(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Mer 29 Avr - 18:20
through you eyes I feel I still have sixteen..
C’était quoi sont problème à la fin ? Je lui avais expliqué pourquoi je l’avais quitté et lui la seul chose qui fessait c’était reproche sur reproche. D’un côté je comprenais c’est reproche de l’autre j’aurais voulu qu’il comprenne que j’avais juste eu peur, puis il y avait tellement de chose qu’il ignorait des choses que je n’étais pas encore prête à lui dire. Des choses qui le briseraient. A cette époque je n’avais peut-être pas pris les bonne décisions mais il était trop tard pour les regretté, il ne comprenait pas que j’avais fait tout cela parce que je voulais juste sont bonheur. Eliam avait été mon premier petit copain je n’avais pas eu toute les règles en matière de couple « Si bien sûr que j’aurais voulu rester avec toi pour toujours que j’aurais voulu que tout cela n’arrive jamais mais pourtant c’était belle et bien arriver, ce jour-là je me suis retrouver à l’hôpital toute seule et je me suis rendu compte que plus jamais ne sera plus comme avant. Je savais tu souffrais de ta relation avec te parent je savais que jamais je ne pourrais plus te donner ce qu’on avait vécu alors j’ai préféré te laisser partir même si sa ma briser le cœur car même si tu en doute rompre avec toi et la pire chose que j’ai pu faire de toute ma vie ». La façon dont il me regardait me brisait le cœur, il avait l’air d’avoir tellement mal. Je ne pouvais pas supporter. En revenant ici je savais que je l’aurais croisé de nouveaux mais j’espérais ne jamais avoir cette conversation, et elle était encore plus douloureuse que ce que j’avais imaginé. Depuis notre rupture je n’avais plus pensé à l’ avenir, du moins partagé quelque chose avec un homme car au fond de moi il était le seul avec qui je voulais un futur et pouvoir construire quelque. Mes parents c’était rencontré au même âge que nous et il avait vécu vingt ans à s’aimer comme des fous. La colère augmenta d’un cran pour chacun, je lui demandai de lâcher ma main, bien sûr il refusa catégoriquement « Je ne fuis pas putain Eliam et je te demande pas ton avis tu me lâche.. «. J’étais tellement folle de rage que je n’arrivais pas à le regarder dans les yeux et pourtant il était temps que j’affronte tout cela, il finit par me lâcher doucement. Je le regardais et l’écoutais attentivement, j’avais l’impression de rêver ce n’était pas possible il n’était pas en train de me dire tout ça pas lui. Je lui avais dit que cette appelle m’avais brisé le cœur et lui avais juste voulu se venger, alors voilà tout était une question de vengeance. Si en temps normal je lui aurais couper la paroles, là je ne pouvais pas j’étais comme paralyser « C’était.. c’était.. Elle « dit je d’une voix tremblante. La fille dont il me parlait je la détester, c’était une amie a lui qui pour moi avait toujours voulu plus, alors savoir cela était horrible pour moi il avait été beaucoup trop loin « Notre histoire était juste un gros mensonge Eliam ? Quand on n’était pas ensemble tu la voyais ? Tu couchais avec elle ? Tu te foutais de ma gueule quand tu étais avec elle ? Oui bien sûr c’est évident la petite Hannah qui n’était jamais sortie avec un garçon c’était tellement facile pour toi de m’avoir « dit je en serrant les points, j’avais tellement mal que c’était impossible que je m’effondre et surtout pas devant lui « Je t’en supplie ne dit plus rien tu es un menteur , tous les jours depuis c’est trois dernières année je me suis dit que j’étais trop conne d’avoir laissé partir un garçon aussi génial que toi mon dieu ma mère me répétais que tu étais un garçon exceptionnelle que tu lui rappelais beaucoup mon père « dit je en séchant la larmes qui coulais le long de ma joue. C’était impossible, comment il pouvait encore me dire toute c’est belle chose sur notre rencontre, notre histoire, notre si belle histoire d’amour. Ce lac nous rappelait tellement de souvenir, mais là je ne pouvais pas me les rappeler alors que je ne savais pas si tout cela avait réellement compté pour lui comme pour moi « Je me souviens de tout tu crois que j’ai oublié que tu m’a tout appris à conduire, à ne plus avoir peur de l’eau et encore tellement de chose , mais par-dessus tout à aimer au-delà de tout car je n'avais jamais connu tout cela « dit je en me reculant quand il posait sa main sur ma joue, je ne pouvais pas supporter ce contact avec lui « c’est fini .. « Dit-je doucement, tellement doucement que je n’étais pas sûr qu’il est pu l’entendre.
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Mer 29 Avr - 20:06
through you eyes I feel I still have sixteen.
C'était la première fois que j'étais énervé comme ça auprès d'elle. C'était horrible. Je voyais flou, tout flou. La rage m'avait bel et bien envahit, et elle était des deux côtés. Je détestais quand on s'engueulait, je déteste toujours. Avec nos forts caractères ça arrive toujours à nous détruire. Mais qu'est-ce que tu veux faire hein ? Avec une rage qui ne cessait de s'élargir de jour en jour, de mois en mois, d'année en année avec le manque qui se mêle dedans. Tu sais vraiment pas où tu en es. Elle me disa qu'elle aurait bien voulut rester avec moi jusqu'à sa mort, comme la mienne, mais que malheureusement l'épisode d'être toute seule à l’hôpital lui a permit de comprendre que plus rien ne sera comme avant. Plus comme avant car elle savait aussi qu'elle ne serait plus capable de me donner autant d'affection qu'avant. Je compris mieux maintenant, même si sur le coup, j'y comprend rien, essaya tant bien que de mal de me concentré sur ses mots. « Je comprend mieux.. Je me rend compte que j'ai pensé qu'à moi ces derniers temps après notre rupture. Normalement, j'aurai du être la, j'aurai du comprendre que tu avais besoin d'affection. Mais, tu vois, juste ta simple présence suffisait pour me combler de bonheur. Je suis désolé, mais va valoir un peu de temps pour que ça passe » A ce moment là, je savais pas comment j'ai fait pour canaliser ma rage. Je pense que c'est simplement parce que, ma rage s'est retourné contre moi-même. Je suis vraiment trop con et trop bête de pas l'avoir vu. De pas avoir vu qu'elle était mal, qu'elle avait besoin d'affection. Lui en aurai-je pas donné assez ? Pff, je sais pas, je suis totalement perdu. J'attendais son amour, mais d’abord, moi, lui en aurai-je pas assez donné ? Trop de choses se mélangent dans ma tête à ce moment. Elle commença à s’énerver vraiment beaucoup, quand je lui lâcha doucement sa main, pour ne pas lui faire trop de mal. Après lui avoir tout déclarer pendant ses trois ans, elle reste comme pétrifier, comme si chaque mot que j'aurais prononcé l'aurait glacé en plus en plus. D'une petite voix, elle savait de qui je voulais parler. Forcément, vu que par simple respect pour elle, je ne parlais qu'à cette fille avec qui j'ai pu mélanger Action Man avec Barbie Girl. Et la, je commença à froncer les sourcils, je pense qu'elle c'était tout mélanger dans sa tête : elle disait comme quoi, notre relation qui a duré trois ans n'était que du pur mensonge, que avant elle il y avait eu cette fille avec qui j'aurai soi disant couché avec un elle, que.. Enfin, la je commença à serrer mes poings que j'ai commencé à ouvrir la bouche puis elle me coupa en disant de me la fermer car j'étais qu'un menteur jusqu'au début, que pendant trois ans elle c'est fait avoir par un mec aussi génial que moi, et que, ce qui m'avait calmer un peu c'est qu'elle disait que sa mère disait que je ressemblais beaucoup à son père. Je me suis légèrement calmé car cette phrase venait de me mettre en garde comme pour dire qu'elle aussi elle était encore fragile, que tout n'était pas comme je le pensais. Je ferma les yeux, tentant de me calmer « Mais de quoi tu me parles ? Tu mélanges tout. J'ai jamais couché avec elle putain, c'était qu'une pote, pendant cette soirée où tu m'as appelé, elle ma juste vu en bas des escaliers de l'immeuble à la limite du pleure, alors oui, je l'ai invité. On en parle des mensonges ? Il est joli le tien soit disant que tu m'avais quitté parce que tu me trouvais plus aucune attirance ? Sur une rupture, ta même pas été capable d'être honnête, j'aurai au moins voulut que notre histoire honnête et franche se serait terminer avec une rupture honnête et franche, comme on avait pu se faire pendant 3 ans. Je t'ai toujours dit la vérités Hannah, j'étais incapable de te mentir. Ma première fois c'est fait avec toi » Pendant que je parla, elle essuya tant bien que de mal d'essuyer ses larmes. Elle était vraiment au bout de sa vie, comme moi d'ailleurs. J'étais fatigué, j'en avait marre de parler, je la voulais dans mes bras moi, de lui faire pleins de bisous et de l'entendre rire à mes blagues stupides et de tailler chaque personne qui passait avec elle. Et, en même temps elle me rappela tant de souvenir : la conduite, la peur de l'eau. Et, malheureusement moi, elle a pas pu me calmer par rapport à ma phobie vis à vis des pieds. Après qu'elle met dit ça, j'avais envie d'avoir un pouvoir pour remonter le temps et de passer tout ses souvenirs encore et encore. Puis, malgré sa voix si basse, comme un murmure j'ai quand même pu entendre le mot « fini » Je rigola, tout en disant « non » à répétition et en me passant les mains dans mes cheveux comme pour me calmer. Là, elle m'avait détruit, j'étais épuisé, je me demandais comment je faisais pour encore tenir debout moi. « Nah.. Nah je crois pas nah. Tu peux pas dire ça. » Et la j'ai bien eu des larmes qui s'échappa de mes joues, quelques unes et c'est bien la première fois dans un endroit publique. Je savais pas quoi faire. Fatigué, je voulais la retenir mais à quoi bon ? J'en pouvais plus. « Je.. Je sais plus quoi faire, Hannah.. C'est vraiment ce que tu souhaites ? » J 'essaya de lécher un maximum mes larmes pour ne pas montrer que j'avais pleuré.
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Mer 29 Avr - 21:40
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C'était par nous , ça nous ressemblions pas d’être comme cela. On n'avait jamais été aussi cruel l'un envers l'autre. Pendant trois ans il avait été ma raison de vivre et pendant trois autres années il avait été dans toutes mes pensées. Quand on était sortie ensemble, je me rappelle du tout premier jour comme si c'était hier. J'avais à peine 14 ans et franchement à cette âge-là on connaît rien au garçon, lui avait un ans de plus et il n'avait pas eu de vraie relation. On avait tout appris ensemble. Je ne savais plus ou j'en étais, ce jour-là à l’hôpital pour moi tout avait changé alors la seule solution était de mettre à termes à notre histoire. J'avais fait une terrible erreur et je devais en assumer les conséquences. J'avais passé des semaines entières enfermer dans mon petit appartement après ce terrible drame, Juste a pleuré et dormir. Il commençait à doucement comprendre mais je savais qu'il ne comprendrait vraiment que quand il sera toute la vérité ... ou peut-être pas et je n'étais pas capable de lui dire " Moi j'ai juste pensé à toi, je savais que je ne pourrais pas te donner tout ce dont tu as été habituer pendant trois ans ... " lui dis-je . Il était très en colère , contre moi c'était certain mais j'avais l'impression qu'il était aussi en colère contre lui-même. De pas avoir vu toute la peine et le désespoir que j'avais eus après leur mort, car avais aussi loin de l'autre cela été difficile. J'aurais peu été aimer qu'il vienne me voir à New york pour me rassurer et me dire que tout allais bien se passer. Mais il ne l'avait jamais fait. J'étais vraiment très furieuse contre lui, jamais je n'avais été aussi furieuse de ma vie et je ne pourrais pas contrôler mes mots et j'avais peur que cela aille trop loin et qu'il ne puisse plus avoir de retour en arrière. Je lui avais dit tout ce que j'avais sur le cœur, tout ce que j'avais eu ressenti face à cette relation. Mon Dieu Hannah calme toi surtout ne dit pas quelque chose que tu pourrais regretter dans quelques minutes " Oh je vais devoir aller la remercier tu penses ? cette fille et vraiment un ange tu as raison " dit je de façon très ironique, je détestais cette fille et je ne supportais pas qu'il puisse la défendre " Tu me parles d’être honnête ? tu plaisantes . J'ai toujours été honnête avec toi bordel ce jour-là j'étais complètement au fond du gouffre je ne savais plus ou j'en étais j'ai dit des bêtises et je suis sûr que tu savais putain trois ans Eliam tu était et sera toujours la personne qui me connaît le plus au monde " dit je toujours autant en colère, je séchai très vite les larmes qui coulèrent le long de ma joue car pleurer ne servirais à rien pas avant de lui avoir dit toute la vérité afin qu'il comprenne vraiment tout. On se rappela mutuellement nos souvenirs ensemble, tout cela me manquait affreusement mais j'avais l’impression que tout cela restera du passer. Je lui avais murmuré doucement que c'était " fini ", je ne pensais pas une seconde mais j'étais à bout j'avais l'impression d'avoir tout donné. Il rigola en répétant à plusieurs reprises Non et que je ne pouvais pas dire cela " Eliam ... " dis-je doucement. Les larmes coulaient le long de sa joue mais les essuyèrent de suite pour pas que je ne remarque qu'il était en train de pleurer. Il voulait savoir si j'étais sur " Tu crois que c'est facile de dire tout ça . Tu crois que sa ma pas vraiment brisé cœur quand cette salope a décroché ton téléphone " dit je de nouveaux énervés, il était temps qu'il sache enfin la vérité " Six semaine après leur mort j'ai commencé à être très malade je pensais c'était dû au chagrin je n'avais gout à rien du tout puis un matin en me levant j'ai eu très mal au ventre " dit je la voix qui tremblait "Mon lit était rempli de sang alors j'ai appelé une amie elle m'a emmené à l’hôpital , il mon m'annoncer que j'avais fait une fausse couche quand je t'appeler j'étais à l’hôpital on venait de m'annoncer que j'avais perdu notre bébé ... j'avais eu besoin de toi " lui dit je, à présent il savait toute la vérité. J'avais tellement pleuré que je voulais plus versé une larme de plus par rapport a tout cela.
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Jeu 30 Avr - 17:41
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J'étais et je pense, qu'on n'était dans un énervement mais pas volontaire enfaîte. Dit-moi, si pendant trois ans ou même avant, pendant notre amitié on c'est déjà parlé comme ça ? Non, et j'en rigole si t'aurai dit le contraire. On n'était incapable de se faire du mal, même dans les paroles. Et là, je sais pas, c'est tellement bizarre que j'ai l'impression d'être dans un cauchemars. Ma Femme avec un grand « F » oui, était entrain de me gueuler dessus en échappant ses larmes de rages. « Je m'y serai habitué à ton changement, je l'aurai comprit, pour toi j'aurai tout changé » N'empêche quand j'y pense, j'aurai pu aller prendre un avion direction New York, ou encore l'appeler des heures et des heures, j'aurai pu. Vu l'amour que je portais pour elle, malgré notre séparation. Mais elle, elle aurait pas pu venir un week-end ? Parce que quand j'y pense, l'école me la voler, à la base c'était la mienne. Comprend-moi que j'aurai pas pu aller la voir après la séparation douloureuse qu'elle m'a annoncé, puis vu qu'elle m'a dit qu'elle ne ressentait plus rien pour moi, j'ai eu l'impression du rejet. Puis, d'un ton ironique elle demanda si elle devait aller la remercier ou pas. Je l'a regarda d'un air d'arrêter parce que elle savait le contraire « Ah mais je croyais que tu lui avais déjà remercier moi, non ? Bah oui, faut que tu ailles la remercier car bon, c'est quand même ta meilleure amie qui m'a réconforter durant tout ce temps » dis-je ironiquement aussi comme pour rentrer dans son jeu. Elle reprit en me parlant avec cœur. J'évitais son regard tout en me frottant mes lèvres contre. Elle avait raison, je savais que ce jour là elle était au fond du gouffre, mais j'aurai aimé un minimum honnêteté, et c'est pas elle qui allait m'apprendre qu'elle était une personne honnête, d'ailleurs c'est ce que j'ai toujours admiré chez elle. Enfin, je l'admirais sous tout les angles de toute manière. Alors que j’essuyais mes larmes tant bien que de mal qui sont sorties toutes seules, elle me raconta une des vérités que je n'avais jamais su. Au fur et à mesure de ses mots, mes yeux commençaient à devenir ronds, mon cœur s'emballa tout seul. Elle me disa qu'elle avait perdu du sang un soir. Non me dis pas que.. Bah si, elle avait fait une fausse couche. J'ai vraiment cru que j'allais tombé. Je posa mes avant-bras sur le bord du ponton et je regarda l'eau en me frottant ses cheveux. J'avais même plus la force d'essuyer mes larmes je l'a regarda, les yeux noyé de larmes, je la voyait même plus à cause de ses maudites larmes. « T'es sérieuse ? J'ai faillit être père ? » Puis là, je repensa à la conneries que j'ai faites, à Hannah à l’hôpital découvrant la terrible nouvelle. Je la pris par la taille et l'a rapprocha de moi pour la prendre dans mes bras posant ma bouche sur le front « Si tu savais comment je m'en veux.. T'imaginer seule, à avoir apprit la nouvelle.. Je suis vraiment un salle enculé, je comprendrai si tu voudrai partir » Je retira mes bras de son cou. Tout en pleurant je lui caressa la joue et lui dit d'une voix tremblante « Sache que tu seras toujours ma femme à mes yeux »
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Jeu 30 Avr - 18:21
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C'était la première fois depuis notre rencontre qu'on est eut une conversation aussi douloureuse. On souffrait l'un comme l'autre et chacun ne pouvaient ignorer le mal que cette séparation nous avais fait. J'en étais encore amoureuse sans doute encore plus que quand nous étions ensemble, son absence avait laissé un énorme vide dans mon cœur. Je n'arrivais plus à contenir ma rage, j'avais besoin de lui dire que j'étais vraiment en colère car je ne supportais plus de faire semblant, de lui dire que tout allait bien alors que je souffrais affreusement " Je ne pouvais pas ... je ne pouvais faire cela alors que tout était tellement parfait entre nous". On avait chacun font des erreurs. Je n'avais pas pris la peine de revenir pour avoir une vraie conversation, un vrai rupture je lui avais laissé un pauvre message vocal et lui ne m'avais rappelé que deux fois et ensuite la seule fois ou j'avais pris la peine de l'appeler c'était cette sale conne qui avait répondu et qui m'avais dit que mon amour, l'amour de ma vie était sous la douche. Ce soir-là mon monde c'était vraiment effondrer. Ce petit pique me blessa au plus au point, je ne voulais pas lui montrer mais c'était plus fort que moi " Elle a eu ce qu'elle voulait au final et toi aussi retourne donc la voir " lui dit je simplement, je ne voulais pas crier davantage sans lui dire quoi que ce sois il c'avait qu'il m'avait blessé. Il évitait mon regard, et moi j'avais besoin qu'il me regarde surtout avec ce que j'allais lui révéler. Et voilà, la bombe était lâcher il savait enfin toute la vérité. Il savait enfin que j'avais perdu notre bébé il y a bientôt trois ans de cela. Les larmes coulaient le long de sa joue, je savais que la vérité lui ferait mal et le choquerait mais je ne m'attendais pas à ce qu'il pleure autant.Mon Dieu je ne pouvais supporter de le voir ainsi. Il avait du mal à réaliser qu'il aurait pu devenir père "Oui Eliam je prenais pourtant la pilule mais il y a toujours des accidents " dit je doucement, on c'était calmer tous les deux. La rage avait fait place à la peine et pour lui à la culpabilité car il s'en voulait de pas avoir été là pour moi. Il s'approcha et me pris par la taille et me pris dans ses bras, tout en s’excusant pour tout ce qu'il avait fait et n'avait pas fait " Je n'était pas prête à être maman mais je l'aurais gardé car c'était vraiment un bébé fait dans l'amour et je sais qu'on l'aurais aimer plus que tout au monde " dit je en pleurant, j'avais l'impression d'avoir un poids en moins mais je savais aussi tout ne serais pas facile qu'il allât avoir du mal à digérer tout cela alors que moi j'avais eu trois ans. Il se recula en caressant ma joue " La vie ma presque tout prise je refuse qu'elle m'éloigne de toi à nouveaux " dit je en séchant les larmes sur sa joue et déposais mes lèvres sur les siennes, je ne savais pas ce que ce baiser va signifier mais on en avait besoin tous les deux. Je l'aimais encore. J'en avais plus aucun doute " Je te pardonne ". dit je contre ses lèvres.
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Jeu 30 Avr - 20:26
through you eyes I feel I still have sixteen.
Des fois, j'avais vraiment envie de l'a faire taire et de s'embrasser pour me redonner un peu d’énergie, d'amour, d’extase. Ouais, comme une drogue, j'étais vraiment raide dingue d'elle. J'ai jamais pu l'oublier même si je le faisais croire à tout le monde. Elle me fit sourire grâce à ses paroles du style qu'elle ne pouvait pas le faire, vu que notre couple était vraiment parfait. C'est vrai qu'il était parfait notre couple. Je me souviens de la fois où je lui ai ouvert mon cœur. Oui parce que, on c'est peut-être embrassé ici, mais avant, je lui avait dit de ce que je pouvais penser d'elle : on sortait d'une dispute. J'avais totalement pété un plomb à cause d'un mec. On n'a passé l'aprèm à pas se parler. Puis, la nuit, je suis allé la voir, j'ai tapé à sa porte et, quand elle a ouvert j'ai immédiatement choper son bras et je l'ai emmener tout en haut d'une tour dont, que moi connais l'entré de cette tour qui nous donne une vue parfaite. C'est là où je lui ai tout dit. « Mais c'est parce que j'ai trouvé la femme parfaite » En la regardant avec des yeux doux. Je regrettais vraiment d'avoir dit à ma pote de répondre. Plus personne ne lui répondra appart moi maintenant. Cette fausse-couche m'avait vraiment détruit et je pense que je m'en voudrai toute ma vie, je me connais. Et c'est tout à fai normal, ça m'apprendra. « Au pire, je vais l'appeler pour lui donner un rendez-vous » Je rigola, la manière dont elle me regardait me faisait vraiment rire. « C'est bon, t'inquiète je rigole.. » je parla d'une voix marmonneuse « c'est toi la femme de ma vie » En repensant à la fameuse fausse-couche, je me suis rendu compte que j'avais perdu tout ce qui m'était cher et que j'ai baissé les bras trop vite. Elle m'annonça qu'elle prenait la pilule mais qu'il y avait eu quelques accidents. Mais oui putain, je suis bête, la dernière fois qu'on avait fait, on en avait pas sous la main, puis on avait envie tout les deux alors. Je repense à mes cours d'SVT du coup, la prof nous avait toujours dit que, même si on loupait un jour la pullule ça pouvait se faire. Ce qui nous avait énormément stressé. Elle m'avoua qu'elle n'avait pas envie de garder ce gosse, mais quand elle y a pensé, elle savait qu'elle et qu'on serait capable de lui apporter amour et affection au maximum. Même si on n'était super jeune. « Comment tu fais pour prendre toujours la bonne décision ? » je la regardais d'un air pas possible, tout en pleurant. J'aurai fait pareil, si bien sûr j'aurai été une femme, enfin pas si sur, vu que je fais souvent des gaffes. « Un petit nous.. T'imagine ça ? On aurait vraiment été une famille parfaite » Franchement, sans me venter, j'avais raison. Une femme parfaite, un couple parfait vaut des enfants parfait et surtout une famille parfaite. Après m'avoir reculé et caresser sa joue. J'étais vraiment content et joyeux qu'elle met enfin toucher. Son toucher m'avait vraiment manquer. Ses gestes si doux et reposant je les avaient enfin retrouvé. Je toucha sa main pendant quelle sécha mes larmes. Elle me disa avec sa voix aussi douce qu'elle que la vie l'avait capturé alors qu'à la base, elle n'était qu'à moi et qu'elle ne veut pas que ça recommence ? J’affichais un sourire aussi large qu'une banane. J'avais enfin retrouver MA Hannah, la mienne, rien qu'à moi, que personne ne peut toucher. Quand ses lèvres rencontra les miennes, j'étais vraiment au paradis, même plus qu'au paradis. J'avais un corps qui faisait le festival de Rio. J'en avait besoin de ce bisou, comme elle. Ça nous faisait du bien à tout les deux. Elle me pardonna. J'étais le mec le plus heureux du monde. Je posa mes mains sur ses joues et l'embrassa amoureusement. Et lui chuchota « Je te pardonne aussi. Je t'aime, la femme de ma vie. » Je pouvais plus me séparer d'elle. Maintenant, fait gaffe à toi, la vie, car tu essayes de me la revoler, je serai toujours derrière-toi, non pas pour toi, mais pour elle. Je fais plus confiance à personne à propos d'elle. [/b]
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Ven 1 Mai - 13:00
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Maintenant je n'avais plus aucun secret pour lui, du moins il savait tout ce qui concernait notre relation. J'avais traversé pas mal de chose depuis notre rupture et malgré la douleur et la peine que j'avais pu ressentir j'ai réussi à surmonter tout cela. Et aujourd'hui je suis fier de dire que j'ai enfin pu m'en sortir . Mais je n'avais jamais pu oublier eliam, javais penser à lui chaque jour ses trois dernières années et le revoir maintenant faisait ressortir beaucoup. On avait tellement de souvenir ici, notre premier vrai baiser, c'est ici qu'il m'avait appris à surmonter ma peur de l'eau alors que je lui criais que j'avais la trouille et que je ne voulais pas rentrer dans l'eau. Avec lui j'avais réussi à surmonter cela, avec lui j'avais vécu les plus belles expériences de toute ma vie. On s'entendait à merveille du moins quand on n'était pas en conflit, car j'avais en ce temps là déjà un très fort caractère et lui ne supportais pas qu'on lui tienne tête et moi je passais mon temps à faire cela. Dans mon souvenir sa se terminais ou chacun de notre coter ou au lit. Je lui pardonnais de m'avoir autant blessé car je savais de mon coter j'avais fait beaucoup de bêtise, mais ce que je pourrais j'avais oublié c'est qu'il lui est dit de répondre à son téléphone alors qu'il savait que j'aurais très mal réagi. Ce soir-là a l’hôpital, pour la première fois je l'avais détesté. Sa blague ne me fit vraiment pas rire, savoir qu'il pouvait la voir encore me rendais folle de jalousie " Je comprends donc sur tu la fréquentes encore " dit je sèchement, si je croisais cette fille je lui ferais passer un sale moment. À ses yeux j'étais encore la femme de sa vie, j'étais toucher car pour moi il restera l'homme de ma vie mais tout était encore très compliqué entre nous. Cette fausse couche était une chose qu'on ne pourra jamais oublier, moi je vivais avec cela depuis trois ans lui va devoir apprendre à vivre avec et le connaissant c'était une chose qui allait très mal vivre. Je ne voulais pas lui faire du mal mais il avait le droit de savoir la vérité car après toute cette enfant aurait été aussi le sien. Le garder aurait été une erreur, on était tellement jeune et sans travaille mais je savais qu'on aurait pu assumer tous les deux. Mes parents m'avaient eu très jeune et pourtant il avait réussi à réussir à me donner tout ce dont j'avais besoin dans la vie " Je ne prend pas toujours les bonnes décisions Eliam parfois je me dis que si j'avais remarqué que j'étais enceinte notre petit garçon ou notre petite fille serait avec nous mais la vie en a voulu autrement alors je l'accepte malgré la douleur". Je vivais avec maïs je ne pouvais pas oublier. Je ne supportais pas de le voir pleurer comme cela, j'avais besoin de le toucher de le rassurer de lui dire que je lui pardonnais et qu'il allait devoir se pardonner car sinon il ne pourra jamais avancer, on ne pourra jamais avancer. Je déposais mes lèvres sur les siennes et lui donna le plus tendre baiser, on en avait tellement besoin tous les deux. À ce moment précis plus rien d'autre ne comptait " Je t'aime " dit je doucement. Je me détachais de lui, pour le coup j'étais totalement déboussolé " Eliam , on va avoir besoin de temps tu vas avoir besoin de temps pour comprendre tout cela je serais la je partirai plus mais on ne peut pas ignorer que pendant trois ans on a chacun fait notre vie et je pense qu'on a encore beaucoup de choses à ce dire " dit je en le regardant, il avait encore les yeux pleins de larmes j'avais tellement envie de le prendre dans mes bras pour le réconforter et le rassurer.
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Ven 1 Mai - 18:01
through you eyes I feel I still have sixteen.
Ce jour a vraiment été bouleversant. Et il n'est pas fini. Ça faisait bien une bonne heure qu'on parle avec, à chaque quart d'heure, un peu moins de distance. Je commençais à comprendre, à l'accepter sur notre rupture. Moi qui m'étais durant tout ce temps dit que la plus part des choses étaient malheureusement de sa faute, bah j'avais tout faux. Faut croire que j'avais eu besoin de cette conversation, certes douloureuse, mais elle m'avait bien aidé et à en savoir un peu plus sur la rupture. Je savais tout désormais. Tout ça à avaler d'un coup m'avait brusqué, m'avais mis au plus bas en faite. Fallait que je réfléchisse à ça, à réaliser tout le mal que j'avais fait pour elle. C'était surtout cette fausse-couche que je vais devoir en faire un deuil, et dire que j'aurai été père avec la femme la plus parfaite. Et dire que.. Non, ça sert à rien de dire ça. Ça va encore plus me culpabiliser alors que je suis déjà au plus bas. Heureusement qu'elle est là, en face de moi, sinon je crois que j'aurai déjà tout pété sur mon chemin. Ma blague ne lui a pas fait tellement rire. Je la comprend elle m'aurait dit la même avec un mec, j'aurai pété mon câble, enfin au minimum je me serai vexé. « Non, on se parle plus, on c'est perdu de vue et je te jure que j'ai pas cherché à aller la revoir » Connaissant Hannah, sur le coup elle me croira pas je pense. Mais vu que je l'avais regarder dans les yeux, elle savait très bien que je mentais pas. Avant, quand on se regardait dans les yeux, c'était pour prouver qu'on ne mentait pas. D'ailleurs, ce truc marchais bien vu que je lui avais reproché de trop traîner avec un mec que je ne pouvais pas me voir, elle m'avait affirmé qu'elle ne répondait plus à ses messages puis, quand je lui ai demandé de me regarder dans les yeux, elle a baissé du regard. Elle m'avait ensuite contre-dis sur le fait qu'elle prenait toujours les plus sages décisions, et à propos de notre fameux bébés où la vie lui a imposer de ne pas venir au monde. Je soupira. J'avais la boule au ventre à chaque fois qu'on parlait de ce bébé, de notre bébé. Je m'en veux tellement, mais tellement putain. « Je m'en veux tellement de ce que j'ai fait, Hannah. Je te promet que maintenant, je te laisserai plus jamais seule. La vie est vraiment injuste. Je m'en veux comme tu peux pas savoir » J'avais les mains qui recommençaient à trembler de plus belles. Je mis un violent coup de pied contre la barre en bois du ponton. J'étais en colère, mais vraiment contre moi. J'essaya de me calmer tant bien que mal. Je passa mes mains sur mon visage pour enlever toutes larmes qui coulaient sur mes joues. Je la regarda, « Je sais même pas comment tu fais pour me pardonner » Je sais d'ailleurs même pas pourquoi elle reste encore ici. Avec un mec aussi monstrueux que moi. J'étais vraiment qu'un gamin. Elle m'embrassa en me disant qu'elle m'aimait. Ça faisait tant de bien à entendre. « Moi aussi, je t'aime, je te promet de ne plus te laisser seule » Je profita tellement de cet instant magique avant qu'elle se retire de moi, déboussolée. Elle me parla d'une voix si douce quand elle me dit qu'il faut pas précipiter les choses, qu'il faut me laisser le temps, nous laisser le temps, qu'après trois ans et une seule discutions que ça ne pouvait pas se remettre en place. Elle avait raison. Ça pouvais pas aller aussi vite, je me suis vraiment emballé. « Tu as raison. C'est vrai que ça ne peux pas aller aussi vite. Puis j'aimerai me pardonner avant à propos de la fausse-couche, de l'appel, de tout » Je commença à reprendre des couleurs, comme si je n'avais pas pleuré, j'étais calmé. J'étais redevenue naturellement bien. Je ne pouvais pas m'empêcher de lui poser la question « Mais Hannah ? Tu vas pas me lâcher dès que tu auras de gros problèmes, comme tu l'as fait, hein ? Tu sais que je serai toujours là pour toi ? »
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Ven 1 Mai - 20:49
through you eyes I feel I still have sixteen..
Ce matin en me réveillant je ne me doutais vraiment pas que j'allais croiser Eliam au lac . Depuis mon retour en ville je l'avais évité, et j'angoissais à chaque fois qu'un homme franchisait la porte mon magasin et j'avais aussi eu la crainte qu'on lui dise que j'étais de retour. Mais non personne ne lui avait dit et heureusement car j'avais eu le temps de me faire à l'idée que j'allais un jour le revoir. Et voila ce jour . Notre rupture à ses yeux n'avait été que de ma faute ses trois derrière année et à présent il se rendait compte que je n'étais pas la seule responsable que comme moi il avait eue se tord et qu'il allait devoir les assumer car cela n'allait vraiment pas etre facile. Apprendre qu'il aurait pu devenir père lui avait mis une sacrée claque, il s'en voulait et va s'en vouloir pendant un bon bout de temps. Je lui en voulais juste de ne pas avoir répondu lui-même au téléphone ce soir là mais en aucun cas il n'était responsable de ce tour cela, j'avais perdu notre bébé car au fond ce n'était pas moment pour nous d'avoir un bébé. On avait toujours été tout les deux assez jaloux. Je n'avais jamais supporté cette femme et lui n'avais jamais supporter un copain que je voyais de temps en temps quand nous étions encore ensemble " Franchement Eliam j'ai plus mon mot à dire c'était une simple question ". J'avais du mal à le croire, je ne voulais pas en rajouter une couche car sinon on n'allais pas s'en sortir mais je ne pouvais pas me résoudre à le voir avec une autre femme, il était mon amour et ne je ne voulais en aucun cas le partager. On avait toujours eu du mal à se mentir, un simple regard et chacun savait vraiment ce que l'autre voulait dire et j'avais l'impression que cela marchait encore. Il ne la voyait plus, mais peut-être qu'il voyait une autre et pour le coup je n'avais pas courage de lui demander. Pour lui je prenais toujours les bonnes décisions, c'était faux il m'arrivait parfois de faire des bêtises et la plus grosse que j'avais faite avait été de le quitter car je m'en mordais les doigts tous les jours. Il s'en voulait , et jamais je ne l'avais vu aussi mal depuis que je le connaissais " Eliam " dit je en m'approchant mais reculais quand il mit un violent t coup de pied contre la barre en bois du ponton " STOP OK " dit je en lui attrapant le bras pour qu'il me regarde " Je te pardonne parce que je t'aime je suis encore amoureuse de toi tu crois que se jeter la pierre va nous aider à avancer oui l'espace d'une seconde je te détestais mais je me suis dit la seconde suivante que sa n'allais pas m'aider c'était par moment ce n'était pas notre moment pour avoir un enfant je l'accepte et tu vas devoir l'accepter car je refuse que tu te fasses du mal comme j'ai pu m'en faire et oui je serais là pour toi je ne vais plus te quitter je viens de te le promettre " dit je en déposant mes lèvres sur les siennes, il se calma et me donna raison il allait avoir besoin de temps pour se pardonner " On a besoin de tout recommencer et on va prendre notre temps pour le faire " dit je le plus sincèrement possible, il avait besoin d’être rassuré et j'allais faire tout mon possible " Oui je ne te promets plus jamais je m’éloignerais de toi , si tu as besoin de moi je serais là " . On allait devoir faire de gros efforts " Je te propose de te faire une dînée ce soir enfin si tu veux bien venir à la maison et qu'on puisse poursuivre cette discussion " lui demande-je, je ne savais pas s'il allait accepter, du moins je l’espérais.
electric bird.
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(#)Sujet: Re: through you eyes I feel I still have sixteen. | Sam 2 Mai - 13:54
through you eyes I feel I still have sixteen.
Je m'attendais pas à la voir ici. Pourtant elle était bien là, elle avait faire resurgir tout mon passé positif d'un coup. Au début, j'avais du mal à y croire que j'aurai pu la retrouver ici, déjà parce que à la base elle devait être à NY puis je croyais pas l'avoir retrouver si facilement, enfin, pendant un simple footing quoi. Tellement du mal à y croire qu'il y a pu se passer une fausse-couche mais aussi tellement fier d'elle qui a pu surmonter ça seule, pendant trois ans et sans que je sois à ses côtés. Qu'est-ce que tu veux, c'est ma Hannah, elle est parfaite et surtout à mes yeux. Je sais même pas si je l'a méritais, j'avais été tellement vraiment con, nul, enfin tout les mots pour décrire une personne monstrueuse. Je l'avais quand même laissé toute seule. En plus, c'est vrai, même pas j'ai cherché à la joindre. Pendant 3 ans dit-toi, trois ans et j'ai même pas été foutu de l'appeler. J'avais tellement la rage aussi, mais, si j'aurai réagit en grand, j'aurai laissé ma rage de côté. « Fait-moi confiance » lâchais-je. Elle était pas vraiment rassuré, je le voyais, je le connais ce regard. Et elle connaît très bien le mien. Plusieurs fois j'étais pas rassuré lorsqu'elle traina avec des mecs. Fallait toujours que j'avais un œil sur elle. C'est pas que je lui faisais pas confiance si, mais c’est à eux que j'avais pas confiance. Elle prononça mon nom en avançant mais recula aussitôt quand elle vit me mettre un violent coup dans la barre en bois. Elle me disa d'arrêter avec une voix criante et m'attrapa le bras pour m'obliger à la regarder. Et, en obéissant, je la regarda avec un méchant regard. Mais peu à peu, son regard me calma je me contenta juste de respirer assez fort et en me mordant la lèvre inférieur, comme pour canaliser mes nerfs. « Ouais mais tu vois on aurait été capable d'assumer d'avoir un gosse, et largement capable de lui donner de l'amour et de l'affection. Je vois pas pourquoi j'aurai besoins de ton aide pour surmonter tout ça, du moins, je mérite tellement pas d'être épauler pour ça. T'imagine ça ? J'ai même pas été capable de t'appeler en 3 ans, même pas été capable d'aller à New York pour toi » Mes mains tremblaient quand je lui expliqua ça. J'avais une rage profonde, j'osais même plus la regarder dans les yeux quand on discuta de ce sujet. Son baiser me calma aussitôt. Comme un calmant. Ça fait du bien je dirai même bien plus, de sentir ses lèvres contre les miennes. C'est le seule moyen qui puisse me calmer. Enfin, le seul moyen qui me calme c'est elle. Et seulement elle. Elle avait raison : fallait qu'on prenne le temps. Même si, j'avais envie de la prendre dans mes bras, de l'embrasser, de la taquiner, de l'avoir rien qu'à moi, faut quand même que je me pardonne, que je remonte toutes ses choses qu'elle a pu m'avouer. Ça serait vraiment trop égoïste de faire comme si rien ne c'était passé. Elle me promettais de plus jamais me laisser seul, comme y'a 3 ans et que si j'avais besoin d'elle, elle serait toujours là. Je me contenta juste de la remercier avec une voix tremblante. J'étais dans ses bras, j'avais pas envie de m'y enlever, son odeur me rassura tellement, que j'en avait peur de me confronter à la vie réel. Puis elle me proposa de venir manger à la maison. « Bien sûr que je veux, j'ai tellement plus envie de te laisser partir, ne serai-ce que à vingts mètres de moi, que je te suivrai jusqu'au bout du monde » je souriais en lui passant ma main contre sa joue. Elle est tellement parfaite à mes yeux, cette fille.
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