Depuis ma sortie de l’hôpital je n’avais pas revu Geane et même bien avant ça, puisque je refusais de voir toutes personnes qui m’était proche. Il y a eu l’anniversaire de la mort de Thyméo et chaque année c’est la même chose, je replonge dans le dark et bois jusqu’à ne plus m’en souvenir. Et cette fois, j’ai fais fort parce que je me suis retrouver littéralement dans la merde, ce qui m’as conduit à l’hôpital. Bref. Aujourd’hui, j’avais décider de rendre visite à Geane pour prendre de ses nouvelles et peut-être voir Riley maintenant que j’ai une gueule un peu plus présentable. Après avoir rouler quelques minutes, je me garais devant son immeuble et composait le code pour entrer. Je montais les quelques étages et frappais à sa porte en attendant qu’elle vienne m’ouvrir. J’avais bien évidemment pris soin de m’arrêter acheter une boîte de chocolat pour Geane et un petit camion de pompier pour Riley. Je sais pas pourquoi tout les gamins sont fous de ces trucs-là. Elle ouvrit finalement la porte après plusieurs minutes. - Salut. Dis-je alors avec un petit sourire en coin et montrant la boîte de chocolat.

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 Sebastian venait de partir, Antoine aussi. J’étais désormais seule avec ma solitude. Riley dormait depuis un bon bout de temps et j’étais même étonné de voir que le claquement de la porte ne l’avait pas réveillé mais peu importe, c’était bien mieux comme ça. J’avais pleuré quelques minutes avant de prendre contenance et de m’installer devant la télévision sans vraiment l’écouter. Je n’étais pas concentrer mais je détestais le silence. Je regardais vaguement l’écran tandis que mon esprit vagabondait ailleurs jusqu’à ce que quelqu’un frappe à ma porte. Je ne me faisais pas de faux espoirs, il était sûr qu’il ne s’agissait pas de Sebastian. Pas après tout ça. J’émis un léger soupire et prit mon temps pour me rendre jusqu’à la porte d’entré que j’ouvris sans grand enthousiasme. Je fus assez surprise de découvrir Noah derrière ma porte à une heure pareille. Il me salua en souriant tout en me montrant la boite de chocolat qu’il tenait dans sa main. Pile ce qu’il me fallait ! Je me jetai dans ses bras pour l’enlacer, voilà un moment que je ne l’avais pas vu. Tu m’as manqué ! Murmurai-je en le serrant contre moi. Enfin un peu de réconfort. Il n’avait pas besoin de savoir mais rien que sa présence me faisait du bien. Je me détachai de lui et fit un pas en arrière avant de lui prendre la boite des mains d’un air malicieux. Je marchai doucement jusqu’à ce que mon regard croise la carte à moitié caché sous le canapé. La fameuse carte qui n’était que la preuve de ce qui s’était passé plus tôt dans la soirée. Tu veux boire quelque chose ? Demandai-je en ramassant l’enveloppe l’air de rien et en m’avançant jusqu’à la cuisine où je pourrais enfin ouvrir celle-ci.

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 J’étais contente de voir Noah. Ca faisait longtemps que je ne l’avais pas vu, et il m’avait beaucoup manqué. Nous avions passé beaucoup de temps ensemble après mon accident mais dès lors que je fus rentré chez moi, celui-ci ne me donna plus vraiment de nouvelles. Peut-être l’avais-je un peu saoulé, peut-être qu’il était vraiment occupé qui sait ? Après tout c’était les fêtes et il avait sûrement des choses à faire de son côté.

Après avoir récupéré la carte au sol, je pris place sur le plan de travail dans la cuisine. En ouvrant l’enveloppe, je demandais à Noah ce qu’il voulait boire histoire de faire la conversation le temps que je revienne dans le salon. Salon que j’avais abandonné avec le son au minimum, un plaid en boule sur le canapé avec quelques mouchoirs trainant au sol. Lorsque le beau brun me répondit, j’acquiesçai. En réalité, je n’avais pas vraiment entendu, bien trop obnubilé par le mot que m’avait laissé Sebastian. Il me souhaitait de bonnes fêtes, et il avait glissé un bon pour le spa à l’intérieur. J’avais souris en rangeant le tout dans l’enveloppe quand mon ami reprit la parole. J’ai apporter un petit truc pour Riley, j’espère que ça lui plaira. Oh merde, il voulait boire quoi déjà ? Je bloquai un instant au milieu de la cuisine en essayant de me recentrer.. Aucune idée. Et bien il allait se contenter d’un coca. C’est vrai ? C’est gentil ! Merci pour lui, je suis sûre que ça lui plaira !Répondis-je quelques instants plus tard en souriant, tandis que j’avançais doucement avec la cannette en main. Je pris les chocolats au passage et m’installa à ses côtés l’air de rien après avoir été chercher mon thé laissé sur la table de salon plus tôt. J’ouvris la boite et attrapa une gourmandise pour en déguster une. Merchi pour les chocolats ! Repris-je la bouche pleine en souriant amusée. Sinon ça va toi ? t'as une petite mine... Déclara le jeune homme soudainement. J’avais hoché la tête tout en avalant mon chocolat. Mes mains s’étaient enroulées autour de mon mug, prêt à être bu. Je suis juste un peu fatiguée, la rééducation m’épuise. Je fis un petit sourire avant de boire quelques gorgées de ma boisson.
Tu ne fête pas noël en famille cette année ? Demandai-je par la suite pour changer de sujet.

Revoir Geane me faisait vraiment plaisir et du bien aussi. Je l’ai un peu délaisser ces derniers temps, mais avec toutes les merdes qui me sont tomber dessus, valait mieux pour elle et puis il y a eu aussi l’anniversaire de la mort de Thyméo qui m’as mit dans un état lamentable, raison de plus pour elle que je ne la vois pas. Enfin pour l’instant ça allait à peu près, j’étais sortis de l’hôpital avec deux nouvelles cicatrices et j’ai repris le cours de ma vie. Je m’installais dans le salon après avoir répondu à sa question concernant ce que je voulais boire, puis lui annonçais que j’avais amener un petit truc pour Riley, en espérant que ça lui plaise. « C’est vrai ? C’est gentil ! Merci pour lui, je suis sûre que ça lui plaira! » dit-elle en venant et déposant une cannette de soda devant moi et de prendre place à son tour. Je lui demandais ensuite si ça allait, car je trouvais qu’elle avait une petite mine. « Je suis juste un peu fatiguée, la rééducation m’épuise. » dit-elle avant de boire son thé. Je souris alors légèrement. J’étais quand même content qu’elle aille mieux et c’est sûr que ce genre de chose prend du temps pour guérir, mais elle y arriveras parce qu’elle est forte. « Tu ne fête pas noël en famille cette année ? » me demande-t-elle et c’est là que je compris que quelque chose n’allait vraiment pas. Elle sait très bien que ça fait des années que je n’ai plus de famille et donc je ne fête jamais vraiment Noël. - Bon G. tu va me dire ce qu’il se passe ? Lui dis-je en reposant la cannette doucement après avoir bu une gorgée. Elle ferait bien de me dire tout de suite ce qui ne vas pas, parce que je ne risque pas de la lâcher.

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 Assise face à lui, je faisais bonne figure. Je n’avais pas envie qu’il se pose des questions. Il ne comprendrait pas. Il avait beau être mon meilleur ami, il y a des choses que je ne pouvais pas lui dire, dont je ne pouvais pas lui parler. Je savais qu’il n’aimait pas Sebastian. Je savais qu’il n’approuvait pas le genre de relation que j’entretenais avec lui. Ca avait toujours été un sujet délicat que nous préférions éviter lorsqu’il arrivait sur la table, ce qui en soit, était assez rare. Sauf que là, ce n’était pas la même chose. Il était partit comme ça et j’avais vécu ça comme un abandon. J’avais envie de renoncer, de le laisser partir et de ne plus jamais entendre parler de lui sauf que contrairement à ce que j’avais pu penser quelques temps auparavant, ça n’était pas que physique. Malgré son caractère de merde, sa présence me faisait du bien. Contre toute attente, sa présence me rassurait.

Histoire de ne pas laissé un silence s’installer, j’avais demandé à Noah pourquoi il ne passait pas les fêtes avec sa famille, et ce n’est que lorsque j’eu terminé de lui poser la question que je compris mon erreur. Je savais pertinemment qu’il n’avait pas vraiment de famille en soit. J’avais envie de me baffer. Je n’avais pas du tout la tête à lui faire la conversation et il l’avait très bien deviné. Bon G. tu va me dire ce qu’il se passe ? Me demanda-t-il en me regardant. Les yeux baissés sur mes mains liées, je mis quelques instants avant de reprendre la parole. A quoi bon le lui caché ? Il me connaissait trop bien. Sebastian est passé, il a amené un cadeau à son fils.. Enfin à Riley. Lançai-je d’abord en pointant l’énorme paquet que j’avais poussé vers le sapin. Je ne suis pas sûre que tu veuilles qu’on continue à parler de lui, donc on peut très bien faire comme si je n’avais rien dis et reprendre notre conversation d’avant. Bien qu’en réalité, il n’y avait pas vraiment de conversation.

Avec Geane on s’est promis de toujours être là pour l’autre, peu importe la situation, peu importe les années qui passent. J’ai foiré de mon côté en allant en prison et l’abandonnant pendant sept ans, mais elle savait que je ne pouvais pas ne rien faire, que je ne pouvais pas venger notre meilleur ami, Thyméo. Alors, elle m’en a voulu un peu au début, puis à ma sortie, on a rattrapé le temps perdu. Bon on a fait quelques bêtises aussi des bêtises de gens complètement saoules, mais ça n’as jamais empiéter sur notre amitié. Elle est ma seule famille désormais, elle et Riley sont ce qu’il se rapproche le plus d’une famille pour moi. Alors il est vrai que j’avais du mal concernant sa relation avec Sebastian, mais je n’aime pas ce type parce qu’il ne peut pas me voir uniquement parce que je suis proche de Geane, mais jamais je ne gâcherai quoi que ce soit qu’il y puisse y avoir entre eux. Même s’il est vrai que je préférais qu’on ne parle pas de lui quand on se voit.
Ce soir, j’avais remarqué que Geane n’était pas dans son assiette, et elle me le confirma en me demandant pourquoi je ne fêtais pas Noël en famille, d’ailleurs, elle se rendit compte de sa boulette en terminant sa phrase. Alors je décidais de mettre les points sur les i en quelques sortes, en lui demandant ce qu’il se passait et qu’elle n’y échappera pas, ça elle le sait, je suis plutôt du genre têtu. « Sebastian est passé, il a amené un cadeau à son fils… Enfin à Riley. » dit-elle dans un premier temps en me montrant le gros paquet vers le sapin. « Je ne suis pas sûre que tu veuilles qu’on continue à parler de lui, donc on peut très bien faire comme si je n’avais rien dit et reprendre notre conversation d’avant. » termine-t-elle. – En quoi c’est un problème qu’il amène un cadeau à son fils ? Lui demandais-je en la regardant. – Qu’est-ce qu’il a fait ? Demandais-je alors en soupirant. Si Seb faisait souffrir ma meilleure amie, c’était évident que je ne risquerais pas de l’apprécier, mais si elle avait besoin de parler, je pouvais l’écouter, combien de fois elle m’as ramasser à la petite cuillère, je lui dois bien ça. – G. Si t’as besoin de parler, vas-y lâche toi, j’suis là pour ça, j’te dois bien ça après toutes ces années.. Lui dis-je alors en la regardant.  

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 Noah avait très bien compris que quelque chose me tracassait ce soir. Il ne lui avait pas fallu très longtemps pour commencer à me questionner. J’avais vite abdiqué, je savais qu’il continuerait jusqu’à ce que je lui donne une explication, alors je lui avais directement annoncé la couleur en parlant de Sebastian sans pour autant rentrer dans les détails. Par la suite, j’avais proposé au jeune homme de changer de sujet puisque je savais qu’il n’aimait pas parler de lui, mais celui-ci continua en me questionnant. En quoi c’est un problème qu’il amène un cadeau à son fils ? Qu’est-ce qu’il a fait ? J’avais haussé les épaules avant de le regarder comme un chien battu. Non, mais ça me fait plaisir qu’il pense à son fils, ce n’est pas le problème. Je fis un léger sourire en reprenant un petit chocolat pour me donner du courage. G. Si t’as besoin de parler, vas-y lâche toi, j’suis là pour ça, j’te dois bien ça après toutes ces années.. M’encouragea-t-il sans me lâcher du regard. Je le sentais qui pesait sur moi, et ça me stressait un peu. C’est juste.. c’est juste que j’ai changé tu vois.. depuis Riley, depuis l’accident. Je me suis rendue compte que la vie était précieuse, qu’il ne fallait pas que je fasse n’importe quoi. Je fis rouler mon mug entre mes mains, tout en regardant la boisson formée un mini tsunami contre les parois de la tasse. Et ma relation avec Sebastian était n’importe quoi. J’ai juste mis les choses au clair avec lui et il n’a pas trop apprécié donc il est partit comme il est venu. C’est tout. J’avais un peu omis le fait que ça m’avait brisé le cœur, toutes mes interrogations concernant le père de mon enfant et le fait que je pense à lui souvent pour ne pas dire constamment.

Je me mis sur mes deux jambes armé de mon sourire afin de lui montrer mes progressions. Tu as vu ?! Demandais-je en tournant doucement sur moi-même. Je marche seule, doucement et avec une canne certes, mais je marche. Dis-je en attrapant ma béquille. Je ne lui fis pas part de mes douleurs, j'espérais simplement qu'elles passent avec le temps bien que les médecins n'en soit pas très convaincus. Je fis un petit pas vers lui et reprit d’un ton plus sérieux. Au fait toi ! T’étais où tout ce temps, parce que m’envoyer un message par mois, ça va bien deux minutes ! Je fis une petit moue colérique et me rasseyais face à lui.

Je compris rapidement que Geane n’était pas au top de sa forme alors je lui demandais de me dire ce qu’il y avait, déjà pour savoir si je pouvais l’aider et si je ne pouvais rien faire, je me contenterais d’apporter des chocolats pour lui remonter le moral. Elle m’expliquait alors que Sebastian était passer et avait apporter un cadeau à son fils, je lui demandais alors où était le problème. « Non, mais ça me fait plaisir qu’il pense à son fils, ce n’est pas le problème. » me répondit-elle dans un premier temps. Je l’observais alors du coin de l’œil, je ne voulais pas non plus la forcer à me parler si elle n’en avait pas envie, mais je pense que ça lui feras du bien et promis je serais sage. « C’est juste… c’est juste que j’ai changé tu vois… depuis Riley, depuis l’accident. Je me suis rendue compte que la vie était précieuse, qu’il ne fallait pas que je fasse n’importe quoi. Et ma relation avec Sebastian était n’importe quoi. J’ai juste mis les choses au clair avec lui et il n’a pas trop apprécié donc il est parti comme il est venu. C’est tout. » m’explique-t-elle alors en regardant sa tasse. – Honnêtement G., je trouve que tu es la plus censé de nous deux, mais si tu juges que ta relation avec lui n’est pas bonne pour toi, alors d’accord, et tant pis pour lui s’il n’est pas foutu de le comprendre. Ou alors il va finir par se rendre compte que tu as raison et qu’il serait temps que lui aussi change, pour vous deux et pour Riley. Lui dis-je alors en haussant les épaules. Enfin c’est moi qui dit ça, alors que je ne suis pas foutu d’avoir une relation digne de ce nom. Elle se leva ensuite en souriant et tourna doucement sur elle-même. « Tu as vu ?! Je marche seule, doucement et avec une canne certes, mais je marche. » me lance-t-elle toute fière. – J’ai remarqué déjà quand tu m’as ouvert la porte… mais j’suis super fier de toi, j’savais que tu y arriverais, t’es une battante. Lui dis-je alors en souriant. – Et puis vaut mieux y aller doucement, c’est pas rien quand même. Ajoutais-je en souriant toujours. Elle s’avança doucement vers moi et reprit son sérieux. « Au fait toi ! T’étais où tout ce temps, parce que m’envoyer un message par mois, ça va bien deux minutes ! » dit-elle en faisant la moue et se rasseyant en face de moi. Je grimaçais puis bu une nouvelle gorgée. – Bah disons que j’ai été pas mal occupé, j’ai eu des petits soucis, j’ai dû m’faire discret pendant quelques temps… Lui dis-je alors en levant doucement les yeux pour la regarder avec une petite grimace.  

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 J’avais parlé un peu de Sebastian avec Noah, ça me faisait plaisir d’avoir un avis (plus ou moins) objectif. Honnêtement G., je trouve que tu es la plus censé de nous deux, mais si tu juges que ta relation avec lui n’est pas bonne pour toi, alors d’accord, et tant pis pour lui s’il n’est pas foutu de le comprendre. Ou alors il va finir par se rendre compte que tu as raison et qu’il serait temps que lui aussi change, pour vous deux et pour Riley. M’avait-il répondu tandis que je m’amusais à touiller le peu de thé qu’il me restait à l’aide d’une cuillère. Ouais.. Soupirai-je sans lâcher ma tasse des yeux. J’avais envie de lui dire que ce n’était pas si simple, pour la simple et bonne raison que j’étais attaché à lui malgré tout. J’étais attaché à lui et je savais que si je le laissais partir, il ne reviendrait pas car il ne changerait jamais. Pour personne.

J’avais laissé passé quelques secondes et j’avais décidé de faire une petite démonstration de marche devant mon ami. Je voulais qu’il soit fier autant que je l’étais. J’ai remarqué déjà quand tu m’as ouvert la porte… mais j’suis super fier de toi, j’savais que tu y arriverais, t’es une battante. Je fis un beau sourire, parce que je me sentais bien. Ca me plaisait qu’on remarque mes efforts même si avant tout je le faisais pour moi et moi seule. Noah me conseilla quand même d’y aller doucement. J'avais roulé des yeux. Tout le monde me disait la même chose mais je comptais pousser jusqu’à ce que ce soit mon corps qui cris stop, pour l’instant il ne faisait que murmurer et je savais comment le faire taire.

Pour éviter de nous étaler sur ce sujet, encore une fois, je lui demandai des explications quant à son absence ces derniers temps. Je m’étais rassise pour pouvoir l’écouter. Bah disons que j’ai été pas mal occupé, j’ai eu des petits soucis, j’ai dû m’faire discret pendant quelques temps… M’avait-il dit en me regardant d’un air de chien battu. Il avait encore fait des conneries, je le sentais. Noah Rodriguez, qu’est-ce que tu as encore fais ? Je fis une petite moue sévère en le regardant, il savait que je n’aimais pas qu’il se mette dans le pétrin mais il savait que j’aimais encore le fait qu’il ne me dise rien.