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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Mar 19 Juin - 1:21
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
J’étai heureuse. Je me sentais bien. Je ne savais pas ce qui aurait pu rendre cette soirée plus belle qu’elle ne l’était déjà. Peut-être un diner pour remplir nos estomacs bien vides ? L’effort physique avait accentué ma faim et je fus ravie que William propose que nous commandions à manger. Je fis la première mon choix et il décida de me suivre sur le saumon accompagné de riz et de petits légumes. Avec un tel plat nous ne prenions pas tellement de risques pour nos papilles. Une fois qu’il eut raccroché avec le service d’étage, je demandai à mon compagnon de soirée si Dieu allait nous punir pour le péché que nous venions de commettre ? J’étais à demie-sérieuse en disant cela et je vis bien que William ne sut pas trop comment prendre ma question. Je décidai alors de le rassurer en rigolant et celui-ci m’avoua que qu’il m’avait cru être sérieuse le temps d’un instant. J’aurais pu l’être, mais au fond de moi je ne pensais pas à ce précepte dans lequel j’avais grandis. Je ne pensais réellement pas que le corps humain ne devait servir qu’à des fins biologiques. Le corps pouvait être utilisé aussi pour le plaisir sans pour autant se voir interdire l’entrée du paradis une fois notre vie sur terre terminée. J’expliqua alors que je n’avais aucun regret à avoir commis le péché de chair avec lui. J’en étais même bien loin. Je mentirais en disant que je n’avais pas apprécié ce moment et que mon corps n’en demandait pas de nouveau. Will me répondit qu’il était heureux de m’entendre dire cela et qu’il souhaitait que ce soit toujours le cas. Je ne pu m’empêcher de sourire face à ce comportement bienveillant qu’il avait envers moi, et plus encore quand il me vola un baiser. « J’ai pas de raison de ne pas être bien avec toi. Surtout pas maintenant ! » Je souris et m’enfonça légèrement dans le dossier du canapé, laissant tomber ma tête sur le rebord. C’est alors qu’il me demanda s’il pouvait me poser une question un peu indiscrète. Je me redressai et je sentis mon cœur s’emballer un peu dans ma poitrine. C’était jamais bon signe ce genre de phrase, ça voulait très souvent dire que j’allais me sentir assez mal à l’aise face à la réponse que j’allais devoir donner. J’hochai la tête positivement en l’écoutant me demander si j’avais déjà eu d’autres partenaires sexuels dans ma vie. Je le regardai un instant ne sachant pas quelle réponse lui donner. Je sentis mes joues se colorer de rouge doucement. Je passai machinalement une main dans mes cheveux et détourna le regard. « J’ai eu un homme dans ma vie. Je l’ai fréquenté pendant quelques années, jusqu’à ce que je parte… » Le simple fait de penser à ce qu’il avait fait pour moi pendant toutes ses années, mon cœur fut envahi par l’émotion. Je m’efforçais de penser le moins possible à qui j’avais pu laisser derrière moi parce que cela me faisait mal. « Mais il n’y avait pas d’amour entre nous, du moins pas de mon côté … Il était plus quelqu’un auprès de qui je trouvais du réconfort quand j’avais envie d’abandonner parce que c’était trop difficile ... Et il a sans doute été aussi la seule personne à me regarder comme une vraie femme et non pas comme une simple fille bonne à s’occuper d’une maison. » Je ne mentais pas, j’omettais juste des détails à cette histoire. Je relevais mes yeux qui s’étaient perdus sur le sol de la chambre pour croiser le regard du jeune homme qui m’écoutait avec attention. Je n’arrivais pas à savoir ce qu’il pouvait bien penser de cette relation que j’avais eu. « C’est grâce à lui si je suis ici aujourd’hui et mon frère également. » Je n’allais pas rajouter plus de détails à cette histoire parce que pour elle appartenait à mon passé et que William n’avait pas besoin de tout savoir. En quittant le complexe, je l’avais quitté pour toujours et je n’avais pas envie de ressasser le passé. « Je pense qu’il devait m’aimer parce qu’on risque pas sa vie pour des personnes insignifiantes non ? » Jamais nous avions abordés la question de nos sentiments respectifs à l’époque sans doute parce que nous savions clairement, que je ne serais jamais en mesure de lui donner en retour l’amour qu’il me portait. Vivre dans le déni faisait moins de mal peut-être … Je me levais du canapé avec une envie irrépressible de faire quelques pas dans la pièce. Bien que la page était tournée, je me devais bien d’avouer que cette histoire m’avait construire et avait laissée ses traces en moi. « Je ne veux pas en parler davantage. » dis-je subitement alors que je tournais le dos à William. Je regardai un instant par la fenêtre la ville illuminée qui s’étendait à perte de vue. Mes bras vinrent se croiser sur ma poitrine et je restai ainsi quelques secondes, immobiles et silencieuse. C’est mon ventre qui gargouilla qui me ramena à la réalité. Je chassai de mon esprit les pensées flottantes liées à mon passé et me retourna pour faire face à William. Un petit sourire se glissa sur mes lèvres et je lui demandai : « Et moi est-ce que je peux te poser une question indiscrète ? » A mon tour de creuser sur un sujet. Je pense que ma question était loin d’avoir le même but que la sienne, mais c’était une question que je me posais depuis un certain temps déjà et j’espérais qu’il puisse y répondre. Il me semblait être la personne idéale. « Tu as déjà été amoureux ? Qu’est-ce que ça fait et comment on sait qu’on est amoureux ? » Je me doutais que sa réponse soit positive, car il m’avait parlé une fois de son ex et de ses craintes à ce que je lui tourne le dos pour l’abandonner. Je pensais que pour vivre ce genre de peur il fallait sans doute aimer une personne très fort et ça avait certainement été le cas.
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Dim 24 Juin - 0:02
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
Rien de mieux que de se remplir le ventre après un pareil moment fort en émotion. Nous avions tous les deux faims avant même d’entrer dans le jaccuzzi donc je pouvais dire que maintenant, mon estomac criait famine et pas rien qu’un tout petit peu! C’est pourquoi on se commanda un service aux chambres et le choix de Kathelyn de prendre du saumon me sembla être une excellente idée. C’est pourquoi je fis de même. Une fois l’appel terminé, je retournai vers ma belle pour continuer à discuter avec elle. Ce que je pouvais aimer sa compagnie! J’étais d’autant plus heureux d’entendre qu’elle n’avait aucune raison de ne pas être bien avec moi. Je voulais vraiment bien faire les choses avec Kathelyn, depuis le tout début. Elle était vraiment différent des autres filles que j’avais rencontré. Ça impliquait aussi qu’elle ne m’avait pas tombé dans les bras aussi facilement mais c’était quelque chose que j’appréciais bien aussi. J’étais pas en train de dire que toutes les femmes tombaient comme des mouches devant moi mais bon, j’avais une certaine facilité. Une facilité que je n’avais pas toujours eu… ça non! Suffisait de voir de quoi j’avais l’air au lycée pour tout comprendre. Bref, je m’étais contenté de sourire à sa petite remarque. Sourire qui quitta peu à peu mes lèvres lorsqu’il se mit à faire référence à Dieu. Sur le coup, je me demandais vraiment si c’était des blagues ou bien si elle venait vraiment d’avoir une prise de conscience. Allait-elle m’en vouloir maintenant qu’elle repensait aux stupidités qu’on avait pu lui mettre dans la tête depuis son plus jeune âge? Finalement, ce n’était que des blagues et j’en étais bien rassuré. N’empêche, cette blague vint soulever un questionnement que je ne pouvais pas garder pour moi. Je voulais savoir elle avait été avec combien d’homme dans sa vie. Elle m’avait déjà dit de pas être très expérimenté à ce niveau mais avec ce qu’on venait de vivre, j’avais du mal à croire qu’il pouvait s’agir de sa toute première fois.
Aussitôt, le visage de la jeune femme changea du tout au tout. Je remarquai bien entendu que la question la rendait mal à l’aise et pour la peine, je me trouvai con de lui avoir balancé ça comme ça. Malgré tout, elle se mit à se confier à moi et je remarquai bien vite qu’elle en était bien émotive. Que les souvenirs remontaient et j’avais juste envie de la serrer dans mes bras pour ça. Il y avait donc eu quelqu’un lorsqu’elle était là-bas… mais elle ne l’avait pas vraiment aimé, du moins, pas amoureusement comme quelqu’un avec qui elle aurait pu être en couple. C’est ce que je pouvais un peu comprendre. Son regard recroisa le mien, j’étais là, immobile à la regarder. Je portais pas de jugement, je savais qu’elle avait un passé plutôt difficile, que je ne pourrais probablement jamais entièrement comprendre, même si je faisais toutes les efforts du monde. « Non, ça c’est certain! » répondis-je à sa question si on risquait sa vie pour des gens insignifiants. Du moins, sauf si on était un vrai kamikaze qui en avait rien à faire de sa propre existence. Je la regardai se lever doucement du canapé, la lâchant pas du regard. Un silence s’était installé dans la chambre et j’étais vraiment en train de me trouver stupide d’avoir amené la conversation là. En même temps, comment aurais-je pu le savoir? J’osais espérer qu’elle ne m’en veuille pas pour ça. Cette dernière m’annonça qu’elle ne voulait pas en parler d’avantage. Je hochai la tête, même si elle était de dos à moi et qu’elle ne pouvait pas vraiment me voir. « Je comprends… et je suis désolé, mon but n'était pas de remonter des souvenirs douloureux… avoir su je n’aurais pas… » Je perdais un peu mes mots mais elle pouvait comprendre un peu où je voulais en venir. Kath se tourna par la suite vers moi, un petit sourire sur le coin des lèvres… c’était au moins ça! Elle me demanda alors si elle pouvait à son tour me poser une question indiscrète. « C’est la moindre des choses, je pense! » lui répondis-je en lui rendant son petit sourire pendant qu’elle revenait vers moi. Je me demandais vraiment où elle voulait en venir avec tout ça, jusqu’à ce qu’elle me parle d’amour… oh! « Hum, eh bien oui, j’ai eu une seule petite-amie pendant plusieurs années… avec des hauts et des bas mais ouais, je l’ai aimé donc je peux dire que je sais ce que c’est être amoureux. » Je fis mine de réfléchir un peu, les sourcils légèrement froncé. « Écoute, je peux t’expliquer beaucoup de chose de l’être humain, je peux t’expliquer comment tu digères les aliments, comment ton coeur pompe le sang, comment l’oxygène se transmet dans ton corps… mais t’expliquer un sentiment… surtout celui de l’amour je… je sais pas! » Je remontai la tête vers elle en haussant les épaules. Sa question n’était vraiment pas facile et même si je voulais vraiment l’aider… je savais pas trop comment faire! « J’imagine qu’il n’y a pas une personne qui aime de la même façon et que nous allons jamais aimé deux personnes de la même façon non plus. Mais j’imagine que quand tu te sens bien avec cette personne, que ton coeur fait des siennes quand tu la vois... quand tu penses souvent à elle, que t’as toujours envie d’être en sa compagnie et que tu ferais beaucoup pour cette dernière… que ça veut probablement dire quelque chose. J’avais soutenu son regard en disant tout ça, est-ce que je ressentais tout ça pour elle? Est-ce que je me sentais comme ça en sa compagnie? Je pouvais dire à 100% que oui, que c’était bel et bien le cas. Je ne savais pas trop pourquoi elle voulait savoir cette question, peut-être parce qu’elle ignorait elle-même les sentiments qu’elle pouvait avoir pour moi? Je ne savais pas trop! « Bon, c'est pas super précis mais, j'espère que ça t'a éclairé au moins un peu? »
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Kathelyn Parks
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Dim 24 Juin - 21:07
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
Je m’étais débrouillée comme j’avais pu pour répondre à la question de William. L’émotion n’avait pas tardé à prendre le contrôle sur moi en évoquant un passé un peu douloureux et qui me semblait devenir de plus en plus loin. J’avais eu beaucoup de raisons qui m’avaient poussé à quitter le complexe, mais ils y en avaient d’autres qui auraient pu me faire rester si elles avaient été plus nombreuses. Seulement cela n’avait pas été le cas. Même si ma décision à partir avait été très rapidement décidée, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qu’il serait advenu de moi si je ne l’avais pas fait. Aurais-je réussi à devenir à être heureuse ? Je n’en étais pas bien sûre. J’expliqua à Will avoir fréquenté un homme au complexe, un homme que je n’avais jamais réussis à percevoir comme un réel petit-ami. Un homme à qui j’avais peut-être fait du mal. Je me demandais ce qu’il était devenu de lui et si un jour je pourrais le remercier pour ce qu’il avait fait pour moi et mon frère. William m’écouta avec attention, ne relevant pas ce que je lui disais. Je me demandais bien ce qu’il pouvait penser de cette histoire. Il réagit seulement lorsque j’émis l’hypothèse que le jeune homme que je fréquentais devait m’aimer pour avoir risquer sa vie pour me faire sortir de cette prison. Plus j’y pensais et plus je me disais que j’avais dû lui faire du mal, terriblement de mal. Je me sentais coupable de mes actes, des actes égoïstes. Ne souhaitant pas vouloir gâcher la soirée avec un passé douloureux, j’informai que je ne voulais plus en parler. Je voulais laisser le passé derrière moi. Je me retournai vers le jeune homme qui s’excusait tant bien que mal pour la question qu’il venait de me poser. Je le regardai avec un petit sourire sur les lèvres en secouant légèrement la tête pour lui signifier que ce n’était pas grave. Il ne pouvait pas savoir.
Je décidai à mon tour de lui poser une question indiscrète. L’amour, l’avait-il déjà connu et comment se manifestait-il ? Je lui souris gentiment alors qu’il me répondait. Il avait eu la chance d’aimer une personne sincèrement. Moi je ne comprenais pas encore le sens de ce mot, du moins, je ne le pensais pas. Je le vis réfléchir pour répondre à la seconde partie de ma question certainement. J’avais lu des magazines féminins sur le sujet, mais cela me semblait tellement flou, tellement abstrait et sa réponse ne m’aida pas plus. « Dommage, je pensais qu’un homme de sciences aurait les compétences pour répondre à ma question. » répondis-je amusée et en même temps un peu déçue. Il semblerait donc que c’était du ressentis, quelque chose de trop personnel pour pouvoir y mettre des mots dessus. L’amour, ce sentiment complexe. Cependant William ne rendit pas les rames dessus et essaya de trouver des exemples de manifestations pouvant traduire le sentiment de l’amour. Je l’écoutai attentivement, alors que mes yeux se perdaient dans les siens. Ce qu’il me dit était la même chose que ce que j’avais pu lire dans les magazines, mais sortis de sa bouche cela me semblait différent, plus vrai, plus sincère. Je sentis mon cœur avoir un petit raté dans ma poitrine avant de le sentir se contracté sur lui-même. Etait-ce juste sur ces paramètres que je pouvais me baser pour comprendre ce que je pouvais ressentir à son égard ? Cela me paraissait presque trop facile. Je me sentis soudain envahir par une petite angoisse intérieure. Pour quelle raison ? Je ne le savais pas vraiment. Je me sentis soudain gênée et je détournai le regard. Ma main passa machinalement sur ma nuque pour remonter ensuite dans mes cheveux. Je me raclai la gorge et afficha un sourire sur mes lèvres. « C’est très clair … » Ma phrase resta en suspend alors que je réfléchissais encore à ce qu’il venait de dire. Il me faudrait creuser un peu sur le sujet pour bien comprendre mais je pense que j’en avais saisis les grandes lignes. « Merci. » ajoutai-je simplement. Je m’approchai lentement de William passa mes bras autour de sa nuque doucement. Mes yeux parcoururent son visage quelques instants avant que mes lèvres ne viennent se poser sur les siennes. Je m’abandonnai un instant à ce que je pouvais ressentir en l’embrassant. Une sensation de bien-être qui se diffusait partout au sein de mon corps. Mais plus encore que ça, il y avait aussi du désir qui se nichait au creux de moi. Le désir de faire à nouveau l’amour. Je perdis légèrement le contrôle de moi-même. Mes mains se posèrent sur sa poitrine dénudée et glissèrent le long de ses côtes. Je me sentis reculer jusqu’à entrer en contact avec un mur dans mon dos. Lorsque je sentais les lèvres de William s’échappaient je les rattrapais aussitôt ne voulant pas rompre ce baiser. C’était tellement bon. Ce fut quelques coups contre la porte qui me ramenèrent à la réalité en me faisant sursauter. Mon regard se posa sur la porte de la chambre puis revint sur le jeune homme. Ce devait être notre diner. « Entrer » lançai-je en me glissant vers le centre de la chambre pour accueillir la personne chargée de monter le diner.
Je passai mes mais dans mes cheveux et les attacha rapidement en un haut chignon. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. L’odeur qui émanait des plats que l’on venait de nous amener arriva jusqu’à mes narines. « Ça sent bon ! Ça me donne super faim tout ça. » Je regardai William et le serveur qui disposait les assiettes sur la table. Une fois le service fait, je remerciai le jeune homme qui nous laissa de nouveau seuls dans la chambre. J’attrapai une fourchette et ouvrit la cloche posée sur une assiette pour goûter sans plus attendre. Mon estomac, qui jusque là n’avait pas trop fait des siennes, me réclamait d’être remplis. Je pris du riz, quelques légumes et un bout de saumon et gouta le tout. « J’adore. Je suis fan. Vraiment, c’est trop bon. Je crois que je sais ce que c’est qu’être amoureuse maintenant. » dis-je en riant. « Viens goûter ça. » je lui fis un geste de la main pour qu’il s’approche et je lui fis gouter une fourchette de ce que je venais de manger. Nara avait vraiment un chef d’exception au sein de ses cuisines. Un jour moi aussi je flatterais les papilles de nombreuses personnes. J’espérais vraiment pouvoir concrétiser ce but que je m’étais fixé. Je me sentirais accomplie à ce moment-là. Ce serai pour moi la preuve que ma fuite n’aurait pas était vaine. J’attrapa la carafe d’eau posée sur la table et je nous remplis les verres avant de m’assoir. « Bon appétit ! » dis-je sur un ton enjoué. Je n’attendis pas plus pour manger mon assiette avec délectation. Je me sentais revivre. Finalement, j’avais plus fin que je ne l’aurais pensé. J’avais un peu de mal à réaliser que cette soirée était vraie. J’avais un peu l’impression de vivre un rêve. Jamais je n’aurais pu imaginer me retrouver dans une suite aussi luxueuse que celle-ci et qui plus est en tête à tête avec un homme … et pas qu’en tête à tête. Si à la sortie du complexe on me l’aurait dit, j’aurais sans doute eu du mal à le croire. Je ne savais pas quelle bonne action j’avais pu faire pour que Dieu m’accorde de telles faveurs. Comme quoi, cette vie que je menais autrefois était loin d’être la volonté de Dieu. Si cela avait été le cas, ma vie à l’extérieur n’aurait pas été aussi belle et aurait sans doute été semée de beaucoup plus d’embuches. Je levai mes yeux de mon assiette et regarda William qui mangeait. Lorsque ses yeux croisèrent les miens je ne pus m’empêcher de sourire niaisement avant de baisser la tête en rougissant légèrement. J’avais de la chance, j’en avais consciente mais je ne comprenais pas toujours pourquoi. J’avais pas forcément mérité sa tranche de bonheur que m’offrait la vie. « Tu m’as pas dit que tu jouait au football ou quelque chose comme ça ? » lui demandai-je soudainement. Je en savais pas trop pourquoi mais ce détail m’était revenu en tête. J’attendis sa réponse pour ajouter : « Quand est-ce que tu m’expliques comment ça se joue, pour que je puisse venir juger si t’es un bon joueur sur le terrain ? » Je me mis à rire. Même s’il m’expliquait les règles, je pense que je serais bien incapable d’être en position de le juger sur ses performances.
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Sam 30 Juin - 1:48
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
L’ambiance avait pas mal changé lorsque j’avais posé la question à Kathelyn si j’étais le premier homme avec qui elle était. Je cru comprendre qu’il y avait eu quelqu’un au ‘’complexe’’ comme elle aimait bien aimer sa secte mais qu’elle n’avait jamais été amoureuse de lui, contrairement à lui qui, avait fait beaucoup pour l’aider à quitter les lieux, allant même jusqu’à compromettre sa propre sécurité. Cette dernière semblait un peu émotive de tout ça et je me sentais bien mal d’avoir abordé le sujet - bien que je n’aurais jamais pu savoir dans quel état tout ça aurait pu la mettre. Cette conversation amena d’autres questionnement chez la jeune femme qui me demanda une question bien simple - mais fort difficile à répondre au sujet de l’amour. « Tu sauras, mademoiselle, que j’ai énormément de compétences… » déclarais-je en la pointant pour rigoler un peu. « Mais là, c’est pas facile ce que tu me demandes. » J’essayais toutefois de répondre du mieux que je le pouvais en lui donnant des exemples. Il était clair de mon côté, à l’intérieur de moi que mes contacts s'appliquent clairement à elle. Mais de son côté, ça me confirmait qu’elle n’était certaine de rien, si elle se demandait ce que c’était, d’aimer quelqu’un. Je ne savais pas trop comment prendre tout ça. Ça me montrait toutefois qu’on était peut-être pas exactement sur la même longueur d’onde. Elle m’avait toutefois écouté avec attention, tellement que son regard dans le mien m’avait déstabilisé pendant que je lui expliquais le tout. Sur le coup, j’avais envie de croire qu’elle ressentait aussi, ce que je ressentais et ce que je racontais.
Elle m’avait répondu que c’était très clair, me remerciant. Je lui avais donc répondu d’un petit sourire en coin. « Pas de quoi…. quand tu veux! » Puis, la jeune femme s’approcha de moi, rompant la distance entre nous pour y installer une proximité des plus intéressantes. J’aimais quand elle prenait les devants, j’aimais quand elle avait confiance en elle et qu’elle osait m’embrasser et me toucher comme elle le faisait. Je ne pouvais qu’être réceptif à tout ça, mettant du mien également en explorant son corps que j’avais envie d’apprendre à connaître encore et encore de mes mains. Le petit moment fut interrompu par contre par un cognement à la porte. Un peu frustré, je soupirai en m’éloignant un peu… disons que j’étais pas trop à l’aise que le jeune homme qui venait nous apporter le repas voit mon érection à travers mon bas de vêtement. Je fis donc mine d’être occupé, dos à la situation avant d’entendre Kathelyn s’extasier du repas, m’invitant à s’approcher pour goûter. Elle avait bien raison. « Wow! On est vraiment traités comme des rois ici. Ça donne pas envie de retourner à la maison demain! Tu crois qu’Anteynara le remarquerait si on décidait de rester ici pour encore plusieurs semaines et profiter de tout gratuitement? » Bon, c’était des blagues, la jeune femme était déjà assez gentille comme ça. Mais bon, on s’habituait rapidement à ce genre de petits plaisirs et ça donnait envie que ça ne s’arrête jamais.
On continua à manger tout en se lançant des regards de temps en temps. Lorsque mon regard s’accrochait au sien, elle rougissait! Ce qu’elle pouvait être mignonne! C’était vraiment chouette de passer du temps avec elle, vraiment! On se mit ensuite à parler de sport, un de nos gros points communs. Elle voulait savoir si je jouais toujours au football, je répondis en secouant la tête positivement tout en avalant ma bouchée. « Tu peux juger mon jeu, j’ai aucun problème avec ça… mais en fait, je suis surtout gardien du but, il m’arrive par contre de jouer attaquant… mais je préfère vraiment être devant mon filet! » déclarais-je, accompagné d’un petit clin d’oeil. « Mais ça me ferait bien plaisir d’avoir une cheerleader personnelle! La plus belle de toute en plus! » À mes yeux en tout cas, il n’y avait pas vraiment de fille qui l’égalait. J’avais eu grave le coup de coeur dès que je l’avais vu entrer dans mon bureau la toute première fois. Sérieusement, cette fille n’avait rien à envier à personne puis pour l’avoir vu toute nue en plus… gosh! Elle avait un corps de déesse! Ça paraissait qu’elle faisait beaucoup de sport. « D’ailleurs, tu fais encore des arts martiaux? Il m’arrive de faire de la boxe mais j’aimerais bien essayer! Je pourrais t’accompagner un de ses quatres? » Et puis, j’étais bien intéressé de la voir aller aussi! J’étais certain qu’elle était douée… et sexy aussi! On continua à manger, rapidement, mon assiette se vida complètement, ne gaspillant absolument rien tellement c’était bon! Estomac bien rempli et comblé, je me levai du canapé en m’étirant un peu. « Bon, je crois que je vais aller prendre une douche. » informais-je ma compagne de la soirée. « Si tu veux avoir une bonne conscience environnementale et gaspiller moins d’eau… t’es toujours la bienvenue à te joindre à moi. » Je lui demandais pas carrément si elle voulait y venir avec moi, ne voulant pas la rendre mal à l’aise si elle ne voulait pas… mais maintenant au moins, elle savait qu’elle n’avait pas à se gêner, que ça me ferait même bien plaisir de passer un bon moment en sa compagnie sous le jet.
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Kathelyn Parks
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Dim 1 Juil - 4:26
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
Ce que m’avait dit William ne m’avait pas laissé insensible. Je ne savais pas trop quoi penser de ces choses qu’il m’avait dites à propos de l’amour mais je savais que je les rangeais dans un coin de ma tête jusqu’à ce que je trouve le temps de bien comprendre. Nous avions échangé une étreinte, des baisers jusqu’à ce que nous fussions interrompus par le service d’étage qui venait nous livrer notre repas. L’odeur qui s’échappait des assiettes m’avait ouvert l’appétit et je n’avais pas attendu pour goûter et faire goûter le jeune homme. C’était vraiment excellent et il était également de mon avis. « Je suis persuadée qu’elle n’y verrait pas d’inconvénient, elle a vraiment la main sur le cœur. Mais je voudrais pas abuser de sa gentillesse. » répondis-je alors que Will me demandait sur le ton de la plaisanterie si nous nous ne pourrions pas rester quelques jours de plus. Mais c’est vrai que ce moment passé ici c’était quelque chose d’agréable, mais ça l’était peut-être parce que c’était surtout inhabituel. Nous n’aurions sans doute pas savouré autant cette soirée si c’était inscrit dans notre quotidien.
Nous passâmes rapidement à table, il ne faudrait pas que tout cela refroidisse quand même ! Mes pensées se perdirent sur un détail et j’amorça une conversation autour du sport. Will me dit que je pourrais venir juger ses performances sur le terrain quand je le souhaitais, ajoutant que cela lui ferait plaisir d’avoir une cheerleader pour le soutenir. Je ne pu m’empêcher de rougir comme une tomate. Je baissai la tête et tenta un trait d’humour pour faire passer cette gêne : « Faudra que je me trouve une tenue alors, et que je m’entraine à scander ton nom. » Je souris en relevant la tête. Je n’avais jamais assisté de toute ma vie à un évènement sportif. Les seules pom-pom girl que j’avais pu voir c’était à la télé dans les séries télévisées ou bien lors des retransmissions de match, et encore là je ne m’y attardais jamais bien longtemps. William me demanda si je faisais toujours des arts-martiaux et me dit ensuite que de son coté lui il pratiquait la boxe. Il me surprit en me demandant s’il pourrait m’accompagner un de ces jours. Je le fixai un instant avant qu’un large sourire se glisse sur mes lèvres. « Bien sûr ! J’y vais presque tous les soirs, ça m’aide avec mes insomnies. » Même si parfois j’avais beau m’épuiser à la salle, je ne cessais de me tourner et de me retourner dans mon lit pendant des heures avant de pouvoir rejoindre les bras de Morphée. Ça me permettait aussi de pouvoir extérioriser certains ressentis, gardé en moi. Mon psy me poussait à continuer, il m’avait dit que si cela m’aidait à me sentir bien il ne fallait pas que j’arrête. Je n’en avais pas l’intention.
Je terminai mon assiette, ne laissant plus un seul grain de riz dans mon assiette. Alors que je m’enfonçai dans le canapé, William se leva et me demanda subtilement si je voulais l’accompagner à la douche, faisant passer cela comme un acte écologique. « Si je refuse, tu vas croire que je me fiche de la nature ? » lui dis-je avec une mine un peu renfrognée qui disparut bien vite pour montrer que je le taquinais. J’haussai légèrement les épaules et me levai du canapé sans donner de réponses concrètes. Dans la chambre je ramassai ma serviette qui trainait sur le sol, laissé tomber là avant que nous fassions l’amour. Je laissai aller le jeune homme dans la salle de bain tandis que je prenais quelques affaires de toilettes dans mon sac. Je me rendis ensuite dans l’autre pièce où je pouvais entendre l’eau couler. Sur le sol, trainait un short et à travers la porte translucide de la douche je pouvais apercevoir le corps nu de Will. Je détournai le regard pour croiser mon visage dans le miroir posté au-dessus des lavabos. J’étais un peu nerveuse à l’idée de me retrouver nue dans la douche avec lui. Normalement ça n’aurait pas dû. Il m’avait déjà vu entièrement nue. Et pourtant … Une fois débarrasser de mes vêtements, je me retournai et m’approcha de la douche dans laquelle je pénétrai. Mes bras était croisé le long de ma poitrine. « C’est pour le bien des tortues et des bébés phoques que je suis là. » plaisantai-je. Je m’approchai du jet d’eau pour me mouiller de la tête au pied. Je sentais le regard de William sur moi et j’essaya de passer outre. J’étais dos à lui, le jet coulant sur mon visage, jusqu’à mes pieds. Je rouvris yeux et croisa mon reflet déformé, mais assez pour apercevoir mes yeux. « Oh non ! » Je passai mes mains sur mes yeux et les frotta énergiquement avec l’eau. Je savais que cela ne servait pas à grand-chose pour en faire les frais tous les jours, mais quand même j’essayais de limiter les dégâts. Je me retournai vers William qui devait sans doute se demander ce qu’il m’arrivait. « Je ressemble à un panda ! » Je pointai du doigt mon mascara qui avait coulé autour de mes yeux, faisant des cernes noirs autour de ceux-ci. Je me trouvais ridicule avec ma mon maquillage qui avait coulé. Cependant je me mis à rire, laissant la place sous le jet tandis que je me savonnais C’était facile de rire avec lui, même des plus petites choses et c’était bien agréable. « Question très sérieuse, tu es vraiment un écologiste ou bien c’était juste pour me faire venir avec toi ? » Qui sait j’allais peut-être découvrir qu’il triait ses poubelles alors que je ne savais même pas dans quelle poubelle mettre le verre ou le carton. Ou bien qu’il n’utilisait que des objets recyclable et réutilisables. Personnellement, j’en étais pas du tout là. J’essayais de faire attention à certaines petites choses, comme la consommation d’électricité et d’eau mais sinon j’étais loin de m’investir dans l’écologie. Je m’approchai de lui, le regarda quelques instants et puis déposa mes lèvres sur sa joue avant de prendre place sous l’eau pour me rincer. « Elle est vraiment très spacieuse cette douche quand même. Tu crois que les riches sont claustrophobes et que c’est pour ça que tout parait si grands ? » Ma question était à demie-sérieuse. Je me demandais réellement pourquoi, une douche avait besoin d’être aussi grande. Une pièce à vivre, je pouvais le concevoir, mais une douche … C’était fait pour s’y laver pas pour y faire de la muscu.
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Jeu 5 Juil - 17:33
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
Ça m’amusait bien d’imaginer Kathelyn en meneuse de claque sur le bord du terrain de foot pour m’encourager. Naturellement, c’était des blagues tout ça mais ça nous faisait rire tous les deux. Quoi qu’il en soit, il me ferait bien plaisir qu’elle vienne me voir jouer. « Sinon, je donne aussi des cours aux 5-6 ans donc si t’as envie de venir un de ses quatre… t’es la bienvenue! Ils sont adorables et c’est certain qu’ils vont t’adorer! » À cet âge là, c’était difficile de pas les trouver adorable en même temps! Dans la même conversation des sports, j’expliquai à Kath que je trouverais ça intéressant de faire des arts martiaux, lui demandant si je pouvais bien l’accompagner un jour à ses cours. La réponse fut bien positive, ce qui me fit bien plaisir. Elle disait que ça l’aidait avec ses insomnies… je me rappelais qu’elle en avait parlé oui, lorsqu’on s’était vu la première fois à l’hôpital. J’étais heureux qu’elle ait trouvé quelque chose pour l’aider alors! « Eh bien super! Tu me diras lorsque je pourrai passer! À condition que tu te moques pas de moi! Sinon mon orgueil va avoir mal! » Bon, c’était des blagues… mais pas tant que ça non plus! J’avais quand même un bon orgueil de mâle alpha… j’avoue! Bref, une fois nos assiettes terminées, je proposai tout bonnement à ma belle si elle voulait m’accompagner sous la douche dans le but de sauver de l’eau - même si c’était pas vraiment pour ça. « Peut-être bien oui! » entrais-je dans sa blague en haussant les sourcils avant de lâcher un petit rire. Je le regardai tout simplement se lever en haussant les épaules, sans pour autant me répondre bien directement. Mais à la voir ramasser ses vêtements, sa serviette, je compris que ça penchait plus vers le positif. Bien heureux, je me dirigeai donc vers la salle de bain pour allumer l’eau de la douche et y entrer immédiatement après m’avoir mit à nu. J’étais excité à l’idée de partager ce moment avec elle et j’étais bien impatient qu’elle vienne m’y rejoindre.
Au bout d’un petit instant, la jeune femme fit son entrée à mes côtés, sans pour autant avoir l’air bien à l’aise d’y être, à la voir… les bras croisés sont sa poitrine. Elle mentionna qu’elle était pour les animaux, ce qui me fit éclater de rire. « Eh bien, je me rappellerai de les remercier! » Je savais bien que c’était des blagues bien que j’espérais qu’elle ne se force pas à venir ici avec moi. Cette dernière se tourna pour profiter un peu du jet d’eau. Je ne pouvais pas m’empêcher de regarder son corps parfait avec la grande idée de la toucher de nouveau. Mes petites pensées furent toutefois interrompues par son exclamation. Sur le coup, je me demandais vraiment ce qui se passait, avant qu’elle ne se tourne et que je vois ses deux gros cercles noirs autour de ses yeux. Je ne pouvais que rire de nouveau en tentant de passer mes pouces sous ses yeux pour essayer de lui enlever… c’était pas facile! « Le plus sexy des pandas quand même. » déclarais-je en riant toujours avec elle. Au moins, on avait réussi à lui enlever la majorité de son noir, c’était encore un peu teinté mais au final, on s’en moquait bien! C’était que du maquillage! La jeune femme me questionna réellement à propos de ma pensée écologique, ce que je trouvais amusant. « Eh bien, je pense que c’est important de faire attention à sa trace écologique oui. Mais ouais non… pour la douche, j’avais juste vraiment envie que tu viennes avec moi, je plaide coupable! » Je levai les mains dans les airs, comme si je me rendais tout en lui souriant. Cette dernière s’était approché pour voler un baiser sur ma joue puis se replacer sous le jet d’eau. Trop raaaaaaaaapide. « Peut-être ouais… mais faut pas les juger… ils ont de la chance eux! Ils peuvent se permettre de non simplement chanter sous la douche : ils peuvent faire un spectacle au complet, littéralement! Le chant, la danse et même qu’ils peuvent se permettre d’amener des choristes et quelques spectateurs! » Bon, c’était du grand n’importe quoi mais je trouvais ça drôle et elle aussi. Je me décidai à m’approcher d’elle pour poser ma main à sa joue et venir l’embrasser sur les lèvres, laissant mon visage près du sien, frôlant sa bouche à la mienne. « Puis, c’est cool les grandes douches, ça permet de joindre l’utile à l’agréable! Non? » Se laver tout en pouvant la toucher et l’embrasser… est-ce qu’il y avait une meilleure activité que ça? Je lui volai un autre baiser avant de me reculer et attraper le savon. « Tourne-toi! » lui dis-je en la faisant se tourner dos à moi. Je lui embrassai la nuque tout doucement tout en commençant savonner les épaules, le dos tout en la massant un peu. C’était plus fort que moi, la toucher ainsi me faisait beaucoup d’effet… qui était impossible à camoufler vu que j’étais entièrement nu.
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Kathelyn Parks
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Ven 6 Juil - 16:26
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
J’appris avec étonnement que William n’était pas seulement un joueur de football mais également un entraineur d’une équipe de petits débutants. Que c’était mignon, je ne l’imaginais pas du tout avec des enfants partout autour de lui. Cela me fit sourire et il m’invita à venir voir comment il se débrouillait avec ses petits espoirs sur le terrain. C’était une proposition forte intéressante que de le voir en action dans son rôle d’entraineur. Puis la conversation dévia sur l’économie d’eau. Sans vraiment trop lui répondre, je le suivis jusqu’à la douche dans laquelle je rentrai quelques minutes après le jeune homme. Avec un peu d’humour, j’indiquai que ce qui motivait ma présence sous la douche c’était bien la protection des animaux en faisant des économies de quelques litres d’eau. J’étais un peu gênée de me retrouver nue devant Will. J’avais pas pour habitude de montrer mon corps et j’avais encore un peu de mal avec cela. Je me mis sous le jet d’eau afin de pouvoir me savonner en oubliant complètement que j’étais maquillée. En un rien de temps, l’eau dégoulinante sur mon visage me fit de grosses marques noires autour de mes yeux. La honte, c’était hyper ridicule ! Je me moquai de moi-même en me surnommant de panda ce qui fit bien rire William et qui me flatta au passage me faisant rougir quelque peu. Je le questionnai ensuite sur son rapport à l’écologie, vu que le sujet avait été abordé j’étais intriguée par la réponse. J’esquissa un petit sourire amusé lorsqu’il avoua que ce n’était surtout qu’une excuse un peu bidon pour me faire venir avec lui sous la douche. « Oh ! Manipulateur va ! » fis-je faussement choquée. J’avais bien compris que ce n’était pas essentiellement pour la planète qu’il m’avait proposé de venir, je n’étais pas si dupe que ça et ce n’était pas pour ça non plus que je l’avais suivi. En faite je savais pas trop pourquoi je m’étais laissé emporter là-dedans, peut-être parce que j’avais tout simplement arrêté de me poser des questions ? La réponse qui fut apporter à ma question suivante m’amusa également. Il pouvait vraiment dire n’importe quoi par moment. « Personnellement si je chante sous la douche c’est bien parce que je sais que je n’ai pas de public et personne devant qui me ridiculiser. » A quoi bon sinon chanter sous une douche ? Autant chanter sur la place publique se serait beaucoup plus efficace. Je me sentais libre sous la douche, sans aucun regard pour me juger, personne pour penser que j’avais une voix de casserole. C’était mon moment de gloire où je pouvais me faire croire le temps d’un instant que je chantais juste. Une illusion bien entendu, mais une illusion qui faisait du bien.
William saisissa mon visage de sa main et m’embrassa doucement. Un sourire se dessina sur mes lèvres lorsqu’il parla de pouvoir également joindre l’utile à l’agréable pendant un moment de douche. « Parce que tu trouves que c’est une corvée pour toi de te laver ? » Je laissai échapper un petit rire tandis que les lèvres du jeune homme venaient à nouveau se poser sur les miennes. Mon dieu que j’aimais quand il m’embrassait et encore plus quand je le sentais parcourir ma nuque avec sa bouche, après m’avoir fait mettre dos à lui. Je fermai doucement mes yeux, laissant les mains de William se glisser sur ma nuque puis descendre dans mon dos. Est-ce de l’utile ou de l’agréable ce qu’il me faisait là ? Un sourire plaisir pris forme de manière incontrôlée sur mes lèvres. Je pencherai plus pour l’agréable. Je me donne à lui, lui laissant la possibilité d’explorer mon corps sans limite. L’eau qui ruisselle légèrement sur mon visage contribue à mon lâché-prise. Malgré la température de l’eau qui me tombe dessus, ma peau frissonne légèrement. Je sens le bout de mes seins pointer et durcir. De plaisir ? Sans doute. Instinctivement je croisai mes bras sur ma poitrine pour cacher cela. Je collai mon dos sur le torse du jeune homme espérant sentir ses bras s’enrouler ensuite autour de moi pour un petit câlin. Lorsque mon corps entra en contact avec le sien, je me rendis compte qu’il n’y avait apparemment pas que moi que le corps trahissait. En effet je pu sentir l’érection de William au niveau de son entre-jambe, qui était totalement découvert sans vêtements. Je me sentais un peu gênée mais également un peu fière de savoir que j’étais à l’origine de cela, enfin j’espérais. Je me retournais vers le jeune homme et le regarda sans un mot, détaillant son visage pendant quelques secondes. Puis mes lèvres se posèrent sur les siennes pour lui voler un baiser, le cœur s’affolant légèrement dans ma poitrine. Timidement mes mains se posèrent sur ses hanches à une distance respectable de ses fesses. Mon dieu … J’avais encore envie de lui. Plus encore que la première fois, sans doute parce que maintenant je savais comment c’était bon, comment il était bon. Je reculai ma tête et dit : « Je suis pas sûre qu’on soit réellement entrain d’économiser de l’eau là. » Je me mis à sourire malicieusement. Tant pis pour les pauvres petits pingouins et les pauvres petits phoques. Je me laverais plus vite demain pour compenser et puis voilà. Mes mains se mirent à parcourir son corps avec pudeur dans un premier temps et puis petit à petit celle-ci disparut. Ma main droite rencontra nerveusement son pénis que je saisis. Je ne savais pas trop ce que je faisais et j’espérais qu’il me dise si je m’y prenais mal. Je plongeai mes yeux dans les siens pour y trouver la moindre indication sur ce que je faisais. Je le caresse doucement, puis petit à petit augmente le rythme motivé par la vision de William entrain de prendre du plaisir. Je sens également que cela m’excite. Je ne comprends pas trop pourquoi mais de le voir prendre son pied ainsi me donne encore plus envie de lui. « Je te mentirais si je te disais que je n’ai pas envie de faire à nouveau l’amour, là maintenant … » dis-je doucement. A peine ses mots furent-ils prononcés que je me sentis gênée. Le fait de m’entendre dire cela à haute voix certainement, me mettait un peu mal à l’aise. N’était-ce pas trop … osé de lui faire part de cela ? En tout cas cela ne parut pas le gêner lui de savoir cela. Je l’embrassai avec fougue, laissant juste mes pulsions prendre le dessus. Ne pas réfléchir c’était ça la clé de tout. Lâcher-prise. Profiter. J’avais envie de sexe. Avec William.
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Dim 8 Juil - 18:34
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
On était clairement pas en train d’économiser l’eau tous les deux mais bon, je m’en foutais bien rendu là! J’avais commencé à la savonner mais la seule chose à laquelle mon cerveau pensait présentement, c’était ses fesses contre mon sexe bien dressé. J’avais juste envie de la pencher vers l’avant et la prendre ainsi… mais je voulais pas y aller trop férocement, trop rapidement. Je voulais pas la choquer en la prenant comme ça non plus. Je faisais donc preuve d’un immense contrôle, contrôle qui s’en alla bien rapidement, lorsque je compris qu’il n’y avait pas de contrôle à avoir quand la main de Kath vint caresser mon sexe. J’étais agréablement surpris, la laissant continuer pendant que ma respiration augmentait considérablement. Je voulais tellement plus là, je la voulais elle, je voulais être en elle. On s’embrassa avec fougue, je perdais la notion du temps, de l’espace… et de tout quoi! Il n’y avait plus qu’elle qui importait, mon désir, son corps parfait, son désir, ses baisers! Gosh! Mon corps se colla tout contre le sien, ma langue allant à la rencontre de la sienne pendant que mes mains se glissaient partout où c’était possible de le faire. Puis, peu à peu, mes baisers descendirent de ses lèvres, à son cou, puis jusqu’à son épaule et sa poitrine où je m’y attardai un peu plus en léchant, mordillant le bout de ses mamelons. Doucement, mes doigts se glissèrent à l’intérieur de son intimité pour faire grimper son plaisir - bien que son corps me confirmait qu’elle était bel et bien prête à toute éventualité. Elle gémissait, je ne quittai pas son regard pendant que mes doigts s’activaient de plus en plus rapidement en elle. Gosh! J’allais complètement perdre les pédales à la voir ainsi, à l’entendre gémir! Je m’étais trouvé un peu coquin d’apporter discrètement un préservatif jusqu’à la salle de bain mais finalement, j’étais bien heureux de moi-même. J’eus à me décoller d’elle qu’un bref instant avant de revenir avec de la protection que j’enfilai immédiatement. C’était pas toujours évident de faire l’amour dans une douche mais celle-ci avait tellement d’espace qu’on pouvait presque croire que c’était le but de cette dernière. J’embrassai de nouveau Kathelyn avant de soulever sa jambe, au niveau de sa cuisse pour poser son pied sur le petit banc incruster dans la douche, me donnant plus facilement accès à son intimidé où j’y dirigeai mon sexe sans plus tarder. La sensation était d’autant plus agréable que plus tôt. Je commençai mes va-et-viens en elle tout en étant attentif à ses réactions. « Accroche-toi! » lui informais-je, un petit sourire sur le coin des lèvres avant de la soulever d’un coup et l’accoter contre le mur de la douche, la maintenant en place en la soutenant par les fesses. Ça prenait de la force dans les bras pour parvenir à le faire et j’étais bien fier d’y arriver. C’est dans cette position que je continuai mes mouvements de bassin, plus fort, plus rapidement pendant que l’homme ruisselait toujours sur nos corps. C’était sexy, c’était ô combien plaisant et c’est ce tout complètement explosif qui nous propulsa jusqu’au 7ième ciel. Cette femme était parfaite! J’avais beaucoup trop de chance et même si on venait de vivre un vraiment bon moment, je me sentais pas rassasier, comme si c’était impossible d’arrêter d’avoir envie d’elle. Je me débarassai de mon condom avant de revenir vers elle pour qu’on se lave bien sagement, - en se volant des baisers de temps à autre, naturellement.
Quand je dis sagement par contre, c’est que pour se laver qu’on le fût. Aussitôt, en l’extérieur de la douche, en train de se sécher, que je m’approchai de nouveau d’elle pour l’embrasser. Je pense qu’on avait déclenché quelque chose entre nous à un point tel que c’était difficile de ne pas penser à se sauter dessus de nouveau. C’était chaud brûlant, autant de mon côté que du sien. « Je suis pas capable de te résister! » lui soufflais-je en riant entre deux baisers. Mais pourquoi se retenir? On était ici les deux, dans cette chambre à profiter de la présence l’un de l’autre. On avait attendu assez longtemps pour rattraper tout ce temps perdu, non? Je la soulevai de nouveau pour la poser sur le bord du petit comptoir de la salle de bain. L’endroit était couvert par la brume de l’eau chaude, ça donnait une ambiance intéressante. J’ouvris ses cuisses pour y plonger ma tête sans arrêt et lui faire un cunnilingus digne de ce nom. Ma langue lui donnait du plaisir, du même que mes doigts à l’intérieur d’elle, me faisant bander dans le temps de le dire. J’aimais qu’on soit plus gêné de faire quoi que ce soit, qu’on se laisse aller tous les deux à nos envies. Je m’étais donnée comme mission de ne pas m’arrêter tant et aussi longtemps qu’elle n’ait pas un orgasme de cette façon. Son corps répondait à merveille, son bassin se mouvait doucement tandis que sa main se perdait dans mes cheveux. Ses gémissements étaient sexy et c’est dans un plus fort que je la sentis se raidir de tout son corps en léchant un son plus fort sortir de sa bouche. Je remontai la tête, bien souriant en essayant mes lèvres avant de revenir l’embrasser, retenant sa lèvre inférieure entre mes dents un instant. C’est encore complètement nus qu’on retourna vers notre lit pour s’embrasser de nouveau, je l’avais sur moi maintenant, couché de tout son long et c’était d’autant plus satisfaisant. Puis, au bout d’un moment de baisers et de caresses, la jeune femme allongea son bras vers la table de nuit pour attraper un préservatif. Un bras derrière la tête, je la regardai l’installer comme une pro avant de se laisser glisser sur ma verge. Mes yeux s’écarquillèrent d’un coup. « Oh gosh! » grognais-je alors qu’elle se mouvait sur moi, me laissant le plus beau des spectacles. Je pensais pas que je pouvais être plus excité par elle que je l’avais été mais de la voir diriger ainsi, prendre les devants… WOW! Mes mains se posèrent sur ses hanches en admirant sa poitrine rebondir quelque peu à chacun de ses vas-et-vient. Doucement, ma main se posa au niveau de son pubis, glissant mon pouce au niveau de son clitoris pour venir la stimuler à l’aide de petit mouvement circulaire et doubler les sensations. C’était le meilleur sexe de toute ma vie!
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Kathelyn Parks
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(#)Sujet: Re: Just say you feel the way that I feel | Dim 8 Juil - 21:46
Just say you feel the way that I feel
William & Kathelyn
J’aimais sentir sa bouche explorer ma peau nue, ses mains se perdre sur mes courbes et surtout sentir l’excitation mutuelle être partagée. Je n’avais jamais ressenti cela aussi intensément de toute ma vie qu’avec William. J’avais laissé tomber toutes les barrières d’inhibitions qu’il pouvait exister chez moi. Je me sentais assez en confiance avec lui pour lui faire comprendre ce que je voulais avec de gestes, des mots. Je fermai les yeux savourant le contact de nos peaux nues l’une contre l’autre. Je sentais ma respiration s’accéléraient et mon souffle se fit plus haletant. Mon cœur lui aussi se mettait à s’accélérer dans ma poitrine. Je m’abandonnai petit à petit au jeune homme, agissant par instinct comme si ma raison n’était plus aux commandes. Je sentis sa main se perdre entre mes jambes juste avant qu’il ne glisse ses doigts à l’intérieur de moi, m’arrachant un cri de plaisir qui fut suivis par plusieurs gémissement de satisfaction. Je me sentais me contracter légèrement alors qu’il jouait en moi et avec moi. Que c’était bon. Il savait quoi faire, comment le faire et quand le faire ce qui ne pouvait que m’exciter davantage. J’ouvris mes yeux et fixa le regard de Will. Ses yeux étaient fixés sur mon visage et ne semblaient plus vouloir s’en détacher. S’en était presque intimidant. Malgré tout le bien qu’il me faisait en cet instant, je savais que je ne pourrais me contenter seulement de cela. J’avais envie de plus. J’avais envie de le sentir se loger en moi. Comme si mes pensées avaient été dites à voix hautes, je le vis attraper un préservatif non loin de moi. Un sourire satisfait et amusé à la fois se dessina sur mes lèvres. Il semblerait qu’il n’avait pas réellement prévu de faire un geste pour la planète en me proposant de me joindre à lui sous la douche. Une fois la protection sur son sexe, mon corps fut placé de manière à ce que je puisse accueillir mon partenaire en moi. Faire l’amour dans une douche c’était bien nouveau pour moi alors je me laissais faire, en ayant toute confiance en l’expert qui se tenait face à moi. Lorsqu’il me pénétra une vague de chaleur m’envahit. Mes mains se posèrent sur ses épaules, glissant quelques fois dans sa nuque et ses cheveux. Il a le bon rythme, pas trop lent ni trop rapide. Juste comme il faut pour que je prenne assez de plaisir. Je ne peux réprimer les gémissements qui s’échappent de ma bouche à chacun de ses coups de bassins. Et puis, soudain, il me demande de m’accrocher à lui. Je le regarde un peu surprise tout en faisant ce qu’il me demande. William me décolle du sol et me plaque contre le mur. L’angle de pénétration à changer et je ressens les choses plus intensément encore. J’ai envie de le flatter, de lui dire que ce qu’il fait est tellement bien, mais aucun mot ne sort, seulement des sons traduisant la jouissance que je ressens. Ses vas-et-viens se font plus intenses et l’apogée de ce moment de sexe ne tarde pas à venir. Mes yeux s’accrochent à ceux du jeune homme. Le voir prends son pied avec moi à quelque chose de très excitant. Il est beau, non il est sexy. Ma bouche se pose sur la sienne juste avant que mon orgasme ne prenne possession de moi. Il se retire alors de moi, me reposant au sol. Le temps d’un instant je reste accolé au mur, de peur que mes jambes soient trop faibles pour me supporter. « T’es parfait. » lâchai-je entre deux respirations.
Une fois remise de mes émotions, je me lavais rapidement. Pauvre petits pingouins … Leur banquise avait du bien fondre à cause de nous. ( ) En me séchant, je me rendis compte que quelques muscles en moi avaient été bien sollicités depuis le début de cette soirée. Alors que je me séchais, William s’approcha de moi pour m’embrasser. Son baiser ne me laissa pas indifférente loin de là. Je lâchai ma serviette et enroula mes bras autour de sa nuque avec l’envie de recommencer ce que nous venions tout juste de terminer. Est-ce que c’était permis d’avoir autant envie de quelqu’un ? C’était certain que le pêché de chair je l’avais bien enfreint aujourd’hui. Qu’importe, c’était trop bon. « Tu ne me donnes pas vraiment de raison de te résister non plus. » Il était loin d’être repoussant, il était doué dans ce qu’il faisait et en plus de cela il me tentait toujours au sexe. Comment je pouvais dire non à tout cela ? Je n’avais pas assez de motivation en moi pour lui dire non et résister à ses avances. Si seulement j’avais laissé tomber ces stupides barrières que je me mettais à chaque fois, j’aurais découvert ce plaisir tellement bon bien plus tôt. De nouveau, je fus soulevé du sol et mes fesses se retrouvèrent posées sur le meuble de la salle de bain. Mes yeux suivirent les gestes de William, le regardant plonger entre mes cuisses. Je sentis sa langue se glisser sur mon intimité et puis dedans. Une main agrippa le bord du meuble tandis que l’autre se posa dans les cheveux de mon partenaire. Plus il jouait avec moi, plus je me sentais perdre le contrôle. Je sentais sa langue glisser avec avidité sur mon intimité. Je savais que je devais mouiller abondamment vu ce que je ressentais en ce moment même. Il m’était impossible de me retenir tellement mon excitation était forte. De toute manière je n’avais pas envie de me retenir. Je sentis l’orgasme me monter sans crier gare ou plutôt si à travers un cri de plaisir intense. William dû comprendre qu’il avait touché son but car il s’arrêta là. Ma respiration était haletante je souriais bêtement en le regardant. Le baiser qu’il me fit pour clore cette première partie me demanda davantage envie de la suite. Je descendis du meuble et il ne nous fallut pas longtemps pour rejoindre le lit. Après des caresses et des baisers, je pris l’initiative de prendre un préservatif et de l’enfiler sur le sexe bien dur de Will. Je ne voulais pas plus attendre. Il m’avait trop donné envie. Délicatement, en faisant bien attention à ne pas lui faire mal, je l’insérai en moi. C’était pas si mal non plus de prendre les commandes. Je lui souris, satisfaite, lorsqu’il s’exclama. J’examinai ses réactions pour ajuster le rythme de mon bassin afin qu’il puisse prendre son pied de la meilleure façon qu’il soit. Ses mains se posèrent sur mes hanches avant qu’un de ses doigts atteigne discrètement mon clitoris. L’effet fut immédiat. J’eu l’impression qu’il venait d’appuyer sur un interrupteur qui avait fait exploser mon plaisir. Je posai mes mains sur son torse, mes ongles s’enfonçant légèrement en lui. Je me mordis la lèvre inférieure en essayant de retenir mon plaisir du mieux que je pouvais. Mais c’était impossible, c’était bien trop intense. Je me sentis venir et peu de temps après Will également. Je m’affaissai, vide d’énergie, sur lui en tentant de reprendre un semblant de calme. Je lui volai un baiser un peu retira de sur lui, le libérant de mon étreinte. Je me laissai tomber mollement sur le lit, les yeux fixés sur le docteur : « Je crois que je suis entrain de faire une attaque cardiaque. » Je lassai échapper un petit rire en posant ma main sur ma poitrine. Mon cœur s’était affolé comme jamais. J’avais l’impression qu’il allait s’échapper à tout moment. Je fermai mes yeux et me rendis compte que je commençais à être fatiguée avec toutes ces émotions qui avaient pu traverser mon corps ce soir. Je me blottis contre William, totalement nue et sombra bien vite dans un sommeil très profond. Ça avait été une belle soirée, même malgré les quelques douleurs que j’eu à mon réveil, surtout au niveau de mon intimité. Mais cela ne nous empêcha pas de recommencer
Codage par Emi Burton
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