Mon retour à Miami était encore tout récent, à peine quelques heures et la première personne que je devais aller voir était Ellina. Cette belle blonde que je connaissais plutôt pas mal et ce depuis longtemps. Son histoire était plutôt compliquée, j’avais été là pour l’écouter et nous avions développé une complicité plutôt hors du commun. Après l’annonce de la mort de son mari, elle a trouvé du réconfort dans mes bras et moi, beh j’y trouvais mon compte aussi, c’était fort agréable, elle était douée. Petit jean et teeshirt noir feront parfaitement l’affaire, lunettes de soleil sur le nez, je quitte ma chambre d’hôtel que j’ai réservé pour quelques jours le temps de trouver un petit quelque chose. Si mes souvenirs sont bons, Ellina réside un peu plus au sud de la ville, je ne tarde pas à y arriver. La ruelle est bondée, je suis donc dans l’obligation de garer mon véhicule un peu plus loin pour me rendre à sa porte à pieds. Les mains dans les poches, je me rends compte que je n’ai absolument rien à lui offrir en souvenir, c’est alors que je passe devant une maison bien fleurie. Je jette un coup d’œil à droite et à gauche puis j’arrache quelques fleurs pour faire un bouquet improvisé. Ca fera l’affaire, de toute manière, je ne suis pas là pour faire des chichis, j’ai une idée bien précise derrière la tête. C’est moi le véritable cadeau. Devant sa porte, je constate que sur la boite aux lettres son nom est toujours indiqué. Ouf, elle habite toujours là. Je passe ma main dans mes cheveux pour les remettre un peu en bataille. Je tape contre cette dernière. En attendant qu’elle vienne m’ouvrir, je me retourne pour regarder le quartier. C’pas mal, je vais peut-être songer à venir par ici, ça serait plus pratique pour nos cinq à sept. Le bruit de la porte se fait entendre et je me retrouve face à la belle blonde. Je lui offre mon plus beau sourire afin de la mettre toute suite dans le bain. Je lui tend le bouquet un brin provocateur. « Elles viennent tout droit de Paris. Rien que pour toi. » lui dis-je en passant la porte de chez elle sans pour autant y avoir été invité. « Pour dire vrai, c’pas tant les fleurs le cadeau, c’moi… J’espère que t’es libre, on a du temps à rattraper. » terminais-je par lui dire en venant refermer la porte de chez elle brusquement. Elle était toujours aussi sexy, elle me donnait déjà bien envie de la déshabiller. « Alors ? Qu’est-ce que t’en dis ? » demandais-je en retirant enfin mes lunettes de soleil afin de pouvoir plonger mon regard dans le sien.
Aujourd'hui, j'avais décidé de travailler de la maison. J'avais seulement des papiers à remplir et prendre connaissances de nouveaux dossiers. Évidemment, je n'avais pas besoin d'être assise à mon bureau pour l'occasion. Je m'étais installé sur la table de cuisine, les papiers bien éparpillés autour de moi. Pour pouvoir faire mon travail au calme, j'avais demandé à mon cousin Lukas de venir prendre Noah pour la journée. Le petit l'adorait tellement que c'était comme un cadeau de pouvoir passer la journée avec lui. N'ayant pas pris la peine d'enfiler des vêtements normaux, je me trouvait encore en nuisette rose pâle, avec un peignoir en satin noir par-dessus. Café à la main, j'étais déjà entrain de lire et relire certains dossiers qui me paraissaient plus ou moins important. Dans la branche terrorisme, nous recevions souvent des plaintes ou des suppositions venant de n'importe qui. Certaines personnes soupçonnaient leur voisin de complot simplement à cause de leur nationalité ou parce qu'ils ne sortaient pas souvent. Parfois je me retrouvais avec une pile de dossiers en majorité inutile, plutôt que de vrais cas. Pendant que je lisais une plainte tout à faire futile et pas sérieuse, je me fis déconcentrer par le bruit de la porte. Quelqu'un cognait. Je déposa mon café sur la table et me dirigea vers l'entrée. Au passage, je pris une petite menthe afin de changer le goût du café que j'avais en bouche. On ne sais jamais, d'un coup que l'armée viendrait m'annoncer le retour de Steven et moi j'ai mauvaise haleine. Je déverrouilla ma porte et ouvris. À mon agréable surprise, je me retrouva face à face avec Justin, un vieil ami. Nous nous étions pas vu depuis très longtemps et moins régulièrement qu'auparavant. « T'aurais dû me prévenir, je me serais mise plus jolie! » dis-je en me regardant de haut en bas. Bon, évidemment je ne devais pas être trop désagréable à regarder, étant donné que j'avais une simple nuisette et un peignoir. Il referma la porte violemment derrière nous et me tendit des fleurs. Je ne pu m'empêcher de rigoler à son commentaire, tout en voyant l'étiquette du fleuriste en bas de la rue, coller sur le bouquet. L'intention était excellente. « Nous avons beaucoup de chose à rattraper ! » dis-je en me dirigeant vers la cuisine. J'ouvris une armoire afin de récupérer un pot que je rempli d'eau. Je ne voulais pas que les fleurs fanent de si tôt alors je les mise dans le pot que j'installa sur la table. Mon interlocuteur me demanda alors ce que je pensais de son idée. Je me retourna face à lui en m'approchant doucement. « T'as probablement raison.. » dis-je sur un ton à la fois sensuel mais doux. Je défis lentement le noeud qui retenait mon peignoir de satin et le fis par la suite tomber au sol. « Tu m'excuse ma tenue .. elle n'est pas très glamour! »
Ce retour allait être mouvementé et plein de nouvelles choses, mais pour commencer un bon retour, fallait bien évidemment que je passe par la case Ellina ! Fallait reprendre les bonnes habitudes et je peux dire que c’était une très bonne habitude. Ma voiture garée dans son allée, je presse le pas, impatient de la voir et de pouvoir prendre mon plaisir en main. La jeune demoiselle ne tarde pas à m’ouvrir la porte, bien que j’ai eu le temps d’observer autour de moi afin de prendre conscience du beau quartier dans lequel elle vivait. Je n’avais jamais eu l’occasion de le faire dans le passer. Sa tenue ne passe pas inaperçue. A croire qu’elle m’attendait sans même le savoir. Un sourire malicieux se glisse sur mes lèvres alors que je l’observe sans revenue à travers mes lunettes. J’en ai déjà l’eau à la bouche, elle est foutrement sexy. Les courbes de son corps sont facilement remarquables même si elles sont recouvertes d’un fin peignoir. Même si pendant mon voyage je n’avais pas perdu la main et je n’avais pas laisser filer ma libido, je dois dire que m’envoyer en l’air avec Ellina m’avait bien manqué. J’étais toujours parfaitement accueilli chez elle et elle s’avait me donner ce que j’attendais. Rien que sa voix me donnait la chair de poule. « T'aurais dû me prévenir, je me serais mise plus jolie! » Je souris un plus grandement. « C’est parfait ! C’est pas désagréable, au contraire même. On dirait que tu m’attendais… » répondis-je doucement avant de venir fermer la porte pour plus de tranquillité. Fallait bien passer aux choses sérieuses maintenant, pas le temps pour les grandes discussions. Les fleurs remisent en mains de la destinataire, je la suis de près à la cuisine. C’est un peu frustrant qu’elle prenne son temps pour les mettre dans un vase. Je suis un peu impatient là… elle me fait languir. Je lui fais part de mes intentions, affirmais que nous avions pas mal de choses à rattraper. « Nous avons beaucoup de chose à rattraper ! » Je glisse mes mains dans mes poches après avoir déposé mes lunettes sur le plan de travail de sa cuisine. Je constate les papiers éparpillés partout après lui avoir demander si mon idée lui paraissait bien et alléchante. « A moins que sois trop occupée et passionnée par tes dossiers… » lâchais-je avant de passer une nouvelle fois ma main droite dans mes cheveux. « T'as probablement raison.. » il semblerait que je sois plus intéressant que ses papiers alors que je la laisse s’approcher de moi d’une démarque sympathique à observer. Mon regard se penche instinctivement vers ses mains qui détachent le nœud de son peignoir, laissant apparaître cette nuisette sexy et très légère surtout. Le peignoir ne tarde pas a rejoindre le sol et je suis impatient. « Tu m'excuse ma tenue .. elle n'est pas très glamour! » Je ris légèrement alors que je viens agripper mon teeshirt pour le retirer et le lancer pour qu’il rejoigne son peignoir. « C’est pas grave, ça sera plus rapide à retirer. » lui répondis-je en souriant alors que mes mains viennent lentement se glisser à ses fesses pour y faire pression afin de l’attirer près de moi et que nos corps se touchent enfin. Chose faite, je viens ensuite laisser mes lèvres se nicher dans son cou pour embrasser sa peau chaude avant de me redresser pour la regarder. « Ton gamin dort ? On a combien de temps devant nous ? » demandais-je alors que je me surprends à la soulever pour venir la poser sur la table de sa cuisine où elle travaillait avant mon arrivée. Tout ça allait certainement volé dans peu de temps.
Platonique était le mot idéal pour décrire ce qui se passait entre moi et Justin. Malgré le fait que nous nous étions vu beaucoup dans le passé, il n'y avait aucune forme de sentiments envers l'autre qui s'étaient interposés dans nos vies. Fort heureusement, parce que cela rendait nos ébats plus faciles et moins compliqués. En arrivant chez moi, Justin avait pris la peine d'emmener des fleurs que je m'empressa de mettre dans un pot. Il n'avait pas attendu avant de me mentionner ses intentions. Il était en voyage depuis un moment et je dois avouer qu'étant donné la mort de Steve, je me sentais un peu en manque d'affection. « Tu sais bien que si je t'avais attendue, je t'aurais ouvert la porte complètement nue ! » plaisantais-je tout en posant le pot de fleurs sur la table. Je m'étais approcher de mon interlocuteur, lentement et sensuellement. Son regard s'était posé sur mes mains, pendant qu'elles défaisaient lentement le noeud de mon peignoir. Immédiatement, je pu constater son envie à travers son pantalon. Un sourire satisfait vint prendre place à la commissure de mes lèvres puis je me mordis la lèvre à la simple pensée de ce qui allait de produire dans quelques minutes. Mon peignoir glissa le long de mes jambes pour finalement finir sa course au sol. « Tu n'as qu'un seul petit geste à faire afin de tout retirer.. Je ne porte jamais de sous-vêtements sous mes nuisettes ! » ajoutais-je à son envie ma fois pressante. Une de mes mains vint se poser sur le bas de ma nuisette, la relevant jusqu'au nombril afin de lui donner un petit aperçu de ce qui se trouvait sous le dessous. Rapidement, je retira ma main afin que ma tenue retombe le long de mes jambes. Les mains de Justin se placèrent sur mes fesses et il m'attira contre lui. Je pu poser mes mains sur son torse brulant, avant de fermer les yeux lorsque ses lèvres se posèrent dans mon cou. « Il n'est pas là. On a le temps qu'il faut. Mais tu sais que je n'aime pas te savoir trop longtemps chez moi. Tu me satisfait et tu quittes. » Un sourire malicieux se dessina sur mon visage. Pour plusieurs, ma phrase aurait paru méchante, profiteuse et froide, mais depuis toujours Justin et moi avions cette façon de faire. Rien de plus que simple satisfaction. Il me souleva alors pour me poser sur la table de cuisine. D'une main, j'y repoussa tous les papiers qui se trouvaient afin de ne pas les perdre, déchirer ou tout autre dommages qui aurait pu survenir dans les prochaines minutes. Posant mes mains sur la boucle de ceinture de Justin, j'approcha celui-ci de moi en tirant légèrement dessus et je la détacha rapidement. Mes lèvres se trouvaient à se balader sur son épaule, tout en retirant carrément sa ceinture que j'envoyais sur le sol.
Je dirais plutôt physique, voilà comment notre relation était définie à mes yeux. Même si j’éprouvais de l’affection envers cette belle demoiselle, en aucun cas il avait déjà été question se sentiments plus fort que de l’attirance. De l’amitié, oui peut-être étant donné qu’elle m’avait déjà confié quelques passages de sa vie, même si lorsque nous nous retrouvions c’était rarement pour parler. Nos corps s’entendaient parfaitement bien donc pourquoi tout gâcher avec des mots parfois inutile ? Sa tenue était rapidement le sujet de notre fameuse conversation. Elle avait s’en doute compris pourquoi j’étais là mais elle prit tout de même le temps de mettre les fleurs dans un vase, ce qui ne faisait complètement languir. Elle savait faire monter l’excitation, c’était certain. « Tu sais bien que si je t'avais attendue, je t'aurais ouvert la porte complètement nue ! » Elle avait les mots encore une fois pour me faire sourire. Lentement mais sûrement elle avait fini par s’approcher de moi pour mon plus grand plaisir. Les mains de la belle blonde avaient lentement descellé le nœud de son peignoir, me faisant avaler ma salive difficilement tellement c’était sensuel. « On va vite remédier à ce petit obstacle. » lâchais-je dans un souffle qui se claque contre ses lèvres sans pourtant les effleurés. Il ne m’en fallait pas beaucoup plus pour me sentir déjà en action dans mon pantalon. Ce petit jeu avec cette proximité était réellement existant et elle le fût encore plus lorsqu’elle me fit part d’un petit détail en soulevant avec délicatesse sa nuisette au-dessus de son nombril. « Tu n'as qu'un seul petit geste à faire afin de tout retirer... Je ne porte jamais de sous-vêtements sous mes nuisettes ! » J’arque un sourcil en observant sans retenu cette scène. « Faut croire que tu es prévoyante ! » lâchais-je un brin séducteur alors que je viens placer mes mains sur ses fesses pour la rapprocher de moi afin qu’elle sente cette bosse dans la partie inférieure de mon corps. Le premier contact avec sa peau fût grâce à mes lèvres posées dans son cou. J’y déposais des baisers avec douceur et lenteur pour lui faire monter l’envie. Alors que mon corps fait pression contre le sien afin de nous faire aller dans la cuisine, endroit le plus proche d’où je me trouve, je viens lui glisser quelque mot. Il me fallait savoir si j’avais le temps de la faire languir ou s’il fallait que je sois plus rapide et que j’aille directement droit au but. Tout ça dépendait de la présente ou non de son fils. J’avais pris, en attendant sa réponse, les devants en la portant pour l’installer sur la table, écartant ses cuisses afin de pouvoir me glisser entre elles. « Il n'est pas là. On a le temps qu'il faut. Mais tu sais que je n'aime pas te savoir trop longtemps chez moi. Tu me satisfait et tu quittes. » Si cette phrase pouvait être vexante aux yeux des autres, je dois dire qu’elle me convenait parfaitement. Mon regard s’éloigne un peu du sien afin de pouvoir croiser son regard et je partage un sourire complice avec la belle lorsqu’elle vient glisser ses mains à mon pantalon afin de défaire la boucle de ma ceinture puis cette dernière entièrement « Tu sais bien que je prends un plaisir fou de te satisfaire comme personne ne le fait ! » lâchais-je alors que je laisse mes mains venir déboutonner mon jean pour le faire tomber sans trop de difficultés pendant que ses lèvres viennent à se balader sur mon épaule. « Alors je t’ai manqué ? » lâchais-je après avoir agrippé sa nuisette pour la lui ôté par la tête, me laissant l’opportunité de découvrir une nouvelle fois ce corps divin. « T’es toujours aussi… mmmh sexy ! » lui fis-je remarquer juste avant de venir plaquer enfin mes lèvres contre les siennes, ne me gênant pas pour laisser ma langue pénétrer dans sa bouche pour caresser sa langue tandis que l’une de mes mains vient sensuellement caresser l’un de ses seins.
Assise sur la table, j'avais informer Justin que mon fils n'était pas présent à la maison. C'était une des conditions pour qu'il vienne. Étant donné que Noah croyait fermement que Steve était son père, je ne voulais pas qu'il surprenne Justin à la maison. Il l'avait déjà vu une fois par erreur et depuis cela il me boudait un peu. Malgré son jeune âge, il avait bien compris que Steve ne revenait pas et que j'étais soudainement avec ; l'autre monsieur, comme il l'avait baptisé.. Quoi qu'il en soit, tout cela était purement physique et je n'avais aucun sentiments envers Justin. Nous avions quelques fois des conversations sur l'oreiller. Mais tout cela s'arrêtait ici. Il me fit part du plaisir qu'il prenait à me satisfaire, un sourire mesquin se forma sur mon visage et je lui répondis entre deux baisers dans son épaule ; « Disons que nos exercices passent très bien le temps! » Je leva doucement les bras en l'air afin qu'il retire ma nuisette. Je posais mes mains sur son torse, que je caressais du bout des doigts, laissant mes doigts parcourir chaque ligne de ses abdominaux. « Le plaisir m'a manqué! » Dis-je en remontant mes baisers dans sa nuque puis jusqu'à son lobe d'oreille. Il me fit le commentaire que j'étais toujours aussi sexy. Abordant un regard satisfaite, je passa une main dans ma longue crinière blonde que je fis valser vers l'arrière tout en faisant une tête de princesse. Ses lèvres se plaquèrent aux miennes, tandis que nos langues formèrent un unisson pour s'embrasser langoureusement et intensément. Sa main se posa sur mon sein afin de le caresser sensuellement. Je détacha mes lèvres des siennes afin d'apprécier le moment. Je descendis de la table tout en changeant de position avec Justin afin qu'il se retrouve le dos plaqué sur celle-ci. De nouveau, je joignais nos lèvres pour lui offrir un nouveau baiser sensuel et langoureux. Mon corps et mes lèvres descendait tranquillement afin que je parcours ses bras, son torse ainsi que le bas de son ventre. J'arrivais rapidement à son boxer, à travers lequel je sentais fermement son excitation. « Je te fais gravement de l'effet » lui dis-je tout en levant la tête afin de plonger mon regard au sien. Mes mains se posèrent sur ses cuisses, juste avant de glisser dans son boxer pour le laisser glisser le long de ses jambes. Je m'agenouilla devant lui, sans jamais quitter son regard. Mes lèvres se posèrent sur son intimité que je pris dans ma main au même moment. Je commençais alors quelques mouvements avec la bouche, déjà à un bon rythme et assez intenses.
Il n’y avait plus de temps à perdre depuis que j’avais passé le pas de la porte. JE savais ce que je voulais et ce que j’avais a faire. La petite précision concernant l’absence de son fils me rendait encore plus impatient. Certes, elle préférait que ça ne s’éternise pas, mais pour le coup, ça faisait longtemps qu’on avait pas pris notre pied ensemble, je comptais bien rattraper le temps en lui faisant passer un moment intense. Son corps pressé contre le mien, je ne tarde pas à la mettre à ma hauteur grâce à la table. J’en ai profiter pour laisser mes mains baladeuses parcourir son postérieur. J’avais clairement l’impression d’être un objet sexuel avec Ellina et pourtant, ça m’excitait davantage. « Disons que nos exercices passent très bien le temps ! » Je souris à sa remarque alors que je laisse mes mains se glisser sous sa nuisette en laissant mes doigts effleurer son intimité nue. « Mmh, je vois… je vois. Il y a personne pour te faire pratiquer ce genre d’exercices…. T’avais vraiment besoin de moi alors ! j'espère que t'es pas rouillée ! » lâchais-je doucement avant d’ôter ce morceau de tissus qui recouvrait son corps. Les caresses de ses mains, provoquaient rapidement un frisson qui réveille tous mes sens et surtout une partie de mon corps. Le touché de ses lèvres était tout simplement divin, je m’arrêtais d’ailleurs dans ce que je faisais afin d’apprécier cette attention. « Le plaisir m'a manqué! » Je me mis à rire à plusieurs reprises alors que je viens empoigner ses hanches pour approcher son corps assis au mien encore debout. « Je vais combler ce manque dans ce cas ! » avais-je dis avant de plaquer enfin ma bouche contre la sienne. C’était de bon goût, cette danse entre nos deux langues. Exquis. Je tente d’intensifier cet échange alors que je viens plaquer mes mains contre ses joues pour bloquer sa tête vers de la mienne. Je reste sur ma faim lorsqu’elle décide de nous séparer, laissant entendre ma respiration déjà complètement désordonnée. Tandis que ma main s’est glissée sur son sein que j’affection du bout des doigts. Mon regard croise le sien afin de sentir ce qu’elle ressent à travers ce dernier. Je veux clairement lui faire perdre la tête. Je la titille, je la fais languir pour faire monter l’envie. Je dois cesser de jouer, puisque qu’apparemment madame à décider de prendre les choses en mains. Elle descend de la table, me poussant pour faire la place et ainsi je me retrouve fesses collées à la table. « Woh la tigresse se réveille ! J’adore » lâchais-je alors que je sens ses lèvres glisser le long de mon torse, me faisant contracter le bas de mon ventre. Elle s’arrête à hauteur de mon boxer et comment dire qu’il se trouve tendu. « Je te fais gravement de l'effet » Je soutiens son regard et lui souris. Mon corps parlait de lui même. « Ce n’est que le début beauté ! » lâchais-je en souriant avec charme. Je pouvais sentir mon sexe prendre de l’ampleur au fur et à mesure et ce fût davantage alors qu’il se trouve libéré de l’emprise de mon boxer. Ellina fait glisser ce morceau de tissu à mes pieds. C’était clairement provoquant de garder son regard plongé dans le mien. Son toucher fût agréable mais ce n’était rien comparé a ce que sa bouche autour de mon sexe me procure comme sensation. Si dans un premier temps je m’accroche au rebord de la table afin de garder mon calme et le contrôle, je viens rapidement faire pression avec ma main sur l’arrière de sa tête pour plus d’émotions. « Toujours aussi douée ! » lâchais-je entre deux gémissements. « Oh vas-y continues… » m’exprimais-je en levant la tête pour profiter encore plus. J’étais au bord de craquer et de me lâcher dans sa bouche mais c’était bien trop insuffisant pour moi. Ma main toujours posée à l’arrière de son crâne, je viens agripper ses cheveux pour l’obliger à s’arrêter là. Elle avait clairement réveillé le fauve en moi. Je viens a me baisser pour attraper une capote dans ma poche de jean. A l’aide de mes pieds, je viens à retirer mes fringues qui restaient à mes chevilles. Je fais pression contre son corps pour faire avancer la demoiselle dans son salon où son corps bute contre le dossier du canapé. Je plonge mon regard dans le sien pour lui glisser le préservatif dans la main droite tandis que je viens à mon tour lui faire du bien avec mes doigts que je pénètre en elle, me soutirant un sourire évocateur. « Je te fais gravement de l’effet. » dis-je alors en haussant les sourcils au rythme de mes doigts. Tandis que ma bouche vient se glisser dans le creux de son cou pour l’embrasser sensuellement.
Alors que je l'avais plaqué contre ma table de cuisine, je m'étais retrouvé à la hauteur de son intimité que j'avais prise en bouche presque aussitôt. Je savais que Justin adorait lorsque je lui faisais plaisir comme cela. Il s'était immédiatement agrippé à la table, tout en posant une main sur l'arrière de ma tête. Quant à moi, j'accélérais les mouvements, sentant qu'il allait bientôt approché son apogée. Lorsque je sentis sa main agripper la longue crinière blonde, j'arrêta. Il ne voulait clairement pas lâcher maintenant et je ne voulais pas non plus. Moi aussi j'ai besoin de plaisir, pas seulement lui. C'est donnant, donnant. Je me releva alors à sa hauteur, lui offrant un sourire provocateur. « Tu m'attendais gravement pour te faire plaisir ! » Sachant que je lui avait manqué, je me doutait bien que nous allions avoir du plaisir moins longtemps que d'habitude. Un homme en manque ce n'est jamais bien long, mais au moins il profite du moment. Justin s'abaissa afin de récupérer un préservatif. Je m'approcha de lui pour l'embrasser langoureusement tandis qu'il poussait son corps vers le mien afin de me faire bouger vers le salon. Sans jamais rompre mon baiser, je me reculais lentement jusqu'à ce que le bas de mon dos se heurte à mon canapé. Prenant le préservatif d'une main, je bascula la tête vers l'arrière lorsqu'il me pénétra à l'aide de ses doigts. Je pouvais déjà sentir que j'étais particulièrement humide et je sais qu'il adorait ça. J'agrippa alors ses cheveux de mon autre main, tout en allant déposer quelques baisers sur son épaule que je mordilla doucement par la suite. Me reculant un peu, je lâchais ses cheveux pour ouvrir l'enveloppe du préservatif que j'enfila sur son membre déjà très tendu. J'en profita pour le caresser sensuellement au passage avant de lui enfiler. Les lèvres de Justin vinrent trouver refuge dans mon cou, tandis que je me mordais un peu plus la lèvres à chaque mouvements de doigts de celui-ci. Il me fit alors le commentaire que je lui faisait de l'effet, chose qui devait particulièrement l'excité encore plus. Je me donna un petit élan afin de me retrouver assise sur le dossier de mon canapé. « Tais-toi et fait moi l'amour ! » dis-je dans le creux de son oreille avant de reprendre ses lèvres fougueusement.
Ellina savait comment faire avec moi, elle avait bien l’habitude. Elle savait exactement ce qu’il me plaisait et comme la plupart des mecs, j’aimais qu’elle prenne soin de ce membre inférieur qui était déjà pas mal en action. J’avais réellement envie d’elle. Depuis mon retour je n’avais pensé qu’à ça enfin entre autres… A genoux devant moi, vouant une attention particulière à mon pénis, j’étais aux anges. Existé comme jamais, il fallait qu’elle cesse avant la fin. Il serait regrettable qu’elle ne puisse pas prendre du plaisir elle aussi. Je lui fit savoir que c’était comme à chaque fois que c’était du travail de pro et qu’elle était parfaitement douée. Une fois qu’elle fût de nouveau à la hauteur de mes yeux, un sourire ne pu s’empêcher de s’afficher sur mon visage. J’avais eu ce que je voulais, mais j’en voulais encore plus. « Tu m'attendais gravement pour te faire plaisir ! » j’haussais alors les sourcils en la regardant avec le regard de séducteur que j’aimais faire. « Evidemment ! Je savais qu’il n’y avait que toi pour satisfaire cette envie pressante. » dis-je alors en remontant à sa hauteur après avoir récupéré un préservatif. J’étais clairement en manque mais pas au point d’oublier cette petite chose qui pourtant est primordiale pour un gars comme moi. Pour avoir les mains libre et lui faire plaisir, je lui vais glissé la capote dans la main pour qu’elle se charge de l’installer au bon moment. En attendant, nos corps avaient avancés à travers la pièce jusqu’à ce que le canapé nous arrête dans notre élan. Ce n’est pas ce que je voulais, mais ça fera l’affaire. Mes doigts s’étaient insérés en elle pour la préparer à la suite, je prenais du plaisir à la faire gémir ainsi. Je sentais ses dents effleurer la peau de mon épaules, signe chez elle qu’elle adorait ça, une vraie tigresse, c’est l’une des choses que j’appréciais chez elle, elle tirait mes cheveux afin que je puisse croiser son regard. C’était certainement le moment attendu pour qu’elle enfile le préservatif sur ce membre qui n’attendait qu’elle. Elle pouvait bien constater l’effet qu’elle avait déjà fait sur mon corps, j’étais fière qu’elle puisse voir a quel point je la désirait là toute suite, maintenant. Mes lèvres parcouraient sa peau chaude, de sa joue à son cou, passant parfois contre ses lèvres tout en continuant mes mouvements avec mes doigts en elle. Elle gémissait de plus en plus et ça me rendait complètement fou, de plus qu’elle s’était chargé de caresser mon sexe pendant ce temps. C’est chaud ! J’avais rapidement constaté qu’elle était prête à m’accueillir. Son corps avait réussi a s’assoir contre le dossier du canapé, ce n’était pas très stable mais une fois mes doigts sortis d’elle, l’une de mes mains s’était glissée dans le bas de son dos pour la retenir et surtout évité de rompre le contact de nos corps. « Tais-toi et fait moi l'amour ! » entendis-je tout près de mon oreille. C’était si sensuelle que ça m’avait fait rire sur le coup. Je n’avais pas pu répondre toute suite étant donné qu’elle avait pris possession de ma bouche afin que nous partagions un baiser langoureux à souhait. Ma langue jouait avec la sienne tendis que ma main libre se plaçait tour de mon sexe pour le diriger vers son sexe. Ainsi j’entrais en elle en lâchant un soupire de soulagement. J’entame alors une course contre la montre, des mouvements assez longs et profond. « Que c’est bon… » dis-je entre deux baisers, appuyant contre le bas de son dos pour qu’elle s’enfonce encore plus sur mon membre dur. Les a-coups s’accéléraient tandis que je l’embrassais à pleine bouche. C’était assez puissant, c’est pourquoi nos corps fût renversés de l’autre côté du canapé, ainsi je me retrouvais allongé au dessus d’elle, et ça me fît rire en la regardant. « De vrais cascadeurs… » lâchais-je en riant avant de l’embrasser furtivement. C’était assez drôle comme gamelle mais ça m’avais permis d’être au plus profond d’elle et de poursuivre ce moment torride.