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 Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)

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(#)Sujet: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Jeu 10 Sep - 21:40

 
Orel D. Judith & April Watts
Bored bored bored...


Encore une soirée mondaine comme Orel les aimait tant. Bien entendu tout cela était complètement ironique.. il détestait l'idée même de devoir porter une cravate et surtout de devoir sourire devant des centaines de personnes qu'il ne connaissait absolument pas.. déjà qu'il ne souriait pas des masses, mais là, il avait encore moins envie de sourire. Il était passé dans l'agence de mannequinat pour enfiler son costume sous la demande expresse de son manager qui ne voulait pas qu'il se débrouille, ayant trop peur qu'il arrive débraillé comme à son habitude. En gros, Pitt voulait qu'Orel ressemble à un putain de pingouin ! Il arriva donc à l'agence, pour une fois à l'heure, faut pas déconner non plus et monta à l'étage pour se faire coiffer et maquiller. Depuis ce fameux jours il y avait une semaine ou deux, il n'avait pas adresser un mots à April, et lorsqu'elle avait remarqué les distances qu'il prenait avec elle, elle en avait fait de même. Cela l'avait mit en rogne ce qui s'était passé. Comme si pendant un instant il y avait eu une faille en lui et qu'il s'était sentit tomber un peu.. rien qu'en croisant le regard d'une blondinette plein de maquillage. Il repensa à ce moment où leur lèvre allait se frôler et ce fut lorsque le flash de la photo le ramena à la réalité qu'il avait cligné des yeux avant de partir sans dire au revoir ni merci.. quoique comme toujours, mais là, c'était différent. Cette fille avait fait quelque chose et sa peau douce n'y était pas pour rien, ni son parfum. D'habitude, avec les filles, il ne prenait même pas le temps de les embrasser, jamais. Il n'avait jamais au grand jamais embrassé personne.. pour lui, cela ne servait à rien et c'était un témoignage d'émotion sincère, ce qu'il ne ressentait jamais. Pendant qu'il se faisait retoucher le pli de son pantalon de smoking, ses pensées vaquait par ci et là.. et son poing finit par atterrir sur un pan de mur. Il avait toujours adoré emmerdé cette fille plus que n'importe qui et ils avaient presque faillit s'embrasser et surtout, maintenant, elle allait pensé qu'il en pinçait pour elle et ça c'était inconcevable !! Orel était un mec sans cœur, qui ne pensait qu'à baiser et profité de la vie et il ne fallait pas qu'on pense qu'il en était autrement. Il finit par passer sa main dans ses cheveux, ruinant les efforts de son coiffeur et laissa tout le monde en plan pour sortir dehors fumer une cigarette en montant dans sa voiture. Il roula comme toujours dans les limitations ne rigolant pas avec ça.. il ne voulait pas avoir un accident comme ces pauvres con de jeunes qui pensaient que l'alcool faisait des bienfaits sur la conduite. Il arriva peu de temps après dans le quartier prévu et se rendit compte que la soirée se trouvait à la galerie des arts... avec une grande affiche.. avec lui dessus et April. Cette fameuse photo de leurs lèvres si proche et de l'instant fatidique qui avait faillit détruire la carapace du jeune homme. Il arriva et avait déjà envie de partir, de déchirer cette fichue affiche et de piquer une crise comme il le faisait si bien. Mais il préféra rester neutre, se moquant complètement des gens autours de lui et des photographes qui le prenaient en photo, il avança dans la foule et entra dons dans la grand salle de réception. Il savait parfaitement qu'elle sera là. C'était une soirée spécial et toute l'équipe au complet devait être présente, mais la revoir le mettrait encore plus en colère. Mais comme toujours, il devait garder son air détaché et je m'en foutiste, pour ne pas se voiler la face. Il s'en foutait, il se fichait d'elle et n'en avait rien à faire de ce qu'elle pouvait penser de sa présence ici ni même de lui. Il entra donc et se servit un verre de champagne, ne buvant pas souvent de l'alcool, ayant le vin mauvais comme on disait, et se mit dans un coin avant d'être réceptionner par son manager, qui voulait lui présenter tout le gratins de Miami.

Orel leva les yeux au ciel et suivit son manager sans dire un mot tandis qu'il le présenta comme la révélation du mannequinat devant des gens importants et des demoiselles fort charmante qui lui faisaient déjà les yeux doux, exposant leur décolleté et se collant à lui comme des pieuvres.. sans parler du fait qu'Orel s'amusait à jouer l'homosexuel en ce collant au hommes pour qu'on lui fiche la paix, il finit par croiser April, qui venait d'arriver dans la salle, dans une robe qu'il avoua magnifique. Il resta un instant à la regarder, avant qu'elle ne le voit et que l'air se chargea de quelque chose d'étrange. Tout sembla aller au ralenti et le regard neutre du jeune homme finit par rompre le contact comme s'il se fichait éperdument de sa présence ici. Il passa sa main dans ses cheveux avant d'aller se chercher à boire.. il fut surpris en y voyant April et ne put alors pas échapper à sa présence. Il se retrouva à côté d'elle et ne put s'empêcher de la regarder de haut en bas. Putain elle était carrément sexy et il avait déjà pensé à la mettre dans son lit mais là c'était bien pire. Il était nymphomane et il n'avait pas baiser depuis le petit déjeuner, donc son désir subit pour elle ne mit pas longtemps à faire son apparition sur son pantalon. Mais heureusement, cela ne se voyait pas étant donner qu'il portait un boxer bien serrer et que son pantalon était légèrement large pour qu'on ne remarque rien. C'était peut-être pour ça que les pantalon de costume était si large, pour qu'on ne puisse rien déceler. Mais de toute façon, il ne fut pas choquer par son érection subite étant donner qu'il en avait presque à toute heure de la journée. Il finit par se râcler la gorge et avança vers elle pour venir lui murmurer dans l'oreille : « on a décidé de sortir le grand jeu ce soir Makeup girl ? Tu t'es faite aussi sexy pour moi.. fallait pas, quoique ta robe semble facile à déchirer » c'était décidément trop tentant de la narguer, même si l'idée de lui arracher sa robe lui avait bel et bien traverser l'esprit. Il savait qu'elle ne pouvait avoir loupé la grande affiche d'eux dans l'entrée. Ce fut à ce moment là que la directrice de la chaîne de mode les prit tout les deux par le bras : « Meeeees chéris, vous êtes les stars de cette soirée ! Je veux que vous soyez comme deux amants, deux jumeaux ! C'est pour ça que j'ai concocté deux tenues parfaitement assortie pour vous deux là haut ça sera magnifiiiique !! Suivez-moi » Orel haussa un sourcil : « Vous êtes pas sérieuse là ! » en effet, dans la salle, dans la galerie, tous les clichés prit d'eux pendant la séance photo étaient mis en avant sans qu'Orel ne l'ai encore remarquer. Mais il ne comprenait pas pourquoi ils voulaient qu'ils soient habiller pareil merde !!!

Mais elle les traînait, les tirant par les bras et Orel jeta un regard d'incompréhension non cacher à la jeune blonde, lâchant son visage neutre et je m'en foutiste. Il ne voulait pas qu'on les affiche tous les deux !! Ils étaient complètement fou ! Mais ils finirent par se retrouver dans une grand pièce, où deux ceintres avec deux tenues étaient disposé... mon dieu que c'était laid. Il remarqua la magnifique noire avec le dos doré et le costume assortie et ne put s'empêcher de donner un poing dans la porte lorsqu'il entendit la clef tourner à l'intérieur. C'était une blague cela ne pouvait en être autrement ! Il regarda April qui semblait tout aussi pomer qu'elle et tout d'un coup l'air se chargea de nouveau d'une sorte de malaise commun. Il s'éloigna d'elle, l'air neutre et surtout un peu perdu et n'osa même pas la regarder. Il devait paraître blasé de la situation mais en vérité, il était même plutôt nerveux. Il releva son visage vers elle, s'êtant appuyer contre un bureau et déclara : « Je suis sûr qu'ils ont fait ça pour qu'on se réconcilie. C'est con car y a rien à réconcilier... Bon » Il soupira en prenant le costume et retira sa veste et commença à déboutonner sa chemise, dos à elle : « Change-toi. » ordonna-t-il presque d'un ton dominant, contrôlant alors son érection toujours présente alors qu'il était maintenant torse nu dos à elle.. la situation commençait à être vraiment délicate. Il se tourna alors face à elle, torse nu et posa ses mains sur ses hanches un sourire en coin sur les lèvres : « Bon, j'essairais de pas regarder promis. Mais si on met pas ses tenues on sortir jamais de là.. "Il porta sa main jusqu'à son pantalon et commença à le déboutonner.. putin d'érection.. comment cacher ça. Il se tourna dos à elle. Ils étaient seuls.. lui un homme.. elle une femme dans une pièce fermé à clef. De quoi l'excité encore plus.. Mais merde c'était April.. cette fichu Makeup girl qui ne pouvait l'encadrer.. il fallait qu'il se refroidisse les esprits. Il retira alors ses chaussures pour mieux enlever son pantalon et se retrouva alors en boxer dos à la jeune femme. Il baissa alors les yeux, voyant son sexe tellement à l'étroit dans son pantalon qui faisait une bosse immense. Il prit une profonde inspiration en poussant sa tête en arrière et avait presque envie de se toucher pour se calmer. Mais y avait la petite pudique et miss sainte nitouche derrière lui. Il ne voulait pas non plus être un salop et se retourner avec une érection gigantesque. Il enfila donc le pantalon noir et se tourna vers elle, avançant vers elle pied nu : « Tu veux peut-être que je t'aide à enlever ta robe » il sourit en coin se voulant taquin et ne pu s'empêcher de venir retirer une des ses bretelles de robe la faisant glisser sur l'épaule de la jeune femme. Mais à ce contact, il sentit un frisson leur parcourir l'échine et retira sa main directement, restant la en la fixant droit dans les yeux : « Alors... » l'air était charger en il ne savait quoi.. Mais il avait chaud.


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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Dim 13 Sep - 14:14
L'agence venait de m'appeler , il voulait organiser une grande réception, une soirée qui permettrait de ramener de l'argent à l'agence afin de pouvoir ensuite faire de nouveaux investissements. Je devais avouer que je n'avais pas le cœur à y aller et surtout je ne voulais pas me retrouver nez à nez avec Orel qui ferait encore surement tout pour se mettre en avant et se faire remarquer et je ne voulais pas avoir une mauvaise promotion de sa faute, j'espérais qu'il serait se tenir, surtout qu'en ce moment il ne me disait rien et avait l'air de me haïr au plus au point,  je ne savais pas pourquoi mais il devenait glacial avec moi et je me demandais finalement si je ne préférais pas lorsqu'il me chambrait , voire me pousser parfois à bout. Je me sentais démunie à présent en sa présence, puis je me disais qu'il devait penser que durant la dernière séance photo ensemble, il avait du penser que je m'étais trop laissée porter par notre jeu de regard, pour les photographes, et que je m'étais prise à mon propre jeu mais pas du tout, je n'avais rien contrôlée, et ce n'était pas voulue, je ne savais pas pourquoi on s'est retrouvé aussi proches, surement par la force des choses, mais en aucun cas, à tête posée l'un de nous aurait souhaité ce rapprochement alors je ne me prenais pas la tête la dessus, et je me disais tout simplement qu'il fallait l'oublier et faire comme si rien ne s'était passé, après tout c'était tout de même le cas on ne s'était pas embrassé, et je n'étais même pas sure qu'on en avait envie, alors pourquoi repenser à cela, pourquoi se prendre la tête, et ne plus se parler, arriver à un extrême pour finalement si peu.

J'allais donc me préparer, Mon patron m'avait informé qu'il souhaitait quelque chose de classe, raffiné , très séduisant qu'il lui permettrait de faire bonne figure et de ramener du monde, afin de pouvoir décrocher plusieurs contrats, j'étais passée de simple maquilleuse, à débutante en mannequinat ce n'était pas mon choix et je ne voulais pas l'être , j'accepterais seulement de temps en temps de dépanner, mais je ne voulais en aucun cas changer de métier, je voulais rester dans cette branche , je ne voudrais pas qu'on me commande ce que je dois faire, ou qu'on m'oblige à porter des choses que je trouverais moche ou ridicule ou encore que je porte des choses trop osées et me laisser être dégradante dans des magasines non  il n'en était aucunement le cas.  Je m'apprêtais alors avec une robe bleue marine, que j'avais trouvé il y a peu dans un magasin que j'adorais particulièrement.  Je me maquillais légèrement, rien de mieux que de rester la maximum naturelle, je prenais ensuite du temps pour les cheveux , fallait être présentable et convenable dans ce genre de situation et je n'avais surement pas le droit à l'erreur je pense, vu les indications claires de mon supérieur!  Je me mise en route peu de temps après avoir mis du parfum  celui pour lequel on faisait de la publicité pour le moment.  Je débarrais d'un pas chaloupé, jusqu'à la limousine qui était venu me chercher , beh oui il fallait une sortie impressionnante afin de pouvoir me faire photographier chose que je n'aimais pas être l'attention de tout le monde, non merci, mais je devais faire un effort pour une soirée, et puis je toucherais une prime, il faut voir le bon côté des choses.

J'arrivais toute pimpante à la soirée. Rien que l'entrée que je faisais était trop remarquée à mon goût, mais ce qui me faisait clairement avoir la nausée était l'affiche de la séance photo, celle que tout le monde aimerait oublier. Je tentais de ne pas faire de scandale mais je sentais le sang bouillonnait à l'intérieur de moi , surtout que la même un peu près avait été tiré avec Melvin puisqu'ils étaient en compétition, l'air de croire que surement cela nous ferait devenir amis mais surement pas, pas avec un garçon qui se prend trop au sérieux et qui rit avec toi une seconde et celle d'après te dénigre ou ne dit mot.  Je fis mon entrée , et ensuite je me frayais un chemin , étant également à me faire présenter par ci par là par notre manager. Je m'arrêtais l'espace d'un instant en ayant le tournis. Je vagabondais de personne en personne ne les connaissant même pas en réalité, alors j'hochais la tête je laissais l'agent parler pour moi et dès que j'avais pu m'enfuir je l'avais fais et me retrouver donc ici, face à lui, je devrais à présent l'affronter. Il semblait la dévisageait, du moindre il me regardait pas comme d'habitude et j'avais alors du mal à déchiffrer ce nouveau comportement. Il vint alors me taquiner, et je me demandais franchement si il n'était pas un peu bipolaire, car il ne me parlait plus, et là il me chambrait comme avant , à croire que tout était redevenu à la normale, mais je chercherais quand même d'où provient ce revirement de situation et je ne laisserais pas les choses là. Je le regardais d'un air remplis d'interrogations, je me disais "sérieusement ? "dans ma tête. Le grand jeu ? Je ne vois pas pourquoi après tu aurais été jaloux parce qu'on aurait vu que moi, je ne voudrais pas que ton égo de mal en prenne un trop gros coup. Commençais je à lui répondre un sourire satisfait au coin des lèvres. Sexy , aurais tu as bu avant de venir c'est ça ? Répondis je en commençant à m'inquiéter légèrement ou alors il avait de la fièvre , orel faisait rarement des compliments juste aux femmes faciles pour tirer un petit coup. Et encore si on pouvait appeler ça comme ça, tellement c'était répugnant, je préférais même pas l'imaginer ou même l'envisager.  Et ce qui est de ma robe je vais faire comme si je n'avais rien entendu , je pense que pour tous les deux, c'est la meilleure chose à faire n'est ce pas ? Lui clamais je en me forçant à sourire comme on nous observé, et que le but de cette soirée était qu'on se reparle, je faisais semblant, plus vite, ils le pensaient, plus vite on était débarrassait de cette corvée!

Alors que je pensais que la situation pouvait se gérer, l'impensable arriva, la directrice avec une idée bien précise en tête, je sentais que cette dernière ne me plaira pas, mais j'étais encore très loin du compte! Apparemment pour ce soir, elle voulait qu'on est des vêtements assortis et c'était bien cachée de nous le dire avant . Elle voulait nous mener de force , essayant de nous afficher ensemble, et c'était impossible, je voulais Melvin , oui j'aurais tellement voulu qu'il soit là ce soir.  Le pire je pense c'est quand on se retrouvait enfermé à deux, on allait s'ennuyer c'était sur et certain, je n'allais pas faire le premier pas, il pouvait être certain de ne pas compter la dessus. Je regardais le cintre, la robe prévue pour moi était somptueuse, et je n'osais même pas la portée. Je regardais Orel, qui semblait devenir de nouveau froid et distant avec moi , au moins pour une fois on se comprenait on ne voulait rien à avoir à faire à deux, c'était déjà encourageant.  Je restais muette, jusqu'à ce qu'il prenne la parole le premier.  C'est sur que je pense qu'on a rien, absolument rien à dire. Ajoutais je pour lui montrer que moi aussi je pouvais être hautaine avec lui et détachée si c'est ce qu'il souhaitait aucun problème je serais la meilleure à ce jeu là. Je le vis se préparer alors je jetais un autre coup d'œil à la robe que je devais porter ce soir.  Il m'ordonnait alors de m'habiller , justement je l'avais pas le faire, surement pas s'il me parlait sur ce ton il se prenait pour qui d'ailleurs?  Il se tournait face à moi surement pour vérifier si je le faisais ou non et il pouvait encore courir. Il était torse nu, et sur ce que la première fois autant j'en avais joué pour l'embêter autant ici seuls dans cette pièce je ne ferais rien et ne dirait rien même, je ne voulais pas tout compliqué la situation qui  semblait déjà assez étrange pour moi. Tu as même intérêt sinon je te refais clairement le portrait! Lançais je en espérant qui ne regarderait rien après tout, je n'étais pas son style de femme donc tout irait pour le mieux, puisqu'il aimait les blondes écervelées. Il se tournait de nouveau, j'attrapais alors la robe afin de l'admirer de plus près. Je sentis une présence près de moi, peut être même trop près de moi, je sentais son souffle sur mon épaule et ça me gênait. Et l'écouter d'une oreille, et sentait qu'elle aurait bien eu envie de le gifler sur le moment en lien avec ses propos tenus.  Il défit une des bretelles de ma robe et je sentais qu'il me déstabilisait, sentant un frissons envahir mon être, je me sentais perturbée à cet instant comment pouvait il être possible que ce contact rapproché puisse être plaisant... je pense que cela devait seulement être du au faite que la pièce était froide vu l'atmosphère électrique juste avant cela.  Je le regardais alors que ma bretelle gauche tombée elle même tandis que je tentais de le défier du regard pour qu'il puisse me laisser, cela vaudrait mieux. Je me redressais afin de lui faire face et lui dire le fond de ma pensée. Pourquoi faut il que tu rendes tout obscènes, pourquoi est ce que tu te fou de tout et de tout le monde, pourquoi es tu si égoïste, , pourquoi est ce qu'il faut que tu me provoques toujours, pourquoi me détestes tu autant à la fin ? M'emportais je en ayant les traits du visage qui se durcissent. Je voulais pas me laisser faire, finalement je voulais bien arranger les choses mais il fallait cependant qu'il y mette du sien. Pendant que je tenais ce discours ma robe glissait au sol étant donné que je ne la tenais plus, sentant la température de me corps se refroidir je pouvais sentir que j'avais perdue une des couches de vêtements, je me mise à rougir, parce que je n'aimais pas me retrouver dans une telle situation, surtout que ce n'était pas pour aguicher l'homme en aucun cas, c'était juste un accident, je portais alors mes mains sur mon corps en essayant de cacher mon intimité, puis ma poitrine, être en sous vêtements devant Orel étant vraiment la pire chose qu'il puisse m'arriver ... Je me retournais très vite mal à l'aise, afin de ramasser la seconde robe dont je devais me vêtir. J'étais dos à Orel alors tandis que je m'abaissais pour prendre la robe je lui tins ce discours: Orel je t'interdis d'en profiter, retournes toi s'il te plais. Oui je venais de lui dire s'il te plais, car je ne voulais pas qu'il pose ses yeux sur mon corps de déesse, car il pouvait apercevoir mes jolies fesses bombées et ferme dans mon petit tanga noir en dentelle. Je me passais alors la robe le plus rapidement possible, soufflant fortement, je me sentais honteuse. J'essayais ensuite de la fermer , mais je n'y parvenais pas toute seule, je m'approchais alors d'Orel me reculant jusqu'à sentir son corps contre le mien et je lui demandais: Je ne veux pas que tu m'aides à l'enlever par contre je veux bien que  m'aides à la fermer . M'empressais je de lui dire, alors que son torse contre mon dos était assez déstabilisant, je sentais que cette situation allait encore être compliquée, surtout qu'Orel ne faisait rien et ne répondait pas, mais qu'est ce qu'il pouvait faire moi j'attendais, prenant ma chevelure pour la mettre du même côté, penchant ma tête sur le côté pour que le passage sot libre pour refermer la robe, qui était dos nu. Orel? Qu'est ce que tu fais ? Lui demandais je en essayant qu'il puisse la fermer car je m'impatientais, je reculais étant scellée cette fois si à lui , mes fesses contre son entre jambes. En même temps il répondait pas, alors en me serrant à lui j'espérais le faire agir. Orel je vais pas réussir à tenir mes cheveux encore très longtemps tu sais ? ! M'exclamais je afin de le bousculer un peu, je ne savais pas peut être ne voudrait il vraiment pas m'aider, et qu'il n'allait faire aucun effort ...
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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mar 15 Sep - 19:51

 
Orel D. Judith & April Watts
Bored bored bored...


La situation ne pouvait être plus merdique qu'à cet instant. La chef de l'entreprise avait bien prévu son coup et Orel détestait être prit au dépourvu. Il se trouvait donc dans une sorte de grand bureau avec pas mal de meuble, dans le style moderne et contemporain. Il était donc là, avec April et ils avaient été enfermé à clef dans cette pièce, sans aucun espoir de sortit, enfin si, ils devaient soit disant porter une tenue similaire pour faire le buzz de la séance photo qu'ils avaient fait ensemble. Orel était littéralement emmerdé et avait envie de sortir et de se barrer par la fenêtre, mais bon, laisser April ici toute seule serait vraiment salop, quoiqu'il pensait sérieusement la mettre sur son épaule en sac à patate et faire le super héros, mais ce n'était pas vraiment son genre. Puis en fin de compte, il trouvait la situation plutôt cocasse et avait envie de la faire sortir de ses gongs... Mais en même temps, pour ne pas changer de son caractère, cette atmosphère et le fait d'être enfermé avec une femme dans une pièce, rien que tous les deux, avec une soirée qui se passait à l'étage en dessous, l'excitait carrément. Il pouvait même sentir une érection se former dans son jean alors qu'ils venaient d'être enfermé dans la pièce. Érection qui ne bougea pas durant tout l'instant où il changea de vêtements. Les répliques cinglante de la jeune femme le faisait rire intérieurement, mais cela ne lui faisait en réalité, ni chaud ni froid. Il s'était donc tourné dos à elle pour qu'elle ne constate pas sa bosse visible sur son boxer et non pas par pudeur et s'empressa d'enfiler son pantalon. Lorsqu'il se retourna, elle était en train d'admirer la robe qu'elle devait enfiler. Il ne put s'empêcher malgré tout d'avouer qu'elle était magnifique et sexy dans sa robe, elle était sublime. Il n'avait jamais vraiment pensé ça d'une femme, il ne se laissait jamais amadouer par une femme et le romantisme c'était loin d'être son truc, il trouvait que ça rendait les hommes faibles. Mais après tout, April n'était pas une de ces proies, donc il était différent avec elle, mais la façon dont il se comportait toujours avec elle n'avait rien à voir avec ce qu'il était en train de faire à l'instant. Lorsqu'il lui fit la proposition de l'aider à retirer sa robe, un sourire en coin et se voulant comme toujours emmerdeur, il ne s'attendit pas à ce que l'air s'emplisse alors d’électricité. Il sentit son sexe être de plus en plus serrer dans son pantalon, mais il espérait que cela ne se voit pas... à priori pas de problème, les boxer serré lui sauvait toujours la vie. Bah oui évidemment, il était grand et mince.. souvent ça annonçait qu'un homme était bien membré, puis la taille de ses mains le trahissait un peu... après pas mal de gens ne croyait pas à ça, mais les filles qu'il avait pu baisé lui avait confirmer qu'il avait un pénis plutôt avantageux. Mais là, il ne valait mieux pas qu'elle voit ça.. leur regard se croisèrent tandis qu'il avait baissé sa bretelle. Il trouvait la situation tellement amusante tout d'un coup, elle semblait si gênée. Mais tout d'un coup son visage devint dur et ce qu'elle lui lança dans la tronche, ça, il ne s'y attendait pas. Il écarquilla et se retrouva bouche bée ne sachant pas du tout quoi dire ni comment réagir.. Elle pensait sérieusement qu'elle le détestait ? Son visage se ferma, doucement et son regard se planta dans le sien, elle pensait réellement ça.. : « Je ne te déteste pas April. » Mais alors que leur regard se croisèrent, la robe de la jeune femme glissa contre son corps et tomba par terre. Elle se retrouva donc en sous vêtement, très sexy d'ailleurs, juste en face d'Orel qui sentit alors son corps entier exploser... elle faisait exprès ou quoi. Il ne put s'empêcher de la regarder de haut en bas... il ne s'attendait pas du tout à ce qu'elle soit aussi bien foutu et sexy... il avait même carrément envie de mordre ses seins en cet instant. Il finit par rire un peu : « Et bien, je sais que je te fais de l'effet, mais ne soit pas aussi empressée Makeup Girl » ayant totalement oublié ce qu'il venait de se passé, ce moment où ils avaient partagé quelque chose semblait-il, il ne put s'empêcher de rire. Elle se mit à rougir, et là franchement, il l'a trouvait trop mignonne.. il n'en revenait même pas, et se mit à rire encore plus la voyant se mettre dans tous ses états pour cacher son corps de ses yeux. Il était littéralement plier en deux tellement il riait mais il reprit son sérieux lorsqu'elle se tourna dos à lui et où il pu admirer l'espace d'un instant son dos, la courbure de ses reins et ses fesses menues et rebondis... il avait envie de venir leur donner une claque tellement elles étaient attirante. Il sentait son sexe gonflés encore plus.. putain, elle faisait exprès de l'exciter comme ça... Bon ok, il était carrément nympho, mais ce n'était pas une raison. D'autant plus qu'il savait qu'elle n'était pas attiré par lui, et qu'elle le détestait carrément, mais cette pièce, ce huit clos et la situation, semblait avoir tout changer entre eux deux..

Il avait complètement cessé de rire, trop occupé à la regarder haut en bas, tellement surpris de la trouver aussi femme et voluptueuse.. alors qu'elle, elle était totalement dans l'embarras. Lorsqu'elle se pencha pour prendre sa robe, il se retourna au même moments où elle lui demanda de le faire, et fut surpris de l'entendre dire s'il te plait... ha ouai elle était vraiment dans l'embarras. Orel n'était pas irrespectueux. Il était con, pervers, emmerdeur mais il avait quand même un minimum de respect envers les gens. Il s'écarta donc d'elle pendant qu'elle enfila la robe et fit les cents pas en essayant de se calmer, prenant de grande aspiration pour calmer son érection et son corps qui lui disait qu'il voulait la prendre tout de suite. Mais non putain, c'était Makeup Gril, April Watts, la fille la plus chiante de la terre qu'Orel adorait emmerdé la majeur partie du temps ! Alors qu'il essayait de se convaincre qu'il n'avait pas envie d'elle et qu'il s'agissait juste d'un reflexe typiquement masculin, qu'elle vint limite se coller à lui pour lui demander de l'aider à fermer sa robe. Ho putain... il resta là, le visage impassible, ne laissant voir aucun sentiment sur son visage, mais son regard se porta sur la nuque de la jeune femme, descendant sur son dos nue et la naissance de la courbure de ses fesses dans son magnifique tanga en dentelle. Alors que son érection semblait se calmer, elle reprit d'autant plus d'ampleur et il serra les poings, la regard, soufflant dans son cou. Putain, mais elle était sérieuse là ! Merde, il commençait à paniquer, si elle s'approchait trop, elle allait sentir son érection, et sentir ses fesses contre son sexe n'allait pas aider à le calmer !! Elle prit ses cheveux, s'impatientant et se colla encore plus à son torse nu, et là, c'était carrément érotique. Elle se rendait compte de ce qu'elle faisait ou pas ? Se rendait-elle compte que dans la position dans laquelle ils étaient, ils étaient vraiment proche et cela en devenait tendu, très tendu. Il se mordit la lèvre, levant les yeux en soupirant et baissa ses yeux sur les fesses de la jeune femme contre lui, et il avait un mal de chien à se retenir. Puis merde hein, il murmura alors : « J'observais juste ton dos magnifique Makeup girl » sa voix était rauque, dans un souffle et il passa ses doigts sur la cambrure des reins de la jeune femme pour aller rejoindre la fermeture éclair, qu'il zippa avec une lenteur déconcertante.. Il était vraiment proche d'elle, se collant d'autant plus à elle pour qu'il sente les pulsations rapide de son cœur : « tu sais que tu es plutôt à croquer dans cette robe » il s'était approcher de son oreille pour lui murmurer ces mots.. il était peu habituel pour Orel de faire du charme, ni même de dire ce genre de chose, en général, il retournait et prenait une femme sans lui poser de question ni lui dire de compliment, il ne pensait qu'à son bien être et son plaisir à la base. Il lui prit le menton, toujours dos à elle et lui fit levé la tête vers le miroir sur le mur en face, pour qu'elle s'observe, en lâchant son menton, il frôla son épaule et vint la poser sur sa hanche. Il regarda la jeune femme dans les yeux à travers le miroir, ils étaient si proche en cet instant, coller l'un à l'autre, le dos nu de la jeune femme contre son torse naturellement brûlant : « Bon, je vais finir de m'habiller hein » il lui fit un clin d'oeil amusé, se cachant de nouveau derrière son masque et alla vers le bureau enfiler sa chemise blanche, allant commencer à la boutonner, jetant toujours un regard vers la jeune femme étrangement désirable à ce moment précis.


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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mar 15 Sep - 23:36
Je sentais que me retrouver dans la même pièce qu'Orel me ferait suffoquée, parce qu'il ferait tout surement pour plomber l'ambiance par son silence pesant, et le fait d'éviter de croiser mon regard s'il faisait comme ces derniers jours, j'allais passer les plus longues minutes de ma vie surement. J'étais un peu sur la retenue, je ne savais pas sur quel pied dansait, j'avais bien peur que si je prenais la parole , il y mettre un terme assez rapidement, je ne savais pas quoi faire face aux attitudes d'Orel parfois car elles peuvent être contradictoires, et de manière rapprochée en une fraction de seconde, je ne sais pas ce qui peut lui passer par la tête. Je me retournais et lui aussi c'était beaucoup plus simple de s'habiller et de faire en sorte de sortie le plus vite possible d'ici, déjà l'ambiance semblait électrique comme si on allait se lancer des piques au visage, et la froideur de l'ambiance me mettait clairement mal à l'aise.

Le climat changeait , à l'une de ses phrases, qu'il m'aide à enfiler ma robe , et donc enlever celle que je portais, il redevenait le Orel de d'habitude au moins pour lui , tout était redevenue à la normale, mais je préférais me méfier, parce que peut être qu'il allait encore une fois s'isoler, je le comprenais plus pour le peu de choses que j'arrivais à déceler chez lui . Il semblait ce soir avoir un tempérament joueur; et j'espérais pour lui que l'on sorte vite afin qu'il puisse s'attaquer à une autre fille que moi , si c'était juste parce qu'on était dans la même pièce il pouvait très bien se contenir de certaines paroles jusqu'à ce que l'on nous ouvre. Et je pense que le fait qu'il soit entreprenant avec moi pour me taquiner, me gêner car cette fois ci je n'avais aucune porte de sortie, alors je ne pourrais pas l'ignorer comme lorsqu'il me cherche durant les séances photos, non cette situation était bien plus complexe et périlleuse. Surtout qu'il venait clairement me provoquer d'un geste sensuel juste pour que je puisse bien sortir de mes gonds, je ne comprenais pas sa manie de vouloir me mettre hors de moi surement que cela lui plaisait de me voir partir au quart de tour, aller savoir ..
Toucher ma bretelle me déstabilisait dans un premier temps mais ensuite je ne voulais pas perdre la face devant lui, je me souvenais que l'autre jour j'avais tout fais pour lui clouer le bec et clairement je voulais prendre le dessus, je voulais pas qu'il pense qu'il pouvait m'impressionner, fini la April toute sage et toute gentille que les autres pouvaient décrire je voulais être une nouvelle April et qui se ferait entendre et respecter. Alors je lui dis le fond de ma pensée, je ne voulais pas qu'on reste sur des malentendus il était plus que temps de crever l'abcès. Je voulais juste qu'il arrête d'être froid un coup et me taquiner l'autre sans que je sois fixée si c'est pour rire ou me blâmer, parce qu'à force avec lui on s'y perd. Il me répondit alors qu'il ne me déteste pas. ll avait l'air surpris de ma réaction mais il était plus que temps que quelqu'un lui dise quelque chose sur son comportement.

Pourtant ce n'est pas ce que tu dégages, tu me méprises, on dirait plus . Lui fis je alors remarquer toujours d'une manière froide et sure de moi ne le lâchant pas du regard, ce qui me fit malheureuse perdre pied ce fut la robe , qui elle se mit à descendre jusqu'à se retrouver sur le sol, elle tombait délicatement, suivant les courbes de mon corps qui se retrouvait par la même occasion dénudée d'une couche de vêtement. Tout de suite cette scène l'embarrassait , ayant perdu sa robe, sentant l'air de la pièce touchait son corps, je cherchais à tout cacher pour rien laisser voir à cet odieux personne que je pensais pour le montre être comme cela, malgré je cherchais le bien en lui également. Je ne pris même pas la peine de répondre à sa seconde réplique ; il savait très bien que jusqu'à présent il m'avait laissé indifférente et de marbre. Je le laissais rire après tout rira bien qui rira le dernier.

Je me tournais afin de ramasser au plus vite ma robe pour m'en vêtir et je ne l'entendais plus, ça c'était peut être pire que de l'entendre car on ne savait pas ce qui allait se passer ensuite , ce qu'il dirait ou ferait. Je laissais alors mes fesses en arrière laissant apercevoir mes fesses bombées et fermes , et c'est pour cette raison que je lui demandais avec politesse de se retourner je ne voulais pas qu'il me regarde, ou qu'il fasse comme avec ses filles avec qui ils couchent d'habitude je n'avais rien à avoir avec ses femmes faciles. Je me rapprochais de lui pour lui demander de me venir en aide, mais au vue de sa réaction je me demandais s'il allait m'aider, quoi me faisait il de nouveau du boudin? Pas Possible puis fallait qu'il m'aide je ne pourrais réussir à la clipper toute seule. Je me collais alors un peu plus à lui , l'air de dire "eh oh j'ai besoin de toi, réagis merde" , je lui demandais même par la parole pour provoquer une réaction chez lui, qui mit du temps d'ailleurs à venir. Je mis mes cheveux du même côté penchant un maximum la tête pour laisser entrevoir mon cou, de manière à monter jusqu'en la fermeture éclair. Je sentais que son torse était chaud contrairement à mon dos froid, ce qui provoquait une certaine réaction en rapport à la température de nos corps différentes. Il me réchauffait de cette manière. Il se mit en fin à parler, enfin c'est pas comme si je pouvais m'inquiéter pour lui, quoi qu'un peu , je n'aurais pas voulu l'avoir casser, et qu'il ne bouge plus ou ne parle plus pour la suite de la soirée j'aurais été embêter, et je ne veux pas voir tous ces gens seule. Magnifique ? Il t'arrive quoi Orel? Tu deviendrais gentil ? Lui clamais je surprise sur un air interrogateur.

Il passa ses doigts dans mon dos suivant les courbes de ce dernier, ce qui me fit provoquer un frisson qui parcourrait mon corps. Il me complimentait à nouveau et je me demandais pourquoi ll se comportait de cette manière , je n'étais pas habituée à ce que cela sonne vrai, c'était toujours pour m'embêter en principe. J'étais un peu chamboulée. Alors que j'étais en pleine réflexion il m'attrapa par le menton afin que je puisse m'admirer dans la glace avec cette robe et que je confirme ses dires et comprenne qu'ils n'étaient pas dépourvus de sens. Ils se regardèrent ainsi dans cette position mais ne pouvait rester comme cela longtemps , cela leur rappellerait trop la photo et cette séance photo. D'accord , ben merci pour ton aide. Lui dis je simplement essayant d'être la plus banale possible dans le son de ma voix et je me décollais de lui , je me sentais enfin respirer.... Il revenait vers elle, prêt à sortir, mais je remarquais que les boutons étaient mal mis, peut être qu'il était pensif et n'avait pas fais attention, toujours utile que je ne pouvais le laisser partir ainsi , sinon on se prendrait des remarque et lui également pour sa carrière , tout le groupe au final. J'allais donc vers lui en riant légèrement, me retenant d'éclater de rire, je ne pouvais me moquer, il venait de m'aider, cela aurait été incorrect de ma part. Attends viens par ici , tu as mis lundi avec mardi. Lui rétorquais je afin de lui expliquer qu'il était débrailler et qu'il ne pouvait sortir dans cette accoutrement. Laisses moi faire. Lui ordonnais je afin de pouvoir retourner le plus vite dehors de cette pièce. Je déboutonnais alors délicatement, un à un les boutons de sa chemise, tenant son regard, c'était étrange, pas comme d'habitude, je ne savais décrire le regard qu'il me faisait à cet instant précis. Je baissais les yeux alors sur la tâche que j'étais entrain d'accomplir. Puis une fois sa chemise ouverte, je déposais les bouts des doigts de ma main droite sur son torse, le parcourant de haut en bas suavement. Une fois en bas, je jouais délicatement avec mon index au niveau du haut de son bas de sous vêtement juste en dessous de l'élastique. Ensuite je fis en sorte reboutonner sa chemise jusqu'en haut mais comme cela faisait pas très classe, j'ouvrais de nouveau les premiers boutons de sa chemise afin qu'il est un air plus décontracté et dans l'air du temps. Et alors que je m'exécutais je lui soufflais d'une voix suave et provocante, limite enjôleuse à quelques millimètres de ses lèvres pouvant sentir mon souffle contre ces dernières: " j'aime l'odeur de ta peau qui m'attire. Je le regardais me mordillant la lèvre inférieure pour en rajouter, en faite, je voulais lui faire payer son comportement avec moi et le rendre mal à l'aise à mon tour sachant qu'on se détestait , il ne pourrait me toucher et il serait frustrer et c'était mon but le pousser à bout pour qu'il comprenne qu'il fallait qu'il arrête de se comporter comme un con avec moi et qu'il essaye de vraiment me connaître limite je demande pas qu'on soit ami mais collègue qui s'entendent bien. Je viens alors me coller contre lui , à un écart très réduit entre nos deux corps. Je crois qu'il faut y' aller on est prêt autant en finir avec cette soirée. Lui répliquais je au creux de l'oreille avant de me reculer doucement...
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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mer 16 Sep - 0:27

 
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Alors qu'il venait de l'aider à mettre sa robe, Orel n'avait pas seulement jouer avec la jeune femme, non, ça allait au delà de tout ce qu'il avait pu faire avec une femme avant cela. Il ne faisait jamais ce genre de chose, jouer avec les femmes, les séduire, leurs faire des compliments. Il était un homme qui aimait juste prendre une femme pour son corps et la laisser avec des espoirs zéro dans la tête. Mais avec April c'était différent, leur relation l'était. Ils avaient l'air de ne pas pouvoir s'encadrer, la majeur partie du temps et ils n'avaient jamais été proche, mais en réalité, Orel appréciait la jeune femme, enfin, il ne l'a détestait pas et il l'avait sûrement déjà imaginé plusieurs fois nue mais jamais il n'avait songé à la mettre dans son lit. C'était une bonne fille, une personne gentille et intelligente, donc comme il disait trop peu intéressante et facile à avoir et jeter. Mais en réalité, si Orel ne s'approchait pas de ce genre de femme, c'était parce qu'il voulait qu'elle garde ce qui les rendait... elles en faite. Il ne voulait pas qu'April soit entre autre souiller par lui, car évidemment, sans que personne ne le sache et sans qu'il ne l'avoue jamais, le jeune homme avait une bien mauvaise image de lui-même, d'où la carapace de petit con qu'il s'était créé. Mais là, dans cette pièce close sans rien autour d'eux pour les séparer, il ne pouvait s'empêcher de penser que la jeune blonde était une femme horriblement sexy et désirable. Si elle n'était pas ce qu'elle était, il l'aurait sûrement déjà plaqué sur le bureau pour la pénétrer violemment, mais non, là, il ne savait pas à quoi il jouait, c'était d'ailleurs la raison de son silence. Mais dès qu'il ouvrait la bouche, il y avait une part de lui qui ne pouvait s'empêcher de dire ces mots, et une autre qui avait envie de les dire malgré tout. C'était étrange à expliquer et il voulait que cela cesse et que tout redevienne comme avant, lorsqu'ils ne faisaient que se croiser et qu'il jouait le gros connard emmerdeur avec elle. La jeune femme semblait elle aussi troublé par le comportement et surtout le côté silencieux du jeune homme, mais aussi par l'instant et l'atmosphère de la pièce qui commençait à légèrement s'échauffer. Il devait prendre énormément sur lui pour ne pas avoir de geste déplacer. Si April le savait, elle se rendrait compte qu'en réalité il était carrément respectueux envers elle.. Oui, Orel n'était pas un connard, il aimait juste taquiner et s'envoyer en l'air, comme tout jeune homme de son âge avec une légère option sur le côté emmerdeur.. Mais jamais il ne ferait quoique ce soit de déplacer, sauf si on lui envoyait une invitation bien sur. Car il avait beau être un chieur avec la jeune femme au point où elle le détestait et avait l'impression qu'il en était de même pour lui, il n'en avait pas moins de la considération pour elle et un profond respect. Il ne l'insultait jamais, ne disait jamais de grossièreté en son nom et surtout, il n'avait jamais eu de gestes déplacer... jusqu'à ce soir, mais encore, c'était plutôt délicat et soft, contrairement aux habitudes sexuelles du beau blond. Il se sentait vraiment bizarre en dehors de l'excitation dû à la pièce et le moment qui avait le don de lui donner une érection énorme mais ça, il avait l'habitude.. c'était son quotidien d'avoir une érection pour un oui ou pour un nom. Il passa sa main dans ses cheveux lorsqu'il se trouva derrière elle, son torse brûlant contre son dos froid et les regardait dans le reflet du miroir. Elle était grave sexy, pire même, il avait envie de la déshabiller alors qu'il venait juste de fermer sa robe. C'était bien la première fois qu'il avait autant envie de mettre la jeune femme dans son lit, même si là, en l’occurrence, il n'y avait aucun lit. Mais il savait qu'il avait envie d'elle, enfin, il n'allait pas ce le cacher ni même se mentir à lui-même, de toute manière elle ne pouvait entendre ses pensées. Il était presque sûr d'une chose. Le silence inhabituel du jeune homme semblait perturber la jeune femme ce qui lui, l'amusait plutôt. Bien oui, malgré la situation, il ne fallait pas oublier de s'amuser un minimum. Il s'éloigna enfin d'elle pour enfiler sa chemise après avoir lacer ses chaussures de villes ciré et mit ses boutons sans la quitter des yeux parfois, son regard neutre et sans émotion la transperçant pour mieux regarder la robe qu'elle portait, le dos nu la rendant absolument bandante de A à Z. Il serra les dents et respira lentement pour garder son calme et fut rapidement près, ayant mit une ceinture doré pour aller avec les chaînes et les détails également doré de la robe de la jeune femme. Il y avait aussi sur sa chemise blanche, au niveau des épaules, quelques détails en broderies, de couleurs similaires... ils étaient vraiment assortie c'était limite ridicule. Il s'avança de nouveau vers elle, ayant rentré à moitié la chemise dans le pantalon et fit un signe comme quoi il était près, mais apparemment, il semblait avoir fait tout de travers... comme d'habitude quoi. Le débraillé, c'était le style qu'il préférait le plus et ça depuis toujours.. non, il était pas mignon avec Mardi et Mercredi en couple ? Lorsqu'April lui fit la remarque, il leva les yeux au ciel et s'appuya contre un meuble pour qu'elle s'en charge vu qu'elle voulait le faire, tout en soupirant fortement.

Tout d'un coup, le jeune homme croisa le regard de la jeune femme qui commença à déboutonner sa chemise... le temps sembla passer au ralenti il sentit son corps devenir bouillant en sentant les mains de la jeune femme froler sa peau à chacun de ses mouvements. Lui, comme toujours, soutenait son regard de son air si sérieux, si neutre, si impartiale et son regard brillait d'un petit quelque chose qu'ils n'avaient tout deux pas l'habitude de vivre et il semblait en être de même pour elle. Ils étaient en même temps si proche, si près l'un de l'autre qu'il pouvait sentir l'aura de la jeune femme se charger en énergie... Ho mais quelle femme, quelle femme... Il avait envie de la saisir et passé sa main dans ses cheveux pour venir goutter ses seins si bien cacher dans son décolleté horriblement plongeant. Elle baissa alors les yeux, comme si elle semblait perturbé par la façon dont Orel l'a fixait et regarda ce qu'elle faisait... Lorsque la chemise du jeune homme fut ouverte, elle fit quelque chose auquel il ne s'attendait absolument. Passant ses doigts sur son torse de haut en bas, le beau blond sentit un frisson lui parcourir la colonne vertébrale, descendant jusqu'à son échine et se retint de se mordre la lèvre. La garce mais elle était folle ou quoi de le provoquer de la sorte... Ne se rendait-elle pas compte qu'elle venait de lâcher la bête, de l'invité à se venger et faire ce qu'il voulait d'elle. Il baissa ses yeux vers la main de la jeune femme, ses abdo se bandant à chaque fois qu'elle passait ses ongles dessus et lorsqu'il releva son regard vers elle, il était plus sauvage, plus sombre, plus animal.. Il avait envie de la saisir fortement et de lui apprendre ce que ça faisait que de lui faire subir un tel supplice sans qu'il ne puisse la toucher ! Il ne devait pas la toucher, mais putain, il en avait envie en cet instant ! Lorsqu'elle finit de l'habilller, elle s'approcha, ses lèvres frôlant celle de Orel et lui murmura d'une voix enjôleuse et sensuelle des mots qui eurent raison du jeune homme, qui fut aussi surpris que frustré, sentant son boxer sur le point de se déchirer et son regard se faisait maintenant accusateur, ayant envie de la faire juger pour son crime d'agression sexuel abominable. Il ne voulait pas rire, il ne trouvait pas ça drôle. Elle venait de faire quelque chose qui allait tout changer. Car avant, il ignorait ce que cela pouvait faire d'être touché par cette femme, mais en l'occurrence elle venait justement de le faire et il en avait presque été près à l'embrasser... pour une seconde fois !! Il se mordit la lèvre lorsqu'elle se retourne, comme si rien de tout ça ne venait de se passé et un rictus se forma sur le visage du jeune homme quelques peu voir carrément irrité et frustré, se contrôlant à peine pour ne pas lui sauté dessus et risqué de perdre la seule relation non sexuel qu'il avait avec une femme. Car oui, April était l'une des rares femmes qu'il côtoyait sans avoir couché avec... Mais c'était aussi la première femme qu'il avait envie d'embrasser putain.. mordre sa lèvre inférieur, ça, il voulait, pour qu'elle arrête de se le faire à elle-même, pour qu'elle ferme sa petite bouche et qu'elle soit sienne. Ho merde, mais à quoi pensait-il... lorsqu'elle s'avança vers la sortie, il baissa son regard vers la cambrure de ses reins et sur son fessier si rebondit qui ondulait comme une vrai diva. Orel restait un instant là, bien habiller, les mains crisper contre les bords du meuble et la laissa avancé jusqu'à la porte, ses lèvres formant peu à peu un léger sourire en coin : « Watts... !»

Il s'avança alors vers elle, l'ayant fait retourner lorsqu'il prononça son nom, et il avait attendu juste assez pour qu'elle recule en le voyant arrivé sur elle et se retrouve plaqué contre le porte. Il plaqua ses mains de chaque côté du corps de la jeune femme contre la porte et resta assez éloigner d'elle pour que leurs corps ne se touche pas mais se frôle tout juste. Il plongea son regard dans le sien, celui-ci se voulant troublé, excité, envieux et... plus doux, mystérieux et désireux.. elle venait de réveiller une flammes en lui et il avait besoin de l'éteindre. Elle l'avait provoquer, l'avait fait frissonner et lui avait donner envie de l'embrasser et de mordre ses lèvres, de caresser son corps sous toutes ses courbes et d'aller à un rythme si lent que le temps serait obligé de les suivre pour être en harmonie. Il n'avait jamais voulu faire l'amour à une femme...il ne voulait que baiser. Là c'était la première fois. Il passa sa main sur le visage de la jeune femme, passant son pouce sur ses lèvres : « tu sais ce que tu viens de faire Watts... tu sais ce que tu viens de me faire... ? » il avança un peu plus près, s'approchant presque suffisamment pour sentir la poitrine de la jeune femme s'approcher de son torse à chacune de ses respirations. Il avança ses lèvres jusqu'à la nuque de la jeune femme, les frôlant doucement, sans la brusquer, sans la toucher réellement. Il ne lui manquerait jamais de respect, jamais, mais elle l'avait toucher, et ça... il ne pouvait passé à côté. C'était donnant donnant, et même s'il voulait plus, il ne voulait pas la brusquer. Pour la première fois, il se souciait de ce qu'une femme voulait ou non. Il prit une mèche de ses cheveux entre ses doigts et la fit glisser lentement jusqu'à arriver à la pointe, frôlant de ses mains la poitrine de la jeune femme. Il avança une de ses jambes pour écarter légèrement les jambes de la jeune femme de façon à pouvoir s'appuyer contre elle : « Que me fais-tu makeup girl.. qu'es-tu en train de me faire. » il frôla de ses lèvres le cou de la jeune femme, lui soufflant doucement derrière le creux de son oreille et mordilla doucement cette dernière en souriant en coin. Il revint doucement face à face à elle et son regard croisa le sien : « Ce n'est pas toi qui à faillit m'embrasser.. l'autre fois. C'est moi. » il ne souriait pas, il était très sérieux, son visage était comme impartiale, un regard animal et plein de fougue faisait de cette instant, un moment chargé d'électricité. Il l'a vit alors se mordre la lèvre, mais s'en était trop... : « arrête de faire ça.. où je te jure que je te l'a mort moi-même. » Il était sérieux, et il savait qu'elle allait le pousser, lui exploser les bijoux de famille ou le gifler.. Mais là, il ne se contrôlait plus du tout. Mais même si le désir avait prit place à la raison, il n'était pas le même Orel qu'il y a une heure non.. elle venait de réveiller quelque chose en lui, un frisson. Et même s'il n'aimait pas ça.. il ne se contrôlait plus face à cette femme.


good vibes.
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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Lun 21 Sep - 19:01
J'entendais mon nom de famille raisonnait dans la pièce, et je savais alors que je l'avais touché, que j'allais surement atteindre le but escompté. Je me retournais lentement, le temps de faire un sourire de vainqueur avant de me retourner pour que ce sourire satisfait puisse s'effacer de mes lèvres mais rien à faire intérieurement il était là j'avais juste enlevé le côté visible de cette jouissance grandissante de mon être. Il arrivait sur de lui et je reculais jusqu'à sentir la porte dans mon dos , je me questionnais l'espace d'un instant sur ce qui se tramait , je restais là à soutenir son regard, non , je ne pouvais me dégonfler et reculer. Il m'entourait de ses mains de chaque côté de mon corps, je l'avais regardais effectué son geste, cela aurait pu continuer de me faire sourire, mais je me rendais compte que peut être j'avais été trop loin et que pour lui ce comportement de mon corps avait provoqué une nouvelle réaction chez lui. Je soutenais son regard, ne voulait effacer mon sourire qui serait un signe de faiblesse. Néanmoins il disparu de lui même, comprenant qu'il ne la regardait pas comme d'habitude elle traduisait dans ce dernier des choses explicites qu'il aurait pu ressortir vis à vis d'une autre mais pas d'elle, jamais. Je me pinçais la lèvre inférieure signe que j' étais troublée par le regard du jeune homme qui se tenait à présent devant moi, comme si ce regard faisait naître en moi un frisson, qui me déstabilisait quelque peu. Cette réaction de mon corps au sien, ne s'améliorait pas avec le geste tendre qui s'en suivait. Je sentis ses doigts se poser sur mon visage, et je sentais qu'à l'intérieur de mon corps des vagues de frémissements le surplomber dans chaque partielle, de bas en haut. Ses caresses s'arrêtent sur mes lèvres et mes lèvres s'ouvrir d'elles même comme pour autant le repousser que l'attiser. J'étais coincée entre le fait de bien lui faire comprendre que cela n'était que mépris et seulement pour le faire changer auprès des autres femmes et en même temps je me laissais porter par ce jeu qui venait de commencer et je n'aimais pas perdre. Je laissais donc échapper un souffle chaud et sensuel de mes lèvres alors qu'il me demandait ce que je venais de faire ou plus exactement de lui faire. L'atmosphère était donc à la fois électrique et composée d'une ambiance érotique.

Je me mordis la lèvre inférieure sous ses questionnements, je le voyais enfin troublé comme il le faisait souvent, pourtant je faisais seulement ce qu'il pouvait me dire ou faire d'habitude en gardant mon sérieux en plus, mais j'aimais bien le voir dans cet état et ne plus rien contrôler, j'avais crée une faille, et je devais absolument m'en saisir. Je passais alors ma jambe contre la sienne, la faisant descendre sensuellement, le regardant droit dans les yeux. Je suis pas sure de ce que je suis en train de faire. Lui susurrais je près de son oreille, afin de le rendre fou, ce n'était pas commun et il fallait que je le fasse, même si ça allait à l'encontre totale de la femme que j'étais , car je n'étais pas du genre à allumer le premier venu, mais il fallait que je le fasse pour lui montrer que j'étais une vraie femme, pas simplement une femme fragile. L'écart entre les limites de leur corps réciproque commençait à se restreindre, ma respiration se faisait alors plus forte et les expirations se rapprochaient au moment où il avança ses lèvres si près de ma nuque. Je sentais qu'il pouvait flancher à tout moment, cela se ressentait jusqu'à l'intérieur de moi, je sentais cette pression, cette tentation qu'il éprouvait et honnêtement aussi bizarre que cela pouvait paraître, cela me plaisait de l'avoir mis dans un tel état. Au moins il pouvait sentir au travers cette frustration, la leçon que je voulais qu'il en retire, le fait que cela ne soit pas un jeu comme lui pouvait le faire avec toutes les filles qu'il pouvait croiser, il comprenait je pense maintenant l'impact de ceci, du moindre je l'espère sinon tout cela n'aurait peut être servis à rien.

Il prit une mèche de mes cheveux entre ses doigts et le fait qu'il soit si attentionné envers moi, remettait en question ce que j'étais en train de lui faire, je jouais avec lui, juste pour au final être hautaine avec lui, alors qu'il se souciait de ne pas me forcer, ou même de caresser mon visage ou encore toucher délicatement mes cheveux, .. Je ne savais plus si je devais carrément l'anéantir dans la frustration et le rendre ridicule ou si je devais profiter du fait qu'il soit mignon, pour la première fois de sa vie... Cela finalement me fit réfléchir, et je commençais à me perdre moi même dans le but de tout cela. Je semblais pour la première fois de la soirée flanchée à mon tour, pourquoi fallait il qu'il me lance ce regard enjôleur et mystérieux... Il fallait tout simplement que je respire et cela passerait n'est ce pas ? Il le fallait, il me répugnait clairement dans sa façon d'être je ne pouvais pas le laisser m'attendrir de la sorte. .. Il ne pouvait pas me laisser sensible à lui au contraire avec lui je m'étais toujours promise de rester bien loin, car les hommes comme lui étaient tout sauf ce qui pouvait m'attirer .. C'est surement le contexte qui voulait nous jouer des tours mais nous sérions plus fort que cela. Oui on pouvait passer au travers de cela, enfin c'était sans compter sur mon caractère rebelle, de vouloir aller jusqu'au bout, ne pas me démonter pour démontrer quelque chose à quelqu'un... parfois je pouvais me contredire moi même; c'est dingue, pourquoi toujours vouloir montrer que l'on a raison et qu'on peut le faire, je vous jure...

Rien, je fais rien du tout Orel, ce n'est que le fruit de ton imagination, juste une partie de toi qui se laisse s'exprimer pour la toute première fois.. Lui soufflais je délicatement, d'une voix fluette, et suave. Il frôla mes lèvres et je sentais alors que mes jambes commencèrent à se déplanter du sol comme pour défaillir, avec du mal à tenir debout et rester solide de marbre face au charme qu'il essayait d'essayer et qu'il voulait qu'il opère sur mon être. Il voulait jouer, et alors je n'hésitais plus très longtemps, était il sérieux ? Je ne comprenais plus nos comportements, il fallait qu'on s'arrête avant que tous les deux nous regrettons d'avoir tenter juste un geste de travers. Je l'écoutais attentivement, pendue à ses lèvres qui se voulaient gourmandes et attirantes, elles avaient l'air si douces et sensuelles alors que lui était si brut, et pourtant si avenant en ce moment précis avec moi.. En parlant de ses lèvres, il exprimait d'ailleurs le fait que c'était lui qui avait souhaité m'embrasser lors de notre dernière rencontre et tout venait soudain de s'éclairer, la manière si particulière dont il avait le don en ce moment de me fuir, de me repousser au travail, juste pour ne pas me voir.. Je pensais que vu le nombre de femme qui avait du embrasser, une de plus dont il avait eut envie cela ne devait plus rien faire, mais je me trompais lourdement apparemment, cela avait l'air de le contrarier et en même temps donner une explication à la situation présente sous nos yeux.

Pourquoi Orel? pourquoi ce comportement, je ne dois pas être la première, et encore moins la dernière, des femmes tu en as vu plus d'une.. Y'en a eu plus d'une que tu as du rêver embrasser.. Lui répliquais je dans un souffle contre ses lèvres, mon regard plongeait dans le sien, je venais de me pincer une nouvelle fois la lèvre inférieure, signe que j'étais déstabilisée d'autant plus après nos propos. Et après cela je sentais que des choses se bousculaient chez moi comme chez lui ... Néanmoins je cherchais à prendre le dessus quoi qu'il puisse arriver ou se dire, je serais forte, et explicite, je resterais imperturbable vu de l'extérieur, malgré qu'à l'intérieur tout se chamboulait. Il me menaçait d'arrêter de me mordiller la lèvre inférieure, surement parce que cela devait lui plaire, que je fasse ce geste sexy, malgré moi. Je reprenais alors le dessus après cet aveu qui permettait de me faire pousser des ailes afin de prendre confiance en moi , et de prendre la main, il venait de me tendre une perche et j'allais la saisir au vol peut importe ensuite les répercussions, il aurait surement envie de me gifler mais qu'importe , j'allais le mettre échec et mat. Alors Orel.. Dis je en plongeant mon regard de braise dans le sien à nouveau. Qu'est ce que cela fait de mourir d'envie pour une demoiselle et de ne pas pouvoir la toucher, de vouloir que son corps t'appartienne juste l'espace d'un instant, de vouloir la conquérir, de vouloir voir son corps frissonner sous tes mains désireuses de découvrir chaque courbe de son corps de déesse, chaque partielle plus parfaite que l'autre. Lui énonçais je ne quittant pas son regard, laissant une main entre nous deux, juste pour que la distance reste suffisante assez frustrante pour que mes mots ont l'impact escompté, puissent venir se heurter à son corps qui pourraient réagir vivement à n'importe quel moment de mon discours enflammé. Qu'est ce que ça fait d'être à l'amande devant une femme qui te frustre, essayant de retenir des envies les plus profondes encore jamais inassouvies, et le pire dans tout cela c'est que tu sais, c'est que tu penses que cela doit être tellement, si plaisant au fond, de pouvoir céder à l'interdit, de pouvoir se saisir des ses lèvres dont tu as envies depuis , que tu as du surement rêver depuis cette envie de les capturer. Le pire également c'est que tu pourrais y prendre goût et si c'était encore plus plaisant que tout ce que tu avais pu connaître.... Poursuivis je finissant le souffle court, le provoquant du regard, Penchant la tête sur le côté en me mordillant sensuellement la lèvre inférieure. Alors Orel on sort ? Je pense que l'air est devenu irrespirable pour toi, je ne voudrais pas abuser de la situation et que tu sois trop frustrer, je vais te laisse te jeter sur la première fille venue dans la salle , d'accord ? Lui proposais je sachant pertinemment que dans tous les cas je venais de gagner cette manche...
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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mar 22 Sep - 16:49

 
Orel D. Judith & April Watts
Bored bored bored...


Orel, au fond de lui, était hors de lui.. Il était en colère, contre elle et surtout contre lui-même. Il ne comprenait pas ce qu'il se passait, il ne contrôlait plus rien et il avait horreur de ça.. il avait toujours le pouvoir, le contrôle et ce dans tous les domaines. Il passa sa main dans ses cheveux lorsqu'elle s'éloigna vers la porte et se rapprocha d'elle alors, plaquant ses mains de part et d'autre de son corps et la fixant de son regard sombre et mystérieux. D'habitude, on voyait dans son regard ce quelque chose qui montrait qu'il se fichait des gens, qu'il ne voulait que baiser et point.. Mais là c'était différent, il y avait autre chose qui montrait que la jeune femme avait touché une corde sensible. Lorsqu'il s'approcha d'elle, elle arrêta de sourire instantanément. Il voyait bien l'effet qu'il avait sur elle, et c'est ce qui le rendait encore plus dingue. N'était-elle pas sensé le détester au plus haut point... Il passa sa main sur son visage, sa voix se faisant basse et suave dans son questionnement qu'il posait autant à lui même qu'à la jeune femme.. Il s'arrêta sur sa bouche que celle-ci ouvrit tandis qu'il pressait son pouce contre sa lèvre inférieur tandis qu'elle mordillait sa lèvre.. à partir de cet instant, il savait que ce geste lui ferait toujours cet effet, ce désir qui prenait possession de lui et qui le rendait fou en cet instant. Il savait qu'à partir de cet instant, dès qu'elle se mordillerait la lèvre, il aurait ce même sentiment le prenant dans ses tripes entières. Lorsqu'elle passa sa jambe entre celle du jeune homme, son regard fut prit d'incompréhension.. Mais à quoi jouait-elle ? Pourquoi faisait-elle ça ? Il ne savait plus quoi penser de ce qu'il était en train de se passé. Se rendait-elle seulement compte qu'elle le poussait à bout et que bientôt, il ne ferait plus la différence entre le bien et le mal tant elle était en train de ne plus mettre aucune barrière entre eux ? « Je suis pas sure de ce que je suis en train de faire. » déclara-t-elle au creu de son oreille, provoquant un frisson dans son échine. Il serra les dents, elle le cherchait vraiment, et elle allait perdre.. mais n'allait-il pas perdre en même temps à ce jeu s'il l'a poussait autant au bout de ses limites. Il n'arrivait plus à réfléchir. Il sentit la respiration de April se faire plus haletante et forte lorsqu'il approcha ses lèvres de nuque, soufflant sur sa peau apparemment brûlante. Mais que se passait-il entre eux à ce moment ? Pourquoi semblait-ils avoir envie de la même chose sans pouvoir y arriver et franchir le pas.. ? Elle était sensé le détester, et elle n'était sensé être qu'un amusement de plus pour lui qu'il ne pensait jamais réellement vouloir mettre dans son lit au point de mettre en application ses fantasmes amusant.

Mais qu'essayait-elle de prouver ? Que voulait-elle accomplir ? Voulait-elle lui prouver qu'il était capable de ressentir des choses ? Qu'il n'était pas infaillible ? Mais en quoi cela pourrait être bénéfique pour elle si elle se faisait elle-même cobaye de son projet ? Il ne l'a comprenait pas ? Comment avaient-ils pu en arriver là. Lorsqu'il lui demanda ce qu'elle lui faisait.. il semblait encore une fois se poser la question autant à lui-même qu'à elle.. Il passa une main dans ses cheveux, attrapant une mèche de ses cheveux pour la remettre en place, avec une douceur qu'il ne se connaissait pas. Il ne voulait pas lui faire peur, la choqué.. Non il avait tout de même un certain respect pour elle et c'était d'ailleurs pour ça qu'il n'avait jamais rien entreprit pour la baiser. Elle sembla troublée par cet élan d'affection venant de lui et leurs regards se croisèrent de nouveau, restant un instant les yeux dans les yeux.. les prunelles de la jeune femme étaient si magnifique, dans leur teinte unique. Orel n'y avait jamais réellement fait attention.Mais la phrase qu'elle sortit eu raison de sa contemplation et l'homme fronça les sourcils d'un coup : « Rien, je fais rien du tout Orel, ce n'est que le fruit de ton imagination, juste une partie de toi qui se laisse s'exprimer pour la toute première fois.. » Il frôla les lèvres de la jeune femme, la provoquant et comme dans un élan de rage. Pourquoi fallait-il qu'elle dise ça ? Pourquoi fallait-il qu'elle soit capable de comprendre peu à peu ce qu'il était ? La carapace qu'il s'était forgé n'était pas là par hasard, mais plus il passait du temps ainsi avec elle, plus elle semblait le démolir peu à peu.. et il sentit la piqure douloureuse qu'il n'avait pas ressentit depuis longtemps refaire doucement surface. Il sentit alors que la proximité de leur lèvre était à la limite de la faire défaillir et que ses jambes tremblait. Elle en avait envie, autant que lui : « Le fruit de mon imagination.. pourquoi trembles-tu ainsi alors ? Pourquoi réagis-tu à mes caresses... ? » il ne pouvait contrôler ses paroles, passant ses doigts sur le bras de la jeune femme.

Lorsqu'il lui avoua enfin que c'était lui, et pas elle qui avait faillit l'embrasser dans un élan incontrôlable lors de la séance photo, elle sembla encore plus chamboulé, malgré cette façade qu'elle tentait de garder intacte, mais même lui, derrière son air blasé et son visage neutre, son regard ne mentait pas. Il serra les dents et l'écouta alors : « Pourquoi Orel? pourquoi ce comportement, je ne dois pas être la première, et encore moins la dernière, des femmes tu en as vu plus d'une.. Y'en a eu plus d'une que tu as du rêver embrasser.. » Il haussa un sourcil. Il était vrai que personne ne connaissait la rêgle d'or d'Orel.. Jamais embrasser. Il n'embrassait et n'avais jamais embrassé personne. Il n'avait donc jamais connu de premier baiser... enfin si peut-être mais il était tellement déchiré qu'il n'en avait aucun souvenir. Ou c'était contre son gré et il repoussait automatiquement, le baiser n'était donc pas partagé. Mais un vrai baiser, qu'il aurait donné, jamais. Il trouvait cela trop intime, trop personnel et trouvait qu'un baiser signifiait trop de chose pour s'en embarrasser.. cela pourrait causer des problèmes. Mais ça, évidemment, April n'en avait aucune idée. Il sourit en coin baissant la tête et la releva, ses lèvres toujours si proche des siennes et murmura : « Et bien, pas tout à fait April, sache que je n'embrasse JAMAIS personne » Il se mordit l'intérieur de la joue, presque énervé d'avoir du faire cette révélation et la vit se mordre la lèvre encore une fois, il leva les yeux au ciel et la menaça que si elle recommençait, il devrait lui mordre lui même. Elle sembla comme choqué mais surtout amusée... ce qui ne présageait rien de bon. Mais bon dieu, quand allait-elle arrêter de le torturer de la sorte. Lorsqu'elle prononça de nouveau son nom avec ce ton de défit, ce ton joueur et surtout ce ton de vainqueur, il sentit tous les muscles de son corps se contracter : « Qu'est ce que cela fait de mourir d'envie pour une demoiselle et de ne pas pouvoir la toucher, de vouloir que son corps t'appartienne juste l'espace d'un instant, de vouloir la conquérir, de vouloir voir son corps frissonner sous tes mains désireuses de découvrir chaque courbe de son corps de déesse, chaque partielle plus parfaite que l'autre. Qu'est ce que ça fait d'être à l'amande devant une femme qui te frustre, essayant de retenir des envies les plus profondes encore jamais inassouvies, et le pire dans tout cela c'est que tu sais, c'est que tu penses que cela doit être tellement, si plaisant au fond, de pouvoir céder à l'interdit, de pouvoir se saisir des ses lèvres dont tu as envies depuis , que tu as du surement rêver depuis cette envie de les capturer. Le pire également c'est que tu pourrais y prendre goût et si c'était encore plus plaisant que tout ce que tu avais pu connaître.... »

Il serra les dents à chacune de ses paroles. La garce ! Il serra les poings de part et d'autre de la porte, toujours près d'elle tandis qu'une de ses mains mettait une distance de sécurité entre eux.. de quoi avait-elle peur ? Elle savait pertinemment qu'elle venait de provoquer la bête en lui. Il était réveiller et faisait tout pour ne pas lui sauter dessus maintenant, lui arrachant sa robe pour dévoiler le peu qu'il avait pu voir quelques minutes plus tôt. Elle mordilla de nouveau sa lèvre, prouvant encore une fois qu'elle le provoquait.. Mais pourquoi faisait-elle ça ? Que voulait-elle ? Faisait-elle ça juste pour le mettre en rogne, parce qu'elle le détestait plus que tout ? Ou avait-elle inconsciemment envie qu'il réagisse ? April n'était pas une salope, encore moins une allumeuse, il savait qu'elle était une femme respectable et naturellement bonne, ce qui faisait pour lui une proie facile à taquiner.. mais il ne l'avait jamais vu ainsi. Il ne savait pas encore jusqu'à aujourd'hui l'effet qu'elle avait sur lui et c'était sûrement réciproque. Elle se comportait ainsi pour se voiler la face, pour se protéger et surtout pour lui faire comprendre qu'il avait une faille. Ce qu'elle ne semblait pas comprendre, c'est que de toute évidence, sa faille, sa seule faille.. c'était elle et que si elle continuait dans cette voie, il ne pourrait se retenir et ne reviendrait pas à en arrière : « Je te respecte quoique tu puisses en croire mais là.. tu vas trop loin Watts » Lorsqu'elle finit sur cette dernière phrase, Orel haussa un sourcil. Ha d'accord, c'était bien ainsi qu'elle le voyait. Mais elle ne comprenait pas qu'après ce qu'il venait de se passer, il ne penserait plus à rien d'autre qu'à ça ?! Il recula d'un pas, le regard sombre et surtout, une lueur animale passant dans son regard, elle l'avait tout de même un peu énervé. Il passa sa langue sur sa lèvre et passa sa main dans ses cheveux tandis qu'il s'était enfin écarter d'elle, l'a laissant reprendre une respiration normal. Elle avait gagner, il avait abaisser ses barrières.. il pouvait le sentir, il pouvait sentir son cœur battre à tout rompre. Cela n'arrivait jamais sauf lors de ses parties de jambes en l'air pendant l'effort physique.

« Tu vas me faire croire que ce que tu viens de dire ne marche pas dans les deux sens. Tu crois que je ne vois pas comment ton corps réagit à présent à ma simple présence Watts ? Tu crois que tu as gagner ? Oui, tu as bien gagner April.. tu as gagner parce que je suis perdue.. à cause de toi.. et ça, je compte bien te le prouver dans les secondes qui vont suivre » Il tendit soudainement la main, sa voix ayant prit une hauteur dé-mesurable, gueulant presque, son regard désespérer dans le sien, comme s'il venait d'entrer dans la folie face à cette femme qui venait de le fendre en deux. Il lui attrapa brusquement le poignet et l'a tira vers lui, attrapant de son autre main le dos de la jeune femme pour la coller à lui et vint alors saisir le menton de la belle blonde, relevant son visage. Leur corps se trouvait maintenant complètement coller. Orel n'avait plus du tout d'érection, mais malgré tout, il sentait la chaleur envahir son corps comme un brasier infini. Il sentait son cœur près à explosé et tandis qu'il était si proche d'elle que sa respiration saccadé se faisait sentir, il murmura : « Bravo April Watts, vous avez gagner.. Vous m'avez perdu. » Et sans lui laisser le temps de répondre, il scella ses lèvres aux siennes, l'embrassant, comme s'il venait d'embrasser pour la première fois, mais le faisant avec une passion douloureuse, comme si se libérait d'un poids immense. Il n'avait jamais fait ça... JAMAIS. Il ferma les yeux, serrant ses paupières en la serrant contre lui, la sentant comme prise par surprise mais ne rejetant pas son baiser. Ils étaient comme dans une dimension parallèle... April et Orel... Orel et April !!! Mais qui aurait pu imaginer ça un seul instant. Il passa sa main dans les cheveux de la jeune femme, ouvrant ses paupières pour croiser son regard ouvert, surprise, les prunelles du jeunes hommes la fixant avec une sorte de lueur et un mystère qui faisait de cet instant un passage au ralentit. Il ferma de nouveau ses yeux en même temps qu'elle tandis qu'il ne rompait toujours pas le baiser, laissant sa langue se faufiler doucement, se joignant à la sienne. Maintenant, il en voulait tellement plus, tellement plus.. Mais il avait déjà franchit une limite qu'il s'était jurer de ne pas franchir ce soir là.. il l'a respectait, ne voulait pas qu'elle le déteste pour de bon. Il s'attendait à une gifle, qu'elle le repousse, mais alors que son baiser se faisait plus fougueux, la porte s'ouvrit brusquement, et Orel mit fint au baiser, se reculant d'elle avec hâte en tournant son regard vers la porte. La directrice refit surface, un sourire énervant sur le visage. Elle les dévisagea et Orel retrouva son air blasé, son cœur ne se calmant toujours pas : « Ho, mais je vois que vous êtes prêt.. mais tout à fait prêt hu hu hu.. Tout le monde vous attend, je passe devant hein..., » elle leur fit un clin d'oeil et Orel leva les yeux au ciel, les mains dans les poches. Il tourna son regard neutre vers April, et lorsqu'elle croisa son regard, il regarda ailleurs, se raclant la gorge : « …Ou..oublie ça d'accord. Je ne voulais pas t'offusquer, bref.. laisse tomber » il remit son col et passa sa main dans ses cheveux. Il avança d'un pas et se tourna de nouveau vers elle : « On y va... April ? » il lui tendit la main, la regardant dans les yeux, redevenu aussi neutre qu'en entrant, mais une lueur passant dans son regard. Cette femme venait de le changer.. il ne savait pas comment serait demain.. mais il devait vraiment réfléchir à tout ça et vite...


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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Dim 18 Oct - 23:48
La directrice arrivait au bon moment, je pense que ça me soulageait au fond qu'elle arrive maintenant, ça m'évitait de me questionner, de me demander pourquoi ma main n'était pas partie toute seule finalement, parce que ça aurait du être le cas, et je le sais pertinemment. Je pensais que son arrivée me soulageait vraiment mais en enlevant un poids , elle m'en mettait un second, et je sentais alors que la soirée serait longue et pesante pour moi dorénavant. Comment pouvait elle dire cela, non sincèrement, elle voulait créer un couple autour de ses poulains, qu'elle choisisse une autre femme que moi, elle a qu'à le mettre avec un mannequin comme lui, des jolies femmes dans leur métier et dans leur agence y'en avait plein, et je n'étais pas faite pour être sous les projecteurs, j'ai la petite April qui était bonne à rester dans l'ombre et rester sage parait il, alors raison de plus pour ne pas venir m'embêter avec des âneries pareilles! J'étais remontée, j'en avais marre de cette mascarade. Je soufflais un bon coup, puis recroiser le regard d'Orel , quelque chose avait changé et j'espérais sincèrement qu'il ne m'en veuille pas , face à mon comportement. J'avais réussis cependant à le pousser à bout, et finalement malgré que je devrais être satisfaite, je m'en voulais parce que certes, souvent il me chambrait , mais finalement je m'étais trompée, il l'avait dit il me détestait pas, qu'est ce que je venais de faire ... Je me sentais un peu coupable, car j'avais été trop loin.. il ne méritait pas autant de mépris de ma part, c'était plus fort que moi, il représentait tout ce que je détestais chez un homme, alors je voulais lui montrer qu'une femme pouvait lui retourner la tête et qu'il pourrait se faire avoir à son propre jeu, je voulais lui donner une bonne leçon, au final c'était chose faite et je culpabilisais j'avais mal au ventre, je sentais que je m'en rendais malade, parce que même si j'avais un côté pétasse, il m'avait respecté, ce qui montrait qu'il pouvait avoir clairement un bon fond, et peut être que je voulais connaître aussi cet Orel là; mais il était trop tôt pour qu'on puisse se parler normalement, je ne pouvais plus faire semblant et pourtant il le fallait la soirée devait continuer. Je devais me montrer souriante, sure de moi . Il avait reprit le même air, de mec blasé de la vie, et qui s'en fichait de tout, et à présent je me disais que j'avais peut être bien fais, comment me contredire en deux minutes à cause du comportement débile et ringard de ce jeune homme, que je ne comprendrais surement jamais. Oui, puis maintenant que tu sais comment on fait pour embrasser, tu te priveras pas de t'entraîner toute la soirée , ce sera un début d'une nouvelle aventure pour toi. Oui j'étais une pétasse, mais quelle jolie pétasse je faisais. Alors que je le disais sur un ton amusée, et de garce, c'est sur que je pouvais être mignonne mais j'avais aussi un autre côté que personne n'avait encore remarqué chez moi et je comptais bien le mettre à profit. Il remit son col et passa sa main dans ses cheveux, je le laissais faire attendant qu'il soit prêt et je pris sa main. Je le regardais plutôt froidement, s'il pouvait passer par plusieurs personnalités, je pouvais en faire de même et lui tenir tête. Un garçon de l'agence passait avec lequel je m'entendais bien c'était juste un simple collègue de travail , je voulais aller le saluer et être courtois avec lui, mais Orel en avait décidé autrement et comme je voulais lui dire bonjour, il me serrait par le bras, comme pour faire comprendre à notre collègue que pour ce soir, je lui appartenais, je lui écrasais alors le pied , espérant qu'il me lâche et qu'il est un peu mal quand même, je le cacherais pas. Puis je faisais la bise à ce garçon qui nous avait rien fais. Je revins prendre le bras de ce cher Orel quand je vis la collègue avec qui il avait eut la réputation de se la faire sur la photocopieuse, je faisais un bisou sur la joue d'Orel, tout tendre comme une marque d'affection, juste assez pour qu'elle parte loin, je voulais lui gâcher également sa soirée, qu'il sache que s'il voulait jouer à ce jeu malsain, je pouvais le faire également malgré mes réticences car je voulais essayer d'un autre côté qu'on s'entende bien, qu'on soit au moins des amis, enfin des potes, ou plutôt juste qu'on arrive à être gentils l'un envers l'autre pour changer, mais à croire que le fait qu'il est posé ses lèvres sur les miennes venait de changer la donne, il se comportait encore plus bizarrement qu'à son habitude et je ne savais plus tellement comment me défendre parfois face à lui, j'étais comme lui démunie, et je ne voulais pas le montrer tout simplement par fierté et aussi car il en aurait été trop heureux, je ne pouvais pas le laisser repartir victorieux , il fallait que cette faille que je venais de lui faire avoir , grandisse et que je puisse enfin prendre le dessus , car il en savait beaucoup sur moi et moi si peu de lui finalement... Orel, pourquoi est ce qu'on s'est toujours comporté comme ça ? Qu'est ce que tu me reproches finalement ? Le questionnais je alors que je venais de gagner un peu sa soirée, je voulais essayer de sympathiser avec lui étant donné mon comportement instable depuis le début. Je veux dire , il y a bien une raison pour que tu sois comme cela avec moi non ? Lui demandais je curieusement, je voulais vraiment savoir comment on en était arrivé à ce point là, j'en avais marre d'être la seule à ne rien savoir et cela pour presque tous les gens que j'approchais et je savais qu'Orel était assez franc comme jeune homme pour me le confier, et me dire exactement ce qu'il en était. .. A moins qu'il ne disait mot pour une raison que je ne saurais jamais, mais j'espérais avoir quelques pistes ce soir, je demandais pas qu'il me fasse tout un résumé de nos différents, mais bien comprendre juste pourquoi on essaye de mettre l'autre dans l'embarras ou dans des circonstances instables ou encore se chambrer assez fortement.
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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mar 3 Nov - 19:28

 
Orel D. Judith & April Watts
What's happened now ?...


Orel attendait que April se décide à lui prendre la main pour qu'il sorte enfin de cette pièce quand elle fit une remarque qui eut vraiment le don de le mettre en colère. Était-elle réellement sérieuse ou avait-elle besoin d'un coup sur la tête ? Cette fille était vraiment un monstre en réalité, il en avait presque la certitude même s'il voyait très bien que cette facette qu'elle montrait d'elle n'était rien d'autre qu'un mécanisme d'auto-défense pour se protéger de lui. Mais elle n'avait pas l'air d'imprimé ce qu'il venait tout juste de se passer.. Il venait de l'embrasser et lui-même avait encore du mal à le réaliser. Il n'avait embrassé personne depuis des années, et surtout pas de cette façon. Il en avait encore le cœur qui tourmentait sa poitrine et n'osait imaginer ce qu'il se serait passé si la porte ne s'était pas ouverte en cet instant. Il serra un de ses poings, et avait une envie furieuse de frapper contre un mur de s'être montré si faible envers elle. April l'avait provoqué et ça, sans penser aux conséquences et maintenant, elle avait l'audace de continuer à le provoquer.. pourquoi le torturé ainsi alors qu'il avait bien vu le trouble dans ses yeux. Peut-être n'était-il pas si différent que cela en fin de compte, jouant les con pour se faire remarquer et ne pas perdre face à l'autre. Mais le problème, c'est qu'April n'était pas ainsi, elle était loin d'être un garce, il ne l'a voyait pas ainsi. Enfin, même si elle se conduisait comme la pire des garces en cet instant, lui ne la voyait que comme une poupée de porcelaine, une perfection indécente et absolument horripilante qui lui donnait envie de vomir et de tout foutre en l'air. C'était une des raisons qui lui donnait toujours envie de l'emmerder, elle était trop tout et trop rien à la fois. Il ne savait sur quel pied danser avec la jeune blonde et cela l'énervait vraiment. Pourtant, il avait déjà pensé à la baiser parfois, mais pas assez souvent pour passé à l'acte ce qui était vraiment surréaliste. Orel n'était pas du genre à ne pas vouloir se taper une fille aussi canon. Pourquoi ne la voyait-il pas comme les autres ? Facile à avoir, bonne à baiser puis jeter ensuite.. il aurait peut-être mieux fait de rester le petit Pédé qu'il était jeune.. se faisait soumettre par les hommes plus fort que lui.. Mais il avait alors trouvé amusant une fois de donner son pied à une femme et s'était trouvé un véritable talent dans le domaine féminin, le dominant d'une main de maître. Il n'acceptait pas de se faire dominé par une femme, parce qu'il se considérait comme plus faible et ne voulait pas montrer cet aspect de son caractère, cette fragilité, cette brisure dans son corps et son âme. Mais face à April, en cette soiré e de gala, il avait laissé tombé ses protections et ses boucliers et avait faillit à la seul règle qu'il s'était jurer de ne jamais briser, lui étant inspiré de Pretty Woman.. ne jamais embrasser une femme.. jamais. Parfois, il mettait sa langue dans la bouche de celles qu'il baisait et ça lui arrivait de se faire baiser la bouche par pas mal d'homme.. Mais jamais il n'avait EMBRASSER qui que ce soit.. jamais.

April finit par prendre sa main, le regardant froidement. Apparemment, le fait qu'il soit redevenu l'homme neutre et blasé ne lui avait pas plu.. il pouvait facilement comprendre alors sa phrase si insolente et radicalement salope de sa part. Les deux jeunes gens arrivèrent de nouveau dans la foule, faisant retourné plusieurs tête et Orel prit un air classe et plutôt professionnel, souriant à quelques personnages célèbres et important, essayant de faire bonne figure pour une fois. Il ne pouvait se permettre de jouer tout le temps au con, même si sourire n'était pas son fort, un petit sourire poli se voyait sur son visage même si son visage restait fermé à l'assistance. Il serra quelques mains et remarqua dès lors un jeune homme saluant de loin April.. sûrement une connaissance, mais la façon dont il dévisageait de haut en bas la belle ne plaisait pas à Orel.. pas du tout. Et rien que ce fait là surprenait le jeune homme qui se fichait d'habitude de tout et de tout le monde.. Comme sans s'en rendre compte, en réflexe, il saisit le bras de la belle qui s'apprêtait à aller saluer sa connaissance et la plaqua contre lui, sans la regarder. Baissant juste le regard pour croiser rapidement celui de la jeune femme, mais celle-ci ne sembla pas apprécier et vint lui écraser le pied avec son talon ce qui fit grimacer Orel, qui se retint de crier et se plia un peu en la lâchant, lui jetant un regard noir lorsqu'elle alla saluer son ami. Orel reprit son calme et resta droit lorsqu'elle vint reprendre son bras d'un air satisfait et au loin, ce dernier remarqua alors la femme si sexy qu'il avait prit dans la salle de repos à l'agence, la porte ouverte et la laissant les fesses à l'air lors de cette journée où il avait revu April. Elle lui lança un regard d'allumeuse, se mordant la lèvre, assise au bar et écarta un peu les cuisses dévoilant qu'elle ne portait rien sous sa robe. Orel lui jeta un regard plein d'intention, réagissant toujours à ce genre d'appel mais sentit alors soudainement un baiser se poser sur sa joue ce qui le fit tout de suite retomber sur terre. Il regarda April avec surprise et fut tout aussi surpris de se sentir coupable d'avoir eu envie de baiser la salope juste à l'instant. Son regard était empli d'incompréhension et lorsqu'il tourna de nouveau ses yeux vers l'allumeuse sans culotte, elle avait disparu. Il ricana, trouvant tout de même le coup d'April très bien jouer et se mordit l'intérieur de la joue. Il savait qu'il venait d'embrasser April, que son cœur le tourmentait.. mais il était tellement en colère de ressentir un quelconque sentiment que baiser cette chaudasses dans un coin, près à se faire surprendre par n'importe qui, ou qu'on les surprennent, elle à genoux et lui tirant les cheveux pour lui pénétrer la bouche plus profondément l'autre un peu détendu.. Mais tant pis, il devait rester dans cet état de stress et de trouble total.. Pourquoi avait-il embrasser cette fille merde ! Il n'embrassait jamais personne ! Et pourquoi avait-il l'impression qu'elle avait réussit à percer à jour sa façon d'être.. Cette fille était un véritable danger pour lui..

Il soupira et fini par lui reprendre le bras, prenant son coude pour qu'elle passe devant la foule et passa sa main dans son dos pour la conduire, se comportant étrangement comme un gentleman malgré son air froid et distant sur le visage, il ne se rendait qu'à peine compte de qu'il faisait. Ils arrivèrent alors au bar où se trouvait auparavant la salope et Orel prit deux coupes de champagne dont une qu'il donna à April, faisant ensuite tinté son verre dans le sien, un sourire en coin sur le visage : « Ferais-tu ta possessive Watts ? » mais alors qu'il allait de nouveau la taquiner, la jeune femme prit un air soudainement si plaintif et triste qu'il ne comprit que très tardivement ce qu'il était en train de se passer.. Non, non ne pose pas de question, arrête. Orel était toujours si distant, si froid, si blasé à rire de tout et je m'en foutiste, ne parlant à personne et ne s'attachant pas assez pour qu'on s'intéresse à lui, il avait le don pour contourner les questions.. Mais ce soir, avec ce qu'il venait de se passé avec la jeune femme, il ne savait pas combien de temps il pourrait garder son image de bad boy je m'en foutiste et loubard absolument insupportable. « Orel, pourquoi est ce qu'on s'est toujours comporté comme ça ? Qu'est ce que tu me reproches finalement ? Je veux dire , il y a bien une raison pour que tu sois comme cela avec moi non ? » Orel la regarda dans les yeux, restant silencieux un instant ne comprend définitivement rien à cette demoiselle qui passait du tout ou rien.. Elle semblait comme vouloir faire la paix, cherchant véritablement des réponses et elle était si sérieux que s'en était presque déroutant. Il la scruta, regardant son expression, ses traits dans les moindres détails, le haut de sa robe.. il la détestait oui. Mais si elle savait pour quelles raisons.. « Je ne te reproche rien » murmura-t-il en regardant ailleurs finalement. Il avait l'air comme agacé, énervé de dire ces mots et soupira en finissant sa flûte et en reprenant une nouvelle. Il passa sa main dans ses cheveux : « Je ne sais pas être autrement, c'est tout. » il repensait à son père, frappant sa mère.. il n'avait jamais été assez fort pour la protéger, il n'était qu'un gamin pensant à jouer et riant du haut de ses 8 ans comme un pauvre ignorant.. il n'avait été qu'un gamin freluquet et frêle, rebelle et s'éloignant de sa famille au lieu de la protégé. La jeune homme ne savait même pas si sa sœur pourrait un jour lui pardonner d'avoir abandonner sa mère. Oui il s'était barrer de la maison, mais il n'en pouvait plus et il était con.. il l'avait toujours été et il ne savait pas être autrement. Il avait toujours été comme ça mais la faiblesse de sa jeunesse l'avait endurcit d'une façon qu'il n'aurait jamais imaginer.. Il n'avait pas honte de ce qu'il était, mais il ne s'aimait pas pour autant. Il ne voulait pas que l'on pense qu'il pouvait détester quelqu'un ça non.. enfin, il ne pourrait jamais haïr plus quelqu'un se père : « Je ne sais pas pourquoi je suis ainsi avec toi April. C'est comme ça c'est tout, et je peux pas faire autrement » sa voix était calme, posé et surtout, difficile à contrôler, tant être sincère à ce point était rare pour lui. Il la regarda dans les yeux... putain il avait encore envie de l'embrasser : « Mais.. je n'ai rien contre toi. Vraiment... » il passa sans s'en rendre compte ses doigts sur le bras de la jeune femme, son visage plus près du sien et soupira : « Et toi, tu me détestes Watts ? Je comprendrais » il prit une gorgé de champagne et s'écarta un peu en entendant glousser sa patronne.. elle était vraiment chiante putain.


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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mer 4 Nov - 15:01
Je savais que ce qui venait de se passer allait changer définitivement ma façon de me comporter avec lui, quelque chose faisait qu'on ne pouvait continuer comme avant. Il y' avait des preuves qu'on n'était pas indifférent à l'autre au point de ne pas se parler, non, on avait envie d'aller vers l'autre de se connaitre, et je trouvais cela dommage que parce qu'on s'envoyait boulet d'habitude il fallait toujours qu'on se comporte ainsi et qu'il ne pouvait en être autrement. Je comportais d'une manière plutôt hautaine et supérieure, surement parce que je ne pouvais comprendre qu'il arrive à s'éloigner à une vitesse si rapide et prendre si vite de la distance face aux évènements, et je lui en voulais c'est pour cela que je me trouvais blessante à cet instant précis. J' étais devenue enquiquineuse avec Orel, au point que dès qu'il m'attirait vers lui parce qu'il y avait un autre homme , je le repoussais, et en sens inverse s'il ne me remarquait plus ,je le retenait à moi, c'était incompréhensif, et je me posais pas pour autant des questions sur mon comportement, je ne voulais pas savoir ce qu'il se cachait derrière tout simplement. Renier ce qu'il se passait était tellement plus facile au final. Ce baiser sur la joue que je venais de lui porter, après ce geste, je restais comme en attente de sa réaction, pourquoi ? comment? depuis quand ce qu'il pensait pouvait m'intéresser. Je remarquais également qu'il était surpris surement tout autant que moi. Pourquoi avais je fais cela maintenant cela montrait que je n'étais pas infaillible non plus. Cependant , ou heureusement pour moi nos regards ne se croisèrent pas longtemps et très vite Orel détournait le regard, surement pour pas perdre l'une de ses conquêtes... Je soupirais, parce qu'il n'y avait aucune option pour j'oublie, même si je restais là à faire bonne figure, à sourire idiotement .

Il la prit par le bras afin de l'emmener plus loin, c'est vrai que d'être en plein milieu de tout ce monde et être une distraction pour eux m'agaçais et j'avais envie de me détendre , sans compter que j'étais plutôt contractée, tout mon corps l'était, il fallait que je me détente. Il nous commanda deux coupes de champagne et il trinquait, je ne sais pas à quoi on pouvait bien trinquer, parce que surement pas à la soirée, d'ailleurs je me mis à penser qu'heureusement il était là , sinon ce serait sure que je me serais mise dans un coin et je n'aurais pas bougé de toute la soirée. Et alors que je pensais quelque chose de positif sur lui , il me ramenait à la réalité, et là c'était le drame, je devais presque expliquer le comportement que j'avais vu, mais en réfléchissant bien, je pouvais trouver un stratagème , une alternative, qui pourrait me faire réaliser une belle pirouette afin de m'en sortir. Je le regardais commençant à avoir les mains moites, je m'accrochais presque à mon siège pour trouver le courage de lui répondre d'un air décalé et éloignée de tout cela. Eh bien, on devait faire semblant de s'être rapprocher juste pour les médias, je joue juste très bien mon rôle, à croire que je pourrais être comédienne. Lui lançais je en riant légèrement afin de paraître tout à fait normale, et pas perturbée à nouveau. Par contre toi, tu ne fais absolument pas crédible, surtout en regardant l'autre fille, en gros tu vas juste ternir ton image, crois moi ça me fais pas plaisir non plus autant qu'à toi, surtout qu'il faut avouer qu'une autre fille avec toi, ça aurait été plus facile et crédible comme couple, tu peux en vouloir qu'à notre chef. Ajoutais je , m'asseyant convenablement, mettant une jambe au dessus de l'autre. Je posais mes deux mains sur ma jambe qui se trouvait au dessus, afin que personne n'est de vue sur mon bas de sous vêtements, je tirais délicatement sur ma robe qui semblait très courte une fois assise correctement.

Une question me revint à l'esprit, pourquoi tout était ainsi.. Je veux dire on pouvait s'entendre, du moindre j'en avais la conviction. Je ne pouvais penser à autre chose, cela me traversait l'esprit dès que je posais mon regard dans le sien, je ne savais plus ce que je lui reprochais ayant perdu la mémoire, à part son comportement de petit con qu'il pouvait souvent endosser. Mais dans des moments comme celui ci où on pouvait parler et rire parfois ensemble, cela me revenait en tête, et il fallait que j'ai des réponses, je ne pouvais plus passer ce sujet à la trappe. Les mots finirent par sortir de ma bouche, ça y'est je venais de lui demander, j'attendais qu'il me réponde, je l'écouterais , j'essayerai même de comprendre sa raison, parce que peut être cela viendrait de moi, j'avais peut être fais quelque chose par le passé qui le poussait à se conduire de la sorte avec moi. Pourquoi soudainement me remettre en question, aucune idée, il semblait si fort et si fragile à la fois, si chiant et si attendrissant en même temps, si dur et si mystérieux à la fois, je penchais la tête sur le côté plongeant mon regard dans le sien. Il pouvait être stupide et si drôle également, en faite avec moi , c'était souvent tout ou rien, d'un extrême à l'autre,, mais je trouvais notre relation tumultueuse, complexe mais profonde. Je ressentais qu'on était similaires pour certaines choses mais qu'on se repoussait aussi naturellement, c'était dans notre nature comme deux aimants incompatibles.
Il ne me reprochait apparemment rien, Il n'y avait donc aucune véritablement raison pour qu'il me considère ainsi, je pouvais vraiment me satisfaire de cette réponse, je le regardais, approchant mon siège du sien, Je voulais qu'il soit sincère avec moi, je le regardais presque suppliant du regard. Il avait l'air blasé , je sentais dans son ton que je l'ennuyais mais après cela au moins je le laisserais tranquille. Autant retirer le pansement d'un coup, ça ferait moins mal . Je sentais que quelqu'un chose le perturbait , il pouvait faire l'homme qui ne ressentait rien, qui n'éprouvait aucune émotion; mais je sentais bien qu'il partait ailleurs, qu'il pensait à quelque chose et que cela l'affectait, j'attrapais alors sa main, la tenant avec la mienne , pour montrer que je ne laissais pas comme cela, que ce n'était pas pour l'embêter, mais vraiment une question que je me posais et qui pour moi avec une importance, surtout pour que je puisse faire évoluer les choses , on pouvait faire évoluer notre lien dans un autre sens, enfin s'il le voulait également. Tu penses que c'est une réponse ? Lui demandais je en le regardant d'un air sérieux, je n'allais pas le lâcher, non je ne lâcherais pas l'affaire. Non je continuerais à soutenir son regard. La manière dont il me regardait actuellement me donner envie de le serrer contre moi, alors que pourtant je savais que je l'énervais et lui taper sur les nerfs. Vraiment? .. Lui soufflais je me sentant attirée vers lui pour le prendre contre moi même si je ne le faisais pas. Je sentais mon souffle se faire plus fort, plus saccadé. Sa peau en contact avec la mienne, me fit frémir de l'intérieur , me procurant la chair de poule. Je me levais à sa question, mon visage avait été si près du sien, qu'il fallait que je me ressaisisse immédiatement. Cette soirée est ridicule. Et on a le droit d'être ce que l'on veut, avoir le lien que l'on souhaite, on va pas se forcer pour eux. Lui exprimais je en lui adressant un sourire complice. Et si on leur pourrissait leur soirée? Lui proposais je en souriant malicieusement, posant sa main contre la mienne, puis tournant mon visage vers le sien pour observer sa réaction.

Je suis sure que tu dois avoir des idées en stock pour ce genre de situation, tu as un don sur pour tout gâche Orel. Lui lançais je en le bousculant en passant, pour le taquiner. Je me dirigeais en reculant me pinçant la lèvre le regardant. Je dirais délicatement sur la nappe, et le regarda malicieusement, tout tombait au sol et je brisais le verres, renversais la nourriture au sol. Alors que tout le monde me regardait, je pris une coupe de champagne sur le passage et le bus cul sec. A ton tour vilain jeune homme. Lui dis je avec un sourire irrésistible me dirigeant vers lui. Je le laissais alors commettre quelque chose d'irrespectueux, qu'on ne nous pardonnerait surement pas, surtout qu'on allait surement se faire photographier, au pire on le fera croire que c'était pour le show et qu'on jouait les rebelles pour être dans notre personnage. J'allais ensuite chercher Orel et le pris par la main afin de sortir dehors, en riant à l'unisson à lui. A peine dehors mon regard s'arrête net sur une belle moto. Je tirais Orel vers moi et me retrouvais tout contre lui. Je posais mon front contre le sien, arrêtant notre course folle pour s'enfuir. Je riais encore de bon cœur. Mon visage si près du sien, ça ne pouvait être une coïncidence que cela se reproduise si vite au cours de la soirée. Je laissais glisser mon nez contre le sien, puis je sentais ma lèvre inférieure puis supérieure frôlait les siennes , elles se caressaient l'espace d'un instant. Je posais le pouce de ma main droite contre sa main droite sur sa joue gauche, et le reste de mes doigts sur sa nuque, dos à la moto. Dis moi que tu sais conduire et voler une moto Orel... Lui soufflais je suavement contre ses lèvres. Suis moi, enfuies toi avec moi cette nuit ... Ajoutais je plongeant mon regard ténébreux dans le sien...

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