- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: l'heure de la vengeance a sonné. | Mar 26 Sep - 20:54
alexie anderson & wane taylor.
cauchemar éveillé
Enfin toutes les complications dues à mon accouchement prématuré étaient terminées. Liam avait passé plus d’une semaine de plus à l’hôpital et ça faisait maintenant une semaine qu’il était ici, à la maison, avec nous. C’était une vraie joie de l’avoir en notre compagnie, et malgré le fait que c’était pas de tout repos être parent d’un nouveau-né on vivait un très grand bonheur J’avais de la chance d’avoir Nathaniel avec moi à la maison pour encore deux semaines avant qu’il ne retourne au boulot. Je ne voulais d’ailleurs pas trop penser à ça car l’idée de me retrouver seule à tout faire eh bien, c’était pas quelque chose qui me plaisait beaucoup. J’allais me tenir occupée, j’allais rendre visite à des gens avec mon beau bébé d’amour… bref, j’avais déjà des idées mais je voulais profiter du plus de temps possible avec mes hommes. Après le bain de Liam, son biberon et lui avoir changé sa couche pour la nuit, je le couchai en quittant sa chambre tout doucement tout en regardant le moniteur de la caméra. On avait pas trop de difficulté à l’endormir, c’était un vrai petit paresseux comme sa maman mais disons qu’il avait le sommeil assez léger, la nuit surtout.
Cette soirée là, Nathaniel n’était pas à la maison à cause d’une pratique de foot. Je savais bien que c’était une question d’une heure environ avant qu’il ne rentre. J’en profitai donc pour nettoyer un peu la maison et commencer à préparer des biberons d’avance pour le petit. N’allaitant pas, c’était facile de s’organiser ainsi et prendre de l’avance à ce niveau. J’étais tranquillement en train de nettoyer les biberons dans l’évier lorsque j’entendis des bruits de pas dans le condo. Je jetai un coup d’oeil à l’heure indiquée sur le four en fronçant les sourcils.
« Hey! L'entraînement s’est terminé plus tôt que prévu? » demandais-je en continuant à faire ce que je faisais.
N'ayant pas de réponse, je fermai l’eau et c’est tout en me séchant les mains que je quittai la cuisine en cherchant du regard mon copain, pourquoi est-ce qu’il me répondait pas quand je lui parlais? C’était bizarre
« Nathaniel? »
nightgaunt
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Jeu 5 Oct - 0:04
l'heure de la vengeance a sonné
Wane ft. Alexie
En ce moment avec Alysse on ne se parlait pas vraiment, j'étais énormément occupé au travail, quand je rentre elle dort, et quand je pars elle est réveillé rapidement puis moi je dois partir aussi. On ne fait que se croiser en faite. Et pendant ce temps je continuais à parler avec Jennessa quelque fois, elle me tirait vers une partie sombre de moi... Qui était pire que celui que j'étais avant. C'était grave, des fois je me faisais même peur à moi même. Je voudrais arrêter tout ça, toutes mes conneries mais j'avais une chose à faire avant... Je devais m'en prendre à Alexie, la petite amie de Nate et mère de son gosse. Je ne me prend pas aux enfants, ni même au mère, c'est pour cela qu'elle aura la vie sauve ainsi que le bébé. Mais ils vont être tous les deux pendant un certain moment dans l'ombre, à l'abri... Loin de la ville.
J'étais partit au travail aujourd'hui comme tous les matins mais je ne suis pas rentré directement après. Je me suis habillé d'un pull à capuche, d'une veste ainsi que d'un T-Shirt en tout dessous. J'avais enfilé un jogging noir avec un sac à dos. Je pars comme si j'allais faire du sport, un jogging en effet. Je cours pendant quelques instants histoire de brouiller les pieds et quitter le nord de la ville. J'arrive vers le condo de la jeune femme. J'attend à l'angle de la rue que quelqu'un sorte du bâtiment.. 15 minutes après, une vieille sort, je cours pour passer par la porte une fois ouverte sur le point de se refermée. Je me glisse à l'intérieur, la capuche sur la tête. Je ne touche rien pour le moment, je baisse la tête en sortant mes gants que j'enfile. Je regarde l'interphone et je vois leur nom avec leur numéro d'appartement. Je monte les escaliers doucement, l'adrénaline en moi montait. C'était le moment. Je passe alors par l'escalier de secours à l'extérieur, je monte encore un étage et me voila à l'étage de la petite famille. J'avais hâte. J'entre par la fenêtre de la chambre de l'enfant, je regarde comment tout était placé tranquillement, j'entend du bruit mais dans la salle de bain, la porte était fermé. Je me balade dans tout le condo histoire de voir un peu comment ça allait se passer. Je fais attention là où je marche quand même. Ne rien laisser comme empreinte de mon passage.
J'étais chez elle donc, tapi dans l'ombre, ma respiration était lente, calme. J'aimais n'immiscer comme cela dans la vie des gens, je pouvais voir leur vie, imaginer comment c'était chez eux. Leur occupations... J'étais dans la chambre du petit de la jeune femme en question. Je savais qu'à l'époque Nate avait discuter avec certains de ses collègues, disant que sa petite amie était enceinte de peu. Bien sur aujourd'hui, elle avait eu le temps de le cuir et de le pondre. L'attente était longue, aussi longue que mon moment passé en prison à croupir à cause de ce connard de Nate. Franchement, je lui en voudrais toujours et aujourd'hui il va bien pleuré quand il va rentré, ça vous en faites pas. Parole de Wane Taylor. J'entend que ça bougeait. Je me décale en changeant de pièce tranquillement sans faire de bruit. Je vois une ombre passée sortir de la salle de bain. C'était le moment. La jeune femme part et dans la cuisine et ouvre le robinet. J'avance vers la chambre du petit, il était là, les yeux ouvert avec sa tétine. Il allait dormir. Je lui fais un signe pour ne pas qu'il pleure et lui caresse la joue en souriant. Il était mignon quand même, je lui donne un jouet pour qu'il soit occupé puis je sors de sa chambre. Je regarde devant moi, personne, derrière moi, personne. J'avance vers la cuisine. Manque de bol, le plancher se met à grincer sous mes pas légers. Je m'arrête bloquant ma respiration alors que la rousse dans la cuisine se met à parler. Je l'entend elle se met à bouger de la pièce en arrêtant l'eau. Je fronce le regard en réfléchissant. Et merde Je change de pièce allant dans une autre, les toilettes, ok pourquoi pas. J'attend elle passe devant en disant le prénom de Nate. Je l'a regarde passé devant moi, la porte entrouverte, la lumière éteinte. Je respire seulement doucement via le nez lentement. Je sors de ma place rapidement sans qu'elle n'ai eu le temps de se retourner, puis je met mes mains sur sa bouche violemment, l'attirant en reculant vers la cuisine. "Tais toi! Sinon ton gosse y passera." J'attrape un rouleau de film adhésif pour alors lui mettre autour de la bouche, ainsi qu'autour de ses poignets que je met derrière elle pour l'attacher. Je me met devant elle, le regard sombre sans qu'elle ne voit mon visage. "Tu vas me suivre!" Je sors un papier et un stylo qui était là non loin lui mettant sous le nez. "Tu vas m'écrire un mot pour ton cher et tendre Nate, que tout va bien, que t'es dehors avec Liam. Oui je connais toute ta vie ma petite Alexie." Dis-je en lui caressant sa joue mes mains toujours dans les gants en latex de médecin. Et oui ça sert de s'être taper la pédiatre de ma fille et de toujours la voir.
made by black arrow
Alexie R. Wilson
i'm a sexy pnj
- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Ven 6 Oct - 4:19
alexie anderson & wane taylor.
cauchemar éveillé
C’était une soirée tranquille, je l’admet. Bon, il faut dire que depuis la naissance de mon fils, lorsqu’il était le temps de le coucher, c’était là que j’en profitais pour faire tout ce que je n’avais pas le temps de faire lorsqu’il était éveillé. J’avais de la chance toutefois, il dormait quand même assez souvent, même que des fois, c’était moi qui m’ennuyais car monsieur faisait toujours de très longues siestes. Je devais avouer toutefois que, particulièrement cette soirée-là, j’aurais bien aimé passer mon temps en compagnie de mon petit-ami, que ça soit devant la télévision ou bien à traîner dans notre lit. Mais Nate avait son football et je savais que c’était quelque chose qu’il adorait faire donc je le laissais y aller et j’attendais sagement son retour, en espérant qu’à ce moment, je ne dorme pas ou bien qu’il ne soit pas trop épuisé aussi. Lorsque Liam allait être un peu plus vieux, je prévoyais bien aller m’asseoir dans les estrades pendant les matchs, je le faisais souvent avant, c’était quelque chose que j’aimais bien.
C’est pourquoi je fus agréablement surprise de l’entendre arriver plus tôt à l’appartement. Je me disais que c’était chouette que ça se termine beaucoup plus tôt, bien que ça soit intriguant. Ce qui l’était encore plus toutefois, c’était qu’il ne me répondait pas lorsque je m’adressai à lui. C’est un peu insultée, que je fermai l’eau de l’évier en essuyant mes mains pour aller à sa rencontre. Il était peut-être frustré, ça s’était peut-être pas bien passé, pensais-je!
« Est-ce que tu peux me répondre quand je te parle, s’il te plaît? »
Je marchai dans le corridor jusqu’à la chambre de notre fils où je poussai doucement la porte, comme pour regarder s’il était en compagnie de Liam mais non, rien. Comme je me tournai pour retourner où j’étais que je fis un saut énorme en voyant un homme que je ne connaissais pas, la visage masqué devant moi. Mon cri fut aussitôt étouffé par sa main sur ma bouche alors qu’il m’entrainait fermement jusqu’à la cuisine. Mon coeur battait tellement vite que je pensais en mourir, je paniquais… je ne savais pas ce qui se passait! J’avais envie de crier mais je ne pouvais pas, j'essayais de me calmer pour réfléchir mais lorsqu’il se mit à me menacer en parlant de mon bébé, je fus hors de moi. On pouvait me dire bien des choses mais on impliquait pas mon fils dans son tout ça. Il me lâcha une demie-seconde le temps de sortir son adhésif et m’en mettre sur la bouche et autour des poignets, j’eus toutefois le temps de lui murmurer un :
« Va te faire… »
FOUTRE, ENCULER, MASSACRER ou bien tout ça en même temps, tiens. Des larmes se mirent à rouler sur mes joues, je me demandais bien comment me sortir de cette situation, comment ça allait terminer… qu’est-ce qu’il voulait aussi? Pourquoi était-il là? C’était de l’argent qu’il voulait? C’était pas un problème si c’était pour qui nous arrive rien à mon fils et moi. Ce dernier m’expliqua que j’allais devoir écrire à mon petit-ami que j’étais ailleurs avec Liam. L’entendre prononcer le nom de mon copain, de mon fils et le mien aussi, c’était vraiment déstabilisant. Je le connaissais? Je ne savais pas et c’était impossible de le savoir puisque son identité était caché. Je restai immobile quelques instants, il voulait que je fasse ça comment avec les bras dans le dos? Il était un malade mental, ouais… et c’était clairement pas le malade mental le plus intelligent en plus. Je secouai les épaules comme pour lui faire comprendre que j’allais pas écrire ça avec mes pieds. Ce dernier me détacha donc en tenant un de mes bras derrière moi fermement, me donnant simplement la possibilité d’écrire à Nathaniel. C’est d’une main plus que tremblante que je notai :
Salut mon amour. Liam avait du mal à dormir, j’ai décidé d’aller faire une balade en espérant qu’il tombe endormi ainsi. Je t'aime!!! Alexie.
Mon écriture était merdique mais je ne pouvais pas faire mieux. À peine avais-je posé le crayon que je me disais que je pourrais très bien essayer de me tourner de d’attaquer mon agresseur mais c’était imprudent, je ne savais pas s’il était armé et si j’échouais, je ne voulais pas qu’il s’approche de mon fils. Rapidement, mes mains furent attachées de nouveau derrière mon dos tandis que les larmes continuaient à rouler sur mon visage. C’est à ce moment que je réalisais que s’il me faisait écrire tout ça, c’était qu’il comptait bien nous amener ailleurs, Liam et moi. C’est lorsqu’il m’entraina jusqu’à la chambre de mon fils que je commençai à gesticuler pour essayer de me défaire de son emprise. J’avais l’impression de vivre un cauchemar et je voulais juste me réveiller de tout ça. Ayant toujours le contrôle de mes jambes, je me risquai à lui ramasser un coup de genoux entre les jambes, là où ça faisait bien mal. Naturellement, l’homme se plia en deux sous la douleur, je tentai de m’éloigner de lui mais malheureusement pour moi, il me rattrapa au moment où je vins pour entrer dans la chambre de Liam…
HJ : Pardon si je ne fais pas avancer beaucoup, je ne sais pas ce que tu as en tête et c'est difficile, puisque je ne peux pas parler
nightgaunt
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Dim 8 Oct - 22:33
l'heure de la vengeance a sonné
Wane ft. Alexie
Depuis mon emprisonnement, j'avais une dent, bon je dirais même une molaire contre Nathaniel... Pourquoi? Parce qu'il a osé se mettre dans mon chemin tranquille. J'étais bien moi, libre à continuer de faire mes meurtres, je me serais calmé de toute façon. Pourquoi il faut que la police vienne toujours foutre la merde dans la vie des gens comme moi. Ils ne peuvent pas savoir ce qu'on pense lorsqu'on commet nos actions. Heureusement d'ailleurs. Je ne supporterai pas d'avoir quelqu'un dans mes pensées surtout à ces moments là. Bref, j'étais dans son appartement, il était simple mais ça sentait la famille heureuse à plein nez. Je voulais lui enlever ça, lui enlever sa chère petite femme et leur fils. Je voulais qu'il comprenne ce que ça fait de se retrouver sans rien du jour au lendemain loin de tout monde. J'ai perdu ma femme à cause de ça, j'ai faillit perdre la garde de ma fille à cause de cette connerie de vouloir me mettre en taule. Heureusement que ma femme, je m'en suis débarrassé comme il le fallait. Maintenant j'avais enfin ma fille et je me sentais mieux. Surtout j'avais ma famille avec Alysse qui ne demandait qu'à s'agrandir. Je sais qu'au fond Nate était toujours à ma recherche... Je n'avais pas arrêter pour le moins du monde mes actes... J'avais violé des femmes, tuer des femmes et en tranquillité. Mais certes depuis que je suis en couple avec Alysse, je suis beaucoup plus calme, plus tranquille. Heureusement que j'ai rencontré Jennessa qui maintient toujours en moi cette lueur sombre et qui m'a poussé aujourd'hui à faire cela. Je le sais c'est mal pour moi de parler des fois à cette folle allié mais j'aime sa dévotion qu'elle a mon égard.
Je regardais Alexie qui était entrain de chercher si Nate était là, mais d'un coup je sors de mon coin sombre pour bondir sur elle, comme un guépard sur sa proie. Je ne voulais pas qu'elle émeute tout le quartier ou alors qu'elle fasse pleurer son gosse. Ca non, je lui avais rapidement bâillonné sa bouche pour être tranquille mais elle eu le temps d'essayer de sortir son venin. Cette voix, beaucoup trop douce, rah je ne l'a supporte pas. Heureusement que je ne vais pas vraiment l'entendre... Je lui attache les mains puis je réfléchis alors à la solution la plus simple pour pas que Nate s'inquiète sur la disparition de sa bien aimée. Je lui donne un crayon et une feuille. Bien sur elle me fait comprendre qu'elle ne peut pas écrire avec ses mains dans le dos. Je lui défais alors un côté pour qu'elle puisse écrire ce mot. Je le relis. "Tu pouvais mieux faire hein..." Je lève les yeux, le seul élément de mon visage qu'elle pouvait voir, je pose la lettre puis je pars avec elle direction la chambre pour aller récupérer le petit. On devait partir d'ici maintenant. Je lui attache à nouveau les mains derrière elle pour ne pas qu'elle puisse se débattre. Je l'a pousse violemment pour qu'elle puisse avancer. "Depêche toi petite rousse! J'ai pas que ça a faire et toi non plus!" Alors qu'on arrive enfin devant la chambre du petit elle arrête pas de gesticuler mais ses liens autour de ses poignets se resserre du coup. Je souris fier de moi. J'étais derrière elle, elle se retourne et me file un gros coup de pied dans les bijoux de famille. Par reflèxe je me plie en deux en posant ma main sur mon entre jambe. "Salope!" Je me redresse malgré la douleur qui se dissipais puis je l'envois contre le mur violemment pour qu'elle s'y cogne! Une fois qu'elle fut au sol, je prend un de ses bas que j'arrache pour lui ligoter les jambes. Elle sera maintenant à moi. Je prend l'enfant dans mes bras le sortant du lit. Je laisse Alexie pour le moment là parterre dans les vapes alors que je met le gosse dans son couffin. Je prend Alexie par le bras et je l'a remet sur ses jambes puis je l'a prend comme un sac à patates sur mon épaule. Elle était si légère. Je lui met un bandeau sur les yeux que je serre de nouveau. J'avance vers la sortie de la chambre. Je pose le gosse sur la table puis Alexie sur le canapé. Mes mains commencèrent à la toucher un peu partout, pour savoir si elle avait son portable sur elle ou non. Je lui enleve, puisqu'il était bel et bien dans sa poche. Je le laisse là sur la table près du mot, avec ses papiers non loin... "Dis moi où sont les affaires du bébé, fait juste un signe de la tête." Je n'étais pas brusque j'allais quand même prendre des affaires au bébé, son biberon et tout ce qu'il faut. Les enfants sont important même pour moi. Une fois que je réunis tout ce qu'il faut, on sort de l'appartement, et je prend soin de fermer à clef.
Je l'a met dans la voiture à l'avant et le bébé à l'arrière. Je me met à partir en roulant vite! Je ne voulais pas qu'on me voit de toute façon j'étais dans une ruelle, sombre aussi. Je roule toujours avec ma cagoule sur ma tête, au cas où, puis je l'enlève une fois arriver dans des rues plus passante. Il ne faut pas semer le doute, je penche la tête d'Alexie pour qu'elle se baisse et je laisse ma main dessus pour ne pas qu'elle remonte. Je roule vers un champ, la campagne. Voila où elle sera, oublier un certains temps, enfermé, loin de tout. Personne ne l'entendra. Je me gare devant, je remet ma cagoule et je l'a sors en la portant toujours sur mon épaule, son gosse dans mon autre main. J'entre à l'intérieur, il y avait juste un lit miteux, et une fenêtre c'était tout. Je la pose sur le lit, sors les affaires du bébé et voila. "Bienvenue chez toi..." Je ris en lui enlevant son foulard de ses yeux pour qu'elle puisse admirer l'endroit. Son bébé s'était mis à pleurer depuis plusieurs minutes. "Fais le taire ou je m'en charge!" Je ne lui ferais pas de mal, qu'elle ne s'inquiète pas mais bon je lui met une pression tout de même.
made by black arrow
Alexie R. Wilson
i'm a sexy pnj
- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Lun 9 Oct - 20:26
alexie anderson & wane taylor.
cauchemar éveillé
Jamais je n’aurais pensé que ma soirée bien tranquille ce serait transformé en pareil cauchemars. Après tout, qui se doute qu’un fou furieux qui connaissait beaucoup trop d’information sur soi-même. Il savait mon prénom, celui de mon copain et de notre fils. Ça donnait froid dans le dos mais jamais autant que se faire attacher dans sa propre cuisine. Je voulais essayer de garder mon calme mais c’était impossible dans ce genre de situation, particulièrement car je savais très bien que mon fils dormait pas trop loin. Ce petit avait eu la vie difficile dès sa naissance, est-ce qu’on pouvait lui foutre la paix un peu, s’il vous plaît? Après m’avoir libéré de mes liens dans le dos, le fou me poussa à écrire une note à mon petit-ami qu’il se permit de juger ensuite. J’avais envie de l’envoyer balader, de lui cracher au visage… ou bien dans les trous pour ses yeux car c’était bien tout ce que je voyais de lui. Mes mains retournèrent toutes deux derrière mon dos avant de me faire pousser dans le dos jusqu’à la chambre de Liam. Je ne pouvais pas concevoir qu’il allait être mêlé à ça, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi mais il n’avait pas le droit de toucher à mon fils sans me passer sur le corps. Dans un élan de rage, je m’attaquai à ce dernier, lui ramenai un coup de pied entre les jambes question de gagner un peu d’avance sur lui mais malheureusement, ce ne fut pas assez, il me poussa contre le mur pour me faire tomber au sol. Ma tête se heurta contre le plancher, étourdissant comme pas possible allant même jusqu’à me couper contact avec la réalité.
Je repris conscience lorsque j’étais couché sur quelques choses de moelleux. Ça me semblait être un canapé, je tentais de gesticuler pour enlever les mains qui me tapote un peu le corps. Je ne voyais plus à cause d’un bandeau sur mes yeux. Ce dernier venait de retirer mon téléphone de la poche arrière de mon jeans, c’était la seule chance qui me restait, le seul espoir que j’avais de me sortir de cette merde dont je n’avais même pas conscience de la suite. Je compris que le connard s’occupait de Liam lorsqu’il me demanda de me pointer de la tête où était ses choses. C’est faiblement, que je lui indiquai la cuisine, puis la chambre. C’était à ne rien n’y comprendre et je ne pouvais que pleurer, en sentant aussi des gouttes de sang couler de mon front jusqu’à mon visage. Ça devait être l’impact de la chute de plus tôt. J’étais encore tellement assommée que je me rendis à peine compte qu’on quittait mon appartement pour nous rendre… je ne sais où. J’étais à l’arrière d’une voiture, j’entendais quelques sons, quelques bruits mais ça me semblait tellement lointain.
La voiture s’arrêta finalement et on me sortit de cette dernière sur l’épaule de l’homme masqué. Je le laissai me conduire, rendu là, j’avais arrêté de tenter de me débattre car ça n’en valait pas la peine, j’étais pas assez forte surtout avec le coup que j’avais eu à la tête. C’est une fois à l’intérieur de quelque chose, qu’on me posa sur ce qui me semblait être un matelat pour finalement me redonner la vue. Je me mets à regarder autour de moi, c’est sale et humide mais je m’en moque car Liam s’était mit à pleurer et la seule chose que je voulais, c’était de le consoler. C’était bizarre quand même qu’aussi horrible que la situation était, que l’inconnu devant moi avait prit la peine d’apporter tout pour que mon fils ne manque de rien. Ce dernier me demanda d’arrêter de le faire pleurer en me libérant finalement mes mains et ma bouche d’un geste vif qui me fit grogner de douleur. Je m’empressai de le tenir contre moi en le berçant un peu, lui apportant sa titine toujours accroché à son petit pyjama à pattes. C’était ça qu’il voulait car aussitôt, il s’arrêta de pleurer en me regardant avec les grands yeux ouverts.
« Ça va aller mon trésor, on va sortir d’ici et retrouver papa. » chuchotais-je en venant déposer un baiser sur le dessus de sa petite tête.
Mon regard remonta doucement vers notre bourreau qui n’avait pas bougé d’où il était. S’il savait à quel point j’avais envie de lui défaire le portrait!
« Qu’est… qu’est-ce que tu veux exactement? C’est quoi l’intérêt de faire tout ça? »
Oui, c’était un psychopathe, ça… il n’y avait pas à dire et pour avoir fait de longues études en criminologie, tous les signes étaient là. Pourtant, je savais aussi qu’ils étaient généralement motivés par un but et je voulais comprendre ce que c’était.
« C’est pour l’argent? Je peux t’en donner.. tu veux combien? »
nightgaunt
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Jeu 12 Oct - 0:22
l'heure de la vengeance a sonné
Wane ft. Alexie
J'avais tout calculé, j'étais fier de moi, ça faisait longtemps que je n'avais pas fais ça, ressenti ça... Cette pulsion en moi, ça me traversait en long, en large et en travers. Je frissonnais dès que je lui attachais les bras, les pieds... J'avais oublié au combien c'était bon. Ce fantasme de kidnapper quelqu'un. Normalement en tant normal, à ce moment là de l'affaire, je viole la personne mais pas ce soir. Oh non pas ce soir. Pourquoi? Parce que simplement, elle n'était pas du tout dans la catégorie de mes victimes. Puis elle avait un enfant, c'était une maman, une famille. Voila c'était normal après tout que je ne touche pas à Alexie. Et surtout, je ne voulais pas qu'il arrive des soucis, moi aussi j'avais ma famille. Je pense à elles là, ma petite amie, mes deux filles... Je veux qu'on ai une vie tranquille mais pour ça je devais absolument passer par la case enlèvement d'Alexie. Une fois qu'on avait tout récupérer et surtout le plus important le fils de Nate, on part de cet appartement! Je roule pendant longtemps, elle avait son bandeau sur les yeux tant mieux. Je ne disais rien, seulement la lumière des lampadaires maintenant éclairaient l'habitacle. Je voyais bien dans le rétro, elle était encore entièrement dans les vapes par rapport à la dernière chute qu'elle avait faite. Enfin quand je l'ai envoyé dans le mur, on me touche pas! On ne me fait pas de mal, je vais pas lui en faire à ce que je sache... Nous voila arrivé enfin... Pour la perdre j'avais fait plusieurs fois le tour des quartiers pour ne pas qu'elle sache où on est. Je sors de la voiture, en la prenant à nous sur mon épaule et la posant directement après dans le canapé. Ca sentait le renfermé c'était normal. Je sors les affaires du bébé et le bébé que je met prêt d'elle. Je sens mon portable vibré mais j'appuie sur le bouton pour qu'il arrête de vibrer, ça devait être Alysse, c'était pas le moment. Liam commençait à pleurer je soupire et j'enleve le bandeau d'Alexie ainsi que ses liens au niveau de ses mains et de ses jambes. Elle était "libre" mais la porte était fermé à clef, de même que les fenêtres... Elle ne pourra pas sortir si facilement.
Je n'en pouvais plus des pleures de son fils, il va nous faire amener des personnes ici. Surtout vu où on est, même si c'est carrément en plein milieu de nul part, il est toujours possible pour des gens de passer non loin. Heureusement que c'était un lieu abandonné et en pleine forêt. J'avais bien réfléchit sur ce coup là, a la base je voulais l'a mettre dans mon appartement mais c'était trop facile. Trop proche de tout le monde, de la ville. Et surtout des voisins qui auraient pu entendre des choses. C'était pas la meilleure idée au monde. Ici malgré que c'était abandonné depuis au moins une vingtaine d'années il y avait toujours une cuisine, quelques meubles morts, ronger par la moisissures. Elle sera quand même bien. Déjà que je vais lui donner à manger et à boire, et surtout des affaires pour le gosse. Faut pas non plus exagérer. "Retrouver papa... Vraiment... Doucement hein.... C'est pas demain la veille.." Je rigole en regardant à l'extérieur à travers les volets compléments cassés. Ils sont pas en état d'être ouvert, tant mieux. Je me retourne quand elle me parle d'argent. Je me met encore plus à rigoler puis doucement l'enlève mon masque pour qu'elle voit enfin mon visage. Je n'avais pas peur. "L'argent? Pourquoi faire.. J'en ai autant que je veux de toute façon. Ce que je veux? C'est que Nate m'écoute et qu'il abandonne toutes recherches sur moi. " Je souris, puis je donne alors un sac remplis de nourriture que je met sur la table en plein milieu. "La dedans il y a, à boire, à manger... Tout ce qu'il faut pour une douche..." J'avais réussis à trafiquer un truc pour amener de l'eau potable ici pour qu'ils puissent au moins avoir une vie décente... Elle avait l'air surprise et elle me regarde de haut en bas. Je lève les yeux, elle est pas blonde mais c'est comme si ou quoi? "Ba quoi? Je vais pas vous laissez crever non plus... c'est pas mon but."
made by black arrow
Alexie R. Wilson
i'm a sexy pnj
- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Dim 15 Oct - 5:55
alexie anderson & wane taylor.
cauchemar éveillé
C’était un bordel de cauchemar, se faire enlever de chez soi, dans son confort pour nous amener je ne sais où. J’avais tenté de me nous libérer de là, Liam et moi mais malheureusement, les chances de s’en sortir étaient minces et voilà que je devais me résigner à être victime du sort que ce connard nous réservait. J’étais complètement à l’ouest par le coup que j’avais reçu dans la chute. Le fou furieux nous avait transporté dans sa voiture, jusqu’à un endroit encore inconnu pour moi. J’essayais de penser à un moyen d’arranger la situation, mais me résigner et arrêter de me débattre semblait être le meilleur des choix pour la sécurité de mon fils. Si j’avais été seule, les choses auraient été autrement mais là, le bien être de Liam était en jeu. On nous transporta jusqu’à l’intérieur de vieille endroit. Tout était louche, vieux et pourrit ici. Ça sentait la moisissure mais au moins, on avait minimum de confort, ce qui était un peu déstabilisant. Je me posai pas de question puisqu’on me laissa la possibilité de prendre mon bébé dans mes bras et lui parler aussi pour le faire arrêter de pleurer. Lorsque j’évoquai le mot “Papa”, l’homme masqué debout devant moi se mit à se moquer de ma gueule en me disant que ça n’allait pas être maintenant. Je fronçai les sourcils en sa direction.
« Va te faire foutre! »
Ok, j’allais peut-être plus essayer de me défendre de manière physique mais c’était tout ce qui me restait, les insultes et l’envoyer balader pour extérioriser toute cette colère que j’avais en moi à l’idée de me retrouver prise ici, sans moyen de pouvoir me retrouver. Je me sentais tellement vulnérable et c’était le pire sentiment qui soi. J’amenai le sujet de l’argent, me disant que peut-être, il était au courant que j’étais millionnaire désormais et qu’il voulait une compensation en échange de notre liberté mais cette proposition le fit rire. Moi, je n’avais pas envie de rire… encore moins lorsqu’il me dévoila finalement son identité.
« WANE ?! » m’expliquais-je, en sentant mon cœur manquer un battement dans ma poitrine.
Wane Taylor avait été, pendant plusieurs mois, mon maître de stage pendant mes années d’études en droit. Il était un avocat réputé pour la défense des femmes violentées et tout. C’était à ne rien n’y comprendre, on avait vraiment le phénomène de cordonnier mal chaussé puisqu’il s’en prenait à moi aujourd’hui. Je n’eus pas à poser des questions pour comprendre que son motif avait rapport avec mon petit-ami, il voulait que ce dernier arrête des recherches à son sujet. Je vins pour ouvrir la bouche, je voulais comprendre pourquoi la police le recherchait mais au final, je me disais que peut-être, je préférais ne pas le savoir. Du moins, pas au moment présent alors que j’étais enfermée ici avec lui. Ce dernier enchaîna en me montrant de la nourriture ainsi que de l’eau sur la petite table. J’avais même de quoi me doucher. C’était une blague là? Wane dû percevoir mon incompréhension puisqu’il leva les yeux au ciel comme si j’étais stupide de penser qu’il n’allait pas s’occuper de nous.
« Et je suis supposée te remercier pour ça? C’est à ne rien n’y comprendre! » répliquais-je alors que c’était plus fort que moi. J’allais tout de même pas le prendre pour un ange alors qu’il m’avait frappé comme une moins que rien, attaché de toutes les façons possibles pour finalement nous amener ici, mon fils et moi. « Si c’est pas ça ton but… de nous tuer, tu veux faire quoi alors? Tu comptes nous garder ici combien de temps ? »
il semblait ouvert à la discussion, je trouvais ça encore plus étrange que le fait qu’il s’occupe bien de nous. Bon, il aurait pu faire mieux que ça sur le logement mais tout de même. Je ne savais pas trop comment prendre le tout et sa gentillesse me foutait encore plus jetons à vrai dire car je trouvais ça vraiment louche. J’étais encore en vrai état de choc par toute la situation, je ne pouvais pas croire que c’était vrai. Étant la nuit et étant de retour à un sensible calme - du moins, pour lui - Liam était tombé endormi de nouveau dans mes bras. Je le déposai doucement sur le lit, l’enroulant correctement dans la petite couverture dans laquelle il était ensuite me lever faiblement, encore sonné par le coup que j’avais eu à la tête.
« Et quel est ton plan avec Nathaniel exactement? Tu sais… il est plus rusé que tu peux le penser donc à ta place, j’aurais de quoi m’inquiéter. Il a pas de compassion et de respect pour les cinglés dans ton genre, encore moins quand on s’en prend aux gens qu’il aime.»
Je voulais le mettre en garde. Il provoquait pas n’importe qui. Il avait un sacré caractère.
nightgaunt
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Sam 21 Oct - 21:19
l'heure de la vengeance a sonné
Wane ft. Alexie
Lorsque j'enlève ma cagoule, et que je dévoile alors mon visage, je vois dans son regard qu'elle fut surprise directement. Et oui c'était moi, elle a été l'une de mes stagiaires il y a longtemps, elle n'était pas avec Nate je crois bien à cette époque, je ne sais plus mais du moins à cette époque.... Elle m'avait vu comme avocat et maintenant elle me voit comme une personne qui agresse les femmes qu'il défend. Et oui, elle a compris surement pourquoi je fais ce métier et cette spécialité. Elle n'est pas dupe, elle était même très intelligente. Je souris en me posant contre le plan de travail rempli de poussière. "Et oui c'est moi... Surprise!" Je rigole, puis je lui montre tout ce que j'avais mis en place pour elle, préparer et même apporter. Mon but n'était pas qu'elle souffre, qu'elle soit affamé, juste coupé du monde pour que Nate la cherche et que voila, qu'il s'inquiète. Comme ça j'aurais entièrement son attention. Alexie me regarde alors avec un air totalement interrogateur. Oui elle était perdu par rapport à tout ce que je lui proposais et disait. "Ba oui remercie moi de te laisser en vie ou pire encore... T'as surtout une chance d'être rousse." Je lui fais un clin d'oeil alors que je regardais l'heure sur mon portable. J'avais des appels manqués d'Alysse et des SMS. Putain elle va me tuer... Je n'ai pas envie de m'engueuler avec ma petite amie. C'était pas le moment, surtout avec ce que j'avais prévu pour notre futur. c'était aussi pour !a que j'avais besoin de supprimer mon casier judiciaire et donc d'attirer l'oeil et l'attention de Nate. "Au moins une semaine, asse de temps pour qu'il continue de te chercher et à comprendre qui a fait ça. Il est rapide ton Nate il va bien trouver." Je souris en lui faisant un clin d'oeil. Je regarde son fils qui s'était endormit assez rapidement je trouve. Un bébé simplement.... Je connaissais ça, ma fille aussi faisait pareil à son âge. Je la vois le mettre dans son petit couffin avec la couverture autour de lui. Elle se lève directement par la suite, je recule d'un pas sur mes positions. Je ne sais pas ce qu'elle avait en tête. C'était pas du tout le monde moment pour finit en faiblesse devant elle. Je tiens mon regard dans ses yeux, et les mains hors de mes poches. C'était le moment de ne pas montrer que je savais tout ça. "Oh mais je sais ma chère. Nate m'a retrouvé une fois, il peut le faire deux fois non? Mon plan? Qu'il annule toute plainte contre moi, toute enquêtes complémentaires à mon sujet, qu'il libère mon cassier. Je dois lui parler et c'est le seul moyen d'attirer son attention c'est de te kidnapper..." Je la regarde puis je marche du coup vers la fenêtre et regarde à travers, impossible de voir l'extérieur convenablement. Il fallait que je rentre chez moi vu l'heure tardive de la soirée. "Je vais partir. Même si tu cris... Personne ne va entendre, je te dis ça pour pas que tu te brises ta petite voix!" Je luis fais un clin d'oeil en remettant ma cagoule. Il ne fallait pas qu'on me voit à l'extérieur... Cacher les preuves tout. J'ouvre la porte rapidement, laissant apparaitre la fraicheur extérieur. "Et saches... Qu'on est en plein milieu de nul part. Bon courage." Je sors dehors et je ferme la porte à clef à double tour puis une grille en plus de celle-ci avec un cadenas. Je ferme les grilles de toutes les fenêtres. Aucune solution de sortie. Normalement aucune caméra ne l'a vu, rien ne s'est passé. Je verrais si Nate est si doué que ça pour l'a retrouvé... Je démarre la voiture que j'avais alors sous la main et je pars en roulant assez vite. Faisant plusieurs fois le tour du coin, essayant de cacher les preuves simplement de mon passage. De mes chaussures de tout! L'affaire ne sera pas si facile que ça.
made by black arrow
Spoiler:
Je pense que tu peux répondre et après on peut clôturer
Alexie R. Wilson
i'm a sexy pnj
- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Mar 24 Oct - 2:39
alexie anderson & wane taylor.
cauchemar éveillé
Je ne pensais pas une seule seconde voir le visage apparaître de mon ancien maître de stage lorsque l’homme devant moi retira son masque. Mon coeur s’était arrêté plusieurs secondes à vrai dire, comment un homme qui semblait avoir autant à coeur la défense des femmes violentées pouvaient commères des choses aussi terribles que entrer par effraction chez moi, me frapper, m’enlever moi et mon fils? J’étais déstabilisée, mais jamais autant que lorsqu’il me fit part que j’avais tout pour ne pas manquer de faim, de soif et même pour me doucher. Il semblait se trouver l’être le plus adorable qui soit de m’offrir tout ça alors que non, c’était un putain de malade mental! Ce dernier m’affirma que j’avais de la chance d’être rousse et je ne comprenais pas trop pourquoi il me disait ça. Mais est-ce que je voulais vraiment le savoir? J’avais l’impression que lui j’en savais sur lui, plus j’allais paniquer donc au final, je préférais rester dans l’ignorance. Sauf pour qui était en lien avec Nathaniel parce que oui, il m’avait fait comprendre que c’était pour cette raison que j’étais ici et je voulais me faire une petite idée de ce qu’il avait prévu. Il semblait assez bavard donc je ne risquais rien de demander non?
« Il va trouver et il va avoir envie de te foutre une balle entre les deux yeux! »
C’était même pas des menaces, c’était des faits! Il était déjà colérique alors que je ne voulais même pas m’imaginer dans quel état il allait être en réalisant qu’on était pas en promenade Liam et moi. Peut-être même que c’était déjà le cas. J’avais confiance qu’il allait faire ça vite car je ne pouvais pas croire que j’allais passer une semaine dans cette pourriture de maison à cause d’un cinglé comme Wane Taylor.
« Je suis certaine que c’était pas le seul moyen! Et puis tu vas faire quoi là? Attendre sagement qu’il réalise que c’est toi le malade qui a fait ça et qu’il te passe tout bonnement un coup de fil? »
J’avais tellement envie de paniquer! L’homme devant moi m’informa qu’il quittait alors, m’expliquant bien entendu que j’avais aucune chance de m’entendre si je criais, que j’étais seule au monde avec mon fils dans cet endroit. Je ne savais même pas si j’étais toujours à Miami d’ailleurs! J’étais complètement perdu et il y avait pas moyen de voir quoi que ce soit à travers les fenêtre à cause des grillages. Toujours assise sur le lit, je le regardai fermer la porte derrière lui en me permettant pour la toute première fois de pleurer, ramenant mes genoux vers moi en y accotant ma tête quelques secondes. Je pouvais pas croire que j’étais en train de vivre ça, je me sentais tellement vulnérable. Je tournai la tête vers Liam qui dormait encore paisiblement, continuant sa nuit comme si elle ne s’était jamais interrompu. J’aurais aimé ne pas avoir conscience de ce qui se passait comme lui. De ne pas avoir toute ces images dans ma tête qui me faisait angoisser. Je me levai doucement du lit, me rendant jusqu’à la table pour y avoir plusieurs bouteilles d’eau ainsi que divers trucs à manger. Rien pour me faire des repas mais assez de trucs à manger pour ne pas mourir de faim non plus. Je passai près de l’évier pour remarquer que l’eau fonctionnait, le petit micro-onde posé au sol également. Je me pris la tête entre les mains quelques instants, essayant de penser à ce que je pouvais bien faire pour essayer de nous sortir d’ici tout en faisant le tour de la petite cabane sans trouver d’issus. Je revins au lit, m’allongeant près de mon fils qui semblait calme et paisible, je me tournai sur le côté, le regardant attentivement en sentant toujours les larmes rouler sur mes joues. J’avais envie de m’excuser de l’avoir mit au monde car j’avais l’impression que depuis sa naissance, rien n’était facile pour lui. Je me sentais pas digne de pouvoir prendre soin de lui comme il le méritait et ça me démolissait par en dedans, plus que n’importe quoi.
nightgaunt
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: l'heure de la vengeance a sonné. | Mar 31 Oct - 14:49
Wane & Nathaniel.
Ça faisait des jours que je n’avais pas vu Alexie et mon fils et je dois l’avouer que je me faisais un tas de scénarios dans ma tête. C’était en train de me rendre fou et je ne voulais pas dormir pour manquer ma chance de les retrouver. Plusieurs pistes ont été amenées, mais moi je voulais vérifier plus loin. J’avais décidé de faire ma propre enquête parce que ça n’avançais pas à mon goût. William dormait chez moi pour m’avoir à l’œil et j’avais arrêté ma médication pour éviter de sombrer. Je savais que ce n’était pas très bon, mais je devais mettre tous mes efforts pour ma famille. J’avais trouvé quelque chose sur mon téléphone que j’avais oublié… un message qui me menaçait et je pense que je pouvais faire le lien maintenant. J’avais eu un avertissement et je n’avais pas osé chercher croyant à une plaisanterie. J’avais montré ce message à Will qui m’avait suggérer d’approfondir cette piste. Il m’a fait prendre conscience des crapules que j’avais mis sous les barreaux. Le seul gros coup que j’avais fait à Miami avait été sans doute de faire arrêter Wayne Taylor, le violeur et le tueur en série. Aujourd’hui, il avait repris sa vie comme si de rien n’était et ça m’avait vraiment fâché… mais là, je crois que j’avais un sérieux doute… Ça s’appelle le feeling! En regardant les caméras, je le reconnu immédiatement, je n’avais pas le temps d’informer mes collègues, je voulais régler ça tout de suite et vite! Je recherchai toutes les informations sur cette personne et j’avais bel et bien l’intention d’aller faire un tour pour lui poser des questions. J’avais regardé tout ce que Taylor avait comme résidence ou bâtiments pour pouvoir aller inspecter les lieux s’il le faut. J’avais décidé d’en parler à personne, car je ne voulais pas qu’on m’arrête! Ça me prit un certain temps avant de trouver celui que je cherchais, il était dans un parc avec deux petites filles. Je savais qu’il était père, mais ça me dépassait tellement! Mes mains se crispèrent sur le volant et j’allai me garer plus loin pour éviter de me faire voir. J’avais du mal à contrôler mes émotions et je savais que ça serait pire en face de lui, mais je devais quand même penser à ses filles. Arme dans la poche de mon hoodie, je sortis de ma voiture pour prendre le sentier du parc. Je pris soin d’arriver derrière lui pour lui coller mon arme dans le dos rapidement, mais toujours caché par mon chandail. - Bouge pas! Je ne plaisante pas! Tu vas me dire tout de suite où ils sont parce que j’ai bien envie de te faire des trous dans le corps. Si tu veux revoir tes filles, je te conseille de faire ce que je veux.
J’avais parlé assez bas pour éviter que ses filles entendent, je savais qu’elles n’avaient pas à voir ça ni à entendre ça. C’était difficile d’avoir Taylor devant moi alors que j’avais bien envie de lui foutre une raclée. Il devait bien se douter qu’il était foutu, il allait retourner en prison pour ça et il allait croupir là jusqu’à la fin de ses jours. Il suffisait que je demande du renfort et il était un homme fini. Je pouvais toujours le descendre et proclamer la légitime défense, mais je devais trouver Alexie et Liam… Il devait me révéler le tout avant.