(#)Sujet: Re: like a flashback. | Ven 10 Juil - 23:05
∞ like a flashback, part two.
j a s o n . d w i g h t . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .
Je n’arrivais pas à croire que Jason ait pu me faire ça : coucher avec moi alors qu’il fréquente une autre femme. Il me donnait le mauvais rôle et même si je n’étais pas coupable par rapport à cette femme dans la mesure où j’ignorai ce qui se tramait, je ressentais tout de même de la culpabilité. Cette pauvre femme sera blessée à cause des actes de Jason et c’est ce qui me dérange le plus dans un sens mais dans un autre, bon sang, j’ai passé une nuit formidable. Je ne m’étais pas sentie aussi bien depuis longtemps. Et je lui en veux pour m'avoir fait me sentir aussi bien hier et aussi mal aujourd'hui. C'est juste une sensation horrible, une sensation qui me gêne et m’embarrasse énormément. Je lui en veux de m'avoir fait vivre un moment où seul nous deux existions pour ensuite gâcher ce moment de cette façon en le rendant d'une certaine façon illégale. Je lui en veux d'avoir gâché ça oui, je lui en veux parce que c'était un instant merveilleux et intense. Je ne savais plus comment réagir, je ne savais plus quoi penser. Jason venait de poser sa main sur mon épaule dénudée et nos regards venaient de s’ancrer l’un dans l’autre. « De toute façon, tu l’as dit toi-même, c’était une erreur. » Lui dis-je en continuant de le regarder. J’avais en ce moment-même deux options. La première c’est de relativiser et de réfléchir à tout ça calmement afin d’agir en conséquence. La deuxième, c’est de ranger mes affaires et quitter Phoenix dès maintenant pour m’éloigner de Jason. « Et puisqu’on en est là maintenant , qu’est-ce qu’on fait ? On ne se revoit plus ? On oublie l’existence de chacun pour ne plus avoir de regret à l'avenir ? » Lui demandais-je sérieusement en le regardant avant de baisser le regard pour l’observer doucement de haut en bas en même temps que je réfléchissais. Ne plus savoir sur quel pied danser, ce n’est pas évident du tout, bien au contraire. Je dois même dire que c’est quelque chose d’assez gênant en réalité. Ma main s’était ensuite posée sur celle qu’il avait ultérieurement posé sur mon épaule. J’hésitais, je n’étais pas certaine d’avoir envie de laisser sa main à cet endroit mais d’un autre côté, j’avais aussi envie de la garder. Je crois bien que je suis à la fois remontée et en accord avec ce qui s’était passé… Quel situation difficile...
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Ven 17 Juil - 13:41
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
Je n'avais clairement pas agi comme j'aurais dû mais hier soir, mon corps avait pris le dessus sur mon esprit et mes souvenirs refaisant surface, j'avais eu l'impression de retourner en arrière le temps d'une soirée. Vous savez, quand on a un passé aussi compliqué qu'a été le mien avec cette histoire d'accident et d'avoir vécu avec la mort d'une petite fille de cinq ans sur la conscience, si on me donnait les moyens de repartir de zéro, je le ferais. Hier, j'avais exactement cette impression qu'on me redonnait une chance d'oublier tout ça. Tout d'abord, notre ancienne voisine qui me faisait comprendre que je n'étais pas responsable de la mort de Léah, puis Madison qui s'était comportée avec moi comme elle le faisait dans le passé, à l'époque de nos années lycée. Clairement, j'étais de retour trois ans auparavant et j'en avais oublié tous mes soucis pour profiter du moment. Mon erreur a été de trop en profiter sans prendre en compte que ma vie n'était plus ce qu'elle était et que mes actes pourraient blesser des gens. Je ne voulais pas que tu t'imagines que je regrette, mais oui c'est un peu une erreur dans le sens où je n'aurais pas dû, lui dis-je avec un léger sourire. Elle me questionnait ensuite sur la suite que devrait prendre notre relation. Ces demandes me surprenaient car je n'envisageais pas devoir s'éloigner et couper les ponts pour si peu. Si tu ne te sens pas de continuer, c'est comme tu veux. Je peux rentrer à Miami si ça t’arrange même, mais de mon côté, ça ne changerait rien. Je l'observais, elle avait la tête baissée et ne semblait pas savoir où poser son regard. Je pensais que ça allait mieux, enfin j'espérais passer un très bon séjour, comme le début qu'on a partagé. Et je comprenais quand même qu'elle préfère partir ou que je parte, je trouvais juste cela dommage de ne pas profiter comme on aurait dû le faire et comme on l'avait programmé depuis un moment.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 16:26
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Ce qui me dérange le plus, c’est que Jason m’a caché qu’il était en couple ou en voie de l’être. C’est un détail qu’on ne doit pas oublier de fournir à une personne lorsqu’on envisage de coucher avec. Je ne sais pas si je ne l’aurai pas fait pour autant mais ce que je sais, c’est que Jason m’a caché ça et que finalement, cela remet en question la confiance que je peux lui attribuer. J’ai fournis pas mal d’effort pour que notre relation retrouve un semblant de complicité et aujourd’hui que je me sens proche de lui comme je l’étais avant, je ne conçois pas qu’il ait pu me cacher ça. « Je ne voulais pas que tu t'imagines que je regrette, mais oui c'est un peu une erreur dans le sens où je n'aurais pas dû. Dit-il alors en souriant légèrement. Seulement, ça ne me fessait pas sourire. Et le pire dans tout ça, c’est que je ne suis pas si énervé que ça contre lui. J’aurai juste aimé qu’il me le dise, histoire de me montrer que notre relation est toujours basée sur la confiance. Et puis même si j’éprouvais une certaine gêne par rapport à cette fille, je ne m’en voulais pas tant que ça en fait. Au démarrage, clairement, je me suis remise en question, je me suis accablée en me disant « oh non, cette fille est cocue à cause de moi, j’ai merdé » mais finalement, j’ai rien à me reprocher. Je ne peux pas m’en vouloir si son « mec » a préféré coucher avec moi et ne pas penser à elle. Et puis, Jason est mon premier amour, ça, ni elle ni personne ne pourra modifier ce détail. On a fait un écart, c’est naturel. Nous sommes à Phoenix tous les deux, nous nous sommes replongés dans le passé. Le seul truc c’est que je suis célibataire et que lui non apparemment. « Tu n’aurais pas dû me cacher que tu avais une copine ou quelqu’un qui s’en rapprochait. On est censé pouvoir se faire confiance qu’on couche ensemble ou non. Je ne suis pas n’importe qui dans ta vie Jason. Je suis la première femme que tu as aimé et tu es le premier homme que j’ai aimé. Par respect pour ça, pour notre histoire, t’aurais dû me le dire. Et je t’en veux pour ça uniquement parce que sinon j’ai passé une nuit géniale… Elle était merveilleuse et j’aurai toutes les raisons d’avoir envie de recommencer. Donc oui, si c’était à refaire, je le referai de la même façon mais que tu en viennes à me dire que tu n’aurais pas dû, ça m’énerve. T’es vraiment un boulet Jason !» Lui dis-je sans prendre le temps de m’arrêter. Je pouvais être un véritable moulin à parole lorsqu’il se passait quelque chose d’important. Je lui en veux tellement pour ça mais je ne lui en veux tellement pas d’avoir couché avec moi puisque j’ai pris mon pied, disons les choses clairement. J’en étais ensuite venu à lui demander ce qu’il se passait maintenant ? Derrière tout ça se cachait une question indirecte : « As-tu l’intention d’aller retrouver cette femme maintenant que tu regrettes notre nuit précédente ? » Mais visiblement, le jeune homme n’avait pas compris. « Pour être honnête, je voulais surtout savoir si tu avais envie de retourner auprès de cette femme maintenant que tu as réalisé que tu regrettes ce qui s’est passé ou si tu as envie de rester ici avec moi ? » Lui demandais-je alors en posant ma main sur son torse délicatement, le regard de nouveau posé sur lui, attendant une réponse claire et précise.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 17:59
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
Je ne pouvais plus en placer une. Quand Madison était lancé dans un long discours sur son point de vue et ses sentiments, il était rare de pouvoir l'arrêter. A l'époque où nous nous fréquentions, j'avais une méthode qui marchait parfaitement : l'embrasser. Là, les circonstances faisaient que je ne pouvais clairement pas me lancer dans un acte risqué comme celui-ci et de toute façon, je n'avais pas envie de la faire taire. J'avais besoin d'entendre ce qu'elle avait à dire et je ne pouvais la blâmer sur son ressenti. J'aurais mieux fait de lui parler bien plus tôt de Lucy et je l'aurais surement fait si entre nous, on se permettait de parler de nos fréquentations. Ça n'avait jamais été le cas et je me voyais mal entamer ce sujet de discussion avec elle. Et c'est visiblement ce qu'elle me reprochait. Elle relativisait tout de même les choses en m'avouant avoir passé un bon moment, je n'en étais pas étonné car dans ce genre de relation, on comprend vite si l'autre est à l'aise et apprécie vraiment l'instant ou non. Je sais que j'ai merdé sur ce coup-là mais comment voulais-tu que je t'en parle ? Et quand ? On n'a jamais parlé de nos fréquentations ensemble, Madi' et très sincèrement, ce n'est pas le genre de discussion que je m'attends à avoir avec toi, lui répondis-je plutôt brièvement par rapport à ces longues paroles. Nous en venions ensuite au fait de poursuivre le séjour ensemble ou non. Elle attendait surtout de moi de savoir si je préférais retourner voir Lucy que de rester à Phoenix avec elle. L'une de ses mains se posait sur mon torse. Je compris alors que de son côté, elle préférerait que je reste et qu'on poursuive cette aventure ensemble. Ça n'allait pas parfaitement en accord avec ses paroles précédentes et de toute évidence, je prenais la décision moi-même de continuer ce qui avait été débuter sur les lieux de notre enfance. Je ne vais pas écourter le séjour pour aller la rejoindre. Comme je te l'ai dit, elle pense sûrement que je suis encore à Miami, pour te dire à quel point notre relation n'est pas si avancée que ça, lui répondis-je simplement en posant à nouveau une main sur son épaule, puis en la retirant assez rapidement après. Je ne pouvais pas en dire plus au risque de l'énerver peut-être d'avantage, alors je tournais mon regard en direction de la terrasse de la chambre.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 18:50
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« Je sais que j'ai merdé sur ce coup-là mais comment voulais-tu que je t'en parle ? Et quand ? On n'a jamais parlé de nos fréquentations ensemble, Madi' et très sincèrement, ce n'est pas le genre de discussion que je m'attends à avoir avec toi. » Répondit le jeune homme après ma vague de parole. Je pouvais comprendre qu’il n’ait pas envie de me raconter ça et je ne lui demande pas de me raconter ce qu’il fait avec les autres femmes de Miami. Je n’ai absolument pas envie de le savoir. « Je suis bien d’accord là-dessus mais je ne te demande pas de me raconter tes ébats ou tes relations. Je pense juste que tu aurais dû me parler de cette femme en m’informant simplement de son existence. » Lui répondis-je à mon tour en le regardant. Déterminer à savoir où nous en étions, je lui avais demandé ce qu’il comptait faire. La gène de Jason pouvait se voir à des kilomètres sur son visage. Je voulais savoir s’il voulait rentrer auprès de sa « copine » ou rester ici avec moi. « Je ne vais pas écourter le séjour pour aller la rejoindre. Comme je te l'ai dit, elle pense sûrement que je suis encore à Miami, pour te dire à quel point notre relation n'est pas si avancée que ça. » Affirma le jeune homme en posant une main sur mon épaule une nouvelle fois. Une main qu’il retira aussitôt pour détourner son regard vers la terrasse. « Si votre relation n’est pas si avancée que ça, retournes toi. » Lui dis-je alors en enlevant la serviette qui enroulait ma poitrine pour me retrouver complètement nue lorsqu’il recroiserait mon regard. Un petit sourire s’afficha sur mon visage et lorsque j’en eu l’occasion, je m’étais alors avancée un peu plus en prenant de l’élan pour le pousser sur le lit afin qu’il se retrouve assis. Je n’avais pas assez de force pour qu’il se retrouve allongé. Je m’étais ensuite mise sans plus attendre à califourchon sur lui alors qu’il était encore assis sur le bord du lit afin de pouvoir l’embrasser avec une certaine intensité. Comportement paradoxale ? Pas tant que ça. Tout n’est pas noir ou blanc, malheureusement, la vie est grise.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 20:21
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
Je crois que Madison me comprenait un peu suite à mes explications mais elle aurait préféré que je lui parle de la femme que je voyais avant que tout cela ne se passe. Le problème, c'est que sur le moment, je n'ai même pas pensé à elle donc je n'aurais pas non plus penser qu'il serait judicieux de stopper tout ça et de lui expliquer ma situation plutôt délicate. Je ne vois pas comment j'aurais pu aborder le sujet, et ça ne m'a pas traversé l'esprit une seule seconde hier soir quand on s'est retrouvé tous les deux dans les bras l'un de l'autre, continuais-je dans mes explications en espérant qu'elle me comprenne toujours aussi bien. J'avais l'impression que les tensions s'étaient apaisées et qu'elle avait retrouvé son calme. Nous en étions ensuite venus à se demander si notre petit séjour devait prendre fin et suite à ma réponse, Madison se contentait de me répété quelques mots en me demandant de me retourner. Je m'exécutais sans trop savoir à quoi m'attendre, puis je compris qu'elle souhaitait sans doute s'habiller tranquillement vu qu'elle était encore recouverte de sa serviette. J'obtiens ma réponse assez rapidement et de façon surprenante vu que sans que je ne m'y attende, je me retrouvais assis sur mon lit et Madison se plaçait à califourchon sur moi, totalement dévêtue. J'étais surpris et en même temps amusé mais je n'eus pas le temps d'y réfléchir longtemps que cette dernière m'embrassait intensément. Je posais alors mes mains sur son dos et du bout des doigts, je le caressais le long de sa colonne vertébrale. J'intensifiais encore d'avantage le baiser, poussé d'une envie soudaine de lui faire oublier mon erreur dans mes mots de ce matin. Mais c'était peut-être déjà pardonné à en voir son comportement. Au vu de mes mains qui passaient à présent sur le devant de son buste et plus particulièrement sur ses seins, je crois que j'en oubliais tout ce que nous nous étions dit avant et mon excitation se faisait grandissante.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 21:22
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« Je ne vois pas comment j'aurais pu aborder le sujet, et ça ne m'a pas traversé l'esprit une seule seconde hier soir quand on s'est retrouvé tous les deux dans les bras l'un de l'autre. » S’était justifier le jeune. Je n’avais rien à ajouter de plus. Je comprenais que sur le moment Jason n’avait pensé à rien d’autre excepté notre rapprochement physique. Je l’avais donc naturellement mise au pied du mur en le fessant choisir entre son potentiel retour à Miami auprès de sa soit disant petite amie et notre séjour. Autrement dit, je lui avais demandé de choisir entre elle et moi sur le moment. Je voulais que Jason choisisse quoi faire dans la mesure où ce n’était pas à moi de prendre cette décision. De ce fait, lorsqu’il m’annonça qu’il souhait resté là, je m’étais permise d’être entremettante et de lui montrer qu’il avait pris sans aucune doute la bonne décision. Je m’étais donc dévoilée une nouvelle fois devant lui en laissant apparaître mon corps. Puis dans le feu de l’action, je l’avais poussé sur le lit et j’étais montée sur lui à califourchon afin de lui offrir un baiser intense. Réceptif, ses mains se posèrent sur mon dos où il laissa ses doigts glisser le long de ma colone vertébrale en intensifiant le baisé. Je pouvais à la fois ressentir l’amusement de ce dernier mais aussi le desire qui le consumait. Peu importe la situation dans laquelle nous sommes en ce moment parce qu’il n’y a qu’une seule chose qui émane de cette pièce : l’harmonie de nos deux corps. Nous sommes en parfaite osmose, cela ne fait aucun doute. Ses se déplacèrent ensuite jusqu’à l’avant de mon buste et un gémissement interne se fit ressentir. Aucun bruit mais une respiration beaucoup plus saccadée et intense que d’habitude. A chaque fois qu’il pose ses mains sur ma poitrine, cela me provoque une sensation de plaisir intense. C’est surement l’un de mes points sensibles. Et je sais d’avance que lorsque ses lèvres s’empareront de ma poitrine, je ne répondrai plus de rien. Au bout de quelques instants, je sentis son sexe s’agrandir et durcir. Ceci m’indiquait que l’excitation de Jason était en train de s’accroître. En effet, son sexe était en ce moment même entrain de frôler le mien à travers le tissu de son jean et je dois bien admettre que cette situation m’excitait tout autant que lui. « Je t’ai connu plus sauvage que ça Jason Ludovic Dwight ! » Lui dis-je en souriant de manière amusée en retirant son marcel avant de pousser son buste en arrière d’une façon assez ferme pour une femme. « Je vais te montrer ce qu’est qu’une vrai femme. » Ajoutais-je toujours aussi amusée en déboutonnant son jean dans le but de lui retirer et d’abaisser moi-même son boxer afin de le libérer. Ainsi, je pus m’auto-pénétrer avec en l’insérant délicatement à l’intérieur du mien dans un premier temps pour pouvoir ensuite entreprendre des mouvements assez puissant, espérant que lui, reprenne la situation en main afin que notre plaisir soit encore plus intense qu’il pouvait déjà l’être.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 21:52
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
Je sentais clairement que ce moment était en train de prendre des proportions à peu près similaires à celles de la veille sauf qu'aujourd'hui, nous étions beaucoup plus en forme car on venait de se réveiller. Assez rapidement, Madison me bousculait en arrière après avoir retiré mon haut. Sa remarque me fit échapper un rire léger pour que je puisse ensuite lui rétorquer : On s'assagit en grandissant, et la fougue vient plutôt au fur et à mesure de l'instant. Je lui souriais rapidement avant qu'elle ne prenne clairement les choses en main en me retirant mon pantalon et mon boxer, laissant ainsi mon sexe jusqu'à présent comprimé se libérer. Le désir montant, je suppose que la jeune femme avait réussi à sentir que mon excitation était présente, proéminente. Sans attendre plus longtemps et visiblement tout aussi excitée que je l'étais, Madison attrapait mon sexe pour l'introduire en elle et commençait des mouvements de va-et-vient. Afin qu'elle n'ait pas tout le travail à faire et pour permettre des mouvements plus amples, je relevais mon bassin, ce qui lui permettait de se mettre quasiment accroupie sur moi et ainsi se servir de la force de ses jambes pour ses mouvements accentuant le plaisir. De mon côté, je faisais également des mouvements et posais mes mains sur ses hanches pour intensifier le tout. Dans cette position, je pouvais parfaitement observer ses émotions sur son visage et j'avais bien l'impression que son plaisir était comparable au mien. Je me permettait de laisser échapper des soupirs à chacune de mes pénétrations en elle. Assez rapidement, je décidais de reposer mes fesses contre le matelas puis me redressais afin de me mettre assis, Madison toujours assise sur moi mais elle avait passé ses jambes autour de mon buste. Ainsi, nos torses étaient collés l'un à l'autre et je pouvais à nouveau capturer ses lèvres et entremêler ma langue à la sienne. Je posais mes mains sur chacune de ses fesses pour la lever légèrement et la pénétrer à nouveau, me laissant échapper un gémissement de plaisir intense. Elle se mit alors à sauter légèrement sur place et je l'aidais de mes mains. Cette proximité me permettait de venir embrasser son cou et descendre légèrement vers sa poitrine.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 22:31
∞ like a flashback, part two.
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Jason n’avait pas tort, en grandissant, on s’assagit mais je pense plutôt qu’on fait les choses de manière différente et avec plus de tacts. En d’autres termes, on devient pire mais on le fait si bien que cela parait moindre. L’alchimie de nos deux corps était à son apogée. Clairement, ce n’était que le début d’une nouvelle partie et pourtant, l’intensité était déjà très élevé. Mon regard était posé sur celui de Jason, je ne le quittais pas des yeux. Je pouvais nettement apercevoir les émotions de ce dernier. Je pouvais voir à quel point il me désirait et à quel point son corps était heureux de retrouver le mien. C’était assez troublant dans un sens parce que je voyais dans le regard de Jason ce que je voyais autrefois. Il me regardait de la même façon, avec ce regard qui n’appartient qu’à lui. Ce regard qui m’indique qu’aucune autre femme ne pourrait le combler autant que je réussi à le faire en ce moment. Peut-être que je divague mais c’est l’impression qu’il me donne. De soupire en soupire, de gémissement en gémissement, je donnais tout. Je m’offrais à lui comme je ne l’avais jamais fait auparavant. J’étais en forme, je serais même prête à pratiquer un marathon pendant quarante-huit heures no-stop tellement l’adrénaline était fort. Assises sur lui, la poitrine plaquée contre son torse, la tête en arrière, le sourire sur les lèvres, je profitais de ce moment. Quelques secondes avaient suffis pour me faire émettre un long gémissement. Je ne m’étais pas sentie aussi décontractée depuis longtemps. Et lorsque Jason amena ses lèvre sur les miennes pour y entremêler nos langues, je sentis l’intérieure de mon corps se modifier. Mon corps se chauffait de plus en plus… Il bouillonnait de désir. Jason avait l’air d’être dans le même état que moi d’après les gémissements qu’il laissait sortir. D’ailleurs, j’en fus persuadée au moment où il posa une main sur chacune de mes fesses pour les soulever et me pénétrer à nouveau. Elle était si dure et si ferme qu’à l’instant précis, je n’avais qu’une envie : extérioriser tout le bien qu’il me fessait par le biais d’un cri perçant. J’étais si excitée que je m’étais mise à sauter sur place pour essayer de me canaliser et de ne pas émettre ce cri. Nous sommes dans une chambre d’hôtel, tout le monde pourrait nous entendre… Mais Jason m’aidait de ses mains et objectivement, cela ne m’aidait pas à canaliser ce plaisir intense que je ressentais. Et encore moins lorsque ce dernier se mit à déposer des baisers parfois sur mon cou, parfois sur ma poitrine. Il touchait l’endroit le plus sensible de mon corps et celui qui pouvait me faire partir au quart de tour. Ce n’était pas bon pour mon contrôle ça. Et c’est d’ailleurs pourquoi la tonalité de mes gémissements fut beaucoup plus prononcée. Peu à peu, ce dernier nous sortis du lit. Mes jambes enroulaient sa taille tandis que mes bras enroulaient son cou. C’était un moment propice aux gémissements de grande puissance. En effet, lorsqu’il inséra de nouveau son sexe à l’intérieur du mien, je ne pus m’empêcher de crier. Je pense qu’on m’entendait mais pour le coup, finalement, je n’en avais rien à faire. On est dans un hôtel après tout. « Oui… Oui… Oui… » Répétais-je à de nombreuses reprises en laissant nettement l’excitation mesurer le son de mes paroles. C’était incroyable, incroyablement divin, incroyablement bon. Nos langues s’enroulent une nouvelle fois par la suite, stoppant ainsi le bruit pendant quelques instants. Au bout de quelques minutes, Jason m’avait reposé sur le sol afin de pouvoir s’allonger sur le lit de nouveau. Cherchant une satisfaction mutuelle, je m’étais mise au-dessus de lui mais à l’envers cette fois-ci. C'est à dire que mon sexe s'était retrouvé au dessus du visage de monsieur. En effet, j’avais entrepris une fellation afin de lui rappeler un certain moment passé dans un certain cinéma.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Sam 18 Juil - 23:07
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
J'en avais connu des femmes, et des moments intimes avec. Pourtant, chacun était différent et avait une particularité. Aujourd'hui avec Madison, c'était plus intense que jamais, plus fougueux et surtout parfaitement agréable comme si on connaissait les envies de l'autre avant même qu'il en ait l'idée. Je ne saurais comment l'expliquer mais je supposais que par notre passé et notre premières expériences ensemble, nous avions appris à connaitre le corps de l'autre en même temps que ses attentes. Très concrètement c'est avec les réactions de Madison que j'avais appris à appréhender le corps d'une femme, à distinguer ses points sensibles et à savoir ce qu'il fallait faire ou non. Depuis, nous avions eu nos expériences et avions chacun évoluer de notre côté et ses retrouvailles permettaient alors d'être bien plus sincères et harmonieuses qu'avec n'importe qui d'autre. Finalement, je redécouvrais l'adolescente que j'avais connu en même temps que je découvrais la femme qu'elle était devenu et cette sensation étrange était tout à fait plaisante. De mon côté, j'avais également envie de lui montrer que j'avais évolué, appris des choses mais que le bonheur de ma partenaire restait toujours dans ma ligne de mire. Nous testions plusieurs positions en fonction de nos idées et de nos envies, quittant un moment le lit. Je la portais alors pour la pénétrer à nouveau et ne faire qu'un avec elle. De cette façon je pouvais sentir son souffle dans mon cou ainsi que ses cris de plaisir qu'elle n'arrivait à contenir. Pour éviter d'ameuter tout l'étage, j'avais re-capturer ses lèvres et lorsqu'on mit fin au baiser, je la regardais droit dans les yeux en chuchotant : Chut, on pourrait croire que je te fais du mal. Je lui souriais légèrement en faisant encore quelques mouvements de bassin avant de comprendre qu'il était temps de rejoindre le lit. Lorsque je m'allongeais, Madison fit en sorte de se placer au dessus de moi en laissant son visage au niveau de mon sexe et mon visage à hauteur du sien. Chose des plus excitantes, elle s'emparait de la partie la plus dure de mon corps à cet instant pour l'introduire dans sa bouche et me rappeler des souvenirs assez particulier du cinéma de Phoenix. Bien que j'appréciais parfaitement ces gestes, je sais qu'elle attendait quelque chose de ma part et je pouvais rester sans rien faire avec la vision que j'avais. Je posais un main sur ses fesses pour approcher son sexe de mon visage puis commençais à caresser doucement les parties les plus sensibles de son corps avec ma langue. A l'aide de ma main libre, j'introduisais deux doigts en elle pour lui procurer encore d'avantage de plaisir et faire en sorte qu'elle en garde un bon souvenir. J'avais parfois du mal à me concentrer sur mes gestes sachant que les siens me procuraient énormément de bonnes sensations ; elle s'était amélioré avec le temps.