(#)Sujet: Re: I crave for death, I long for rest, by existence tortured and oppressed. (sawyer) | Ven 2 Fév - 13:53
i crave for death, i long for rest
By existence tortured and oppressed
Sawyer.
Erwan.
Il était couvert de sa propre pisse, en plus de son sang et de sa sueur. C'était son corps entier qui avait baigné là-dedans, et son visage que Sawyer avait poussé dans la flaque était lui aussi poisseux. Le goût acide remplissait tous ses sens. Il s'était pris quelques coups, encore, mais ce n'était pas grand-chose, ajouté à tout ce qu'il avait déjà subi et au lot de douleurs qui l'envahissaient. Il était bout et parfois, sa conscience reprenait les choses en main, mais le reste du temps il était simplement noyé dans sa bulle, absent. Son cerveau le protégeait comme il le pouvait de tout ce qui était en train de lui arriver, et sans doute que dans quelques heures, tout lui tomberait dessus, et il réaliserait à ce moment-là. Pour l'instant, de toute façon, il était impuissant. Quand Sawyer sortit un briquet, Erwan eut l'envie soudaine d'éclater en sanglots. Il allait encore souffrir, d'une façon nouvelle, et ça ne tarda pas à arriver, car la flamme glissa sur son téton. La douleur fut immédiate et insupportable, il hurla sans retenue, et enfin, ses instincts se manifestèrent et il repoussa la main de son agresseur, reculant un peu pour créer une distance. Assis-là, dans une telle panique qu'il ne sentait pas la douleur atroce du gode toujours enfoncé dans son anus mutilé. Celle-ci viendrait bien assez tôt, une fois que la tension serait redescendue. Il le supplia d'arrêter, et pour explications, il dit qu'il ne fallait pas casser la marchandise. Ca faisait partie des règles très précises qu'on lui avait enseignées, et il ne pouvait pas se permettre d'être mutilé à vie, de perdre un téton. Après un silence interminable, durant lequel le coeur d'Erwan battait à une vitesse terrifiante, tant il redoutait ce qui allait se passer... après tout ça, Sawyer se mit à rire. Il éclata de rire, un fou rire, qui laissa Erwan complètement paumé, à le regarder. Il ne savait pas ce qui était drôle dans tout ça, mais au moins, si ça amusait Sawyer, c'était peut-être une bonne chose. Au moins il ne souffrait pas pour rien. Sawyer s'approcha de lui avec un collier et une laisse, deux accessoires parmi tant d'autres qui faisaient partie des jouets fournis dans cette pièce... deux accessoires qu'Erwan n'avait jamais redouté autant qu'à cet instant. Mais il ne pouvait rien faire ou dire, à part laisser son client s'occuper comme il en avait envie. Alors il resta sage, se laissa enchaîner en prenant sur lui, en enfouissant sa peur aussi profondément que possible et en essayant de ne pas réagir. Il avait mal au coeur, autant qu'au corps, mais il ne pouvait rien faire, pas vrai ? Même s'il avait subitement la folle idée d'essayer de se défendre, de repousser cet homme, de sortir de cette chambre... personne ne l'aiderait là-dehors dans ces couloirs. Au contraire, on le ramènerait directement ici pour que la nuit se poursuive. C'était bien mieux de rester sage, et d'attendre simplement qu'il se lasse. « Mets-toi à quatre pattes. » Il n'eut pas le temps d'obéir, Sawyer tira de suite sur la laisse avec une force qui projeta Erwan en avant. Le cuir s'était serré terriblement autour de son cou, et pendant quelques secondes il crut mourir, eut l'affreuse impression d'être pendu. De crever au bout d'une corde, comme il l'avait vu, dans des films. Il se fit promener dans toute la pièce, de cette façon, comme un chien. Il n'avait pas d'autre choix, de toute façon. Il fatiguait, mais il ne pouvait pas lâcher, même si son corps le faisait souffrir à tel point qu'il aurait voulu ne plus en avoir. Ne plus avoir de corps, être juste une douce brise, un ensemble de pensées qui voyage dans l'air, devenir immatériel pour ne plus avoir à souffrir. Il réalisa que tout ça ressemblait un peu trop à la mort, et il cessa de rêver. Il ne devait pas penser à la mort. C'était mieux de penser à la vie, et à Chris, même quand c'était difficile et que la vie semblait ne plus vouloir de lui. Faire tout ce qui était en son pouvoir pour le chasser de son terrain et l'envoyer ailleurs. Parfois, le cuir se serrait horriblement autour de son cou, le forçant même à se redresser, et il pensait à Chris Chris Chris. Chris qu'il n'avait pas vu depuis quelques semaines, depuis leur dispute dans les toilettes de l'hôtel. Chris qui lui manquait et qui ne voulait peut-être plus le voir. Si Chris ne voulait plus le voir, ça lui faisait bien une bonne raison pour penser à la mort, non ? Pensée interrompue encore par la laisse qui cisaillait sa peau, toute fine là, au niveau de la gorge. Il ne pleurait pas, trop paniqué, trop terrifié et concentré pour être capable de la moindre larme. Il essayait de marcher, d'avancer et de suivre le rythme imposé par Sawyer, mais là, sa main resta coincée dans une de ses vêtements abandonné plus tôt au sol. Il aurait pu s'en débarrasser, prendre quelques secondes pour ça, mais il devait continuer d'avancer, et il se retrouva à traîner avec lui son t-shirt. Après quelques pas, son autre main s'y coinça aussi, et ça l'entraîna dans une chute, le visage vers le sol. Il aurait pu se rattraper avec ses genoux, peut-être, mais la moquette était trempée de sang et de pisse, et il glissa, s'étalant de tout son long, sa tête simplement tenue par le collier qui lui coupait totalement la respiration. Il se retrouva là, traîné comme le cadavre qu'il n'était pas encore, et il paniqua en sentant la mort si proche. Au lieu d'essayer de se remettre sur pieds, il tenta désespérément de glisser ses doigts entre le cuir et sa gorge, pour pouvoir respirer. En vain. Il voyait des points noirs danser dans son champ de vision. S'il perdait connaissance là, maintenant, ça pourrait être bien, non ? Il n'en savait rien, mais ses instincts de survie étaient bien là, toujours, et il cherchait à prendre au moins une inspiration. Une petite inspiration. Se sentant au bord de l'inconscience, faiblissant, il réalisa que le mouvement s'était arrêté, et il tomba entièrement au sol, inspirant à nouveau pour remplir ses poumons. Des larmes glissaient sur ses tempes, tandis qu'il gisait là, les yeux vers le plafond. Sawyer, debout, entra dans son champ de vision et les yeux d'Erwan trouvèrent ceux de son bourreau. Il n'avait rien à dire, rien à faire, il était un pauvre bout de viande qui attendait juste d'être mangé. Qui attendait de savoir à quelle sauce ce type allait le déguster. Dans tous les cas, le résultat serait le même, plus ou moins. Mais, étalé là, vidé de ses forces, avec la mort à quelques mètres de lui à peine. Il la sentait toute proches. Peut-être qu'il avait encore de quoi survivre, peut-être qu'il serait capable de se remettre de tout ça... mais avec le regard que ce type braquait sur lui, il ne pouvait que douter. Il ne pouvait que se dire que c'était la dernière nuit qu'il passait sur Terre, et que tout ça, c'était sa mort qui avait commencé. Une mort lente et douloureuse, mais sa mort.
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(#)Sujet: Re: I crave for death, I long for rest, by existence tortured and oppressed. (sawyer) | Ven 9 Fév - 13:30
sawan
I CRAVE FOR DEATH, I LONG FOR REST, BY EXISTENCE TORTURED AND OPPRESSED.
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En plus de me repousser lorsque je lui brûlait le téton, ce dernier me fit une réflexion comme quoi qu'il ne fallait absolument pas casser la marchandise. Mais mon pauvre gars, t'es déjà dans un état lamentable à ne plus pouvoir te faire enculer pendant des semaines et tu oses me faire cette réflexion? Mais au lieu de vriller, j'avais tout simplement ris. Mais, c'était un vrai rire, comme s'il m'avait raconté une bonne blague. J'allais lui faire payer de s'être interposé tout seul dans ce que j'étais entrain de lui faire endurer. Le collier autour du coup, je lui ordonnais de se mettre à quatre pattes en tirant sur la laisse violemment. Je promenais ma petite chienne dans la chambre alors que j'aurai préféré le faire dans la rue, aux yeux de tous pour voir à quel point il ne valait pas mieux qu'un chien. Au fur et à mesure de mes pas, je tirais de plus en plus sur la laisse et ce dernier essayait de desserrer le collier comme il pu, à l'aide de ses deux mains mais tout ce qu'il avait réussi à faire était de tomber, de s'étaler. Et ça, ça m'avait profondément énervé. « Putain mais tu sers vraiment à rien! Même les grosses tarlouzes ont plus de couilles que toi! » Et d'un coup, j'enroule le reste de la corde en cuire autour de mon poignet, tirant si fort que je l'entendis suffoquer. Oh, oui, crève salope, crève et fais en sorte que la dernière chose que tu vois soit mon visage et rien autour. Mes pensées pour le coup, je les gardais pour moi-même, n'ayant pas envie de parler dans le vide une énième fois alors que ce con était entrain de s'étouffer. Le traînassant toujours en forçant sur la laisse, je relâche tout quelques secondes plus tard, non sans avoir donné un ultime coup, entendant même un râle s'échapper de sa gorge. Je soupire, las de cette situation. Ce n'était plus si amusant que ça en avait l'air au début s'il ne prenait pas la peine d'accélérer sa sentence. C'était un coriace apparemment, il n'était pas prêt de dire adieu à sa misérable petite vie. Je m'abaisse alors que ses mains tentaient toujours d'écarter le collier afin de lui redonner assez d'oxygène pour ne pas sombrer. Je m'en occupais moi-même, le lui enlevant directement pour le jeter quelques mètres plus loin, atterrissant directement sur le lit. Ses yeux sont vitreux, rouges comme son visage et humides, les larmes avaient coulées le long de chaque oeil, s'échouant à ses oreilles alors qu'il me regardait. Se doutait-il que je n'allais pas en rester là? Ou espérait-il que j'eusse eu mon compte et qu'il était temps pour moi de quitter le navire? Je pris sa main gauche, regardant ses doigts d'un air absent et entremêlais nos doigts ensemble alors que mon regard vrillait à nouveau vers le sien. Je ne voulais rien manquer, pas une seule de ses émotions, alors après un instant de silence où je lui laissais le loisir de s'oxygéner un peu plus, je pliais ses doigts d'un coup sec, de toutes mes forces dans le sens inverse, entendant ses jointures craquer et le voyant réagir de douleur. Ses quatre doigts venaient d'être brisés, si on rajoute à tout ça l'anus mutilé, le téton carbonisé, l'énorme hématome autour de son cou plus sa dignité envolée, il ne lui restait plus grand chose. Mais moi, j'allais de mieux en mieux. Comme si la douleur que je lui avais procuré précédemment n'avait pas compté, je sentais l'excitation monter en moi, le désir de le voir souffrir et croupir dans son sang et sa pisse, les doigts brisés. Et comme si je n'en avais pas eu assez, comme si lui n'en avait pas eu assez, je réussis à lui casser le poignet en plus de ça, avec une manoeuvre bien précise. C'est qu'en réalité, briser certains os n'étaient pas si difficile qu'il n'y paraissait. Les ossements brisés, me voilà au summum de l'excitation, alors je me relève, pose mon pied sur sa main où j'appuyais de plus en plus pour ne pas lui faire oublier la douleur et je déboutonne mon jean, baisse ma braguette et sort mon pénis bien durcit. Je commençais à me branler en regardant tout autour de moi, le sang, l'odeur de la pisse et surtout, l'état déplorable d'Erwan. J'étais en extase, mon corps tremblait alors que mes mouvements de poignet s'accéléraient. Le mal être des personnes étaient beaucoup plus jouissif qu'une femme le cul en l'air en montrant en évidence son anus ou même le fait de baiser une morte. Surtout si la souffrance touchait un putain de gay, ceux-là, ils auraient bien fallu les exterminer à la naissance, les éventrer et les étouffer avec leurs boyaux. Ou les brûler vifs. Et pendant mon petit film dans ma tête m'imaginant une rafle extraordinaire d'homos, hommes et femmes compris, j'éjaculais en me penchant pour le lui badigeonner le visage. Le long râle roque sorti, je me rhabillait rapidement, marchant une dernière fois sur sa main cassée avant de m'en aller.
CODAGE PAR AMATIS
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(#)Sujet: Re: I crave for death, I long for rest, by existence tortured and oppressed. (sawyer) | Sam 10 Fév - 1:36
i crave for death, i long for rest
By existence tortured and oppressed
Sawyer.
Erwan.
Il n'en pouvait plus, il ne comprenait pas exactement pourquoi il devait subir tout ça, qu'est-ce qu'il avait fait pour mériter que ces choses lui arrivent. Il comprenait bien tout ce que Leo lui avait répété maintes et maintes fois, qu'il était là pour le plaisir des autres, que c'était son utilité sur cette terre, la raison pour laquelle il était là. Que chacun de nous avait sa place, et que la sienne était là, à être utilisé comme il le fallait, pour que les autres en tirent leur plaisir. Il comprenait bien ça, mais ça ne l'empêchait pas de se demander pourquoi c'était tombé sur lui. Pourquoi Sawyer était tombé sur lui, alors qu'il y avait des tas d'autres putes dans cette ville ? Et non, c'était horrible de souhaiter que cela arrive à quelqu'un d'autre, Erwan s'en voulait rien qu'en y pensant... Mais quand même. Il n'était pas certain que tout ça ait été mérité. Que toute cette souffrance était vraiment légitime. Il suffoquait, paniquait, s'étalait dans sa pisse et son sang. « Putain mais tu sers vraiment à rien! Même les grosses tarlouzes ont plus de couilles que toi! » Il ne prit pas le temps de faire attention à ce qui était dit, beaucoup trop perturbé par le besoin vital de prendre une inspiration. Il allait mourir ici, il allait mourir étouffé dans cette chambre, avec ce type. C'était sa toute dernière nuit et cette révélation le terrorisait presque autant qu'elle le rendait triste. Il aurait voulu tellement de choses, il aurait voulu... Il aurait voulu vivre encore un peu, avoir une chance d'être un peu heureux ou de faire quelque chose de génial qu'il n'avait pas fait. Parce qu'il y avait tant de choses qu'il n'avait pas pu faire, avec son temps limité. Mais non, il allait mourir ici ce soir. Et Erwan avait passé son temps à accepter les choses, il avait fini par arrêter de résister et avait accepté son destin, mais là, il ne voulait pas accepter sa mort. Pourtant, ça aurait sans doute été plus facile s'il l'avait fait. Enfin, Sawyer lui retira le collier qui lui avait écrasé la trachée, et Erwan respirait, faisait un effort pour calmer son souffle, tout en regardant l'homme qui se trouvait à côté de lui. Il avait peur, peur de tout ce qui pourrait arriver. Peur que ce ne soit pas fini, peur aussi que ça le soit. Il vivait désormais dans un état constant de terreur. Sawyer prit alors sa main gauche dans la sienne, pour glisser ses doigts entre ceux d'Erwan, et c'était presque doux, au point d'en être étrange. Etrange et terrifiant, car Erwan savait maintenant que rien de bien ne pouvait arriver, que c'était juste une ruse pour qu'il souffre encore davantage. Il n'avait pas tort, car la douleur qui frappa sa main fut intense, brutale. Il hurla, son cri suivant de près le craquement de ses os brisés. La douleur se propageait dans toute sa main, tout son bras, si bien qu'il ne vivait plus que dans un monde de souffrance. Son poignet craqua, son cri fut silencieux, le simple choc marqué sur son visage traumatisé, incapable de hurler encore. Il était ravagé par la douleur, il ne restait plus rien de lui. Quand Sawyer se leva, laissant retomber sa main déformée, celle-ci alla reposer sur le sol sans qu'il ne puisse la retenir, comme un cadavre, sur lequel son bourreau s'amusait encore à marcher. Ca faisait horriblement mal, mais enfin, Erwan avait comme l'impression qu'il se séparait de son corps, de sa réalité. Les yeux grand ouverts, les larmes coulant sans s'arrêter sur son visage ensanglanté, le visage vide, ne réagissant que par instants. Il regardait, l'air absent, alors que Sawyer sortait son sexe pour commencer à se toucher. Et Erwan se demanda encore si tout ça allait prendre sens, si son client ce soir allait vouloir se le taper. Mais non, Sawyer lui avait déjà dit qu'il ne le baiserait pas. Et Erwan le croyait, il ne doutait pas. Il voyait simplement son tortionnaire se branler au-dessus de son corps mutilé, et si au moins tout ça lui avait apporté ce plaisir, alors Erwan pouvait si dire que toute cette souffrance n'avait pas été vaine. Il se retrouva le visage couvert de la semence de Sawyer, quelque chose qui au moins ne sortait pas de ses habitudes et qui n'ajoutait presque rien à sa souffrance. Et pourtant il tremblait, il tremblait parce que c'était peut-être là, le moment où il allait mourir. Tout s'était ralenti, tout allait plus doucement maintenant, et peut-être que c'était la fin qui approchait. La mort qui le caressait du bout de ses doigts. Sawyer qui se préparait à mettre le coup final. Il marcha encore sur la main d'Erwan, qui en trembla, gémissant de douleur, le petit cri désespéré d'un animal blessé. Et il suivit du regard son bourreau. Ce dernier sortait, quittait la chambre en laissant la porte entrouverte, et Erwan ne le quitta pas des yeux. Même lorsqu'il eut disparu, il resta le regard rivé sur la porte, terrifié, tremblant, s'attendant à ce qu'il revienne. Car Sawyer était parti chercher quelque chose, certainement pour le tuer. Et il ne bougea pas, ne broncha pas, resta là, et ce ne fut qu'après de longues minutes qu'il comprit doucement que Sawyer était parti, qu'il ne reviendrait pas ce soir. Alors, il se remit à pleurer, à sangloter, comme si toute la tension le quittait soudain et qu'il s'autorisait à évacuer son chagrin. Il était là, vivant, à peine, mais incapable de bouger, incapable de se sortir de ça. C'était si silencieux, de partout. Il se sentait perdre pied, comme s'il s'envolait un peu, et il réalisa que s'il restait là, il allait peut-être mourir, oui. Il allait surement mourir. Alors, il se donna un coup d'énergie et il ouvrit la bouche pour appeler, de sa voix brisée. « Au secours... Quelqu'un... A l'aide » Et c'était ridicule, inaudible, mais sa force revenait un peu et il essayait plus fort. « A l'aide... A l'aide... » Encore et encore, et enfin, quelqu'un poussa la porte, un des employés, un de ces types sans nom, et l'homme se précipita vers lui. « A l'aide » chuchota encore une dernière fois Erwan, avant de sombrer, s'enfonçant dans l'inconscience tant méritée.
FIN.
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