(#)Sujet: you are my life no matter what I say (chad) | Lun 3 Oct - 23:41
family time.
chad & dani
Cela faisait quelques jours que je n'avais pas parler à mon frère, nous nous étions disputer à cause de la photo que j'avais poster sur instagram de Glenn et moi. Déjà en temps normal, je ne parle pas beaucoup de mes 'copains' à mon frère parce qu'il s'arrange toujours pour les faire fuir et à l'époque ça me faisait chier, mais sans plus, parce que au final c'était juste des copains comme ça, je n'y étais pas très attacher. Alors que Glenn, j'y tiens beaucoup, avec lui je me sens moi-même, je me sens légère et heureuse et je n'en ai pas parler à mon frère parce que quand il a vu la photo cela faisait très peu de temps que nous étions officiellement ensemble. Enfin tout ça pour dire que je ne lui ai pas parler depuis quelques jours parce que avec le caractère de cochon que j'ai, je ne vais très certainement pas faire le premier pas et étant donner que c'est mon frère il ne le fera pas non plus, on peut rester longtemps comme ça. Que voulez-vous un Tate pas têtu n'est pas un Tate. Pourtant ça me faisait de la peine cette situation parce que Chad était la seule famille qu'il me restait. Ce soir, j'avais fermer plus tôt le snack car il n'y avait personne, donc j'avais tout bien nettoyer et tout bien ranger et à 21 heures 30 j'étais dehors. Je décidais de me prendre une glace en rentrant à la maison et après une bonne douche, je me calais dans mon lit pour regarder un film tout en naviguant sur mon portable. J'ai du ensuite m'endormir, parce que je fus réveiller aux alentours de minuit par la sonnerie de mon portable. Je fouillais dans mon lit pour le trouver et décrochais la tête un peu dans les vapes. C'était les urgences… qui m'annonçait que mon frère avait eu un accident de voiture et que je devais venir au plus vite. Une sensation de panique m'envahissait rapidement et je sautais hors de mon lit pour enfiler un short, le premier qui venait et un t-shirt, tant pis pour la tête que j'aurais, c'est le dernier de mes soucis. J'attrapais les clés de ma voiture et de l'appartement et fonçais à l'hôpital. Je demandais à l'accueil essouffler où se trouvait mon frère et l'ont m'indiquait la chambre, me demandant de patienter dans le couloir qu'un médecin m'autorise à le voir. Je courais alors à travers les couloirs pour gagner la chambre de mon frère et attendait dans le couloir en faisant les cent pas. Ça ne pouvait pas arriver, pas maintenant, pas lui. S'il lui arrivait quelque chose, je ne suis pas sûre de pouvoir m'en remettre un jour.
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Chad Tate
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Mar 4 Oct - 8:46
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Il faisait noir, et je n'en pouvais plus. Il fallait que je rentre à l'appartement au plus vite. J'avais bossé toute la soirée et je m'étais donné à fond. Ces derniers jours n'étaient pas simples. Je dormais peu, je pensais trop. Il y avait ce que j'avais révélé à Khloé, ma façon de me comporter avec elle.. ça me perturbait sans savoir pourquoi. Et puis il y avait aussi ma récente rencontre avec Sky qui était tout aussi perturbante. Il y avait ma récente manière de vouloir comprendre ce genre de choses, ce genre de truc qui atteigne la poitrine et qui tordent ma gorge. Ce genre de truc qui font que je vais sourire sans savoir pourquoi - j'avais cette fâcheuse tendance à vouloir comprendre ça, alors que jusqu'aujourd'hui je m'en étais largement passé et j'avais survécu. Pourtant, au plus les jours passent au plus je me dis que j'avais pris le mauvais chemin. Ce n'est pas tant les films romantiques à deux sous que Khloé me force à regarder de temps en temps ou quoique ce soit qui me fait réfléchir : c'est moi, ce que je pense ressentir, vouloir savoir ce que c'est que tout ça, et voir mes proches être heureux à ressentir ça. Evidemment, quand je dis proche, je parle de ma petite soeur. Je parle d'elle car c'est le point le plus important dans toute cette histoire. Ma petite soeur, heureuse. C'était mon but ultime depuis sa naissance, non? Alors pourquoi est-ce qu'un jour je me suis assis, devant mon bureau, et je me suis demandé si finalement je n'étais pas celui qui l'empêchais de l'atteindre, ce bonheur? Depuis cette réflexion, j'avais tenté des tas de choses avec elle, je voulais faire des efforts. Je l'avais aidé à l'ouverture de son snack qui portait notre nom, on avait échangé de bons moments qui encore une fois m'avaient fait un truc là à la poitrine. J'avais aimé ça, avec elle c'était plus simple de savoir ce que c'était que tout ça parce que je savais l'identifier comme ma soeur. C'était ça mon amour pour elle - un grand frère qui aime terriblement sa petite soeur. Je savais aussi l'identifier par rapport aux autres - c'était mon moyen de savoir ces derniers temps. Je ne ressentais pas la même chose avec Dani qu'avec Khloé, par exemple. Je savais donc identifié la case "soeur" de mon cerveau. J'avais voulu savoir si elle avait quelqu'un dans sa vie, parce que même si depuis qu'elle avait l'âge d'avoir des copains je gâchais toutes ses relations, j'avais décidé d'arrêter tout ça et, même si je me méfierais toujours de ces mecs-là, leur laisser une chance de rendre ma soeur vraiment heureuse. Je voulais qu'elle vive ça, malgré le fait que je sois moi le dernier des handicapés de ce côté là. En découvrant qu'elle avait quelqu'un sur Instagram, je m'étais anéanti, complètement. Je me demandais un tas de choses. Me faisait-elle confiance? Non apparemment. Pourquoi? Parce que je suis un idiot qui a toujours tout gâché, simplement. D'un côté, je comprenais sa façon de pensée, quand on se disputait par sms. Pourtant, quoiqu'il en soit, je savais les efforts que j'avais fais jusque là et j'étais réellement blessé. On ne s'était pas parlé depuis cette conversation et je savais que ça allait durer. Que ce soit elle ou moi, on était de vrais têtus.
C'est dans cet état d'esprit là que je prenais le volant, les yeux qui piquaient. J'avais pris un expresso et je me frottais les yeux. Il fallait que je rentre. Il fallait que je dorme une bonne fois pour toutes. Le truc quand on est fatigué, c'est qu'on a pas tous les réflexes. Du coup, quand cette voiture décidait qu'un stop c'était pour couper le passage aux autres voitures, c'est mon passage qu'elle coupa et je n'avais pas le réflexe d'appuyer sur la pédale de frein. A partir de là, tout devint noir.
*chut petit coeur soufflais-je à ma petite soeur, cachée sous le lit, alors que mon père la cherchait dans toute la maison. Ne fais pas de bruit, je suis là, il ne te fera rien et la porte de ma chambre s'ouvrit en grand, claquant contre le mur joint. où est-elle? hurlait-il. Je ne répondais pas, le regard vide. où elle est jte dis! hurlait-il encore venant m'attraper par le col pour m'emmener loin de la chambre. laisse moi, laisse la tranquille lui dis-je me débattant, fermant la porte alors qu'on passait devant, jetant un dernier regard sur ma petite soeur sous le lit.*
Une main sur mon bras me réveillait. J'eus du mal à ouvrir les yeux, tout était si clair dans la pièce. Pourtant je jurais qu'on était la nuit. Cette lumière venait juste de s'allumer, j'en étais sûr. Mais je n'étais pas chez moi. J'avais mal, partout, surtout au poignet. J'avais du mal à me souvenir, je paniquais. tout va bien monsieur Tate, vous avez eu un accident de voiture mais il y a plus de peur que de mal. évitez de bouger votre poignet gauche, il est foulé. réveillez-vous à votre rythme. votre soeur est là, bougez le pouce droit si vous acceptez qu'elle entre. j'entendais cette voix féminine et j'avais du mal à comprendre tout tout de suite. C'était perturbant. Mais ce long moment n'était en fait que l'affaire de quelques secondes. Je bougeais rapidement le pouce, finalement. J'avalais difficilement pour pouvoir parler. Mes yeux commençaient à s'habituer à la lumière. Je voyais mon poignet en attelle, effectivement. Mais je voyais les coupures un peu partout aussi. Mes muscles me faisaient mal, sûrement à cause du récent choc. Je tournais doucement la tête vers l'infirmière. et khloé.. appelez khloé aussi s'il vous plaît. demandais-je alors. J'étais tellement dans le gaz que je ne réfléchissais même pas au fait qu'elle ne connaissait pas Khloé. Mais elle me sourit et fit oui de la tête, alors comme rassuré je reposais ma tête sur le coussin, attendant que ma soeur ne rentre. Je ne pensais même plus à notre dispute, à ce moment donné.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Mar 4 Oct - 12:58
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Lorsqu'un médecin m'appelait pour me dire que mon frère avait eu un accident et qu'il fallait que je me rende aux urgences, je paniquais rapidement. J'avais sauter hors de mon lit pour m'habiller, mais je n'arrivais pas à trouver mes affaires, une fois habiller -approximativement- je dévalais les escaliers de l'immeuble et montait en vitesse dans ma voiture pour rouler jusqu'à l'hôpital. Je m'attendais au pire, parce que dans notre famille, c'est toujours ça qui nous attends. Le pire. Déjà lorsque nous étions petits, mon frère m'embêtait beaucoup, mais ce que je me rappel surtout c'est qu'il a toujours pris les coups à ma place, bien que j'en ai pris quelques uns aussi, c'est surtout lui qui les prenait et même ce soir-là, je n'oublierais jamais ce qu'il a fait pour moi. Alors oui je suis une vraie peste avec lui, mais ça ne veut pas dire que je ne l'aime pas, c'est juste que je n'arrive pas à lui montrer comme je le voudrais. En arrivant aux urgences, je me précipitais à l'accueil pour demander à l'infirmière où se trouvait mon frère et lorsqu'elle m'indiquait la chambre, je m'y rendis, en courant. J'attendais comme préciser dans le couloir, puisque apparemment les médecins n'avaient pas finit avec lui. Après quelques minutes qui me parut une éternité, un médecin sortit de la chambre me faisant signe que je pouvais entrer. Je me précipitais dans la chambre et lorsque je le vis, là, allonger sur le lit, couvert de bleus et de coupures, je portais ma main à ma bouche et retenait mes larmes. Je ne savais même pas quoi lui dire, après ce que je lui avais dis par message. Je m'en voulais, j'aurais pu le perdre. Je m'approchais du lit et rapprochais le fauteuil pour pouvoir m'asseoir. - Je suis désolée… Dis-je alors la gorge serrée à cause des larmes que je retenais. Je pris sa main valide et la serrait dans la mienne.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Mar 4 Oct - 13:58
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Même si je le voulais, je ne pouvais pas bouger. J'essayais, mais ça faisait mal. Je détestais paraître faible aux yeux de ma soeur, car je m'étais toujours juré d'être prêt n'importe quand à la protéger. Là, je n'étais qu'un vulgaire corps sur un lit d'hôpital. Heureusement, ce n'était que des blessures légères une fois reposé je pourrais m'en aller je le savais. Evidemment, on ne me laisserait pas reprendre le volant de n'importe quelle voiture, même si je demandais à Khloé d'aller m'en chercher une à mon compte quand elle arriverait. Il faudrait que quelqu'un m'accompagne chez moi et que je fasse marcher l'assurance pour me payer une autre voiture. En pensant à ça, j'eue une grimace. Ma voiture, putin. N'importe qui sait que c'est important pour moi, ma voiture. Ce mec allait payer pour m'offrir mon autre bébé, croyez-moi. Bref, mon cerveau allait exploser si je commençais à trop penser à tout ça. Je comptais sur Khloé pour m'aider à me sortir rapidement de cette galère parce que moi sans voiture c'était pire qu'un handicap. J'avais envie de la voir, aussi, maintenant, tout de suite, je sais pas trop pourquoi, peut-être pour être sûr qu'elle va bien même si c'est moi qui ait eu un accident. Comme si en deux heures de temps d'absence on aurait pu lui faire du mal et que je n'ai pas pu y faire quelque chose. Enfin mon éternelle protection abusive en somme. J'acceptais que ma soeur entre dans la chambre sans broncher. J'avais envie de la voir, elle aussi. Il est vrai qu'on s'était disputé quelques jours, que c'était une des grosses raisons de ma fatigue qui m'a conduite ici. Pourtant, je ne lui en voulais pas. Je ne sais même pas si à un moment donné je lui en avais vraiment voulu. Ce n'était pas de la colère c'était vraiment de la tristesse profonde que j'avais ressentie. A peine je l'apercevais que je voyais qu'elle était effondrée. J'attrapais sa main, la serrant. Elle s'excusa sans attendre. Je fronçais les sourcils. de quoi tu t'excuses? C'est pas toi qui a brûlé ce stop, j'espère. dis-je alors en riant légèrement. Je détestais la voir les larmes aux yeux et je préférais déconner légèrement afin qu'elle stoppe cette tristesse. Je vais bien lui dis-je alors avec un petit sourire. je suis sonné, et foulé du poignet mais je vais très bien, si je suis ici c'est juste pour me reposer continuais-je alors caressant le dos de sa main. Je me râclais la gorge, ça me valu une petite grimace. Je baissais les yeux sur nos mains. Tu sais.. Je ne t'en veux pas pour.. pour tout ça. prononçais-je d'abord. j'ai juste.. j'ai juste ressenti un truc ça m'a fait mal.. lui confiais-je alors malgré moi, évitant son regard. Je.. je pensais juste que je faisais des efforts pour être un meilleur.. frère. dis-je la regardant finalement dans les yeux. Je sais on dirait que j'ai mangé un extra-terrestre dit comme ça. dis-je en riant légèrement. Je sais pas ce que j'ai en ce moment mais je prends conscience de certaines choses qui me donnent envie de prendre conscience d'autres choses.. j'essaie de comprendre tout ça et j'ai fini par me rendre compte que je te bloquais l'accès du bonheur en te voulant heureuse par dessus tout.. lui dis-je d'une traite limite sans respirer, alors je dû reprendre ma respiration avant de continuer. je me rends compte que cette photo elle est pas banale.. contrairement à ce que j'ai insinué dans mon sms.. j'ai juste eu mal de le savoir comme ça.. dans un moment où je veux justement être meilleur pour toi. lui avouais-je alors. Et dire qu'il a fallu que je me prenne un con dans la face pour qu'on se dise les choses.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Mar 4 Oct - 17:27
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Voir mon frère dans cet état me faisait mal, c'était comme si une partie de moi était abîmer. Le connaissant, je sais qu'il va me dire qu'il va bien, qu'il ne faut pas que je m'inquiète, mais rien que de voir sa tête je vois qu'il a mal. Je m'installais alors sur le fauteuil près de son lit et serra sa main dans la mienne aussi fort que je le pouvais. L'idée d'avoir faillit le perdre m'avait fait comme un électrochoc. Au début, je n'étais pas sûre qu'il veuille me voir après les conneries qu'on s'est balancer par messages et puis je me suis dis qu'en fait je ne lui laissais pas le choix. Je le regardais alors avec une petite mine et m'excusais. « De quoi tu t'excuses ? C'est pas toi qui a brûlé ce stop, j'espère. » dit-il en riant légèrement. Je secouais alors la tête négativement avec un petit sourire. « Je vais bien… je suis sonné, et foulé du poignet mais je vais très bien, si je suis ici c'est juste pour me reposer. » me dit-il ensuite. - Tu sais, j'ai plus 5 ans Chad, tu peux arrêter d'essayer de me rassurer, tu ne vas pas bien ça se voit. Et qu'est-ce qu'il s'est passer ? T'es un as au volant… dis-je alors en le regardant. C'est vrai, mon frère était un vrai pilote, il maîtrise parfaitement sa voiture, donc je n'arrive pas à croire qu'il n'est pas réussis ce soir. « Tu sais… je ne t'en veux pas pour.. pour tout ça… J'ai juste.. j'ai juste ressenti un truc ça m'as fait mal… » dit-il dans un premier temps en évitant de me regarder, ce qui me fis un petit pincement. « Je.. Je pensais juste que je faisais des efforts pour être un meilleur frère… » poursuit-il avant de me dire qu'on dirait qu'il avait mangé un extra-terrestre à dire tout ça. Et c'est vrai que je n'ai pas l'habitude de l'entendre dire ce genre de choses. « Je sais pas ce que j'ai en ce moment mais je prends conscience de certaines choses qui me donnent envie de prendre conscience d'autres choses.. j'essaie de comprendre tout ça et j'ai fini par me rendre compte que je te bloquais l'accès du bonheur en te voulant heureuse par dessus tout.. » me dit-il sans pause. - Arrête c'est pas vrai, grâce à toi j'ai éviter certains cas, la plupart on finit en taule. Dis-je alors avec un petit sourire. « Je me rends compte que cette photo elle est pas banale… contrairement à ce que j'ai insinué dans mon sms…. J'ai juste eu mal de le savoir comme ça.. dans un moment où je veux justement être meilleur pour toi. » finit-il par me dire. Je baissais les yeux sur nos mains toujours jointes et laissais couler quelques larmes, je me redressais ensuite pour venir m'allonger à côté de lui prenant soin de ne pas lui faire mal lorsque je posais ma tête au creux de son cou. - C'est pas contre toi… enfin si peut-être au début, t'es tellement chiant quand j'ai des copains que j'voulais éviter ça, mais… j'en ai pas parler parce que… parce que ça m'fait peur… J'ai jamais été amoureuse… Je pensais l'être avec Ricardo, mais j'me suis très vite rendu compte qu'il était en fait un moyen de fuir papa, et au final, j'me suis retrouvée prise au piège aussi… Dis-je doucement dans un premier temps la voix légèrement tremblante. - Mais là avec Glenn c'est différent et je tiens beaucoup à lui et c'est ça qui me terrifie… poursuivais-je sur le même ton. - Mais tu sais très bien que tu as toujours ta place dans ma vie et la plus grande place, jamais j'oublierais tout ce que t'as fait pour moi, même si j'suis la pire des chieuses avec toi.. dis-je dans un petit rire.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Mer 5 Oct - 7:55
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Elle s'asseyait dans ce fauteuil et se mit à s'excuser. Je dors assez mal ces derniers temps.. J'étais fatigué et la demi-seconde où j'aurais dû appuyer sur le frein pour éviter ce type m'ont manqué de sommeil. Oui j'ai un peu mal partout mais ça va aller je ne suis là que pour me reposer, vraiment. A part le poignet j'ai rien d’amoché vraiment. la rassurais-je encore. Certes je voulais la rassurer, mais là c'était vrai. Ni une ni deux, je lui confiais tout ce que je pensais vraiment. Je ne sais pas où je trouvais la force de le lui dire, mais ça sortait naturellement, sans trop de questions. Comme je disais, je me sens vraiment étrange à être si sensible ces derniers temps. En temps normal, j'aurais eu toute la misère du monde à lui avouer tout ça. C'est pour cela que je me qualifiais d'extra-terrestre dans mon discours, d'ailleurs. Je finissais par la regarder dans les yeux, en lui disant tout ça. Elle me disait que ces mecs que j'avais fais fuir avaient pour la plupart fini en taule. Cette remarque eut le don de me faire sourire. Elle vint ensuite délicatement, pour ne pas me faire mal je suppose, se mettre contre moi dans ce lit d'hôpital, sa tête dans mon cou. Elle pleurait. Ça me faisait tout drôle de la voir dans cet état là, mais je ne pu rien dire qu'elle se mit à se livrer à son tour. Machinalement, je jouais avec ses cheveux de ma main non-handicapée. Je l'écoutais attentivement. Tout ce qu'elle disait était très touchant. Elle me disait avoir eu peur simplement parce qu'elle savait qu'avec Glenn c'était inédit, au delà du fait que je sois chiant. Du coup j'ai plus le droit de l'être, c'est ça? dis-je en riant doucement. Évidemment, je n'allais plus vraiment l'être. Peut-être un peu au début, mais vite j'allais le voir. Elle serait heureuse. Je pense que je l'aurais vu tout de suite, que tu es heureuse, à ce moment là, de quoi je pourrais te protéger? Si tu dis être.. amoureuse ou du moins croire être amoureuse, je l'aurais vu, quelque part, et que tu sois heureuse c'est ce que je veux, non? Alors je n'aurais pas été chiant bien longtemps dans un autre scénario. Elle me rassurais ensuite de la place que j'aurais toujours dans sa vie. Je l'embrassais sur le front. Je vais devoir en chercher une autre, de soeur chiante, si tu ne l'es plus. dis-je alors tandis qu'elle avait osé dire sur un ton désolé qu'elle restait ma petite soeur chiante. Je ris légèrement. Je repris mon sérieux, laissant un silence avant de continuer notre discussion, la tournant de façon un peu surprenante. Cela m'intriguait, et je me disais qu'elle pourrait peut-être m'apporter des réponses. Comment tu sais que.. je sais pas.. que tu penses être amoureuse? Comment tu t'es dis "tiens ce mec là j'en suis amoureuse"? J'veux dire.. j'ai cherché comment me rendre compte de ça. Les films à l'eau de rose de Khloé? Alors là ça m'a encore plus paumé, j'y comprends rien. Alors j'ai fais des cases dans ma tête. Y'a la case petit soeur, où je range l'amour que j'ai pour toi. Celle de la meilleure amie, où je range l'amour que j'ai pour Khloé. Seulement les cases parental et couple.. Je suis complètement paumé. Je veux dire, si ça se trouve je le ressens en ce moment, ou je vais le ressentir.. Je me pose beaucoup de questions et je savais pas comment en parler.. j'essaie de faire le point seul.. je commence à me demander si je devrais pas essayer de comprendre tout ça enfin.. déjà j'y pensais mais maintenant que tu me dis tout ça.. enfin j'aimerais bien comprendre, moi aussi. Souvent je ressens des trucs bizarres des trucs que je sais pas qualifier face à une personne ou une autre et ça a vraiment le don de me rendre fou.. qu'est-ce qui t'a aidé, toi? lui dis-je alors tout à coup, me livrant complètement à ma petite soeur, jusqu'à mes fantômes de ces derniers jours. Je ne savais pas si c'était une bonne idée de lui dire tout ça, mais en tout cas c'était la personne la plus adaptée.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Mer 5 Oct - 14:24
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Je m'étais excuser aussitôt pour lui avoir dit tout ça par messages et je lui dis qu'il n'allait pas bien non plus. « Je dors assez mal ces derniers temps… J'étais fatigué et la demi-seconde où j'aurais dû appuyer sur le frein pour éviter ce type m'ont manqué de sommeil. Oui j'ai un peu mal partout mais ça va aller je ne suis là que pour me reposer, vraiment. A part le poignet j'ai rien d'amoché vraiment. » me dit-il pour me rassurer encore. Il me confiait ensuite ce qu'il ressentait vis à vis de notre dispute, je le rassurais en lui disant que certains de ses sabotages m'as éviter pas mal de trucs, puisque la plupart des mecs avec qui je suis sorti sont en prison. Je m'allongeais ensuite à ses côté posant ma tête dans le creux de son cou délicatement et je lui disais à mon tour pourquoi je n'avais rien dit à propos de ma relation avec Glenn, que c'était en réalité parce que ça me terrifiais plus qu'autre chose et aussi parce que je ne voulais pas que mon frère joue les chieur avec lui. « Du coup j'ai plus le droit de l'être, c'est ça ? » me lance-t-il en riant légèrement. - Est-ce que j'vais vraiment t'en empêcher ? T'es un Tate donc tu seras toujours un chieur. Lui dis-je en riant légèrement. « Je pense que je l'aurais vu tout de suite, que tu es heureuse, à ce moment là, de quoi je pourrais te protéger ? Si tu dis être.. amoureuse ou du moins croire être amoureuse, je l'aurais vu, quelque part, et que tu sois heureuse c'est ce que je veux, non ? Alors je n'aurais pas été chiant bien longtemps dans un autre scénario. » me dit-il ce qui me fis sourire, parce que je n'ai jamais douter que mon frère voulait mon bonheur, tout comme je le veux sien, c'est juste qu'on ne s'est pas le montrer. Je le rassurais ensuite en lui disant que quoi qu'il arrive, il aura toujours la plus grande place dans ma vie, même si on se dit les pires méchancetés. Je ris légèrement en lui donnant une petite tape sur son bras valide lorsqu'il me dit qu'il allait devoir chercher une autre petite sœur chiante. « Comment tu sais que… je sais pas.. que tu penses être amoureuse ? Comment tu t'es dis 'tiens ce mec là j'en suis amoureuse' ? J'veux dire.. j'ai cherché comment me rendre compte de ça. Les films à l'eau de rose de Khloé ? Alors là ça m'a encore plus paumé, j'y comprends rien. Alors j'ai fais des cases dans ma tête. Y'a la case petite sœur, où je range l'amour que 'ai pour toi. Celle de la meilleure amie, où je range l'amour que j'ai pour Khloé. Seulement les cases parental et couple… Je suis complètement paumé. Je veux dire, si ça se trouve je le ressens en ce moment, ou je vais le ressentir.. Je me pose beaucoup de questions et je savais pas comment en parler… J'essaie de faire le point seul.. je commence à me demander si je devrais pas essayer de comprendre tout ça enfin.. déjà j'y pensais mais maintenant que tu me dis tout ça...enfin j'aimerais bien comprendre, moi aussi. Souvent je ressens des trucs bizarres des trucs que je sais pas qualifier face à une personne ou une autre et ça a vraiment le don de me rendre fou.. qu'est-ce qui t'a aidé, toi ? » me dit-il alors d'une traite et ça me faisait vraiment bizarre de voir mon frère comme ça. - Tu sais avec Glenn, je crois que j'ai compris que j'étais en train de tomber amoureuse de lui quand je voyais d'autres filles lui tourner autour et que quand il était pas là, il me manquait. Dis-je dans un premier temps. - En fait, je crois que c'est le fait qu'il est différent de tous les autres et qu'il a été là quand j'en avais le plus besoin, il m'as jamais laisser tomber, il m'as justement aider à m'en sortir. Ajoutais-je ensuite. Bien sûr mon frère était là aussi, mais ce n'était pas pareil. ça m'as donner de la force supplémentaire pour surmonter tout ça. - Je ne sais pas comment t'expliquer tout ça, parce que en fait c'est venu tout seul et que ça me fait peur. Mais tu réfléchis beaucoup trop Chad… Laisse toi guider par ton cœur et non par ton foutu cerveau. Lui dis-je alors en levant les yeux pour le regarder.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Jeu 6 Oct - 9:54
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chad tate & dani tate
Ma petite soeur était dans mes bras, à m'expliquer sa relation avec Glenn, le pourquoi elle a eut peur de m'en parler. Je l'écoutais, attentivement. Je cherchais à faire des efforts pour elle, et ça en faisait parti. Même si en effet je restais un Tate et que je resterais chiant pour le restant de mes jours, elle était ma soeur et je me devais d'être le meilleur pour elle possible. C'est vrai que j'avais eu mal quand j'avais vu cette photo postée sur le net, mais sans savoir pourquoi à présent je ne lui en voulais plus du tout. D'habitude, on pouvait passer des jours à se faire le tronche. Pourtant, j'avais l'honnête impression qu'au plus on devenait adultes, au moins on y arrivait. On avait besoin l'un de l'autre, car l'un comme l'autre on évoluait, on changeait. Sur le coup, elle arrivait à faire un bien plus grand pas que moi dans la vie. Elle réussissait à comprendre en elle quelque chose que je n'avais pas encore su comprendre, et qui, si ça se trouve, existe tout au fond de moi. Je lui posais du coup des tas de questions, avec un grand monologue qui devait lui faire peur je suis sûr. Ce n'est pas du tout mon genre de parler ainsi, et je pense qu'elle pourrait limite se demander si je ne devais pas encore avoir des problèmes suite à l'accident avec tout ce que je lui confiais. Pourtant, elle ne se braquait pas du tout. Au contraire, elle essayait de m'expliquer tant bien que mal. Mais je voyais bien qu'en réalité, ça ne s'expliquait pas. Je n'aurais donc jamais la solution? Elle me décrivit ce qu'elle ressentait avec Glenn, cherchant je suppose à vouloir me faire le plus efficacement comprendre. Elle me disait qu'il lui manquait quand il n'était pas là, qu'elle n'aimait pas le voir avec d'autres filles autour, qu'il avait été là pour elle quand elle en avait eu le plus besoin. Je fronçais les sourcils, cherchant à comprendre certaines choses. En premier lieu, cela me faisait penser à Khloé. Et, même si ce n'était pas pareil, à Dani. Avec Dani, je n'aimais juste pas qu'on puisse la rendre malheureuse. Là, avec ce Glenn, c'était différent alors au fond de moi je sentais que je me méfiais un peu moins. Alors qu'avec Khloé, même si je ne l'ai jamais vu vivre une incroyable histoire d'amour non plus, et on en avait parlé d'ailleurs quelques jours plus tôt, je n'avais jamais vraiment apprécié la voir avec un autre. Souvent, je revenais la voler à l'autre quand elle le faisait, d'ailleurs. Mais ça faisait parti d'un jeu. Enfin, je pense. Je fus perturbé dans cette pensée alors qu'elle levait la tête pour me dire de penser moins et ressentir plus. Cela m'arracha un petit rire. C'est ça le problème, il m'aide pas le petit con. dis-je alors parlant de mon coeur. J'comprends pas c'qu'il m'envoie comme infos tu vois. C'comme s'il parlait en ukrainien, et moi en anglais quoi. ça passe pas. lui fis-je comprendre alors, avec un petit rire. Puis je fronçais les sourcils, avec une once de coquinerie dans le regard. Mais par contre ne crois pas que toute cette conversation fasse que j'accepte ce "Glenn" les bras grands ouverts, hein. Je me méfie toujours de lui tant que j'ai pas eu de preuves. dis-je alors avant d'embrasser ma soeur sur le front et de poser ma tête contre la sienne. le jour où je comprendrais tout ça faudra prévoir la protection contre la fin du monde dis-je, amusé. Je repris un air sérieux. Te voir comme ça ça me fait du bien par contre, ça j'arrive à le comprendre. C'est un peu.. je sais pas j'ai l'impression que quand j'aurais enfin saisi tout ça je passerais vraiment à un niveau supérieur, à l'âge adulte tu sais? J'ai l'impression d'être encore un gamin qui pense avec le cul et pas raisonnement. J'aimerais bien rendre quelqu'un heureux, moi aussi. continuais-je alors. Faudrait m'arrêter à un moment parce que ça devient dangereux.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Ven 7 Oct - 20:57
family time.
chad & dani
Mon frère venait de me demander comment j'avais su qu'avec Glenn c'était différent d'avec les autres. Alors j'essayais de lui expliquais, mais je me rendais rapidement compte qu'en réalité ça ne s'expliquait pas. C'est le genre de truc qui nous tombe dessus sans qu'on le prévoit, ça nous rend tout bizarre, chez nous les Tate ça nous rend chiant. Mais bon ceci dit c'était quand même bizarre ce moment avec mon frère ou il me confiait tout un tas de trucs, le genre de choses qu'il ne parle jamais avec moi, c'est genre… même pas envisageable. Mais ce soir, il se livre… complètement. Je lui disais alors de finalement moins penser et ressentir un peu plus, ce qui le fis rire. « c'est ça le problème, il m'aide pas le petit con. » dit-il. « J'comprends pas c'qu'il m'envoie comme infos tu vois. C'comme s'il parlait ukrainien et moi en anglais quoi. Ça passe pas. » poursuit-il. - Tu comprends pas ou tu veux pas comprendre parce que t'as la frousse de ressentir quelque chose ? lui demandais-je alors. - J'te connais Chad, t'as jamais eu de relations sérieuses… un peu à cause de moi aussi… mais c'est pas le sujet. Sur ce point là t'es comme moi, t'as la frousse ! Tu sais pas comment gérer le truc et ça te fait flipper parce que si par malheur une fille devient importante pour toi, t'as peur de tout faire foirer. Lui dis-je alors en le regardant. « Mais par contre ne crois pas que toute cette conversation fasse que j'accepte ce 'Glenn' les bras grands ouverts, hein. Je me méfie toujours de lui tant que j'ai pas eu de preuves. » me dit-il en m'embrassant sur le front. - Ah non ! Tu le laisse tranquille, tu te mêle pas de ça pour une fois. Lui dis-je alors en me redressant pour le regarder. - Il es totalement l'opposé des autres mecs que j'ai fréquenter. Lui dis-je alors. « Te voir comme ça ça me fait du bien par contre, ça j'arrive à le comprendre. C'est un peu.. je sais pas j'ai l'impression que quand j'aurais enfin saisi tout ça je passerais vraiment à un niveau supérieur, à l'âge adulte tu sais ? J'ai l'impression d'être encore un gamin qui pense avec le cul et pas raisonnement. J'aimerais bien rendre quelqu'un heureux, moi aussi. » finit-il par me dire. - Déjà si tu m'avais écouter quelques années auparavant, peut-être que t'en serais pas à te torturer l'esprit comme un mazo. Lâchais-je alors en le regardant. - Je t'ai toujours dis que la femme qu'il te fallait c'était Khloé, et toi t'étais là genre.. non mais ça va pas, c'est ma meilleure pote bla bla bla. Lançais-je alors en limitant légèrement, levant les yeux au ciel. - Et si ça se trouve, tu rends déjà quelqu'un heureux, mais tu t'en rends pas compte. Finis-je par dire en haussant légèrement les épaules.
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Chad Tate
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) | Ven 7 Oct - 23:17
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chad tate & dani tate
On avait une conversation quand même sérieuse avec Dani là tout de suite. C'était étrange mais, plutôt agréable de se dire les choses ainsi. ça nous arrivait très rarement, alors autant en profiter. Je lui demandais des tas de choses qui devaient l'intriguer. J'étais étrangement sensible à ce que je pouvais ressentir ces derniers temps et je lui faisais part de tout cela. J'avais peut-être les mauvaises façons de le dire mais, le contenu était là et elle comprenait tout à fait où je voulais en venir, vu ses réponses. Tout de même, je lui rappelais que je n'oubliais pas ce Glenn dans l'histoire. Moi? ne pas m'en mêler? je sais que cette discussion est inédite mais ça tu rêves par contre dis-je avant de rire légèrement. Je disais ça pour l'embêter plus qu'autre chose. Évidemment, j'essayais de faire des efforts ce n'était pas à moitié. Je ne serais pas aussi chiant que je pouvais l'être avant concernant ce jeune homme mais tout de même, je me méfie un peu quand même. Si elle disait qu'il était différent, alors tant mieux, je la croyais. Néanmoins, je voulais le voir de mes propres yeux avant de confirmer ces dires. Je souris comme réponse, l'embrassant sur le front avant qu'on ne reprenne la discussion plus théorique de la chose. Elle commençait à me dire que comme elle, je devais en fait avoir le frousse de comprendre ce que je ressentais. Je fronçais les sourcils, alors qu'elle approfondissait son idée. c'est ptete ça.. c'est vrai que même de manière général j'ai toujours peu de tout foiré.. rien que de manière générale alors.. ça expliquerais peut-être tout ça dis-je alors, prenant son idée en considération. L'avis de ma soeur restait très important, malgré la rareté de nos discussions aussi sincères. Je comprenais en même temps comment elle, elle vivait cette relation avec Glenn et pourquoi elle avait été comme ça, du coup. C'était encore quand même flou, il faudrait que j'y réfléchisse. Puis, elle m'interpela en me disant que de toute façon si je l'avais écouté je n'en serais pas là. Comment ça? dis-je alors étonné de cette phrase, avant qu'elle ne me parle de Khloé. Je tournais le regard. C'est vrai qu'elle me parlait souvent de Khloé. Mais rapidement, je dégageais cette gêne qui sans savoir pourquoi s'était installé après sa phrase. Ah parce que tu aurais pas fais ta chiante comme avec les autres avec Khloé peut-être? Et je te signale qu'il y a bien une raison à ce qu'elle soit "ma meilleure pote bla bla bla" dis-je imitant son imitation. c'est qu'elle est bien trop parfaite pour moi. dis-je alors avec un sourire. c'est la seule façon pour que je la garde à vie. finis-je par dire, sur le ton de l'humour même si finalement, en y repensant, la solution était peut-être là. Mais je changeais vite de sujet. je me demande tout ça parce que j'ai fais une rencontre qui m'a un peu perturbé mais.. c'est sûrement rien.. enfin j'ai pas peur avec elle c'est plutôt naturel.. comme avec Khloé, d'ailleurs. Mais enfin, c'est depuis ce jour-là que je me pose un peu des questions, entre autres. avouais-je, peut-être pour la mener sur une autre piste et arrêter d'insinuer que je pouvais aimer ma meilleure amie d'une manière différente. Elle me disait que peut-être je rendais quelqu'un heureux sans le savoir. bah toi, j'espère. lui répondis-je au tac-o-tac en lui souriant. puis si c'est ça, que j'ai pas besoin d'être un "petit-ami" pour rendre quelqu'un heureux, tu risques pas de voir une petite amie un jour, je sais pas trop si ça va le faire. dis-je alors en riant légèrement. BON. On fait quoi? on demande si tu peux me raccompagner? Tu veux que je dorme chez toi, que tu dormes chez moi pour être sûr que je me fracture pas le deuxième poignet? On commande mexicain en plein milieu de la nuit? On regarde un film? On joue à pierre feuille ciseau? demandais-je alors changeant là carrément de sujet.
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(#)Sujet: Re: you are my life no matter what I say (chad) |