Là où tu n'existes pas, je n'existe plus. + James

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A la seconde où je l'ai vu, j'ai compris que... c'était mon avenir que j'avais devant moi, j'ai su tout de suite que rien ni personne ne pourrait jamais nous séparer et qu'on passerait notre vie ensemble. »
Oui, je me suis attachée à toi bien trop tôt, bien trop vite. Je n’aurais jamais cru toquer à la porte de l’amour, sur un coup de foudre. Pour moi, ça n’existait pas et pourtant j’ai été en pleine ligne de mire de Cupidon. Lorsque je t’ai aperçu, j’ai su. Mon instinct, mon cœur, me disaient que c’était toi. Je ne me suis pas posée de question et j’ai foncé. Un peu timide au début, certes. Mais lorsque je posais mon regard sur toi, un courant électrique traversait mon corps. Attirée comme un aimant, je ne pouvais faire qu’autrement. J’avais peur, un peu, de souffrir. De me dire que toi finalement tu n’en voulais pas, de moi, de notre relation future car derrière l’amour se cache toujours la souffrance. Je suis venue te parler, je savais ce que je voulais, il est difficile d’être ami avec quelqu’un dont on est amoureux, c’est ça, ou rien. A peine j’ai entendu le son de ta voix, je suis tombée amoureuse une deuxième fois. C’est fou comme tu me plaisais et comment face à toi je perdais tous mes moyens. Tu étais beau, grand, musclé et incroyablement gentil. Je ne me suis jamais trouvée très jolie mais j’avais dans l’espoir d’avoir mes chances. L’amour, ça fait perdre la tête. Je comptais les heures, les minutes, les secondes qui me restaient pour te voir de nouveau, je rêvais de ton sourire, je sentais ton parfum dans les couloirs. Tu étais devenue mon obsession.
J’avais l’air d’une idiote, à te regarder avec mes yeux de merles en frit, à fondre devant toi comme une glace au soleil, j’avais l’air idiote de paraître autant amoureuse. On avait enchaîné les rendez-vous, tu ne m’avais pas embrassé. Ce qui me prouvait une fois de plus que tu étais quelqu’un de bien, quelqu’un qui respecte. Je n’avais jamais ressenti un amour aussi fort, d’ailleurs je n’avais jamais ressenti d’amour tout court. Tu es le premier, le premier à qui j’expose mes sentiments et me met à découvert espérant juste ne pas me prendre une balle en plein cœur. Lui il me donne tellement l’impression d’être quelqu’un d’unique, d’être belle. Je me voyais dans tes bras, comme une évidence, le destin, tout tracé.
J’avais rendez-vous avec toi, je comptais les minutes qui me séparait de notre rendez-vous, un simple rendez-vous qui pourtant me rendait malade, les papillons pleins le ventre, la gorge nouée, les mains moites, comme une enfant la veille de son anniversaire, l’excitation. Le début d’une histoire je l’espère magnifique. J’aime tant quand il me fait rire, m’embrasse le front, me regarde d’un air protecteur. L’impression d’être en sécurité même si le monde venait à exploser.
C’est l’été, il fait particulièrement chaud mais agréable, l’extérieur respire la joie de vivre, l’odeur de l’herbe fraîchement coupée. Je suis habillée d’une petite robe d’été et mes cheveux lâchés retombent en cascade sur mes épaules. Je n’ai jamais opté pour le maquillage ou autre, c’est bien quelque chose que je déteste au plus haut point, je vise sur le naturel, ce que peu de filles font de nos jours. Je regarde par la fenêtre et vois James remonter l’allée vers la porte d’entrée. Je ne lui laisse pas le temps de sonner, je sors directement, affichant mon plus beau sourire. Face à lui, je ne peux faire autrement.
« Hello James, comment ça va ? Tu n’as pas eu trop de mal à trouver ? »
C’était la première fois que je l’invitais chez moi, un petit chez moi car étant aux études je ne pouvais pas me payer une villa. Cependant, je m’en sortais plus tôt bien.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013

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Si j'avais cru que je serais tombé raide dingue d'une fille.. Je n'étais pas du genre à me poser, a rester caser, a rester clean, a rester avec une seule fille. J'étais jeune et coureur de jupons, j'aimais plaire aux filles, j'aimais les charmer, leur faire tourner la tête. J'étais comme ça, un gène venant de mon père certainement.

26 Mai, je la rencontre pour la première fois, je remarque son sourire, ces yeux. Elle vient faire un exposé sur le Sida dans mon lycée. Elle a l'air timide, et ne sait pas comment parler a une trentaine de jeunes garçons et quelques filles. Tout le monde parlaient, personne n'écoutais, elle perdait espoir. Alors je me lève et siffle un coup pour que tout le monde se taise, et qu'on écoute ce qu'elle avait a nous dire. Tout le monde me taquine. Je voulais simplement entendre le son de voix. J'étais captiver par sa voix, si douce, et si direct.

Le cours se termine, je la cherche dans la foule des couloirs. Je lui demande son prénom, son numéro de téléphone. Je ne crois pas au coup de foudre.. Qu'est ce que ça veut dire le coup de foudre.. Est ce que ça veut dire, ne plus savoir quoi dire face à la personne, avoir mal au ventre quand elle parle, être déstabilisé quand elle te regarde... Si c'est ça alors, oui, je crois que j'ai été piégé, et que je suis tomber sous le charme de Joy.

On se revoient plusieurs fois, toujours impatient de se retrouver au prochains rendez vous. Mais rien ne s'est encore passer entre nous, pas de bisou, rien. On apprend a se connaître, on apprends a se découvrir. Je commence a la connaître, j'aime passer du temps avec elle, j'aime entendre son rire a chacune de mes blagues pourries, j'aime la regarder dormir, j'aime sentir son parfum, j'aime quand elle me touche, quand elle me parle. J'aime tout.

Elle m'invite pour la première fois chez elle depuis notre rencontre, pouvons nous dire que nous sommes en couple ? Je ne sais pas, peut être, en tout cas, je ne me vois plus avec quelqu'un d'autre qu'elle. Je m'étais préparer dans ma chambre d'internat, j'avais mis un jeans noir, avec une chemise noire, je m'étais coiffé et parfumer. Je voulais être beau face à elle. Je voulais lui faire plaisir, être quelqu'un de bien pour elle. C'est étrange, mais du jour où je l'ai rencontrer, j'ai arrêté mes coucheries d'un soirs.

Je passe chez le fleuristes, pour lui prendre 12 roses rouges. je ne voulais pas arrivé les mains vides, alors j'avais acheter une boite de chocolats chez un chocolatier. J'avais appris a la connaître, et le chocolat était un de ces pêcher mignon.

J'arrivais dans la rue indiqué, je n'eu le temps de sonner a sa porte, qu'elle était déjà devant sa porte. << Hello James, comment ça va ? Tu n'as pas eu trop de mal à trouver ?>> me demandait la jeune femme en souriant. J'étais content d'entendre sa voix de nouveau, elle m'avait manqué depuis notre dernier rendez vous. " Tout va bien, quand je suis près de toi... Et toi comment vas tu princesse ?" Lui demandais-je en lui donnant un tendre baisé sur la joue. Je lui tendis le bouquet de rose, en attendant sa réaction.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A partir de ce jour, j'étais foutue, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même,m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais. »
Pourtant la rencontre aurait pu se qualifier de banale et pourtant … C’était sûrement le plus beau jour de ma vie. Etudiante en médecine, j’avais dû aller faire un exposer avec mon professeur sur le Sida. Déjà que ce n’est pas évident de parler de ce sujet mais encore moins devant une trentaine d’étudiant qui rigolaient à chaque termes employés où qui n’en avaient rien a faire, simplement. Je lançais des regards désespérés à mon professeur, lui ne pouvait pas m’intervenir puisqu’il me jugeait. Comment diriger cet auditoire remplit de personne ayant le même âge que moi ? Je perdais espoir, mes épaules s’affaissèrent. J’avais perdu. Finalement, il siffla. L’auditoire le hua, le charia, mais moi je lui envoyais un regard de remerciement. Il avait apparu, tel un dieu. Je continuai l’exposé, mes yeux ne le quittaient pas, timide, gênée, j’essayais de détourner mon regard mais mes yeux revenaient systématiquement à lui. Le cours terminé, je m’éclipse, personne n’a vu mon absence à part lui, peut-être. Dans le couloir, je sens une main sur mon épaule, je me retourne, il est là. Dans toute sa splendeur, mon cœur me tiraille, mon estomac se retourne, je ne trouve pas mes mots. Mon prénom, mon numéro. Je lui donne, machinalement, comme un robot. J’avais peur, car je voyais bien comment les filles le regardaient dans le couloir, c’était sûrement un homme à femme, sûrement. Le soir même, j’avais reçu un texto.
Rigolade, connaissance, apprendre à se connaitre, à se découvrir. Aller boire un verre, regarder un film, être là pour l’autre. Des gestes tendres, furtifs, ne pas montrer ses sentiments maintenant, faire durer le moment, ne pas souffrir, profiter. Gober ses paroles, imprimer ses sourires, mémoriser ses yeux, son regard. Tomber dans une toile d’araignée, piégée, vivre par lui, me réveiller en pensant à lui, me brosser les dents en pensant à lui, penser à lui tout le temps. L’avoir en face de moi, le monde s’arrête, dans ma bulle, avec lui. C’est donc ça, être amoureuse.
En face de moi, il est mon soleil, ça est, je ne réponds plus de moi. Il me tend devant moi un bouquet, 12 roses rouges, notre 12ème rendez-vous. Je fonds, prends le bouquet et le sert un peu contre moi, inconsciemment. Sourire béat sur mon visage. « Tout va bien, quand je suis près de toi... Et toi comment vas tu princesse ? » Avant j’aurais pensé que c’était le genre de phrase que tous les mecs disaient à n’importe quel fille, mais pas venant de James. Et puis si je me casse la figure … « Depuis quelques secondes, beaucoup mieux. » Dis-je en profitant de son baiser déposer sur ma joue. « Merci les roses sont vraiment magnifique, je penserai encore plus à toi en me levant le matin et en le voyant sur ma table de la cuisine. Tu es adorable. » Dis-je en posant ma main sur son bras. « Viens rentre, je vais te faire visiter. Bon c’est pas très grand mais bon c’est suffisant pour moi. » Dis-je en le prenant par la main et en le faisant entrer. J’avais tout rangé à la perfection, je ne voulais pas qu’il ait une mauvaise image de moi. Je me dirige directement vers la cuisine et prends un vase dans une des armoires, j’y mets de l’eau et plonge les fleurs, je dépose le vase en plein milieu de la petite table ronde de la cuisine. Le studio était petit, la cuisine à gauche, le salon en face et dans le fond la chambre avec la salle de bain. Je m’approche de lui et doucement l’enlace. « Tu m’as manqué, je n’ai pas arrêté de penser à toi. » D’habitude je ne mets pas à jour mes sentiments, mais tout était tellement plus facile avec lui. « Tu veux boire quelque chose ? » Dis-je en me dirigeant de nouveau dans la cuisine prête à déjà ouvrir le placard. Quand le stresse est là, je suis une vraie pile électrique.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013

Un jour la mer aura emporté tout le sable. Les océans s'assécheront, et le soleil s'éteindra. Mais quand ce viendra, je t'aimerai encore. Mon amour sera éternel a écrit:

Je n'aurais jamais cru qu'un jour je serais dans cet état là devant une femme. Timide, ce n'est pas mon genre, mais face à elle, je perdais tous mes moyens, tel un enfant intimidé par quelqu'un.
J'étais vraiment attaqué a elle, elle me rendait complètement fou, pour elle je ferais n'importe quoi, c'était tellement facile avec elle. Le monde pouvait s'arrêter de tourner tant que j'étais avec elle plus rien n'avait d'importance.

Je voulais faire les choses bien avec elle. Je ne voulais pas la blesser, lui faire de mal. Elle avait l'air de tenir à moi réellement. J'étais touché par tous ces gestes tendre.

Je ne voulais pas précipité les choses. Je ne m'attendais pas a vivre une telle histoire avec elle. Nous avions l'air tellement différents, moi charmeur et dragueur et elle sage et sérieuse. La vie en a fait autrement, elle a décider de la mettre sur ma route, pour le remettre dans le droit chemin.

Un premier rendez vous, un deuxième, un troisième... aujourd'hui le douzième rendez-vous, donc petite attention, j'avais pris douze roses rouge chez le fleuriste. J'avais vraiment lui envie de lui faire plaisir et de la rendre heureuse.

J'étais arrivé non loin de chez elle, qu'elle m'avait sauter dessus, on aurait dit une petite fille qui attendait son cadeau. Je lui offrais les rose en lui demandant si elle allait bien. << Depuis quelques secondes, beaucoup mieux>> Une jolie façon de me dire qu'elle était contente de me voir, je lui souris. << Merci, les roses sont vraiment magnifiques, je penserais encore plus à toi en me levant le matin et en les voyant sur ma table, tu es adorable.>> Je souris une nouvelle fois. " Tu penses souvent à moi alors. " Dis-je en la taquinant.

<< Viens rentre, je vais te faire visiter. Bon c'est pas très grand mais bon c'est suffisant pour moi.>> Elle me prit la main en me tirant dans son petit loft. Très sympa dois-je dire; C'était largement suffisant pour une personne. En entrant, je pris une grande respiration, l'appartement sentais son parfum. J'étais content de sentir cette odeur qui m'avait manqué.

" C'est très joli " Lui dis-je simplement en la regardant aller dans la cuisine mettre les roses dans un vase. Puis elle revint vers moi, m'enlaçant dans ces bras. Elle passait ses bras autour de ma taille. Je passais également mes bras autour d'elle, la boite de chocolat toujours en mains.
Étant plus grand, je baissais la tête pour me plonger dans ses yeux. << Tu m'as manqué, je n'ai pas arrêté de penser à toi.>>. je souris en lui déposant un baisé sur son front. " Tu m'as beaucoup manqué aussi, j'avais hâte de te retrouver. " avouais-je à la jeune femme.

<< Tu veux boire quelque chose ?>> me demandait-elle en repartant dans la direction de la cuisine. Je m'accoudais au bar qui s'éparait la cuisine de la salle. " Oui, ce que tu as. Tiens, j'ai pris une petite boite de chocolats pour grignoter devant la télé ce soir." Lui dis-je en déposant le paquet de chocolat. Elle était comme une pile électrique, elle n'arrêtait pas une seconde.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

" Je ne savais pas qu'on pouvait aimer à ce point ... Enfin moi en tout cas je croyais que je n'etais pas programmé pour aimer de cette façon "

« Tu penses souvent à moi alors. » « A chaque secondes depuis notre rencontre. » Les mots étaient sortis, telle une mélodie, je n’aurais jamais cru dire ça à un homme, jamais. J’avais l’impression de le connaître depuis toujours. Depuis notre rencontre, j’avais l’impression d’être devenue une enfant, joyeuse pour tout, insouciante, j’étais accrochée à mon téléphone comme à ma vie. J’étais attentive à chacune de ses vibrations, espérant recevoir un message de James, lui parlant des heures de tout et de rien. Dans ma tête, je me créais une vie, une vie autour de lui. Je n’aurais jamais cru être accro et pourtant … « Oui, ce que tu as. Tiens, j'ai pris une petite boite de chocolats pour grignoter devant la télé ce soir. » Dit-il en me tendant la boite. J’émets un petit bruit de plaisir, le chocolat. Qui n’aime pas le chocolat ? A peine un carré dans la bouche me donne un plaisir cruel. J’attrape la boîte et je ne peux m’empêcher de l’ouvrir et d’en prendre un morceau. Je me rends compte de ce que je suis en train de faire, chose pas polie du tout. La bouche pleine, je fais les grands yeux à James avant de déglutir. « Oops. Tu as raison, pour ce soir. » La gourmandise a toujours été l’un de mes points faibles et il allait vite s’en rendre compte. J’attrape un verre et regarde dans le frigo, il y avait beaucoup de jus, pas de soda, je déteste le soda. Je prends un jus d’ananas et je lui verse dans le verre, mets quelques glaçons avant de lui donner. « Mon préféré » dis-je avec un petit sourire. Je m’en sers un également et le rejoins. « Hum pour tout à l’heure j’avais pensé commander une pizza, si ça te dit ? J’aurais bien voulu être une femme parfaite et te faire des bons petits plats mais … Je dois t’avouer que je suis nulle, voir archi nulle en cuisine. » Dis-je en haussant les épaules. Bien souvent mes plats finissaient cramés à la poubelle ou bien infecte.
Je commençais seulement à reprendre mes esprits et à retrouver mon calme, j’avais mon cœur qui battait à la chamade prêt à sortir de ma poitrine pour danser la samba, je me sentais tellement … Heureuse. Un sentiment que je ne connaissais pas réellement, un sentiment nouveau. Nous n’avons jamais réellement parlé de nos passés amoureux, peut-être ce soir ? Tout ce que je savais ; que je sentais, c’est que James allait faire partie de mon futur et que je ferais tout pour. Mon regard se posa sur lui, tendrement. L’envie d’être dans ses bras, de goûter à ses lèvres, de me lever le matin à ses côtés était plus forte que tout.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013

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<< A chaque seconde depuis notre rencontre. >> J'étais littéralement sous le charme de ce petit bout de femme. " J'ai également beaucoup pensé a toi, je n'avais qu'une hâte c'était de te retrouver" Lui dis alors qu'elle mettait les roses dans un vase.

Elle m'avait ensuite proposer un truc à boire, j'étais tellement hypnotiser par elle, que j'aurais pu boire n'importe quoi, c'est ce que je lui réponds d'ailleurs, qu'elle me serve ce qu'elle veut, du moment qu'elle reste à mes côtés. Je lui donnais ensuite le paquet de chocolats, que j'avais pris pour qu'on le mange ce soir, car je savais que devant un film, elle adorait manger du chocolat. Elle ne pu s'empêché d'en manger un toute suite; c'est avec la bouche pleine qu'elle me dit << Oopss tu as raison, pour ce soir>>. Je me mis a rire devant elle. Elle m'avait regarder avec de tels yeux que je ne pu m'empêcher de rire.

Elle avait l'air gêné ensuite, mais pas moi, il ne fallait pas face à moi. J'aimais ces petits moments, où elle se lâchait, qu'elle prenait confiance en elle pour me montrer certaines choses de sa vie, de son caractère.

Elle me sert ensuite un jus d'ananas, elle me dit que c'est son préféré, encore quelques choses de graver dans ma tête, sur ces goût. " Je sens que ça va devenir mon préféré aussi." Dis-je avec un joli sourire. Avec qu'elle me ne rejoigne de l'autre côté du bar.

J'ouvris un peu les jambes pour qu'elle vienne se faufiler contre moi. Je l'entourais alors de mes bras. << Hmmm pour tout à l'heure, j'avais pensé commander une pizza, si ça te dit ? J'aurais bien voulu être une femme parfaite et te faire de bons petits plats.. mais je dois t'avouer que je suis nulle, voir archi nulle en cuisine.>> Cette phrase me fit doucement sourire, car avec ma mère, plus jeune j'aimais beaucoup l'aider à faire la cuisine, j'avais appris a faire plein de petits plats. " Nous sommes vraiment complémentaires alors, j'adore préparer à manger pour ma mère et ma soeur, et comme tu fais partis des femmes de ma vie maintenant, je serais ravie de te préparer de bons petits plats." Lui avouais-je en déposant un tendre baisé dans son cou.

" Mais pour ce soir, la pizza sera très bien" Lui dis-je en étant toujours nicher dans son cou.
Je remontais mes petits baisés le long de son cou afin de lui en faire un plus gros sur la joue. Je ne voulais pas la présser, la brusquer. Nous n'avions jamais parler de nos relations passées, je ne savais pas, si elle l'avait déjà fait, si j'allais être le premier, si elle avait eu beaucoup d'amants, c'était difficile de parler de ça avec quelqu'un que l'on aime.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

" Identifier le bonheur lorsqu'il est à ses pieds, avoir le courage et la determination de se baisser pour le prendre dans ses bras et le garder. "

« Je sens que ça va devenir mon préféré aussi. » Je souris en hochant légèrement la tête de gauche à droite. Il écarta légèrement les jambes pour que je puisse me faufiler contre lui, ses bras m’enlacèrent. Je me rendais compte dans des moments pareils que je me sentais tellement bien auprès de lui, en sécurité. Comme si ses bras formaient un toit au-dessus de moins et que rien, rien ne pouvais m’atteindre. « Nous sommes vraiment complémentaires alors, j'adore préparer à manger pour ma mère et ma sœur, et comme tu fais partis des femmes de ma vie maintenant, je serais ravie de te préparer de bons petits plats. » Il déposa un baiser dans mon cou, je me tortillai un peu, me contractant, un frisson me parcourut. C’est bien un de mes endroits sensible, celui qui peut me rendre folle. Un endroit qui me procure un plaisir, un frisson, tellement fort que ça peut m’en faire mal. « C’est donc toi l’homme parfait. » Dis-je en riant, c’était tellement rare un homme qui faisait la cuisine. J’avais hâte de voir comment il se débrouillait, vu comme ça je n’aurais jamais cru que ça pouvait être dans ses cordes, comme quoi … « Mais pour ce soir, la pizza sera très bien » « C’est pas très diététique mais avoue que c’est tellement bon. C’est un petit restaurant italien, à quelques pâtés de maison, pas très grand mais succulent. » Son visage était dans mon cou, je pouvais sentir sa respiration, je ferme les yeux, essayant de caler la mienne à la sienne. J’avais l’impression d’être en symbiose avec lui. Ses baisers remontent jusque ma joue, je profite du moment. Je me retourne et le regarde dans les yeux, petit sourire en coin. « C’est vraiment agréable. » Quand je le regardais, je me perdais dans ses yeux, je le scrutais, gardais en mémoire chaque partie de son visage, j’avais l’impression d’être dans un rêve et j’avais tellement peur de me réveiller. Plus on se voyait, et plus on se rapprochait. On tentait quelques gestes, au début c’ »tait juste poser sa main sur le bras, où sur l’épaule. Ensuite un bisou sur la joue par ici, un bisou sur la joue par-là, puis on s’est pris dans les bras, puis c’était des bisous dans le cou … J’aimais sa façon d’être avec moi, doux, attentionné, il ne voulait pas me brusquer et c’était une bonne chose, après tout c’était la première fois que je vivais ça. Je ne connaissais pas encore tout de lui, lui ne connaissait pas encore tout de moi. Mais cela n'allait pas tarder, dans mon salon, se trouvait le piano, des paroles de chanson, ma passion. Je ne lui en avais pas encore parlé car le moment ne s'est pas présenté.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013
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Elle était nicher entre mes jambes, mes bras l'enlaçaient. J'étais si bien avec elle contre moi. C'est vrai que ça n'était que le début, mais n'est pas ça le meilleur dans une relation ? Quand on n'osent pas se toucher, se regarder dans les yeux.

Je lui avais parler de mon talent de cuisinier, qui l'eu cru. << C'est donc toi l'homme parfait.>> me dit-elle ne me souriant. " C'est vrai, on me le dit souvent. " Dis-je en riant doucement. Je n'aurais peut être pas du dire ça, mon côté dragueur reprenait le dessus parfois. Celà voulait dire que plusieurs filles m'avait fait ce genre de compliments. Elle allait sûrement se braquer face à cette réplique. Je m'en voulais déjà d'avoir si ça, je ne voulais pas la comparer a toutes ces filles sans importances.

<< C'est pas très diététique mais avoue que c'est tellement bon. C'est un petit restaurant italien, à quelques pâtés de maison, pas très grand mais succulent.>> Je décalais une mèche de cheveux qui était devant ces yeux. " J'adore les pizzas t'inquiètes pas." Je ne voulais pas forcément sortir, pour aller au restaurant, je préférais rester ici, rien que tous les deux. Dans notre monde. " On commande alors ? Je préfère rester ici avec toi, rien que tous les deux. " Avouais-je à Joy en lui souriant.

Je l'embrassais doucement dans le cou, a plusieurs reprise avant de remonter jusqu'à sa joue, j'aimais l'embrasser, sa peau était si douce, si agréable. " C'est très agréable, de t'embrasser." Dis-je a la jeune femme en lui souriant.

J'étais vraiment sous le charme de son sourire, de ces yeux, de son odeur, de sa peau.
Je voulais connaître chaque parcelles de son corps, chaque moments de sa vie, je voulais connaître tous d'elle.

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

" Identifier le bonheur lorsqu'il est à ses pieds, avoir le courage et la determination de se baisser pour le prendre dans ses bras et le garder. "

« C'est vrai, on me le dit souvent. » Je lui lance un petit regard amuser, égo égo quand tu nous tiens, c’était bien les hommes ça. « J'adore les pizzas t'inquiètes pas. » Ca tombait bien car c’était un de mes plats favoris, j’ai toujours été très gourmande et fana des plats pas très diététique mais il faut dire que j’avais la chance de ne pas prendre un gramme. « On commande alors ? Je préfère rester ici avec toi, rien que tous les deux. » Il m’embrassa de nouveau dans le cou, nouveau frisson. « C’est très agréable, de t’embrasser. » « Je pourrais rester comme ça toute la journée » Dis-je dans un murmure. J’avais moi aussi envie de rester ici avec lui, apprendre à se connaître en dehors des regards. Cependant, j’avais quand même peur que ça ait un petit peu vite, il faut dire que tout peu dérapé en quelques secondes. Mais il fallait qu’il sache qu’il était le premier, qu’il était le premier amour et surtout le premier amant. Ce n’est pas si insignifiant que ça, comme un cadeau. Je voulais être sûre de la sincérité de ses sentiments avant d’entreprendre quelque chose avec lui. Je me penche légèrement vers lui, à quelques centimètres de ses lèvres et attrape le téléphone qui était posé sur le bar. « Tu as raison, commandons. » Dis-je dans un murmure, la chaleur commençait à monter je n’avais pas envie de craquer maintenant. Je compose le numéro, je l’avais dans mon répertoire, j’étais une cliente fidèle. Pendant que la sonnerie retentit, je demande à James ce qu’il veut comme pizza. Un monsieur au bout du fil prend la commande, je cite la pizza de James et commande la mienne « Et une pizza jambon champignon avec un œuf. » Je raccroche. « Il sera la dans une vingtaine de minute. » Dis-je avec un sourire. Je l’attrape par la main et l’emmène dans le salon. « Viens te mettre à l’aise. » Dis-je en lui montrant le divan. Le salon était simple et épuré, une petite télévision écran plat trônait sur un meuble tv et dans le coin de la pièce se trouvait mon piano. Plusieurs photos étaient accrochées sur un pan de mur, j’avais baissé les stores pour éviter que la chaleur ne rentre dans la pièce.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013
<>

Mon côté macho avait reprenait le dessus quelques fois, c'était plus fort que moi, j'aime plaire, c'est évident.
<< Je pourrais rester comme ça toute la journée>> C'est vrai que c'était très agréable d'être a ces côtés, dans les bras l'un de l'autres. J'étais réellement bien avec elle.

Elle se penche a quelques centimètres de mes lèvres, je ne savais pas trop comment le prendre, si c'était un message pour que je l'embrasse enfin ou si c'était simplement pour me rendre encore un peu plus fou d'elle. Elle prit le téléphone en frôlant mes lèvres. Elle téléphonait donc a la pizzeria. Je lui dis que je voulais une pizza chorizo sans poivrons, je déteste les poivrons. Elle prit pour elle une pizza jambon champignon avec un œuf.

<< Il sera la dans une vingtaines de minutes>> " C'est très bien " Dis-je en lui souriant. J'avais vraiment envie de déposer mes lèvres contre les siennes afin d'y goûter.
Elle me prit par la main afin de me tirer vers elle pour que j'aille m'installer dans le canapé. << Viens te mettre à l'aise.>> Je regardais autour de moi, pour découvrir chaque coins de son appartement. J'aperçu des photos, et surtout un piano.

" Qui sont ces gens sur les photos ? " Lui demandais-je curieux de découvrir sa famille. J'étais debout devant les photos. Je me tournait vers elle en attendant une réponse.
J'aperçu aussi le piano qui était dans le coin. " Tu joues du piano ?" Lui demandais-je.

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