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 Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)

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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mar 10 Nov - 18:40

 
Orel D. Judith & April Watts
What's happened now ?...


« Tu penses que c'est une réponse ? » La jeune femme le regardait droit dans les yeux, comme si elle était attirée par lui, ne pouvant détacher son regard du sien. Le jeune homme aussi gardait le contact visuel, baissant ses yeux vers elle, son visage fermé témoignant de sa concentration pour ne pas l'embrasser en l'instant. La jeune femme semblait perturbée, si perturbée qu'il pouvait parfaitement le lire dans ses yeux, dans la façon dont les muscles de son corps se cambrait et comment elle semblait comme aimanté par lui. Il se passait quelque chose d'intense entre eux et il ne pouvait le nié, cela lui faisait énormément peur... il ne pouvait rien contrôler et il n'avait pas l'habitude. Il ne se laissait jamais aller, aucune faille aucune faiblesse. Mais en présence de cette femme, Orel semblait perdre tous ses repères, toutes ses limites, et il s'en mordait les doigts. Son ventre se tordait dans tous les sens sans qu'il ne puisse le contrôler... cette femme le rendait complètement fou. Mais une part de lui aimait ça.. il aimait être avec elle. Oui, il l'avouait même si ça le rendait malade.. et lorsqu'elle le regardait dans les yeux, en devenant une petite garce adorable, il ne pouvait qu'être encore plus attaché à elle. Se rendait-elle seulement compte de la façon dont elle commençait à l'enchaîner peu à peu ? Il se mordit la lèvre intérieur en la regardant lui demander s'il était réellement sincère par ce vraiment. Mais il ne répondit pas, la regardant simplement dans les yeux, les mots ne suffisant pas étant donné qu'il ne connaissait pas le tact et n'était pas du genre très romanesque et tendre. Le jeune homme pouvait sentir le souffle de la jeune femme s'accélérer et il pouvait même voir les pulsations de son cœur faire vibrer le tissu de sa robe dans son décolleté. Orel passa ses doigts sur le bras de la jeune femme et sentit la pigmentation de sa peau se faire plus rugueuse prouvent d'un frisson sur son corps tout entier. Il avait envie d'elle, oui.. Mais pas de la même façon qu'il avait envie d'une femme d'habitude non.. Non, en cet instant, il n'avait envie que d'elle, pas que de son corps, mais de sa personne toute entière, regarder son corps dans les moindres détails et se languir ainsi lui donnait envie de frapper dans un mur. La voix de la jeune femme, fébrile et presque tremblante, arriva jusqu'à son oreillle : « Cette soirée est ridicule. Et on a le droit d'être ce que l'on veut, avoir le lien que l'on souhaite, on va pas se forcer pour eux. Et si on leur pourrissait leur soirée? » elle lui offrit un sourire complice et Orel haussa un sourcil lorsqu'elle posa sa main sur la sienne. Elle avait l'air d'un coup si malicieuse, si joueuse si amusante et adorable. Orel ne pouvait détacher son regard de la femme en face de lui. Elle ne cessait de le surprendre et de la voir ainsi, comme s'ils avaient enterrer la hache de guerre en deux secondes lui pinçait le cœur. La jeune femme ne se rendait sûrement compte de rien vu qu'il gardait cet air si impassible, mais elle était en train de le changer comme personne n'avait jamais eu d'atteinte sur lui.. Alors qu'elle souriait avec sincérité, il ne put s'empêcher de sourire aussi, d'abord presque attendri et fini par se lever, la prenant par le menton et déposa un baiser sur le coin de ses lèvres : « J'ai toujours des idées pour emmerder les gens Love » Il sourit en coin en haussant un sourcil. Elle recula donc, se mordant les lèvres, en lui faisant face, laissant présager ses intentions et tira sur le nappes de la grande table d'un coup, envoyant tout promener partout. La musique cessa soudainement tandis que les visages se tournèrent vers eux. Orel ne put s'empêcher de rire, d'un rire gras et moqueur en attrapant la vasque de punch lorsqu'elle lui laissa son tour et regarda l'assistance en gueulant comme un con : « Bande de bourré de frique plein de mépris ! Je vous bénie de ce breuvage qui représente toute votre médiocrité de richoux de merde ! » Et sans prévenir, il vide l'intégralité du saladier en le jetant sur l'assistance, en créant un brouhaha de cris de pauvre hystérique qui allait payer une fortune leur teinturier. Orel finit par monter sur une table, donnant des coups de pieds dans tout et n'importe quoi en chantonnant à tu-tête tout en tenant la main de la jeune April qui rigolait en même temps que lui en sautillant : « J'emmerde la hiérarchie, j'emmerde les pourries ! J'emmerde les richoux, je leur chie dans le cou ! » Il sauta en bout de table et levant sa main tenant celle de la jeune femme et fit la révérence avec elle : « Sur ceux ! Bonne soirée ! »

Main dans la main, ils sortirent de la bâtisse et Orel ne s'en rendait même pas compte, mais il riait. Oui il riait vraiment et lorsqu'elle le tira pour se coller à lui, posant son front contre le sien, elle qui était pourtant un peu plus petite que lui, un sourire était toujours sur son visage. Il ferma les yeux, reprenant sa respiration et son sourire se rétrécit un peu, mais resta un peu sur son visage un instant. Il était bien là. Il passa ses mains sur ses les hanches de la jeune femme pour venir les placés dans son dos dans le creux de ses reins, la rapprochant un peu plus de lui. Leurs lèvres se frôlèrent tout juste et Orel avait envie de lui attraper la lèvre inférieur avec les deux.. Il gardait les yeux fermé tous ce temps quand il finit par les rouvrir en la regardant parler : « Dis-moi que tu sais conduire et voler une moto Orel.. » Il écarquilla les yeux. Elle était sérieuse ? Le jeune homme n'imaginait pas que la jeune femme puisse être aussi sexy en prononçant de telle vilaine parole et il fronça le regard. Était-ce réellement une bonne idée de faire ça ? Il n'arrivait plus à réfléchir à partir du moment où il la regardait dans les yeux... comment cela avait-il pu arriver en si peu de temps ? Ils avaient été drogué pendant la soirée ou quoi ?? Orel perdit son sourire, l'air sérieux et le regard brûlant quand elle prononça ses derniers mots, dans un souffle et releva son regard de braise dans les prunelles du jeune homme. Il sentit sa poitrine se serrer et son corps se cambra, ses muscles de contractant. Cette femme le rendait fou. Il appuya sa main droite dans les rein de la jeune femme et ne pu se retenir plus longtemps. Il passa sa main gauche dans la nuque de la jeune femme et scella ses lèvres au siennes dans un baiser fougueux, la plaquant un peu contre la dite moto. Il mordit la lèvre de la jeune femme et passa sa langue contre la sienne, sa respiration s’accélérant tant il avait attendu pour l'embrasser. C'était comme s'il avait patienté une éternité pour le faire. Il rompit le baiser aussi rapidement qu'il le causa et la regarda dans les yeux, un sourire se créant dans le coin de ses lèvres : « Allons-y. » Il la prit par la taille et la souleva comme si elle ne pesait rien. Le visage surpris de la jeune femme montra comme elle ne s'attendait pas qu'il ai autant de force. Il savait que la moto appartenait à un de ses collègues, Chris, avec qui il ne s'entendait pas trop mal. Il avait laisser ses clefs sûrement à la réception, mais il suffit de rien pour mettre une moto en route il suffisait d'enlever le cran de protection antivol. Il se pencha un instant, et bidouilla un câble ou deux, entendant enfin un clic significatif. Il sourit de satisfaction et se redressa en ouvrant le coffre à l'arrière pour prendre le casque. Il le posa sur la tête de la jeune femme et ajouta : « et oui. Je sais conduire une moto » il lui fit un clin d'oeil et monta devant elle, attendant qu'elle passe ses bras autour de lui, sentant la pression de leur corps plus proche que jamais : « attention à ta robe, déclara-t-il. Il serait bête qu'elle se prenne dans les roues. » il sourit et attendit qu'elle remonte sa robe et range la longueur comme il fallait et enleva quant à lui le nœud papion et ouvrit son veston et plusieurs bouton de sa chemise. Il démarra enfin, appuyant sur la pédale de démarrage et vit alors Chris sortirent en trombe reconnaissant le bruit. Il hurla et Orel répondit en disparaissant dans la nuit pas un doigt d'honneur. Le vent passa dans ses cheveux le décoiffant et il se rendit sur les bords de plage de Miami, profitant d'une belle nuit étoilée


good vibes.
[/quote]
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(#)Sujet: Re: Un homme.. une femme.. une pièce... (feat April Watts)  |   Mer 25 Nov - 16:16
Je ne pouvais avoir prévu cela, la tournure que prenait les avènements semblait à la fois si naturelle et si insolite, que je me doutais qu'il devait être aussi troublé que moi sans pour autant le montrer, c'était une de nos forces, cacher si bien les choses et poursuivre ne se laissant aucunement pris au dépourvu. Je pense que ce qui nous rapprochait était ce dont on niait le plus, notre caractère et notre façon de penser, je me mettais trompée sur qui était Orel et je voulais surement me rattraper. Et quelque part c'est ce qui était en train de me mener à ma perte. Je me doutais aucunement qu'Orel pouvait être un homme si drôle et si téméraire, je pensais que ce n'était qu'un style qui se donnait pour nous endormir, un gars qui se prenait pour le meilleur juste pour embêter le monde. je ne me doutais pas que je commençais à être prise d'affection pour lui, en tout cas son côté mystérieux me donnait envie d'en connaitre d'avantage sur la personne qui était au fond de lui et qu'il se donnait tant de mal à cacher. Ce jeu ne faisait pas que m'amuser, en réalité j'en avais envie, je ne voulais pas qu'il s'arrête de la soirée et c'était bien plus fort que moi, je me laissais porter par le jeu, et j'en avais plus les reines, plus il avançait et plus je me perdais, oui je perdais le contrôle, me dévoilant à lui, me sentant pourtant pour une partie de moi bien, légère.

Je le regardais alors face à tout ce monde, tout ces gens sans âme, je ne voyais que de la noirceur tout autour de moi. Ils avaient l'air de juste vouloir une chose de nous, qu'on fasse ce qu'ils attendent de nous, et c'était bien pour cela que j'avais décidé de pourrir l'ambiance, après tout je ne faisais que pousser notre rôle à l'extrême pour montrer qu'on peut être d 'excellents acteurs , tout en prenant beaucoup de plaisir à le faire, plutôt que de voir toute cette bienséance qui me donnait la nausée. Je n'arrivais pas à croire que les gens s'échangeaient autant de politesses alors que les trois quarts d'entre eux ne pouvaient se voir en peinture. Comment faisaient ils pour réussir à se regarder encore dans le miroir, je préférais encore être fidèle à moi même, plutôt que devenir un membre à part entière de cette parfaire comédie. J'admirais cette manière qu'il avait de gâcher quelque chose et cette fois ci j'étais complice de son comportement désagréable et horripilant et cela me plaisait tant que ça n'avait pas de répercussions sur mon être. Je ne comprenais pas ce qui se passait à l'intérieur de mon corps à ce moment précis, mais je ressentais quelque chose qui me brûlait l'esprit, oui j'avais envie cette fois , moi, de l'embrasser, quelque chose de dingue mais ce souhait devenait de plus en plus ardent au fil du temps qui passait, et se retrouvait ensemble , à bien s'entendre, était une première J'avais même envie de partir d'ici avec lui, ce qui n'était pas évident à s'avouer à soi même, cependant je ne pouvais nier cette attraction qui me liait à lui en ce moment même.
Ce qui me faisait comprendre cette attirance c'est qu'il était tout ce que je ne pouvais avoir, celui dont je ne pouvais ressentir cette envie plaisante de me serrer contre lui, car mon père en ferait une maladie, pourtant il avait toujours était attiré par le même genre de garçon que moi, et l'interdit je commençais à y prendre goût, même si je savais qu'au fond, Orel avait pas de choses intéressantes à apprendre sur lui. Je contemplais le bleus de ces yeux, je n'avais jamais vu d'aussi près, et je devais avouer qu'ils étaient magnifiques, je me plongeais dedans , sentant mon corps se détendre en sa présence, comme si irrésistiblement, mes lèvres étaient attisées par le rouge de ses siens, par le goût qu'elles avaient, délicat, onctueux et sucré, ce gout si subtile qui ce soir m'enivrait de toute ma personne. Son visage près du mien, je sentais son souffle sur mes lèvres brûlantes de désir , celui de capturer ses lèvres dans un baiser différent de tout ceux dont j'avais pu partager durant toutes ces années. Je ressentais des palpitations, je fermais les yeux pour me contrôler , alors qu'il s'emparait de moi , me prenant ainsi par les hanches, je trouvais cela terriblement sexy qu'il sache ce qu'il veut, je le trouvais troublant , ténébreux, même désirable, plutôt plaisant à regarder et passer du temps en sa compagnie, comme si cette soirée était infinie, comme si le temps ne comptait plus et qu'on réussissait à le battre. Plus rien n'avait d'impact, nos lèvres se scellèrent et à présent plus rien ne serait pareil avec lui. Je ne le sentais , oui je le ressentais en moi, quelque chose avait changé, à ses côtés tout semblait possible.

J'aimais sentir ses lèvres contre les miennes, ressentir son odeur dont je m'imprégnais malgré moi, j'aimais sentir son corps contre le mien, sa langue s'entremêlant avec la mienne, je sentais la force, l'intensité de cet instant, cette passion dévorante qui m'unissait à lui, qui m'enchainait à lui , comme si j'en attendais davantage sans pouvoir assouvir cette demande , cette information que mon corps transmettait à mon cerveau. Je ne pouvais me résoudre à cette faiblesse, néanmoins, je luttais contre ses pulsions. Je trouvais ce baiser à la limite de la perfection, si savoureux. Je posais les doigts d'une de mes mains sur mes lèvres comme si j'étais en pleine confusion, troublée par ce que j'aimais, par ce que je voulais à présent. Il me portait d'un seul coup, je le regardais étonnée que dans ce corps mince pouvait rassembler autant de force, il semblait musclé, et je trouvais cela sexy. Il se mit à trafiquer la moto, et je trouvais cette réponse satisfaisante, je voulais vraiment que cet instant nous appartient et me sentir libre, de m'exprimer, de réaliser mes propres expériences, de pouvoir réaliser ce que je souhaite, marre de devoir me passer pour quelqu'un d'autre ou de satisfaire le souhait de personnes hiérarchiquement supérieures à moi au travail.

Je n'en attendais pas moins de ta part. Lui exprimais je en souriant délicatement. Je passa mes bras autour de sa taille, humant son odeur qu'il venait me chatouiller les narines agréablement. Ce sont ces mots qui me sortaient de cet état qui était en train de me consumer intérieurement. Il me ravageait de l'intérieur , c'était une passion un peu sauvage qu'il allumait en moi, alors que j'étais en train tant bien que mal de l'éteindre de moi même. Je soulevais ma robe, et m'assis dessus après l'avoir pliée afin de ne pas la craquer tant pis si elle était chiffonnée après tout valait mieux cela que de la déchirer. Orel Tu aimes quoi et faire quoi dans la vie ? Le questionnais , m'apercevant que je ne connaissais pas grand chose de lui, et je pensais qu'il était tant de remédier à cela. On travaillait ensemble depuis des années après tout. J'aimais sentir la vitesse, le vent qui venait caresser mon visage. Il faisait quelques dérapages et je sentais le goût de la liberté et j'y prenais plaisir. Sur la route alors qu'on se trouvait toujours en pleine discussion j'apercevais la plage. Ca te dis d'aller y marcher un peu? Lui proposais je alors qu'on la voyais à l'horizon. Je le laissais donc faire une manœuvre afin que l'on puisse s'arrêter ici. Puis je retirais mon casque et je jouais avec mes cheveux afin de les remettre en place, en penchant la tête d'un côté et en tournant la tête je laissais tournoyer mes cheveux afin de le laisser aller au vent. Je posais ensuite le casque sur la moto. Je regardais la mer puis Orel, je venais d'avoir une nouvelle idée qui me traversait l'esprit. Elle doit surement être gelée. Pensais je çà haute voix afin de lui en faire part et faire partager ce que j'avais derrière la tête. Je m'approchais de lui, et retira un à un délicatement les boutons de sa chemise qu'il portait bien sagement, peut être trop pour que cela lui ressemble d'ailleurs. J'effleurais de mon index son torse chaud, j'avais envie d'y déposer mes mains sensuellement, mais il était aucunement question de réaliser ce souhait. Tu es capable d'y aller, juste pour vérifier si je me trompe pas? Lui lançais je comme sur un air de défi afin de voir s'il serait capable de le faire juste pour m'impressionner, et pendant ce temps je me dirais à moi même que c'est juste pour bien le connaitre que je fais tout cela, pour bien sur ne voir que du feu à mes yeux sur ce qui se produisait une nouvelle fois .

Après si tu veux te défiler , je peux comprendre aussi . Lui dis je d'une manière provocante, un sourire en coin, tenant son regard afin d'avoir sa réponse. Le problème à cela , c'est que je savais qu'il pouvait me demander quelque chose ensuite en retour et que je ne pourrais rien n'y trouvait à redire , puisqu'il viendrait de s'exécuter, que se serrait la moindre des choses, et que je ne pourrais pas reculer, je devrais le faire, et montrer que je suis capable de beaucoup de choses. Je ne plierais pas face à lui, je suis une fille en apparence forte et je tenais à le rester. Je sais que je n'avais rien à lui prouver et qu'on attendait pas vraiment quelque chose de l'autre ou du moindre on le faisait croire à l'autre. Je fis de nouveau face à lui. Je pris dans chacune de mes mains un coté de sa chemise. Alors on se dégonfle Mon beau petit Orel ? Lui demandais je en pinçant délicatement ma lèvre inférieure, le regard malicieux.
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