Paisley & Alexander

Beautiful Night

Est-ce qu'il fait bien son métier de policier? Est-ce que voir le bien dans le mal fait de lui un bon policier? Alexander ne juge pas les gens qu'il croise pendant ses patrouilles. Son travail n'est pas de juger les gens. C'est son frère Elijah qui juge les gens puisqu'il est juge. Alexander tente seulement de faire en sorte que la paix règne et fait en sorte que la loi soit appliquée et respectée. Qui serait-il pour juger? Tout le monde fait des erreurs dans la vie, tout le monde a déjà une fois dans sa vie contournée la loi. Alexander a déjà contourné la loi pour sauver de gros problèmes à Paisley. Il ne veut pas qu'elle ait de problème, il ne veut pas qu'elle finisse un jour en prison parce que les femmes en prison ne sont pas des anges. La prison ne lui ferait pas du bien, la prison la tuerait et Alexander refuse de la perdre. Elle mérite plus que n'importe quelle femme dans ce monde même s'il ne connait pas beaucoup de choses à son sujet. Elle mérite plus que les autres parce qu'il a bien remarqué dans son regard qu'elle est une femme qui souffre. Une femme qui souffre de quoi? Il l'ignore, mais elle souffre et faire son indépendante, faire sa rebelle est une manière pour elle de ne pas se faire marcher dessus. Elle se protège du bien qu'elle le peut.

Offrir ce pendentif avec une lune et une étoile est symbolique pour eux, symbolique pour ce qu'ils ont vécu ensemble, symbolique pour ce qu'ils se sont dits tous les deux après avoir fait l'amour ensemble. Pour Alexander c'était de l'amour et non juste du sexe. Si cela avait été uniquement du sexe elle l'aurait mise hors de son lit après qu'ils aient partagé ce moment de tendresse. Elle ne l'aurait pas écouté parler de la lune et des étoiles. Il est évident qu'il a des projets d'avenir, qu'il rêve de se marier et d'avoir des enfants, mais il sait aussi qu'il ne peut pas tout avoir et qu'il est fort possible que jamais cela se réalise. Un jour, il aura une réponse pour la demande d'adoption qu'il a fait et si elle est acceptée alors il sera l'homme le plus heureux au monde. Pour le moment, il travaille fort pour avoir un avenir qui a du sens. Il travaille fort pour pouvoir se mettre de l'argent de côté et, un jour, peut-être se faire construire une maison neuve, une maison dont il aura tout choisi de A à Z, en passant du revêtement extérieur aux poignées de porte.

Alexander se permet de l'embrasser de manière totalement naturelle et elle l'embrasse à son tour. En quel honneur est ce baiser? Alexander aimerait bien pouvoir lui répondre quelque chose de censé mais il n'a pas vraiment de réponse à lui donner. Soyons honnête, voilà ce qu'il se dit en ce moment. L'honnêteté a toujours été primordiale pour lui même s'il a eu une relation pendant dix bonnes années avec une femme mariée. Disons que l'amour rend parfois aveugle.
ALEXANDER : « J'en avais envie tout simplement et comme tu es très belle je n'ai pas pu résister. »
Dit-il honnêtement en la regardant dans les yeux.
ALEXANDER : « Jamais je n'oserais te manger sans ton autorisation. Tu n'es ni le dîner ni le dessert. »
Elle peut être rassurée, ils ne vivront pas une deuxième fois ce qu'ils ont vécu avec l'eau bouillante. Ce n'est pas quelque chose que l'on souhaite à quelqu'un, même pas à son pire ennemi. Il comprend qu'elle soit craintive encore puisqu'elle a souffert de cet incident. Ça n'a pas dû être doux tout ça...
ALEXANDER : « Le repas n'est pas du four je te rassure. De toute manière, il n'ira même pas au four. Nous ne sommes même pas obligés le manger si jamais tu n'as pas faim à cause des entrées. »
Dit-il en ayant son visage proche du sien en souriant.

 

Paisley & Alexander

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Et elle se jeta dans ses bras pour le remercier. Elle n’était de toute façon pas douée pour les déclarations en tout genre. Alors, un simple merci et une étreinte avait suffit à ses yeux pour lui faire comprendre ô combien elle était heureuse de partager un tel moment avec lui.Cela faisait bien longtemps que son réveillon de Noël n’avait pas été aussi joyeux, à vrai dire, elle ne se rappelle même plus de la dernière fois où elle a autant rit et sourit un soir de réveillon. Certainement depuis l’époque où ses deux parents étaient encore en vie. Puis finalement, elle se détacha de lui pour retourner en cuisine ou leur dîner les attendaient tout les deux ou peut être qu’elle n’en aurait pas le temps finalement. Elle ne s’attendait certainement pas à ce que le bel Alexander la rattrape à l’aide d’un baiser. Il posait ses lèvres aux siennes, elle l’avait suivit dans son mouvement, venant même l’attirer sur elle alors qu’elle tombait brusquement le dos contre le matelas.

Il prenait des initiatives et cela lui plaisait quelque part.Lorsqu’elle avait cherché à comprendre le comment du pourquoi ce baiser, il s’était simplement contenter de lui dire qu’il en avait simplement l’envie. Faut-il une raison pour embrasser quelqu’un? Pas vraiment. Quand l’envie est présente, pressante, et qu’elle anime chaque battement de notre cœur alors cela suffit parfois. Elle riait doucement a l’idée d’être un éventuel dîner qu’il préférait dévorer à défaut de manger ce qu’il avait cuisiner pour eux mais non, même pour ça, Alexander était bien trop respectueux et droit pour penser à de telles choses.«Voilà qui me rassure alors..» Tout comme elle avait voulue être rassurée à ce niveau la, elle vint s’assurer également qu’aucun vrai repas ne soit au four, sait-on jamais, par mégarde qu’une dinde ou autre se retrouverait à prendre feu pendant qu’ils s’amusent, qu’ils profitent. Une nouvelle fois, Alexander la rassura et mieux encore, il suggérait même de ne pas le mettre au four ce repas, peut être que leurs estomacs ne le supporterait pas, ou peut être simplement qu’il avait une autre idée en tête. «Je t’avoue que la maintenant, mon estomac n’a vraiment pas envie de manger quoi que ce soit. »En temps normal, elle n’a déjà pas beaucoup d'appétit, alors à la période de fête autant dire qu’elle en avait encore moins.

Elle préféra rester la, à le contempler, lui qui la surplombait. Sans un mot de plus, elle passa cinq de ses doigts sur l’une de ses joues pour la caresser doucement, un sourire idiot sur les lèvres.«Alex je..» Elle ne trouvait pas ses mots, pas tant que son regard était ancré dans le sien. Il avait une façon de la regarder qui ne la laissait pas indifférente et pourtant, elle savait qu’ils devraient parler tout les deux, de leurs attentes respectives, de ce qu’ils veulent dans la vie.Elle avait été plus que enchanté d’avoir été conviée au lendemain dans la famille du garçon et en même temps, elle était si effrayée. Elle avait cette impression que tout allait bien trop vite, beaucoup trop vite. Elle avait cette sensation que la situation lui échappait et en même temps c’était de sa faute. Elle aurait du lui dire non quand elle en avait eu l’occasion mais c’est plus fort qu’elle et de peur de blesser le brunet, elle avait acceptée.«Tu m’en voudrais si je ne viens pas avec toi dans ta famille demain?»Elle commençait doucement histoire de lui faire comprendre que c’était bien trop rapide pour qu’elle rencontre déjà les parents, le frère, la sœur, le chien si chien il y a.«J’taime beaucoup c’est pas ça le soucis.. juste, je préfère vous laisser en famille. J’ai rien à faire à ce repas.. » Elle amplifia ses caresses sur sa joue venant faire glisser sa main jusqu’à sa nuque pour la caresser sans jamais le quitter une seule seconde du regard.«T’en fais pas pour moi, je resterais ici. J’ai tout un tas de trucs à faire de toute façon, je vais savoir m’occuper.Faut que je range un peu l’appartement, puis y’a tout un tas de beaux films sympa sur Noël à regarder, et un gros paquet de guimauves qui m’attends.. et puis au pire je penserais à toi en mangeant ce qui était censé être notre repas du réveillon. » Elle voulait vraiment qu’il part serein à son repas de famille sans se dire une seule seconde qu’elle pouvait être seule à l’appartement un jour de Noël. Elle aura bien quelque chose à faire demain, il y a toujours quelque chose à faire chez soi. Une lessive, du ménage, repassage, les poussières ou autre. «Et puis.. c’est déjà gentil de ta part de passer le réveillon avec moi. Je ne veux pas t’accaparer en plus le jour de Noël. » Elle vint déposer ses lèvres sur sa joue, puis sur le coin de ses lèvres et finalement une fois de plus sur sa bouche pour lui offrir un doux baiser qui se voulait rassurant autant que ses paroles.

 

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Parfois les gestes veulent plus dire que les mots. Alexander sait que Paisley est heureuse de ce cadeau parce qu’il le voit dans son regard. Elle est heureuse de ce cadeau tout comme il est très heureux de celui qu’il a reçu. Cette clef ne le quittera jamais, cette clef lui donnera de la force et du courage à tous les jours lorsqu’il se sentira plus vulnérable, plus déprimé, plus faible. Alexander est policier mais il lui arrive parfois de se sentir faible, d’être mal dans sa peau et d’avoir envie d’envoyer le monde entier au diable. Faire un métier comme le sien ne rend pas quelqu’un un surhomme. Alexander aussi peut avoir peur lorsqu’il est sur certains appels parce qu’il ne sait jamais si quelqu’un aura un pistolet, un couteau ou autre. Il garde son sang froid mais en lui il a peur. Un simple contrôle routier peut virer en cauchemar, ce sont des choses qui ont déjà été vues dans le monde.

Laissant Paisley lui caresser la joue avec ses doigts fins, il se doute bien qu’elle veut lui dire quelque chose qui est peut-être difficile à dire puisqu’elle n’a jamais été le genre de femme à hésiter autant. Elle n’est jamais passée par quatre chemins pour dire ce qu’elle pense. Il la regarde en silence, totalement prêt à l’écouter. Voilà qu’elle ne veut plus venir chez ses parents demain. Alexander ne peut pas lui vouloir, elle a le droit de ne pas vouloir venir bien qu’il trouve ça dommage. Elle ne veut pas, il ne lui tordra pas un bras.
ALEXANDER : « Je ne te cacherai pas que ça me déçoit un peu, mais je comprends parfaitement. J’agis avec toi comme si nous étions en couple tous les deux alors je sais que nous ne le sommes pas. Je suis désolé si je te fais peur. »
Peut-être devrait-il prendre comme résolution de la laisser vivre sa vie, d’arrêter de vouloir la protéger, d’arrêter d’espérer plus.
ALEXANDER : « Si tu veux faire le ménage de ma chambre je ne dis pas non. »
Dit-il pour rigoler.
ALEXANDER : « Si tu changes d’idée demain tu seras la bienvenue encore. »
Dit-il juste avant qu’elle dépose ce baiser sur ses lèvres. Il se permet de le prolonger avec un peu plus de passion, plus d’envie. Il avait dit qu’il n’oserait pas la manger, mais au fond de lui il aurait bien envie de prendre le temps de la déguster.

 

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La famille, c'est important. On ne présente pas n'importe qui à la famille et certainement pas un jour aussi important que Noel. Sa relation avec Alexander était particulière. Ils ont couchés ensemble, ce sont offert de doux moments de tendresse, quelques belles paroles, des baisers et pour elle, ce fût les plus beaux moments qu'elle avait pût avoir depuis son arrivée à Miami. Est-ce que cela suffit pour les considérer comme en couple? Peut-être. A vrai dire, elle n'en sait trop rien. Elle aime énormément le garçon, bien plus qu'il ne pourrait se l'imaginer, mais malgré tout, elle continuait d'être Paisley, cette maladroite qui a toujours eu du mal à aimer autrui. Paisley, cette demoiselle qui aime prendre son temps, qui aime comprendre ce qu'elle ressent à défaut de s'emballer et de se voir déjà mariée et mère de trois enfants. Elle sait particulièrement que c'est son rêve à lui, qu'il rêve de tout ça, et elle a peur Pais qu'il se projette trop vite dans l'avenir. Alors, elle avait finalement refusé d'être présente au repas de famille du lendemain, parce qu'elle ne se voyait pas débarquer chez les Roberts avec son joli minois et leur dire simplement: Bonjour Monsieur, Madame, je suis la nana que vôtre fils à manqué d'arrêter puis avec qui il s'est mit en colocation et celle qu'il a récemment sauté. Elle ne connaissait pas la famille d'Alexander, mais une chose est sûre, aucune mère n'aimerait voir son fils traîner avec une fille de ce genre la,aussi gentille qu'elle pouvait être finalement. Elle s'imaginait également le nombre de questions qu'elle aurait le droit, sur elle, sur sa vie, sur sa famille aussi, et elle n'était vraiment pas prête à répondre à tout. Elle est fragile Paisley, terriblement fragile sur le sujet, Alexander lui même ne connaissait rien d'elle et de son passé, loin du beau paysage de Miami.

Au fond d'elle, elle espérait sincèrement que le jeune homme ne soit pas triste ou déçu à l'idée de ne pas être accompagné le jour de Noel. Doucement, elle vint lui offrir quelques caresses sur le visage, sur sa joue en ne le quittant pas un seul instant des yeux. Je ne te cacherai pas que ça me déçoit un peu (..) Ah. Voilà qui n'arrange pas l'affaire.mais je comprends parfaitement. J’agis avec toi comme si nous étions en couple tous les deux alors je sais que nous ne le sommes pas. Je suis désolé si je te fais peur. Oh. Elle secoue la tête négativement. Ce n'est pas lui le fautif dans l'histoire mais bien elle. Il était peut-être temps que les cartes soient mises sur tables, qu'ils discutent de leur relation, de ce qu'ils sont l'un pour l'autre.«C'est pas ça Alex.. Je veux juste prendre mon temps. J'ai pas envie de me précipiter, j'ai pas envie de faire mal les choses, tu comprends?» Elle tentait du mieux qu'elle le pouvait de lui expliquer ce qu'elle ressentait intérieurement à l'aide de mots qu'elle peinait au fond à trouver. «Le truc c'est que.. j'ai jamais été amoureuse de toute ma vie. Ça peut paraître con je sais mais l'amour ça me fou clairement les jetons. Je suis pas prête pour le moment à rencontrer quiconque, à me projeter dans l'avenir. Je dis pas que ça arrivera pas un jour, mais j'ai encore besoin de me reconstruire et d'oublier quelques vieux démons du passé pour pouvoir songer à l'avenir.» Elle n'oubliait pas ce frère et cette sœur qu'elle avait perdue un peu trop précipitamment et qui, aujourd'hui, était sa priorité. «Tout ce que tu dois savoir c'est que je tiens énormément à toi, bien plus que tu ne le penses. Tu es important à mes yeux, dans ma vie, et je me vois pas la continuer sans que tu sois la..» L'avenir? Il est loin mais il sera beau, parce que chaque être humain mérite qu'il le soit pour lui.

Comme pour détendre l'atmosphère, il s'était permit une petite plaisanterie qui la fit doucement rire pour le coup. «Alors ça par contre, n'y penses même pas. Tu te débrouilles avec ta chambre de mec!» Une petite tape sur le torse de sa main libre et de nouveau elle retrouva son sérieux, ou presque. Son sourire n'avait pas quitté ses lèvres, ni son regard du sien. Ils étaient la à s'observer, à se regarder bêtement avant de s'offrir un nouveau baiser, doux dans un premier temps, amplifié au fil des secondes par la volonté même du policier. Un désir naquit au sein de la poitrine de la belle alors qu'une douce chaleur envahissait son visage, ses deux joues. Lentement elle détacha sa bouche de la sienne, restant pourtant à proximité immédiate prête à réceptionner une multitudes d'autres baisers. «Tu es sur que le four est pas allumé? Il fait une chaleur ici.. » qu'elle souffla sur son visage en gardant un sourire malicieux pour elle même en venant glisser ses doigts sur le nœud de sa cravate pour la défaire,elle qui pourtant s'était donné bien du mal à la remettre en place quand il était venu jusqu'à elle précédemment.
 

Paisley & Alexander

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Il fallait peut-être uniquement que Paisley lui dise une telle chose pour qu'il réalise qu'il va peut-être trop vite au final. Peut-être qu'il va trop vite parce qu'il a le pressentiment que sa vie sera courte. Après tout, il a raté dix ans de sa vie dans une relation cachée avec une femme mariée et il a failli mourir cette année. Peu importe, maintenant il sait très bien qu'il ne devrait pas se précipiter par risque de perdre Paisley. Il ne veut pas la perde elle a donc bien fait de lui dire. Il se calmera les hormones à partir de maintenant. Il ne veut pas la perdre alors il fera sans doute tout ce qu'elle désire pour éviter qu'elle prenne la fuite ou encore qu'elle rencontre un homme meilleur que lui.

Regardant son amie dans les yeux, il l'écoute attentivement pour comprendre tout ce qu'elle veut lui dire. Elle ne viendra pas chez les parents d'Alexander et il respecte ça. Après tout s'ils ne sont pas ensemble elle se sent peut-être mal d'être présente. Elle pense peut-être qu'elle n'a pas à être présente alors qu'Alexander est convaincu que ses parents seraient heureux de faire sa connaisse, de connaitre la personne avec laquelle leur fils vit. Inutile d'en parler plus longtemps puisque ça n'arrivera pas. Elle ne viendra pas et maintenant ils peuvent passer à autre chose.
ALEXANDER : « Je comprends totalement Paisley. »
Elle n'a pas à s'expliquer, mais elle le fait et Alexander l'écoute pour comprendre tout ce qu'elle lui dit. Elle veut s'expliquer sur le pourquoi du comment, ce n'est certainement pas lui qui lui dira de se taire. Les choses seront claires maintenant.
ALEXANDER : « Je serai toujours là, tu n'as pas à t'en faire avec ça. Je serai toujours là parce que ce collier sera toujours un petit de bout. »
Il lui sourit.

Voulant changer de sujet de conversation, il lui demande de bien vouloir faire le ménage de sa chambre si jamais elle n'a rien à faire. Alexander peut bien s'essayer. Il fallait bien qu'il s'attende à une telle réponse de sa part. Il regarde autour de lui ne trouvant absolument pas que sa chambre est en désordre. Alexander a passé l'âge de laisser tout traîner. Sa chambre est très bien rangée... Il fait semblant d'être offusqué.
ALEXANDER : « Ma chambre est mieux rangée que ta voiture en tout cas. »
Dit-il en riant avant qu'ils échangent de nouveau un baiser qui prend un peu plus d'ampleur. Ils peuvent bien se faire des petites blagues parce que ce n'est jamais rien de bien méchant.
ALEXANDER : « Je pourrais te répondre que c'est moi qui brûle pour toi, mais je ne le dirai pas. »
Il sourit en la laissant totalement prendre le contrôle de son nœud de cravate qu'elle lui défait... à moins qu'elle décide au dernier instant de tirer dessus pour l’étouffer. On ne sait pas ce qui se passe dans la tête d'une femme. Elle pourrait être prise d'un sentiment de vengeance, d'une envie soudaine de lui montrer qu'elle est la patronne.
ALEXANDER : « Tu as chaud mais c'est moi que tu es en train de déshabiller... c'est vrai qu'une fois presque nue je vais assez te refroidir. »

 

Paisley & Alexander

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Des explications. C'était exactement cela qu'elle lui devait. Quelques explications sur son comportement soudain, sur l'inquiétude et l'angoisse qu'il pouvait lire sur son visage. Elle tenta, en essayant d'être le moins maladroite possible, de lui expliquer les choses, de lui dire que tout semblait aller beaucoup trop vite pour elle qui n'était pas habituée à tout cela. Elle venait tout juste d'apprendre à le connaître, autrement que Colocataire. Elle le découvrait au fil des jours, des semaines et elle refusait d'être de suite présentée à ses proches qui,  et notamment les parents, s'imagineraient de suite pas mal de chose les concernant. Elle ne voulait pas entendre parler de potentiel mariage, d'enfants ou de projet d'avoir pour eux une belle et grande maison ou ils pourraient accueillir divers animaux. elle avait ce besoin de prendre son temps, à vingt cinq ans, ont a souvent d'autres choses en tête. Par chance, le message semblait être bien passé et c'est avec une certaine surprise qui lui fit comprendre qu'il adhérait à ses propos.Une chose qui la fit doucement sourire, puis rire à l'instant même ou il s'était amusé à lui demander de ranger sa chambre durant son absence.

Il en était hors de question. C'est qu'elle n'aimerait pas empiéter dans son petit monde bien à lui. Comme elle pouvait avoir quelques secrets cachés dans ses tiroirs et armoires, Alexander devait certainement, lui aussi, avoir quelques petites babioles qu'il souhaitait garder personnelles. Elle se refusait donc de fouiller l'intérieur pour le rendre propre, il s'en chargerait à son retour. Il continua ainsi à s'amuser d'elle et c'est en riant qu'elle lui offrit une petite tape sur le torse.«Laisse ma voiture en dehors de ça tu veux? En attendant elle me sert bien pour aller travailler au Devil's et c'est l'essentiel.» Elle tentait tant bien que mal de défendre le bazar monstrueux contenu dans sa voiture. Si il y a bien un endroit qu'elle détestait ranger, c'était bien son véhicule. Il lui arrivait même d'y laisser quelques emballages de sucreries ou de gâteaux à l'intérieur. Elle n'avait pas le temps ni l'envie de l'astiquer sans arrêt, préférant privilégier la propreté de l'appartement que celui de son moyen de transport.

Puis, soudainement, ils s'échangeaient un premier baiser, un deuxième suivit rapidement le premier. Un baiser amplifié, démonstratif d'une envie commune enfouie au plus profond d'eux. Cette envie grandissante qui réchauffa l'atmosphère, la pièce dans laquelle ils se trouvaient. Un sourire malicieux sur le bout des lèvres, elle vint défaire son nœud de cravate pour la retirer, prétextant qu'il faisait une chaleur étouffante dans les environs. La réponse du brunet la fit d'avantage sourire, l'amusant au passage.«Cette cravate est de trop à mon goût..» qu'elle continuait de souffler en venant effleurer ses lèvres aux siennes pour le tenter d'avantage. La cravate entre ses mains, elle vint filer le tissu derrière sa propre nuque à elle pour la porter vulgairement. «Puis.. Elle me va beaucoup à mieux à moi qu'à toi.» Et elle riait, s'amusait en ne le quittant pas une seule seconde des yeux.Cette cravate servirait à nouveau pour cette fois se retrouver contre sa nuque à lui, et d'un geste plutôt franc elle tira sur les deux extrémités pour l'attirer à elle et lui offrir un nouveau baiser langoureux, profitant de l'échange pour faire dégager sa paire de talons d'un mouvement de pieds. Ce réveillon promettait. Elle ne quitta sa bouche que pour reprendre son souffle, jetant sa tête contre le matelas pour le regarder, pour jouer avec les boutons de son veston cette fois. Son sourire s'agrandissait encore plus quand elle s'était mise à le chercher, à le provoquer du regard. «Ça aussi c'est de trop.» Un bouton, deux boutons, trois boutons et le veston put enfin glisser du corps robuste du garçon pour se retrouver rapidement sur le sol.
 

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Il est important de se parler dans la vie pour que les choses soient claires. Alexander comprend maintenant qu’il est peut-être trop vite vis-à-vis Paisley. Il doit arrêter et prendre plus son temps avec elle sinon elle partira et plus rien ne sera possible. Peut-être même devrait-il attendre qu’elle fasse les premiers pas d’elle-même. Il s’en voudrait qu’elle ne veuille plus de lui, qu’elle parte avec un autre homme qui lui fera peut-être de la peine. Si elle fréquente des hommes comme ses amis elle pourrait s’attirer de gros problèmes. Les hommes violents, les hommes drogués, les hommes alcooliques et les hommes bandits ne sont pas des hommes fréquentables. Alexander doit tout de même cesser de juger les amis de Paisley... même si c’est plus fort que lui.

Est-ce que Alexander a des secrets? Sans aucun doute! Est-ce de lourds secrets? Probablement pas. Elle ne risque pas de tomber sur des objets spéciaux. Ses secrets sont dans sa tête, aucun secret n’est du matériel. Il ne peut s’empêcher de lui parler de sa voiture qui est parfois en bordel, dans lequel se trouve souvent des objets de toutes sortes comme si elle vivait dans sa voiture. Alexander se souvient une fois être tombé sur un sèche-cheveux dans le coffre arrière ou encore sur des ustensiles dans le coffre à gants. Le voiture d’une femme est comme son sac à main, il renferme plein de choses surprenantes.
ALEXANDER : « Tu vas travailler au Devil’s avec la Devil's Mobile. »
Dit-il en souriant avant de déposer un baiser sur sa joue en guise d’excuse.

Il fait supposément chaud dans cette pièce aux dires de Paisley. Ce n’est pas Alexander qui a monté le chauffage dans le but qu’elle se déshabille. Il est bien de le préciser parce qu’elle pourrait croire que c’est ce qu’il a fait. Elle a chaud, mais c’est lui qu’elle déshabille... preuve qu’elle n’a pas si chaud que ce n’est qu’un prétexte pour déshabiller Alexander. Ce petit jeu lui plait bien d’ailleurs. Une femme joueuse, que demander de plus? Absolument rien!
ALEXANDER : « Elle t’irait mieux si tu étais totalement nue. »
Dit-il en glissant ses mains sur les cuisses de Paisley qui elle passe de nouveau la cravate autour de son cou et se fait tirer par elle. Il ne peut que se laisser faire et venir l’embrasser avec une certaine envie, une passion, un désir d’aller plus loin. Pourquoi se priver? C’est Noël après tout, ils peuvent se faire un cadeau de chaleur humaine.
ALEXANDER : « Hummmm... alors ça aussi c’est de trop. »
En descendant la fermeture éclaire le long du dos de Paisley. Si elle peut se permettre de le déshabiller alors lui aussi peut se permettre une telle chose.
ALEXANDER : « Tu me remercieras plus tard de t’avoir sauvée de l’étouffement que provoque ta robe. »
En deux temps trois mouvements, je me retrouve au-dessus de Paisley, venant l’embrasser dans le cou, faisant tranquillement descendre sa robe.

 

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Son véhicule n'était pas l'un des plus récents, mais il était suffisant pour la conduire ou bon lui semble soit notamment à son travail. Elle était serveuse au Devil's depuis quelques temps, et il fallait qu'elle soit irréprochable pour donner une bonne image des lieux à la clientèle. Il n'est pas rare d'y retrouver un rouge à lèvre, un mascara, une prise de portable ou tout autre bordel à l'intérieur. Si sa chambre à coucher avait le mérite d'être propre et soigneusement rangée, il n'en était rien de sa fameuse "Devil's mobile" comme il venait de la surnommer. Il faudrait qu'elle songe à en prendre soin un de ses jours. Un jour prochain certainement..En attendant, elle avait bien mieux à faire que de parler chiffons.

Une nouvelle partie de jeu venait de commencer. Un jeu qui opposaient les deux colocataires l'un contre l'autre. Le but étant de rendre dingue l'autre en un temps records. Elle fût la première à lancer les hostilités, ne se gênant pas pour lui retirer sa cravate pour s'amuser avec le tissu qu'elle tint entre ses doigts. L'appartement ou du moins la chambre devint alors une véritable fournaise dont la source n'est autre que leurs deux corps désireux d'être consumés l'un l'autre. Ils s'amusent,  se sourient mutuellement, ils savent ce qu'ils veulent mieux que personne. Elle autant que lui en ont envie, terriblement envie et rien ni personne ne pourrait les empêcher d'aller plus loin. Un nouveau baiser sulfureux fut échangé entre les deux amants juste après qu'un frisson n'ait parcouru son corps tout entier en sentant les mains du policier sur ses cuisses. Il marquait un sacré point dans la partie et il ne s'arrêterait pas la. Alors qu'elle s'attaquait à son veston pour le faire glisser de ses épaules, ce fût à son tour de sentir un vêtement lui échapper. Sa robe qu'il fit glisser après avoir fait glisser sa fermeture éclair.

Alexander jouait clairement et cette initiative lui plaisait beaucoup. Elle l'observait alors qu'il la surplombait pour baiser son cou avidement.«Tu triches.» qu'elle vint lui souffler au creux de l'oreille, l'incitant à relever la tête pour croiser une énième fois son regard depuis le début de la soirée. «Si ma robe est de trop.. Alors ça aussi ça l'est.» Et elle attrapait de son pouce et index sa chemise qu'elle pinçait pour lui faire comprendre que c'était bien la le vêtement de trop à ses yeux. Sans attendre un mot de sa part elle entreprit de déboutonner les premiers boutons de la dîtes chemise en question pour laisser d'avantage sa chair apparaître à sa vue gourmande. «La vue est pas mal d'ici.» qu'elle soufflait en voyant ce torse apparaître au plus elle retirait les boutons, ses mains indiscrètes ne purent s'empêcher de le caresser une fois libéré de la couche de tissu précédemment posé contre. Sans plus attendre, elle tira un dernier coup sec sur la chemise pour la balancer plus loin une fois qu'elle aurait quitté le corps du bel Alexander, puis ce fut à son tour de retirer totalement cette robe pour se retrouver simplement en lingerie contre lui.«J'aurais presque l'impression qu'ont a mal choisi nos tenues pour ce réveillon j'me trompes?» qu'elle demandait en l'attirant contre elle pour sentir la peau chaude de son torse contre sa poitrine recouverte de sa lingerie, de son abdomen contre le sien. «J'ai envie de toi..» et elle s'en mordait la lèvre avant de plaquer à nouveau sa bouche contre la sienne pour un nouveau baiser aussi fougueux , si ce n'est d'avantage que les précédents qu'ils s'étaient échangés.
 

Paisley & Alexander

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Alexander pourrait peut-être lui acheter une voiture si son budget lui permet. Sans que ce soit une nouvelle neuve, il pourrait lui trouver une voiture usagée mais plus récente que la sienne. Il aimerait beaucoup, mais sans doute qu’il ne pourra pas pour le moment parce que c’est quand même beaucoup d’argent et connaissant Paisley elle ne voudra pas un tel cadeau. Elle pourrait aussi dire à Alexander qu’il va trop vite encore une fois et ça il n’en a pas envie. Il mettra cette idée de côté pour toujours.

Jouer avec Paisley est toujours intéressant, surtout depuis qu’ils ont eu leur première fois tous les deux il y a peu de temps. Ils jouent souvent ensemble, mais leur jeu s’est élevé d’un cran l’autre matin où ils ont partagé un peu de chaleur humaine. Avant qu’ils jouent de manière plus intime, ils jouaient beaucoup amicalement et c’était toujours rigolo... bien qu’ils se sont souvent pris la tête pour des questions d’ivresse ou encore pour des questions de délits. Tout cela est derrière eux maintenant même si Alexander aura toujours un œil sur les faits et gestes de son amie.

Si Pailsey a le droit de jouer alors Alexander aussi a le droit de jouer. Le jeu n’a jamais fait de mal à personne et souvent les femmes aiment les hommes qui osent prendre les devants. Est-ce qu’il triche comme le prétend Paisley? Alex ne voit pas cela comme de la triche, mais comme des préliminaires. Les préliminaires sont importants question de se mettre dans l’ambiance, de se préparer mentalement, de faire durer le plaisir le plus longtemps possible.
ALEXANDER : « Je le pensais aussi, mais je n’osais pas le dire. »
Dit-il alors qu’il la laisse déboutonner sa chemise.

Les mains de Paisley sur la peau nue provoque chez lui un long frisson qui traverse son corps de la tête aux pieds. Ses mains sont douces et tellement délicates, de vraies mains de femmes comme il les aime. Ses douces mains retirent totalement sa chemise. Alex est torse nu, c’est d’ailleurs dans les moments comme celui-ci qu’il est assez content de s’entraîner au gym puisqu’il n’a pas honte de son corps. Il n’est pas taillé au couteau, mais il n’est pas à plaindre.
ALEXANDER : « Au contraire, je trouve ça excitant de pouvoir te déshabiller, découvrir de nouveau chaque parcelle de ton corps. Je trouve ça très érotique. »
S’embrassant, Alex dégrafe le soutien-gorge de sa colocataire qui affirme avoir envie de lui. Elle a envie de lui et il a envie d’elle. Ce soir rien ne pourra les arrêter, ils sont intouchables. Paisley a une poitrine juste parfaite, pas trop petite ni trop grosse. Ce n’est certainement pas Alexander qui se privera de la regarder et de la caresser.
ALEXANDER : « Ça je m’en doutais sinon nous ne serions pas rendus là présentement. »
Dis-je en souriant contre ses lèvres. Ne pas avoir envie de moi, elle ne serait pas à moitié nue comme ça dans le lit à être aussi sexy et invitante.
 

Paisley & Alexander

Beautiful Night

Elle voulait que cette soirée soit parfaite, comme un peu toutes les soirées qu'elle pouvait passer aux côtés de Alexander. elle aimait terriblement sa présence à ses côtés, rire aux éclats, parler jusqu'à pas d'heure. Elle se souvient de ce jour ou elle était rentrée remontée comme pas deux du Devil's et que Alex s'était trouvé la, sur le canapé. Sans même lui dire un simple "bonsoir" , elle s'était assise, à côté de lui et avait commencé à parler, parler, encore parler. Se plaindre était l'un de ses plus beaux talents à l'époque, pour ainsi dire, elle ne faisait que ça et en même temps, on ne peut pas dire que certaines de ses collègues sont très fûtes fûtes. elle ne savait pas si cette conversation intéresserait le brunet, si elle en faisait de trop, si il avait juste envie d'une chose: Lui faire fermer son clapet, mais elle avait continué de parler et ce jusque tard dans la nuit, finissant par s'endormir sur le canapé sans savoir si Alexander était parti dans sa chambre ou pas. L'ange alexander l'aidait à prendre les bonnes décisions dans la vie, quand personne ne la conseillait sur ses choix, lui le faisait, n'hésitant pas parfois à faire usage de sa moralité pour la remettre dans le droit chemin. Il était comme ça Alex, et pour rien au monde elle ne le changerait. Ce mec la lui plaisait comme il était, et elle espérait du plus profond de son cœur être une bonne compagnie pour lui aussi.

en attendant, ils étaient la, à se découvrir à nouveau, à s'offrir l'un à l'autre. Plus elle le déshabillait et plus la température de la chambre montait d'un cran supérieur. Ce corps d'homme la surplombant lui donnait terriblement envie, tout comme le sien de corps semblait ravir les yeux gourmands d'Alex. A cette allure, ils finiraient bientôt nus à se consumer l'un l'autre comme ils avaient pût le faire la fois précédente, sauf que contrairement à cette matinée la, Alex se montrait dix fois plus joueur, dix fois plus entreprenant, et elle n'avait pas peur Paisley de jouer avec lui cette fois. j'ai envie de toi. la bombe était lâché et cette envie, elle l'avait sentie jusqu'aux tripes, ça lui soulevait les entrailles, encore plus fort qu'un simple lâché de papillons au creux de l'abdomen. son soutien-gorge vint rapidement rejoindre sa chemise à lui vulgairement balancée sur le sol. seins nus face à lui, un souffle chaud s'échappait de ses lèvres quand elle s'était sentie observée, caressée, amplifiant d'avantage le désir qu'elle pouvait ressentir à son égard. il voulait de l'érotisme, il n'en serait pas déçu. tout était d'une sensualité à en mourir sur place, loin d'une simple partie de jambe en l'air fougueuse et sauvage, cette fois encore, ils prenaient le temps de se déshabiller en usant d'un peu malice pour rendre le jeu encore plus excitant. elle laissa courir un peu plus longtemps ses doigts contre le torse du brunet pour en profiter pleinement juste avant de s'attaquer cette fois à son pantalon pour le détacher, jouant avec les coutures de ce dernier pour pousser le beau policier à le retirer totalement. Ils finiraient à part égale dans ce petit jeu qui avait commencé par un déshabillage pur et simple. elle en culotte, lui en boxer. égalité parfaite.«Ex aequo.»il souriait, elle souriait, revenant une nouvelle fois chercher sa bouche parfaite avec la sienne pour l'embrasser passionnément.

il n'y avait rien de plus enivrant que de sentir son souffle se mêler au sien, de sentir la douce caresse de sa bouche contre la sienne, de leurs deux langues entremêlées, joueuses elles aussi. elle le voulait, sans plus attendre et ses deux cuisses lui frayait par avance un passage ou il trouverait facilement sa place sans crainte. le corps d'alexander est merveilleux, et pour elle, sans aucun défauts. elle le découvre, apprécie bien plus ce présent que le précédent. ses doigts courent à nouveau, ils ne font que ça, le long de son cou, de sa nuque, se perdent dans sa chevelure alors que ses lèvres s'activent un peu plus pour rendre le baiser intense, sulfureux, encore plus chaud que la température de la pièce et sans plus attendre, elles descendent ses mains, elles n'ont pas le temps de jouer d'avantage, elles descendent toujours plus jusqu'à son boxer ou le contenant semble d'avantage les intéresser que la couverture. Ses lèvres quittent exactement les siennes quand sa main droite s'était saisit de cette virilité pour commencer quelques mouvements de bas en haut sans jamais le quitter des yeux. elle voulait l'entendre gémir de plaisir, sentir ce même plaisir grandir en lui, au point qu'il ne tiendrait plus pour la prendre, dans ce lit, peut-être plus sauvagement que leurs précédents ébats.