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 De retour chez les vivants ? Cela mérite d'être drôle (feat April)

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(#)Sujet: De retour chez les vivants ? Cela mérite d'être drôle (feat April)  |   Lun 24 Aoû - 14:47

De retour chez les vivants ?

10h du matin. Orel venait tout juste de se réveillé, alerté par la musique de son portable qui signifiait qu'il avait un appel. Il grogna, la tête dans son oreillet et le laissa sonner jusqu'à ce qui se décide enfin à s'arrêter. Orel recommença à plonger dans le sommeil lorsque son téléphone recommença de nouveau à sonner. Putain mais pourquoi il ne pensait jamais à le mettre en silencieux ! Il releva sa tête, complètement décoiffé et avec une tête de zombie et saisit son portable avec le bras complètement mou. Il fronça les sourcils, plissant les yeux pour voir qui pouvait bien l'appeler.. Merde, l'agence de mannequin.. Putain mais il pouvait pas dormir en paix bordel de merde !! Il grogna et décrocha d'un air endormis : « Ouai.. » la voix de son manager gueulait de l'autre bout du fil. Il devait se dépêcher de venir sur le champ. Cela faisait plus d'une heure qu'il essayait de le joindre et maintenant il était à la bourre.. ouaiiii, qu'est-ce qu'il pouvait bien en avoir à foutre sérieux ? Il était souvent en retard de toute façon et Orel était loin d'être du matin.. surtout lorsqu'il se faisait réveiller par son manager alors qu'il n'avait même pas prit le temps de boire son café et fumé sa clope. Il grogna en sa passant la main dans les cheveux et finit par se redresser pour s'asseoir au bord de son lit. Il prit la bouteille d'eau qui se trouvait au pied de son lit et prit plusieurs gorgé avant de se râcler la gorge. Il s'étira alors, se rallongeant dans son lit, laissant ses jambes tomber sur le parquet froid. Il était complètement nu, aimant se sentir léger lorsqu'il dormait et pouvoir s'emmitoufler dans sa grosse couverture en plume. Bref.. un grognement et plusieurs soufflerie plus tard, Orel se leva enfin de son lit, toujours complètement nu et alla dans sa petite cuisine se servir le café de la veille pour le passé au microonde. Il alluma sa clope et sortit alors sur son balconnet, toujours et encore complètement nu, le membre se réveillant en même temps que lui et debout comme un chevalier servant. C'était d'ailleurs assez comique de voir un jeune homme nu, venant de se réveiller avec un café à la main, une cigarette à la bouche et le pénir en érection dépassant du balcon. Mais la fraîcheur matinale eut vite fait de le faire redescendre ce qui n'empêcha pas une voisine de palier de le regarder avec un regard plein d'intention malsaine. Il tourna le regard vers elle d'un air blasé.. Il se l'a tapait de temps en temps, quand son mari était absent.. elle était bien farouche et docile, comme il aimait lorsqu'il s'agissait d'une femme. Il se grata  gentiment les partie en la regardant et lui fit un clin d'oeil avant de jeter sa clope et de rentrer dans son appartement. Il posa sa tasse et se rendit dans sa mini salle de bain pour se doucher en vitesse et s'habilla ensuite d'un jean noir et d'un tee-shirt gris avec un motif dessus de batman. Il passa juste sa main dans ses cheveux et mit un bonnet sur sa tête avant d'enfin sortir de chez lui, sans se dépêcher le moin du monde.

Il alluma un clope en route, à pied avec son casque sur les oreilles et les mains dans les poches de son jean. Il ne se pressait absolument pas et prenait son temps. Il prit même le temps d'aller se prendre un café au starbuck du coin, dans le centre ville. Il envoya un texto un son manager demandant où était le lieu de rendez-vous ne se souvenant même plus du lieu. Il passa alors par l'agence de mannequin n'ayant pas eu de réponse et fut accueillit par toutes les greluches du secrétariat qui fantasmaient devant tous les mannequins de l'agence... pitoyable. Bon, elles étaient pour la majorité complètement déglingué et sans aucun intérêt, ce fut d'ailleurs pour cela qu'il s'était taper plus de la moitié d'entre elle.. la majorité avait été pitoyable mais l'une d'entre elle était pas mal pour la fellation.. une experte même et c'était le pêcher mignon du jeune homme. Il aimait baisser les yeux et voir une femme prenant goulument sa virilité de tout son long dans sa bouche et de les poussés jusqu'au plus loin pour atteindre l'extase dans leur bouche.. ouai.. Orel était un con abrupte et loin d'être romantique et il l'assumait parfaitement. Il arriva dans la salle de pause et vit la jeune femme en question. Grande, mince, blonde avec un regard de chatte en chaleur, tout ce qui plaisait à notre jeune Orel. Il ne lui offrit aucun sourire lorsqu'elle le salua en se mordant la lèvre, se cambrant déjà face à la machine à café pour le provoquer. Il ne se fit pas prier, même s'il savait qu'il était déjà à la bourre : « ok.. tu l'auras voulu » déclara-t-il. Il ne prit même pas la peine de fermer la porte et avança vers elle, soulevant violement sa jupe et déchirant le string qu'elle portait pour venir carresser d'un doigt son intimité, la poussa contre le plan de travail, la tête contre le mur, tenant fermement sa chevelure blonde d'une main ferme. Il sourit en coin en la sentant déjà si prête : « tu es toujours prête pour moi n'est-ce pas ma jolie.. je vais te donner ce que tu veux » il retira sa main, les menant à sa bouche pour venir apprécier le goût sucrer qu'elle avait et retira son bouton de jean pour venir prendre sa virilité entre ses mains. Il ne perdit pas de temps et pénétra la jeune femme violement, poussant un râle animal et posa sa main sur la bouche de la jeune femme pour qu'elle ne fasse aucun bruit, en vain étant donner qu'elle couinait déjà comme une petite chatte en chaleur. Il ne se laissa pas aller à la ménager en faisant des va et vient lent non, et partit directement dans une cadence rapide et violent, faisant claquer leur peau l'une contre l'autre dans un rythme rapide et saccadé. Un homme passa devant la porte, et s'arrêta, choqué devant cette scène. Amusé, Orel lui fit un clin d'oeil et l'homme partit comme il était arrivé, choqué comme jamais. James rigola, faisant hurler de plaisir la secrétaire dans sa main, et après quelques minutes à accelérer encore et encore le rythme, il s'abandonna en elle et se retira, remettant le bouton de se jean, donnant alors une claque sur la fesse de la jeune femme : « Allez, je suis pressé , ciao. » il l'a laissa là, essouflé et à moitier nu, appuyer contre le plan de travail, la semence du jeune homme s'écoulant doucement sur le sol.

Orel sortit du batiment avec les regards qui se tournèrent vers lui. La nouvelle de son ébat dans la salle de repos avait rapidement fait le tour mais ce n'était pas vraiment une nouveauté pour eux de le voir couché où il voulait avec qu'il voulait. Il sortit donc, la tête haute et amusé par la situation, pour se rendre à l'hôtel. Son manager lui avait envoyé l'adresse. Il alluma une nouvelle clope et ferma sa braguette en arrivant dans l'hôtel. Il s'annonça à la réception sa clope à la bouche et se fit réprimander. Il écrasa sa cigarette sur le meuble et sourit en coin en demandant où se trouvait le lieu et s'y rendit en ne disant sans aucun cas merci. Lorsqu'il arriva, son manager lui fit la leçon comme toujours. Et nia nia nia tu me coûtes des sous, et nia nia nia tu es pas raisonnable.. bref, il en avait rien à foutre. Il retira son bonnet et alla s'asseoir à une chaise en buvant son café : « Ca va ca va je sais putain tu m'emmerdes je suis là non ? Donc on s'y met et comme ça je retourne à mes occupations. » son pote photographe vint lui serrer la main et lui fit une vanne sur son éternel bonne humeur : « On change pas les bonnes vieilles habitudes » déclara-t-il en grognant. Quand alors il vit arriver la maquilleuse. Hoooo mais ce n'était plus la petite remplaçante. April était de retour et elle semblait tout aussi greluche qu'avant. Elle avait quelque chose de différent. Orel avait entendu parlé de son accident un truc du genre et un truc comme quoi elle était amnésique. Il allait encore plus rigoler. Pour la chambouler il fit un grand sourire forcé en la voyant arrivé et déclara de façon exagéré : « Apriiiil ! Ho ma petite, voilà enfin une survivante qui reviens du monde des morts, c'est que tu m'avais presque manqué ma petite blondinette » Orel avait toujours eu un faible pour les blondes, elle était vraiment très sexy il devait se l'admettre et la mettre dans son lit lui avait déjà traversé l'esprit. Mais elle était trop intelligente et maline et surtout pas assez soumise pour qu'elle ne l'intéresse. Les proies faciles, il les préférait au proie difficile « aloooors, tu te souviens de moi ma petite Makeup girls où je te fais un dessin ? »
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(#)Sujet: Re: De retour chez les vivants ? Cela mérite d'être drôle (feat April)  |   Lun 24 Aoû - 16:41
Cela faisait à présent deux semaines que j'étais sortis de l'hôpital, j'étais à présent suivis par des médecins qui s'assuraient que je progressais dans la reprise de ma vie. Ils voulaient s'assurer également que j'étais prête à reprendre le travail, et espéraient que très vite mes souvenirs reviennent à la surface. Pourtant durant ces deux premières semaines il n'y avait pas eu de très grandes évolutions, j'avais emménagé chez ma sœur Violette, elle était la dernière personne avec mon père dont je me souvenais le plus. Alors je ne voulais pas rester chez mon petit ami, enfin il paraît qu'il est , moi je ne me rappelle d'autant de nos moments à tous les deux, et cela me faisait peur, j'angoissais d'être dans la maison d'un homme avait qui j'aurais vécue durant des années et pour lequel actuellement je n'ai aucun souvenir, il était devenu comme un étranger et cela me faisait du mal de le voir si mal, et souffrir, je ne pouvais donc pas rester, j'étais effrayée par le fait de lui faire du mal, inconsciemment. Je devais tenter de retrouver mes marques, et cela passait dans un premier temps par reprendre le travail, après tout ça doit être comme le vélo quand on était douée dans un domaine, ça doit revenir naturellement puisque cela est innée le talent, suffit juste de revenir en selle. Alors c'est ce que j'allais faire, j'allais montrer que je suis capable de faire quelque chose, et que ce n'est pas parce que je ne me souviens plus de mon passé que j'allais cesser de vivre, je me disais que si j'avais survécu à cet accident, c'est que j'avais encore des choses à vivre, et à découvrir, c'était une seconde chance, une nouvelle vie qui s'offrait à moi et me tendait les bras.

Je devais donc en premier lieu reprendre contact avec l'organisme avec lequel je travaillais et pour lequel mon contrat n'était toujours pas terminé, puisque j'étais l'une des meilleures parait il. Je l'avais fais il y a cela deux jours, et je prenais connaissance alors du contexte, de la manière de travailler, j'avais refais une visite des lieux et refais connaissance avec le personnel de service, il fallait que je retrouve mes marques dans ce milieu, et c'était la seule chose qui me restait pour le moment, et j'aimais ce travail, du moindre c'est ce que je ressentais au fond de moi, j'avais l'impression d'être épanouie dans cet univers, après je pouvais me tromper, mais avec les anecdotes que les collègues m'avaient fais référence durant ces deux jours avant la reprise officielle, cela semblait confirmer la pensée de mon instinct. Aujourd'hui était le jour de ma reprise officielle, et on m'avait dit avec quel mannequin je travaillais, on avait échangeait également sur une conversation envers sa réputation, de connard, dragueur, je-m'en-foutiste. Je me disais que c'était bien ma vaine! Mais je n'allais pas me dégonfler et montrer à mes supérieurs que j'avais toujours ma place dans cette entreprise. Je le levais donc à l'avance, afin de pouvoir prendre une bonne douce tiède, puis de prendre un déjeuné équilibré, en faisant bien entendant d'avoir le plein de vitamines. Je m'habillais avec un chemisier blanc légèrement transparent, une jupe noire, et une veste noire, sans oublier ma paire d'escarpins à talons hauts noires également. Je laissais pour le premier jour les cheveux détachés qui pouvaient ainsi tombés sur mes épaules et le début de mon buste. Je n'oubliais pas de me mettre du rouge à lèvres, oui , cela je m'en souvenais jamais sans mon vernis et mon rouge à lèvre, cela avait du me marquer, surement pour le métier que je voulais faire et aussi parce que je devais prendre soin de ma personne c'est du moindre l'idée que je me faisais de cette habitude pour le moment. Je devais aimer être une femme présentable et distinguée, toujours avec du charme , du style, une élégance naturelle.

Après cela , j'étais fin prête pour donner le meilleure de moi même, on m'a raconté que j'étais une femme indépendante, et que j'étais ambitieuse, cette description de moi me plaisait, alors je me laissais emportée par cela, afin de reprendre les habitudes du passé, mais je sentais quand même au plus profond de moi que j'étais différente pour d'autres choses, je sentais que ma vie à présent ne serait plus forcément la même, j'espérais tout de même faire les meilleurs choix pour moi, et ne pas me tromper et foncer dans un mur, de toute manière je m'étais perdue, avec les souvenirs qui allaient en prime, alors je devais trouver ma voie, ce que j'aimais, ce que j'aimais pas je devais suivre mon cœur et mon instinct, ma raison parait il, alors je me fierais à mes envies, mes désirs, et au pire on a tous droit à l'erreur. Je me promenais donc d'un pas léger, vers l'adresse que mon supérieur m'avait envoyé de la veille au soir. Je devais être présente pour 10h , mais n'ayant plus les souvenirs , j'avais cherché l'adresse sur internet, je m'étais un peu éloigné du chemin puis je trouvais finalement la route et m'y rendais, je n'arrivais seulement que 10 en retard, et je voyais tout ce beau monde courir dans tous les sens, car apparemment le mannequin vedette n'était pas encore arrivé, et cela faisait une heure qu'il devait être présent pour être prêt à la retouche maquillage à mon arrivée. Je m'installais et me servis un d'eau . Il me donnait légèrement mal au crâne à tous crier, tout cela pour un mannequin, s'il état si pénible , qu'il le change. Oh non c'est vrai, il rapportait de l'argent au grand maître! Bien que moi avant même de l'avoir vu, il me tapait déjà sur les nerfs. Il arriva après presque deux heures de retard, et là plus personne pour l'insulter, non ils faisaient tous leur lèche botte, et je trouvais cela pitoyable, j'étais une gentille fille, mais je ne comprenais pas comment on pouvait se plier en quatre juste pour une personne, il était comme les autres, fallait le faire descendre de son podium et lui mettre un bon coup de pied aux fesses, et qu'il se remue ce fainéant. J'étais une personne très gentille, courtoise, mais fallait pas non plus poussée le bouchon, et cet homme avait l'air de jouer avec la patience de chacun, on avait tous et toutes notre particularité, notre spécialité, après tout on était payé à l'heure donc grâce à lui finalement on finirait riche surement..

Le grand patron avait l'air de lui remonter les bretelles, et lui il semblait n'en avoir strictement rien à faire de ce qu'on pouvait lui dire, il avait l'air de quelqu'un d'immature, de borné, et ne pensait qu'à sa petite personne. Je le dévisageais au premier regard que l'on échangeait. Il avait l'air d'un gamin qui faisait son petit caprice , je vous jure que quelqu'un lui en colle une et qu'on soit tranquille pour travailler dans de bonnes conditions. J'allais m'installer , le temps que monsieur daigne de venir s'asseoir pour que je puisse entreprendre ce dont pourquoi je suis payée et faire mon métier correctement avec un emmerdeur de première catégorie qu'il semblait être, je n'allais pas le juger si vite, j'allais attendre un peu avant de me fixer définitivement. Il arrivait l'air complètement moquer, comme s'il n'en avait rien à faire des autres, et son sourire, j'avais envie de lui faire ravaler, moi, personnellement. Il semblait content de ses répliques à un franc six sous. Je ne me souvenais pas de lui, mais la première image que j'en avais n'étais pas des plus meilleures. Lui, en revanche avait l'avantage de tout se souvenir , et d'ailleurs ce qu'il me disait me perturbée légèrement, la plupart des personnes me décrivaient comme une femme douce, aimante, patiente. Alors pourquoi ce jeune homme avait -il le don de m'horripiler, de me répugner au plus au point ? ! Ta petite ? déjà je ne pense en aucun cas t'appartenir, et ton ironie tu peux la garder pour toi très cher ami. Lui rétorquais je me raclant la gorge au passage. Je le regardais avec animosité, il avait donc le don de taper sur les nerfs de tous le monde, mais je me laisserais pas faire pour autant, et surtout je ne lui ferais pas le plaisir d'être désagréable avec lui, car je savais qu'au final c'est tout ce qu'il attendait , je le ressentais, pour lui cela était jouissif. La suite de la conversation d'ailleurs me faisait bien pire, car effectivement je me souvenais de rien, il ne me rappelait personne, signe que pour moi il ne devait pas du tout avoir de l'importance. Il devait une personne insignifiante, pourtant le faite qu'il soit si hautain avec moi éveillait en moi une certaine curiosité. J'avais envie d'aller plus loin, de voir ce qu'il valait, si finalement il était réellement comme il voulait le montrer ou non. Je ne savais pas pourquoi, ça devait surement tenir de mon côté un peu mère Theresa, et vouloir croire en son prochain, en tout cas, essayant de croire qu'il peut valoir plus que ce qu'il donne à voir. Je penchais alors ma tête sur le côté faisant un sourire de pétasse, et laissais alors le côté joueuse prendre le dessus, afin que moi aussi je devienne une chieuse, et que je lui semble imbuvable, si je pouvais le pousser à bout, et le faire chier cela m'irais amplement. Ma petite makeup girl ? .. Tu fais toujours cet effet aux femmes? Lui demandais je en affichant un large sourire d'emmerdeuse. Je veux dire, de leur donner la nausée ? Poursuivais je d'un air hautaine et sure de moi afin de pouvoir l'envoyer sur les roses. Je me sentais comme conquérante, comment le fait de le voir faire cette tête de dix mètres de long, pouvait à ce point me faire jubiler, c'est vraiment que même si je me souvenais pas, je ne devais pas grandement l'apprécier. Je pense donc que l'amnésie fait bien les choses, je me souviens en aucun cas de toi, et je pense que si c'est le cas, c'est que tu ne devais pas être quelqu'un qui a une importance capital dans ma vie, tu me sers juste de distraction au boulot et encore tu n'as pas assez de classe, pas assez beau, pas assez de charisme pour que finalement je puisse être distraite longuement, tu ne sers que de décoration dans cette pièce, et le mieux je pense c'est quand tu fermes ta bouches, soit juste beau et taies toi , oui en gros tu sers à ça, à poser, et dégager quand on a plus besoin de toi. Tu es seulement un objet , et encore qui a besoin d'être retouché au maquillage pour ressembler à quelque chose, sans moi en gros, personne ne te remarque. Lui lançais je avec un sourire victorieux, vainqueur, je prenais de l'aisance, mais je m'arrêtais avant d'aller trop loin , je n'avais pas envie d'être virer pour un con dans son genre et puis aussi , si ça se trouve il plaisantait peut être avec moi et on s'appréciait , c'était peut être tout l'inverse, mes pensées se bousculèrent me disant que j'aurais peut être du attendre dans savoir plus sur notre relation passée, avant de prendre la mouche comme cela. Mais rien qu'à le voir, j'étais remplie d'amertume, je ressentais un sentiment négatif à son égard, et je ne pouvais pour le moment pas me l'expliquer à moi même... Voyons ce que le reste de la journée à ses côtés donnerait, car oui, on enchaînait plusieurs séances, donc je finirais par me faire une petite idée de ce qu'il m'unirait ou au contraire me repousserait chez lui. Je m'approchais alors de lui me mordillant légèrement la lèvre inférieure avec un sourire de garce, qui en disait bien long sur ce que j'allais faire. Je m'asseyais sur lui et je le regardais avec profondeur dans le regard, juste pour voir si on avait fait quelque chose ensemble ou non parce que le fait qu'il me demande un dessin; me dit douter tout d'un coup, non, non , il pouvait littéralement rien n'avoir eu avec lui, impossible, pas lui. Il avait tout pour me repousser alors j'espérais sincèrement ne pas avoir commise cette erreur dans ma vie. Parce que tu sais dessiner ? Lui demandais je en le regardais avec dédain. Je me relevais ensuite, roulant du bassin, juste pour faire ma chiante envers lui, je savais très bien qu'il était un connard, la rumeur de ce qu'il avait fait ce matin au bureau était arrivée jusqu'ici, et je voulais lui montrer clairement ce qu'il n'aurait pas, jamais. Et aussi que je ne suis pas une de ces cruches , que moi je ne l'adulerais pas, qu'au contraire je le repousserais, oui, de toutes mes forces, je serais un poison pour lui dans sa vie, oui, je lui pourrirais la vie, si vraiment il était ce qu'il me montrait pour le moment de sa facette... Alors vu les dégâts de ton visage, je ne sais pas par où commencer, y'a tellement de travail, ton visage est en chantier. Lui répliquais je en souriant tendrement, comme si j'étais gentille avec lui pour que les autres ne se doutent absolument de rien. Je voulais voir s'il se radoucissait c'est qu'on s'appréciait, sinon c'était que ce n'était pas juste pour plaisanter, et bien un connard de service. Je commençais alors par poser les bases du fond de teint avant de lui appliquer.. Je me levais donc mis le produit sur le carré de makeup que j'avais en main, à l'aide de ma main je la posais sur son menton et dis basculer légèrement sa tête en arrière afin de commencer mon travail.
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(#)Sujet: Re: De retour chez les vivants ? Cela mérite d'être drôle (feat April)  |   Jeu 27 Aoû - 3:07

De retour chez les vivants ?

« Ta petite ?... » Ola vallait mieux pas l'énerver celle-là. Apparement un petit aller-retour chez les morts avaient réussit à lui dénouer la langue. En effet, car le jeu préféré de Orel lorsqu'elle était encore là était d'essayer par tous les moyens de lui faire péter un câble. Mais elle ne lui avait jamais piper mots, elle l'ignorait complètement et il avait finit par lui lancer des vannes par réflexe, sachant pertinement qu'elle n'y répondrait rien. C'était typiquement le genre de femme qu'Orel ne supporterait pas dans son lit.. Trop forte, trop intelligente et trop miss parfaite sous toutes les coutures. Bon, il était vrai qu'il ne l'a connaissait pas personnellement et qu'il ne l'avait même jamais connu en réalité en dehors de ce plateau mais à quoi cela pouvait-il bien lui servir puisqu'elle n'avait même pas de sens de l'humour. Ce qu'elle pouvait être coincé et il se demandait même si elle s'était déjà masturbé tant elle pouvait être ennuyante.. Mais là, là elle était totalement différente, beaucoup plus farouche et il devait bien admettre qu'il l'a laissait sans voix. Mais une petite chose l'amusa à plus haut point.. elle ne se souvenait apparement pas de lui et cela lui faisait une belle jambes.. il pouvait dire n'importe quoi sans qu'elle ne sache s'il s'agissait de la vérité ou d'un mensonge éhonté, et quand bien même elle ne le croirait pas, il était assez doué pour semer le doute dans n'importe quelle petite caboche. Lorsqu'elle pencha sa tête sur le côté, Orel se mit à sourire en coin et lorsqu'elle répliqua s'il faisait toujours cet effet au femme avec cet air soudainement sarcastique, son sourire se déchiffra en grimace, surtout avec la fin de sa phrase. Ho mais c'est qu'elle mord en plus. Il se mit à ricana et se passa la main sur le nez ayant soudainement une furieuse envie de la gifflé mais il savait que dans ce bas monde, frapper une femme était mal vu donc il se contrôlait.. Puis elle continuait à bien l'amuser. C'est fou comme les gens n'appréciait pas son humour et le prenait pour une gars rebelle et imbuvable alors qu'il n'était rien d'autre qu'un jeune homme blaser qui passait son temps à emmerder le monde parce que la vie était bien trop ennuyante pour être monsieur comme tout le monde et surtout monsieur comme son père. Orel n'avait jamais voulu ressemblé à son père et encore moins à qui que ce soit d'autre. Donc il s'était forgé cet image, cet carapace et du coup, maintenant, il se foutait d'un peu près et assumait pleinement d'être une sorte de nymphomane version masculin.. mais bon, ils n'avaient pas encore trouver de traitement pour ça donc fallait bien vivre avec. Puis ce n'était pas la maladie la plus horrible du monde, quoiqu'il était vrai que cela lui attirait parfois les foudres de certains mari ou petit copain.. mais là n'était pas sa faute, ces hommes n'avaient qu'à bien tenir leur femme en laisse et puis c'était tout aussi simple que ça. Bref, il avait fait sa fête à une secrétaire au bureau plus tôt avant de venir et il ne serait pas étonné que la nouvelle arrive rapidement par ici. Mais en cet instant, alors qu'il attendait que la jeune April se daigne enfin à accomplir sa tâche, il tendait la même pour la manucure qui ne réagissait pas et finit son travail rapidement et la coiffeuse n'eut presque rien à faire si bien qu'ils se retrouvèrent tous les deux alors que le jeune homme voulut répliquer. Il n'en eut cependant pas l'occasion étant donner que la petite semblait ne plus pouvoir s'empêcher de parler au plus grand damne d'Orel qui avait envie de se boucher les oreilles ou de lui rire au nez au choix : « Je pense donc que l'amnésie fait bien les choses, je me souviens en aucun cas de toi, et je pense que si c'est le cas, c'est que tu ne devais pas être quelqu'un qui a une importance capital dans ma vie, tu me sers juste de distraction au boulot et encore tu n'as pas assez de classe, pas assez beau, pas assez de charisme pour que finalement je puisse être distraite longuement, tu ne sers que de décoration dans cette pièce, et le mieux je pense c'est quand tu fermes ta bouches, soit juste beau et taies toi , oui en gros tu sers à ça, à poser, et dégager quand on a plus besoin de toi. Tu es seulement un objet , et encore qui a besoin d'être retouché au maquillage pour ressembler à quelque chose, sans moi en gros, personne ne te remarque. » Il haussa les sourcils, attendant qu'elle deigne enfin fermer sa gueule pour répliquer tout en admirant encore les spectacles. Il avait juste besoin de pop corn et le tour était jouer. Il l'a laissait continuer son manège, préparant déjà ce qu'il allait lui rétorqué au fur et à mesure même s'il avouait être plutôt sur le cul en la voyant lui parler ainsi avec autant de culot. S'ils avaient été seul, il ne savait pas ce qu'il aurait fait. La plaquer contre un mur pour lui flanqué une belle frayeur ou l'intimider, où juste lui en foutre une où la rabaisser plus bas que terre. Mais il n'en avait pas envie pour le moment, elle était vraiment amusante, un vrai divertissement ambulant. De plus, à attendre ainsi pour le maquiller, elle mettait la séance photo encore plus en retard, mais les autres membres de la petite bande avaient bien remarqué qu'il ne valait mieux pas les déranger. Mais la scène était observé par presque tout le monde, même s'ils n'entendaient rien.. comme toujours Orel attirait l'attention, mais c'était devenu une habitude pour lui, comme une seconde nature. Il savait que les gens le détestaient parfois, où ne le calculaient simplement mais sa réputation ou plutôt ses réputations le précédaient et tout le monde savait qui il était. Bref... Il était toujours en la charmante compagnie si l'on pouvait le dire, de April Watts qui venait alors de s'approcher de lui en se mordant la lèvre, un sourire de salope sur le visage.. il ne l'avait jamais vu ainsi et l'idée de lui mordre lui même cette petite bouche lui traversa rapidement l'esprit pour être tout à fait honnête. Puis, comme si c'était pas suffisant, elle vint s'asseoir sur ses genoux en le regardant fixement dans les yeux... cette fille était-elle bipolaire par hasard où bien.. Il ne réagit pas, la regardant d'un air blasé, un sourire au coin des lèvres, vraiment curieux de la manière d'agir de la jeune femme. Elle semblait vouloir découvrir qui il était mais elle n'en avait aucun souvenir, ce qui aurait le mérite d'être drôle. Alors qu'elle était assise sur ses genoux, il posa non chalament sa main dans le creu des reins de la jeune femme, qu'elle en décidé autrement ou non... après tout, c'était elle qui était venu sur ses genoux donc.. c'était une porte ouverte à toute éventualité non ? Non ? Bon tant pis, dans tout les cas il se le permettait : « parce que tu sais dessiner ? » Il se mit à rire en entendant son ton si dédaigneux et répliqua à la suite : « Non, mais j'avoue que j'aime beaucoup la photographie..Surtout prendre des nues.. si tu vois ce que je veux dire.. ha mais non tu ne peux pas bien sur tu ne me connais pas.. Ou disons plutôt.. tu ne me connais plus » Lorsqu'elle se releva en roulant des hanches, Orel ne put s'empêcher de venir lui claquer une des fesses malgré son regard assassin et se mit à ricaner encore une fois en sachant qu'il venait de semer le doutes dans son esprit.

Lorsqu'elle eut finit sa tirade et qu'elle prépara son matériel, Orel en profita pour enfin lui répondre à tout son petit discours mélo-dramatique à souhait. : « Donc.. récapitulons. Tu ne te souviens pas de moi donc ça veut forcément dire que je suis le fils de satan qui n'a aucune place dans ta vie. Mais ce qui me fait doucement rire, c'est le coup du pauvre garçon tout moche que je suis qui semblerait incapable d'exister sans toi, petite maquilleuse gentillette et adorable ange que tu es.. ; quoique j'ai des doutes maintenant au vue du sexy petit chaud auquel j'ai pu assisté. Secondo, crois-moi chère April que avec ou sans toi je suis tout à fait capable de me débrouiller seule et que à ce que je sache, tu ne serais pas grand chose sans ce boulot où justement tu es sensé me rendre irresistible et crois-moi.. La beauté n'a rien à voir avec mes conquètes car crois bien que je ne me maquille pas tout les jours comme toi mademoiselle j'ai la main lourde sur le rouge à lèvre.. donc... sur ceux... continue je t'écoute. Orel 1 – April 0 » Il éclata de rire, ne se voulant pas méchant mais jouant un jeu qu'il trouvait particulièrement amusant. Le jeune homme ne pensait pas à mal, c'était un amusement comme les autres et il ne se rendait jamais compte s'il blessait ou non, à moins peut-être que la personne en face se retrouve à pleurer et dans ces moments là.. il se retrouvait vraiment comme un parfait imbécile sans savoir quoi faire. Il se détendit alors, mettant ses mains sur l'arrière de sa tête et attendit qu'April est finit de tout préparer. La petite bagarre venait de prendre fin pour le moment, même s'il y avait toujours dans l'air cette animosité que le jeune homme trouvait plus que marrante. C'est ainsi qu'elle arriva de nouveau face à son visage en regardant d'un peu plus près ce qui fit rire le jeune homme sincèrement en entendant sa remarque qui en effet, était vraiment drôle. Il n'était pas toujours méchant, ni sarcastique, parfois il était même presque gentil. Mais en tout cas, lorsqu'il riait sincèrement, ce qui était rare c'était soit que la blague était drôle, soit qu'il était à l'aise avec la personne, et apparement c'était le cas pour les deux avec le petite blondinette. Il l'a regarda alors : « Et bien au travail chef, rend-moi à croquer sinon c'est moi qui te croque les fesses. Fais gaffe je le ferais ! » dit-il en ricanant. La voix de la jeune femme avait été plus douce comme si elle jouait la comédie, mais après tout, il fallait bien qu'ils restent professionnel et bien que ses airs de miss parfaite l'agaçait et lui donner des démangeaisons, cette fille avait un bon fond et comme il n'avait pas envie de se l'envoyer constamment, il était plus facile de travailler avec elle... mais bon, il restait fidèle à lui-même et rester trop longtemps gentil n'était pas sa tasse de thé ! Il bascula la tête en arrière sans discuter pendant qu'il se fit maquiller. Il devait admettre qu'elle était carrément douer et se faire maquiller par elle était un réelle moment de détente. La stagiaire qu'ils avaient mit pour la remplacé était carrément gauche et il ressemblait à une dragqueen à chaque shooting photo. Lorsqu'elle eut finit, il se regarda dans le miroir et se mit à sourire d'un air amuser : « Hey, au moins tu as pas oublier ça, je ressemble pas à un clown.. enfin presque. Si tu m'avais maquillé comme toi jepense qu'on aurait eu un problème » il ricana à haute voix en lui tapotant la tête avec un petit air faussement supérieur. Il ébouriffa la coifure de la belle et l'a regarda avec de grand yeux comme s'il avait eut une révélation : « Hooo ! Ha non, j'ai cru voir simba mais mais non... juste toi en faite.. » il rigola encore et approcha avec sa main le front de la belle April pour lui poser un bisous sur le front en souriant, la mettre dans le doute, dans un chemin contraire haha.. Jouer le méchant puis le gentil... que c'était amusant !! Il se leva alors de sa chaise et s'étira : « Boooon, au boulot putin je vous attend bordel de merde... bon ok je me la ferme » il leva les mains en signe de victime voyant les regards assassin des responsables et fit un clin d'oeil à son pote photographe. Le shooting pouvait commencer. Après une heure de prise, Orel était toujours sérieux et n'avait presque fait aucune vannes... Par contre il gueulait dès que ça n'allait pas et qu'il n'était pas satisfait.. comme à cet instant : « Nan putin nan !! Y a un putin de merde de truc qui va pas là.... Tu vois pas ? Attend mais réfléchis, déjà que je suis à moitié à poil.. Ouai enfin j'ai un jean troué ok mais j'ai pas de caleçon pour qu'on voit mieux ces putains d'os de mes putains d'hanche parce que tu dis ouaiii du osé du sexy.. Mais y a rien de sexy là ! Tu comprends, faut suscité l'envie, le désir et la jalousie des gens qui regarde et l'idée c'est pas d'attirer que les minettes en chaleur tu vois ? » il était subjugué par son explication et le photographe et les designeurs aussi buvaient ses paroles. L'imagination de Orel n'avait aucune limite et malgré son sale caractère et ses remarques sèches et cinglante, lorsqu'il disait stop pour donner une idée, tout le monde l'écoutait car ses idées étaient souvent bonne. « Non ! Je croyais que vous vouliez faire de l'argent putain ! Mais faut aussi envoyer du rêve pour les hommes, pour les femmes, les ménagères putain et même les puceaux comme toi Charles » dit-il en pointant du doigt le stagiaire au café à lunette et à bouton. Personne ne sembla se soucier de cette remarque cinglante et Orel continua : « On doit avoir une femme.. ouai une femme euuuuh.. ouai me faut une femme !! » Il se tourna en cherchant une femme, comme si c'était normal, habillé d'un jean seulement, pied nu et les hanches bien mit en évidence. April s'approcha pour lui redonner un coup de poudre lorsqu'il sourit en coin... Oh oui amusons-nous ! Il la saisit par le poignet et la tira vers lui, prenant son menton d'une main en faisant un signe à son photographe qui flasha l'image au vol du regard surprit et perturbé de April avec l'air confiant et mystérieusement sexy d'Orel. Puis, il l'a lacha subitemment pour voir la photo : « OUI voilà ! Tu vois ça ça fait rêver putin !! » il regarda April avec un air amusé et ironique et l'appela : « Misstinguette blondinette makeupette ! Viens donc voir par ici, j'ai besoin de toi pour ma petite idée et je pense pas que ça va te plaire.. raison de plus pour ne pas te donner ton avis » il s'approcha d'elle, l'air badboy et narquoie, torse nu et lui fit une pichenette sur le nez : « On a besoin d'une jolie fille pour les photos, et j'ai décidé que TU serais parfaite pour poser avec moi ! Tu sais moi, Orel le mec que tu aimes par dessus tout » Il lui fit un nouveau clin d'oeil.[/b]
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De retour chez les vivants ? Cela mérite d'être drôle (feat April) Empty
(#)Sujet: Re: De retour chez les vivants ? Cela mérite d'être drôle (feat April)  |   Ven 28 Aoû - 0:55
Je restais sur la défensive, je ne savais pas tellement quoi pensait de cet homme qui se présentait à moi de diverses manières, il semblait avec un visage sympathique, seulement il semblait aussi s'en foutre de tout le monde, et ,ne s'intéresser finalement qu'à lui même. Je ne savais plus tellement sur quel pied danser, je me demandais sincèrement quoi penser de lui, et je ne voulais pas le juger sur un comportement, surtout qu'apparemment tout le monde lui faisait des reproches, après je ne pouvais dire qu'il ne les méritait pas cela serait mentir, mais bon peut être qu'il fallait lui laisser un peu plus de liberté pour qu'il soit plus gentil, afin je voulais surement voir du bien chez lui et ne pas m'arrêter à penser que blanc ou noir, et voir comment la nature humaine peut être complexe, avec de nombreuses nuances. Tout ce que je sais c'est que parfois son comportement pouvait me faire tantôt sourire tantôt me donner envie de lui mettre mon pied aux fesses, il pouvait parfois m'horripiler. Je ne savais d'ailleurs toujours pas quel était le lien qui nous unissant, est ce que finalement on était juste collègue ou amis, ou alors un peu comme des ennemis ? Au fil de la conversation je trouvais qu'il se comportait bizarrement, je me demandais ce qu'il cherchait à produire comme effet sur ma personne. Je m'amusais donc à jouer également la partie, première partie surement de la journée, car je pensais qu'il aimait bien également pour ne pas s'ennuyer pendant ses journées, du moindre je le ressentais comme cela, après je n'ai pas la science infuse. Il riait fortement, presque faisant exprès, pour glousser, dès que je lui répondais, j'avais l'impression qu'il voulait se donner en spectacle et cette partie de lui me repoussait énormément. Je préférais encore qu'il lance des piques assez pointus. Ce que j'appréhendais davantage c'est comment il parlerait de mon travail, car je ne touchais pas au sien, alors il ne fallait pas qu'il me cherche sur ce terrain là. Puis j'attendais également qu'il me réplique et juste par les traits de son visage sarcastique, et ces ricanements, je ne pouvais pas me faire une très haute opinion de cet être humain en face de moi, il me donnait envie de me refermer sur moi même, je ne savais plus tellement comment je devais me comporter avec lui à la suite de cela. Je le trouvais si silencieux que je me disais qu'il devait préparer son retour en beauté.

Le manège continuait , et même avec les regards tournaient sur nous, je faisais mine de sauver les apparences, et je lançais quelques faux sourires à Orel, afin que nos conversations passent inaperçus tout en préparant en même temps les accessoires nécessaires à ses retouches maquillage. C'est que d'un côté c'était tout de même divertissant de se chamailler négativement, au moins le temps passait plus vite, peut être que finalement on était un peu comme chien et chat, on montrait qu'on se détestait mais au fond on avait un certain respect mutuel pour nos métiers, je ne savais pas trop et au fil du temps qui passait, mon esprit , mes pensées s'embrouillèrent et j'allais plus ou moins au feeling , en tâtonnant, je n'avais pas envie de me prendre un mur, ni me faire des fausses joies s'il se montrait un jour gentil avec moi, je le calculais sans plus et je verrais bien ou tout cela me mène amitié ou non. Parce que sous ses airs de glandeurs prétentieux , je me disais que s'il avait eut ce poste, c'était qu'il devait savoir être professionnel durant le shooting photo. Je devais arrêter de me préoccuper finalement de ce qu'il pensait après tout il ne faisait pas réellement partie intégrante de ma vie , alors peut importe, je ne comprenais pas parfois comment j'agissais, mais surement quand manque de souvenirs, j'avais besoin de réponses à chacun de mes questionnements. Je décidais alors de prendre les choses en mains voyant qu'il avait l'air de profiter justement de mon amnésie je voulais lui montrer qu'April la jeune femme blonde avait également plus d'un tour dans son sac.
J'allais donc près de lui souriant malicieusement, je voulais le pousser à bout et moi aussi l'emmerder comme il savait si bien le faire, je voulais voir si en terre inconnue il pouvait tout aussi bien que moi se débrouiller et s'en sortir indemne. C'est pour cela, que je décidais de sortir des habitudes, de ce que l'on m'avait rapporté à mon sujet afin que je me fasse une idée de mon ancienne vie. J'allais jusqu'au près de lui et je commençais mon numéro afin de le déstabiliser à mon tour, il fallait que je vois comment il se débrouille en dehors de sa zone de confort et que j'essaye aussi de pousser ses limites après tout cela pourrait surement être drôle de le voir un peu hésitant , et patauger les pieds dans le plat. Je m'assis ensuite sur lui le regardant toujours de la même manière, ce fameux sourire satisfait sur les lèvres. Il posa sa main sur le creux de mes reins, et je savais que son plus grand plaisir serait que je l'insulte ou bien que je le gifle et justement je m'opposais à avoir ce comportement pour la simple et bonne raison que je ne lui laisserais pas l'avantage.

Tu aimes la photographie, tu t'intéresses à un art toi ? Lui répliquais je d'un air supérieur le dévisageant , afin de moi aussi paraitre comme une peste, après tout moi aussi je savais jouer ce rôle si je le voulais bien finalement j'aurais pu être actrice peut être. Des nues? Ajoutais je offusquer, je me sentais gênée de ses propos , il n'avait donc aucune pudeur avec sa sexualité! Tu sembles tellement satisfait que je ne me souviennes plus .. à croire qu'il s'est passé quelque chose entre nous et que tu as tellement été mauvais que tu préfères que je l'oublie. Lui rétorquais je en clamant les mots , faisant raisonner le bruit dans la pièce, prenant un air de garce qui semblait prendre l'avantage. Je lui souriais avec un sourire de pétasse, sure d'elle, comme si je m'en foutais comme si je voulais dominer le jeu, il fallait bien des retournements de situation. Alors je me levais ensuite car rester sur lui me dégoûtait tout de même je devais fort bien l'avouer, ça allait de minutes pour gagner des points dans le match mais pas plus . En tout cas ce que je venais de lui dire était jouer sur le même terrain que lui et surement ensuite il y aurait des conséquences mais je devais être plus forte que lui. Néanmoins je voulais pousser encore plus loin la provocation, en faisant aller mes hanches en marchant afin de rendre la chose encore plus réaliste. Cependant le geste obscène qu'Orel se permit de faire ensuite, me donnait envie de le gifler, je me retournais le regard avec un regard noir, sombre, qui en disant long sur mes intentions s'il comptait un jour recommencer. Je souris quand même me reprenant me disant que je ne pouvais perdre face à lui, il fallait que je continue à montrer bonne figure et j'y arriverais , ce n'est pas lui qui pourrait le contrôle, il fallait que je lui montre que je pouvais jouer plus haut, s'en me laisser marcher sur les pieds, sans me laisser dépasser par les événements.

Tu penses être le plus malin ? Mais orel 1 april 0 , tu t'es cru sérieusement dans une cour de maternelle ? Lui lançais je rigolant ironiquement, me moquant légèrement de lui, mais cela restait gentillet , tout de même. Non je n'ai pas dis cela d'ailleurs je pense que tu ne tiendrais pas la distance pour être le fils de Satan , le diable, il est censé faire advenir au pêché , à faire succomber, faire passer du coté obscur, et tu ne donnerais pas envie à une sainte , juste au salope qui porte pas de culotte, pour que tu les dégommes plus vite , alors non tu n'en as pas la carrure, désolé de décevoir et devoir te descendre du haut de ton petit trône. Lui fis je remarquer en lui souriant naturellement, ce n'était pas bien méchant car finalement j'espérais tout de même me tromper sur lui, et qu'il est une part de bonté, peut être que je m'avançais trop... Et pour finir, tu penses sincèrement qu'on peut me remplacer facilement, je suis la meilleure dans mon domaine, tu sais surement ce que cela veut dire. Donc je n'ai pas peur de tes belles paroles, et aussi je dois t'avouer que je n'ai pas que ça dans ma vie ,je sais faire d'autre chose, mais bon je sais bien que cela tu t'en moques. Tu ne cherches pas à parler aux gens , tout de suite tu entres au conflit, tu me fais penser au petit fils à papa ,pourri gâté. En réalité non je pense juste que tu aurais pu être mieux que cela. Finis je par lui annoncer, ne relevant même pas pour l'histoire du rouge à lèvre car cela serait se rabaisser à son niveau de gamin de récréation.

Je ne pensais pas à vouloir être blessante ou cinglante avec lui, donc je me stoppais là, je ne voulais pas que mes mots ne dépassent ma pensée, et je me mettais donc à faire mon travail. Je commençais à appliquer la base du fond de teint, puis fallait que lui en mette. Sa remarque me fit sourire, cette fois ci je ne sais pas pourquoi mais je ne prenais pas mal et je m'ouvrais un peu à lui pour changer. Eh bien tu ne sais même pas si j'ai bon goût donc je serais toi, je n'avancerais pas des choses pareille. Lui dis je en riant légèrement. Pour une fois tout se passait bien et on savait se parler , j'espérais que ça dure un moment, car je n'avais pas envie d'être énervée dès la première journée de travail, j'avais envie de me détendre un peu, et non pas de me prendre la tête. Je pouvais ensuite reprendre le maquillage, j'allais délicatement mais efficacement , il fallait être productive et qu'il soit rapidement prêt pour la séance photo. Je maquille très bien je te remercie, et je sais que je suis jolie, merci de le penser également très cher. J'avais envie de le prendre à revers et de le surprendre. Puis je le laissais se mirer dans le miroir. Il me touchait les cheveux, chose que de sa part, je n'appréciais pas tellement. Elle voulait râler mais la réplique d'Orel avait eu le don de la faire rire malgré elle. Non mais déjà je suis une femme donc je serais Nala, plutôt déjà, et toi tu as plutôt une tête de zazou, tu vois le gros rabat joie. Lui répondis je en souriant lui faisant un petit coup de hanche pour le pousser et plaisanter avec lui. Il déposait ses lèvres sur mon front, et la je comprenais plus rien, pourquoi voulait il se montrer gentil, s'il n'en avait pas l'envie? Surement pour me faire enrager pensais je dans un premier temps, mais peut être que finalement c'était toujours ce petit jeu de je te cherche je te trouve et j'ai envie que tu râles encore et encore.

Je le laissais ensuite partir, ne bougeant même pas , n'ayant pas dis un mot, perdue dans mes pensées, et c'est l'entendre encore crier qui me sortait de cette bulle où je venais de m'enfermer. Je regardais alors la scène qui se déroulait sous mes yeux attentivement. Il avait l'air de s'y connaitre un minimum, même si ca ressemblait un peu à un caprice de diva, mais je ne pouvais pas me moquer de cela, ça avait l'air si sérieux, mais en même temps le connaissant depuis peu, il avait tout de même un don pour en faire des tonnes. Il venait de se mettre en tenue , si on pouvait dire cela , car le torse nu, je regardais ailleurs, enfin tant que j'avais pu car ensuite je devais aller faire une retouche d'après le photographe , je m'approchais d'Orel me raclant la gorge, je voulais pas le regarder surtout dans cette tenue , je voulais pas qu'il pense que je puisse un seul instant regarder son corps.. Il souriant en coin , quand j'étais auprès de lui, et cela était mauvais signe, j'avais une envie folle de partir vite fait de là mais trop tard. Oui, Il me saisissait par le poigner, et me tira vers lui, j'avais pas envie de faire partir de son délire, moi je voulais repartir m'occuper des autres. Je le regardais comme si il déraillait comme si il était d'une autre planète. Il délirait c'était sur, moi je voulais juste me faire un peu oublier sur le coup. Il voulait la faire à l'envers, il voulait jouer l'homme sexe et irrésistible et je savais qu'il voulait me taquiner de plus poussant la plaisanterie à son maximum , d'accord s'il voulait jouer on allait jouer. Je suis d'accord pour être la jolie fille, c'est vrai pour une fois qu'il a une bonne idée, faut le souligner. Dis je alors gentiment avec une idée dernière la tête. Enfin je veux bien poser, mais seulement avec lui la bas . Ajoutais je en montrant du doigt Melvin mon ancien beau frère, qui était aussi mannequin et avec qui je m'entendais parfaitement bien et avec qui je rigolais souvent. Bref, une bonne entente, et ce serait tellement mieux avec lui, enfin là c'était seulement pour taquiner Orel. Puis il porterait tellement mieux le jeans, avec son torse dénudé, juste huilé, je pense qu'il serait tellement sexy et aurait une telle prestance. Dis je d'une voix suave et sexe juste pour embêter à fond Orel. J'allais chercher par la main Melvin , je l'amenais. Franchement cette bouille , ce n'est pas une merveille? Demandais je au photographe lançant un sourire de pétasse à Orel, me pinçant la lèvre inférieure pour le faire râler. Je m'approchais ensuite d'Orel tandis que Melvin allait peut être le remplacer. Je posais ma main sur son torse le poussant légèrement en arrière. Ne sois pas déçue je sais que tu aurais voulu garder une photo de moi pour pouvoir ensuite faire du vodou et me détester et me faire mal, mais trop tard. Lui fis je remarquer, fière de moi, d'un air effrontée. Puis le photographe eut une idée de génie, que je n'appréciais pas tellement, il décidait de mettre les deux hommes en compétition, et je devrais donc poser avec les deux, en gros un combat allait se préparer, orel contre Melvin, et aussi Moi contre Orel, et cela promettait...
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