(#)Sujet: remember what happened last night. (RISAAC) | Mar 27 Sep - 22:24
remember what happened last night
RISAAC
L'endroit où il était couché, un lit, sans aucun doute, était particulièrement confortable. C'était doux, moelleux, mais pas trop. Puis l'oreiller était d'une douceur exquise, vraiment, Riley n'avait pas envie de sortir de là. Il réalisait tout à fait que ce n'était pas son lit, parce que son lit n'était pas aussi divin, mais cette idée ne le gênait pas étant donné que le lit dans lequel il se trouvait était magique. Vraiment, il avait tout ce qu'on pouvait vouloir d'un lit. Riley ne se souvenait pas vraiment de ce qui s'était passé, il n'avait pas non plus mal au crâne. En fait, il se sentait bien, et assez frais, étant donné que la veille au soir, il était sorti avec Isaac. Mais il se sentait bien, ne comptait clairement pas s'inquiéter de savoir où il se trouvait, parce que rester là les yeux clos lui convenait parfaitement. Les draps étaient frais, malgré le fait qu'il y ait visiblement passé la nuit, et il se tourna pour s'allonger sur le ventre, le matelas frais contre son torse et son entre-jambe. Visiblement, il ne portait pas non plus de sous-vêtements, mais ça non plus ça n'avait rien d'alarmant. Le drap était si léger, caressait délicatement ses fesses nues. C'était parfait. Avec les petits rayons de soleil qui passaient entre les rideaux et allaient lui chauffer le dos. Il garda les yeux fermés, mais ne parvint pas à se rendormir, restant un long moment dans cet état de flemme aggravée, allongée là sans la moindre envie de sortir du lit ou même d'ouvrir les yeux. Il bougea encore, sentit un corps à côté du sien. Oh. Intéressant. Il se décala donc, glissa vers cette personne, doucement, pour ne pas la réveiller. Il chercha avec sa main, celle-ci entra en contact avec une autre main, une main d'homme, puis en se rapprochant encore, il reconnut l'odeur du mec qui dormait à côté de lui. Une odeur familière, qu'il était incapable d'identifier, mais ça le rassurait totalement. Ce n'était donc pas un étranger à côté de lui, et tant mieux. Riley se glissa vers celui qui dormait là, jusqu'à ce que ses côtes soient contre le corps masculin qui partageait son lit. Il ne savait pas de qui il s'agissait, mais il avait la peau douce, et chaude. C'était vraiment agréable. Riley avait envie de se caler contre lui, de se rendormir avec ce type dans son dos. Il continuait, les yeux fermés et un petit sourire sur les lèvres, de se glisser vers son compagnon de lit, se rappelant peu à peu la soirée. La pêche aux grenouilles, le début de la soirée au bar, la partie de billard avec les deux filles, leur petite soirée à quatre assis dans l'herbe, le mariage des deux filles. Le mariage. Riley s'était marié. Il avait épousé Isaac, son meilleur pote. Puis... le petit moment de gloire chez les flics, et Arielle. Mais surtout, le mariage. Alors voilà, avec tout ça en tête, soit Riley oubliait un passage très important, soit... bref. La question était de savoir comment il avait pu se retrouver dans un lit, nu, avec un type, tous les deux endormis si paisiblement. Alors qu'aux dernières nouvelles il était avec Isaac. Il médita là-dessus pendant cinq bonnes minutes avant de réaliser que cette odeur si familière était en fait celle d'Isaac. Il entrouvrit les yeux, les sourcils froncés, et jeta un coup d'oeil. C'était bien Isaac. Il avait passé la nuit dans le lit d'Isaac. Isaac. N'étant visiblement pas dérangé le moins du monde par cette révélation, ou n'ayant pas le cerveau assez branché pour réellement se rendre compte, il referma les yeux avec un petit sourire satisfait sur les lèvres, et se blottit contre Isaac.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Mer 28 Sep - 22:19
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
J'avais terriblement mal au crâne. C'était pire qu'un festival à l'intérieur. Ca tambourinait tellement fort, à tel point que je n'arrivais même pas à ouvrir les paupières. Comme si un parpaing les empêcher de se lever. N'ayant pas la force de lutter, je me laissais retomber dans les bras de Morphée. Il faut dire que j'étais dans un état lamentable. Je n'étais pas du genre à me prendre ce genre de cuite, mais hier, je crois que ça avait clairement été la plus grosse cuite de toute ma vie, et pourtant, je m'en étais déjà pris, mais pas au point de me retrouver telle une épave. Bon ceci dit, j'avais sans doute passé la soirée la plus oufissime de toute ma vie. J'avais fais des choses que je n'aurai jamais penser faire, comme me marier avec un homme, signer officiellement des papiers et pourtant sur un coup de tête, Riley et moi nous étions mariés. Mais je crois qu'à côté de ce que nous avions fait après, finalement, le mariage, ce n'était rien en soit. Je ne sais pour quelles raisons j'avais eu l'envie de me pointer au commissariat et d'y rentrer à poil en dansant sur du Justin Timberlake, seulement voilà, c'était risqué, et je pense que le coup de grâce c'était lorsque Riri et moi avions entreprit une danse très collée serrée avec la policière qui se trouvait à l'accueil, résultat, on avait fini en cellule. Mais dans le fond, je ne regrettais rien de cette soirée, bon, peut être le fait d'avoir dérangé ma meilleure amie, mais heureusement qu'elle avait été là, sinon, je ne sais pas qui j'aurai bien pu appeler puisque Riley était avec moi, donc ce n'est surement pas lui qui aurait pu me sortir de là. Je pense qu'il n'y avait vraiment qu'avec Riley que je pouvais faire ce genre de choses, être complètement moi-même, être complètement déjanté, faire des choses complètement folles & hors du commun. Quoi qu'il en soit, j'avais peut être passé l'une des meilleures soirée de toute ma vie, mais ma tête s'en rappelait encore, et mon estomac aussi, ce dernier était plus que barbouillé. A tous les coups, je devais être blanc comme un cul, et ressembler à un cachet d'aspirine vu la migraine que je me payais. D'ailleurs les rayons du soleil vinrent agresser mes paupières toujours fermées me sortant de mes songes. J'avais complètement perdu la notion du temps. C'est alors que quand je daignais me tourner, je sentis quelque chose de tout chaud contre moi. Au début, je pensais à un animal, mais quel con, j'ai pas de chien ni de chat, puis ensuite une fille... Mais en fait, je me souvenais de rien. Pas Arielle quand même ? Je m'efforçais de lever ces putains de paupières et de poser mon regard sur cette personne qui semblait bien proche de moi. Lorsque mon regard se posa sur Riley & que je réalisais que nous étions tout deux nus, dans mon lit, je me mis à bondir d'un coup de mon lit, seulement voilà, j'étais près du bord, et je m'en cassais la figure de ce dernier me cognant l'arrière de la tête contre le coin de ma table de chevet, j'avais entraîné avec moi la moitié de la couette. Ok, il m'avait peut-être vu à poil, et puis franchement, je m'en fichais c'était Riri, sauf que là, c'était beaucoup trop louche, se retrouver dans le même lit nu, alors qu'on était tous les deux complètement ives et défoncés en quittant le commissariat, j'imaginais tout un tas de scénario, des scénarios salaces, loin d'être très sain. Oh mon dieu pas ça. Putain, Riley... Je... Ah wow ma tête bordel ! m'exclamais-je en glissant la paume de ma main droite allait caresser l'arrière de ma tête, punaise je m'étais pas raté. Alors déjà que j'avais la tête en vrac, ah non mais alors là, c'était pire que tout, en plus j'avais l'estomac en vrac. J'étais littéralement dans le gaz. Et puis, avoir Riley dans mon lit, oh non non non, je ne pouvais pas imaginer ça. Je me laissais tomber en arrière, allongé par terre, sur la moquette de ma chambre. Non en vrai, tu crois que... Enfin... M'obliges pas à le dire... & surtout... Dis moi non ! m'exclamais-je en bégayant comme un gros mongol. Non je pouvais tout simplement pas employer ce genre de mot avec mon meilleur ami. Ok on avait une amitié hors du commun, aucun taboo, on pouvait se foutre à poil l'un devant l'autre, ça ne me posais strictement aucun problème, en même temps, on était formé pareil, une tête, un corps, deux bras, deux jambes, des mains, des pieds, un cul tout blanc, des boules et une bite quoi. Mais de là avoir passé ce CAP là, ah non, même bourré, j'espérais vraiment qu'on ait pas fait n'importe quoi.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Ven 30 Sep - 2:08
La soirée avait été génialissime. Non, vraiment, Riley n'en regrettait pas une seule seconde. Peut-être la pèche aux grenouilles, qui avait été désastreuse, mais même ça, ça ne parviendrait pas à tuer le souvenir qu'il avait de la soirée. Puis, il faut dire qu'en y repensant, l'histoire des grenouilles était plutôt drôle. Certes, sur l'instant, il n'avait pas vraiment rigolé, trempé comme il était, mais avec le recul, il devait admettre que ça avait été amusant. N'empèche, cela avait été un échec, puisqu'il était reparti de là sans la moindre prise. Puis avait suivi cette soirée mémorable. Tout moment passé avec Isaac, était mémorable, de toute façon, parce qu'Isaac était génial. Vraiment, Riley trouverait dix mille façons de décrire à quel point Isaac était génial. Isaac était le meilleur, de toute façon. Tout simplement. Riley suivrait Isaac aveuglément à l'autre bout du monde. Il n'avait d'ailleurs suffit que d'une petite proposition de la part d'Isaac pour que Riley le suive dans le commissariat, complètement nu. Et non, ça non plus Riley ne le regrettait pas. Il s'était amusé comme un fou, et s'il avait fini en cellule, ce n'était pas grave. De toute façon, ils étaient mariés pour le meilleur et pour le pire. Mais avec Isaac, il n'y aurait pas de "pire", Riley en était persuadé. Puis, ils s'en étaient bien sortis, Arielle était venue les chercher, et visiblement Riley avait terminé sa nuit dans un lit doux et confortable. En se réveillant, il sentit la présence d'un corps chaud à ses côtés, et se glissa vers celui-ci, à la recherche de contact. Il se colla à celui qui dormait là, à ses côtés, sans vraiment réfléchir. Lorsqu'il ouvrit enfin les yeux pour regarder qui cela pouvait être, il reconnut Isaac. Isaac, nu lui aussi, et l'information ne parvint visiblement pas jusqu'au cerveau de Riley, puisqu'au lieu de se détacher de lui, il se blottit contre son meilleur ami et referma les yeux. Pas même cinq minutes plus tard, il sentit Isaac bouger contre son dos. Juste un peu d'abord, puis d'un coup. Il se décollait de Riley avec hâte, semblait se battre avec le drap, puis suivait un grand boom exactement au moment où Riley se tournait pour voir ce qui se passait. Isaac était affalé à côté du lit, sa tête venait de glisser contre la table de chevet sans doute après l'avoir heurtée, les jambes enroulées dans la couette. Riley, quant à lui, se retrouvait totalement découvert, encore sur le lit, essayant de comprendre ce qui venait de se passer. « Putain, Riley... Je... Ah wow ma tête bordel ! » fit Isaac, avant de glisser sa main vers l'arrière de sa tête. Riley fronça les sourcils. Il était toujours motivé pour rire, volontaire pour s'amuser et faire des conneries, mais quand quelque chose comme cela arrivait à Isaac, quand il voyait son meilleur ami mal en point, il était capable d'être sérieux. Avec le bruit que cela avait fait, le choc avait du être violent. Il espérait juste que ce ne soit rien de grave. Pas de sang, ou de trucs dans ce genre. La santé d'Isaac lui importait beaucoup. « Ca va ? Tu saignes pas au moins ? » il demanda doucement, sérieux. Mais Isaac semblait déjà être passé à autre chose, ce qui était une réponse en soi, puisqu'il se laissait tomber en arrière et se retrouvait allongé sur le dos sur la moquette. Riley tenta de se redresser, de bouger, faire quelque chose, mais il se rendit compte qu'il avait mal partout, que pas un seul muscle de son corps ne voulait coopérer. En particulier la partie Sud. Les fesses et les cuisses. Gosh. « Non en vrai, tu crois que... Enfin... M'obliges pas à le dire... & surtout... Dis moi non ! » lui dit alors Isaac, avec beaucoup de désespoir et de conviction. Il semblait vraiiiiment vouloir entendre ce "non" sortir de la bouche de Riley, même si ce dernier n'avait absolument aucune idée de ce dont parlait Isaac. « Non... » il répondit, pour lui faire plaisir, le regardant, incrédule, et lui disant ce mot en l'accentuant comme une question plutôt que comme une réponse. Peut-être que ça suffirait à Isaac, peut-être qu'il avait simplement envie d'entendre ce mot sans aucune justification. Tant mieux, car Riley ne savait pas à quoi il disait non, mais pour faire plaisir à Isaac, il était prêt à dire non. Il se tourna doucement vers le bord du lit, bougeant un peu les jambes pour se lever. La douleur était violente. « Bro j'ai grave mal au cul » il se plaignit, alors que doucement il tentait de s'asseoir, avant de passer une main pour aller se masser un peu la fesse gauche. Il avait l'impression de sortir d'une séance de sport intense. Etrange. Puis ses yeux se posèrent sur un petit objet intéressant, laissé là sur la table de chevet, de son côté. « Wow » lâcha Riley sans quitter des yeux l'emballage de préservatif vide laissé là. Ca, c'était étrange, très bizarre même. Parce que très clairement ils étaient seuls dans cette chambre, alors si l'un d'eux avait utilisé une capote... wow. Trop bizarre. « Brooooo... est-ce qu'on a ken ? » il demanda sans passer par quatre chemins, se penchant un peu pour attraper entre deux doigts l'emballage. Il l'observa un instant, comme si celui-ci contenait la réponse à sa question. Puis il se tourna vers Isaac, et jeta l'emballage sur son côté du lit. « En tous cas, on a été prudents » il commenta, un grand sourire sur les lèvres, comme si c'était la meilleure nouvelle de l'année, comme si l'utilisation d'un préservatif les sauvait subitement. Parce que visiblement, tant qu'ils s'étaient protégés, tout allait bien.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Mer 19 Oct - 15:53
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
Alors que je sortais tranquillement de mes songes, lorsque je me rendais compte que je me retrouvais nu, au côté de Riley également nu, je fus pris d'une crise de panique et tombais du lit. Seulement voilà, en tombant de ce dernier, totalement paniqué, je m'en cognais l'arrière de la tête contre le rebord de la table de chevet, et autant vous dire que ce réveil en fanfare avait fait bondir mon coeur dans ma poitrine. Ce dernier battait à cent à l'heure. Putain mais qu'est-ce que je foutais avec Riley nu dans mon lit. Je n'avais pourtant pas l'impression que cela alarmé mon meilleur ami plus que ça qui restait dans sa tenue d'Adam, allongé sur mon lit. Alors ok, il n'y avait pas de tabou entre nous, ok on s'était déjà vu à oilp à plusieurs reprises, pas plus tard que la veille au soir, mais de là dormir nu dans le même lit, l'un contre l'autre, oh my god. Evidemment que ça ne lui faisait ni chaud ni froid dans la mesure où Riley était pansexuel, il aimait les filles comme les garçons, en revanche, j'avais parfois beau me comporter comme un gay par moment avec lui pour faire le con, j'étais loin de l'être. J'étais à 200% hétéro, les filles c'était tout ma vie quoi. C'est pour cette raison que j'avais réagi de manière aussi brutale lorsque je m'étais rendu compte de l'ampleur des dégâts. Il n'empêche que dans ma chute, je m'étais littéralement bien amoché la tête au point d'en avoir un mal de tête effroyable, bon ok, j'avais aussi beaucoup bu hier soir, mais cette chute n'avait en rien arrangé ce mal de tête qui serait sans doute survenu d'une minute à l'autre. Je me frottais l'arrière de cette dernière avec la main quand Riley me demandait si je ne saignais pas. Instinctivement, je regardais ma main mais rien, pas une trace de sang, en revanche, je ne m'étais pas raté tant ça me brûlais à l'arrière du crâne. Non c'est bon, RAS! A cet instant même j'avais envie de crever tant j'étais mal en point. J'avais le bide en vrac, la nausée, la tête n'en parlons pas, à croire qu'un groupe de rock avait décidé de s'acharner sur chacun des instruments et faire un boucan pas possible à l'intérieur. Mais bon, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même. Quelle idée de boire comme un trou comme j'avais pu le faire hier. Heureusement que c'était les vacances, je n'ose imaginer l'état dans lequel je me serai rendu au boulot si j'avais travaillé aujourd'hui tiens. Tout un tas de questions se bousculaient dans mon esprit, et si Riley & moi avions... Enfin... Ah beurk, vous m'avez compris. Je secouais négativement la tête pour chasser ces idées noires de mon esprit, non clairement, ce n'était pas possible, nous n'avions pas fait ça, pas nous. Mon meilleur ami me répondit d'un air loin d'être sûr de lui. Oh my god. C'était la cata. Non mais si j'avais couché avec Riley, non mais merde j'ai quand même pas fourré mon pénis dans son cul... Oh putain. Quoi que hein ? Mal au cul. QUOI ! m'exclamais-je en poussant un cri dans la chambre, et je restais presque sûr que quiconque aurait été dans n'importe quelle pièce de la maison m'aurait entendu, vu mon exclamation. Non mais c'est pas possible, t'as du te faire mal au cul hier soir, en faisant le con, vu qu'on a fait n'importe quoi ! m'exclamais-je encore plus paniqué que précédemment. Ah nan mais alors là, si on avait vraiment franchi ce cap, c'était le pompom sur la Garonne. Je me laissais tomber en arrière en mettant mes mains sur mon visage avant de me taper les joues comme pour essayer de me réveiller, et de me sortir de ce cauchemar. Mais Riley en rajoutait lorsqu'il trouvait le sache d'un préservatif ouvert. Je me redressais brutalement pour regarder & être sûr de ce qu'il affirmait. Non mais Riley ! Comment tu peux prendre ça à la légère ? On peut pas avoir ken merde! T'es comme mon bro, ma chaire & mon sang, c'est tout bonnement pas possible ! m'exclamais-je scandalisé par sa façon de rester aussi calme face à cela. S'être marié n'était pas un problème, mais avoir niqué s'en était un autre. Déjà que je passais pour un gros gay auprès de Nightmare, bon clairement je m'en battais les reins, mais si ça venait à ses oreilles, elle resterait persuadée qu'on ait pu niquer & là, je serai dans la merde, surtout vis à vis de mon boulot. Je ne voulais pas que ma vie sexuelle soit affichée sur les réseaux sociaux, mais malheureusement rien n'échappait à la bloggueuse. Le fait de passer pour un gay, je m'en fichais tellement, au contraire cela me faisait rire, mais que l'on étale ma vie sexuelle de la sorte, là c'était moins drôle si un parent tombait dessus.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Sam 22 Oct - 23:44
Isaac bondit hors du lit, et alla s'éclater la tête contre le bord de la table de chevet, ce qui réveilla bien Riley. Lorsqu'il fallait faire le con et déconner, il était toujours partant, mais là, alors qu'Isaac semblait ne pas aller bien du tout, il retrouvait son sérieux en un centième de seconde, et lui demanda s'il allait bien, s'il ne saignait pas. Si Isaac s'était sérieusement blessé, Riley allait devoir rapidement enfiler des fringues et sortir de là pour emmener Isaac à l'hôpital. Gosh, si Isaac était blessé... Non c'est bon, RAS! Il répondit, et Riley souffla un bon coup. Ouf, c'était déjà un problème en moins. Il continua à regarder Isaac, un peu inquiet, se demanda s'il devait peut-être lui mettre de la pommade. Ca risquait d'être un peu embêtant, dans les cheveux d'Isaac, mais si ça pouvait aider, Riley lui masserait la tête volontiers. Ou peut-être qu'un cachet ferait l'affaire. Isaac se remit doucement, et commença à lui poser des questions, auxquelles Riley ne savait pas répondre. La seule chose dont il était sûr, c'était la douleur dans son arrière train et il n'hésita pas à faire savoir à Isaac qu'il souffrait là en-bas. QUOI ! Hurla Isaac, ce qui fit sursauter Riley. Non mais c'est pas possible, t'as du te faire mal au cul hier soir, en faisant le con, vu qu'on a fait n'importe quoi ! Il ajouta, et c'était probable, il y avait des chances. Riley hocha doucement la tête, haussa un peu les épaules. Il voulait bien faire confiance à Isaac sur ce coup-là, Isaac semblait sûr de lui. Riley commença à se tourner vers le bord du lit, pour se lever et là, son regard s'arrêta sur le petit emballage éventré qui avait été abandonné sur la table de chevet. Wow. Ca, c'était étrange. Qui est-ce qui aurait bien pu utiliser ça ? Il n'y avait qu'eux deux dans cette chambre, du moins... Riley était plutôt certain qu'il n'y avait qu'eux dans cette chambre... Et ça faisait beaucoup de détails qui s'ajoutaient les uns aux autres pour devenir plus que quelques coïncidences insignifiantes. Il se tourna vers Isaac, lui demanda sans passer par quatre chemins s'il en savait plus sur ce qui s'était passé pendant la nuit, jeta même vers lui l'emballage qu'il avait trouvé en déclarant qu'au moins, quoiqu'il fût arrivé, ils s'étaient protégés, et c'était ça l'essentiel. Non mais Riley ! Comment tu peux prendre ça à la légère ? On peut pas avoir ken merde! T'es comme mon bro, ma chaire & mon sang, c'est tout bonnement pas possible ! Cria à nouveau Isaac, comme si subitement il avait perdu la faculté de varier le ton de sa voix, comme si désormais il ne pouvait plus que s'exprimer de la sorte. Riley était un peu dépassé, il lui fallut un moment pour prendre en compte tout ce que disait Isaac. Vraiment, il ne prenait rien du tout à la légère. Il se disait juste que, si effectivement il s'était passé quelque chose cette nuit, ils avaient été prudents et au final... Bref. Ca faisait sens dans sa tête, c'était déjà ça. Puis, il ne se souvenait de rien, et peut-être qu'il ne se souviendrait jamais. C'était juste que tout dans le scène actuelle donnait l'impression de quelque chose. Entre leur nudité, et le sachet sur la table de chevet, et le mal de cul de Riley. Ca faisait beaucoup. Puis était-ce vraiment si étonnant ? Isaac était vraiment canon, et ça pouvait expliquer certaines choses. Mais en même temps... « Non mais t'inquiète, si on avait baisé tous les deux, on s'en souviendrait » il répondit, avec un énorme clin d'oeil. Riley était plutôt certain qu'ils étaient inoubliables l'un tout autant que l'autre. Deux dieux du sexe. Rien que ça. « M'enfin ça explique pas le truc de capote vide » il ajouta, un peu plus sérieusement. L'idéal serait de retrouver le préservatif en question. C'était le témoin clé de cette affaire. Peut-être qu'il avait quelque chose à dire. Certainement même. Qu'est-ce qu'ils auraient bien pu faire en pleine nuit avec une capote si ce n'était s'envoyer en l'air ? La gonfler ? La remplir d'eau ? Ou quelque chose que les Isaac et Riley sobres ne pouvaient tout simplement pas s'imaginer... Riley inspecta nouveau l'emballage, fronçant un peu les sourcils. « Goût fraise ! C'mon préféré » il déclara en souriant, jetant un regard à Isaac. « C'ta taille XL ? » interrogea ensuite Riley en tournant le papier vers Isaac pour qu'il puisse à son tour lire ce qui était inscrit sur l'emballage.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Ven 28 Oct - 18:02
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
Grand Dieu, si vraiment nous avions tout deux fait quelque chose, alors là, je crois que je m'en remettrais sans doute jamais. J'aimais beaucoup Riley, c'était mon meilleur pote, entre nous, il n'y avait aucun tabou, me montrer nu devant lui comme j'avais pu le faire hier ne me dérangeais pas, mais par contre, passer cette barrière, passer ce CAP, non je ne pouvais pas y croire, même totalement saoule comme je l'étais hier, je n'aurais jamais pu faire ça avec lui, et même si Riley était pansexuel, et que par conséquent, fille comme garçon, qu'importe le sexe, il ne se serait jamais parmi d'abuser de moi, ou de faire quoi que ce soit avec moi. Il savait que j'étais à deux cent pour cent hétérosexuel, que les femmes, c'était ma vie, qu'elles rythmaient mon quotidien, donc il n'aurait jamais pu me laisser faire une telle chose, même si ce matin, il semblait prendre tout ça à la légère, je le connaissais assez pour savoir ça, même si je devais avouer avoir un certain doute quant à tout ça, et encore plus lorsque ce dernier mettait la main sur un sachet de préservatif. Là c'était l'apocalypse, c'est comme si mon coeur avait manqué un raté tant j'étais stressé. J'essayais de me souvenir d'où pouvait provenir ce sachet, mais tant c'était la symphonie dans ma tête, j'avais du mal à me concentrer sur quoi que ce soit, de plus, j'avais tellement de mal à réaliser quoi que ce soit, que du coup, c'était le brouillard là dedans. Je sentais que je commençais à m'énerver, dû à la panique, fin même si j'aimais beaucoup Riley, imagines sa queue dans mon arrière train ou la mienne dans le sien me donnait envie de vomir. Je n'avais absolument rien contre l'homosexualité ou ce genre de pratique, mais ce n'était franchement pas pour moi. J'aimais trop balader mes mains sur le corps d'une femme. D'ailleurs, j'avais du mal à cerner la réaction si pacifiste de Riley, ça me dépassais. Comment pouvait-il prendre ça de cette manière ? Soit il ne réalisait pas vraiment, soit il était encore sous l'emprise de l'alcool et n'avait pas totalement décuvé, je ne voyais que ça. Selon mon meilleur ami, si nous avions vraiment fait quelque chose, on s'en souviendrait, enfin on était tellement plein en se couchant, que j'avais du mal à imaginer me souvenir de tout, d'ailleurs, même si je me souvenais de l'épisode mariage, je ne me souvenais pas de tout ce qu'il s'était passé durant toute la soirée, je devais avoir des trous, donc il n'y aurait rien d'étonnant au fait que j'ai pu oublier ce passage de la soirée, même si je dois avouer qu'il n'avait pas tord, couché ensembles, ce n'était pas quelque chose d'anodin & me faire prendre par derrière ou inversement avec Riley, je m'en souviendrais merde. Mais bien sûr, alors qu'il se voulait être rassurant, Riley semait de nouveau le doute dans ma tête. Putain avoues tu le fais exprès c'est pas possible ! m'exclamais-je en lâchant un rire légèrement nerveux. Mais comme Riley était plutôt doué dans l'art de me faire rire quand c'était pas le moment, ce dernier me parla du goût et de la taille de la capote, ce qui je dois l'avouer me faisait particulièrement rire. Bah... Tu veux que ça soit la taille à qui trouduc ! m'exclamais-je en riant de plus belle. Je connais pas la taille de la tienne, mais si ce n'était ni ta taille, ni la mienne, il y avait de quoi s'inquiéter, repris-je en faisant claquer ma paume de ma main contre mon front. Heureusement que c'était une capote que j'avais mis car clairement, si en plus ce n'était pas ma taille ni celle de Riley mais celle d'une tierce personne, alors là, j'aurai sans doute fait un arrêt cardiaque me connaissant. Bon ceci dit, j'ai grave la dalle et je pense qu'un aspirine ne me fera pas de mal donc, on va éviter de continuer d'épiloguer là dessus, on va se dire que tout ceci n'est qu'un quiproquo et qu'il ne s'est absolument rien passer, et on va gentiment aller bouffer! m'exclamais-je en rigolant avant de me relever et ouh, ça tourne. Je pose ma main sur ma commode pour me stopper dans ma marche, et attendre que je me stabilise avant de marcher en direction de la cuisine où la première chose que je fis était de prendre un cachet parce que clairement, il fallait que ce mal de tête se casse.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Sam 29 Oct - 12:12
Il comprenait qu'Isaac ne trouve pas ça très drôle. Tout portait à croire qu'ils avaient couché ensemble durant la nuit, et c'était assez affolant. Même Riley n'avait pas trop envie d'y croire, et évidemment sa réaction à tout ça fut d'essayer de le prendre à la légère, de se convaincre que ce n'était rien de grave. Que visiblement ils s'étaient protégés et ne se souvenaient de rien. Alors c'était un peu comme si rien ne s'était passé. C'était ce qu'il voulait faire comprendre à Isaac, que cette soirée pouvait tout simplement être oubliée. Isaac était certes très attirant, mais imaginer qu'ils auraient pu faire quelque chose comme ça, tous les deux... c'était juste trop bizarre. Parce qu'il n'y a jamais rien eu de tel entre eux et que penser tout à coup qu'Isaac ait pu avoir l'idée folle de fourrer son pénis entre les fesses de Riley... nope. Alors vraiment, Riley essayait juste d'oublier, de diminuer la chose au maximum pour que ce soit insignifiant, une erreur de parcours, une petite crotte qui disparaîtrait vite. Puis, coucher avec Isaac... cela aurait probablement été mémorable, si non de par la qualité du sexe, alors plutôt par le fait que c'était tout simplement complètement dingue. Il tenta donc de rassurer son meilleur ami en lui expliquant cela, lui disant que s'ils avaient baisé, ils s'en souviendraient. Puis il enchaîna en disant tout de même que cela n'expliquait pas pourquoi il y avait ce papier de capote posé juste à côté du lit dans lequel ils s'étaient réveillés, nus, ensemble. Il n'y avait visiblement aucune trace de la capote, ce qui voulait dire qu'au moins l'un d'eux s'était déplacé pour la jeter, et... Riley était presque prêt à mener l'enquête. Trouver la capote égarée, élucider ce mystère, c'était excitant. Putain avoues tu le fais exprès c'est pas possible ! lui sortit Isaac en riant à moitié, ce à quoi Riley secoua un peu la tête et haussa les épaules, avant de se pencher sur l'emballage. Il inspecta celui-ci, et lut à voix haute le descriptif. Bah... Tu veux que ça soit la taille à qui trouduc ! Je connais pas la taille de la tienne, mais si ce n'était ni ta taille, ni la mienne, il y avait de quoi s'inquiéter. lui répliqua Isaac, entre le rire et le désespoir, visiblement. Riley le regarda un peu étonné, leva les yeux de l'emballage qu'il avait en main pour lui dire « T'as une bite XL ?? » avec un peu de surprise dans la voix. « C'est drôle, en la voyant comme ça elle a l'air plus petite » il ajouta en fronçant les sourcils, désignant d'un coup de tête le sexe d'Isaac. Il baissa les yeux ensuite pour regarder son propre pénis, puis celui d'Isaac, puis le sien de nouveau, comme si l'un de leurs pénis finirait par se dénoncer. Puis il finit par abandonner au haussant les épaules au moment où Isaac reprenait la parole. Bon ceci dit, j'ai grave la dalle et je pense qu'un aspirine ne me fera pas de mal donc, on va éviter de continuer d'épiloguer là dessus, on va se dire que tout ceci n'est qu'un quiproquo et qu'il ne s'est absolument rien passer, et on va gentiment aller bouffer! il déclara, avant de se lever. Il n'avait pas l'air d'avoir beaucoup d'équilibre ce matin, et Riley le suivit un peu du regard pour s'assurer qu'il ne se casserait pas la gueule une seconde fois. Puis, il semblait qu'Isaac ait retrouvé ses capacités, et Riley reposa donc sagement le papier sur la table de chevet avant de se lever à son tour. Il s'enroula dans le drap et sortit à son tour de la chambre pour rejoindre Isaac dans la cuisine, où le jeune homme était en train d'avaler un cachet. « Vas-y donne. Pour mon cul. » fit Riley en tendant la main et attendant qu'Isaac lui file un comprimé à lui aussi. Il l'avala avec un peu d'eau, ayant abandonné l'idée d'avaler à sec le jour où il avait réussi à se coincer un doliprane dans la gorge et avait ainsi fini aux urgences. Il resta debout dans la cuisine avec un paquet de céréales coincé entre son bras et son torse, l'autre main effectuant avec une vitesse impressionnante des voyages entre l'intérieur du paquet et sa bouche. « J'vais pisser » il déclara en posant le paquet sur la table et se dirigea vers la salle de bain. Une fois dans la pièce, il se débarrassa du drap et pissa un bon coup, avant de se pencher tout de même sur la poubelle de la salle de bain, trop curieux pour abandonner, se mettant à la recherche de la fameuse capote. Il regarda un peu sans fouiller, puis entreprit de s'asseoir sur la petite étagère qui se trouvait derrière lui, histoire de s'installer confortablement pour continuer ses recherches. Il ne regarda pas vraiment où il posait ses fesses, de toute façon il connaissait l'appartement d'Isaac par coeur et il n'y avait jamais rien sur cette étagère à par quelques serviettes parfois. Il s'assit donc d'un coup sans se poser de questions, et poussa un hurlement terrible lorsqu'une douleur violente vint attaquer son cul. Il se releva de suite, mais ça ne passait pas, ça ne passait pas non, ça continuait, ça semblait rester coincé. Il gesticulait dans tous les sens, mais n'osait pas toucher au cas où ça empirait les choses. « ISAAAAAAAAAAAAAAAC !!! ISAAC AU SECOURS » il hurla encore, alors qu'il sentait comme des épines enfoncées dans ses petites fesses désormais traumatisées.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Sam 29 Oct - 21:56
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
Et malheureusement, je me retrouvais là, assis par terre, au beau milieu de ma chambre, recouvert de cette couverture qui cachait mes parties intimes à débattre avec mon meilleur ami sur le fait d'avoir couché avec lui ou non. C'était quelque chose qui me semblait tellement improbable, et malgré le taux d'alcoolémie dans le sang, j'avais du mal à imaginer ne pas pouvoir me souvenir d'un tel acte, afin, c'était quelque chose de tellement peu commun, voir même hors du commun pour moi que ça ne pouvait pas m'être arrivé. Non, non, non, ce n'était pas possible, du moins, j'essayais vraiment de me convaincre que ça ne l'était pas. Je ne pouvais pas imaginer une seule seconde avoir enfoui mon pénis dans son cul, mais bon, il faut dire que Riley n'était pas très rassurant quand il prétendait avoir mal au derrière et qu'en plus il trouvait un préservatif de la taille de mon pénis. Alors il est vrai qu'il marquait un point sur une chose : on s'était protégé, mais malgré tout, je pouvais pas croire ça. Imaginer la présence d'une tierce personne était envisageable mais... Où était-elle ? Si vraiment on s'était ramené avec une troisième personne, elle serait sans doute encore là. Bordel de merde, mais que c'était-il réellement passé cette nuit, après qu'Arielle nous ait dépose chez moi. Putain mais pourquoi j'ai pas demandé à Arielle de dormir chez elle, on en serait sans doute pas là, à essayer de chercher le pourquoi du comment de tout ça. Puis récemment, je n'avais ramené personne chez moi, et je n'avais couché avec personne. Tiens en y repensant cela faisait un moment que je n'avais pas couché avec une fille. Étonnement. Bref, quoi qu'il en soit, je n'avais pas envie d'y croire. Riley me faisait cependant rire quant à la taille de mon pénis étant visiblement surprit, et pourtant c'était bel et bien la taille que j'avais. Sa remarque me fit rire de plus belle. C'est normal c'est parce qu'elle est au repos, lâchais-je en riant de plus belle avant de me lever, et de me sentir partir. Oula, j'aurai peut-être dû réfléchir à deux fois avant de me lever aussi rapidement. Je me retenais alors à la commode, posant l'une de mes mains sur ma tête comme pour essayer de calmer les tambours qui raisonnaient à l'intérieur. J'attrapais un boxer dans la commode que j'enfilais, puis je descendais difficilement les escaliers qui menaient tout droit à la cuisine. Ni une ni deux, j'attrapais la boîte d'aspirine pour en sortir un cachet que je lançais dans ma bouche, puis me servis un verre d'eau pour avaler le tout. A ce moment-même, Riley arrivait à son tour, enroulait dans mon drap m'en demandant un à son tour. Je lui lançais alors la boite de cachets. Putain si c'était permis, je crois que je me serai enquillé la boite toute entière tellement c'est l'bordel là dedans, lâchais-je en désignant ma tête de mon index. J'allumais ensuite la machine à café puis y glissais une dosette pour me faire couler un café, je crois que j'avais bien besoin de ça pour me sortir de ce gaz dans lequel je me trouvais depuis mon réveil. Mine de rien, je m'étais pas raté en tombant du lit puisque je ressentais une certaine douleur à l'arrière de la tête. Je crois que je me suis pas raté, repris-je en caressant l'arrière de ma tête avec la paume de ma main. Plus jamais des réveils comme ça les lendemains d'une soirée fortement arrosée, ajoutais-je en rigolant, avant de m'asseoir sur une chaise et boire mon café. Riley étant comme chez lui, je le laissais s'auto-gérer en fouillant dans les placards, et en se faisant un café s'il le souhaitait. Ayant envie de pisser, je lui chipais son paquet de céréales pour en manger tranquillement. Seulement voilà. Alors que je déjeunais tranquillement, j'entendis mon meilleur pote hurlait mon prénom dans tout l'appartement. Et quand je disais hurler, je n'exagérais pas sur le terme. Je bondis de ma chaise pour aller le rejoindre, mais voilà qu'il n'était plus aux toilettes, mais dans la salle de bain. Bordel mais qu'est-ce que t'as branlé gros ? C'est alors que très vite, je faisais le rapprochement entre son arrière train, et le cactus qui était posé sur cette étagère. En plus c'était son cactus, il me l'avait confié lorsqu'il était parti quelques jours et qu'il n'avait pas pu l'emmener avec lui. Me dis pas que... Oh non Riley c'est pas possible, t'as foutu ton cul sur Fred ! m'exclamais-je en tapant la paume de ma main contre mon front, comme pour montrer mon désespoir face à cet acte incontrôlé et involontaire. Bon bah je crois que je suis bon pour jouer les esthéticienne et t'arracher chaque épines à la pince à épiler ! m'exclamais-je en voyant son visage se décomposer. On a pas l'choix Riley, c'est soit ça, soit on trace à l'hôpital, mais ça risque d'être compliqué pour t'asseoir dans la voiture... Sous entendais-je le fait que de part les épines, il ne pourrait surement pas s'asseoir. Je finis par aller fouiller rapidement dans mes tiroirs pour en dénicher l'ustensile souhaité. Je m'approchais de lui en tenant la pince à épiler et en lui présentant l'arme avec laquelle j'allais lui retirer chaque épine. Je suis désolé de te dire qu'il va falloir que t'ailles te foutre à plat ventre sur mon lit pour que je te retire tout ça de là, repris-je en regardant ce dernier qui finit par entamer une marche qui je devais l'avouer me faisais mourir de rire parce qu'il avait du mal à avancer, pauvre Riley, y'a vraiment qu'à lui que ce genre de chose peut arriver. Réalisant qu'il fallait monter les escaliers, on fit machine arrière pour aller dans le salon où il se laissait tomber sur le canapé, et c'était parti pour l'opération extraction des épines de Fred. J'en attrapais une avec la pince, et tirais d'un coup sec histoire que la douleur soit d'un coup, et non à y aller doucement pour ne pas le charcuter d'avantage. C'était ce que les filles faisaient quand elles épilaient, ouais je m'étais déjà fais épiler par une fille, et elle m'avait expliqué que le moins douloureux, c'était d'arracher le poil d'un coup d'un seul, et non pas de prendre son temps en pensant que ça ferait moins mal car c'était pire. Euh Riley, si tu réagis comme ça à chaque épine, on y est encore demain, arrêtes de faire ta chochotte, lâchais-je avant de rire face à une telle situation. Tu me donnerais presque envie de prendre un selfie avec ton cul qui ressemble à un porc-épic ! m'exclamais-je avant de rire de plus belle.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Dim 30 Oct - 21:07
Il avait peut-être couché avec Isaac. Peut-être que cette nuit, Isaac avait fourré son pénis dans l'anus de Riley. Peut-être aussi que si cela s'avérait être vrai, ça ne surprendrait personne en ville étant donné qu'ils avaient une amitié assez étrange... mais c'était de l'amitié, et jamais ils ne seraient allé jusque là, jusqu'à faire ça. Ce n'était pas qu'Isaac était repoussant, loin de là, au contraire. Isaac était merveilleusement bien foutu. Isaac avait un très joli pénis, et Riley n'avait absolument rien contre celui-ci, vraiment, un très joli pénis. Mais de là à envoyer un gros FUCK dans toutes les règles possibles de l'amitié, nope. Le joli pénis d'Isaac ne méritait pas de rencontrer les fesses de Riley. Ce n'était pas possible, ça ne faisait pas partie du plan, des choses acceptables. Leur amitié avait peu de limites, mais ça, c'était bien au-delà des quelques lignes à ne pas franchir. Pourtant, Riley essayait d'en rire, parce que peut-être bien qu'au final, tout compte fait, ça n'avait rien d'absolument grave. Ce n'était pas l'apocalypse, personne n'était mort. Il tenta de rassurer Isaac de cette façon, n'y parvint pas vraiment, et se pencha ensuite de plus près sur l'emballage, avant d'interroger Isaac sur la taille de son sexe. La réponse fut assez surprenante, Riley ne s'attendait pas à ça, et il se concentra un moment pour regarder ce qu'il y avait à voir de la queue de son meilleur pote. C'est normal c'est parce qu'elle est au repos, expliqua Isaac. Riley était assez curieux de ce à quoi pouvait alors ressembler le monstre qu'Isaac transportait entre ses deux jambes, lorsque celui-ci n'était pas endormi. Il hocha un peu la tête, et voilà qu'Isaac se levait et faillit tomber une fois de plus. Ils descendirent ensuite pour aller manger quelque chose, et Isaac prit un cachet avant de passer la boîte à Riley. Putain si c'était permis, je crois que je me serai enquillé la boite toute entière tellement c'est l'bordel là dedans, dit-il alors, et Riley s'approcha de lui pour regarder l'arrière de sa tête alors qu'il se faisait couler un café. Il écarta délicatement les cheveux d'Isaac. Il n'y avait rien à voir. Pas de sang, de bout de peau qui se barrait, ou de morceau d'os ou de cerveau. Tout allait bien. Je crois que je me suis pas raté. Plus jamais des réveils comme ça les lendemains d'une soirée fortement arrosée, fit Isaac en rigolant, après avoir passé une main à l'arrière de sa tête. Riley était allé se chercher un paquet de céréales et commença à grignoter. « En tous cas, moi j'ai trop bien dormi » dit alors Riley, la bouche pleine. « J'me sens tout frais. Comme une fleur. Genre... un tournesol » ajouta-t-il. Il annonça quelques minutes plus tard qu'il allait pisser, et en profita pour passer par la salle de bain, et commencer la recherche de la capote. Il ne comptait mettre les mains que si c'était absolument nécessaire, et préférait donc ne pas trop fouiller. Lorsque Riley tenta de s'asseoir sur une petite étagère qui lui servait souvent de siège, il poussa un hurlement strident en sentant quelque chose s'enfoncer dans ses fesses. Il se leva de suite, mais cela n'arrangea rien. Merde merde merde il ne comprenait rien, il ne savait pas qu'est-ce qui était en train de lui arriver. Paniqué, il appela Isaac au secours. Il hurla jusqu'à ce que son meilleur ami débarque dans la salle de bain. Me dis pas que... Oh non Riley c'est pas possible, t'as foutu ton cul sur Fred ! dit alors Isaac, qui semblait plus exaspéré que paniqué, contrairement à Riley. « Quoi ?! » il hurla de la même voix suraiguë, tel un couinement. Foutu son cul sur Fred. « J'AI FRED DANS MON CUL !? Sors-le sors-le sors-leeeee » continua Riley sur le même ton, piétinant sans jamais s'arrêter, comme s'il cherchait à fuir la douleur dans son arrière-train. Il devait se calmer, de suite, respirer un bon coup. Il se tourna vers Isaac, le regarda d'un air qui le suppliait de faire quelque chose. Bon bah je crois que je suis bon pour jouer les esthéticienne et t'arracher chaque épines à la pince à épiler ! Riley avait envie de chialer. Il ne comptait pas se laisser faire, il y avait forcément une autre solution. On a pas l'choix Riley, c'est soit ça, soit on trace à l'hôpital, mais ça risque d'être compliqué pour t'asseoir dans la voiture... ajouta Isaac pour le convaincre, et non non non. Il avait peut-être un peu raison, mais même. Riley le regarda, désespéré, alors qu'Isaac fouillait dans son tiroir, sans doute à la recherche d'un instrument de torture. « Mais si, j'peux me coucher à plat ventre sur le toit, steuuplaaaaait » il dit, écartant bras et jambes pour démontrer la position à laquelle il pensait. Et merde, Isaac avait trouvé la pince. Riley allait y passer, c'était fini pour lui, c'était la fin. Il le savait, le sentait, son âme était déjà partie un peu de l'autre côté. Je suis désolé de te dire qu'il va falloir que t'ailles te foutre à plat ventre sur mon lit pour que je te retire tout ça de là, lui annonça Isaac. Riley avait envie de chouiner, regarda même son meilleur ami avec des yeux de chien battu, avant de finalement comprendre qu'il n'y avait rien à faire, et de se décider à sortir de là. Il marcha comme il le pouvait, étant donné que Fred était allé se mettre non pas seulement sur ses fesses, mais aussi un peu entre celles-ci, et que chaque fois qu'elles se frôlaient, la douleur était insupportable. Il se dirigea donc plutôt vers le salon, et se coucha sur le canapé, les fesses en l'air. Il se sentait déjà mal, il allait finir par faire un malaise, il le savait. Riley attrapa un coussin qu'il serra contre lui, comme un doudou, alors qu'Isaac s'approchait pour sans doute commencer le travail. La première extraction lui arracha un cri de douleur. « AAAAAAH TU M'AS ARRACHE LA PEAU » il hurla en gesticulant dans tous les sens. Et voilà qu'Isaac, qui était un être abominable et sans pitié, s'approchait à nouveau pour recommencer. « Non non non non attends je respire je me prépare psychologiquement » lui dit Riley, paniqué. Euh Riley, si tu réagis comme ça à chaque épine, on y est encore demain, arrêtes de faire ta chochotte. Tu me donnerais presque envie de prendre un selfie avec ton cul qui ressemble à un porc-épic ! reprit Isaac, qui avait l'air bien amusé par la situation terrible dans laquelle était Riley. Le jeune homme aurait voulu se tourner pour lui répondre, mais il n'osait pas bouger vu l'état de son derrière, et devait donc se forcer à rester couché là comme un idiot. « Je fais pas la chochotte !!! » il répondit, de cette voix aiguë qui ne le quittait plus. « J'voudrais bien te voir à ma place, ça fait grave mal... et pourtant j'ai l'habitude d'en avoir plein le cul ! » il ajouta avant d'enfouir sa tête dans le canapé et de mettre un coussin par-dessus celle-ci. Isaac recommençait alors, et Riley eut un mouvement de recul en sentant la main de son meilleur pote sur sa peau. « T'as les mains froides en plus ! » il gémit, avant de faire en sorte de se calmer au mieux pour laisser Isaac travailler, ne pouvant malgré tout retenir des petits cris à chaque épine retirée. « Bro j'espère que j'en ai pas aussi sur les boules. Ca gratte » il lança, alors qu'il se retenait de hurler. Mais avant de penser à ses testicules, il fallait d'abord retirer tout ce qu'il y avait sur ses fesses. Riley repensa alors à Fred. Fred, son cactus de compagnie qu'il avait confié à Isaac parce qu'il n'était pas certain que son appartement soit sûr... il ne voulait pas qu'on s'en prenne à Fred, à un être si innocent. Visiblement, Fred était armé pour faire face au danger, et tout cela rassurait un peu Riley sur ce point, au moins. « T'as fait quoi de Fred ? » il demanda alors en tournant la tête vers l'extérieur du canapé.
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(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Dim 6 Nov - 17:27
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
L'entendre hurler de cette manière à travers la maison m'avait clairement fait bondir de ma chaise. Il était censé être aux chiottes, que lui était-il encore arrivé ? Il faut dire que Riley avait le don pour se retrouver dans des situations assez cocasses. Mais là, la première chose qui me venait à l'idée était le fait qu'il ait mit la main sur le fameux préservatif qui voudrait surement en dire long sur la nuit passée l'un avec l'autre. Enfin, j'espérais secrètement que cela ne soit pas ça, car je me sentirais doublement mal si tel était le cas. Cependant, je me demandais clairement ce qu'il lui était arrivé, et lorsque je passais devant la salle de bain, je voyais mon meilleur ami cul nu à hurler à la mort, se plaignant de son arrière train qui était ... Rempli de pics, et pas n'importe quels pics, je fis rapidement le rapprochement que le tatoué avait posé son cul sur l'étagère où se trouvait Fred, son fameux cactus qu'il considérait comme son animal de compagnie, qu'il emportait partout, et qu'il m'avait laissé quelques jours auparavant, car il ne pouvait pas s'en occuper, du coup, je l'avais posé ici en déco, mais je n'aurai jamais imaginé que cet acte aurait de telles répercutions. Clairement, j'avais envie d'éclater de rire, parce que c'était tellement du grand Riley, ça ne pouvait arriver qu'à lui ce genre de chose, mais voyant son désespoir sur le visage, et la douleur qu'il pouvait ressentir, ce n'était surement pas le moment de rire. C'est pour cette raison que je prenais les choses en main, attrapant l'arme qui me servirait à retirer tous ces pics qu'il avait d'ancré dans l'arrière train. Punaise, heureusement qu'on était meilleur pote, et qu'on s'était déjà vu à plusieurs reprises à oilp. Franchement, si quelqu'un venait à nous surprendre dans une telle situation, on perdrait toute crédibilité et on penserait vraiment que lui et moi sommes ensembles. Je peux te dire que vu la grosseur de Fred, si tu l'avais dans ton cul, tu le sentirais passer ! m'exclamais-je en essayant de me retenir de rire. Je ramassais toutefois son cactus de compagnie pour le reposer à l'endroit initial, puis me dirigeais vers l'un des tiroirs pour en dénicher... Une pince à épiler, j'espérais qu'elle suffirait à enlever ce qu'il pouvait avoir de planté dans le cul. Le pauvre, ça devait tout de même être douloureux cette connerie. Je lui expliquais alors comment j'allais procéder, car là, c'était pas possible de l'amener à l'hôpital, il ne pourrait même pas s'asseoir vu ce qu'il avait sur les fesses. Le mieux c'était qu'il s'allonge sur mon lit et que je me la joue esthéticienne, docteur ou tout ce que vous voulez et que je lui retire un à un les pics. Façon il ne pourrait même pas regagner la voiture étant donné qu'il fallait dévaler les escaliers pour arriver au garage qui était en bas, et que monsieur ne pourrait sans doute pas y parvenir avec son arrière train en choux-fleurs. C'est pourquoi je ne calculais pas ses dires, et le forcer à se rendre dans le salon finalement car si ma voiture se trouvait en bas au sous-sol comme on pourrait l'appeler, ma chambre elle, se trouvait à l'étage. Je le laissais passer le premier pour prendre connaissance des dégâts, et je mis instinctivement ma main sur ma bouche pour étouffer un rire qui voulait s'échapper de là, mais interdiction de me foutre de mon meilleur pote qui était en galère totale. Il finit par difficilement s'allonger sur le canapé, et prit entre ses bras l'un de mes coussins en guise de décoration. J'approchais alors la pince à épiler pour prendre un pic entre les deux branches, et tirais d'un coup sec et précis, arrachant ce dernier de la fesse droite de mon bro qui se mit à hurler aussi fort qu'il n'avait hurlé lorsqu'il avait posé son cul sur Fred. Non, je t'ai seulement enlevé un pic sur environ une quinzaine... Je suis désolé Riley, mais pour l'épilation, on m'a toujours dit qu'il fallait tirer d'un coup d'un seul le poil pour éviter que la douleur soit plus longue, alors j'essais de faire au mieux, dis-je en approchant une nouvelle fois la pince à épiler d'un autre pic, quand Riley me stoppait net en me demandant de le laisser souffler un peu. Clairement s'il commençait comme ça, on y serait encore demain, chose que je ne manquais pas de lui faire remarquer, non pas que nous n'avions pas le temps, mais plus vite je lui enlèverais toutes ces épines, plus vite il serait soulagé. Ouais bah là j'ai pas le choix bro, je vais pas te laisser avec le cul rempli d'épines, faut bien te les enlever, donc si tu me laisses faire, plus vite on aura fini ! m'exclamais-je tandis qu'il prit son mal en patience, et serrait fort le coussin pour me laisser poursuivre le travail qui je devais l'avouer était loin d'être une partie de plaisir car je m'imaginais à sa place & clairement j'avais mal au cul pour lui. Alors que je posais ma main libre sur une partie de son corps pour prendre appui et lacérer une épine entre les branches de la pince, Riley s'exclamait que mes mains étaient froides. Je soupirais désespéramment face à son comportement, puis finis par rire parce que clairement c'était drôle tout ça. Tu vas moins faire le fier si j'attrape tes boules avec ma main gelée, lâchais-je en rigolant avant de tirer une nouvelle fois sur une épine, puis une autre. Putain, il a de ces épines Fred ! Vu les épines, j'imagine la douleur que Riley pouvait ressentir, puis ça devait être tellement désagréable, le pauvre, il avait définitivement pas de chance. Je pense pas que t'en ai sur les boules, ça doit être plus psychologique qu'autre chose le fait que ça te chatouille ! Pis je pense que sur les boules, tu le sentirais quand même, rétorquais-je tout en poursuivant mon travail, dieu seul sait que c'était pas évident, en plus Riley avait la fâcheuse tendance à bouger dans tous les sens par moment, ce qui ne me facilitais pas forcément la tâche, mais bon, je ne pouvais pas lui en vouloir parce que ça devait pas être évident de se retenir de ne pas bouger. J'ai reposé Fred à sa place initiale, alors la prochaine fois, évites de poser ton cul sur l'étagère au risque de tuer Fred, rétorquais-je en rigolant. En plus t'aurais pu péter mon étagère, ajoutais-je en riant de plus belle avant de poursuivre le travail et de parvenir à le finir après une bonne heure à m'occuper de ces épines. Ca n'avait pas été une mince affaire, mais nous étions parvenus à venir à bout de tout ça. Tu m'en feras voir de toutes les couleurs Denham ! m'exclamais-je en riant avant de le laisser sur le canapé, et d'allais toutefois chercher du désinfectant parce que bon, Fred était tout de même un cactus, et sait-on jamais. Je revins et pulvérisais son arrière train de désinfectant, c'est qu'en plus il avait un peu saigné, normal en même temps, certaines épines n'étaient pas toutes fines, puis passais un coup de compresse stérilisée pour nettoyer tout ça. Voilà, c'est bon, t'es libéré gros ! m'exclamais-je en riant. Maintenant si tu veux m'excuser je vais finir ce que j'avais commencé, à savoir, mon petit déjeuner, dis-je en riant de nouveau, avant de ranger tout le petit bazar, jeter les épines à la poubelle puis retournais déjeuner comme je le faisais avant qu'il n'hurle à la mort. Riley, tu veux bien venir avec moi s'il te plaît, au risque qu'il ne t'arrive encore je ne sais quoi. Ouais, je l'appelais à travers la maison parce que bon, le connaissant, il finirait encore par lui arriver quelque chose, et je préférais éviter cela. Il pourrait trébucher dans les escaliers, que sais-je encore, et j'avais tellement la tête dans le cul, que je préférais finir de prendre mon petit déjeuner tranquille. Par ailleurs, j'avais du me refaire un café parce que le mien était froid de chez froid.
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