Ca faisait des jours que je n'avais pas vu Joe, que dis-je des semaines. Habituellement on se côtoyait assez régulièrement, en fait à chaque fois que je sortais et que je me défonçait la gueule je finissait dans son pieu. Parmi toutes les nanas que je pouvait m'envoyer, Joe était certainement mon plan le plus régulier et évidemment celui qui me plaisait le plus. Cette nana là était sauvage et pas qu'au lit, j'aimais son caractère et sa façon d'être presque autant que j'aimais les courbes de son joli corps. Ce serait être aveugle que de dire que Joe Healy n'était pas une véritable bombe, dés notre première rencontre je n'avais pas eu de mal à l'avouer. Enfin bref, je rentrais d'une semaine en Australie avec Shayling pour son job. C'était censé nous détendre, nous permettre de se retrouver. Après qu'elle m'ait jurer qu'il ne c'était absolument rien passer avec son vieux crouton de boss, elle avait réussi à me faire céder et l'accompagner là-bas. Je n'étais pas des plus enchantés, mais j'y étais aller pour lui faire plaisir. Et puis aussi parce que j'adorait les vagues de Sydney pour surfer ! Je m'était éclater pour ça d'ailleurs, quant à ma relation avec ma petite amie ça pouvait aller. J'essayais d'être un peu plus conciliant avec elle et de faire certains efforts, sauf que je gardait au travers de la gorge les bleus que j'avais pu voir sur son corps et si elle n'avait rien fait avec ce pauvre type alors d'où ils venaient ? Je n'arrivait pas à me l'enlever de la tête, s'en était presque devenue une obsession et même si je faisait bonne figure devant elle, intérieurement je bouillonnait. Enfin bref, ce soir j'avais passer la soirée avec Rayane comme pratiquement toutes mes soirées. Mon pote et moi étions sorti dans une soirée organiser dans les quartiers chic de la ville, des potes de l'université avait organiser ça et on ne disait jamais non à une raison de se bourrer la gueule. J'avais enchaîner les bières et les shots d'alcool en tout genre, fumer à l'excès puis finalement Rayane avait décider de me lâcher pour aller s'envoyer une petite pétasse à l'étage. Etonnement j'en avais eu marre de tout ce bruit et avait décider de me tirer à mon tour. Pas de jolie poulette pour moi ce soir, j'avais trop de truc en tête pour perdre mon temps avec une fille quelconque. J'avais pris un uber, parce que je suis pas assez inconscient pour me tuer en caisse, puis sans que je sache trop pourquoi je lui avait indiquer l'adresse de Joe. Je me retrouvais devant chez elle quelques minutes plus tard, je n'étais pas ivre mort, mais j'étais bien défoncer quand même. Je réussissait à tenir de bout ce qui était déjà bien et à placer des phrases compréhensibles. On était en semaine, j'espérait qu'elle soit là, parce que j'avais besoin de me changer les idées et elle était un très bon moyen de faire ça. Je sonnait alors à sa porte, tout en checkant mon téléphone.

Vu l'expression surprise qu'elle affichait, elle ne s'attendait pas à tomber sur moi en ouvrant sa porte d'entrée. Je ne pouvait l'en blâmer, d'ailleurs pendant un instant l'idée qu'elle puisse me refermer la porte au nez me traversait l'esprit. Une femme à qui on n'apporte plus autant d'attention peu très vite se montrer vexer et il n'y a pas pire qu'une femme vexer. Pourtant, c'était Joe. Joe c'est l'avantage d'un corps de rêve avec un esprit de mec. Elle ne réagis pas comme la plupart des nanas qui m'auraient péter une crise parce que je ne les avait pas appeler durant des semaines. Non, Joe elle se décalait et me laissait le soin d'entrer alors qu'elle baladait son petit cul bien rebondit jusqu'au salon. Je connaissait son chez-elle parcoeur, elle connaissait mon appart également, mais la majeur partie du temps quand on baisait c'était chez elle. Joe n'avait pas de coloc râleuse ou de petite copine qui risquerait de débarquer à l'improviste. Elle s'enfilait un shot lorsque j'arrivait enfin près d'elle après avoir refermer la porte d'entrée. « ça tombe bien que tu sois ici. J'commençais à avoir faim. » Je fronçait légèrement les sourcils, les merdes que je m'était enfiler ce soir n'étaient pas encore totalement descendues et j'étais toujours un peu à l'ouest. D'ailleurs, j'ouvrit la bouche pour répondre mais n'en eu pas le temps, puisque la jolie brune venait de me plaquer contre l'un des murs du salon. Lorsque mon dos heurta le mur, je fermais un instant les yeux dans un grimace, le choc avait été violent dans ma tête. Elle plaquais ensuite ses lèvres sur les miennes et se mise à m'embrasser avec envie, je pris une poignée de seconde avant de réaliser ce qui était entrain de se produire. Mais ce n'était ni choquant, ni désagréable loin de là. Je me repris vite en main et les vielles habitudes prirent le dessus, mes mains se plaçaient d'abord sur ses joues afin d'intensifier le baiser un peu plus et de jouer comme il faut avec sa langue. Puis, je descendait mes mains le long de son petit corps, les déposait sur ses cuisses et fit rapidement en sorte de la soulever, ses jambes enrouler autour de ma taille. Là, on changeais de position, je la plaquais à son tour contre le mur sans la reposer à terre et sans lâcher ses lèvres une seconde. Je continuais à l'embrasser avec beaucoup d'envie et tandis que l'une de mes mains continuait à soutenir son corps contre le mien, la seconde s'occupait à défaire les boutons de sa chemise. Son corps m'avait manquer, son petit côté sauvage aussi. Elle et moi c'était purement physique, un truc inexplicable. Quand on se trouvait dans la même pièce, fallait qu'on baise, qu'on élimine cette tension sexuelle. Et même légèrement défoncé, je ne comptais pas faire de cette soirée un exception à la règle.

Et hop, en moins de deux elle n'avait plus de chemise. Sa poitrine généreuse était à ma portée, comme un véritable cadeau du ciel. Je la déposait à terre le temps qu'elle m'aide à me retirer mon tshirt et tandis qu'elle s'afférait à embrasser mon cou, je défaisait mon jean et m'en débarrassait tout aussi rapidement. Puis, Joe guidait une de mes mains sur sa poitrine que je caressait sans la moindre retenue. Je ne tenais pas à être doux ou patient, je n'avais qu'une envie profiter de son corps à fond donc je ne prenait pas de gants. Elle se trouvait toujours plaquer contre le mur et son visage était enfoui dans mon cou sur lequel elle déposait des baisers sauvages, des morsures parfois qui avaient le dont de réveiller mon entre-jambe en un rien de temps ! Je sentais mon engin durcir petit à petit dans mon boxer alors que ma main libre vient se poser presque avec violence sur sa cuisse que je remontais légèrement afin de me coller de nouveau à elle. Je voulait qu'elle sente l'effet qu'elle me procurait, je collait volontairement mon sexe au sien et dégageais ma main de sa poitrine pour attraper sa nuque et remonter son visage en ma direction. Là, je l'embrassait avec tout autant de fougue, elle me mordit la lèvre inférieur ce qui me fit lâcher un gémissement entre l'excitement et la douleur, parce qu'elle n'y était pas aller doucement. Un petit goût métallique dans la bouche et je réalisait qu'elle m'avait fait saigner. Etrangement, alors que je n'étais pas du tout du genre à me sentir exciter par ce genre de délire, le sang et tout le bordel, ça m'excitait d'avantages. Je passait rapidement ma langue sur ma lèvre, ça s'arrêterait rapidement, ce n'était que minime et repris possession de sa bouche. Mon corps était brûlant, Joe et moi dans ce genre de moments c'était comme deux animaux. On ne pensait à rien d'autre qu'au plaisir, rien d'autre qu'à l'envie pressante de baiser comme des bêtes. D'ailleurs, je n'en pouvait déjà plus, j'avais besoin de la sentir se refermer autour de moi et d'assouvir mes désirs. Je n'étais pas quelqu'un de patient. Je me détachais d'elle le temps de la faire se retourner, elle se retrouvait face au mur et je me plaquais derrière elle. J'attrapais ses deux mains, que je posait à plat contre le mur, puis je fit glisser ma main droite vers sa partie intime. Mon visage vient se placer dans son cou, j'y déposait quelques baisers tandis que pour commencer, j'écartais ses jambes à l'aide des miennes et me mise à la titiller à l'aide de mon index. « cet endroit m'avait manqué. » Lui fis-je remarquer, un sourire amusé au coin des lèvres, alors que ma main libre pressait l'un de ses seins et que l'autre s'afférait à accélérer ses mouvements sur son petit bouton que j'aimais tant.
La demoiselle était déjà bien mouillée, quant à moi elle pouvait sans doutes déjà ressentir mon envie contre ses fesses.