Alysse &
Sibbie

Les seules fêtes "sécur" en ce moment ce sont les fêtes en plein air. Il y a de la place, on peut ne pas trop s'approcher des inconnus - sauf si on en a envie - et même bourré on risque pas énorme. La plage, c'était le nouveau rendez-vous pour des fêtes réussies et sans trop de dépassement des règles sanitaires. On avait toute la plage pour nous, et ça, ça n'avait pas de prix.

J'avais besoin de cette fête. j'étais quelqu'un qui sortait énormément et ce confinement m'avait tué. Bon, je le passais en grande partie avec mon cousin Arlo, encore heureux, puisqu'il est agréable à vivre. On  avait fait quelques beuveries tous les deux, quelques soirées bien marrantes. Je bossais encore beaucoup malgré la maladie. Enfin bref, je suis quelqu'un qui a besoin de rencontrer du monde, des gens que je ne connais pas. J'aime apprendre à connaître les gens, même si je dois rester à un mètre ou porter un masque. Jusque là, je le garde dans ma poche arrière en gardant mes distances, prenant soin de me faire apporter mes verres. L'alcool commence un peu à faire tourner le monde autour de moi et je me déhanche sur la musique, mes compensés dans le sable. J'ai remarqué la jolie blonde directement. Mon radar a hurlé et je me retrouvais non loin d'elle assez rapidement. Elle semblait aussi avoir un coup dans le nez, je reconnaissais la même appartenance à la team alcoolisée. On nous apportait un verre à chacune en même temps, le même. Je le prenais en la regardant. aux plus belles blondes de Miami, et plus sexy. lui fis-je en parlant clairement d'elle et moi. Je levais mon verre à mes lèvres pour le finir directement. ça fait du bien, hein? lui fis-je ensuite avant de lui sourire. ne me dis pas que tu es seule, ce soir. avec toi impossible de garder le masque dis-je alors comme une phrase de relou en lançant un clin d'oeil ridicule avant de rire. L'alcool faisait carrément effet, je lançais de la bonne merde à mon interlocutrice sexy.

Alysse &
Sibbie

Elle avait passé la journée à coller des affiches. Si bien qu’elle ne vit pas le soleil se coucher. Lorsqu’elle arriva aux abords de la plage, en fin de journée, elle vit qu’une soirée était en cours. Elle se rappela alors sa rencontre avec James... cette époque où elle venait de se faire violer. Le temps était passé à une de ses vitesses et Alysse n’était plus la même femme. Cela faisait plusieurs jours qu’hades et elle était en quête de réponse. Bientôt, ils se rendraient à New York, ayant rendez-vous avec le directeur de l’école de la jeune fille. Mais en attendant, la mère ne pouvait rien faire de plus... et si elle continuait d’harceler les forces de l’ordre... bref.  

Elle s’avança sur le sable, ayant retiré ses tennis blancs qu’elle accrocha à son sac en bandoulière de cuir marron. Elle portait une petite robe simple. Légère, courte et décolleté... c’était parfait pour ne pas avoir chaud. Elle portait sur son nez des lunettes de soleil qu’elle remonta sur sa tête, ne voyant plus grand-chose. Un verre ou deux lui feraient du bien se dit-elle. Elle vint s’asseoir au comptoir d’extérieur qui se trouvait là et commanda alors...

Les heures passèrent et la blonde se trouvait toujours là. Dansant au rythme de la musique en feu, elle ne se souciait pas de sa robe qui remontait à la limite de ses courbes arrière quand elle levait les bras. Elle se fichait qu’on puisse voire la naissance d’une brassière en dentelle blanche lorsqu’elle se déhanchait. Elle était bien trop alcoolisée pour être encore lucide. Souriant comme une adolescente et les paupières closes, elle se laissait guider par les basses. Là, en cet instant... elle oubliait tout. Il n’y avait plus de réalité. Plus de problème. Juste l’alcool qui gisait dans son sang et lui donnait l’impression de flotter.  

Lorsqu’elle ouvrit les paupières, elle remarqua une autre blonde qui venait de la rejoindre et qui la toisait de bas en haut. On leur apporta un verre, d’on ne savait où et l’inconnue leva le sien en s’exclamant. Alysse se mit à rire et poussa un cri en levant le sien qu’elle termina aussi d’un coup. Elle secoua la tête en poussa un soupire en sentant le feu de l’alcool brûler de façon réconfortante sa gorge et elle se mit à rire en suivant les mouvements de la belle blonde en face d’elle.

“T’imagine même pas !!!” s’exclama Alysse en levant les bras, tournant sur elle-même en ne perdant pas son sourire quand alors, la jeune femme à ses côtés lui fit un clin d’œil précédé d’une phrase qui fit pouffer de rire la belle ivre. Elle se pencha vers elle, s’exclamant alors à son oreille : “Je rêve où tu me dragues ?!!” s’amusa-t-elle, n’ayant clairement plus conscience des limites qui existait et de celles qu’elle pouvait se fixer d’ordinaire : “Je m’appelle Alysse !! ET TOI t’es toutes seule aussi !!???” fit-elle tout en continuant à se déhancher.  

Alysse &
Sibbie

Je n'aurais pas pu passer à côté de la magnifique blonde qui se déhanchait plus loin à la même soirée que moi. Jamais. Elle avait l'air de vivre sa meilleure vie, sans se soucier des autres. Ses bretelles tombaient souvent de ses épaules, sa robe remontait sur ses cuisses dorées par le soleil de Miami.. elle s'en foutait. Elle émanait quelque chose qui fonctionnait en trente millième de seconde chez moi. Surtout avec alcool. J'aurais cherché toute une stratégie pour aller vers elle en temps normal mais là, j'y allais cash, sans réfléchir. Elle avait l'air un peu comme moi, comme ça. Je n'allais pas laisser passer une occasion pareille. Je ne laisse jamais passer quelconque occasion de toute manière, je suis du genre à

Alors je nous payais des verres et je m'avançais vers elle pour l'avoir face à elle et voir sa descente. Comme moi, elle l'enfilait d'un coup. Le sourire aux lèvres, je lui lançais une première remarque puis une deuxième : totalement de mauvais goût mais c'était trop tard, l'alcool m'avait fait parler et ça faisait rire la belle blonde. Je riais avec elle, car j'assumais ma phrase de merde. Elle vint vers elle, s'avançant à son oreille elle lui demandait si elle la draguait. Je levais mes sourcils en levant mon verre vide. ah mais carrément. bon d'habitude j'ai des approches plus travaillée, je te rassure. j'assume la nullité de celle-là! lui fis-je alors en posant mon verre n'importe où afin d'être tranquille. Je suis Sibbie, -je marquais une pause en m'approchant - et tu n'es plus seule Alysse. lui répondis-je alors de la même manière, à l'oreille. Je me reculais en lui lançant mon plus beau sourire, passant ma main de son épaule à la naissance de sa brassière en dentelle qui débordait légèrement de sa robe. les blondes sont clairement les plus sexy. lui soufflais-je sur le chemin. J'attrapais alors sa main sur le chemin retour de la mienne pour une danse caliente hanche contre hanche qui collait bien à la musique. J'étais bien plus heureuse d'être sur ce type de danse plutôt qu'un rock, c'est beaucoup moins sexy. J'étais clairement en mode flirt. Je passais un doigt dans sa chevelure dorée pour mettre derrière son oreille et ajouter : je te drague peut-être mais tu as l'air plutôt réceptive. j'avais l'habitude de me prendre des vents avec les nanas, car rares étaient celles qui assumait le homosexualité ou bisexualité. Encore plus quand j'étais bourrée parce que comme avec Alysse, je fonçais dans le tas sans prendre le temps d'observer pour savoir si j'avais une chance. Alors soit ça l'amusait juste, soit elle était homo/bisexuelle comme moi. ça, j'essayais de le savoir encore. Ou alors l'alcool parlait, car elle était à un niveau bien supérieur de moi déjà !

Alysse &
Sibbie

En cet instant, Alysse n’avait plus de soucis. Elle redevenait celle qu’elle était en arrivant à Miami, presque dix ans en arrière. Elle était jeune, rebelle, frivole et surtout, elle ne se souciait de rien. Plus rien ne comptait si ce n’était l’alcool, la musique, la danse... et cette blonde en face d’elle. Fut un temps, lorsqu’elle devait avoir vingt-deux ans, Alysse avait connu une femme. La jeune femme aimait les hommes oui... mais elle savait reconnaître la beauté et l’attractivité d’une femme. Peu de gens connaissait son attirance pour les deux sexes, son ouverture d’esprit. Ce fut sa seule relation sérieuse avec une femme. Elle s’en souvenait encore. Bien entendu, lors de sa période de débauche, elle connue hommes et femmes de toute sorte. Même si elle avait ses préférences... mais cette blonde qui venait de la draguer ouvertement avait une flamme dans les yeux et une beauté sans pareil. Sublime. Il aurait fallu être aveugle pour ne pas le reconnaître. Peut-être profitait-elle de l’euphorie et de la vulnérabilité de la mère malheureuse. Mais cela aurait été n’importe qui qu’Alysse aurait été réceptive. Quoique... Sibbie avait une aura, une puissance intérieure qui donnait envie à Alysse d’en voir davantage. Elle voulait aussi savoir si elle arriverait à être de nature aussi aventureuse qu’à l’époque.

Oui... Elle n’était plus seule. L’inconnue glissa sa main, par ci... par-là... faisant frissonner la peau brûlante de la jeune femme. Souriant alors, elle l’accompagna dans sa danse, hanche à hanche. Ondulant au rythme suave de la musique qui s’élevait dans l’air extérieur, donnant à la plage une apparence Cubaine. La peau d’Alysse commençait à briller d’un voile de chaleur, sa bretelle tombant sur son épaule. Elle se laissait totalement guider, se moquant bien des regards excités des hommes qui s’imaginaient déjà en compagnie de deux déesses. La voix de Sibbie se fit une place à ses oreilles et la demoiselle sourit en coin alors : “Même si cela fait une éternité que je n’ai pas laisser une femme m’approcher sous cet angle... c’est très agréable. Donc pourquoi se privé des plaisirs que nous offre la vie !” Voilà qu’elle se faisait presque poète. Elle ondula du buste en avant, collant sa poitrine menue contre celle de la blonde. Alysse adorait danser et elle était plutôt doué. Elle recula un peu, tournant sur elle-même et se retrouva dos à la belle, attrapant une de ses mains pour la placer juste en dessous de son ventre, sur le côté, dans le creux de son aine. Elle ondula de nouveau, ce sourire charmeur ne quittant pas ses lèvres : “Mais je te préviens direct... c’est l’alcool qui me rend aussi... réceptive. Et crois-moi... tu peux en profiter” l’invita-t-elle clairement. Beaucoup préférerait ne pas profiter de la situation. Mais son but a elle était tout autre.

Alysse &
Sibbie

Un tas de mecs nous enviait, de loin, alors que nous dansions toutes les deux l'une contre l'autre. J'en apprenais petit à petit sur Alysse, et je souriais. mon objectif prochain sera de te draguer non alcoolisée alors... mais c'est pas pour tout de suite... fis-je alors dans son oreille alors que nous étions collée-serrée. Je profitais même de cette étreinte pour me faufiler derrière elle, regarder ces porcs qui nous mataient. Oh non ce soir les gars, elle était à moi et moi à elle. Pourtant, je ne pouvais m'en empêcher. regarde le ce mec là bas, et amuse toi un peu. c'est excitant comme ils nous mattent tous... fis-je alors en continuant de danser derrière Alysse, je caressais sa poitrine, tournant autour de son téton, descendant vers son bas-ventre, frôlant son sexe par dessus le tissu, descendant sur sa cuisse nue puis je remontais le chemin par la peau, pour faire naître sa lingerie aux yeux de l'homme et caresser plus proche son sexe. L'homme, complètement rendu fou de la vision n'assuma pas plus longtemps et s'en alla, ça me fit sourire.

tu vois les choses que tu as manquée... un tas de nanas doivent loucher sur toi j'en suis sûre. Moi par exemple, elle me rendait dingue. Sa peau sentait tellement bon, son odeur de parfum... ses cheveux... son corps. Waouh. Comment pouvait-elle être seule ce soir? Enfin, je prendrais soin d'elle puisque personne n'a décidé de le faire. Elle le méritait. Je voulais lui donner du plaisir, énormément de plaisir. Nos danses étaient folles, endiablées. Je reprenais place face à elle et nos lèvres se frôlaient. On buvait encore, on riait, on dansait n'importe comment. Nos cheveux s'entremêlaient, nos lèvres se frôlaient, nos souffles dansaient tout autant. Le front contre le sien, le nez collé, je caressais son cou jusqu'à sa poitrine battante. Alysse. Que dirais-tu de continuer cette petite fête un peu plus loin, dans les rochers...? J'adore les voir nous mater mais là... j'aimerais profiter de toi un peu plus... en privé. Je n'avais aucune limite. Je voulais lui faire l'amour là-bas, dans un coin caché, dans l'obscurité de la nuit la plus totale, la faire jouir comme elle ne l'aurait jamais fais. Peu importe si elle s'en souvient le lendemain, je savais qu'elle n'avait pas connu ça depuis longtemps et je comptais bien le lui faire regretter, au moins le temps de cette soirée.

Alysse &
Sibbie

L’alcool l’enivrait et elle se laissait totalement posséder par la blonde derrière elle qui ondulait avec. L’esprit dans le flou, le regard brumeux et humide, elle bascula sa tête en arrière, s’appuyant à l’épaule de la belle qui la caressait à la vue de tous. Mais beaucoup étaient déjà dans un état proche du leur. Et alysse se moquait de tout en cet instant. Elle soupira, inspirant fortement et alors, elle croisa le regard de celui qui insistait trop à les regardait. Souriant, amusée, alysse se mordit la lèvre, levant les bras, glissant ses doigts dans les cheveux de la femme derrière elle. L’homme ne put tenir plus longtemps alors qu’elle se cambra, sentant des frissons la parcourir. Sibbie revint en face d’elle. Leurs lèvres se frôlaient, les verres continuaient de fuser et Alysse se sentait de plus en plus partir, ondulant plutôt que de danser et manquant de chuter à plusieurs reprises. Quand alors la blonde proposa alors de se rendre dans un lieu plus intime, Alysse sourit, les yeux presque fermé tant elle avait bu et elle rit alors : “Allez viens beauté” fit-elle en courant difficilement jusqu’à un lieu clairement reculer, mais pas trop. Il commençait à faire sombre mais elle arrivait à clairement voir la blonde grâce à la lumière de la lune et au reflet du feu de camp qui se trouvait des mètres plus.

Sans attendre, Alysse plaqua la belle contre les rochers et emprisonna ses lèvres dans un baiser langoureux et chaud. Collant son corps au sien elle glissa sa langue contre la sienne en caressant son épaule et ses bras. Elle ne perdit pas sa douceur naturelle et sa passion. Mais on notait malgré tout une fougue et un désir d’abandon totale. Oublier, devenir une autre l’espace d’un instant. Ses lèvres glissèrent sur sa peau, glissant dans sa nuque, sa langue venant humidifier subtilement la peau sucrée de la belle. Elle sourit alors, revenant en face d’elle, devinant son regard dans l’obscurité : “On pourrait se faire surprendre à n’importe quel instant...” soupira-t-elle alors avant d’ajouté : “alors ? T'es plus du genre à prendre les commandes non ?” dit-elle en glissant sa main entre ses cuisses, frôlant son entre jambes avec délicatesse : “il va falloir me guider... je n’ai pas fait ça depuis longtemps” ajouta-t-elle avant de replonger dans un baiser qui se voulu torride et intense, laissant alors ses gémissements se mêler au bruits des vagues glissant en écume sur le sable... le faire sur le bord de plage serait également affreusement excitant... mais il y avait du monde....

Alysse &
Sibbie

ça devenait chaud entre elle et moi. L'alcool coulait à flots et on ne répondait plus de rien. Les deux blondes allaient dans l'obscurité de la nuit se découvrir plus intiment encore. Alysse me claquait contre un rocher et caressait mes bras. Je sentais la tension monter, le plaisir s'installer. Deux blondes qui se rendaient ce qu'elles méritaient. Elle méritait qu'on lui fasse plaisir, et moi aussi. Elle revint vers mon visage en me disant avoir peur qu'on se fasse surprendre. et...? lui fis-je alors en caressant sa joue. je n'avais pas peur du regard des autres, même dans le sexe. Il faisait suffisamment noir pour que personne ne nous remarque. il va simplement falloir que tu ne jouisses pas trop fort... lui fis-je alors en murmurant au bord de ses lèvres. C'était comme si c'était logique qu'en terme de plaisir, je le fasse avec elle et pour elle. Elle me disait que j'étais plus du genre à être aux commandes. Je souris. Elle vint frôler mon entre-jambe. Ma peau tressaillait sur son contact. L'alcool m'empêchait de prendre le contrôle des réactions corporelles. oui, mais tu peux le garder avec plaisir. lui répondis-je alors. être aux commandes c'était agréable mais se laisser faire c'était pas mal non plus. Elle me disait vouloir être guidée puisque c'était lointain sa dernière galipette homosexuelle avant de me kidnapper la langue d'une façon limite sauvage. Je passais mes mains dans ses cheveux avant de laisser glisser sa robe le long de ses épaules et de découvrir sa poitrine magnifique. fais ce qu'il te passe par la tête, fais ce que tu aimerais qu'on te fasse, ce dont tu as toujours rêvé de faire et qu'on te fasse. pas de tabous entre nous, ni de secrets. c'est ta nuit. lui fis-je alors. C'était ce que j'aimais dans le fait d'être homosexuelle. Avec les filles, nous avions bien moins de retenue : nous connaissions toutes les deux ce que ça faisait, ce n'était pas inconnu comme pour un mec. Alors nous savions y faire et sans retenue.

continue de la froler, comme ça... fis-je en commentant son geste entre mes jambes. tu sens comme ma peau tremble sous ton geste? profites-en pour ajouter tes lèvres dans mon cou, ou mordille mon lobe d'oreille... tente de me contrôler, que je ne puisse plus rien faire contre toi. elle voulait être guidée et je le faisais tout de même. Elle prendrait ou pas mes conseils. empêche mes lèvres de venir contre ton téton... fis-je en approchant mon visage de sa poitrine. contrôle l’incontrôlable, Alysse. N'aies peur de rien. On oublie ce qui nous entoure, on oublie que j'étais flic, que je suis plutôt dominatrice, plus de codes, plus de logique. elle pourrait sentir même à travers ma lingerie combien elle m'excitait. tu vas me faire perdre mes moyens... soupirais-je dans un souffle étourdi par la chaleur sexuelle qu'elle me faisait émaner. Elle me mettait dans un état incroyable. Son corps était somptueux, ses cheveux incroyables, cette tension sexuelle était rare. Sûrement accentuée par l'alcool mais je rêvais de vivre ce moment sans une goutte qui pourrait nous influencer. J'espérais qu'elle n'oublierait pas cette nuit-ci. Je déteste qu'on m'oublie...