(#)Sujet: Re: like a flashback. | Dim 19 Juil - 0:07
∞ like a flashback, part two.
j a s o n . d w i g h t . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .
Ayant déjà vécu plusieurs moments intimes avec cet homme, je suis aujourd’hui capable de faire des choses que je ne ferai pas avec une autre personne. J’étais complètement libre en sa compagnie. Concrètement, je sais que je peux tout entreprendre avec lui sans aucune gêne. Nos corps parlent d’eux-mêmes, ils se connaissent, ils veulent se découvrir d’avantage et ils ne cesseront pas de se tester. Et l’avantage que possède Jason, c’est qu’il connait mes points faibles, mes endroits sensibles et qu’il sait comment me faire grimper au rideau. Tout comme je sais comment lui faire plaisir et comment le rendre heureux. « Chut, on pourrait croire que je te fais du mal. » Souriait le jeune homme au moment où il me portait pour poursuivre ses vas et viens. Naturellement, je m’étais également mise à sourire avant de prendre la parole : « C’est peut-être bien ce que tu es en train de faire… » Lui murmurais-je alors au creux de l’oreille. Un instant plus tard, je m’étais retrouvée au-dessus de lui dans une position inversée où le sexe de chacun était situé au-dessus du visage de l’autre. Ma bouche entra en collision avec son sexe délicatement. Mes lèvres prenaient leur temps, elles y allaient avec douceur. C’était comme ça que je procédais au démarrage puis je m’étais ensuite mise à aller de plus en plus vite. Ma main droite m’aidait d’ailleurs à la maintenir. Je pouvais me le permettre puisque la taille de son sexe était tout de même assez importante. En parallèle, Jason s’était permit d'utiliser sa langue pour me promulguer un certain plaisir et il intensifia le tout en y intégrant deux de ses doigts, laissant ainsi ma respiration se mêler à son sexe. J’avais cette sensation de devoir retourner à la surface… C’était étrange mais si bon à la fois. Au bout de quelques minutes, je m’étais arrêtée pour me concentrer sur le sommet de son sexe. En effet, j’y avais approché mon visage pour ainsi le déguster convenablement. Oui, son gland devenu le meilleur ami de ma langue et là, je trouvais ça plutôt intéressant. J’aimais sa texture, j’aimais sa forme. J’aimais le sentir en contact avec ma langue. C’est juste excitant. « Mmh… » Gémissais-je entre deux léchouilles avant de finalement descendre ma bouche jusqu’à ses testicules pour utiliser le pouvoir de ma langue sur eux également. Je n'avais d'ailleurs pas hésité à la diriger entre ses deux boules de pétanques. Oui, je voulais donner à Jason plus de désir qu’il n’en avait jamais eu. Je voulais me montrer à la hauteur de nos retrouvailles. Je voulais me montrer à la hauteur de ce que je ressentais en ce moment. Et je ne voulais pas qu'il puisse regretter d'être avec moi en ce moment-même. C'était un moyen de lui montrer qu'il avait fait le bon choix. Au bout d’un moment, je sentis l’excitation de Jason monter. Son sexe s’était légèrement humidifier et il était temps pour nous de reprendre les choses plus sérieuses. En effet, je m’étais légèrement poussée sur le côté pour que Jason puisse dégager ses jambes afin de se redresser. Lorsque je fus complètement allongée, la poitrine plaquée contre le matelas, ce dernier vint s’accroupir en mettant mes fesses entre ses deux jambes avant d’insérer son sexe à l’intérieur du mien. Et au moment où il débuta ses vas et viens, je ressentis de nouvelles sensations. Je sentais que Jason devenait beaucoup plus ferme et j’adorai ça. Mes mains s’agrippaient au drap tandis que sa main droite tenait ma hanche et que l’autre s’appuyait contre le matelas. Quelle aventure… Il s'est s'y prendre. « Donnes tout !» Gémissais-je. Il y allait déjà fort mais je ne sais pour quelle raison, j'étais d'humeur à ce qu'il me percute autant qu'il le pouvait et aussi fort qu'il le pouvait. Je crois que moi aussi j'avais envie de voir les étoiles et d'atteindre l'orgasme. Bien que je pouvais endurer encore un long parcourt avant de me déclarer hs.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Dim 19 Juil - 12:21
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
A ses mots, je souriais simplement à Madison avec un regard plus que complice tout en continuant mes mouvements de façon un peu plus saccadée dans le but de la faire crier à nouveau. J'étais tout aussi surpris et heureux de voir à quel point mes retrouvailles de nos corps se faisaient le plus simplement du monde. Ça n'avait rien à voir avec notre moment intime de la veille vu que nous étions tous les deux exténués de notre journée et donc l'acte s'en était trouvé bien plus calme, tendre et n'avait pas duré tant que ça dans le temps. Là, j'étais prêt à faire durer le plaisir autant qu'il en serait nécessaire pour que ma partenaire atteigne l'orgasme en même temps que moi et que cet instant soit apprécié à sa juste valeur. Plus c'est long, plus c'est bon. De retour sur le lit, Madison avait entrepris la position du numéro le plus pervers et s'occupait avec grand soin de mon sexe à l'aide de ses lèvres, sa langue ainsi que ses mains. Les sensations qu'elle me procurait était des plus appréciables et je me retenais de gémir en embrassant ses autres lèvres situées au niveau de son entre-jambes. Tout en profitant des excitations que me procuraient la jeune femme, je tentais de la faire me désirer encore plus en ajoutant un autre doigt aller en elle et en aspirant légèrement et à plusieurs reprise cette petite partie de peau qui allait l'exciter comme jamais. Je sentais alors son corps se raidir légèrement et son dos se cambrer pour apprécier d'autant plus mes caresses délicates. Je compris que madame aimait cela quand mes doigts allant et venant en elle se retrouvaient humidifié par son excitation. Après avoir redécouvert nos intimités d'une toute autre façon, j'avais envie de retourner en elle et de lui faire comprendre que je n'avais pas été au meilleur de ma forme hier soir et que j'étais capable de bien plus. Madison s'allongea sur le matelas en plaquant sa poitrine sur celui-ci, puis relevait légèrement son fessier que j'attrapais pour le placer face à mon bassin. Je m'accroupissais afin de pouvoir la pénétrer à nouveau et commençais par des mouvements assez doux. Je ressentais une légère fraicheur qui venait sans doute de sa salive restant un peu sur ma verge et de la substance qui se dégageait de son sexe suite au plaisir que je lui avais procurer auparavant. Je pivotais ensuite très légèrement pour avoir de meilleur appui, posait une main contre le matelas et une autre sur l'une de ses hanches pour intensifier mes mouvements. Apparemment, ce n'était pas encore suffisant pour la demoiselle qui me demandait de tout donner dans un souffle court. J'accélérais alors mes va-et-vient, en prenant soin de m'insérer profondément en elle et de me retirer à la limite de la sortie. J’agrippais un peu plus sa hanche et comme elle me l'avait demandé, je donnais tout ce que je pouvais et mon corps commençait à suer en même temps que mon excitation se faisait de plus en plus grandissante. A ce stade, je tentais de me retenir pour faire durer le plaisir et accentuer encore mes mouvements de bassin. Des bruits sortaient de ma bouche à la fois pour me donner la rage de devenir presque violent dans mes gestes, mais aussi pour lui faire comprendre que j'appréciais aller et venir en elle. J'aimais la femme qu'elle était devenue et son corps qu'elle m'offrait à nouveau. C'était une redécouverte et pour rien au monde j'envisageais de rejoindre Miami ; le séjour allait peut-être même me paraitre un peu trop court. Sentant que son excitation atteignait bientôt ses limites, je me demandais s'il n'était pas préférable de m'arrêter un court instant pour enfiler un préservatif mais sincèrement, je n'en avais pas du tout envie alors je prenais son autre hanche avec ma main, ce qui me permettait de bouger d'avantage en elle en ajoutant à mes mouvements d'avant en arrière de légers mouvements de bas en haut. Je finis ensuite par allonger mes jambes le long des siennes, nos bassins s'abaissaient alors et mon torse se colla à son dos. Je remontais mes mains pour aller les placer entre le lit et sa poitrine et ainsi palper ses seins avec envie. De cette façon, je reprenais mes mouvements en ne pouvant m'empêcher de gémir dans le creux de son oreille, mon souffle se mêlant au sien et mon désir grandissant d'avantage.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Dim 19 Juil - 17:38
∞ like a flashback, part two.
j a s o n . d w i g h t . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .
L’assurance. C’est surement ce qu’il y a de mieux chez un homme. Et comme le dit François Bégaudeau, l'assurance des hommes préfigure un savoir-faire sexuel qui plaît aux femmes. C’est pourquoi, il y a des hommes bons et des hommes moins bons et puis il y a aussi la catégorie de Jason, ceux qui sont ni bons, ni mauvais. C’est-à-dire ceux qui sont juste merveilleux. Jason est merveilleux. Il est sensationnel et mieux encore, il est divin. Je n’aurai jamais pensé que me retrouver aussi proche de lui m’aurait manqué à ce point. A l’heure actuelle, je donnerai tout pour ne pas avoir à retourner à cette vie que je mène à Miami. Non, j’ai juste envie de rester ici, dans cette chambre, avec Jason, à pratiquer ce que visiblement on aime pratiquer ensemble. Le mot excitation est devenu rien d’autre qu’un euphémisme. Pour être honnête, mon corps ne savait plus où aller. Les sensations se dispersaient dans tous les sens. Clairement, Jason m’a rendu toute chose. C’est d’ailleurs bien pour cette raison que je lui demandais de tout donner, cherchant de nouvelle sensation à mélanger à celles que je ressentais déjà. Nos rapports actuels n’ont strictement rien avoir avec ceux de la veille. Disons qu’hier soir, nous cherchions surement à nous redécouvrir l’un l’autre, à retrouver des sensations oubliés. Et ce fut un pari réussi, ce fut un moment merveilleux mais aujourd’hui, c’est tout autre chose. C’est spécifiquement nos corps d’adultes qui se rencontre, laissant derrière nous nos moments d’adolescent. Et j’apprécie ça. J’apprécie que je découvre en lui aujourd’hui, j’apprécie l’expérience qu’il a acquise et la façon dont il a de me mettre en joie. Il accélérait toujours plus ses mouvements, veillant à ce que son sexe s’insère profondément et se retire à la limite de la sortie. Mon corps vibrait mais il le maintenait à l’aide de sa main ferme. C’était tout une histoire qui laissait s’échapper tous les gémissements de plaisir que cet acte nous promulguait. « Mmmh, mmmh, mmmh. » Criais-je clairement lorsque la main de ce dernier s’empara de mon autre hanche pour accentuer les mouvements qu’il fessait, lui permettant ainsi d’aller précisément dans toutes les directions possibles. De ce fait, mes gémissement ne s’arrêtaient plus, ils s’accentuaient toujours plus et il était impossible pour moi de faire machine arrière. J’étais beaucoup trop engagée, beaucoup trop impliquée pour pouvoir stopper cette immense sensation de plaisir. Quelques minutes plus tard, Jason allongea ses jambes en les plaquant contre les miennes à l’instar de son torse sur mon dos. Je pouvais d’ores et déjà sentir la chaleur de son corps sur le mien via le contacte de nos deux peaux humides mais aussi via la fermeté de ses mains qu’il avait posé entre le lit et ma poitrine. Et naturellement, je ressentis de nouveau frissons lorsqu’il malaxa mes seins en reprenant intensément ses mouvements. C’est pourquoi, de files en aiguilles, mes mains lâchèrent le drap auxquelles elles s’agrippèrent pour saisir les barreaux du lit afin de trouver un nouvel appuie. La sensation était beaucoup trop importante et beaucoup trop active pour que le drap suffise. Non, il me fallait quelque chose de plus solide pour maintenir mon corps sur le lit. Quoi qu’il est vrai que cela me permettait aussi de profiter d’avantage de la férocité de ses mouvements. « Mmmmmmh, Mmmmh, Mmmmmh. » Gémissais-je bruyamment alors qu’il gémissait lui-même au creux de mon oreille. Quelques instants plus tard, je pus ressentir des contractions musculaires saccadées périnéales et intra-vaginales. Mon rythme cardiaque quant à lui s’accélérait encore plus, atteignant clairement sa vitesse maximale et je pus même me rendre compte que mes mamelons étaient turgescents grâce aux doigts de Jason qui parcouraient ma poitrine. Mes yeux se fermèrent sans réellement me demander mon avis. En d’autres termes, je venais moi-même d’atteindre le sommet ultime : l’orgasme.
(#)Sujet: Re: like a flashback. | Mar 28 Juil - 19:47
like a flashback, part 2.
ft. Madison Campbell & Jason L. Dwight ∞
Comme elle me l'avait demandé un peu plus tôt, je donnais tout. J'étais réveillé depuis peu alors j'étais en forme, mes muscles n'étaient aucunement fatigués et même s'ils l'étaient, on oublie rapidement les douleurs dans ce genre de moment. Mes mouvements accéléraient à chacune de mes venues en elle et je prenais le soin de les amplifier également. Grâce à cela, mon excitation montait et celle de Madison également ; le seul soucis était que je me sentais au bord du précipice, j'allais tout lâcher mais je ne voulais pas le faire tant que la demoiselle n'avait pas elle aussi atteint l'orgasme. Je voulais qu'on partage ce moment autant que ce qu'on venait de partager depuis plus de quinze minutes au moins ; je n'avais pas conscience du temps qui s'était écoulé car pour moi, il était passé bien trop vite. Au moment où je sentais le corps de Madison se raidir et ainsi une pression bien plus importante sur mon anatomie, j'arrivais à atteindre l'orgasme en même temps qu'elle et jouissais en elle en continuant de légers mouvements de bassin. Mes abdominaux se collèrent d'avantage à son dos et j'allais poser mon visage au creux de son cou en essayant de ralentir petit à petit ma respiration ainsi que mon rythme cardiaque. Je n'avais pas envie de parler, pas pour le moment. Je déposais un baiser sur l'une de ses épaules en retirant mon sexe qui était encore en elle, laissant un peu de substance blanche se poser sur le drap. Je m'allongeais tout près d'elle, sur le côté et la regardait intensément en tentant de lui faire comprendre par mon regard que j'étais à la fois très heureux et plutôt épuisé. Je remontais alors une main jusqu'à son visage pour caresser délicatement sa joue et lui sourire tendrement.
Quelques minutes après, j'étais sous l'eau de la douche qui s'étalait sur mon dos. Je fermais les yeux en appréciant le moment. J'adorais sentir les gouttes d'eau sur mon corps et cela permettait de le relaxer, de m'apaiser des émotions que j'avais vécu un peu plus tôt dans la journée. Madison s'était montrée très féline et j'avais fait de mon mieux pour la dompter. Je crois qu'on s'était retrouvé parfaitement sur la même longueur d'ondes tous les deux et bien que je savais qu'il valait mieux éviter de recommencer, j'en avais terriblement envie. Je réfléchissais en me savonnant, puis me rinçais et sortais de la douche pour ensuite me sécher avec une serviette. Lorsque j'étais quasiment sec, j'enroulais la serviette autour de ma taille et retournais dans la chambre. A ma plus grande surprise, je n'y trouvais pas Madison alors je me tournais vers ma valise pour en sortir des vêtements propres.