(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody | Ven 21 Oct - 14:08
they could make a movie out of us
Fort heureusement pour mon petit coeur qui faisait les montagnes russes depuis le jour où Kieran avait passer le pas de la porte, il décidais de rester et vient même calmer mon coeur en me prenant dans ses bras et déposer un baiser sur mon front. Je me sentais rassurer, l'espace d'un instant j'avais bien cru qu'il allait me filer entre les doigts une fois de plus, disparaître de cet appartement et aussi de ma vie. J'avais eu peur, mais ce soir au moins il resterait auprès de moi. Il resterait contre moi, je pourrais dormir de nouveau dans ses bras. Je sais, d'un point de vu extérieur ce que je faisait à l'instant était horrible. J'étais fiancée, Miles arrivait demain pour passer du temps avec moi et tout ce que j'avais en tête était de passer ma nuit dans les bras d'un autre homme. Un homme qui m'avait rendue si heureuse à une époque que le bonheur sans lui m'étais désormais impossible. Je me rendais compte, ce soir plus qu'à n'importe quel moment de ma vie que j'avais besoin de lui à mes côtés. J'avais besoin de le toucher, de l'embrasser, de sentir son parfum, ses bras autour de moi, d'entendre sa voix, particulièrement le matin quand il viens de se réveiller et qu'il sonne comme la chose la plus sexy au monde. Ou son visage fatigué le soir, qui ne me donne qu'une envie : passer la nuit à prendre soin de lui. Je voulais sentir la chaleur de son corps contre le mien, contrairement à moi qui ai toujours une température corporelle de presque zéro, Kieran était toujours brûlant. Je ne sais pas trop pourquoi, mais cela me donnait une bonne raison de plus pour me coller à lui dés que j'en avais envie. Il reculais sans pour autant me lâcher jusqu'à ce qu'il s'allonge dans son lit, moi sur lui. Là il remontais l'une de ses mains dans ma nuque et vient m'embrasser avec tant de tendresse que mon coeur se remit de nouveau à s'affoler. Moi qui pensait qu'il le calmerait, il eu l'effet contraire. Je plaquais mes mains sur l'arrière de sa tête et lui rendit son baiser tout en tentant de rester tendre malgré ma grande envie de transformer cet échange en un baiser fougueux. Entre deux baisers, je le regardais dans les yeux, ses grands yeux noirs et sourit en coin, comme une enfant avant de lui avouer avec toute la sincérité du monde : « Je t'aime, je t'aime, je t'aime.. Promet de plus jamais me laisser. Promet qu'on sera toujours ensemble. » Soufflais-je, mes lèvres frôlant dangereusement les siennes tandis que mes mains, aillant glissées du derrière de sa tête à son cou pour se placer autour de son visage caressaient doucement sa peau. J'admirais les traits de ce visage que je connaissais pourtant parcoeur et qui restais tout de même magnifique. Je ne m'en lasserait jamais. Je déposait un baiser du bout des lèvres sur sa bouche. « Mon petit bébé bonheur.. » Lâchais-je alors que mes jambes étaient venues s'enrouler autour de sa taille.
(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody | Lun 24 Oct - 18:49
J'irais te chercher toutes les étoiles du ciel, je les broierai, et jetterai mon mélange dans tes yeux si c'est le seul moyen de retrouver cette petite étincelles que j'aimais tant.
Comment lutter contre son premier amour que l'on a jamais véritablement oublié ? J'avais eu beau tout faire, tout essayer, tenter de donner une chance à une nouvelle personne, quoi qu'il arrive Cody était toujours là, Cody était toujours présente dans mes pensées. La revoir avait fait renaître en moi tout ce que j'avais essayé d'enfouir depuis tant d'années maintenant. Mais quoi que je dise, quoi je fasse, il n'y a que cette fille que j'aimais aussi fort. Et pourtant, j'y avais tout ma plus bonne volonté pour essayer de l'oublier, mais on sait tous au fond de nous que l'on oublie jamais son premier amour. C'est indéniable. On a vécu tellement de choses tous les deux. Des choses qui n'ont fait que renforcer l'amour que nous éprouvions l'un pour l'autre. On en a fait des choses. Des choses pas toujours forcément bonnes, mais pourtant, on le faisait quand même parce que c'était comme ça. Parce que l'on avait besoin l'un de l'autre. Alors qu'aujourd'hui on avait réussi à mettre à l'écart la personne qui avait tenté de nous séparer des années auparavant, voilà que c'était Miles, son premier petit copain mais désormais fiancé qui avait décidé de se mettre entre nous, comme s'il avait senti ce qu'il se passait récemment pour décider subitement de lui rendre une petite visite. A croire que c'était fait exprès, à croire que ce dernier avait branché des micros ou caméras ici pour savoir ce qu'il s'y passait. Quoi qu'il en soit, c'était catégorique pour moi, je n'avais pas envie de revivre la même scène d'il y a des années de cela, c'est pourquoi je préférais mettre les voiles chez mon père le temps que Cody puisse se poser et arranger les choses. Elle me soutenait vouloir le quitter, mais moi ce que je voulais, ce n'était pas des mots dit à la légère, mais des actes, je voulais qu'elle prenne le temps de le faire, et qu'une fois chose faite, elle puisse avoir les idées plus claires avec moi. De mon côté, quoi qu'il advienne, j'avais enfin décidé de tout avouer à Chloé. Je ne pouvais pas continuer de rester avec cette fille alors que dans mon fond intérieur, je ne ressentais rien de plus que de l'affection. Oui, je l'affectionnais beaucoup, mais c'était juste de l'affection, ni plus ni moins. Je n'en étais pas amoureux, et je ne le serai jamais d'elle, parce que je l'étais toujours de Cody tout simplement. D'ailleurs, cette dernière refusait de me voir partir, mais moi, je ne pouvais tout simplement pas rester, alors je lui expliquais mes conditions qu'elle finit par accepter. Elle me demandait toutefois de rester avec elle au moins pour la nuit, et me laisserait partir au petit matin. J'avais voulu, l'espace d'une seconde refuser et partir, non pas parce que j'en avais envie, mais parce que je savais pertinemment que dormir à ses côtés rendrait la tâche plus difficile, mais, quelque part, je ne me voyais pas partir, je voulais passer la nuit avec elle. C'est pour cette raison que je finis par accepter, l'entraînant avec moi, jusque dans mon lit, où je me laissais tomber, cette dernière se retrouvant sur moi. Mon regard se plantait alors dans le sien, et je finis par craquer pour venir l'embrasser comme j'en avais envie. Je sentais qu'elle intensifiait ce baiser comme si elle ne voulait plus que nos lèvres se séparent, puis elle finit tout de même par le faire, plongeant à son tour son regard azur dans le mien. Dieu ce qu'elle était belle. Elle avait ce regard si profond, et ce sourire qui me faisait toujours autant craquer. Et son odeur, n'en parlons pas, tant elle m'enivrait. Je pourrais passer des heures et des heures à humer son odeur. C'est alors qu'elle me surprit à répéter trois fois d'affiler ces mots qui voulaient dire tant de choses. Ces mots qu'à elle-seule j'étais parvenu à dire après bien des mois. Ces mots dont j'avais été incapable de redire après elle, tant à mon sens ils ne lui étaient désignés qu'à elle. Ces mots, ses caresses me faisaient frissonner. Je voulais l'embrasser, mais elle le fit avant moi, posant ses lèvres contre les miennes. Je te le promets, soufflais-je alors contre ses lèvres, avant de rompre ce baiser et qu'elle m'appelle "mon bébé" comme elle avait tant l'habitude de le faire plus jeune. Ce surnom me fit alors instinctivement sourire. Promets le toi aussi, promets moi que tu vas quitter cet homme, promets moi que je serai le seul comme tu es la seule, lâchais-je alors à cette dernière avant de glisser ma main derrière sa nuque pour rapprocher son visage du mien de sorte à ce que mon front se retrouve contre le sien, et que je frotte doucement le bout de mon nez contre le sien. Tu sais, ces mots après toi, je ne les ai jamais redis. Pas-même à Chloé comme tu pourrais l'imaginer, lâchais-je dans un premier temps, afin de la rassurer, et afin de lui faire comprendre qu'elle n'avait pas autant d'importance qu'elle pouvait l'imaginer. Je n'ai jamais cessé de t'aimer Cody, lâchais-je spontanément. J'ai pourtant essayé tant j'ai souffert de ton absence, mais je n'y suis jamais parvenu, tout me ramenait toujours à toi, quoi que je dise, quoi que je fasse, lui avouais-je avant de déposer un tout petit baiser sur le bout de son nez.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody | Dim 30 Oct - 20:30
they could make a movie out of us
Et puis ce fut comme si je me retrouvais quatre années en arrière. Je me trouvais au dessus de Kieran, dans ses bras, à lui dire à quel point je pouvais l'aimer et à quel point j'avais besoin de lui. Des années étaient passées, certes, mais hormis ce léger détail rien n'avait changer. Dans mon coeur en tout cas, tout semblait pareil, exactement comme ça l'était au paravant. Kieran était l'homme de ma vie et je ne voyait pas avancer sans lui. Je lui demandais de promettre de ne plus jamais me quitter, ce qu'il fit sans se faire prier. Mais en contre partie, il me demandais de promettre à mon tour, de tenir ma parole et donc de bien rompre avec Miles. De promettre qu'il serait le seul. Cette idée me semblait bien bête, en quelques sortes, puisqu'à mes yeux il avait toujours été le seul. Personne n'avait pu surpasser son souvenir ni me faire ressentir un tant soit peu de ce sentiment de bonheur et de passion quand il se trouvait près de moi. Il frottais son nez au miens, un petit geste infime qui me rappellais tant de bons moments. Un large sourire illuminais mon visage alors que je haussait positivement la tête à plusieurs reprises. J'allais lui promette de vive voix avant qu'il ne réouvre la bouche pour m'assurer qu'il n'avais jamais dis "je t'aime" à une autre personne que moi. Je le fixait et l'écoutait avec attention, je buvais chacun de ses mots et ne pouvait m'empêcher de l'admirer avec toute la tendresse du monde dans le regard. Comment avais-je pu croire une seconde qu'il préférerait l'argent à moi. Il m'aimais tout autant que je l'aimais. Il était la perfection incarnée à mes yeux et j'aurais eu envie de me foutre moi-même une bonne raclée pour l'avoir laisser m'échapper durant des années. Mais je ne ferait plus la même erreur, maintenant que je l'avais retrouver, Kieran et moi se serait fait pour durer. Pour toujours & à jamais. Je me mordillais la lèvre inférieur alors qu'il ajoutais qu'il n'avait jamais cesser de m'aimer. « Ca tombe bien, parce que moi non plus. Et je ne cesserais jamais. » Je lui volait un énième baiser alors que mes mains étaient venues se nicher à l'arrière de sa tête. J'intenssifiait un peu le baiser et me redressait légèrement, le redressant à son tour sans quitter ses lèvres. « Tu es l'homme de ma vie, d'accord. Tu es le seul. Tu restera toujours le seul. » Soufflais-je entre deux échanges de baisers, alors que mon souffle se faisait court et que j'avais l'impression que j'allais exploser. Qui a dis que les hormones des adolescents étaient les plus affolées, j'étais une jeune femme de vingt deux années et pourtant j'avais du mal à me contrôler. Il fallait pourtant que je me calme, il avait raison, je voulais tout autant que lui que notre première fois soit parfaite. Je voulais que tout soit comme je l'avais toujours rêver. C'était peut être un peu naïf, mais ce ne serait pas seulement "notre première fois" mais aussi la mienne. Je me doutais que Kieran lui avait déjà eu d'autres filles, peut être même avant moi et sans aucun doutes après, j'étais un peu appeurée rien qu'à penser à cette idée. Il était expérimenter et moi je ne serais probablement pas comment m'y prendre. Je tentais de chasser cette idée effrayante de mon esprit et de me concentrer sur ce moment, cette soirée. Alors je nous basculait de nouveau sur le lit et vient poser ma tête sur son torse, ma main caressant sa peau.
Nous passions des heures à discuter, pas beaucoup de temps à dormir. Au petit matin, Kieran quitta l'appart et je devait affronter Miles. Ce fut difficile, mais je réussie à passer le cap en me disant que j'étais capable de tout pour retrouver mon Kieran.
Fort heureusement pour mon petit coeur qui faisait les montagnes russes depuis le jour où Kieran avait passer le pas de la porte, il décidais de rester et vient même calmer mon coeur en me prenant dans ses bras et déposer un baiser sur mon front. Je me sentais rassurer, l'espace d'un instant j'avais bien cru qu'il allait me filer entre les doigts une fois de plus, disparaître de cet appartement et aussi de ma vie. J'avais eu peur, mais ce soir au moins il resterait auprès de moi. Il resterait contre moi, je pourrais dormir de nouveau dans ses bras. Je sais, d'un point de vu extérieur ce que je faisait à l'instant était horrible. J'étais fiancée, Miles arrivait demain pour passer du temps avec moi et tout ce que j'avais en tête était de passer ma nuit dans les bras d'un autre homme. Un homme qui m'avait rendue si heureuse à une époque que le bonheur sans lui m'étais désormais impossible. Je me rendais compte, ce soir plus qu'à n'importe quel moment de ma vie que j'avais besoin de lui à mes côtés. J'avais besoin de le toucher, de l'embrasser, de sentir son parfum, ses bras autour de moi, d'entendre sa voix, particulièrement le matin quand il viens de se réveiller et qu'il sonne comme la chose la plus sexy au monde. Ou son visage fatigué le soir, qui ne me donne qu'une envie : passer la nuit à prendre soin de lui. Je voulais sentir la chaleur de son corps contre le mien, contrairement à moi qui ai toujours une température corporelle de presque zéro, Kieran était toujours brûlant. Je ne sais pas trop pourquoi, mais cela me donnait une bonne raison de plus pour me coller à lui dés que j'en avais envie. Il reculais sans pour autant me lâcher jusqu'à ce qu'il s'allonge dans son lit, moi sur lui. Là il remontais l'une de ses mains dans ma nuque et vient m'embrasser avec tant de tendresse que mon coeur se remit de nouveau à s'affoler. Moi qui pensait qu'il le calmerait, il eu l'effet contraire. Je plaquais mes mains sur l'arrière de sa tête et lui rendit son baiser tout en tentant de rester tendre malgré ma grande envie de transformer cet échange en un baiser fougueux. Entre deux baisers, je le regardais dans les yeux, ses grands yeux noirs et sourit en coin, comme une enfant avant de lui avouer avec toute la sincérité du monde : « Je t'aime, je t'aime, je t'aime.. Promet de plus jamais me laisser. Promet qu'on sera toujours ensemble. » Soufflais-je, mes lèvres frôlant dangereusement les siennes tandis que mes mains, aillant glissées du derrière de sa tête à son cou pour se placer autour de son visage caressaient doucement sa peau. J'admirais les traits de ce visage que je connaissais pourtant parcoeur et qui restais tout de même magnifique. Je ne m'en lasserait jamais. Je déposait un baiser du bout des lèvres sur sa bouche. « Mon petit bébé bonheur.. » Lâchais-je alors que mes jambes étaient venues s'enrouler autour de sa taille.
