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 Is it the look in your eyes or is it this dancing juice

 :: sujets et autres

Chad Tate
Chad Tate
Chanel

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- feat. & crédit : zacouille la fripouille
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(#)Sujet: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Sam 21 Juil - 21:21

joy & chad

is it the look in your eyes or is it this dancing juice


Joy et moi étions en voyage. Elle avait eu pas mal de boulot ces deux derniers mois et j'avais voulu la récompenser à peine était-elle annoncée en vacances. Elle n'avait même pas pu faire sa grasse mat' que je l'avais envoyé directement dans un avion vers Paris. Nous avions passé de jolis jours là-bas, et dorénavant nous étions en Espagne. Là, j'avais fais le pas de trop. J'avais dépassé les limites et j'ai eu - j'avoue - réellement peur de la perdre. J'avais passé une heure à m'expliquer, à essayer de me faire pardonner. Elle avait été adorable - comme toujours - et avait cherché à comprendre mes torts. Néanmoins, je sentais qu'elle pensait des choses que je ne voulais pas qu'elle pense - comme par exemple cette histoire de confiance qui me déplaisait. Je n'étais pas possessif ni jaloux parce que je ne lui faisais pas confiance, au contraire. C'était en les autres que je n'avais pas confiance. Pourtant, j'avais beau lui dire et insister, elle en faisait de même. Elle m'avouait ressentir la même chose envers les autres filles, vouloir être vue avec moi quand il y en avait d'autres pour faire comprendre qu'elle était là et ça, je pouvais le comprendre. tu fais largement le poids.. tu rigoles! Je comprends ce que tu veux dire et non, je refuse que tu changes quoique ce soit. Je suis amoureux de toi dans ton intégralité comme tu es... ça ne m'empêche pas de ne pas vouloir que d'autres le voient, ça n'a rien à voir avec toi. Comme tu le dis, j'ai peur de pas être à la hauteur même si je sais que c'est sûrement idiot. lui fis-je avec un sourire consolateur, caressant sa main sur ma joue. On se comprenait, on parlait, c'était peut-être des conversations stupides et logiques chez d'autres mais nous, ça nous faisait du bien. On se rassurait à ressentir la même chose, parce que nous ne sommes pas habitués à ce genre de sentiments, simplement. On cherchait alors à se donner un code pour quand ça arriverait, quand je dépasserai les limites. Je lui proposais qu'elle me serre le poignet et elle de m'embrasser à pleine bouche. Je riais à sa proposition qui n'était pas bête. Puis elle essayait de se chercher des défauts qu'elle n'avait pas, je lui disais. Je lui mentionnais mon rêve - rester avec elle. Elle me demandait alors si nous étions une famille, ce qui me faisait sourire. C'était étrange parce que j'avais peur de ce genre de situation, logiquement. La famille. Qu'est-ce que je connaissais de la famille? A part ma soeur évidemment, là on parlait de couple. De foyer. C'était particulier. J'avais peur, sans avoir peur à la fois. Je lui souriais en lui faisant oui de la tête, parce que je savais que c'était la réalité malgré tout. Après une dispute pareille, tout ce que je voulais, c'était lui faire l'amour. Lui prouver que je l'aimais, que je la voulais, que son corps entier me faisait un effet fou. C'était sauvage et beau, c'était nous dans une osmose incroyable. Je trouvais que rien que nos ébats étaient significatifs de l'amour unique que nous partagions, cette chose que j'aimais et que je chérissais plus que tout.

La nuit ne faisait que commencer. Comme promis, je l'emmenais en boîte aérienne où nous dansions et buvions comme des attardés. On ne s'arrêtait plus, c'étai sans fin. Je l'amenais dans la mer pour un bain de minuit dans les rires avant de tomber dans le sable complètement beurrés. Je me mettais alors à dire tout ce que j'avais à l'esprit. Faut dire, notre récente conversation m'avait fait réfléchir. Elle ne voulait que je ne lui cache rien et je lui devais bien ça : mon plus grand secret. Je voulais qu'elle me connaisse par coeur, je voulais qu'elle sache mieux que personne, qu'elle m'anticipe, qu'elle ne pense pas ne pas me connaître. J'avais compris ce qu'elle avait ressenti plus tôt. Evidemment, il y avait mille choses à dire sur ma vie mais... c'était le point fort de ma vie que personne ne savait sauf personnes concernées évidemment. Allongés sur ce sable encore chaud de la journée espagnole, je me mettais à tout déballer, avec bien moins de mal que je ne le pensais. J'avais envie de lui dire, envie qu'elle sache. Je ne voulais pas qu'elle ait peur de moi après cette histoire. Mais elle savait pourquoi j'étais allé en prison. Encore une fois, elle me rassurait. Elle me disait ne vouloir que moi, et que rien ne changerait ça. Je souriais alors qu'elle souriait mais quand elle tournait la tête... l'alcool était peut-être là mais je sentais qu'elle avait une arrière pensée. Je fronçais les sourcils, sans la quitter des yeux. Elle me volait un baiser mais je la connaissais assez. Elle finissait par me regarder et se lancer. Elle m'avouait ne pas m'avoir tout dit. Que pouvait-elle encore bien me cacher? Je fronçais les sourcils, curieux. Je ne m'attendais pas à quelque chose de très grave. Je me demandais ce qui pouvait la mettre dans un état pareil. Avant qu'elle ne se lance je lui serrais le bout des doigts sans regarder, ne la lâchant pas du regard. Elle continuait. Ce qu'elle me disait me retournait, oui, car je ne m'attendais pas à ça. Néanmoins sans réfléchir je la prenais dans mes bras. mon amour soufflais-je alors en la serrant contre moi alors que ses larmes coulaient. tout va bien c'est fini maintenant, tu as eu raison. lui fis-je alors me reculant, prenant son visage entre mes mains pour la regarder et effacer ses larmes avec mes pouces. hey. tout va bien, ne pleure pas s'il te plaît. lui fis-je alors. Qui pouvait mieux comprendre ça que moi? personne. avait-elle peur que je m'en aille? l'alcool ne m'aidait pas à être lucide non plus mais quand même. Du coup je me répétais ne voulant pas la voir ainsi triste. chhhht fis-je alors. je te protège maintenant, rien ne peut t'arriver tu entends? rien. lui soufflais-je alors ne voulant pas qu'elle s'en veuille. J'étais sûre qu'elle y pensait souvent, bien trop souvent, se torturant l'esprit. Je voulais qu'elle se pardonne elle-même. et si tu penses que je vais moins t'aimer pour ça tu te fourres le doigt dans l'oeil ma grande je t'ai jamais plus aimé qu'à cet instant précis alors souris-moi. fis-je en souriant alors doucement. L'alcool quand on est triste ça peut aller loin alors je tenais à la faire revenir du bon côté. tu as bien fais de me le dire, tu ne portes plus ce fardeau seule. tu n'as plus à y penser. lui fis-je tout de même un peu sérieusement. on essaie de rentrer à l'hôtel? fis-je en riant. Je me levais et tentais - avec difficultés - de la lever à son tour. En s'appuyant l'un sur l'autre on allait au lit à l'hôtel, non sans rire sur la route.

Bonjour mon amour soufflais-je le lendemain matin. ça te dit Londres aujourd'hui? fis-je alors qu'elle ouvrait ses petits yeux. sur le thème harry potter évidemment! ajoutais-je en lui présentant le petit déjeuner. La veille nous avait rapproché, j'en étais certain. Nous prenions un avion pour Londres et voilà la ville anglaise. j'suis sûr que tu aimes la mode anglaise! On se prends un p'tit fish&chips et go les magasins avant la visite des studios? lui proposais-je alors. On allait manger donc avant de prendre la route du shopping. J'allais essayer un tas de trucs débiles vintages pour la faire rire, on prenait des photos.. une belle après midi shopping. Je lui payais ce qu'elle voulait, comme toujours, faut dire que ça coûtait pas grand chose ici. Je lui faisais essayé un tas de trucs qui était toujours magnifique sur elle. tout te va à toi c'est incroyable lui fis-je en râlant. Allez on mets sa cape, on prends sa baguette, go les studios! fis-je comme un vrai gosse en allant prendre le bus exprès studios harry potter.


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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Lun 23 Juil - 2:33

joy & chad

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Ca avait été une grande surprise. De celle que tu n'attendais pas à recevoir un jour dans ta vie même si tu sortais avec le grand Chad. Mais tu sembler oublier à quel point il était spécial. Il était spontané et tout aussi réfléchis maniant les deux d'une main de maître. Tu n'avais rien vu que tu étais à Paris. Une des villes que tu souhaitais le plus visiter. Une ville romantique disait on. Tu accordais ce titre à quatre-vingt pourcent grâce à Chad. Lui et son sourire ,lui et ses idées, ses regards et ses programmes hors du commun. Arrivés en Espagne la chaleur reprenait ses droits et tu te sentais un peu plus comme chez vous mais avec les cocktails en plus et la nourriture différente. Une ambiance différente également. Plus de coureurs sur les plages mais des jeunes en train de danser, ou des familles, bref cette ambiance de pure vacance. Tout ça gâcher par un seul homme. Une seule remarque. Malgré tout ce qu'il rejetait sur lui tu ne lui en voulais pas, tu n'y arrivais pas et tu ne trouvais pas de raison de lui en vouloir. Il avait fait ce qu'il pensait être "juste" il avait montrer qu'on ne pouvait pas parler de toi ainsi. Et même s'il avait un problème de colère tu l'aimais toujours autant, après tout qui n'avait pas de défaut ? Mais tu cherchais les tiens et peut être que tu n'étais pas assez compréhensive avec lui. et pourtant il te contredit sur tout, comme si rien n'était de ta faute,ce que tu commençais à croire alors que tu l'écoutais attentivement. Il avait toujours les mots pour te rassurer et ton sourire s'agrandissait en le regardant caressant toujours sa joue. " D'accord , alors je ne changerai pas et je te demanderai toujours autant de nourriture, je ne ferai pas attention aux autres pour ne regarder que toi et ... Je te ferai rentrer dans ta petite tête d'ange que tu es l'homme parfait à mes yeux et que personne ne t'arrive à la cheville.. " On disait souvent qu'une fois en couple, les yeux pouvaient dérivés pour admirer ne serait ce qu'une autre personne. Un beau physique, ou quelque chose du genre. Tu étais de ces personnes qui ne gardait en tête que son homme et n'avait rien besoin de plus. Alors oui vous parliez de ça pour l'expliquer dans les moindres détails et c'était sûrement étrange mais votre manière de fonctionner marchait. Votre couple résistait et vous étiez bien. Ce n'est pas qu'il n'y allait pas avoir de dispute. Ce n'était pas que tout était toujours rose, bien que vous ne vous soyez jamais engueuler, c'était que la communication réglait tous les problèmes avant qu'ils ne deviennent trop grands. Parce que vous n'aviez prit que ce moyen pour avancer main dans la main sans faire d'erreur, vous, les deux handicapés des relations. Et pourtant peu à peu vous arriviez à parler de durer, de famille et de choses et d'autres. Tu avais certes mentionner ce rêve qui finalement était le même que le sien en rajoutant cette notion de famille avec vos bébés respectifs. Après tout c'était sûrement la définition la plus exacte. Prendre soin des uns et des autres et s'aimer. Ce n'était pas des liens du sang mais toute cette famille partie de rien, arrivait à te combler aujourd'hui. Et c'est sûrement ce mélange unique de ce sentiment de joie partagé avec la tension qui était redescendue qui donna une dimension différente à votre retour à l'hôtel. A ce moment privilégié où vous vous enfermiez dans votre bulle partageant physiquement ce que vous ne vous disiez pas tout haut. C'était vital comme ces discussions. Parce que votre couple passait par cette communication également.

Et en cette nuit chaude tout bascula. L'alcool, la danse, la chaleur et la sueur. Un cadre de rêve et vous deux qui ne pensiez qu'à vous amuser après cette légère prise de tête dans la journée. Que vous et vos bêtises pour rire jusqu'à la plage et vous allonger dans le sable qui ne vous donnait aucun frisson tant la température était encore bonne. Et c'est celle nuit, à ce moment que tout prit un tournant différent. Ce n'était peut être pas grand chose pour les autres mais pour vous ça comptaient. Parler de ce passé. Tu voulais vraiment en apprendre plus de lui, même si tu savais que tu mettrais toute une vie pour le connaître entièrement, mais tu voulais connaître son passé et ce qui l'avait fait devenir qui il était. Pour ça il se posa et te racontas ce que tu voulais savoir. Il se confiait comme il ne l'avait jamais fait et au delà des faits tu te sentais soulagée. Ce soir il venait simplement de te prouver qu'il tenait tellement à toi qu'il était prêt à se dévoiler entièrement. Chose que tu voulais également faire pour lui. Et mêem si tu le rassurais quant à ta position sur ce qu'il venait de dire tu ne te sentais pas forcément très bien de devoir parler de ton secret à toi. C'est sûrement ce qu'il a du ressentir. Bien que tu avais une peur bleue de le perdre. Chacun son tour. Ou plutôt, tu redoutais de sa réaction. Bonne, mauvaise, allait il t'en vouloir de n'avoir rien dit jusqu'à là ? Trop de questions sans aucune réponse alors que lentement tu vidais ton sac pour te laisser doucement craquer. Il n'avait jamais vu tes larmes, du moins il ne te semblait pas. Il ne t'avait jamais vu dans cette situation pénible où tu ressentais cette pression disparaître et pourtant revenir par les mots qui rendaient réels ce que tu avais fait. Mais comme tu aurais dû le prévoir sa voix ne fit que te réconforter, ses bras t'enserrant avant qu'il ne te regarde te faisant planter tes iris dans les siens. Tu serrais ce que tu pouvais de son haut en le regardant. Ses mots étaient doux et réconfortants alors que tu séchais doucement tes larmes. Tu avais l'impression d'avoir le droit de lui dire quand ça n'allait pas, de te montrer plus faible parfois. Tu avais ce droit de te reposer sur lui et cela te faisait extrêmement de bien alors que tu te mettais contre lui pour le serrer doucement hochant la tête alors qu'il te disait être là pour te protéger. Tu n'étais plus seule, et c'était sûrement le sentiment le plus agréable que tu avais eu, bien que ta vie fut remplie de deux amis exceptionnels. Tes mots ne voulaient plus sortir, ni même s'organiser et tu restais simplement à le regarder dans les yeux. Tes lèvres finirent par s'étirer en un léger sourire. " vraiment? ... Ca veut dire que tu m'aimais moins avant ? " Relevais tu pour le taquiner pendant que tu reniflais comme une enfant frottant tes joues pour faire disparaître toute trace de larmes. Mais si ses mots avaient été apaisants d'un coup ils te firent peur. " .. Ca ne va pas te peser pas vrai..? " Si tu le portais seule ce n'était pas pour rien. Certes ta confiance envers les autres étaient réduites mais tu n'avais jamais voulu déranger quelqu'un avec cette révélation, parce qu'elle pouvait faire plus de mal que tu ne l'imaginais, alors tu paniquais un peu espérant ne pas avoir déclenché quelque chose d'involontaire. Tu voulais juste qu'il sache, mais pas qu'il subisse. Mais il balayait ces idées noires pour se redresser avec difficultés avant de t'aider. La tête te tournait et vous sembliez comme deux zombies dans la rue, mais deux zombies joyeux qui finalement partageaient encore bien plus qu'avant.

La difficulté de se lever était là mais les doux mots de ton homme te firent ouvrir doucement les yeux avant que tu ne les clignes et les frotte dans une démarche de réveil. " Harry Potter ? Vraiment ? ... On a les capes? " Tu riais doucement la voix encore rauque d'une nuit de sommeil. L'avion, tu commençais à y être habituée. VOus arriviez dans cette ville qui était bien spéciale de par son renom et de la saga dont il t'avait parlé le matin même. " La mode anglaise? Je t'avoue que je ne sais pas en quoi elle consiste.. ALler go! je veux goûter " De toute façon quand ça parlait de nourriture on te perdait très vite. Alors tu le suivais mangeant avec plaisir et appétit avant de le suivre dans chaque boutique t'amusant à lui donner les pires ensemble avant d'en essayer également. Les photos s'enchaînaient bien que certaines soient celles "de la honte". Mais vous rigoliez tout du long et c'était le plus important. Le pire étant que tu ne pouvais arrêter Chad de te payer ce qu'il voulait. Car tu refusais toujours mais il n'en faisait qu'à sa tête. C'était adorable mais tu te sentais redevable. Tu continuais tout de même à essayer ce qu'il te donnait en souriant. " N'importe quoi.. c'est parce que tu ne me donnes que des bonnes choses.. oh et .. arrête de dépenser pour moi.. j'ai l'impression de profiter de toi. " Dis tu avec une légère moue avant de te redresser d'un coup. Tant pis pour l'argent le temps de jouer à l'apprenti sorcier était venu. Et tu étais bien trop surexcitée pour louper cette occasion. Rapidement tu le suivais pour ce bus qui allait te mener à tout ce que tu aimais; Tu l'avais tellement regardé et lu que tu pensais pouvoir dire quelques citations, c'était une des rares activités que tu t'octroyais en plus du sport. Alors une fois dans le bus et une fois dans les studios on ne te tenais plus faisant tout voir à Chad et t'intéressant à absolument tout ! C'était incroyable et comme un rêve de gosse tes yeux pétillaient. " J'ai toujours voulu recevoir ma lettre de Poudlard.. Mais je ne l'ai jamais reçu.. maintenant j'ai l'impression que si !!! " Sautillant tu venais lui prendre la main pour suivre le reste de la visite. " Tu vas dans quelle maison toi? " Voilà un sujet intéressant. Et pourtant tu étais vraiment à fond dedans, peut être même un peu trop.










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Chad Tate
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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Lun 23 Juil - 11:33

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Complétement HS, en cette soirée en Espagne, on était allongé comme deux SDF sur cette plage à regarder le ciel sans dire grand chose jusqu'à ce que je casse ce silence. L'heure de vérité, l'heure de lui dire ce qu'elle veut savoir. Je lui avais avoué quelque chose plus tôt que j'avais préféré lui cacher et elle avait été déçue. je ne voulais plus jamais revoir le regard qu'elle m'avait posé cet après-midi là et je décidais de lui donner mon plus grand secret. evidemment, ce n'était pas le résumé de tout ce qui composait ma vie mais c'était surtout pour lui prouver que je n'avais rien à lui cacher et qu'elle finirait par me connaître par cœur tellement je n'avais pas peur de m'exposer à elle. Je voulais lui prouver que tout ce que j'avais pu lui dire plus tôt était une vérité et que je n'avais pas voulu l'entourlouper. je voulais lui prouver qu'il n'y avait rien de plus important à mes yeux qu'elle et que notre relation. Joy était la chose la plus précieuse que j'avais à présent et je ne comptais pas gâcher tout ça avec des bêtises de mon passé. Il fallait que j'aille de l'avant, que je réussisse à être un être totalement différent, le Chad que je voulais être et j'y arriverais pour elle, avec elle. C'est là que je lui livrais mon plus grand secret et qu'elle l'acceptait - évidemment. Comment aurait-ce pu être autrement? Pourtant, quelque chose la chagrinait, quelque chose qu'elle semblait cacher mais vouloir dire. Je la regardais sans vouloir la forcer car ça semblait être assez profond pour lui faire mal. Elle voulait sûrement me rendre la pareille de mon secret et je ne m'attendais pas à ça. Pourtant, je la rassurais sans attendre et pas une seconde j'hésitais à le faire, la rassurant sur le fait que je ne pouvais pas moins l'aimer que maintenant. Quand elle sortit une petite vanne de nul part je fis une grimace. On était vraiment fait pour être avec l'autre, elle utilisait la même méthode que moi pour changer de sujet quand tout était triste. Adorable. Par la suite, elle semblait encore réfléchir et je me demandais bien ce qu'elle pouvait encore bien avoir en tête. Quand elle me posa la question, je levais un sourcil. Me peser, moi? tu sais je pense que j'en ai vécu des bien pires qui me pèsent à peine... alors ce que tu viens de me dire c'est juste un secret que je garde précieusement, que je partage avec toi et qui t'aidera à ne plus y penser et t'en vouloir. Mais me peser ça ne t'inquiètes pas ça n'arrivera pas lui fis-je pour la rassurer. J'en avais vu des bien plus belles que ça pour que ça me traumatise ou quoique ce soit. Je trouvais même que ce qui la pesait était quelque chose qui ne devrait pas, quelque chose de naturel et dont limite elle devrait être sereine.
Ce séjour était vraiment concluant. J'avais beaucoup de pression sur mes épaules car je lui réservais quelque chose qui approchait de plus en plus et qui me trottait de plus en plus.. aussi. Londres était notre prochaine destination. Harry Potter, je savais que c'était un sujet qui la rendait facilement folle. Avant ça, on mangeait un bout typiquement anglais et puis on allait faire les magasins vintage typiquement british aussi. Je lui achetais un tas de trucs sans compter, tellement qu'elle me demandait d'arrêter. profiter de moi? c'est ce que je dis à tous mes potes non mais attends cette nana elle profite de moi! imitais-je alors avant de rire. tu dis n'importe quoi ma chérie ce séjour est pour toi de la première seconde de Paris jusqu'à la dernière. lui fis-je alors. Elle n'imaginait pas ce qui l'attendait encore, faut dire. On embarquait pour le bus et elle avait sa cape et sa baguette en main. Elle était adorable je n'arrêtais pas de rire et de sourire. Elle me tirait presque pendant la visite en me disant qu'elle avait l'impression d'être élève à poudlard. Elle me demandait quelle maison j'aurais aimé être. Oh j'pense que j'aurais été Serdaigle. C'est les créatifs non? lui demandais-je alors. Je m'y connaissais un peu mais sûrement pas autant qu'elle. je suppose que tu rêves d'être une Hermione, toi! fis-je en riant alors doucement lui pinçant doucement la joue. regarde on peut boire une bière au beurre! lui fis-je en lui montrant le stand où je nous en prenais. La visite était vraiment sympa et on s'amusait beaucoup. j'avais l'impression de traîner une enfant. Je me moquais pas mal d'elle, en retour. Elle me sortait des citations du film toutes les cinq minutes. Parfois je lui répondais parfois juste je riais. en rentrant tu vas transformer les chiens en grenouille! lui fis-je en riant.
La nuit fut hard. Ce qui arrivait me trottait plus que je n'aurais pu le croire et l'échéance arrivait à son heure. L'absence de lumière dans la chambre d'hôtel n'aidait pas. Dans le sommeil, je me mis à être agité et à parler comme des je ne veux pas te perdre... non... car j'en faisais un cauchemar. Après une nuit pareille, Joy, qui n'était pas dans la confidence, aurait du mal à comprendre ce qui m'arrivait. Malheureusement, je fais facilement des cauchemars quand il fait vraiment noir et le contexte du secret ne m'aidait pas. J'en rêvais et.. je la perdais dans ce cauchemar. J'étais agité, sans savoir me réveiller. Fort heureusement, je n'avais pas révélé le secret à voix haute. Quand elle me réveilla, je m'accrochais à elle sans attendre en reprenant mes esprits : il ne fallait que rien ne m'échappe et j'espérais ne pas avoir dit de bêtises dans mon sommeil. Je la prenais dans mes bras, m'excusant. je suis désolé... il n'y a pas de lumières et tu sais ce que ça me fait même après une telle journée... qu'Est-ce que je disais? lui soufflais-je alors voulant m'assurer, à demi endormi, que je n'avais rien dis. je suis désolé rendors-toi je vais réussir à ne pas recommencer... savoir dormir dans le noir complet était un de mes objectifs aussi.


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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Lun 23 Juil - 23:29

joy & chad

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Tout le reste de la journée retombait sur ce moment précis. Une pression, une peur qui s'écrasèrent contre les vagues et vous retombaient sur les épaules laissant la fatigue et l'alcool l'emporter. Ce n'était peut être pas dans ce genre de moment que les gens se disaient normalement toute la vérité, mais ce fut votre moment à vous. Pas besoin de déguiser une discussion en un vrai plan de guerre, ou l'organiser comme un dîner avec le président, il fallait juste vous deux, un instant, un moment pour parler. Et c'est exactement ce moment que trouva Chad pour se lancer et te dire tout ce qu'il avait sur le coeur. Tout ce qu'il voulait te dire suite à votre discussion dans ce restaurant. Il t'avouait son plus grand secret et bien sûr que tu le croyais et que cette affaire était classée comme étant du passé. Tu l'acceptais car tu comprenais, tu l'acceptais car cela faisait parti de lui avec tout ce que tu adorais également, et tu voulais lui faire comprendre que chaque part de son histoire était une part que tu accepterais. Seulement l'entendre se confier ainsi te pesa sur ta conscience. Il y avait quelque chose que tu gardais. Il y avait quelque chose que tu n'avais jamais dite et que tu gardais pour toi et toi seulement comme un fardeau que tu ne voulais partager de peur d'encombrer, de peur que ceci pèse sur une autre personne et que tu ne semble plus être la seule à en souffrir. Les conséquences également te faisaient peur. Les conséquences et tout ce qui pouvait s'enchaîner pour te gâcher encore ce moment qui te semblait comme un rêve. Et tu avais peur qu'il ne tourne en cauchemar, que tu te réveilles et qu'il ne soit plus là. Tout comme il te l'avait dit, tu ressentais cette même peur, d'avoir toucher à beaucoup trop de bonheur pour pouvoir le garder ainsi. Il allait t'être enlevé, et sûrement plus tôt que prévu. Mais tu ne pouvais t'empêcher de te dire que tu lui devais cette vérité. Que ce fardeau que tu portais aurait pu être une cause de rupture et tu ne voulais pas qu'il prenne tant d'importance. Alors oui, tu lui avouais tout ce qui n'avait jamais traversé tes lèvres, les faisant passer pour un mauvais rêve. MAis ce soir tout était réel. Cette scène qui repassait dans ta mémoire venait de se matérialisée en mot. Mots qu'il entendait, comprenait et jugeait. En fait, son jugement était ce qui t'importait, mais rien de négatif n'en sortit. Comme tu l'avais souhaité, comme tu voulais t'y attendre avec lui, il ne te condamnait pas bien au contraire. Tu craquais au moins une fois dans ses bras avant de sortir ton humour nul, qui perçait cette bulle de tension pour vous offrir un répit. De courte durée puisque tu eus de nouveau peur, que tout cela ne soit que le commencement d'un long chemin lourd et douloureux pour lui, et encore une fois, il te rassurait. tes yeux ne pouvaient pas quitter les siens et plus il parlait plus tu te demandais ce que tu avais fait pour mériter un homme comme lui. Quelque chose de bien en tout cas. Et à ses mots tu ne trouvais aucun autre hochant simplement la tête pour le serrer doucement contre toi, un ultime moment de douceur pour faire passer cette peur et cette amertume qui avait secoué ton être et qui, depuis trop longtemps, coulait dans tes veines.
Et le séjour ne s'arrêtait pas là. Non content de te faire visiter Paris, te faire voir l'Espagne, de s'ouvrir à toi à tel point que vous étiez maintenant plus proche et complice que jamais, il t'emmenait à Londres. Mais ce Londres là avait une saveur particulière. Londres qu'il te montrait était fait de sorcier et de baguettes magiques, un monde que tu appréciais grandement au point de vouloir dormir dans le placard pour voir si tout cela allait se réaliser. Mais la petite Joy n'eut jamais d'enveloppe pour se rendre à Poudlard. Par contre, la grande Joy eut un adorable copain du nom de Chad. Venu d'ailleurs pour combler tous tes rêves tu t'avouais presque fan du romantisme à ce moment. ET même si la nourriture était importante, le shopping juste après fut hilarant et intéressant tellement qu'il dépensait sans compter avant que tu ne l'arrête. " Je suis très curieuse de savoir ce que tu dis à tes amis maintenant.. Et quand tu vas me les présenter " Tu te mis alors à rire. Il aurait pu le dire que tu profitais de lui, ce n'était pas tant faux, même si tu détestais ça. Tu vivais chez lui, tu allais maintenant dans sa salle de sport, tu partais en vacance grâce à son argent et son organisation. Une vraie profiteuse, même s'il disait le contraire. L'embrassant alors tu lui souris doucement. " Non.. Ce séjour est pour nous deux. Toi, et moi." Tu refusais d'imaginer ce séjour seulement pour toi. Tu voulais le partager et c'était là tout le sens qu'il prenait sans pour autant connaître tout le programme. Mais pour l'heure tu enfilais ta cape la moins sexy, armée de ta baguette et direction les studios. Il avait fait fort, il faisait toujours fort et alors que vous arriviez vous aviez déjà rit plus que de raison. Tu allais partout, regardait tout et profitait de tout. Puis tu posais des questions banales, ou presque. Riant doucement tu hochas alors la tête. " Hmm.. plus ou moins.. Ce sont surtout les intellectuels .. je ne te savais pas amoureux de la science chéri.. enfin un peu de la physique tout de même " Riant doucement tu réfléchissais alors pour toi. Enfin jusqu'à ce qu'il ne t'interrompt te faisant ouvrir grandement la bouche dans un étonnement et un amusement non feint. " J'y crois pas.. madame je-sais-tout ? Tu as osé ! " Tu voulais lui faire payer ses dires avec d'autres taquineries mais il te détourna avec son pincement des joues et cette fameuse bière. Tu te précipitais alors avec entrain rigolant toujours autant en buvant cette bière..particulière. Tu avouais que ce n'était peut être pas très marrant pour lui, d'être en compagnie d'une enfant qui imitait vol de mort à tout va et qui récitait des phrases du film, mais pour toi c'était l'éclate totale. " n'importe quoi !! Ils sont bien trop mignons en chien ! " Riant tu te disais qu'ils te manquaient quand même ces deux loustiques. Et ta petite moue le fit comprendre à Chad, bien que tu passais les moments les plus merveilleux de ton existence.
La nuit arrivait et si tu dormais comme un vrai bébé ce n'était pas le cas de Chad. Les lumières éteintes, les volets fermés, la nuit semblait prendre possession de ses rêves pour l'induire dans un cauchemar qui le faisait bouger et même parler. C'est sûrement sa voix qui te réveilla murmurant un "Hm" sortit tout droit du fond de ta gorge rauque et endormie. Mais bien vite, en te tournant vers lui, tu remarquais qu'il dormait encore. et ce fut alors un moment assez déchirant que tu vis devant toi. Il semblait torturé d'une tristesse que tu ne comprenais pas et tu ne comprenais pas non plus la personne qu'il ne voulait pas perdre. Toi ? Peut être que votre discussion revenait et que tout se mélangeait. Tu le réveillais alors avant de le serrer tout comme il te serrait caressant son dos dans une caresse apaisante en l'écoutant. Tu continuais un moment avant de le regarder. " Tu ne voulais pas perdre quelqu'un.. c'est tout.. " Venant caresser sa joue tu hochas la tête avant d'étendre ton bras pour allumer la lampe de chevet qui diffusait une petite lumière dans la pièce. En te retournant de nouveau vers lui tu le reprenais contre toi ta main dans ses cheveux, les caressant. " Je suis là tu peux te rendormir , normalement ça devrait mieux aller avec la lumière. Repose toi " Venant l'embrasser avec tendresse tu reposais ta tête sur l'oreiller, gardant son corps entre tes bras pour fermer les yeux. Il fallait qu'il dorme s'il voulait tenir les journées bien remplies qu'il vous avez prévu. Et tout le reste de la nuit tu restas contre lui, te réveillant parfois pour vérifier que tout allait bien avant de te rendormir tout contre lui. Le matin, tu en profitais quelque peu pour venir te prélasser contre lui recouvrant sa peau de baiser commençant lentement à réclamer ton réveil unique et spécial sans savoir si vous en auriez le temps. Après tout il était le maître du planning.



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Chad Tate
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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Mar 24 Juil - 11:33

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chère joy

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Je faisais souvent des cauchemars quand il n'y avait pas de lumières. Pourtant, je m'étais surpris, depuis que je vivais avec Joy, à dormir souvent sans lumières et paisiblement. Je pensais qu'après une journée pareille, dans les studios de Harry Potter, à avoir ris, s'être dit comme toujours un tas de mots d'amour, j'aurais pu être rassuré. Mais non, le tracas était là et j'en fis un cauchemar la nuit, jusqu'à la réveiller. Elle me fit une source de lumière pour que je puisse me rendormir après qu'elle m'ait rassuré, je n'avais rien dis de trop dans mon sommeil. Juste que j'avais peur de perdre quelqu'un, apparemment, et donc elle. Je ne fis pas de commentaires, trop dans le gaz pour y arriver. Je me blotissais contre elle et me rendormais alors qu'elle me disait de le faire. Je ne pensais plus à rien, plus au stress qui m'habitait pour ce que j'avais prévu le lendemain. Pourtant, Dieu sait comme je crevais de trouille. Ce n'était pas dans mes habitudes, et ça se sentait.
Le lendemain matin, je fus réveiller par des lèvres sur mon corps un peu insistantes qui réclamait toute mon attention. Je souriais dans mon réveil, ayant l'intention d'y répondre avec plaisir. Puis mon corps le voulait aussi.. J'ouvrais à peine mes yeux que je kidnappais ses lèvres dans un baiser qui répondait à ses attentes, laissant balader mes mains sur ce corps que j'aimais tant. bonjour soufflais-je entre deux baisers sauvages. Et puis, cet acte me permettait aussi de me rassurer, de me calmer... d'un certain sens. Je la serrais contre moi retirant le peu qu'elle avait sur elle pour dormir et commençant à lui rendre ses baisers partout sur son corps de déesse et offrant à son intimité un baiser comme il le méritait. Faire l'amour au réveil y'a vraiment rien de mieux pour commencer une belle journée. Je remontais doucement mes mains et mes baisers vers son visage, passant une main dans ses cheveux et liant l'autre à la sienne, je restais sur elle pour la prendre. Elle était si belle, si sexy, j'en perdais la tête. Il suffisait qu'elle sourit pour que j'ai envie d'elle. Je voulais la faire jouir ce matin, histoire de commencer cette journée énorme qui nous attendait. je t'aime lui sussurais-je alors que nous commençions à fort gémir ensemble. Je la redressais pour que je puisse mieux la regarder et mieux la tenir contre moi, ses seins contre mon torse, n'arrêtant pas les coups de reins. C'était fou et intense, comme à chaque fois, j'avais l'impression de redécouvrir son corps que je connaissais pourtant par coeur....

Nous étions descendu prendre le petit déjeuner et il fallait ranger nos affaires pour le dernier départ, la dernière étape. Arrivés à l'aéroport je l'attrapais par le poignet pour qu'elle me fasse face, je caressais ses cheveux en souriant. Dernière étape pour Paris, dernière étape de ce beau voyage qui s'est avéré encore plus concluant que ce que je croyais.. et c'était pas fini. on retourne à Paris pour prendre les hauteurs qu'on a pas pu faire au début de ce voyage.. Manger en haut de la Tour Eiffel ce midi, voir Paris de Notre Dame et puis une belle soirée à Montmartre lui décrivais-je alors. Je ne lui avais pas menti. Nous voyons en ce jour à Paris, après avoir déposé nos affaires dans notre dernier hôtel - magnifique de luxe avec vue sur la Tour Eiffel de la chambre - la vue de la Tour Eiffel pour manger le midi, la magnifique Cathédrale de Notre Dame qui me donnait des frissons tellement c'était... beau. Et puis je l'invitais à mettre une magnifique robe que je lui avais acheté la première fois il y a deux semaines ici pour notre soirée.

Le taxi privé nous emmenait dans Montmartre et c'était cette vue là qu'on prenait pour ce soir avant un délicieux dernier repas français. Il y avait pas mal de bal et de soirée chic ce soir, nous étions dans une foule de personnes sur leur 31 comme nous. tu es la plus belle lui fis-je alors que nous étions dans cette foule de robe de soirée et de costumes. Nous montions sur Montmartre pour cette troisième et ultime vue que je lui avais promis. Les lumières dessinaient les avenues de Paris, il y avait de la musique de partout, des rires d'en bas, l'architecture face à nous était... Je n'ai plus les mots. Je me tournais doucement vers Joy, lui tenant la main. Je passais la deuxième doucement dans ses cheveux pour attirer son attention. tu sais je voulais faire ce voyage pour... un peu pour voir s'il y avait autant d'osmose quand nous étions rien que tous les deux, loin de la maison, du travail, de tes études... et on peut dire que tout cela, même le petit point noir que j'ai déclenché nous a rapproché. lui soufflais-je d'abord en lui tenant fort - sans lui faire mal - la main, lui souriant. Je ne voulais pas de réponses, juste qu'elle m'écoute. Je savais qu'elle le faisait. Toi et moi on... on aurait jamais pensé être là. C'est vrai. Si on faisait un voyage dans le temps pour dire à petite Joy ou petit Chad qu'ils allaient être en couple l'année d'après... ils nous auraient ris au nez, tu crois pas? fis-je alors en riant légèrement. en couple... une définition dont j'ignorais le sens. Je voyais ces films, ces gens dans la rue et je me pensais trop colérique, trop possessif, trop solitaire et trop secret pour savoir faire ça. ajoutais-je. pourtant... c'est avec toi que j'ai appris tout ça. Je pensais déjà un peu le savoir avant mais non. J'étais à côté de la plaque. C'est pour ton sourire que j'ai appris à faire le déjeuner le matin, pour ton sourire que j'ai appris les caresses, les mots doux, les baisers... Pour ton rire que j'ai appris à blaguer, pour ton plaisir que j'ai organisé tout ça, pour ta beauté que je t'offre des milliers de machins... j'ai appris à être en couple en apprenant à t'aimer, toi, personne d'autres. soufflais-je alors doucement. être en couple pour moi c'est toi et moi. on est incroyable, ensemble. et même avec la dispute en Espagne, tu m'en voulais tu me l'as dis et tu as bien fais. Ca m'a fait mal mais je me suis expliqué tu m'as comprise on a trouvé un compromis enfin.. Oui c'est ça être en couple et on a pas eu besoin de modèle, pas eu besoin de mode d'emploi c'est avec toi c'est tout. lançais-je sans plus réfléchir à ce que je disais, là, sur ce toit de Montmartre, sous ces lumières parisiennes qui la rendait si belle. j'ai la trouille chaque jour. J'ai la trouille parce que j'ai peur de ne pas être à la hauteur et la main qui m'aide à l'être c'est toi. Tu es tout. Ma meilleure amie, ma confidente, ma psy, mon doudou au lit, et la femme de ma vie... lui fis-je alors, marquant une pause là dessus. Je lui caressais la main machinalement. je veux te prouver combien je suis sincère, te prouver qu'il n'y a que toi, que plus jamais tu me demandes si tu dois changer parce que je suis colérique et possessif, que tu as peur de ne pas me mériter, de ne pas être celle avec qui je devrais être... je te le dis que trop peu souvent parce que justement j'ai la trouille mais je sais, je suis persuadé mademoiselle Joy Jeckins que c'est avec toi que je mourrais, vieux, très vieux. fis-je alors de manière tout à fait sincère et déterminée. alors... je me suis mis à chercher un moyen de te le prouver. un moyen pour que plus jamais tu n'en doutes, que plus jamais tu aies cette peur que je puisse m'en aller de plein gré pour toutes ces raisons. lui expliquais-je d'abord. Puis je lâchais sa main doucement, me reculant d'à peine un pas pour ne pas être trop loin, cherchant quelque chose dans ma poche arrière. alors mademoiselle joy jeckins... continuais-je en me baissant sur le genou, face à elle. penses-tu, toi aussi, que nous devrions nous promettre que tout cela est réel... accepterais-tu de me promettre qu'on puisse se dire oui un jour? dis-je alors le plus distinctement possible. Je m'étais tellement répété ces phrases que j'avais peur qu'elle finisse par ne pas les comprendre. Mon coeur battait tellement fort, j'avais tellement peur. Ouvrant mon écrin pour lui faire découvrir ceci. Accepterais-tu de me promettre de devenir ma madame tate à l'avenir? finis-je par demander plus clairement, la regardant, vivant les secondes les plus longues de ma vie à présent. Mon coeur ne battait plus, je pouvais à peine respirer tellement j'avais peur de sa réponse. Peur que sur une chance sur deux ça nous éloigne.

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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Jeu 26 Juil - 3:41

joy & chad

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Tout aurait pu se passer très bien, comme se détourner du chemin tranquille. Et c'est ce qui arriva. Parfois il y avait des nuits qui se passaient sans encombre malgré la pénombre mais cette nuit n'en fit pas partie. Bien sûr que tu avais été étonnée en étant réveillée par son agitation mais bien vite il se rendormit alors que tu le gardais tout contre toi finissant par fermer de nouveau les yeux pour retourner dans ce monde un peu particulier qui était celui du sommeil et des rêves. Aucun mauvais, aucun bon, tu semblais juste dormir, sans autre forme de rêverie, mais tant que tu pouvais te reposer avec lui, il ne semblait pas avoir de meilleur rêve possible.
Et tu n'attendis que ton réveil pour jouir un peu plus de ce rêve devenu réalité faisant courir tes lèvres sur sa peau pour des baisers légers mais attirants une attention particulières, pendant que tes mains redécouvraient sa peau, il semblait que tu voulais connaître la moindre parcelle de son corps, le touchant toujours comme au premier jour en découvrant et redécouvrant ce corps qui t'appartenait presque. Il ne mit guère longtemps pour répondre à ton envie te faisant sourire contre ses lèvres avant de lui rendre ces baisers avec cette fougue particulière qui vous appartenait. Son "bonjour" te fit légèrement rire alors que tu l'imitais lorsque tes lèvres étaient libres. Rapidement ton les vêtements ne furent que de doux souvenirs alors qu'il reprenait les devants t'offrant l'occasion de lui faire entendre ta voix dès le matin. Mais rien comparé à la suite , serrant sa main liant un peu plus vos deux corps. Passant une main sur sa joue tu finis par passer tes bras autour de son cou lorsqu'il te redressa te laissant l'opportunité de mener un peu venant capturer ses lèvres. C'est alors que la déclaration arriva naturellement, une fois la première fois passée il semblait que tu semblais moins nerveuse à employer ce terme. " Je t'aime" Vint alors confirmer ce que tu t'efforçais de lui prouver à chaque moment. Ce que tu fis par des mots, et des gestes concluant un réveil des plus agités.

Bien commencer était important mais la suite l'était encore plus. Tout se passait alors très rapidement quand vous arriviez à l'aéroport. Ce lieu qui t'effrayait autrefois semblait bien plus familier avec ces voyages. Mais tu te rendais compte avec ses mots que tout ça prenait fin. Avec une légère moue tu l'écoutas avant de sourire grandement. " C'était bien trop parfait.. j'ai pas envie que ça se finisse mais il faut n'est ce pas ? " Tu ris un peu avant d'embrasser sa joue pour un simple geste de tendresse serrant alors une de ses mains. " Le programme est toujours parfait. Tu aurais dû faire guide touristique ou organisateur de voyage " Encore une fois tu le taquinais riant doucement pour oublier ce léger pincement au coeur. Bien que même une fois rentrés vous alliez rester ensemble, tu avais ce petit coup de blues pour une fin que tu ne voulais pas. Mais pas une seule fois tu ne cessas de profiter, le sourire aux lèvres, appréciant la chambre comme si c'était la première fois que tu venais. Mangeant avec appétit et taquinant ton charmant copain. Le cadre était exceptionnel mais tu étais encore plus attirée par celui qui partageait ton repas. Bien sûr la beauté de la cathédrale t'avait conquise et tu pensais ne jamais revoir de beauté pareil, prenant alors des photos. Mais la journée n'était pas finie et sans hésiter tu l'écoutas pour enfiler cette robe.

Tout était prêt comme s'il avait déjà tout millimétré en vous laissant le loisir de découvrir et de vivre librement. Impossible de s'ennuyer, de se lasser, de se sentir étouffer, il avait tout prévu mais faisait de ce voyage une bouffée d'air frais et de rebondissements qui continuaient à t'émerveiller tout comme cette incroyable vu sur cette architecture unique. Tu rigolais à sa remarque lui donnant un léger coup de coude. " Menteur.. " Tu t'amusais toujours à le taquiner bien que le compliment t'allait vraiment droit au coeur. Et puis vous finissiez par monter, pour voir s'étendre devant vous une vue que tu n'oublierais pas de si vite. Tu ne savais pas si le lieu ou la personne t'accompagnant faisait naître en toi toute cette émotion mais tu ne parlais pas, ne trouvant même pas de mot pour tout ce que tu voyais et vivais. Devant toi la scène était à couper le souffle et tu sortis de cette torpeur lorsqu'il prit ta main et caressa tes cheveux. Avec un sourire tu plongeas ton regard dans le sien, qui semblait refléter toutes les lumières environnantes. Lui avais tu déjà dit qu'il avait des yeux à tomber par terre? Sûrement pas. Mais ce n'était pas le moment puisque tu écoutais plutôt son discours qui semblait être important. Tu aurais bien des choses à lui dire également mais tu le laissais faire riant quelque peu à l'évocation de son action qu'il ne semblait pas se pardonner encore. Mais ce n'était pas le point important puisqu'il continuait un discours que tu ne voulais pas interrompre bien que ton rire se mit à résonner quand il parla de petit Chad et petite Joy. Non tu ne l'aurais pas cru, et personne d'ailleurs. Tu n'aurais même pas cru vouloir autant être avec lui, chercher à le voir à tout prix. Tu n'aurais jamais pensé le voir se détourner de cette femme qu'il avait tant aimé. Mais plus il parlait et plus tu entendais de vive voix à quel point vous étiez semblables. Peur de l'engagement, ne pas savoir si un couple est fait pour nous, s'éloigner de cette notion parce qu'on se pense incompatible. Chercher une solitude, chercher à être indépendant alors qu'il y a tellement mieux à faire. Et petit à petit vous appreniez à deux. Peu importe si ce n'était pas exactement comme les autres qualifiaient un couple. Peu importe si vous n'étiez pas toujours politiquement correct en tant que couple, vous étiez heureux ainsi et ton sourire en témoignait. tes yeux regardant intensément cet homme qui avait tout changé pour toi. Une sorte de fierté te prenant alors qu'il te confiait le rôle le plus important de sa vie pour ces derniers mois. Alors oui tout ce qu'il te disait te touchait profondément te menant même à mordre ta lèvre. C'était la première fois que quelqu'un te disait ce genre de mot. Si ton meilleur ami avait témoigné un amour profond pour toi comme un frère tu n'avais jamais ressenti ce que tu ressentais à l'instant, sous cette pluie de belles paroles que tu savais sincères. Et chacun de ses mots s'ancraient dans ton esprit pour en faire le souvenir indélébile qui restera même s'il finit par partir, même si un jour, il décide que tu n'es plus cette personne spéciale à ses yeux. Et tu ne peux que comprendre ses mots suivants, parce que tu ressens cette même peur, cette même peine lorsque tu l'imagines changer d'avis. Quand tu t'imagines le perdre pour une raison ou pour une autre. Tu te sais fébrile rien qu'en y pensant et tu sais que tu n'y arriverais peut être pas, à passer à autre chose. Mais qu'il ressente la même chose te rassurait. Chaque rôle tu l'endossais avec plaisir, riant même à l'évocation de "doudou au lit" avant de te stopper. C'était une toute autre chose. D'être sa copine, et d'être la femme de sa vie. Tu te stoppais tout comme il le faisait serrant sa main plus fortement alors qu'il reprenait. Tes mots l'avaient réellement touché, lui laissant peut être l'impression que tu voulais changer pour lui, et ce n'était pas faux mais encore aujourd'hui il te prouvait que tu n'avais pas besoin de tout ça, qu'être toi même était suffisant. C'était le plus beau compliment qu'il pouvait te faire. Quand à cette prévision, ce futur pour le moins dramatique, elle te fit manquer un battement. Tu restais tout aussi sérieuse en détaillant le visage de celui qui venait de t'avouer vouloir rester avec toi toute sa vie, et toute la tienne. Ce n'était pas rien, ce n'était peut être pas un engagement écrit, peut être pas ce que les autres appelaient mariage, mais rien que ces mots eurent le don de t'émouvoir un peu plus te laissant baisser les yeux une seconde histoire de reprendre un peu contenance. Et tu voulais lui dire que tu ressentais cette même impression, que tu étais persuadée de ne plus pouvoir te passer de lui, d'aimer quelqu'un d'autre mais il continua. Il avait réellement chercher un moyen de te prouver ça ? Mais comment voulait il te le prouver ? Il fallait attendre des années, il fallait avancer pas à pas ensemble pour le prouver. Quelle avait donc été sa conclusion? Ta main fut lentement lâchée alors que tu l'observais s'éloigner à peine mais bien trop de toi. Ton regard se fit surpris en observant ce mouvement imprévu. Il cherchait quelque chose, qui te fit te perdre un peu avant de rester immobile sentant tout tes muscles se raidirent, sentant ta respiration se couper et ton cerveau se déconnecté. Un genou à terre, tu avais bien trop vu ce genre de chose pour ignorer le sens. Mais était-ce vraiment possible ? Il semblait que le bruit extérieur fut atténué pour ne laisser passer que sa voix en fond sur des battements de coeur trop rapides, trop forts imposant une pression dans ta poitrine qui t'empêchait tout mouvement. Et ses mots se mélangeaient, tu les comprenais tout comme ils étaient incompréhensibles. Tu avais l'impression que le temps s'était arrêté et tu ne comprenais rien à ce qu'il passait. Et pourtant, ses derniers mots furent clairs. Précis. Ta gorge se débloqua l'espace de quelques secondes. " Mariage? ... C'est.. une demande en mariage ?" Quelle perspicacité alors que tu sentais ta respiration s'emballée au rythme de ton coeur qui n'avait jamais connu une telle sensation semblant vouloir sortir de ta poitrine. Tes yeux étaient toujours plongés dans les siens brillants plus que d'accoutumer. Tant de fois tu avais essayé de comprendre pourquoi les femmes pleuraient en ayant cette demande avant de presque pleurer comme une madeleine à celle que tu venais de recevoir. Toi. Par cet homme. Elle était importante, elle était spéciale parce que c'était lui. Pourtant tu avais cette impossibilité de bouger, de parler. Ce doute qui persistait. Et si tu foirais absolument tout? Si tu étais comme lui.Si tu devenais folle comme il l'avait été? Tu hésitais de peur de lui faire du mal, de l'étouffer dans une relation qu'il ne supporterait peut être pas. Mais ses mots te revinrent en mémoire. Il partageait le seul fardeau que tu n'avais jamais lâché avec toi, il avais appris à tes côtés tout comme tu avais appris. Vous aviez construit votre relation ensemble. Alors il te semblait possible de penser plus grand. De construire une vie ensemble. Il te rendait confiante, il te faisait oublier tes doutes et te donnait envie de faire ce dont tu avais envie. Pinçant un instant tes lèvres tu pris une bouffée d'air hochant ensuite la tête avec détermination. " Oui? " C'était comme ça qu'on répondait ? C'est ce qu'on disait ? Tu semblais ne plus rien connaître, ne plus rien savoir. "Je te le promets.. " Ton sourire reprenait enfin sa place sur ton sourire alors que tu cherchais simplement à réduire la distance qu'il avait mise entre vous pour venir contre lui, le serrer un instant comme pour t'assurer que ce n'était pas un rêve qui aurait dépassé ce que tu t'autorisais. Mais il était là, tu sentais son odeur et sa chaleur et tu savais qu'il était là. Presque immédiatement tu vins l'embrasser avec tout l'amour et l'émotion qu'il avait remué rien qu'avec quelques mots. Avec une décision il venait de te faire lâcher complètement prise. Tu n'aurais jamais pensé que cela arriverait. Mais au fond tu l'espérais peut être vu la joie que tu ressentais ça ne pouvait qu'être le bon. Vu l'évidence qu'il était devenu, tu savais que tu avais fait le bon choix.

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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Dim 29 Juil - 10:53

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chère joy

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Mon coeur battait assez fort pour que nos amis à Miami l'entendent, c'était sûr. J'avais préparé tout ça depuis plusieurs jours, j'y pensais depuis longtemps déjà. Chaque jour que je passais à ses côtés ne faisaient que confirmer ma pensée : je voulais finir ma vie à ses côtés. Je le savais et je voulais qu'elle le sache. Nous étions deux personnes qui n'avaient pas l'habitude de tout ça. Nous apprenions ensemble ce qu'était un couple et comment ça fonctionnait. Ce n'était pas simple. Il nous fallait beaucoup de discussions, de moment "sérieux" mais nous y arrivions, je trouvais, très bien. Nous vivions ensemble dans mon appartement trop grand avec nos deux chiens et tout se passait pour le mieux. On partageait les tâches sans avoir à se le dire, on laissait l'autre vivre suffisamment pour ne pas nous empoisonner la vie de l'un et l'autre... Finalement, être des trous du cul en amour nous a pas mal réussi. Contrairement aux personnes qui trouvent ça inné, nous étions plutôt du genre à analyser le moindre truc et à y faire attention : là où les autres ne le font pas. Souvent, dans les autres couples, ce sont ce genre de détails qui gâchent tout. Nous, on travaille justement sur chaque détail parce que chacun d'entre eux est une montagne à nos yeux.
Je savais que je voulais finir ma vie avec elle. C'était inexplicable. Pour la raison que je viens de vous exposer, déjà, mais aussi pour un tas d'autres. Juste parce que c'est elle. Je n'aurais jamais pensé finir par apprendre la vie en couple à ses côtés, et pourtant nous y étions. J'étais tombé amoureux d'elle sans le voir venir. Il y avait eu d'abord nos passe-temps en commun : la course qui avait été l'objet de notre rencontre, le sport en règle générale. C'était une joie de la retrouver dans ce parc le matin pour partager un petit moment de la journée ensemble, et souvent de lui payer une boisson ou un petit déjeuner en suivant. Puis il y avait eu les chiens aussi, qui s'entendaient super bien. Je ne suis pas autant amoureux des animaux qu'elle peut l'être, évidemment, mais j'aime les animaux de compagnie avec ferveur, chose qu'elle partageait aussi. Evidemment, on ne peut pas être pareil, aimer les mêmes choses et finir dans une bulle infernale. Elle m'a appris un tas de choses, tout comme j'ai fais de même pour elle. C'est ça qui a commencé le processus. J'ai appris à la connaître et j'ai aimé chaque facette de sa personnalité. D'abord elle me faisait rire et inversement. Puis elle est intelligente, intéressante, drôle. On a partagé un autre trait : l'aventure. Elle adore le voyage, les coups de tête, les surprises. On est un petit couple de baroudeur : d'où ce voyage d'ailleurs mais ça on y reviendra après. Evidemment, il y a le physique aussi. Comment passer à côté du physique? Evidemment ce n'est pas la seule et unique chose qui fait que je la veux pour toujours, mais c'est une très grande partie. Joy est une femme... magnifique, canon, à tomber par terre, à baver... enfin j'en passe. Le fait qu'elle soit sportive fait qu'elle a un corps entretenu, à mourir sur place. Je ne parlerai pas de son regard, ces yeux qui pétillent sans arrêt et qui me font battre le coeur, puis ce sourire... Ce sourire... Il me ferait revenir du royaume des morts, ce sourire. Et puis la douceur de ses cheveux, la tendresse de ses mains, sa façon de marcher, sa façon de se tenir, cette voix... cette voix que je reconnaîtrais entre toutes et puis cette odeur qui m'emmène au paradis. Oui, on peut dire que je suis amoureux d'elle, c'était sûr et certain.
Une fois cette analyse faite, on peut parler d'un autre point qui lie et notre méconnaissance en amour et cet ferveur que je lui porte : la fidélité. Je ne vois plus qu'elle, je ne veux plus voir qu'elle et je veux qu'elle le sache. Je veux qu'elle sache que personne ne lui arrive à la cheville à mes yeux et que pour moi il n'y aurait jamais personne d'autre. Même si on allait à notre rythme pour apprendre à être en couple, à comprendre les choses, à avancer... ce serait avec elle et personne d'autre. C'était paradoxal, d'être ainsi peureux en amour et de vouloir lui promettre de l'aimer à vie. Je savais que je voulais avoir cette peur et que je voulais la travailler avec elle, c'était sûr. D'où cette demande en mariage. Ce voyage, c'était pour voir si même hors frontières, sans la salle, sans ses études, sans le parc, sans les chiens, sans le quotidien.. ce serait pareil et évidemment que c'était pareil. Chaque jour faisait grandir mon amour pour elle. Et puis il y avait eu cette dispute. C'est un peu étrange de le dire mais elle nous avait rapproché. On avait appris l'un sur l'autre et je savais que rien n'arrêterait que j'en apprenne encore. J'étais sûr de ma demande, malgré la peur qui m'habitait depuis que j'avais concrétisé cela avec la bague et les réservations de ce séjour. J'en avais fais un cauchemar la veille.
Je me retrouvais là, à genoux face à elle, j'avais fini ce discours et j'attendais sa réaction. Je voyais son regard se remplir de lumière, je ne savais pas si c'était bon signe ou pas, mon coeur ne battait plus et je ne respirais plus. Elle me demandait si c'était une demande en mariage, je n'avais pas besoin de répondre elle savait la réponse. Elle se mordillait la lèvre inférieure en s'approchant et elle hocha la tête en lançant un "oui" qui demeura gravé dans mon mémoire. Mon coeur repartait de plus belle, mon sourire n'avait jamais été aussi grand et ma respiration fut rapide. Elle ajouta un "je te le promets" avant de venir combler la distance que j'avais crée pour s'enfouir dans mes bras. Elle l'avait dit, ce n'était plus un rêve ou une espérance. Elle acceptait. Je fus pris d'une joie sans pareille. C'était fou ce que je ressentais à l'instant, en la serrant dans mes bras, nichant mon nez dans ses cheveux que j'aimais tant. Ce corps que je serrais que j'aimais tant. Mes yeux s'embuèrent. C'était fou. Je me redressais un peu face à elle pour lui glisser cette bague que j'avais au doigt, symboliquement avant de la regarder dans les yeux à nouveau, avec ce sourire, caresser sa joue et reprendre ce baiser fou. je t'aime tellement soufflais-je alors ensuite. Puis je nous relevais, laissant mon front contre le sien. j'avais tellement peur je... je sais que c'est rapide mais... c'est avec toi que je veux faire ma vie et ça je le sais. lui soufflais-je alors. avec tout ça je te montre que je suis sincère et que rien ne pourrait jamais prendre ta place. c'est toi et personne d'autre lui soufflais-je alors. Je souris comme un dingue. on va manger? fis-je alors en riant légèrement, reprenant la vie normale et ça faisait bizarre. C'était comme si le temps s'était arrêté un bon moment. Ce dîner était magique, nous étions souriant comme jamais, je contemplais parfois sa main avec cette bague que je lui avais mise... J'en devenais fou. J'avais l'impression d'avoir monté d'un cran dans l'amour que je lui portais. Une fois rentré à l'hôtel, avec cette vue sur la tour Eiffel et une belle bouteille de champagne fraîche qui nous attendait, je prenais ses mains dans les miennes, mon front contre le sien, je la faisais danser légèrement avant de souffler : vous êtes la plus belle créature de cet univers, future madame Tate fis-je en souriant. pour fêter ça, je vais vais vous faire l'amour comme jamais.. et oui croyez-moi je peux faire encore plus fou que d'habitude. fis-je alors en riant légèrement, faisant doucement trèèèèèès doucement glisser la fermeture éclair de cette robe magnifique que je lui avais offert, caressant du bout du doigt la peau qui apparaissait jusqu'au début de l'apparition de ses fesses. Je ne la lâchais pas des yeux. Je laissais la robe délicatement glisser le long de son corps parfait. Je la faisais basculer doucement sur le lit et j'enlevais ses talons avec une douceur voulue, l'effleurant toujours pour faire naître l'excitation en elle. J'embrassais son corps du bout des lèvres. Je l'empêchais de me déshabiller, voulant m'occuper exclusivement d'elle et seulement d'elle. Je faisais non de la tête. mmmh mademoiselle c'est moi qui vous fais l'amour n'avez vous pas entendu? fis-je alors sortant trois rubans de soie et la regardant dans les yeux je l'accrochais une main à la fois au lit puis je lui bandais les yeux. Sans qu'elle puisse le voir mais juste le sentir, je la frôlais toujours du doigt, des lèvres. Je lui retirais délicatement encore son soutien gorge, déposant mes lèvres sur cette magnifique poitrine que je regardais longuement, dont je profitais. Elle était mienne. Puis je descendais mes caresses, mes baisers pour en un geste délicat retirer son bas en dentelle, laisser mon souffle se faire sentir sur son intimité. Elle était excitée et je le voyais maintenant. Cela me fit sourire. Je me déshabillais en faisant le moins de bruit, qu'elle ne s'en aperçoive pas. Je passais trop doucement mes doigts de ses lèvres à son intimité où je finissais par y déposer doucement mes lèvres, y déposer quelques baisers doux. Puis vint les choses sérieuses, ma langue se fit un chemin plus franc sur son intimité, mes mains s'accrochaient à ses fesses magnifiques. Elle gémissait, fortement déjà. Son excitation coulait autour de ma bouche, c'était bon de la sentir ainsi, de la savoir avec une telle chaleur sous mes gestes. Moi-même, je n'en pouvais plus. Je revenais à son visage lui faire le baiser le plus langoureux jamais offert et lui faire sentir ma propre excitation contre moi. Dans un élan de fougue je lui retirais ses deux mains attachées et sur ses yeux pour pouvoir sentir son regard sur moi, sourire et la prendre alors sans attendre un quart de seconde, lui faire l'amour comme un fou, qu'elle puisse me griffer et que je puisse la regarder dans les yeux et l'entendre jouir encore et encore. Juste me dire qu'elle deviendrait madame Tate me rendait plus fou dans l'acte. Je voulais lui donner ce plaisir comme jamais car j'étais heureux comme jamais. oh merde je t'aime. fis-je alors dans cet acte complètement dingue.
Je ne savais pas combien de temps ça avait duré mais il faisait bien bien nuit quand je m'écroulais près d'elle. J'avais pourtant encore envie d'elle, et le lendemain nous serions à Miami. Nous rentrerions chez nous, fiancés.

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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Mer 8 Aoû - 0:56

joy & chad

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Le dénouement était totalement différent de ce que tu aurais pu imaginer. Bien plus encore tu ne savais pas comment il avait eu cette idée alors qu'elle vous effrayait quelques mois auparavant. C'était cette peur bleue de l'engagement , ou de cette possessivité, de ce passé, et d'un peu tout qui avait fait de vous des êtres à part. Vous aviez toujours pris des pincettes dans cette relation en restant pourtant, incroyablement vous. Aussi étrange que cela puisse paraître mélanger les deux n'était pas impossible et vous y arriviez assez bien. Peut être que les autres ne vous comprenez pas. Peut être que vos actions étaient toutes fortement jugées et condamnées mais ce n'était pas l'important. L'important pour toi était de voir comment lui se sentait dans la relation, comment lui se sentait avec toi, lui et lui seul.
Alors oui, ton coeur battait à une vitesse folle, que même le sport ne pouvait atteindre, résonnant dans tes oreilles comme une mélodie particulière face à une demande particulière. Cette demande tu ne l'avais pas espéré, étant dans l'incapacité de croire qu'il voudrait franchir ce cap avec toi. Ce n'était pas une mise en ménage banale comme lorsqu'il t'avait demandé en coloc. Ni ce moment bien compliqué de se mettre ensemble en prenant un risque, jouant gros mais raflant une mise qui allait au delà de l'argent. C'était encore plus. C'était une preuve, un accomplissement et le commencement. C'était tout.
Tu pouvais sûrement voir tout ce qui te plaisait de vivre avec lui et d'être avec lui, mais tu ne saurais pas dresser une liste de ses qualités tellement tu avais pris le pli d'être à ses côtés et de rendre ce qu'il te donnait. Il était lui et tu ne pouvais pas détailler ses qualités comme on liste les composants d'un produit. Par contre, tu savais. Tu savais qu'il n'y aurait sûrement que lui, que même s'il venait à partir tu ne pourrais pas oublier et refaire ta vie comme tu la construisais là. Tu savais que tu ne voulais que lui et les autres étaient aussi insignifiants qu'ils n'avaient pas le statut d'homme à tes yeux. Plus que de la fidélité tu ne pouvais voir que lui. Des amis, des collègues, des clients, tu avais beau en voir, il ne restait que Chad. Tu aimais son sourire le matin quand tu te réveillais alors qu'il avait préparé le petit déjeuner. Son sourire le soir quand il rentrait ou qu'il te voyait arriver. Celui qu'il avait souvent en ta présence et qui te rassurait sur ce qu'il ressentait. Tu aimais aussi sa façon d'être attentionné avec toi, de te connaître et remplir ton estomac avec quelques rires et remarques bien qu'il était dans la taquinerie pure et dure et tu ne t'en vexais pas. Tu aimais tous ces moments où le sérieux vous quittait et que vous ne faisiez que rigoler comme des imbéciles à des blagues, parfois pas réellement drôles. Cet amour qu'il avait envers vos animaux également, c'était peut être dérisoire pour certains mais en voyant son regard pour eux tu savais qu'il était quelqu'un de bien. Quelqu'un qui ne ferait pas du mal à un autre pour une pure raison de plaisir. Sans compter vos points communs qui vous avez permis de vous rencontrer. Cette habitude qui avait fait d'un inconnu, un ami, avant de devenir plus. Tu te souviens de cette douleur sourde que tu avais tenté de cacher lorsqu'il était retourné avec elle. Malgré tout, tu te souviens l'avoir encouragé. Parce que tu ne voulais que son bonheur. Avant, et encore maintenant. Le simple fait qu'il puisse te prouver qu'il était heureux avec toi comblait toutes les attentes que tu pouvais avoir. Tu ne pouvais pas être parfaite, tu ne lui arrivais certainement pas à la cheville quand on voyait tout ce qu'il avait fait, dont ce voyage, mais tu grandissais à ses côtés, tu apprenais à ses côtés, et tu le faisais sourire. Tant de motif qui t'interdisaient de croire que tu pouvais partir pour lui laisser avoir mieux. Parce que tu voulais être ce mieux. Tu voulais qu'il se réveille chaque matin avec la même Joy, mais un peu différente. Que celle de demain soit encore plus compréhensive, qu'elle lui offre des surprises qu'il n'aurait nul part. Et c'était un challenge. Malgré votre statut, votre appartenance mutuelle tu ne lâchais rien, et lui non plus. Apprenant côte à côte vous aviez votre définition du couple et du votre. Le voisin comptait peu tant que vous étiez bien. Et rien ne pouvait enlever votre sourire.
Il y avait eu cette pseudo dispute avec ces non dits qui furent révélés et rien de tout ce qui avait dit n'avait entaché votre relation bien au contraire. C'était au point où vous aviez besoin de tout vous dire, honnêtement. Au point où votre relation ne se brisait pas si quelques paramètres qui n'avaient pas été calculés venaient s'immiscer. Au point que vous étiez bien plus proche après, tous vos secrets maintenant dévoilés.
Tout en lui était donc une source de bonheur pour toi et tu ne te voyais pas changer quoique se soit. Tu voulais juste continuer cette relation l'améliorer au possible, ne pas le laisser passer et profiter de chaque moment avec lui, pour lui. Il ne restait qu'une chose de vraie: vous. Et tu n'avais besoin que de ça pour te sentir bien. Votre petite famille fonctionnait à merveilles et les gens auraient beau dire que cela ne faisait pas longtemps que vous étiez ensemble, l'autre paraissant une évidence, vous n'aviez pas besoin de plus de temps.
Certes la demande avait fait tout basculer. Elle avait fait battre ton coeur comme jamais il n'avait battu, t'avait fait douter de toi même comme jamais encore ut n'avais douté et t'avais fait monté les larmes aux yeux, sûrement la première fois de ta vie qu'elles venaient embrumer ta vue pour une joie incommensurable que tu ne pouvais contrôler. Et c'était pour toutes ces raisons que tu n'avais pas besoin d'attendre plus longtemps. Tu n'avais pas besoin de passer un an à ses côtés ou deux, ou cinq pour dire : je me lance. Tu n'avais pas besoin de tester tout ce qui pouvait te faire douter parce que le moment présent était bien plus important que celui du futur. C'était ta vision, peut être même que Chad la partageait mais tu n'avais pas envie de passer ton présent à attendre demain , à attendre que le temps passe pour dire que c'était bon. Les autres voulaient attendre, ils voulaient s'assurer que c'était le bon ?Tu en étais sûre , convaincue. Et tant pis si ça dérange. Et tant pis si tout le monde prend de haut cette union ils n'étaient pas vous. Tu n'allais pas voir les gens pour leur dire que leur mariage où divorce était une pure folie, tu voulais donc qu'on respecte ton choix également.
Rien que sa voix, son regard pétillant mais rempli d'inquiétude te rassurait et te donnait cette force, ce petit coup de pouce pour parler. Laisser ta gorge se desserrer pour faire entendre ta réponse qui n'était autre qu'un "oui". Simple, efficace. Comme dans les films. Tu avais eu le voyage le plus merveilleux avec le copain le plus adorable, et maintenant tu avais la proposition la plus romantique qu'on pouvait avoir. C'était beau, c'était grand, mais c'était surtout vous. Tu n'attendais pas plus pour venir le serrer, le savoir contre toi et profiter de sa présence seule avec un sourire digne des plus grands et des plus éclatant. Il semblait tout aussi ému et heureux ce qui te fit un bien fou. Peut être parce que vous partagiez ce moment avec une réaction presque similaire, ce qui te rassurait. Tu n'étais pas étrange. Du moins tu ne le pensais pas. Pas sur le mometn. Tout ce à quoi tu pensais aller vers lui, lui et votre couple. tu ne savais pas très bien en quoi consistait le mariage excepté vivre aux côtés de la personne qu'on aimait. Avoir des choses communes qui comptaient aux yeux de la loi. Tu ne savais pas si tu devais le redouter ou si ta vision était naïve mais tu n'y voyais que de bonnes choses. Et en le regardant tu avais cette confirmation. Tout irait bien. Cette bague lentement glissée sur ton doigt tu sentais les larmes montées alors que tu riais presque nerveusement; Ce n'était qu'une bague. Ce n'était qu'un objet mais il signifiait tellement plus. Il aurait pu te donner un jouet en plastique que ton émotion aurait été aussi grande. Bien que tu avouais que son choix était d'une pure beauté et qu'il avait de sacré bon goût. Tu souriais donc en la regardant un instant avant de le regarder souriant tout simplement animé d'une joie extrême. " Je t'aime... plus que tout.. vraiment. " Les mots n'avaient pas tellement leur sens. Il manquait tellement plus. Tu voulais lui dire tout ce que tu ressentais à l'instant mais c'était impossible, aucun mot ne pourrait le décrire. A la place le baiser remplaça de vaines paroles n'étant pas encore assez. Mais il savait encore trouver les mots pendant que tu fermais les yeux un instant. Tu ne faisais qu'écouter sa voix essayant de calmer ton coeur qui n'avait pas arrêté de battre à un rythme effréné. Il avait eu raison. Il te prouvait absolument tout avec un geste qui aurait pu paraître dénué de sens pour certains en vu de votre relation qui était tout de même récente. Mais pour vous plus rien n'avait d'importance que ce présent que vous vouliez passer à deux, sans qu'aucun ne doute, sans qu'aucun ne pense que l'autre pouvait partir. C'était un risque il est vrai, mais amoindri lorsqu'un geste de cette envergure y était associé. Finalement tout ce qu'il disait ne faisait que conforter tes attentes, conforter tes sentiments et où vous vous placiez. Malgré vos peurs, malgré vos tempérament, malgré tout vous vouliez de l'autre jusqu'à la fin, et il n'y avait pas besoin de plus, de demander plus, de vouloir plus. Juste vous et cette vue, vous et cette promesse. Ton sourire était éclatant et un rire transperça l'air lorsqu'il t'invita à aller manger comme si de rien n'était. Mais tu le retenais un instant. " Je ne te demanderai pas en mariage puisque.. tu l'as déjà fait. Mais .. je ne veux pas de quelqu'un d'autre. Si j'accepte ce n'est pas parce que j'ai une bague et un homme magnifique devant moi. Chad tu es le seul et tu resteras le seul, et même si les autres trouvent ça rapide. Je veux pas attendre pour vivre pleinement alors merci. Merci d'être revenu vers moi, merci de me faire confiance, de m'avoir donné ma chance et .. de concrétiser tout ça aujourd'hui. " Venant embrasser ses lèvres avec délicatesse tu le regardes ensuite en le tirant pour aller manger. Ce repas était particulier. Le premier que vous passiez en tant que fiancés et pourtant il était ancré dans une vie qui continuait. Car tout allait continuer avec un statut différent, mais tout le reste semblable. Pourtant vos sourires étaient encore plus grands et cette bague te semblait être l'attraction du soir ne voulant pas vraiment la quitter du regard. Ce n'est qu'à l'hôtel, en l'entendant t'appeler de son nom que ton coeur fit un bond, que tu semblas réaliser ce qu'il te demandait. Effacer ton nom, le garder comme un souvenir pour prendre le sien. Une appartenance, une alliance. Il faisait de ton passé un cauchemar qui prenait fin. Il faisait de ce nom pesant un lointain souvenir pour te donner quelque chose de nouveau, quelque chose qui te rendrait fière et que tu partagerais avec lui. " Il me semble qu'il faut vous compter monsieur Tate" Ton sourire s'agrandissait et tes yeux se plantaient dans les siens pour l'admirer un moment. Un autre rire qui t'échappa, lentement , presque silencieusement alors qu'il voulait te convaincre qu'il allait faire mieux, ou  du moins différemment que d'habitude. Il n'avait rien à changer mais tu n'allais pas l'en empêcher. Et tu compris ce qu'il voulait dire assez rapidement, par la lenteur avec laquelle il amorçait cet acte qui n'était pas inconnu de votre couple. Au contraire, tout se passait bien, même dans ce domaine qui surpassait même tes attentes. Cette lenteur qu'il usait n'avait pour effet que d'augmenter cette attente que tu avais faisant partir de nombreux frissons à la pulpe de ses doigts qui passaient sur ta peau. Un instant qui dura plus que tu ne l'imaginais , ou moins. Tu avais perdu cette notion qu'on appelait "temps" et ton corps se posa sur le lit en le laissant mener avant qu'un réflexe ne revienne. Tu voulais participer, tu voulais caresser ta peau tout comme il le faisait mais l'interdiction fut stricte et tu te voyais de nouveau mise en tant que spectatrice. Chaque geste qu'il avait faisait monter en toi un désir que tu pouvais sentir d'une chaleur incomparable. Des frissons qui contrastaient avec cette impression. La réprimande eut son effet, qui te fit sourire avant de regarder ces rubans avec surprise. Tu n'avais aucune idée de ce qu'il voulait faire mais il ne te sembla pas une seconde que la panique, ni même le doute ne t'envahisse. Tu lui faisais une telle confiance que chacun de ses gestes étaient acceptés et que tu ne demandais rien. Une confiance aveugle, on pouvait le dire. Et ce fut une bonne chose. Il savait ce qu'il faisait puisque toutes les sensations étaient maintenant bien plus fortes. Tu ressentais ces frôlements, ces effleurements ou ses baisers comme des touches brûlants qui enflammaient ta peau avant d'y laisser des frissons. De vrais sensations qui ne faisaient qu'augmenter tout, ton désir, le ressenti, l'envie. Et ces poings que tu serrais dans l'espoir de calmer cette impatience. Et pourtant tu n'eus que plus. Plus de frustration, plus de plaisir, plus d'envie. Des attentes avant de finalement succomber derrière des lèvres perfectionnées et sûres. Tu ne savais pas combien de temps cela avait duré mais tu te souvenais de chaque frôlement, baiser ou caresse comme une marque au fer sur ton corps. TE faisant perdre la tête pendant un instant, te faisant frémir et gémir sous un assaut parfaitement mené. Il prenait son temps et pourtant ça n'avait jamais été autant attendu, autant désiré et passionnel. Peut être que l'idée de prendre son nom changeait tout, que votre statut venait de vous offrir une nouvelle approche, de nouveaux ressentis. Tu n'en savais rien mais tu entendais ta voix se propagée dans la pièce. Tu sentais chacun de ses gestes et tu n'avais envie que d'une chose. Lorsqu'enfin il te laissa l'opportunité de le voir et le serrer contre toi tu semblais sur le point de le supplier. Tes lèvres emprisonnaient les siennes dans un autre baiser passionné et rempli d'un amour que tu n'avais plus peur d'exprimer. Tu voulais lâcher prise. Te laisser avoir par ce que tu ressentais et simplement vivre à fond ce dans quoi tu venais de t'engager. Un sourire l'accueilli alors qu'il avait redit ces mots qui vous aviez fait défaut pendant un bon moment. Ce n'était que très récemment qu'ils avaient enfin franchi la barrière de l'imaginaire et de l'acte pour prendre forme dans des mots qui faisaient palpiter ton coeur. Mais ce soir tu ne voulais pas les dire. Tu voulais le montrer. Et rapidement tu repris possession de cette fougue qui te faisait prendre part comme actrice de cet ébat particulier.
Encore une fois le temps ne se comptait pas. Il ne se comptait plus mais tu savais que toute ton énergie était partie et que ton coeur restait tambourinant dans ta poitrine. Tu venais te blottir contre lui oubliant même que demain étiez votre jour de retour. Tu profitais simplement de cette nuit pour rester contre lui, regardant une dernière fois ta bague dans le noir, éclairée simplement de la lune, pour t'endormir dans un sommeil des plus profonds que tu aies eu. Apaisée, heureuse, il semblait que rien ne pouvait troubler ce bonheur. Même pas ce réveil que tu estimais bien trop tôt par rapport à votre coucher. Tu arrivais même à sentir quelques marques du sommeil qui s'ancraient profondément en toi. Mais l'avion n'attendait pas. Cependant, le réveil fut d'une importance capitale. Et tu ne loupas pour rien au monde ce baiser tendre et cette caresse dans ses cheveux que tu lui offris. " Bonjour, mon fiancé  " C'était aussi vital que ce coup d'oeil sur la bague, pour te prouver que ce n'était pas un rêve. Tout comme tu aurais pu le pensé tu voulais clarifier les idées de Chad. Il l'avait fait, tu avais accepté et maintenant, vous pouviez rentrer sur votre petit nuage comme si plus aucun soucis ne pouvaient vous frapper.



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Chad Tate
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Chanel

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(#)Sujet: Re: Is it the look in your eyes or is it this dancing juice   |   Dim 12 Aoû - 12:52

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chère joy

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Je dormais tellement bien. Cela ne m'était pas arrivé depuis un petit moment. Faut dire, j'avais pas mal stressé avec ma décision de la demander en mariage. J'avais déjà bien relâcher la pression en lui faisant l'amour comme jamais la veille. On s'était endormi comme des bébés, après ça. Je n'avais pas mis la main morte, faut dire. J'avais décidé d'y mettre toute la tendresse, tout l'amour que j'avais envers elle après ce "oui". Cela avait été le oui le plus beau de tous. Il resterait dans ma mémoire toute la vie. A chaque moment où je douterais de moi, si elle m'en veux, si quelque chose ne va pas.. Je savais déjà que je penserais à ce "oui" qui me remonterait toujours le moral quelque soit la situation dans laquelle je pourrais me trouver. Mon coeur avait battu tellement fort, après mon long discours que je m'étais répété, répété - et qui n'avait pas du tout était le même que ce que je m'étais dis, évidemment - j'avais eu tellement peur que son "oui" avait été une réelle libération. Pire que la dernière minute d'un match international ou que sais-je. Je m'étais arrêté de respirer, de penser, tout. Ca avait été les secondes les plus longues de ma vie. Pourtant, celle d'après avait été magique. Une libération et un sourire que je n'avais je pense jamais eu. C'était un instant qui serait à jamais gravé dans notre esprit, je le savais déjà. On en parlerait comme on parle d'une chose merveilleuse. Cette chose merveilleuse, à mes yeux, n'était autre qu'elle. J'avais voulu lui faire comprendre en lui demandant sa main, lui faire comprendre qu'elle devait arrêter de croire qu'elle n'était rien, qu'elle ne méritait rien, qu'elle pouvait être remplacée. Ce n'était pas possible. Il avait scellé ça avec cette demande en mariage. Elle l'avait conforté aussi, en lui répétant après qu'elle ait accepté qu'il n'y aurait jamais que lui et que ce n'était pas pour la bague ou pour le physique. Enfin bref... ça avait été une soirée formidable et la nuit l'était aussi.
Le lendemain matin, quand j'ouvrais les yeux, j'eu immédiatement le droit à mon baiser du matin qui me fit sourire sans attendre. J'avais tellement bien dormi, même si ça avait été court, que rien ne me mettrait de mauvaise humeur aujourd'hui. Son bonjour me fit aussi sourire, ouvrant doucement les yeux. bonjour madame Tate fis-je alors. Comment oublier la veille? J'aurais pu croire que ça avait été un rêve mais je l'avais vécu, réellement vécu. C'était un sentiment incroyable que j'avais là et même si j'aurais eu tendance à vouloir le contrôler, il n'en était rien ce matin. Je me laissais vivre l'instant, pour une fois. Je ne voulais rien gâcher. Nous avions un avion qui malheureusement ne pouvait pas nous attendre. Nous prenions notre dernier petit déjeuner français et on s'amusait à apprendre quelques autres mots avec le serveur le temps de notre dernière heure ici. Après ça il fallait s'habiller et prendre une petite douche avant de prendre le taxi. Je m'approchais de Joy en lui soufflant : une petite dernière avant de quitter ce beau pays? fis-je alors corps contre corps sous l'eau chaude. Je décidais de lui faire l'amour une nouvelle fois et une dernière fois pour ce voyage en France, sous cette douche italienne.
Puis il était temps. Il était temps de rejoindre l'aéroport Charles de Gaulle pour prendre cet avion de huit heures en direction des Etats-Unis. C'était long et je profitais du coup pour lui parler de tout ce dont je n'avais pas pu lui parler, dans le secret de ma demande. tu ne peux pas imaginer comme j'ai bien dormi cette nuit. je faisais des cauchemars en imaginant que tu refusais et j'avais peur de l'avoir dit à voix haute quand tu m'as réveillé avant hier soir.. c'était horrible. ton oui a été le meilleur apaisant de mon existence. Je respirais même plus! lui dis-je avant de rire doucement. Je la regardais un long moment. Elle allait devenir Madame Tate. Etre liée à moi à jamais. J'avais du mal à me faire à l'idée et en même temps j'aimais énormément y penser. je t'aime lui soufflais-je alors en lui caressant la joue. je voulais le faire parce que je voulais que tu saches à chaque seconde de ta vie que je les partagerais toutes avec toi tant que tu voudras de moi. personne ne peut te remplacer, personne. ou un clone envoyé par un grand méchant qui voudrait me duper... mais ça c'est dans les films que tu me fais regarder. fis-je en riant alors, la taquinant un peu. c'est fou de rentrer en tant que fiancés... ça fait bizarre mais... je suis tellement fier. si tu veux on pourra se chercher un chez nous. On en a déjà un je sais mais c'est moi qui l'ai choisi à la base puis le balcon pour les chiens.. on pourrait visiter des maisons avec des grands jardins et une piscine... choisir un chez nous ensemble.. ou même faire construire pour que tu aies ce que tu veux vraiment. La construction maintenant ça me connaît fis-je en riant faisant référence à ma salle qui allait bientôt ouvrir. J'allais avoir pas mal d'argent avec ça et elle allait avoir son travail à elle, on pourrait facilement s'acheter vite une maison tous les deux. J'étais sincère quand je lui faisais cette proposition. Déjà Dani dans sa petite maison m'avait pas mal fait rêver. Je voulais offrir un palace à Joy. Je le pouvais, alors pourquoi pas? qu'est-ce que tu en penses? c'était donc ça. Une conversation de couple, de deux personnes qui vont vivre ensemble toute leur vie. C'était agréable. Construire une vie ensemble, matériellement aussi. Cette idée me plaisait bien. On aura un magnifique jardin tellement qu'on pourra faire notre fête de mariage chez nous. Je te mettrais des guirlandes de fleurs partout il fera un grand soleil on sera au bord de la mer on aura qu'à ouvrir un portillon et on aura les pieds dans le sable... je veux t'offrir tout ça. lui soufflais-je alors en serrant doucement sa main, lui souriant.

is it the look in your eyes or is it this dancing juice, who cares baby? I think... I wanna marry you

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