(#)Sujet: don't call it a dream, call it a plan. | Mer 28 Mar - 1:02
— introduction —
La tête débordante de rêves, de positivisme et de bonheur, Jaime affronte chaque jour de la vie avec un large sourire aux lèvres. Elle insiste pour rester en dehors du moule de la société et se contente de suivre ses désirs et envies. Elle adore la nature, les êtres humains en général et tout ce qui touche le domaine artistique. Elle fait preuve d'une simplicité d'esprit assez remarquable, et elle a constamment le cœur aux bouts des doigts. Cependant, Jaime a tendance a trop vouloir porter le malheur des autres sur ses épaules, toujours ouverte à faire passer le bonheur de ceux-ci avant le sien. Elle essaie de ne pas se laisser abattre par les inégalités dans le monde en se rendant utile, en aidant ceux dans le besoin le plus qu'elle peut. Jaime a un grand coeur, même trop ; elle n'a jamais connu l'amour, et elle n'a jamais cherché à le trouver non plus. Elle se laisse guider par le vent, un jour à la fois, comme si la vie pouvait se terminer dès le lendemain.
— identity card —
Prénom
Jaime, un prénom hors du commun qui se prononce sans le j, comme tel ; '' hi me '' ; Elyzabeth, le prénom que ses mères adoptives ont voulu lui donner lors de son adoption. Elle se présente la plupart du temps sous le premier prénom, mais ceux qui la connaissent bien ont l'habitude de la surnommer ''Jayme''.
Nom
Cook.
Date de naissance, Age
17 août, 26 ans.
Lieu de naissance, nationalité
Elle a vu le jour en Colombie-Britannique, mais elle a passé la majeure partie de son enfance au Québec.
Profession, études
Artiste voulant éventuellement travailler à son compte dans le domaine du livre et de la photographie. Elle est diplômée en Soins infirmiers, mais ne travaille plus dans le domaine depuis un an.
Situation
Célibataire.
Orientation sexuelle
Hétérosexuelle.
Groupe
Jean Valjean.
Avatar
Willa Holland.
Jaime
Cook
Pseudo
Willie
Age
23 ans.
Pays/Ville
Canada.
Comment tu as connu le forum ?
Via une pub sur un groupe rpg facebook.
Fréquence de connexion
Le plus souvent possible avant et après les cours, ainsi que les weekend.
Un avis sur lmlyd ?
Le design est magnifique et j'adore le contexte, beau travail ! .
As-tu envoyé tes deux secrets à Nightmare ?
(c'est obligatoire) Yep, c'est fait normalement !
Si tu es un scénario, merci de laisser le lien ici
Ici.
mot de la fin ?
Vous êtes beaux .
— untold stories —
'' T'es le fruit d'un amour toxique entre un mec immature et d'une toxicomane semi-absente. T'as vu le jour trop tôt, trop maigre, trop douloureusement, trop tout ; t'as failli y rester. Ce fut un miracle de voir finalement la tête sortir de ta mère, évanouie sous l'effort physique et probablement un mélange de manque et de frustration… Ton père était absent, il y avait que les ambulanciers et les seringues qui traînaient sur le plancher autour de ta mère et ton corps frêle. Elle s'était probablement shooté quelques heures avant d'accoucher, et elle ne s'était pas rendu compte d'avoir perdu les eaux... C'est la voisine qui avait traversé après l'avoir entendu crier, elle n'avait pas hésité à appeler les secours avant de se barrer en la laissant là, toute seule dans son merdier. T'étais pas désirée, t'étais un accident qu'elle regrettait à chaque jour de sa grossesse parce qu'au fond d'elle, ça la rongeait de ne pas pouvoir consommer. S'il y a une chose qu'elle a bien fait dans la vie, c'est bien ça ; avoir l'intelligence d'attendre la 38ième semaine avant de flancher. Aujourd'hui, t'as peut-être ce problème au cœur et ce petit problème d'hyperactivité, mais au moins tu respires toujours et t'es plus que vivante... Ne te laisses jamais abattre par le passé ! Va de l'avant, rêve, vit, sourit. Profites ma grande, ne te poses jamais de questions à lesquelles tu ne veux pas répondre. Ta mère était une sale traînée, vouloir la retrouver serait comme courir après un trésor qui n'a pas encore été caché ; tu chercheras pour rien. Va, Elysabeth, va. ''
Ces mots résonnèrent dans ma tête pendant des années et des années, m'aidant à garder la tête haute et oublier à quel point mon enfance avait été merdique. Je n'en parle jamais, parce que c'est tout simplement une perte de temps et de salive. Ce serait dommage de repenser à tous ces moments où j'étais malheureuse, affamée et sans vie... Mais je ne peux pas m'en empêcher parfois, c'est plus fort que moi... Je me souviendrai toujours de ces moments de faiblesse, pendant lesquels ma mère biologique pétait les plombs et s'enfilait une dose dans le bras pour se calmer. Je me souviendrai toujours l'avoir regardé faire sans pouvoir agir, sans pouvoir m'approcher sans avoir peur de me faire taper ou crier dessus. Elle ne me supportait pas, elle ne m'avait jamais supporté en fait. Si j'étais là, c'est tout simplement grâce à la voisine, sa meilleure amie. Et surtout, pour servir de revenu à cette droguée qui ne pouvait pas se passer de sa dose quotidienne. La voisine était tout aussi dopée qu'elle, mais elle avait une tête sur les épaules. Elle avait su m'élever du mieux qu'elle pouvait, jusqu'à mes huit ans. Mes souvenirs ne sont pas tellement exactes, les sept premières années de ma vie sont encore floues dans ma tête. Mais pour le reste, tout est assez clair, même trop.
Ce jour-là, elle avait consommé plus que jamais. Cela faisait maintenant trois jours qu'elle n'avait rien mangé, ni dormi. Elle ne faisait que vider les verres d'eau que je lui apportais. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, jusqu'à ce qu'elle lève les yeux sur mon visage et me regarde avec ces yeux remplis de haine : '' T'es qu'une ordure, je ne veux plus te voir. '' Ses mots m'avaient brisé le cœur en mille morceaux, mais je me suis sentie revivre pendant un instant. C'était comme si elle me libérait de son fardeau, comme si elle me donnait la permission de l'abandonner. Au fond, elle était triste que je sois partie pendant ces trois jours, les trois premiers jours où j'ai voulu m'évader pour la première fois, trouver quelque chose à manger et quelque sous pour mon petit cochon. J'étais déterminée à la quitter, à partir loin de ce merdier et commencer à vivre moi aussi... Mais j'étais revenue par faiblesse, et voilà qu'elle m'ouvrait la porte de secours. C'était un signe du destin, je devais le faire une bonne fois pour toute.
Elles m'ont retrouvé au bord d'une ruelle sombre, les mains ouvertes devant moi dans l'espoir d'avoir quelques sous pour manger. Cela faisait une semaine que j'étais partie, j'avais à peine huit ans et je savais à peine parler... J'étais seule et affamée, mais je ne voulais pas montrer aux gens que j'avais peur. Je ne voulais pas qu'ils me traînent dans un centre d'accueil, je voulais tout simplement respirer. Ce couple d'amoureuse m'a accueilli dans leur foyer pour la nuit, puis mon périple avec eux s'est transformé en années. Elles ont refait mon éducation du début à la fin, dans une petite maison dans les bois où seul le son des oiseaux et le lever du soleil me réveillaient le matin. J'étais comblée, je ne pouvais rien demander de mieux. J'ai été tenté de repartir, mais je ne l'ai pas fait. La sécurité qu'elles m'apportaient me rassurait, elle me donnait l'impression de renaître de mes cendres.
J'ai passé six ans de ma vie à apprendre au-travers le grand jardin ; comment compter, comment épeler, comment faire tout ce que les autres jeunes faisaient, mais en appliquant toutes mes connaissances en temps réel. J'ai appris à cultiver, nourrir les oiseaux, faire un feu sans briquet, cuisiner, faire la lessive... j'ai tout appris. C'était ça, l'école de la vie. Je ne savais peut-être pas ce qu'était l'algèbre, et comment calculer l'air d'un triangle, mais je savais me débrouiller avec le peu que j'avais. Puis un jour, le malheur s'est attardé sur notre petite famille, nous apportant la maladie avec lui. Une de mes mères avait le cancer du cerveau, elle en était au stade 2 lorsqu'elles l'ont découvert. J'ai senti ma vie s'effondrer à nouveau, je ne voulais pas la perdre. Au-travers l'inquiétude et la peur, j'ai assisté mon autre mère à la soigner jusqu'à ce qu'elle nous quitte une bonne fois pour toute, deux ans plus tard. Nous l'avions retrouvée allongée dans son hamac, dans son petit havre de paix entourée d'arbres et de rayons de soleil. Elle ne respirait plus et pourtant, je n'ai jamais eu l'impression de la voir aussi vivante. Elle rayonnait malgré tout, et c'est pour cela que je l'admirais. À partir de ce moment, je me suis lancé dans des démarches interminables pour rattraper un niveau scolaire convenable afin de faire des études en Soins infirmiers. Je voulais soigner plus de gens, je voulais continuer d'aider. Mais par-dessus tout, je voulais me sentir libre de mes choix, vivre pour moi, mais aussi pour elle. Parce qu'elle nous a quittés trop jeune... Parce que la vie nous glisse trop souvent facilement entres les mains sans qu'on puisse la retenir...
Après sept années d'acharnement, j'ai reçu mon diplôme et j'ai quitté le Canada pour la première fois de ma vie. Je m'envolais pour l'Équateur afin de compléter un stage avec la Croix Rouge canadienne. J'avais 21 ans, une maman qui me supportait à distance, un rêve en tête et je ne pouvais être plus heureuse à cette époque. J'avais la tête qui débordait d'idées, d'ambitions, et je tenais tellement à la rendre fière que je me suis perdu au-travers mon chemin, entre le bonheur et mon devoir. À la fin de mon stage, je ne suis pas revenu au Canada. J'ai pris un avion dans le sens opposé, et je me suis dirigée vers l'Europe. J'ai entrepris un long voyage pendant plus de trois ans, visitant toutes les villes que je pouvais avec le strict minimum ; mon sac à dos et quelques sous que ma mère m'envoyait aux deux mois. Nous n'étions pas très fortunés, mais elle insistait pour que je vive comme je le voulais, parce que c'est ça qu'elle aurait voulu, elle aussi. Nous avions hérité d'un petit montant qui aurait servi à mes études supérieures, mais je n'ai pas voulu continuer à étudier alors ma mère avait accepté de me laisser l'argent pour réaliser mes rêves. Elle savait que sa femme aurait voulu la même chose, alors elle n'avait pas bronché quand je lui avais dis que je voulais passer une partie de ma vie à voyager. Elle m'aidait dans les périodes difficiles, mais la plupart du temps, c'est elle qui venait à moi, et non le contraire. Je voulais vivre l'indépendance totale, à l'aide de mon pouce et de ces bons samaritains qui voulaient bien m'aider sur la route. La vraie vie pour moi n'était pas celle d'un travailleur à temps plein, mais d'un voyageur à temps libres. Grâce à mon diplôme, j'ai pu bosser dans des organismes communautaires afin d'apporter mon aide en échange d'un toit où dormir ou de nourriture à manger. J'aidais les gens sans attendre d'argent en retour, je le faisais bénévolement et ça me faisait plaisir. Mais les bonnes choses n'arrivent jamais seules, il doit toujours y avoir un côté négatif quelque part ; et pour moi, ce fut l’addiction au jeu... J’ai commencé à brûler le peu d’argent que j’avais dans les tournois de poker, et j’ai atteint le fond, âgé de 25 ans à l’époque.
J'ai été tenté de retourner auprès de ma mère, mais je me suis laissé emporter par le vent. Au-travers ces temps difficiles, j’ai fait la rencontre d’une personne qui a changé ma vision de la vie. Reid Parks, ce jeune homme brisé par la disparition de sa bien aimée. Son histoire m’a touchée à un point où j’ai ressenti le besoin de l’accompagner, de l’aider à se changer les idées. Lui aussi, m’aidait à fuir mes problèmes. Nous avons passé cinq mois à voyager ensemble, cinq mois pendant lesquels je n’ai pas touché à un seul jeton. Jusqu’au jour où il décida de poursuivre son chemin vers Miami. Après son départ, j'ai passé un mois à errer sans but, à me demander si je devais fuir ou si je devais me trouver un boulot pour payer mes dettes de jeu... Parce qu’évidemment, j’en étais venu à faire appel à un homme fortuné. Un joueur avec qui j’avais l’habitude de passer mes soirées et quelques nuits... Il me faisait confiance, et moi j’ai trouvé la meilleure façon de briser ce lien qui nous unissait ; l’ignorer et fuir. Après de longues heures de réflexion, j'ai monté dans un avion avec une partie de l’héritage que je n’avais pas encore touché depuis la mort de ma mère, et je me suis laissé envoler vers la Floride.
Une nouvelle vie s’offre à moi, et je n’ai aucune idée de comment l’aborder. Chose certaine, je compte continuer de vivre de mes passions, et ce, sans effacer le sourire qui se retrouve constamment sur mes lèvres. Maintenant que je suis à seulement quelques heures de route de ma mère, je vais pouvoir aller la visiter plus souvent et reprendre un rythme de vie un peu plus calme, un peu plus stable. Cela me fait peur, je dois l'avouer. Mais à quelque part, je suis rassurée de savoir qu'après tout ce temps, je peux encore compter sur elle pour me soutenir dans mes futurs projets.
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Mer 28 Mar - 1:10
WILLA. Bienvenue ici, bon courage pour ta fiche, j’ai hâte de lire ta présentation.
Alexie R. Wilson
i'm a sexy pnj
- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Mer 28 Mar - 5:51
Bienvenue chez toi Jaime! Une autre québecoise YESSSSIIIR!
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Mer 28 Mar - 16:48
@Reid ; tu peux bien '' '' devant Willa, t'as vu le vava de ouff que tu nous as choisi ? Omg... je suis... je suis sans mots, voilà..... Merci à toi pour l'accueil :')
@Alexie ; j'adore le prénom et le vava, merci beaucoup à toi t'es québécoise toi aussi ? est-ce qu'on est plusieurs à l'être ?
trop de beaux visages sur ce fo, wouah
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Mer 28 Mar - 18:45
Bienvenue parmi nous avec la belle willa ! Bon courage pour ta fiche.
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Mer 28 Mar - 20:12
Bienvenue demoiselle ! Bon courage pour ta fiche !
Kathelyn Parks
G-star
- messages : 5154 - feat. & crédit : Lindsey Morgan - anniversaire : 01/01/1991 - activité : Seconde de cuisine dans une brasserie - double compte : Lily-Anne & Deagan & Athénaïs
(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Jeu 29 Mar - 2:45
BIENVENUE PAR ICI
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Jeu 29 Mar - 2:47
(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Sam 31 Mar - 22:27
— félicitations —
Je t'annonce que tu es maintenant validé(e)! Alors bienvenue officiellement dans la superbe famille de Love Me Like You Do. Là où il y a des tonnes de fou-rires, de la complicité à l’état pur, des tas de rebondissements et juste assez d’inceste pour être encore socialement acceptable. Sans blague, c’est une joie de pouvoir te compter parmi nous et nous espérons sincèrement que tu sauras trouver ton petit bonheur ici, car nous t’aimons déjà beaucoup.
Maintenant, tu es apte à faire tes demandes mais aussi que tes liens et tes topics. Si ce n’est pas déjà fait, il serait bien d’aller jeter un petit coup d’œil aux règles du forum afin que tout soit bien compris.
N’hésite pas non plus à participer aux jeux ou à l'événement en vigueur. Il nous fera plaisir de te compter parmi nous et de pouvoir s’amuser avec toi. Nous avons également la chatbox et pleins de jeux flood super amusants!
Si tu as des questions, n’hésite pas communiquer avec le staff, ils sont souvent là… presque 24/24. (L’avantage d’avoir des français et des québecois, héhé!) Alors voilà, c’est tout. Viens faire chauffer ton clavier en notre compagnie maintenant.
Jaime
Cook
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. | Sam 31 Mar - 22:28
Yaaaaay, contente d'être officiellement parmi vous
Merci beaucoup :')
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(#)Sujet: Re: don't call it a dream, call it a plan. |