pretty. (avery&nessa)

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pretty face,

pretty body just for me.

ouais, j'avoue j'suis refait aujourd'hui. aujourd'hui, j'ai le sourire. et c'est rare en ce moment. ouais, j'suis pas bien, mais bon, j'me dit que c'est qu'une période, qui arrive à tout le monde. j'me fais une raison. mais bref, aujourd'hui, j'profite à fond parce que j'ai un putain de sourire. ouais, j'remercie Nessa. son texto m'a trop fait sourire, elle m'avait proposé de venir chez elle, pour manger et surtout pour se foutre de la gueule des gens qui passent dans le cube, à la télé. bah ouais, c'est grave bien de se foutre de la gueule des autres, pour une fois que c'est pas sur la mienne. bah ouais, y'a de quoi s'en fouttre en ce moment, j'ai une gueule de bois tout les matins, j'suis pas dans mon état. j'bois, j'baise, j'sors et j'drague et j'rebaise. une éternelle routine. enfin, j'avoue que j'deale un peu. pour un peu de thune. parce qu'il faut gagner sa croûte et essayer de bouffer à son envie, à avoir un petit studio pour y dormir dedans, un lit pour baiser dedans. et puis, pour moi, à l'heure d'aujourd'hui, c'est tout ce qui compte.
je sors, avec ce putain de sourire et je bouge chez Nessa. Nessa, comme une soeur. Nessa, comme une sex friend. j'interpelle deux/trois meufs dans la rue. parce que ma conscience de petit con m'suit et me suivra jusqu'à ma mort. et secrètement, ça m'fait peur. ouais, monsieur rhodes flippe. il flippe de devenir mieux mec avec un cleps à ses pieds et une pipe dans la bouche. il veut pas terminer comme ça, dans le fond, avery. il veut être père, avec une femme à ses côtés, deux gosses, une baraque et un coupé cabriolet. mais, j'essaye de pas y penser. j'suis un véritable petit con, et sérieux, j'aurai jamais cru dire qu'ça a des plus. ne pas tomber amoureux, c'est mon principal objectif. parce que ouais, avery il a du vécu.
j'arrive devant son appart. j'croise les doigts pour que ses colocs soient pas là. parce que, j'avoue que j'aimerai bien qu'on soit que tout les deux. ça fait un bail. j'arrive devant la porte. j'frappe ? non, j'frappe pas, j'ouvre la porte et par chance elle était ouverte. j'fais un minimum de bruit, et je la cherche. elle est dans la cuisine. je la regarde cuisiner, en mini short, en bougeant ses hanches au bruit de la musique. je souris et j'en profitai pour la mater un petit moment avant de s'approcher d'elle et de lui chopper ses hanches. elle sursaute. je plaque un bisou sur son cou. c'est dangereux de laisser une porte ouverte, mademoiselle Tate. en la retournant pour qu'elle soit face à toi. mais j'dois dire que tu bouges vraiment bien ton petit cul. d'un air charmeur.

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On t'pardonne pour tes beaux yeux.
On s'exporte, en sexe, on s'explose.

entre deux villes, on avait encore le droit de rentrer à la maison. se reposer, dormir, manger, reprendre un semblant de vie plus ou moins normal avant le prochain vol et la prochaine destination. cette tournée était crevante, j'aurais jamais cru que c'était aussi épuisant d'être une "super-star". c'était pas simple à suivre comme mode de vie quand on est habituer comme moi à dormir jusque tard dans l'après-midi. ma vie entière avait changer, mon emploie du temps, mes priorités, fallait que je soit en forme pour honorer mes engagements envers le groupe. quand on voit les célébrités à la télé comme ça on se dit que ça doit être cool d'être comme elles, la belle vie sans rien avoir à foutre de ses journées, détromprez vous. j'étais crevée, complètement vannée. tout ce dont j'avais envie en ce jour de conger était de rester à l'appart et de m'empiffrer de junk food livrer à domicile en regardant des débilités à la télévision. oh, et aussi voir avery. ouais, dans tout ce bordel j'avais quand même réussi à faire sa connaissance à lui, avery. un mélange de badboy et de playboy. non, les deux ne font pas forcément la paire mais dans son cas ça s'accordait plutôt bien. il avait ce petit côté dangereux, que j'aimais tant, mon style habituel de mec. dealeur, macho sur les bords, possessif, ouais. mais montez pas dans les tours, je craquais pas sur lui ! du moins, pas dans le sens sentiments et toutes ses conneries, non, ça c'était bel et bien derrière moi. j'en avais marre d'essayer d'être la gentille fille au coeur fragile que je n'étais pas, j'suis nessa putain. nessa. la garce au coeur de pierre. du moins c'est ce que j'étais avant un certain wayne everden, et ce que j'avais décider de redevenir. donc, non avec avery il n'y avait pas de sentiments, du moins rien d'amoureux. il était un ami, un ami très proche, pratiquement un meilleur ami. ça c'était fait assez naturellement entre nous deux, c'était juste.. une évidence. sans tomber dans le cliché. bon, faut pas déconner non plus, vous l'avez vu le mec ? bien sûr que j'étais pas simplement "ami" avec ce gars là. c'était simple, on traînais ensemble, on s'entendait à merveilles, on faisait les quatre cent coups ensemble, il était la seule personne avec qui je me défonçait encore, mais chut c'était un secret. et quand l'envie nous prennait, on baisait. rien de compliqué, rien que des envies physiques et je devait avouer qu'il savait parfaitement s'y prendre avec mon corps, comme s'il avait fait ça toute sa vie. enfin bref. j'avais envie de le voir, et sans gêne aucune je lui envoyait un sms pour lui demander s'il pouvait passer. un truc du style : "viens m'voir, j'me sens seule" ce qu'il comprendrait bien rapidement. on avait un peu parler par sms, jusqu'à ce qu'il me dise qu'il était en route. c'est à ce moment que j'avais décider de bouger mon p'tit cul de mon lit pour aller nous préparer de quoi manger devant la télé, comme deux gros que nous n'étions pas, pour l'instant. brownies, cause les brownies c'est la vie et que j'en suis la fan numéro un. je sortait la première fournée du four en bougeant mon corps sur une chanson qui jouait sur mon iphone, quand on m'attrapait par les hanches. je sursautais dans un premier temps, mais aussitôt avait il poser ses lèvres sur mon cou que je l'avais reconnu. un sourire en coin s'affichait sur mon visage alors qu'il me tournait afin que je me retrouve face à lui, mes bras s'enroulaient autour de son cou par habitude. « je sais à quel point tu l'aime, ce p'tit cul. » souriais-je avec malice, avant de venir déposer mes lèvres sur les siennes. je l'embrassait avec sensualité, puis je me stoppait, posant mon index sur ses lèvres. « mhh. tu m'a manqué, gros nul. » lui avouais-je ensuite, sincérement.

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parce que ça va te faire du bien de voir une fille. enfin, une fille que tu côtoies. et ça fait toute la différence. bah ouais, parce que normalement, tu t'en bat les couilles et, au contraire, t'aime voir des filles qu'tu connais pas. parce qu'elles te connaissent pas, t'as rien à leur rendre. "c'est juste un soir, avery, j'veux pas qu'ça aille plus loin" et un sourire. faut croire qu't'es pas l'seul à vouloir ce c'te vie d'merde. "avery, fait moi l'amour, j'en crêve. tu m'fais crier plus haut qu'mon petit-copain." et puis ces phrases là, tu les écoutes tellement que t'en souris plus. tu les exécutes, tu t'rends pas compte, mais tu deviens un sale soumis. un sale soumis pour donner du plaisir aux meufs. mais juste ça, parce que, l'amour c'est pour les pédés. c'est rien de bon l'amour. parce que l'amour ça rend aveugle et ça t'fou un coup de couteau, discrètement. tu vomis, tu gerbes sur l'amour. tu veux même plus y goûter.
et, aujourd'hui, tu deviendras pas soumis, parce que toi aussi, t'as envie de la voir, Nessa. sa gueule, son corps, sa peau te manques. elle te manque putain. et, depuis qu'elle vit son présent de star, tu la vois quasiment plus. tu l'as voit plus, trop occupé à se construire une belle vie, remplie de thune, de strass, de paillette. tandis que toi, tu marches dans ta came et t'as quelques billets dans la poche et après, c'te thune tu vas la pillé. la pillée dans tout, mais surtout dans n'importe quoi.
et, aujourd'hui, tu seras heureux. parce que Nessa, c'est une pote avec un corps de déesse qui refuse jamais quand tu veux y goutter. parce que tu veux avoir une habitude. tu veux avoir l'habitude de gouter à un corps, à un corps que tu connais bien, de temps en temps. à une période se tombe sur le sien, à une autre période, sur une autre personne. parce que t'es pas stable, avery. t'as toujours été une putain de tempête qui bouge dans tout les sens. t'es instable. mais, y'a trois ans, t'as été stable. elle avait réussit à te stabiliser, à t'arrêter et à prendre goût à la vie. la belle vie qui cache un vieux goût amer. parce qu'elle t'a quitté. et t'es encore un enfant, rhodes, alors t'es repartit, tel une tempête dans la vie des gens. belle tempêtes pour ces filles qui t'harcèlent depuis qu'elles ont passé une nuit dans ton lit. bonne tempêtes passagères pour celles qui ont eu du plaisir mais qui sont de la même longueur d'onde que toi. bonsoir le soir, au revoir au petit matin.
mais pour Nessa, se sera bonjour. parce que tu veux profiter un max de c'te journée avec elle. alors, tu deviens responsable et tu viens à l'heure. du moins, aussi vite que possible quand t'as reçu son texto.
ses mains autours de son cou. un contact que t'auras jamais envie d'oublier. ouais, tu l'aimes trop son cul. tu poses une main sur ses magnifique fesses pendant qu'elle t'embrasses avec sensualité. putain. ça t'donnes un bien fou. c'est ton calmant ce truc. ça marche à tout les coups. tu caresses sa hanche, quand elle posa son index sur tes lèvres. tu haussas les sourcils. ah ouais ? tu l'as manqué ? c'est plutôt bon à savoir. tu pris son index pour pouvoir parler. moi ? un nul ? t'as surement du oublier nos nuits passées. ça m'fait du mal, tu sais. d'un air faussement triste. tu l'as regardes dans les yeux. tu souris. toi aussi, tu m'as vraiment manqué. en lui caressant sa joue. tu regardes dernière elle. elle était surement entrain de cuisiner pour vous. d'un air surprit tu regardas la bouffe. en plus de bien baiser, d'avoir un beau corps, tu sais cuisiner ? t'es la femme parfaite à croire. sur un ton ironique. tu rigolais quand tu disais ça, évidement. ça n'iras jamais plus loin entre toi & elle. tu te l'est promis.

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On t'pardonne pour tes beaux yeux.
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je n'avais jamais eu de sexfriend. du moins, jamais avant aujourd'hui. oh, ouais, peut-être daniel.. mais bon, la relation n'était pas la même. avec daniel il y avait toujours cette ambiguïté, on était proche, on se comprennait, mais on était pas de grands amis. je veut dire, on était pas du genre à faire des trucs entre potes, sans sexe. quand on se voyait c'était pour du sexe, uniquement. un sexfriend d'après moi ça se fait en deux partie, bon bien évidemment il y a la partie s'envoyer en l'air et dieu que c'était bon avec avery. mais il fallait également une partie "friends" vous voyez ? ça veut dire, être capable de matter des navets à la télé, sortir au ciné, aller se goinfrer au kfc du coin ou partir en soirée entres potes, sans que ce soit gênant ou étrange pour l'un ou pour l'autre. c'est ça que je veut dire, c'est ce qu'on était avec avery. on pouvait très bien passer du temps ensemble sans obligatoirement coucher ensemble. bon, la majeur partie du temps on finnissait par le faire parce que.. bah, on est jeunes on a les hormones en folies et on est assez doués tout les deux. mais le fait est qu'il y avait réellement de l'amitié entre lui et moi, le sexe n'était qu'un bonus de cette grande complicité. je venais de l'embrasser, ses lèvres restaient toujours aussi délicieuses, d'avantages quand cela faisait un petit moment que je n'y avait pas goûter. ce qui manque le plus en tournée, c'est ce genre de moments de détente. on bosse comme des dingues, et on a personne avec qui partager ce genre de petits instants. c'était gagnant-gagnant, les avantages d'une couple sans les inconvénients. pas de prise de tête, pas de jalousie, de possessivité, pas de sentiments, amoureux du moins. rien que du plaisir et du bonheur, j'aurais du adopter ce genre de relation depuis toujours, ça aurait épargner mon p'tit coeur. je ris doucement à ses paroles, puis lui lance un sourire amusé. « mh, bon.. j'admets qu'il y a certaines activité où tu es plus doué que la moyenne. » je lui confiait ensuite avec sincérité qu'il m'avait manquer ses dernières semaines, et sa réponse fit plaisir à entendre. même si je pense bien qu'il n'avait pas du m'attendre sagement pour cotoyer d'autres beautés, j'étais contente de savoir que moi en particulier j'avais pu lui manquer. mes lèvres, adorant le contact avec sa peau étaient venues se diriger sur son cou que je recouvrait de baisers, tandis que les mains de mon ami étaient elles venues se poser sur mes fesses. je laissait échapper de nouveaux éclats de rire à ses dires, la femme parfaite ? évidemment que je l'était. qui ne le savait pas encore ? je mordillait la peau de son cou avant de ramener mon visage devant le sien et de lancer avec malice : « je suis parfaite dans tout ce que je fait, je pensait que tu le savait déjà. » un large sourire se hissait sur mon visage, alors que je m'amusait ensuite à frôler ses lèvres des miennes. j'aimais ce petit jeu de séduction, et je sais qu'on était amis et tout ça... mais quand on passe des semaines en étant privé de ce corps là, on a envie d'y goûter de suite. je glissait mes mains sous son haut, les faisant remonter le long de son torse parfaitement dessiner sans le quitter du regard. « on a fait un peu de muscu' pendant mon absence ? » constatais-je avec amusement. je me tournais ensuite dos à lui, pour commencer à ranger un minimum mon bazar, j'attrapais un peu de préparation de brownie sur mon index et en mangeait comme ça, le chocolat et moi quelle histoire d'amour. « alors dis moi, on discute de ce qu'on a fait chacun de notre côté ses dernières semaines ou on va tout de suite dans la chambre ? » lui demandais-je en souriant, alors que je continuait de manger avec mes doigts telle une enfant.

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eh, rhodes, tu vas où ? la question à ne pas poser. ou, à ne plus poser quand on connait bien avery. bah j'vais aux putes, j'reviens. bah ouais, rhodes & les putes, c'est liés. c'était comme les doigts de la main. on peut pas les séparer. pourra jamais. parce qu'elles sont trop attachées à lui. attend Rhodes, combien de pute veulent encore de ton truc ? plus de cinq, c'est clair. parce qu'elles, elles ont une vie encore plus pourrit que toi, pour ça que tu vas les voir avec un putain de sourire. parce que, secrètement, tu te moques d'elle. malin plaisir. parce que c'est pas tout les jours qu'avery il peut se permettre de se moquer des autres. lui, il a ses deux jambes à terre, tandis qu'les autres, ils sont seulement pieds. alors ouais, elles, elles sont plus enfoncées que lui et il hésite pas à les enfoncer dedans. t'es méchant. mais qui avait été gentil avec avery ? personne. même pas sa famille. du moins, si elle existait encore. méchant, mot faible. parce que la vie a été méchante avec lui, mot faible. mais non, ferme-là, il te voit venir avec ton regard de pitié. parce que tu crois que la meilleure solution de l'approcher c'est de le prendre par les sentiments. sentiments à chier, à brûler. t'auras le droit qu'à son poing et puis c'est tout.
avery, tu vas où ? un sourire avec les dents en plus, ça fait toute la différence. j'vais voir une amie. et c'est tout là, la différence. avery, il va voir une personne qui compte pour lui. avery, il a sortit ça, à sa bande, quand il a du aller voir nessa, pour la première fois chez elle. et il l'a encore ce sourire. sourire qui montre ses dents blanches, parce que ça arrive pas souvent. parce qu'il sait qu'il va voir du bonheur quand il rentre dans l'appart de sa Tate. parce que, si à la base c'était un coup d'un soir sans affinité, maintenant, c'est une bonne sex friend avec une bonne affinité. il a apprit à la connaitre et maintenant, c'est devenue une bonne sex friend. plus coucher avec elle ? comme lui demander d'être stérile. jamais.
elle rit, ça fais naître un sourire en coin. ça me touche qu'enfin tu puisses l'avouer d'une voix charmeuse. parce que tu peux pas t'empêcher de jouer au charmeur en face de Nessa. c'est comme ça, au dessus de tes forces de rester sage. puis, faut s'le dire, elle est pas moche, au contraire et elle a vraiment un corps à en faire rêver plus d'un. t'es dans le lot d'ailleurs.
elle plaqua des bisous dans ton cou. ça t'fais du bien, sa lèvre contre ta peau, ton cou qui ne demandait que ça. tu passas l'une de tes mains dans son dos, en la caressant doucement, profitant de ce moment que tu peux pas tout les jours avoir. et oui madame est en tournée. elle commence à se faire un nom. même si t'es grave content pour elle, dans le fond, t'es quand même au bout. parce que, t'avais envie de la garder près de toi.. ta princesse. elle éclata un petit rire après avoir mordiller la peau de ton corps. tu fis mine d'un bruit de souffrance. cannibale. t'es une cannibale, Tate avant de plaquer un bisou sur son épaule. tu éclatas un petit rire. elle s'amusa à frôler ses lèvres aux tiennes d'une manière vraiment féminine qui te faisais rire nerveusement. tu la plaquas violemment contre ton torse avant de poser l'autre main sur sa nuque et de l'embrasser langoureusement. tu dégageas de ta main gauche ses cheveux de son oreille avant de la rapprocher de ton corps, en lui chuchottant tu tiens trop à ta liberté pour être parfaite. j'peux pas t'avoir qu'à moi et ça m'fait bien chier. d'un air charmeur. c'est dit, avery, tu ne peux pas te passer de Nessa. tu ne pourras pas renoncer à elle. elle glissa ses mains sous ton tee-shirt. un toucher léger, un toucher qui t'avais vraiment manqué, alors, tu profites, tu la laisse faire, parce qu'elle sait si bien le faire. ne me dit pas qu'avec toutes les nuits qu'on a passé ensemble, t'as pas senti mon pack ? dis-je d'un ton ironique. t'as du oublier mon corps. c'est normal, vu que tu commences à partir de partout. d'un air triste. parce que ça te faisais chier de plus l'avoir pour toi, quand vous le voulez. je matais son cul, en croisant les bras quand elle se retourna avec un magnifique doigt remplie de chocolat qu'elle lécha avec envie. tu t'avanças vers elle et lécha son doigt à ton tour. le brownie est aussi bon que toi. d'un regard ténébreux tu passas ta main après sa parole, sur son ventre en écartant tout ce qui pouvait se trouver près d'elle. tu plaquas un tendre bisou entre ses lèvres tout en commençant à descendre sur son cou pour finir sur son poitrail en frôlant ta main sur l'une de ses fines jambes. et si on faisait les deux en même temps ? en levant la tête, d'un regard charmeur. tu l'as porta tel une princesse avant de la déposer sur le canapé. on a jamais baisé ici, la cuisine on l'a fait la dernière fois et ta chambre la première fois. et vu que je garde le meilleur pour la fin, c'est-à-dire la salle de bain, on est donc obligé d'y faire dans ton capané en retirant son soutif en un coup de main, avant de retirer son tee-shirt. sinon, c'était bien ta tournée ? pas la peine de te dire que tu m'as affreusement manqué en posant mes lèvres sur les siennes après lui avoir montré une mine boudeuse.
sex friend for the life with your wife.

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cannibale. t'es une cannibale, tate. mon sourire c'était agrandi, mais je n'avais rien répondu. pas cannibale non, simplement joueuse. un peu tigresse sur les bords, certes, mais il était habitué. puis, sans que je contrôle quoique ce soit l'une de ses mains était venue se plaquer dans mon dos, l'autre sur ma nuque et mes lèvres à quelques centimètres à peine des siennes étaient venues s'y écraser dans un baiser des plus langoureux. ce ne fut pas pour me déplaire, bien au contraire. j'aimais les garçons direct, qui savaient prendre les choses en mains, les vrai mecs viriles quoi, j'étais bien tombée. si il y avait bien un garçon au monde qui savait s'y prendre pour faire ressentir ce genre de choses à une femme, c'était avery. avec toute son expérience, ça devait être normal en même temps. mais je ne devait pas penser à cela ! j'avais le vilain défaut d'être une véritable possessive dans l'âme. oui nous n'étions qu'amis et oui nous le resterions, mais cela n'empêchait pas la jalousie en moi dés que je le voyait en compagnie d'une autre fille, ou que je l'imaginais en toucher une autre de la même façon dont il me touchait moi. j'avais horreur de ça, je tentais alors de chasser ses horribles images de mon esprit, et de me concentrer sur le moment. tiens, en parlant de possessivité. il m'avouait ensuite qu'il aimerait ne m'avoir que pour lui, et je me mise alors à examiner son visage avec attention, un léger sourire en coin afin de voir s'il disait vrai ou si cela n'était que de belles paroles de charmeur à nouveau. on sait jamais avec avery, même moi je ne savais pas quand il était sérieux ou quand il n'était pas, quand il jouait ou non. c'est ça quand on baise avec un joueur, on ne sait jamais quand le jeu commence et quand il se termine. toutefois, je me contentais de me tourner dos à lui, même si son corps restais coller au mien. « tu ne t'intéresserait pas autant à moi, si je n'étais qu'à toi. » lui répondis-je simplement, puis je sourit de nouveau. il allait finir par me donner des crampes aux joues à force. être avec avery me mettait presque immédiatement de bonne humeur. quand il était là, je ne pensais à rien, j'oubliais tout, il n'y avait que lui qui comptait à vrai dire et c'était agréable de passer du temps avec quelqu'un capable de vous faire oublier tout vos soucis. « et non, je n'oublis pas ton corps de rêve. mais je ne pense pas que tu soit si malheureux quand je ne suis pas là. » me contentais-je de répondre, tournant un peu mon visage sur la droite pour le regarder, j'allais emmener de nouveau mon index à mes lèvres quand il me prit de vitesse et lécha le chocolat avant moi, je me tournais alors pour lui faire face, amusée, mais une nouvelle fois il pris les choses en mains. il se collait de nouveau à moi, caressant mon corps et laissant ses lèvres glisser sur ma peau, cela me procurait tellement de plaisir que je fermais doucement mes yeux un instant, me mordillant la lèvre et laissant ma tête partir légèrement en arrière. mh, les deux à la fois ça m'allait aussi. en guise de réponse, j'hochais la tête, il me soulevait alors afin de m'emmener jusqu'au salon, là où il m'expliquait et me rappelait tout les endroits de cet appart où nous avions déjà fait l'amour, parfois plusieurs fois au même endroit. « mh, alors il est temps de se rattraper. » il me déposait sur le canapé, il ne perdit ensuite pas de temps pour dégraffer mon soutien-gorge puis me retirer mon tshirt. je le laissait faire pas habitude, l'aidant au mieux, je ne portait plus que ma culotte désormais. heureusement, le corps d'avery coller à moi me tenait chaud, à mon tour je glissait mes mains sous son haut pour le lui retirer, enroulant mes jambes autour de sa taille. ses lèvres se collaient aux miennes et je répondait à son baiser avec beaucoup d'envie. « fatiguante, mais génial. j'ai hâte de reprendre. » répondis-je dans un premier temps à sa question, une fois son torse nu devant moi mes lèvres gagnaient de nouveau sa peau et mes mains glissaient le long de son torse jusque l'ouverture de son pantalon. « mh, joues par l'amant triste, je suis sûre que tu as eu des filles à la dizaine pour te consoler. » lâchais-je doucement entre deux baisers, je ramenais ensuite mon visage près du sien tandis que mes mains se dirigeaient sur ses fesses. je plongeais mon regard dans le sien, et avec un sourire malicieux je lui dit : « tu devrait venir quelques jours avec moi. chambres d'hôtel de malade, room service, on passerait du bon temps. » sur cette phrase, je baissait d'un coup rapide son jean sur ses cuisses, puis je me redressait un peu pour venir prendre de nouveau possession de ses lèvres.

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ton manque. nessa, c'était un gros manque. et, si elle te manque, elle compte beaucoup. ouais, nessa, elle a sa place dans ton petit cœur qui porte que du malheur. ouais, nessa, elle compte. ouais, t'es jaloux à l'idée de te dire que, peut-être demain, elle va appartenir à un autre mec alors, qu'au fond, tu voudrais tant qu'elle n'appartienne qu'à toi. que son corps ne soit qu'à toi. ouais, t'es comme un dingue quand tu te prends la tête avec elle, mais ça n'arrive que rarement. encore heureux. l'idée de ne plus lui parler, ça te rend fou. t'y penses pas. ouais, nessa elle a quand même une place dans ton cœur. une belle place. toi qui n'aime personne. parce qu'avery il aime personne. du moins, presque personne. il apprécie et puis c'est tout.
mais tu sais que tu pourras pas l'avoir que pour toi. elle vit de liberté et tu trouves ça beau, elle se donne un côté inaccessible. elle est comme toi. elle a un cœur de béton, elle n'a jamais aimé. ou alors, elle est comme toi : un cœur doux qui a été endurcit. sale amour. on crache sur l'amour. ça pue. c'est moche quand on y pense. ça fait gerbé. l'amour c'est un connard. ça te fous des coups à l'envers & tu l'sens pas venir. elle est comme toi, nessa. elle n'appartient à personne. qu'à elle même. et tu sais, t'y crois, que c'est la meilleure solution. c'est mieux, tu souffres pas. t'es comme invincible. plus rien te touche. à part le manque. le manque qui existe même dans une relation de sexe. nessa c'est ta preuve. il n'y a jamais eu plus que du sexe entre vous. mais vaut mieux pas. parce qu'après, ça peut mal finir. ça peut ne pas être dans tes plans et tu sais de quoi tu parles, Avery. bah oui, parce que la putain de vie, elle t'a montré ce qu'elle avait dans l'bide. même toi, t'y crois pas encore. nessa sera jamais à toi. elle sera qu'à elle-même.
alors tu profites, tu profites de ce contact entre sa peau bronzé et douce. tu profites de cette chair qui t'avait vraiment manqué. t'es content, enfin tu l'as. après t'en être privé pendant un moment. tu laisses faire tes mains, t'es mains qui glissent sur son bras nus. un sourire en coin avant de lâcher un fin rire. la bonne blague. tu sais pas mais, j'rêve secrètement de t'avoir qu'à moi. tu la retourne, en plaquant l'une de tes mains vers sa mâchoire avec des yeux doux. j'rêve secrètement que tu deviennes ma princesse. avant de plaquer doucement et tendrement tes lèvres contre les siennes, en lui mordant à la fin, doucement sa lèvre. même si j'dois l'avouer que tu l'es déjà à mes yeux. parole sincère ? ou non ? même toi tu sais pas. elle t'a manqué ? oui. bah ouais, ça t'en était sur. qu'elle n'appartienne qu'à toi ? oui & non. tu sais pas. mais au pire, tu t'en fou. tu savoures. tu savoures ce moment, tu savoures nessa, tu savoures tout car t'avais l'impression d'être privé de ce corps. ça a duré tellement longtemps pour toi. tu haussas les sourcils quand elle te déclara cette affirmation. sale vérité sortit d'une si belle bouche. ça fait mal aux oreilles Avery. bah ouais, tu peux pas te retenir, c'est ça ton problème.. & s'il y avait que lui. comment tu sais ? d'un air interrogatif avant de rire. crois-moi qu'après avoir quasi goûté tout les corps ce c'te ville, le tien reste le meilleur, mon chaton. et je suis sincère. la première fois que tu sors c'te phrase. faut croire que tu l'étais parce que jamais aucun corps ne t'avais manqué. tu peux te sentir fier tu sais, jamais aucun corps ne m'avait manqué d'une voix véridique, en hochant de la tête. bah ouais quoi, t'espères qu'elle se sente importante et flattée ! mais bon, t'as dû gouté à plus de corps que moi. j'pense que t'en a bien profité, hein. d'un air faussement boudeur avant de lécher son doigt au chocolat. t'aimerais bien qu'elle est un peu de chocolat partout. franchement, tu trouverais ça trop bon. un paradis. t'en avait envie. t'as envie d'elle. elle te calme, elle te fait du bien. rien que ça présence te soulage. sa peau. ses lèvres que tu ne fais que fixer, qui t'en fait mordre ta lèvre. ses yeux bleu qui d’hypnoses,on pourrait s'y perdre. ses formes, qui t'appellent. nessa, tout simplement. tu prends fermement sa petit main, à croire ça pourrait te faire peur de la perdre. il est temps de se rattraper. compte la dessus. il en aurait envie, toute sa vie, de se rattraper. le soutien-gorge retiré en un coup de main, un tee-shirt enlevé à la va-vite. Avery. Profite. parce que tu l'as pas tout les jours. c'est pas une de ces vieilles meufs que tu peux appeler quand tu veux, nessa. tu caressas son corps. ses hanches, ses seins, son ventre, avec envie. t'en a envie. ses mains qui se baladaient contre ta peau fit naitre des frissons. t'aimais son touché. elle t'avoua qu'elle avait envie de reprendre. après sa révélation et après ton baiser, tu lui mordis la lèvre et la regarda d'un air faussement choqué. ah ouais, j'vois le genre de la meuf.. elle s'en va, s'envoie en l'air avec monsieur Rhodes et après, elle se barre ? bien. ça plaisir dit-moi ! en plongeant ta tête dans son cou et de l'embrasser, passant par son poitrail, ses seins. ses mains qui glissaient contre ton torse, ça te faisais du bien. limite, elle te déconcentrait. tu commenças à caresser l'intérieur de sa cuisse, pour la faire vibrer, lui faire du bien. pff, une dizaine.. une vingtaine ouais. en levant les yeux. tu me sous-estimes. c'est blessant. en soupirant, tout en reprenant tes caresses contre ses cuisses frissonantes. tu montas de plus en plus pour arriver à son entre-jambe. bah si j'fais mon amant triste. j'assume, moi.en appuyant bien sur le dernier mot. t'es persuadé qu'elle aussi, elle aussi elle a été triste d'un côté. deux baisers. elles glissent vers ton fessier. putain, qu'est-ce que tu profites à ce moment-là. t'en profitas pour passer les tiennes sur ses hanches avant d'arriver vers sa culottes où tu mis tes mains à l'intérieur en prenant le temps, cette fois-ci, de la retirer calmement, en la faisant glisser contre sa peau. c'était sincère ? tu souriais, sans trop le montrer. t'emballes pas. le montre pas trop que t'es content Rhodes. c'est trop beau pour être vrai. en haussant les épaules. si elle insiste c'est qu'c'est vrai. sinon, c'était qu'une blague. mais sérieux, c'est jamais bon de partir avec sa sex friend en vacance. ça peut foutre la merde. puis si t'amènes ton sex friend, tu devras ramener encore pas mal de mec, alors. parce que j'crois que je suis pas le seul. en lui montrant ton plus beau sourire forcé. puis, tes potes seront trop jalouses que je sois qu'à toi, tu comprends mon amour ? avant de coller mes lèvres contre les siennes.

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T'as encore abusé hier

On t'pardonne pour tes beaux yeux.
On s'exporte, en sexe, on s'explose.

ces belles paroles faisaient plaisir à entendre, évidemment. bien sûr que j'aimais l'entendre dire qu'il désirait secrètement de ne m'avoir qu'à lui, que je devienne "sa" princesse. c'était toujours flatteur d'entendre ça de la bouche d'un garçon que l'on apprécie beaucoup. il ajoutait d'ailleurs qu'à ses yeux, je l'était déjà et cette affirmation de sa part me fit esquisser un sourire. on ne peut pas nier le fait qu'avery est un très beau garçon, bourré de charme, il a tout pour plaire. des tonnes de filles lui couraient après, il faisait clairement partis de ces garçons, qui on ne sait pas trop pourquoi plaisent à tout le monde. je connais des nanas dans notre entourage qui auraient été prêtes à tuer ou presque pour devenir sa petite copine. mais avery il ne faisait pas dans ce genre là, "petite copine", il était plutôt dans le genre plan q en réalité. je ne l'avais jamais vu sérieux avec une nana, ou leur porter une véritable attention. oh bien sûr il était bien élevé, un véritable gentleman, capable de faire croire à n'importe quelle greluche qu'elle l'intéressait réellement et qu'il se voyait un futur avec elle. ce mec là aurait pu se vendre à n'importe qui, n'importe quand. on buvait littéralement ses paroles, parce qu'il était monter à un niveau tel qu'on ne savait pas quand il mentait ou quand il était sincère. je n'étais pas comme la plupart des filles, je connaissais les garçons comme lui que trop bien, j'en avait fréquenter plusieurs, alors je n'étais pas à courir après lui comme un toutou. pourtant, dire que j'étais complètement de marbre face à son charme aurait été mentir. bien sûr qu'il me faisait craquer, mais il était mon ami et en tant que telle j'avais pu le voir jouer son manège avec le reste de la gente féminine, alors j'étais sur mes gardes. je savais qu'il tenait à moi, mais j'avais des doutes sur l'intensité de cet attachement. pour l'instant, je pensait toujours qu'il jouait, mais je ne lui en voulait pas puisque je donnais l'impression de jouer moi aussi. il confirmait ensuite mes paroles en m'avouant avoir goûté à "presque tout les corps de cette ville", je ne pu m'empêcher de lever les yeux au ciel à cette révélation que je croyais sur parole. mais il ajoutait que le mien était le meilleur à ses yeux, je reposait mon regard sur lui alors qu'il me confiait qu'aucun corps avant le miens ne lui avait manqué. je sourit en coin, parce que j'aimais entendre ça. je n'étais pas certaine d'y croire réellement, mais j'aimais tout de même l'entendre. quant à moi, il est vrai que ces derniers temps je jouais avec beaucoup de garçons. j'aimais la séduction, mais pour ce qui est du sexe mis à part lui-même, je n'avais pas fait de folies. malgré les apparences, je n'étais pas une nana à coucher avec le premier venu, bien au contraire. mais je ne répondis rien, dans un sens je préférait qu'il pense qu'il n'était pas le seul garçon dans mon lit en ce moment, ça aurait pu lui faire croire que je devenait dépendante, comme une de ses prétendantes. et soyons clair, il était hors de question qu'il me compare à ses filles là.

installés sur le canapé je sentais ses mains se ballader sur mon corps, je frissonnais sous son toucher, il avait le don de me mettre en condition rapidement. en quelques secondes à peine je me retrouvais en simple culotte, quant à lui, je lui avait baisser son jean sur les cuisses et retirer son tshirt. je caressait son torse sans retenue, pendant que l'on continuais notre discutions. je lâchais quelques éclats de rire à sa remarque, et cessait un instant mes baisers sur son cou pour le regarder dans les yeux et lui répondre : « te plaint pas, ça t'arrange en fait que je soit là qu'occasionnellement. » et oui, comme ça il avait plus de temps pour les autres. et elles devaient être nombreuses. quand il m'avouait d'ailleurs que c'était plutôt une vingtaine de filles avec qui il avait été, je sentis une chaleur monter en moi. malheureusement, ce n'était pas de l'excitation mais de la colère, de la jalousie. l'une de ses mains était venue se placer sur mon intimité, et je lâchais un soupire. mh... mais je griffrais tout de même légèrement son torse, une petite vengeance personnelle contre le fait qu'il s'envoie tout miami en mon absence. certes nous n'étions en rien exclusifs, loin de cela même, mais j'étais possessive. je lui proposais de venir avec moi en tournée, quelques jours seulement, alors qu'il me retirais mon dernier sous-vêtement. mais il enchaînais excuses sur excuses, je compris rapidement que cette idée ne lui faisait pas tellement envie. je fut un peu frustrée, je l'avoue. il y a quelques minutes il se plaignait de mon absence et alors que je lui proposait de venir avec moi quelques nuits il cherchait des raisons de refuser. beau parleur. il plaquait sa bouche contre la mienne, je le laissait faire un instant, gardant les yeux ouverts. j'aimais les joueurs, mais quand j'avais l'impression que l'on jouait de moi ça m'agaçait fortement. je mordais sa lèvre inférieure assez fortement, il se reculait un peu rompant le baiser et je me redressait alors, me soulevant sur mes coudes. « tu pouvais simplement dire que tu n'avais pas envie de venir, tu sait. » je plaçait mes mains sur son torse pour le repousser un peu. « et j'suis pas une pute, merci. c'est pas moi qui donne mon cul à tout miami entre nous. » et je m'étais assise, les bras croisés, complètement nue certes mais définitivement boudeuse.

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nessa c'est ta folie. nessa c'est ta et c'est pas autre chose. nessa putain, tu l'aimes bien. nessa t'aime la voir, avec les jambes ouvertes ou les bras ouverts. tu t'en fou. t'aime la voir parce que nessa, c'est comme une princesse en porcelaine à tes yeux. nessa, tu veux pas lui faire de mal. nessa, tu veux pas la faire tomber pour qu'elle s’explose par terre. nessa & tes paroles elle y croit. peut-être un peu, d'ailleurs tant mieux. ou peut-être pas et là, tu peux en vouloir qu'à toi. avery est bourré d'charme. avery est bourré d'charme dans la bouche ou l'corps. avery il fait rêver les meufs avec des paroles et les envoient toucher le ciel avec des coups de rein. il se l'était dit. un plan tout dit, depuis. depuis, trois ans. trois ans d'ancienneté dans l'domaine et l'voilà intouchable. avery le roi des princesses.
mais nessa. nessa elle était pas dans tes plans.ça t'fait flipper un coup, pas vrai ? non. non parce qu'avery & sa fierté d'homme. il gère. il gère comme il a cru gérer son passé, son vécu. tu vois pas de quoi j'parle ? en gros, il va gérer puis après, il va tombé, parce qu'il aura mal calculé. ou peut-être pas cette fois-ci ? tu sais pas. mais tu t'en branle. tu acceptes les envies de nessa. t'as envie d'la comblée ta princesse. nessa t'as pas envie d'aller vite avec elle. nessa, t'as envie d'prendre soin d'elle pendant ce moment. pas comme ce moment avec les autres. avec les autres, t'es agressifs, tu veux être le maitre de la situation, tu veux pas être touché, si elles se rebellent, tampis pour elle. elle t’auront plus. sauf nessa. parce que, dans l’fond, t’as peur de la perdre nessa. nessa elle est belle. nessa elle est un peu peste mais c’est un peu ta déesse parce qu’elle est originale, elle est pas normales comme les autres femmes à mourir d’ennuis. d’ennuis à en crever.
tu la caresses et profitant. et t’oublies pas l’sourire pendant que tu touches ses lèvres avec délicatesse. ta délicatesse avait payé, tu sentis ses frissons collés à sa peau, c’est bon de les toucher, tu profites, rhodes. parce que c’est pas tout les jours que tu la sens, que tu la pour toi, la Tate, princesse Tate. tu te retrouves en boxer, ses mains qui parcourt ton torse. ça t’fais du bien, à en crever. nessa & ses doigts de fée. les yeux dans les yeux. tu la regardas avec tes yeux doux, parce qu’elle te donne du plaisir. elle te rend heureux, nessa. tu ricanas en regardant tes doigts faire de belles choses sur sa jambe gauche. tu plaças ensuite ton index sur ses lèvres, avant de dire : « on s’éloigne pour mieux s’retrouver, pas vrai ? » avec un fin sourire. « même si j’t’avoue que j’en ai marre d’être éloigner de toi. j’veux toujours plus de toi, tu vois. tu vas voir, demain, comme je sais qu’après j’vais pas te revoir avant un bail, je voudrai pas te lâcher » en regardant son visage avec intension. t’as jamais eu autant d’intension que maintenant, c’est fou comme nessa elle joue sur ton tempérament. mais t’aime bien. pour une fois. nessa t’en avait plus envie que les autres. nessa c’est une putain d’pierre précieuse à tes yeux. nessa c’est ta précieuse.
elle griffe ton torse, légèrement. un sourire en coin. t’aimais qu’elle soit possessive et jalouse à ce point. ça t’montrais que ton envie d’elle était réciproque. elle a envie de toi, comme t’as envie d’elle. et ouais, t’aime être franc. c’est ça l’avantage. tu fais rager les meufs auxquelles tu tiens. enfin, ça marche pas toujours. « madame Tate ne supporte pas que mon corps soient à d’autres meufs de temps en temps ? » avant de poser tes lèvres sur les siennes, pulpeuses au naturel et de mordre légèrement sa lèvre inférieur. « ça fait plaisir. » et un grand sourire sur ton visage charmant.
c’est trop beau pour être vrai, rhodes. toi, nessa, une chambre, rien que vous deux. c’est vraiment trop beau pour être vrai. et pourtant, elle était sérieuse. toi qui avait truc qu’elle déconnait. putain, t’es con avery. elle est dégoûtée là, tu le voulais ce putain de voyage avec elle. cherche pas rhodes, c’est fabriqué pour tout niquer. elle t’avais mordu, belle punition. tu reculas un peu, parce qu’elle t’avais repoussé. et en même temps, tu lâchas son entre-jambe. « attend, nessa, tu fais la gueule là ? » tu roulas des yeux. tu peux en vouloir qu’à toi-même. tu t’approchas d’elle, doucement et déposa un bisou sur son épaule, sa douce épaule. « j’pensais que tu déconnais quand tu disais ça. » et tu t’approchas de son oreille pour lui chuchotter : « j’ai cru que c’était trop beau pour être vrai. » comprend nessa s’il te plait. avery, il croit qu’il est privé de belles choses depuis Hannah. mais tu sais, toi, tu peux changer les choses.

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On t'pardonne pour tes beaux yeux.
On s'exporte, en sexe, on s'explose.

et il me dit en avoir assez d'être loin de moi, il me dit qu'il avait toujours besoin d'un peu plus de moi, et je l'écoutais me dire tout ça avec attention. j'admirais les traits de son visage, je m'attardais sur ses lèvres, sa bouche qui sortais toutes ses belles paroles, me demandant sincèrement si je devait les croire. c'était toujours ça avec avery, se demander. essayer de savoir s'il disait la vérité ou s'il jouait. au début c'était amusant, c'est vrai. c'était drôle, parce que je jouait moi aussi. et puis doucement, lentement je m'étais faite prendre à mon propre jeu. finalement, cette relation basée sur le sex et censée rester simplement sexuelle était devenue si compliquée. parce que je l'aimais beaucoup avery, mon avery. mon ami et un peu plus. les signes étaient là, la jalousie, l'envie d'être avec lui même quand j'étais à des kilomètres loin de lui, les signes étaient réels et dés le tout premier j'aurais dû fuir. j'aurais dû tout arrêter, mais je pouvais pas. je pouvais pas parce qu'être dans ses bras était devenue une obsession. une drogue douce, vous voyez ? addictif. j'avais besoin de sentir ses mains sur ma peau, ses lèvres sur les miennes et ses yeux.. ce regard. désormais c'est son regard que j'observais, ce regard joueur, charmeur, qui aurait pu faire tomber dans ses bras la fille la plus sérieuse du monde. il savait y faire, ces belles paroles avec sa belle gueule étaient l'arme fatale par excellence. le genre de garçon qui quand il est avec toi réussi à te faire croire que tu est la seule qui compte à ses yeux. il réussi à te faire avaler que tu a quelque chose de spécial, que les autres n'ont pas, que c'est pour ça que tu est plus importante à ses yeux. le genre de garçon qui te fait te sentir unique, voilà pourquoi quand dans de rares moments de lucidité tu te rends compte qu'il sert probablement le même refrain à d'autres filles, tu redescend doucement sur terre. non, pas doucement, brusquement. c'est pas doux, c'est violent. c'est la jalousie, la colère même un peu, parce que tu est déjà tombée pour ça. tu a déjà aimée pour ça. ces mots là, tu les a déjà entendu et tu les a cru, aveuglément. on t'a déjà dis que tu était spéciale, jusqu'à ce que tu ne le soit plus. « madame Tate ne supporte pas que mon corps soient à d’autres meufs de temps en temps ? » j'eu un sourire forcé, qu'il lui serait facile à reconnaître. « ça n'a rien à voir, je préférerait juste que tu ne m'en parles pas. » ce qui était faux. bien sûr que ça me dérangeais d'imaginer d'autres femmes se coller à son corps, à ce corps coller au miens à cet instant. évidemment que je n'avais pas envie de déposer mes mains ou mes lèvres à des endroits où elles le faisaient elles aussi. je ne voulais pas me prendre la tête, pas me sentir en compétition et pourtant c'était plus fort que moi. je ne supportais pas l'idée qu'une autre puisse lui faire ressentir ce qu'il disait que moi je lui faisait ressentir. et puis je m'étais braquée, je m'étais assise sur le sofa bien décidée à bouder. j'étais contrariée, parce que j'avais l'impression que cette envie d'être tout les deux ne marchait que dans un sens, et à ce compte là, si je n'étais qu'une de plus sur une vingtaine qu'il aille trouver les 19 autres et me laisse seule. je sais, ce n'est pas comme ça que les sexfriends marchent. je sais, j'étais censée avoir un regard reculé sur tout ça, ce n'était pas censé se passer comme ça et ça m'embêtais, moi la première. je n'y pouvait rien en tout cas. j'essayais de lutter, mais plus je le faisait et plus il me faisait changer d'avis, me faisant croire que j'étais importante pour lui. vraiment importante. il s'approchait de moi, m'avouant qu'il pensait que cette idée était trop belle pour être vraie, je ne bougeais pas pendant quelques secondes, puis je tournais légèrement ma tête en sa direction. « non, mais peut-être que tu a raison. » j'inspirait doucement, ce que je faisait en général quand je m'apprêtait à mentir. « c'était une idée stupide, tu a sûrement d'autres choses à faire ici, et moi je serais beaucoup trop occupée. vaut mieux rester occasionnel, hein ? rien que du sex, de temps en temps. » pendant une fraction de secondes, mon regard m'avait trahis. quand je prononçait ses dernières paroles se fut avec une boule à la gorge. « oublie ça, faisons comme si je n'avais rien dit. » et je sourit légèrement, sourire forcé évidemment, mais plutôt bien immiter. je posais ensuite mes mains autour de son visage et vient plaquer mes lèvres sur les siennes, je l'embrassait avec envie, basculant en arrière afin de me retrouver allongée, avery au dessus de moi. mes mains glissaient dans son dos, mes lèvres s'aventuraient dans son cou là où je l'embrassait sensuellement tout en veillant à coller mon intimité à la sienne.

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