Ce soir est vraiment pas si spécial que les autres jours, je me suis entrainer avec les enfants, j’aime vraiment passer des moments avec eux, j’ai toujours l’impression de faire une bonne action quand je les entraîne. Ils ont vraiment bien bossé ce soir, ils ont était vraiment discipliné et ont fait tout ce que je leur avais demandé. Je profite qu’ils soient tous partie de la salle, certains on était récupérer par leur parents, mais je sais que l’un d’entre eux n’a pas cette chance, car ses parents sont trop occuper pour venir, je pourrai le laisser partir seul, mais je préfère l’accompagner jusqu’à devant sa porte, je n’ai pas envie qu’il lui arrive quelques chose. Une fois que la salle est bien ranger, je pars sous le jet de la douche, j’en ai bien besoin vu tout ce que j’ai pu faire, à un moment ils se sont mis à trois pour essayer de me faire tomber, ils ont fini par y arriver et on s’est bien amuser et c’est tout ce qui compte pour moi, on est ici pour apprendre en s’amusant.

Quand nous sommes tous les deux prêts, je ferme bien la salle correctement en faisant attention, je m’en voudrai si demain on m’appelle pour me dire que c’était mal fait. Quand tout est bon, lui et moi on se met à avancer doucement à pied vers chez lui, il a de la chance de vivre pas très loin de la salle, certes habite un peu plus loin, mais ça ne me dérange pas du tout de marcher jusqu’à chez moi, bien au contraire. J’aime partager ce genre de petit moment avec eux, au moins nous pouvons apprendre un peu plus l’un sur l’autre. Jamais je me servirai de ce j’apprends sur eux, jamais je ne souhaite leur faire du mal, bien au contraire je veux garder le lien spécial que j’ai avec eux. Quand nous arrivons devant sa porte, il me remercier d’avoir marché avec lui et j’attends vraiment que sa porte se referme sur lui avant de lui tourner le dos et de partir vers chez moi.

Je n’ai pas réellement envie de rentrer chez moi pour le moment, je marche donc doucement sans me préoccuper de la destination que je prends, au pire je pourrai appeler un taxi pour rentrer chez moi, mais quand je fini par m’intéresser à ce qui se passe autour de moi, j’ai l’impression de reconnaître une personne, surtout son corps, jamais je ne pourrai oublier un tel corps. Je ne suis pas du tout sûre de son identité, mais j’ai l’impression de reconnaître une amie à qui je tiens beaucoup, je m’approche doucement d’elle, lui murmure doucement au creux de son oreille.

- Ce n’est pas très prudent de se promener seule la nuit…

Les paroles de Béatris ne me surprenne pas du tout, c’est vrai que nous savons tous les deux que le danger ne lui fait pas peur. Ce genre de chose me fait toujours peur, mais il faut l’avouer ça ne me fait pas ressentir que ce genre de chose, mais pour le moment je ne dois pas pensée à ce genre de chose. Avec l’approche que je viens de lui faire, une autre femme aurai sursauté et hurlé avant de me frapper, mais ce n’est pas du tout le cas de Béatris. Je sais que j’aurai pu faire n’importe quelle approche, rien n’aura changé avec elle, elle a de la chance que je ne suis  pas un tueur et que je ne souhaite pas lui faire du mal à nouveau. Mais j’ai tout de même un peu envie de jouer en sachant qu’il y a personne dans les rues, je vérifie tout de même par sureté, car on ne sait jamais et je n’ai pas du tout envie que l’on pense que je suis en train de l’agresser, car ce n’est pas du tout le cas. Je passe donc doucement ma main le long de sa hanche pour finir par la poser sur son ventre et l’attirer contre moi. Je suis toujours aussi surpris que son corps à l’impression d’être fait l’un pour l’autre. Quand je suis sûre qu’elle est le plus proche possible de moi, je continu de lui murmurer au creux de l’oreille.

- Pourtant je pourrai être un tueur qui ne rêve que d’une chose. Une femme comme toi seule, peux donner de nombreuse idée à un homme avec des problèmes psychiatriques. Fait attention à toi Béatris…

Je sais très bien qu’elle peut sentir mon souffle chaud dans son cou, mais je ne bouge pas du tout de la position que l’on a même si je sais très bien que ce n’est pas une très bonne idée, mais j’aime la tenir dans mes bras, avec ou sans arrière-pensée. Je ne sais pas si je joue avec le feu, mais je fais mon possible pour déposer de léger baiser le long de son cou avant de me mettre à rire légèrement pour lui faire comprendre que je ne souhaite pas lui faire du mal en profitant de la situation. On a peut-être un passée en commun, mais je en souhaite pas faire de chose qu’elle ne pourra pas accepter. Je me sépare donc d’elle, sans faire en sorte qu’elle se retrouve face à moi, j’ai envie qu’elle le fasse par elle-même et surtout sa me permet de me remettre les idées en ordre, à chaque fois que je suis avec elle, j’aime jouer avec le feu, mais à un moment je pense que je vais finir par me bruler.

- Je suis assez curieux de savoir ce que tu fais ici en pleine nuit...

Je suis tout de même inquiet de la savoir seule dans la rue en pleine nuit, mais je sais aussi qu’elle est libre de faire ce qu’elle souhaite, nous sommes simplement amis et je n’ai aucun droit de lui interdire de faire quoi que ce soit, même si par moment j’aimerai le faire surtout sur ses fréquentations, mais je me tais pour ne pas la perdre tout simplement.

J’aime vraiment la réaction qu’a son corps quand il touche le mien, bien entendu je n’ai pas manqué le fait que son corps à frissonner quand ma main est venu se poser sur ses hanches et glisser jusqu’à son ventre, je suis assez surpris tout de même que son corps réagisse toujours autant au mien, mais nous savons tout les deux que c’est vraiment trop compliquer entre nous deux. Mais je profite tout de même de ce moment où nous sommes seuls dans cette ures, même si les gens pense que je pourrai être en train de l’agresser, mais je sais que la femme que je tiens entre mes bras est consentante et je suis même sure qu’elle est en train de se mors les lèvres à cette instant. Mais je décide de bien rester coller à elle en l’écoutant me parler. Ses paroles me font sourire, je sais qu’elle pense ses paroles même si elle ne devrait pas savoir que je suis un homme de contrôle.

- Tu as raison je suis un homme de contrôle donc je ne pourrai pas être un tueur et si ce n’était pas le cas, ça ne sera pas mon dos qui se retrouverai contre moi. Mais ce n’est pas la question est peut être que je jouerai avec mon physique qui est avantageux selon toi. Mais une seule personne me donne envie de faire ce genre de chose…

Ce n’est pas du tout un secret sur le fait que Béatris m’attire beaucoup, ce genre de chose dure depuis un petit moment déjà. Mais je sais aussi qu’il y a une espèce de petit jeu entre nous, c’est donc naturellement que je commence à déposer de léger baiser dans son cou. Je sens son corps réagir et tout ça me plait beaucoup, mais c’est juste un jeu entre nous, car nous savons tout les deux qu’entre nous c’est compliquer. Pour me donner une certaines contenance, je me mets légèrement à rire avant de la lâcher, il vaut mieux que je ne sois plus en contact avec elle sinon je risque de ne plus pouvoir me contrôler et je sais très bien qu’aucun de nous ne veux que ce genre de chose se produise. Je lui laisse un petit moment pour se remettre de ce qui vient de se passer entre elle et moi, j’en profite pour reprendre le dessus et quand je la vois se retourner en souriant, je lui retourne bien entendu son sourire. Mais quand j’entends ses question, mon sourire s’agrandit, je me demande bien se qui se passe actuellement dans sa tête, je pense que je vais essayer de faire un petit quelques chose pour voir ses réaction.

- Tu travailles toujours avec ton père, je me demande bien comment tu arrive à te reposer. Je raccompagner simplement une personne qui habite pas très loin d’ici et maintenant je rentrais chez moi tout simplement.

Je ne précise pas du tout que j’ai accompagné un enfant chez lui, je veux voir qu’elle réaction elle va avoir suite à mes parole, c’est un coup très bas, mais j’en suis arriver à ce point là quand il s’agit d’elle, je veux savoir pas mal de chose sur sa vie, mais je n’ai pas envie qu’elle pense que je susi un homme trop lourd et jaloux, je la laisse mener la vie qu’elle souhaite depuis que nous ne sommes plus ensemble, tout comme j’ai le droit de faire ce que je veux de la mienne.

Je ne devrai pas jouer avec elle ainsi, mais ce n’est pas du tout de ma faute si son corps m’appelle à chaque moment quand je me trouve pas très loin d’elle, mais elle ne doit pas remarquer ce genre de chose, elle sait que je suis le genre de personne à aimer jouer avec ce genre de chose, enfin je ne suis pas un gros dragueur qui joue de son plastique. Mais quand on se met à parler de mon physique qu’elle trouve plutôt avantageux dans ce genre de situation je ne peux que sourire, je sais très bien ce qu’elle pense de moi et notre passée commun suffit pour comprendre l’ampleur de notre relation, mais il ne vaut mieux pas pensée à ce genre de chose en ce moment. C’est vrai qu’avec ce qu’ai en train de me dire Béatris, je peux faire un parfait tueur en série, mais comme je viens de lui dire, il y a qu’une personne qui me donne envie de me comporter comme ça, mais ce qu’elle ne sait pas c’est que c’est d’elle que je parle. Je n’arrive absolument pas à me la retirer de la tête, alors quand elle me dit que cette personne à de la chance, je me retiens de lui dire qu’elle ne sait pas à quelle point elle a de la chance.

- Tu penses bien me connaitre Béatris, mais j’ai peut-être bien changé depuis que tu me connais. Il ne faut pas se fier aux apparences ma belle, je pense que tu sais de quoi je veux parler n’est-ce pas ? Ce n’est pas de ma faute si j’aime jouer à ce point, mais cette fois je te promets que personne ne souffrira, enfin je ferai mon possible pour que ce ne soit pas le cas. Même si ce genre de chose ne se contrôle absolument pas.

Je sais qu’il ne faut surtout pas que je joue avec elle plus longtemps, la dernière fois que je l’ai fait j’ai perdu enfin je l’ai perdu et je ne veux plus que ce genre de chose se produit, je ne peux pas vivre sans elle dans ma vie. Mais je dois me reprendre, c’est pour cette raison que je fais mon possible pour me séparer d’elle, même si j’apprécie vraiment le contact de son corps contre le mien. Je lui laisse un peu de temps pour se reprendre avant d’entamer une nouvelle conversation, mais je ne peux absolument pas m’empêcher de la taquiner en lui disant que j’ai raccompagné quelqu’un jusqu’à chez lui, je ne lui dit pas qu’il s’agit d’un petit garçon, je sais au fond de moi qu’elle pense qu’il s’agit d’une femme. Sa simple réflexion me le prouve, pour elle je suis un vrai gentleman en agissant de la sorte.

- Tu finiras par faire un choix quand il ne te sera plus facile de continuer les deux, quand ton corps te suppliera d’arrêter de le torturer ainsi, mais je sais que tu seras quand c’est le bon moment pour faire ce genre de choix.

Je fais un pas vers elle pour que l’on se retrouve de nouveau très proche et je lui murmure des mots à l’oreille, je sais que je suis en train de jouer avec le feu, mais avec elle je ne me contrôle jamais et c’est surement après que je me rencontre de l’erreur que j’ai pu faire, mais je ne regrette jamais ce que je peux faire, sauf ce qui a fait que Béatris et moi avons rompu.

- Tu es toujours aussi craquante quand tu te montres jalouse…. Je suis très gentlemen avec un des enfants que j’entraine le soir Béatris.

Je connais parfaitement Béatris et je sais exactement à quoi est ce qu’elle est en train de pensée actuellement, je sais qu’elle doit s’imaginer que je parle d’une autre femme, que j’ai refais ma vie avec une personne qui me comble et surtout que je l’ai oublié. Mais elle se trompe totalement, je parle d’elle quand je lui dis qu’une seule personne peut me faire réagir, mais pour le moment je ne compte pas lui dire surtout à cause de la raison de notre séparation. Je refuse que ce genre de chose se produise de nouveau. Quand je l’écoute je ne peux qu’être d’accord aves ses paroles, même si je en trouve pas vraiment que j’ai changé, j’ai juste fait en sorte que tout ça ne se reproduise plus du tout, car je m’en veux vraiment pour ce genre de chose. Mais quand elle me dit que personne en sait qui elle est vraiment, je en peux pas m’empêcher de rire légèrement.

- C’est vrai que personne ne sais qui tu es réellement, même toi te ne le sais pas. Mais avec le temps une seule personne pourra te découvrir telle que tu es et cette personne fera ton bonheur.

Je fais en sorte de retenir la monté de jalousie quand je me mets à imaginer un autre homme que moi la combler et faire en sorte qu’elle se montre vraiment comme elle est. J’aime espérer que je suis la personne qui la connait le plus, mais je sais que c’est faux, c’est pour cette raison que je dois me contrôler, je me concentre sur le qu’elle est contre moi et contre personne d’autre à cette instant. Mais je ne doit pas abuser de ce genre de chose, je fait donc mon possible pour nous séparer, je lui laisse un peu de temps pour se remettre et j’en profite par la même occasion pour faire la même chose. Je ne sais pas comment je fais pour me contrôler, car avec elle j’ai toujours la même envie, mais je me secoue la tête quand on se met à parler des raisons pour laquelle nous sommes ici. Je remarque tout de suite qu’elle plonge dans mon piège. Je suis d’accord avec ses dernières paroles.

- C’est vrai que ça sera vraiment dommage que tu finisses à bout, après je serai obliger de te ramasser à la petite cuillère et m’occuper de toi.

Je la regarde en souriant et je ne sais pas du tout comment elle va prendre mes paroles, mais ça ne me dérangerai pas de m’occuper d’elle, mais j’espère quand même dans une autre situation que celle là. Mais je fini par craquer quand je remarque qu’elle a vraiment l’air jalouse, je fais donc mon possible pour venir murmurer au creux de son oreille la véritable raison de ma présence ici, mais quand elle plonge son regard dans le mien je sais très bien que je suis fichu, je sais que je ne vais pas pouvoir me tenir éloigner d’elle. Je n’aurai pas tu venir coller mon torse contre son dos il y a quelques minutes, j’ai utilisé toute ma résistance. Quand elle me dit que c’est plus fort qu’elle, elle ne peut pas s’empêcher d’être jalouse quand sa me concerne, je ne peux que sourire.

Mais je perds tout de suite mon sourire quand ses mains viennent se déposer sur mon torse et qu’elle fini par déposer ses lèvres sur les miennes, je réponds à son baiser, j’attends ce moment depuis notre séparation, je ne sais absolument pas comment est ce que j’ai fait pour tenir autant de temps sans avoir aucun contact avec elle. Elle est vraiment une drogue pour moi, je sais que ce que nous sommes entrain de faire n’est pas bon du tout, mais à cet instant je m’en moque, je dépose mes mains sur ses hanches pour la rapprocher un peu plus de moi et je l’embrasse avec tout ce que je peux ressentir pour elle à cet instant.