais fait sous la ceinture, c’est timidement que je le questionnai à ce propos. « Est-ce que ça va… ça va aller? Je suis désolée de… enfin… je… que ça s’arrête là…Je peux faire quelque chose? »

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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI.  |   Mar 30 Aoû - 0:54
Between us.

Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.



C'est avec Elizabeth que je me sentais le mieux, je ne pouvais pas vivre sans elle, elle était tout pour moi. Je voulais qu'elle le sache, qu'elle comprenne que je n'allais plus faire de connerie. Nous ne restâmes pas figés et collés à rien faire tous les deux dans ce grand lit qui appartenait à Geane. D'ailleurs il fallait que je m'enlève ça de la tête. Je tenais Elizabeth contre moi et il n'y avait pas meilleur sensation, j'aimais la toucher, j'aimais son corps. Dans un élan de passion, je glissai mes mains sous son chandail et je pu pour la première fois caresser ses seins. Je voulais que ça lui plaise parce que ça me plaisait vraiment à moi. Je sentais mon corps vibrer comme jamais il ne l'avait fait avant. Il y avait une telle énergie que je ne pouvais même pas expliquer, mais c'était comme si nous nous retrouvions au milieu d'une sphère lumineuse chauffée. Je continuai à l'embrasser et je mis par-dessus elle pour avoir d'abord une belle vue mais l'approcher d'une façon différente. Je ne voulais pas lui faire peur, je voulais lui montrer que je ne lui ferai pas de mal, que je l'aimais passionnément. Je n'osais plus bouger, je ne fis que la regarder tout en souriant et dans l'espoir qu'elle me dise qu'elle ne déteste pas. Ce fut heureusement le cas et ses mains attrappèrent mon visage pour m'embrasser de plus bel et mon corps se colla contre le sien comme deux amoureux. L'intimité était bien de l'inconnu pour moi et j’espérais que je ne pas faire n'importe quoi. Je fus d'abord surpris qu'elle me retire mon t-shirt, mais je dois dire que ça me plaisait beaucoup. Je voulais faire de même avec le sien. Je voulais sentir la chaleur de son corps contre le mien, je voulais toucher cette si belle énergie. Mes baisers devinrent de plus en plus insistants et tout ce que je souhaitais c'était de faire qu'un avec elle. On aurait dit que je n'étais plus moi-même, tout simplement parce que je n'avais jamais fait ça... J'étais en train d'explorer une nouvelle frontière et c'était loin de me déplaire. Son corps sous le mien elle pouvait voir mon excitation bien présente. Puis... je vis son visage se crisper, je vis ses yeux avoir peur c'est pourquoi je me retirai immédiatement.

J'embrassai à nouveau ma petite amie pour lui montrer que c'était correct, qu'elle n'avait pas à se sentir mal pour ça. Elle se cacha ensuite sous la couverture et je restai par dessus le temps que je refroidisse... My God que c'était difficile de reprendre ses esprits et de refroidir. Je sentais mon entrejambe bien émoustillé que ça me rendait mal à l'aise sur le coup.

- Je t'aime et tu es toi aussi parfaite!

Nos fronts se rejoignirent et elle me fit l'aveu qu'elle s'était bien sentie et je trouvais ça super parce que je savais qu'Elizabeth pouvait réussir à avoir une intimité. Il ne fallait surtout pas qu'elle se décourage, je voyais de gros progrès de sa part et je ne pourrais jamais la remercier autant que je ne le voudrais pour ça. Elle était forte ma petite amie. Puis, moment gênant à venir, Elizabeth voulait faire quelque chose pour moi. Je soufflai un instant... disons que c'était pas agréable du tout.

- Heu... non t'en fais pas pour ça.... ça va s'arrêter! Je vais juste essayer de penser à autre chose.

Je fermai les yeux en essayant de penser à autre chose, mais c'était impossible. Vraiment, il me fallait de la glace ou bien j'étais obsédé par l'idée d'aller finir ça à la salle de bain! Mais si je faisais ça, elle allait le savoir et je voulais pas la rendre mal à l'aise non plus.

- Parle-moi de ta journée de travail!


Ça devrait aider! J'étais encore sur les couvertures le temps que je refroidisse, mais je restai collé à ma petite amie. C'était beau ce que nous venions de vivre quand même. Même si nous n'avions pas été bien loin dans l'intimité, ça m'allait très bien. C'était déjà plus que ce que j'avais vécu de toute ma vie... c'était une sensation incroyable. Juste le fait de parler fit baisser la tension et je rejoignis ensuite ma petite amie dans le lit pour dormir. Maintenant que l'histoire du collier était derrière nous, on pouvait passer à autre chose.

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(#)Sujet: Re: Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir. | EDELI.  |   Jeu 1 Sep - 4:53
Between us.

Elizabeth et Edward
Je t’aime, et tu m’aimes. Et, qu’importe ce qui arrive, je m’en moque, je ne veux pas savoir.


Wow! Tout s’était déroulé tellement vite… tout s’était enchaîné naturellement sans que je me pose de questions. Comme si je ne réfléchissais plus, je ne faisais qu’agir et d’avoir Edward contre moi qui me caressait et m’offrait des baisers était la meilleure sensation au monde. Je n’en revenais pas moi-même d’être en mesure de pouvoir m’abandonner à ce point dans ses bras. Ça voulait dire beaucoup, il avait su gagner ma confiance, puis, mon amitié et maintenant mon amour. Un amour qui grandissait de jour en jour et qu’il n’allait probablement jamais se faner. Moi qui avait longtemps cru jamais être apte à pouvoir avoir un petit-ami de toute ma vie. Bon, j’avais encore du travail à faire niveau relation,niveau intimité mais notre moment venait de me donner espoir que peut-être un jour, j’allais pouvoir, une bonne fois pour toute, oublié mon passer et vivre mon présent à fond sans embûche. Je mis fin à notre petit moment, voyant que les choses allaient un peu trop loin. J’osais espérer que mon petit-ami ne m’en veuille pas, tout semblait être sous contrôle et heureusement. Je lui fis aussitôt part de comment je me sentais car j’avais l’impression d’être sur mon petit nuage. Et pourtant, je ne pouvais que me sentir mal car je savais bien dans quel état tout ça l’avait mit… je veux dire… physiquement. Je lui demandai donc si je pouvais faire quelque chose, aussitôt demandé, je me trouvai fort bien stupide.

« Hum… ok…
»

Je le regardai fermer les yeux en me glissant sous les couvertures. Je me sentais un peu mal pour la peine et je ne pouvais m’empêcher de descendre les yeux vers la bosse dans son boxer. C’était vraiment moi qui avait provoqué ça? Oh mon dieu…

« Ouais… eh bien, ça s’est bien passé… enfin, jusqu’à ce que Léo vienne. ou… ouais bon ok… je devrais peut-être plus parler de lui. »

Ou bien je devrais? C’était un sujet qu’il n’appréciait pas et donc… quelque chose me disait que ça allait peut-être l’aider avec son problème d’espace dans le boxer. Je cru comprendre que c’était le cas puisque ce dernier vint se coller contre moi pour s’endormir l’un contre l’autre.

Le lendemain matin, je me réveillai la première. Je fus quelque peu surprise de réaliser que je n’avais pas remis mon t-shirt de la veille. C’est pourquoi je me redressai, un peu timide à la pensée que j’avais la poitrine complètement nue. Je me couvrai, jetai un coup d’oeil à mon copain qui dormait encore comme un petit bébé et je trainai les pieds jusqu’à la salle de bain puis ensuite jusqu’à la douche question de nous préparer de quoi manger. Je revins finalement à la chambre, une bonne dizaine de minutes plus tard.

« Bon matin! »

Je le regardai ouvrir ses yeux tout doucement, l’air un peu perdu. Il était tellement beau que j’avais envie de l’attaquer de bisous à l’instant. C’est avec le sourire que je le laissai de réveiller un peu en se redressant dans le lit. Ce fut le bon moment pour lui montrer le petit déjeuner au lit que je lui apportais. Ça me faisait plaisir de lui faire ça car je l’aimais et rien n’était trop beau pour lui. Je déposai le cabaret sur ses jambes avant de me pencher pour déposer un baiser sur ses lèvres et faire le tour du lit dans le but de pouvoir profiter également de notre premier repas de la journée. J’apportai un morceau de frère à mes lèvres en accotant ma tête contre son épaule. Nous étions dans le silence complet mais c’était pas plus mal que ça. En fait, le calme me faisait beaucoup de bien.

« J’ai tellement hâte de vivre avec toi pour avoir des matins comme ça tout le temps. »

Je remontai la tête pour le regarder, échangeant un sourire avant que je me penche pour l’embrasser de nouveau. Impossible d’en faire autrement. Nous continuâmes à manger dans le lit avant de passer une petite partie de la journée ensemble. On était tellement bien ensemble et maintenant que le cas Léo et la situation du bracelet était chose du passé, je voulais aller de l’avant, avec lui.


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