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  When we like it is necessary to know how to forgive

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(#)Sujet: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Mer 1 Juil - 0:08
 

∞ When we like it is necessary to know how to forgive ∞  


Bellamy. Frobisher . f t . Hannah. Mills.


La colère n'était toujours pas redescendu. Cette nuit à Vegas avec les filles m'avait permis d’évacuer. J'avais vraiment beaucoup bu, je m'étais mis clairement la tête a l'envers et je me souviens plus vraiment de cette nuit. Mais bon comme on dit ce qui se passe à Vegas reste à Vegas, le principal était que je n'avais rien fait qui puisse dégrader davantage ma relation avec Bellamy. Un taxi nous avait déposé chacune de nous chez nous. En arrivant j'étais à la fois épuisé et inquiet car depuis notre conversation téléphonique je n'avais pas eu de nouvelle de lui. Jamais je n'aurais pensé qu'on se disputerait ainsi, au début notre relation n'était pas ainsi. Je me rappelle comme si c'était hier de notre rencontre.

FLASH BACK 
Cette ville m'avait vraiment manqué. Mais je me rendais compte que quatre ans c'était énorme. La plupart de mes amis étaient à NY. Ici j'avais beaucoup trop de souvenir douloureux. J'avais pris mon temps pour m'installer, tout était à présent parfait. Demain j'allais commencer mon nouveau travaille, et continuer de préparer mon défilé qui devait avoir lieu dans six mois. Cette ville m'avait toujours beaucoup inspiré. Ce soir j'avais envie de boire un verre, pour me détendre et évacuer la pression de ses derniers jours. Je m'habillais avec la robe rouge a bustier que j'avais choisi pour l’occasion. Je n'étais pas sorti depuis des mois et cette robe je l'avais créé l'année passée, je ne l'avais jamais mis. Quand je fus enfin prête, j'appelais un taxi qui passait me chercher dix minute après pour me déposer dans un petit bar branché au centre-ville. Arrivée au bar, je m'installais au comptoir et commandais une vodka. À peine quelques minutes après mon arrivée, je me sentais déjà vraiment pas très a l'aise dans ce bar surtout qu'un homme beaucoup plus âgée que moi était vraiment lourd. Je payais et sortais. J'attendais sur le trottoir mon taxi, quand l'homme dans le bar m'attrapait le bras en me demandant clairement si je n'étais pas une prostituer " Pardon ? " dit je choquer par les propos de l'homme ivre devant moi. Il n'y avait personne et pour le coup j'étais vraiment effrayé. Je le repoussais à plusieurs reprises maïs il semblait de plus en plus lourd. Un jeune homme qui sortait de nulle part arrivait en trombe et colla un poing dans la gueule de l'homme qui s’effondra par terre. Le jeune homme se tourna vers moi et pour une raison que j'ignore je m'approchais et l'embrassais et me reculais " Je crois avoir trop bu et je voulais aussi te remercier de m'avoir sauvé de ce gros connard " dit je en souriant " Moi c'est Hannah " dit je a l'homme en face de moi , il était vraiment beau " Tu devrais faire attention la prochaine fois " dit-t-il alors que mon taxi arrivait, il m'ouvrait la porte et refermais la porte derrière moi. J'ouvrais la fenêtre " Je ne vais pas savoir le prénom du garçon qui ma sauver et qui embrasse comme un dieu " dit je avec un grand sourire " Non Blondie mais je suis sur qu'on va se revoir très vite " dit-il en tapant sur le haut de la voiture, le taxi démarrait.  Il ne m'avait pas dit son prénom mais j'étais persuadé que j'allais le revoir. Très vite.
Fin du flash back

Je vidais le contenu de ma valise et rangeais tout correctement. J'avais le choix entre rester à la maison où me rendre au magasin pour continuer à travailler, il était à peine dix-huit heures et ce soir je me rendrais chez Charlie. J'avais un million de chose à lui raconter. En premier lieu avant tout , je pris une bonne douche. La chaleur était insoutenable, et l'été ne commençait que seulement. En sortant mon téléphone ce mais a sonnez-m'indiquant un message " Hannah, on doit parler. Retrouve-moi au Lac dans vingt minutes. Bellamy ". Alors il était décidé à me parler après 24 heures de silence. Moi j'étais prête à lui parler après sa façon odieuse de me traiter . Pouvions-nous continuer comme cela ? Je n'avais tellement de questions et aucune réponse. J'enfilais un mini short en jeans et un débardeur blanc et des converses blanches. Et me m'était en route pour le lac. Dix minutes après j'arrivais et me garais. Je savais où le trouver, on c'était beaucoup retrouver ici. J'adorais cet endroit et je lui avais fait partager. Je trouvais Bellamy assis sur notre banc, le regard dans vide. Je m'installais à côté de lui, sans prendre la peine de l'embrasser. Aucun de nous n'avait le courage de se regarder, les horreurs dites la veille résonnait encore. Je regardais dans la même direction que lui " Je sais pas pourquoi je suis venue Bellamy mais la façon dont tu mon parler hier je ne peux pas l'accepter, je refuse d'être traité comme de la merde " dit je calmement, je refusais qu'on élève la voix comme hier " Six mois Bellamy qu'on est pratiquement tous les jours ensemble et il faut qu'on sois un couple pour qu'on se déchire ? " dit-je alors qu'une larme coulait le long de ma joue, non Hannah ne pleure pas maintenant surtout pas devant lui " Ton passer est entrain de nous tuer et mon passer me rend parano .. le problème est j'ai peur que tu me quitte du jour au lendemain ... que tu me dises que je ne suis pas assez bien pour toi ... " dis-je d'une petite voix. . J'avais eu cœur briser une fois , j'était incapable de supporter que cela arrive une seconde fois. 
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Jeu 2 Juil - 0:44
hannah + bellamy
when we like, it's necessary to know how to forgive

Notre relation, avec Hannah, était franchement plus que compliquée. Et pourtant, ces derniers temps, j'avais tout fait pour que cela s'arrange. Je lui avais enfin révélé le fond de ma pensée et j'avais fait le grand saut. Depuis le temps que nous nous tournions autour ! Je m'étais même rendu jusqu'à New York, où elle était partie après l'une de nos énièmes disputes, pour que nous mettions les choses au clair. À ce moment-là, c'était comme si je m'étais retrouvé libéré d'un poids. Me déclarer, si l'on pouvait appeler ça comme ça, me faisait peur, et c'était avec beaucoup de difficulté que j'étais finalement passé à l'acte. J'avais pensé qu'après cela, et maintenant que nous formions officiellement un vrai couple, les choses allaient s'arranger. J'espérais sincèrement que nos disputes stupides seraient derrière nous et que nous pourrions avancer ensemble, tous les deux. Mais je m'étais trompé sur toute la ligne. Comment avais-je pu penser que les choses iraient pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Je n'avais jamais connu d'happy endings dans ma vie, et ce n'était sûrement pas après vingt ans que ça allait commencer. C'était très mal me connaître. J'avais l'incroyable capacité de foutre toujours tout en l'air.

Hannah m'avait appris être enceinte de Wayne ; enfin, je l'avais appris dans le dernier article de Nightmare… Mais ce n'était pas vraiment ça le problème. Elle m'avait encore une fois parlé d'argent et j'avais été détestable. Pour ne pas changer, j'avais dit des paroles vraiment dures à son égard et à présent… je me sentais un peu con. J'y avais beaucoup réfléchi, et même si je pensais ce que j'avais dit dans le fond (j'étais totalement contre l'idée qu'elle me prête de l'argent), je m'étais emporté. Comme d'habitude, hein ! Bon, Hannah aussi avait ses tords. Elle avait cherché la petite bête, et puis malgré tout l'amour que je ressentais pour elle, elle pouvait être assez susceptible par moment. Sa susceptibilité égalait mon impulsivité, et les deux ne faisaient pas bon mélange. Aussi, notre appel était parti en cacahuète et j'avais fini par lui raccrocher au nez. Mais maintenant que j'y repensais, je ne trouvais pas que mon attitude avait été très intelligente. J'étais toujours en colère contre elle, certes, mais ça n'avait pas été une bonne manière de régler les choses. Je lui avais donc envoyé un sms pour lui donner rendez-vous aujourd'hui, au lac. C'était un bel endroit et j'aurais aimé l'emmener ici dans d'autres circonstances. Je m'étais assis là où nous avions l'habitude de nous retrouver, et m'étais fumé quelques cigarettes quand elle arriva finalement. Elle s'assit près de moi et nous restâmes ainsi, silencieux, pendant plusieurs minutes. Je ne savais absolument plus quoi lui dire, maintenant. Tout ce que je savais, c'est ce que je devais à tout prix contrôler cette rage qui grandissait en moi. Parce qu'à la fin, Hannah finirait par se lasser de mon côté colérique. " Je sais pas pourquoi je suis venue Bellamy mais la façon dont tu mon parler hier je ne peux pas l'accepter, je refuse d'être traité comme de la merde. Six mois Bellamy qu'on est pratiquement tous les jours ensemble et il faut qu'on sois un couple pour qu'on se déchire ? " me dit-elle d'un ton relativement calme. Je restais une fois de plus silencieux, ruminant mes pensées. Elle avait raison de ne pas se laisser faire. Je n'aurais jamais dû lui parler sur ce ton et j'acceptais donc qu'elle m'en veuille. Mais ça ne commençait pas très bien… " Ton passer est entrain de nous tuer et mon passer me rend parano .. le problème est j'ai peur que tu me quitte du jour au lendemain ... que tu me dises que je ne suis pas assez bien pour toi ... " Je me tournais vers elle, ne pouvant rester silencieux plus longtemps. Ma voix était calme et contrôlée. « Hannah, s'il y a bien l'un de nous deux qui ne mérite pas mieux, c'est moi. Pas toi. Tu ne te rends pas compte à quel point tu es… brillante, oui, c'est ça, brillante. Moi j'suis vraiment pas grand chose à côté » commençai-je. Cela n'avait pas beaucoup de rapport mais je ne comprenais pas comment elle pouvait penser qu'elle n'était pas assez bien pour moi. J'aurais plutôt dit qu'elle était trop bien pour moi ! « Mon passé est, comme son nom l'indique, passé. Je sais que c'est dur à expliquer, mais il faut que tu me prennes comme je suis. Avec mes nombreux défauts. J'apprécierais énormément que tu ne me poses plus de question à ce sujet, vraiment. Du moins pas pour l'instant ». Je ne me sentais pas du tout à me confier à elle. Tous ces souvenirs étaient encore trop douloureux, mais je me retins bien de lui dire. « Ce n'est pas contre toi. Je n'essaie pas de te repousser ou de mettre des barrières entre nous, ou je ne sais quoi. Simplement… c'est comme ça ».

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Ven 3 Juil - 21:41
 

∞ When we like it is necessary to know how to forgive ∞  


Bellamy. Frobisher . f t . Hannah. Mills.


Cette soirée à Vegas m'avait permis d'évacuer la soirée d'hier soir . Car entre Wayne qui c'était montré odieux et méprisant et Bellamy qui avait été je crois dix fois pire que lui , j'avais eu énormément de mal à gérer cela. J'avais donc pris l'avion sur un coup tète accompagné de mes deux très bonnes amies et avait passé la nuit la plus dingue de toute ma vie à leur côté. Le retour à la réalité était assez dur, j'avais une méchante gueule de bois et même si ce n'était pas conseillé car je ne savais pas si j'étais enceinte ou pas. Pour le coup je m'en foutais royalement, chacun d'eux m'avait foutu en rogne au point de me déstabiliser complètement. Quand Bellamy m'avait raccroché au nez ma première réaction avait été de conduire jusque chez lui pour m'excuser et lui dire que je l'aimais profondément. Mais malheureusement et dans un sens heureusement ma fierté avait fait barrage et m'avait empêché d'aller jusque chez lui. J'étais rentrée chez moi en fin de journée, chacune de nous aurait bien voulu prolonger ce séjour loin de tout mais malheureusement nos emplois du temps respectif de nous le permettions pas. J'avais mon défilé dans une semaine jour pour jour et demain je devais me rendent au laboratoire récupéré mes résultats. J'avais de suite pris l'initiative en arrivant chez moi de prendre une douche, rangers mes vêtements et me rendre au magasin pour travailler un peu et me rendre ensuite chez mon meilleur ami pour prendre de ses nouvelles et ne pas me retrouver seule car je n'avais pas de nouvelle de Bellamy et il était hors de question que je lui en donne en première. Quelle surprise quand mon téléphone, sonna et m'indiquait un message de Bellamy me demandant du retrouvé au Lac. J'avais hésité quelques secondes et m'étais mis très vite en route , j'avais envie de le voir même si j'étais en colère contre lui on ne s'tait pas vu depuis quatre jours. Il était assis sur un banc, le regard dans le vide. Bellamy n'était pas du genre très expressif, me dire je t'aime lui avait beaucoup couté et je remarquais qu'a chaque fois que je lui disais il me répondait vaguement " moi aussi ", il était comme cela et je devais m'y faire. Je m'étais assis à côté de lui, regardant dans la même direction que lui et après quelques secondes d'un long silence j'avais finis par prendre la parole. Il se tourna vers moi et finit par prendre la parole , j'écoutais attentivement ce qu'il avait à me dire. J'avais l'impression de n'être pas une fille assez bien pour lui et lui pensait que j'étais une fille trop bien pour lui. " Je ne suis pas brillante Bellamy je suis juste le genre de fille qui ne lâche pas quelque chose quand elle veut absolument l'obtenir " dit je dans un premier temps, pour l'instant j'étais incapable de le regarder droit dans les yeux " Toute ma vie on a attendu de moi que je sois la meilleure. J'ai été dans les meilleures écoles, j'ai fait de la danse, du chant enfin tout un tas de trucs que j'aimais oui mais que mes parents ne mon pas laisser choix. J'ai eu le petit ami parfait pour mes parents bien sûr j'aimais Eliam il était très gentil avec moi , quand je suis arrivée en ville c'est lui qui m'a guidée et qui ma aider à m'intégrer " dit je en tournant la tête pour croiser son regard, j'avais besoin de le rassurer de lui faire comprendre combien cette histoire comptait à mes yeux " Mais rien comparable avec ce que je ressens pour toi, avec toi j'ai l'impression vivre tu me traites pas comme une petite fille riche tu n'es pas avec moi pour mon argent au contraire tu ne veux pas en entendre parler et tu me soutiens dans tout ce que je fais alors oui on se dispute oui tu n'es parfois pas très gentil dans certains de te propos mais je m'en contre fiche Bellamy , je sais me défendre  " dit je en lui souriant " J'attendrais bb que tu te sentes prêt pour me raconter ce que tu me caches car je refuse de me dire que cette relation est vouée à l'échec certaines personnes le prétendre " dit je en me remettant à côté de lui et lui prit doucement la main " Laissons notre passer derrière nous et concentrons-nous sur notre présent ensemble " dit je en déposant un doux baiser sur ses lèvres. Je n'étais pas du tout le genre de fille à abandonner aussi facilement, mais il était vrai que je ne pouvais pas continuer à le harceler de cette façon sinon il est vrai que j'allais le braquer et que jamais il ne me parlerait. J'allais donc me montrer patiente et attendre le moment où il voudrait me parler " Tu veux bien venir dormir à la maison ? " dit je lui souriant timidement. Notre relation avait pris un tournant complètement différent depuis que Bellamy avait eu le courage de m'avouer ses sentiments et surtout qu'il voulait être moi. D'habitude j'étais plutôt entreprenante avec lui, mais ce soir j'avais l'impression d'être une adolescente face à lui. 


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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Mer 8 Juil - 19:08
hannah + bellamy
when we like, it's necessary to know how to forgive

Je n'avais pas géré avec Hannah. Vraiment pas. En fait, c'était pluôt rare que je gère, avec elle. Je faisais tout foiré et j'avais de la chance d'être tombée sur elle. Elle savait toujours pardonner mon comportement. Et je lui en étais reconnaissant. Même si je ne lui montrais pas, j'avais peur qu'un jour je dépasse les bornes, et qu'elle estime que c'était la fois de trop. Oui, la perdre me faisait extrêmement peur. Je n'étais pas pareil quand j'étais avec elle. Non, ce n'était pas ça : avec elle, je pouvais être moi-même. Laisser tomber cette carapace de petit branleur dur à cuire que je m'étais façonné. Beaucoup de gens pensait que j'étais vraiment comme ça et qu'à l'intérieur, il n'y avait rien. Que je me résumais simplement à mes abords de kéké. Et pourtant, grâce à Andrea et Hannah, j'avais appris que je n'étais pas que cela. Mais d'un côté, cela ne me gênait pas que les gens pensent que je n'étais qu'un con. Je savais qu'Hannah me voyait autrement. J'avais appris à lui faire confiance et je pouvais être moi. J'ignorais si elle savait tout cela. Si elle savait qu'elle était l'une des seules personnes avec qui je pouvais laisser tomber mon armure. Je ne lui avais jamais dit en tout cas, donc peut-être qu'elle ne s'en rendait pas compte. Ou pas ; après tout, elle était très intelligente. Enfin, elle devait avoir remarqué que mon comportement avait bien changé entre le début de notre relation et maintenant. Je comprenais ce qu'elle me reprochait, mais malgré tous mes efforts, c'était plus fort que moi. Je refusais tout simplement de lui révéler mon passé. Il est trop peu flatteur et je craignais qu'elle ne me voit différemment. Hannah était l'une des meilleures choses qui me soit arrivé dans ma vie, même si je ne lui disais pas et que je n'agissais pas comme tel. J'aimais quand elle me regardait, parce que dans ses yeux je pouvais sentir tout l'amour qu'elle me portait et c'était... je ne saurais le décrire. Beau ? Revigorant ? En bref, je ne voulais pas que son regard change. Qu'elle me voit différemment. J'avais fait des choses qui n'étaient pas glorieuses et dont je n'étais pas fier. À côté d'elle, j'étais une vermine. Elle savait que je traînais dans de sales histoires, mais quand même. Moins elle en saurait, mieux elle se porterait. " Je ne suis pas brillante Bellamy je suis juste le genre de fille qui ne lâche pas quelque chose quand elle veut absolument l'obtenir " Commenca-t-elle. Je ne répondis rien, mais je trouvais que c'était une bonne chose. Sur ce point, nous nous ressemblions. Nous étions tous deux aussi têtus et déterminés, et c'était souvent ce qui provoquait nos disputes. Nous restions sur nos positions et nous nous « battions » pour obtenir ce qu'on voulait. Mais cela n'empêchait pas que je la trouvais brillante. À son âge, peu de gens pouvait se vanter d'avoir une vie comme la sienne.

" Toute ma vie on a attendu de moi que je sois la meilleure. J'ai été dans les meilleures écoles, j'ai fait de la danse, du chant enfin tout un tas de trucs que j'aimais oui mais que mes parents ne mon pas laisser choix. J'ai eu le petit ami parfait pour mes parents bien sûr j'aimais Eliam il était très gentil avec moi , quand je suis arrivée en ville c'est lui qui m'a guidée et qui ma aider à m'intégrer " Elle s'ouvrait à moi, je le sentais, et je ne savais pas trop quoi dire. Après notre dispute, je n'avais pas vraiment décoléré, mais j'aurais été bien idiot de rester hostile alors qu'elle m'ouvrait son cœur. Je grimaçai cependant quand elle me parlait d'Eliam. J'étais persuadé que si ce gars était resté en ville, nous ne serions pas ensemble. Elle l'avait beaucoup aimé. Eliam, c'était comme Andrea. Un premier amour inoubliable. " Mais rien comparable avec ce que je ressens pour toi, avec toi j'ai l'impression vivre tu me traites pas comme une petite fille riche tu n'es pas avec moi pour mon argent au contraire tu ne veux pas en entendre parler et tu me soutiens dans tout ce que je fais alors oui on se dispute oui tu n'es parfois pas très gentil dans certains de te propos mais je m'en contre fiche Bellamy , je sais me défendre  " Alors là... Je ne savais pas non plus quoi dire, mais cette fois parce que j'étais... content ? Heureux ? Étonné ? Elle venait tout juste de me dire qu'elle se fichait (enfin, dans une certaine mesure) que je sois un peu colérique, impulsif. Hannah m'aimait comme ça. J'étais sincèrement touché par ses paroles. Un maigre sourire s'afficha sur mon visage. Là, je venais d'avoir la preuve qu'elle m'aimait vraiment. Elle m'aimait pour tout ce que j'étais ; elle aimait même mes mauvais côtés. Mais qu'est-ce qu'une fille aussi géniale foutait avec moi, sans déconner ? Je me demandais quand même ce qu'elle pouvait me trouver. " J'attendrais bb que tu te sentes prêt pour me raconter ce que tu me caches car je refuse de me dire que cette relation est vouée à l'échec certaines personnes le prétendre. Laissons notre passer derrière nous et concentrons-nous sur notre présent ensemble " Elle me prit la main et m'embrassa doucement. Comment aurais-je pu lui en vouloir davantage ? Je la regardais. Elle était belle. Aussi bien physiquement que mentalement. Elle était même magnifique. Hannah m'avait pardonné. Moi-même, je ne pensais pas m'avoir pardonné les paroles que je lui avais dites. Même si je trouvais qu'elle avait franchement cherché la dispute, ce soir-là. Tout allait bien et puis elle avait remis le sujet de l'argent sur le tapis, un sujet où j'avais pourtant pensé être clair. J'avais essayé de rester zen mais au lieu de vouloir calmer le jeu, j'avais eu l'impression qu'elle cherchait justement à me provoquer, à me faire sortir de mes gonds. Elle avait réussi, en tout cas. Cela m'avait beaucoup agacé. Mais il fallait passer outre, n'est-ce pas ? Savoir pardonner et passer à autre chose. Si nous commençions à donner trop d'importance à ces disputes futiles, elles allaient finir par nous engloutir. Notre couple ne pouvait être fondé sur des engueulades. Même si j'avais conscience que je ne facilitais pas la tâche, avec mon caractère de merde. « Merci » dis-je simplement. « Tu sais... Mon passé ne nous aidera pas à construire un futur. Au contraire. Alors laissons-le là où il est, tu veux ? Enfoui ». Je me sentais d'humeur poétique, aujourd'hui. Je lui étais reconnaissant. Elle semblait avoir enfin accepté le fait que je veuille garder un « jardin secret ».

" Tu veux bien venir dormir à la maison ? " me demanda-t-elle ensuite. Quelle question ! Est-ce qu'un homme normalement constitué pouvait répondre par la négative à cela ? Je lui souris. Un vrai sourire, sincère. Un sourire qui venait de Bellamy, celui que j'étais au fond de moi. Celui que personne ne connaissait parce que je me gardais bien de le montrer aux gens. Hannah pouvait se vanter de le connaître. De me connaître. À part ma famille et quelques rares privilégiés —Andrea notamment—, elle était la seule à me voir ainsi. « Bien sûr que oui. C'est si gentiment proposé ». Je jetai ensuite un regard rapide sur son ventre. Je ne savais pas si je me faisais des idées, mais j'avais bel et bien l'impression qu'il s'était un peu arrondi. Peut-être n'était-ce qu'un effet de mon imagination, et je l'espérais pour elle. Mais... Et si il y avait un bébé là dedans ? Je n'arrivais pas à imaginer Hannah avec un gosse. Et pourtant... M'aurais-je imaginé père, il y a un an et demi ? Non, bien sûr que non. Même aujourd'hui, j'avais du mal à y croire. Au final, c'était la meilleure chose qui me soit arrivé. Je regardais de nouveau son ventre, puis plongeait mon regard dans le sien. « Hannah... Tu... Tu as des nouvelles de... du... enfin... » Je désignais son ventre du doigt. J'espérais qu'elle ne se fâcherait pas, mais elle savait que j'étais là pour elle. Si il y avait bien une personne à qui elle pouvait en parler, c'était moi. Je savais parfaitement ce que c'était et j'étais bien déterminé à l'aider dans cette épreuve. Forcément, ça ne me plaisait pas beaucoup de penser qu'Everden soit passé par là et qu'il ait peut-être laissé une « trace durable » de cette visite... Mais je devais avant tout soutenir Hannah. Mes sentiments importaient peu, dans cette situation. Je posais doucement ma main sur son ventre, là où grandissait peut-être une vie. « Je suis là pour toi, tu le sais ? Quelle que soit ta décision. Tu peux compter sur moi ».

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Ven 10 Juil - 9:24
 

∞ When we like it is necessary to know how to forgive ∞  


Bellamy. Frobisher . f t . Hannah. Mills.



Ce mettre en couple et ce voir de temps en temps était une chose bien différente. Et nous l’avions bien compris l’un comme l’autre hier soir. Aucun de nous n’avais voulu revenir sur sa position, c’était à savoir qui allaient avoir raison et au final chacun avait éclaté et avais dit les pires horreur du monde. En raccrochant j’avais pris un certain recul, au départ j’avoue mettre dit que c’était voué à l’échec qu’on ne pourrait y arriver, on ne cessait pas de ce dire qu’on était diffèrent mais au fond je crois qu’on se ressemblât bien plus qu’on ne voulait le prétendre. On avait chacun souffert par le passer, peut-être pas de la même façon mais au final sa reviens au même on souffrait intérieurement par la perte de mes parents et par la trahison de Eliam. Alors je crois que toute mes angoisses et mes peurs je le lui fessais enduré, j’avais peur qu’il ne puisse pas m’aimer autant que je l’aime, peur qu’un jour il se rende compte que je n’étais pas assez bien pour lui car malgré qu’il pensait c’était contraire il avait tort. Bellamy était l’un des garçons les plus adorables que j’avais eu l’occasion de rencontrer dans la vie, oui parfois il était têtu, chiant, colérique et parfois légèrement lunatique mais c’était un garçon qui pensais toujours au gens qu’il aimait. Au fond de lui je crois qu’il souffrais autant que moi , ne pas pouvoir voir sa fille comme il le voulait était une chose qui le bouffait de l’intérieur mais je savais qu’il n’y avait pas que cela , je ne savais pas encore quoi mais il était évident qu’il y avait eu quelqu’un dans sa vie , oui la personne qui avait réussi au départ a lui faire montrer le garçon génial qu’il était et je crois que intérieurement j’étais jalouse même si j’ignorais si cela pouvait être vrai. Le problème c’était que Bellamy ne voulait absolument rien me dire sur son passer, à chaque fois que j’avais le malheur d’aborder le sujet je me heurtais a un mur et sa tournais en grosse dispute et c’était fatiguant je savais que comme cela on ne pourrait jamais avancer, il avait besoin de temps et j’allais lui accorder tout le temps nécessaire pour cela, j’espérais qu’un jour il me fasse suffisamment confiance pour me dire tout cela.
Il est vrai que toute ma vie j’avais toujours fait ce qu’on avait attendu de moi. J’adorais mes parents, mais le fait que eux n’avait rien eu dans leur vie m’avais mis à moi beaucoup de pression. Il avait toujours voulu plus, et je savais que si j’étais là où j’en suis aujourd’hui c’était grâce a eu peut-être que de mon côté j’aurais voulu faire les choses différemment. Avec Bellamy c’était l’occasion de tout recommencer d’être vraiment la Hannah que je voulais sans qu’on me dise que c’était pas assez bien ou que je ne devrais pas le faire , et puis il me soutenais toujours dans ce que j’entreprenais et il avait toujours ce petit regard de fierté qui valait toute les plus belles déclaration du monde. On ne s’ouvrait pas souvent l’un a l’autre, c’était très rare mais aujourd’hui je crois j’avais besoin qu’il sache que je l’aimais et que j’avais espoirs pour nous même si tout nous en donnais le contraire. Lui parler de Eliam, n’était sans doute pas la meilleur idée mais je ne pouvais pas l’ignorer car il était mon premier amour et même si je ne l’aimais plus il fera toujours partie de mon passer. J’avais besoin qu’il croit autant en moi en cette relation j’avais eu besoin de lui dire que avec lui c’était différent qu’il m’avait dans un sens réapprit à vivre et que je me fichais de son coter Bad boy que je n’étais pas impressionner et que moi je resterais quoi qu’il puisse arriver. Il ne voulait pas se confier à moi pour une raison que j’ignorais alors j’attendrais le temps qu’il faudra, si je le brusquer rien n’irais entre nous et je ne voulais pas risquer de le perdre. Je ne pourrais sans doute pas oublier ce qu’il m’avait dit hier mais plus jamais je n’en ferais mention, il avait eu raison je devais me mêler de mes affaires même si c’était une chose que j’avais vraiment beaucoup de mal. Je déposais un baiser sur sa joue «  Oublions «  dit je en lui souriant.
Je proposais tout naturellement à mon petit ami de dormir à la maison. Depuis mon retour on ne c’était pas vu et j’avais besoin de passer une soirée avec lui. On avait encore un peu de mal avec le coté petit couple, mais avec le temps les choses viendrais naturellement je pense  «  Je vais t’avoir pour moi toute une nuit intéressant « dis-je alors que je suivais son regard poser sur mon ventre. Alors il avait remarqué, bon il fallait etre aveugle pour ne rien voir. Hier à Vegas j’avais mis une robe ou il était impossible de voir mon ventre, je fessais tout pour qu’on puisse rien remarquer. J’étais gêner, j’avais vraiment peur que tout cela nous sépare malgré nous « Ne fait pas ça ne me regarde pas comme cela je t’en supplie Bellamy, j’ai l’impression d’avoir pris dix kilos « dit je  en le regardant droit dans les yeux, après tout d’une manière ou d’une autre sa le concernait car nous sortions ensemble. Il avait du mal à dire le mot bébé  comme si ce mot lui brûlait la bouche «  Bébé ? Demain matin j’aurais les résultats «  dit je froidement, je ne voulais pas être si froide avec lui mais cette situation était folle. Un bébé, moi avec Wayne un mec que je ne connaissais pas plus que cela qui m’avais traité de la pire des façons, si Bellamy me quittait je ne pense pas lui en vouloir une seconde même si ça me briserais cœur. Bellamy approcha sa main et la déposa sur mon ventre, je n’arrivais pas à me rendre compte ce qu’il venait de faire. C’était la seul personne qui était au courant qui avait eu un geste aussi tendre envers moi «  Je n’ai pas besoin de ses résultats pour savoir, toi aussi tu la remarquer.. «  Dis-je alors qu’une larme coulait le long de ma joue , j’avais pris du poids et puis j’étais malade et je ne supportais plus certaine chose à manger  «  J’ai jamais eu autant la trouille de toute ma vie , je sais que je ne pourrais pas me regarder en face si je le garde pas et j’ai tellement peur que tu me laisse alors que je suis entrain de tomber réellement amoureuse de toi «  dit je en déposant ma main sur la sienne , lui s’y connaissait dans tout cela alors que moi absolument pas. Mon frère avait été adopté alors qu’il avait 5 ans, les bébés je n’y connaissais rien … de rien …

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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Dim 12 Juil - 22:48
hannah + bellamy
when we like, it's necessary to know how to forgive

Hannah et moi, ça n'avait jamais été facile. Enfin si, au début. Quand je l'avais rencontré j'imaginais qu'elle serait comme les autres filles. Je la mettrais dans mon lit et puis voilà. Mais rien ne s'était passé comme prévu. Pour une raison que j'ignorais, elle avait réussi à toucher mon petit cœur de pierre. J'avais pas eu envie de me comporter comme un connard avec elle. Je l'avais trouvé... différente. Mais encore une fois, même quand je commençais à m'attacher à elle, je n'aurais jamais cru qu'un jour j'allais me mettre en couple avec. J'avais encore un peu de mal avec tout cela. À vrai dire, cela ravivait des souvenirs douloureux en moi. Hannah me faisait ressentir des sentiments que je n'aurais même pas pensé être capable d'éprouver après... Après Andrea et l'évènement qui avait tragiquement mis fin à notre histoire. Elle me changeait, oui, et ça me perturbait encore. Il y avait littéralement deux personnes en moi : celui que j'étais avec tout le monde et celui que j'étais quand j'étais avec elle. Moi-même je ne m'aurais jamais cru capable d'autant de tendresse et de douceur —même si j'avais encore beaucoup de progrès à faire de ce côté là. Même Andrea n'avait pas réussi cela, car j'étais resté une petite brute à son égard. Mais je crois bien que c'est ça qui lui plaisait le plus. Mon impulsivité et mon côté violent, alors qu'au fond j'étais capable de bien autre chose. Hannah me changeait, elle arrivait à faire ressortir ce qu'il y avait de meilleur chez moi. J'ignorais comment elle s'y prenait, mais ça marchait, et c'était presque si je parvenais à croire que je n'étais pas une si mauvaise personne... Alors oui, dit comme ça, nous pourrions avoir l'air d'un couple parfait. Mais je commençais à penser que quelque chose s'acharnait sur nous, parce que nous ne pouvions pas passer quelques jours sans nous prendre la tête sur un sujet futile. C'était déjà comme ça quand nous n'étions pas ensemble, mais j'avais pensé que ma petite déclaration aurait arrangé les choses. Et je m'étais bien trompé. Enfin, j'étais mal placé pour dire quoi que ce soit vu que j'étais à 80% des cas l'instigateur de ces disputes. La dernière fois, j'avais de nouveau dépassé les bornes et je lui avais très mal parlé. Mais j'estimais qu'elle aussi avait ses torts ; c'était comme si elle m'avait poussé. J'avais tout fait pour garder mon calme, mais j'étais colérique et impulsif, Hannah le savait, et pourtant elle n'avait pas hésité à poser les questions qui fâchaient. Elle m'avait reparlé d'argent alors que je pensais avoir été plus que clair sur ce sujet, et avait embrayé sur le fait qu'elle ne connaissait rien de moi. Un sujet très sensible que j'avais de très bonnes raisons de lui cacher. Qu'est-ce qu'elle allait me dire si je lui racontais que j'avais grandi dans un sombre taudis mexicain, que j'étais dans le trafic de drogue depuis mes quinze ans et membre de la mafia mexicaine depuis presque aussi longtemps, que la personne que j'avais le plus aimé au monde était un homme, que j'étais bisexuel aussi, que je m'étais fait poignardé et que cette blessure me faisait toujours souffrir aussi bien mentalement que physiquement... ? Elle ne voudrait plus jamais de moi après avoir appris tout ça, c'était certain.

«  Je vais t’avoir pour moi toute une nuit intéressant « Me dit-elle avec un petit sourire. Tout cela était rempli de sous-entendus qui ma foi ne me déplaisaient pas. Je regardais ensuite son ventre. Même si nous n'avions pas reparlé du bébé depuis notre dispute, il n'y avait pas de doute quant à la grossesse. Soit elle avait pas mal grossi et tout était allé dans son ventre, ce qui était peu probable, soit elle était enceinte... La deuxième hypothèse était la bonne. Son ventre était encore petit ou sa grossesse n'était pas flagrante, mais je la connaissais et d'ordinaire, elle était plutôt mince et avait un ventre plat. Là... on ne pouvait pas dire qu'il était plat. « Ne fait pas ça ne me regarde pas comme cela je t’en supplie Bellamy, j’ai l’impression d’avoir pris dix kilos « Se désola-t-elle. Sa réflexion m'amusait, et je ne pus retenir un petit sourire malgré la situation. J'avais l'impression d'entendre Adela, l'année dernière, qui n'arrêtait pas de se plaindre qu'elle avait entamé sa transformation en cachalot. L'histoire se répétait, bien qu'un peu différente, année sur année ! L'année dernière, j'avais du soutenir Adela, que j'avais mise en cloque. Sa réaction avait été bien différente de celle d'Hannah ; Adela m'avait littéralement hurler au visage toutes les insultes qui existaient, et la situation avait rapidement dégénéré. Il lui avait fallu beaucoup de temps pour qu'elle accepte mon aide. Au début, elle avait voulu me garder loin du bébé mais elle s'était bien vite rendue compte que seule, délaissée par sa famille, elle n'y arriverait pas. Au final, cette histoire nous avait rapprochés, mais je savais qu'elle était toujours très en colère contre moi. Elle ne tenait pas à notre fille autant que moi, j'en avais l'intime conviction. Enfin, le fait était que j'avais une désagréable impression de déjà-vu, même si la situation était quelque peu différente avec Hannah. Déjà, c'était ma copine et ce n'était pas de moi qu'elle était enceinte ! Plutôt cocasse, comme situation. Je plaçais ensuite ma main sur son ventre.  Je n’ai pas besoin de ses résultats pour savoir, toi aussi tu la remarquer.. « me dit-elle alors qu'une larme roulait doucement le long de sa joue. «  J’ai jamais eu autant la trouille de toute ma vie , je sais que je ne pourrais pas me regarder en face si je le garde pas et j’ai tellement peur que tu me laisse alors que je suis entrain de tomber réellement amoureuse de toi « Elle posa sa main sur la mienne. Pendant quelques instants, j'hésitai à la retirer. Je n'étais pas encore complètement calmé de notre dispute, et puis cette situation m'agaçait légèrement. Dès que je posais les yeux sur son ventre, je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'elle et Wayne avaient... Et ça me foutait drôlement les boules. Ça m'énervait, aussi. Parce que cela éveillait une certaine jalousie en moi. Si bébé il y avait, alors Wayne et Hannah seraient reliés pour toujours, qu'ils le veuillent ou non. Tout comme moi j'étais relié à Adela. Et je savais par expérience que ce n'était pas toujours facile. Et puis je le connaissais, Wayne. Je n'avais pas franchement confiance en lui. C'était un coureur de jupons, et je craignais que même sachant que j'étais avec elle, il n'essaie de la remettre dans son lit. Mais je laissais ma main. J'aurais été stupide de rompre tout cela. Et puis Hannah venait de me pardonner « Je comprends ce que tu ressens... Je sais ce que c'est. T'es paniquée parce que tu sais pas si tu es prête à assumer un gosse, tu sais pas si tu pourras être là pour lui et si tu pourras t'en sortir. Je connais tout ça. Franchement, même maintenant, je me trouve pas assez mature pour assumer un gosse et pourtant... Je m'en sors pas mal. Les circonstances sont pas... Enfin... Tu vas t'en sortir, Hannah, je le sais. Tu es une fille bien et je sais que tu seras une bonne mère. Et je serais là pour t'aider. Je t'expliquerais comment changer une couche, même si j'suis pas hyper doué pour ça » fis-je en souriant. « Tu vois, moi et la mère de Charlotte, on était même pas ensemble quand c'est arrivé. Et Adela, c'est une teigne comme fille. Genre, elle est chiante. C'était pas facile, elle refusait mon aide, elle était très en colère contre moi... C'était difficile au début et j'étais persuadé que je ferais un mauvais père, que j'étais pas prêt. J'avais même pas dix-neuf ans... Et puis tu me connais, j'suis pas un modèle de douceur ni rien. Ma réaction était très semblable à celle de Wayne. Et quand Charlotte est né, c'était... Je sais pas, ça a réveillé un truc en moi. Elle était si petite... J'ai eu envie d'la protéger de ce monde d'abrutis. Maintenant, Adela est au Mexique, elle s'est fait virée de sa famille et moi j'suis ici, et pourtant... J'essaie de tout faire pour que Charlotte ait une vie à peu près normale. Peut-être que Wayne changera d'avis. Il est têtu mais bon, à un moment, il arrêtera de faire le con... Si j'ai réussi à m'en sortir, tu y arriveras, Hannah ». C'était bien la première fois que je lui parlais comme ça d'un détail de ma vie.

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Mer 15 Juil - 9:53
 

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Il est vrai qu’on se voyait depuis 6 mois, mais au début on ne se prenait pas autant la tête car on ne cherchait pas vraiment à connaitre l’autre. On sortait, on allait au cinéma on mangeait au restaurant et on dormait l’un chez l’autre mais rien de romantique on parlait au grand jamais de notre vie. A présent tout était différent, on était ensemble et chacun de nous tentais de trouver ses marques dans une chose dont il n’était pas vraiment expert. Il est vrai que j’avais été en couple pendant 5 ans, dont deux ou on était séparé par la distance. Mais j’étais jeune et naïf il y a tellement chose que je n’aurais pas fait de la sorte et que je ne voulais plus reproduire à présent. Et maintenant j’avais peur, car je me rendais compte petit à petit que je tombais amoureuse de Bellamy et d’un amour complétement différent que de la première fois. Le problème c’était que je n’étais pas réellement sur que le jeune homme partage réellement mes sentiment, oui il m’avait avoué qu’il m’aimait mais j’avais la peur de m’attacher plus fort à lui que lui ne s’attache à moi et qu’au final j’en souffre et a l’heure actuel j’en étais  incapable. Bellamy était très différent de tous les garçons que j’avais connus, j’avais parfois l’impression qu’il pensait que le monde était contre lui que les blessures de son passé le définissez à présent et qu’il se refusait le bonheur que je pouvais lui offrir. Mais il était hors de question que j’abandonne j’étais du genre à me battre pour ce que je voulais et ce que je voulais plus que tout a l’heure actuel c’était de partager ma vie avec lui et j’avais besoin qu’il partage la sienne complétement avec moi mais malheureusement c’était une chose encore bien trop compliqué pour lui. Notre fort caractère ne nous rendais pas la tâche facile, depuis la mort de mes parents je m’étais énormément endurcis je ne supportais pas quand quelque chose n’allais pas dans mon sens ce qui parfois me rendais la vie impossible et en l’occurrence c’était le cas avec Bellamy, on ne voulait jamais avoir tords tous les deux donc ont explosé et au final chacun en souffrais. Hier soir c’était ce  qui c’était passer, j’avais eu le malheur de vouloir l’aider en lui proposant mon aide mais il avait catégoriquement refusé et cela m’avait blessé. Dans un couple on est censé s’aidé mutuellement et non se braqué a la premier occasion. Je savais que Bellamy me cachais beaucoup de chose, des choses qu’il avait peur que je découvre et je ne savais pas pourquoi il réagissait comme cela. Il était impossible que je le quitte pour des choses qu’il avait faites bien avant d’être avec moi. On a chacun notre passer il était impératif de l’accepter et de pouvoir construire un avenir ensemble. C’est pour cela que je doutais qu’il veuille un avenir avec moi, il vivait au jour le jour et moi c’était tout contraire.
Je lui proposais de venir passer la nuit avec moi. J’avais besoin de passer du temps seul avec lui, dormir dans ses bras et oublier les jours horrible qu’on venait de passer. J’avais de suite vue sont regard se posée sur mon ventre. Il est vrai que j’avais pris un peu de poids, je ne m’étais plus de vêtements trop serré car je ne voulais pas qu’on le découvre et moi-même je ne voulais pas me le dire encore temps que je n’avais pas encore les résultats que j’aurais normalement demain. Je n’avais jamais pris un gramme depuis mon adolescence, je n’étais pas du genre faire régime sur régime mais je mangeais toujours très sainement et depuis quelque jours je mangeais énormément de cochonnerie. Lui avait connu cela avec son ex petite copine, il était resté et avait assumé le fait d’avoir mis enceinte sa copine accidentellement et aujourd’hui  il était le papa d’une adorable petite fille qu’il aimait plus que tout. Je lui confiais de ne pas avoir besoin de résultat pour savoir que j’attendais un bébé, on disait toujours que les femmes sente c’est choses-là et pour mon cas elle avait raison. Jamais je n’avais eu aussi peur de toute ma vie, j’étais sans famille je débutais un travail que j’adorais et je commençais une relation avec un homme que j’aimais suffisamment pour vouloir tout partager et cela m’arrivait. Je déposais ma main sur celle qu’il avait posé quelque seconde sur mon ventre, ce simple geste signifiait beaucoup pour moi et ce qu’il me confia par la suite encore plus. Enfin il se confiait à moi, j’avais attendu ce moment depuis notre rencontre. Il me parlait enfin de la mère de sa fille et du bonheur que cela lui procure d’être papa. J’écoutais attentivement en ne perdant pas une miette de tout ce qu’il pouvait me dire car j’étais vraiment heureuse qu’il finisse par se confier enfin à moi  «  Je suis terrifié Bellamy j’ai vingt ans j’ai envie de voir le monde de faire tellement de chose et c’était une chose que je n’avais pas prévue du moins pas maintenant « dis-je doucement « Cette fille a eu de la chance de tomber sur un homme comme toi tu la aider et je sais que tu l’aide encore et que tu aimes ta fille plus que tout , tu es un très bon père pour ta fille Bellamy n'en doute jamais «  dit je lui souriant , je ne voulais pas lui poser trop de question et le brusquer de nouveaux . Il pouvait être fier de l’homme qu’il était et du papa qu’il était pour la petite. Je me levais doucement et restais face au lac , je devais trouver le courage de lui parler et si je croisais son regard j’en serais incapable « Quand j’ai eu certain doute j’ai préféré me dire que c’était dans ma tête franchement une fois j’oublie et cette seul fois allais me faire tout changer et puis tu m’a ouvert ton cœur  tu m’a dit tu m’aimer que tu voulais être avec l’espace d’un instant il n’y avait pas de peut-être bébé et puis la réalité ma vite rattrapé et elle me rattrapera demain «  dit je en sanglotant doucement «  Tu finiras par me quitter … «  dit je dans un murmure , je savais qu’un jour il n’arriverais plus à supporter tout cela j’avais besoin qu’il soit honnête avec moi , j’avais besoin d’entendre qu’il m’aimerais quoi qu’il puisse nous arriver. J’avais besoin juste d’entendre que j’étais la seul qu’il voulait.
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Sam 18 Juil - 14:45
hannah + bellamy
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Je venais de lui parler d'Adela, et je n'aurais pas cru que cela arriverait honnêtement. Bon, après tout, ce détail n'était pas honteux et je n'avais aucune raison de lui cacher l'histoire de sa grossesse. Mais mon histoire avec Adela était tellement compliquée... Sans rire, cette fille était pire que chiante. Elle avait une grande gueule, s'énervait tout le temps pour rien, démarrait au quart de tour et pouvait vous prendre la tête toute une journée parce que vous aviez renversé de l'eau par terre. Évidemment, elle n'était pas toujours comme ça. Quand je l'avais connu, c'était une jeune femme espiègle, toujours en train de rire, de faire la fête. Elle était peine de vie, mais tout avait changé pendant sa grossesse. Déjà à cause des hormones, mais aussi parce qu'elle s'était rendue compte que sa vie ne serait plus jamais la même. Elle ne pourrait plus aller en soirée, se défoncée toute la nuit pour dormir ensuite deux jours d'affilée, parce qu'il y aurait la petite. Maintenant, elle allait avoir tout un tas de responsabilités qu'une fille de dix-huit ans n'avait pas à supporter. Adele me détestait désormais parce que j'avais ruiné sa vie, et elle avait bien raison. Moi, je m'en sortais pas trop mal, parce que j'habitais loin et que tout ce que j'avais à faire, c'était de gagner de l'argent pour lui envoyer. Et encore, parfois il lui arrivait de ne même pas accepter cet argent. C'était elle qui devait se lever la nuit, changer les couches, faire les biberons, c'était elle qui était exténuée et qui avait été obligée de fuir la ville pour se réfugier chez je ne sais quelle vieille tante, elle qui ne se voyait plus aucun avenir à cause de cette gosse. Et c'était en grande partie de ma faute. Au fond de moi, je me sentais sûrement coupable de lui avoir voler sa vie, mais j'essayais de tout faire pour que ça s'arrange. Même si, vu nos deux caractères très incompatibles, c'était compliqué. Mais je comprenais ce que Hannah ressentait, ce sentiment d'être dépassée par les évènements, comme si tout vous tombait sur la tête. Le pire, c'est qu'Hannah n'avait pas le soutien de Wayne. Elle avait le mien, et c'était ce que j'essayais de lui faire comprendre en lui racontant mon histoire avec Adela. Si j'avais réussi à supporter Adela pendant sa grossesse, alors elle n'avait pas de soucis à se faire ! Parce qu'Adela, je ne l'aimais pas, c'était juste une fille avec qui je m'amusais de temps à autre, et elle était bien plus agaçante qu'Hannah. Et puis, Wayne changera sûrement d'avis avec le temps. Lui aussi, je comprenais ce qu'il ressentait. La colère, l'impression d'avoir été trompé, trahi, le déni. Il ne voulait pas être père et je le comprenais bien, d'ailleurs je le pensais sincèrement incapable d'élever un gosse. Ou peut-être pas, en fait. Mais je comptais bien avoir une petite discussion avec lui qui, je l'espérais, lui remettrait les pendules à l'heure.

Hannah était perdue et je n'aimais pas la voir comme ça, même les braises de notre dispute n'étaient pas complètement éteinte. Maintenant, on parlait du bébé, et l'enjeu était bien plus important que nos stupides histoires d'argent et de confidences. Elle me faisait confiance et n'hésitait pas à exprimer tout ce qu'elle ressentait devant moi, chose pour laquelle je l'admirais très franchement. J'étais bien incapable de lui dire ce que j'avais sur le cœur, personnellement. Je n'étais même pas sûr qu'elle se doutât à quel point j'étais en colère contre Wayne. Je ressentais cela comme une trahison, comme si il avait fait cela dans mon dos. C'était arrivé il y a à peine deux ou trois mois, à une époque où je commençais à être vraiment proche d'Hannah. Pas comme si nous nous connaissions à peine, ni rien. J'éprouvais également une certaine rancoeur vis à vis d'Hannah, une rancoeur parfaitement injustifiée parce qu'elle avait eu totalement le droit de coucher avec Wayne. Et puis, j'estimais qu'elle regrettait suffisamment son acte aujourd'hui pour que je lui tombe dessus de mon côté. Mon rôle n'était pas de l'enfoncer encore plus mais de l'aider, de la soutenir. Je n'étais pas certain d'être le meilleur pour cela, mais j'étais décidé à faire de mon mieux. Hannah n'avait pas de famille et j'étais sûrement la personne qui se rapprochait le plus de ça. Pour ma part, quand Adela s'est faite virée de chez elle à cause de sa grossesse, j'ai eu la chance de pouvoir compter sur ma famille. Ma mère, complètement dépassée par à peu près tout, mais qui m'avait toujours soutenu et aidé, et mes sœurs, qui se sont fait une joie d'avoir une nouvelle fille dans leur tribu. Mon père... Bah, mon père n'était jamais là donc il s'en tamponnait pas mal. Il n'a même pas été surpris de la trouver dans le canapé, la seule fois où il est rentré pendant cette période. Il estimait que j'avais bien le droit de ramener qui je voulais à la maison et que si je l'avais engrossé, c'était mon problème, pas le sien. Merci papa ! Malheureusement, Hannah n'avait pas la chance d'avoir une famille derrière elle pour l'épauler. Elle allait devoir arrêter de travailler pendant un temps et je me fis mentalement le serment de subvenir à ses besoins, à ce moment. Encore des bouches à nourrir, mais je n'étais plus à ça près. J'avais parfois l'impression que le monde reposait sur mes frêles épaules, mais bon... C'était ainsi, je devais assumer mes conneries et aider ceux que j'aimais. M'occuper d'Hannah était devenu mon devoir le jour où je l'avais laissé entrer dans ma vie.  «  Je suis terrifié Bellamy j’ai vingt ans j’ai envie de voir le monde de faire tellement de chose et c’était une chose que je n’avais pas prévue du moins pas maintenant «  Me dit-elle doucement. Elle paniquait, cela s'entendait, et je cherchais rapidement mes mots pour la rassurer. « Hey, tu sais, ça ne t'empêchera pas de faire ce que tu veux. Dans la vie, on prévoit jamais rien, les choses se contentent de te tomber dessus sans crier gare. Mais tu peux faire le choix de te battre ou de te laisser sombrer. Toi, tu vas te battre parce que tu es forte, et parce que je serais là pour te botter les fesses si tu ne te bats pas, d'accord ? » souris-je. J'étais l'homme possédant le moins de tact et aussi le moins de talent pour réconforter les gens au monde, mais au moins, mes paroles étaient sincères. « Cette fille a eu de la chance de tomber sur un homme comme toi tu la aider et je sais que tu l’aide encore et que tu aimes ta fille plus que tout , tu es un très bon père pour ta fille Bellamy n'en doute jamais «  Elle avait l'air contente que je lui confie quelque chose de mon passé, et je réalisais à quel point elle devait souffrir de ne rien connaître de moi. Elle devait avoir l'impression que j'étais un inconnu, parfois. Or, je ne me sentais franchement pas la force de lui imposer mon passé. « Je sais pas si je suis le meilleur père du monde mais en tout cas, je fais de mon mieux. Et crois-moi que je ferais de mon mieux aussi avec toi ». En tout cas, ses compliments me faisaient plaisir car s'il y avait bien une chose sur terre que je prenais sincèrement à cœur et au sérieux, une chose pour laquelle j'avais envie de me battre et de ne pas foirer comme j'avais l'habitude de faire, c'était Charlotte.

Soudain, Hannah se leva et se planta face au lac. Elle parla très vite, sans me regarder, et finit en sanglots. « Quand j’ai eu certain doute j’ai préféré me dire que c’était dans ma tête franchement une fois j’oublie et cette seul fois allais me faire tout changer et puis tu m’a ouvert ton cœur  tu m’a dit tu m’aimer que tu voulais être avec l’espace d’un instant il n’y avait pas de peut-être bébé et puis la réalité ma vite rattrapé et elle me rattrapera demain.Tu finiras par me quitter … «  Je me demandais si c'était les hormones qui la faisaient parler ou si c'était juste ses sentiments, à vif, qu'elle venait de me montrer. Je me levais et allai me placer à ses côtés. La vue était vraiment magnifique. Cette grande étendue d'eau, immobile, majestueuse et terriblement impressionnante me donnait presque des frissons. Nous étions absolument seuls, aujourd'hui. Je passais mon bras autour de mes épaules, l'attirai vers moi et l'embrassai sur le front. « Hannah, je me fiche bien que tu aies un bébé ou non. J'suis pas avec toi pour renoncer à la première difficulté. Si tu penses que je vais te quitter parce que tu es enceinte, tu te trompes. J'sais que j'peux facilement passé pour un connard, mais tu crois que je te ferais ça alors que la chose dont tu as le plus besoin maintenant, c'est du soutien ? Quel genre de gars je serais si je laissais tomber ma copine dans un moment pareil ? J'me suis battu pour qu'on soit ensemble et c'est pas la petite chose qu'est là-dedans qui va me faire changer d'avis » dis-je en montrant son ventre du doigt. J'avais encore du mal à me faire à l'idée qu'il y avait un gosse là-dedans. « Tu vas avoir besoin de soutien, de repos et d'aide. Et je peux te donner ces choses-là. Je le ferais. Hannah, je veux sincèrement me rattraper. Me faire pardonner pour toutes mes conneries. Je serais là pour toi, crois-moi ».

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Sam 18 Juil - 18:44
 

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Je ne savais pas grand-chose sur la mère de sa fille. Je savais qu'elle vivait toujours au Mexique et qu'elle s'occupait comme elle pouvait de la petite, sinon Bellamy n'avait rien dit de plus sur elle. Et pourtant ce soir il commençait tout doucement à se confier à moi, il avait eu le besoin de me rassurer et par conséquent me parler d'elle et de leur petite fille et combien le bonheur d’être père lui avait procuré malgré la situation ne vraiment compliquer qu'il pouvait avoir. C'était difficile de ce dire qu'une simple nuit pouvait définir ta vie et te lier à une personne pour toujours même si ce n'était pas vraiment ce que tu voulais. Je le comprenais plus qu'il ne pouvait le penser. Je ne savais pas ou j'en étais face à cette histoire, je ne savais pas si le fait d’être malade voulait dire que le bébé était là, car je ne savais pas réellement si j'étais enceinte. Je me posais tout un tas de questions à savoir comment je ferais si je l'étais réellement. Comment à vingt ans alors que je ne connaissais presque rien de la vie, je pouvais m'occuper d'une autre personne que moi. J'avais perdu mes parents depuis bientôt trois ans et j'étais à présent seul. Mes parents étant orphelins, je n'avais plus aucune famille pour pouvoir me soutenir dans cette épreuve. Wayne refusait pour l'instant toute chose qui se rapportait de prés et de loin à cela , je devais juste l'informer des résultats demain. Et si c'était positif? Comment je pouvais dire à un homme avec qui je n'avais aucune relation qu'il allait sans doute être papa. Je savais qu'il n’accepterait jamais si je lui annonçais que la prise de sang était positive, car qu'il le voulait ou non cette enfant serait le sien.Mes parents avaient toujours souffert l'un comme l'autre d'avoir été rejeter par leur famille. Je ne savais absolument rien de leur enfance, aucun d'entre eux avait voulu m'en parler la seule chose qu'il m'avait dit l'un comme l'autre c'était qu'il avait commencé à vivre réellement quand il c'était rencontré quand il avait 15 ans. Il me manquait terriblement, je savais qu'il aurait pu faire face à cette situation avec moi. Bellamy voulait absolument m'aider, il refusait que je sois seul pour affronter cette situation alors que je n'avais aucune famille pour me soutenir mais cela me gênais car au fond je savais qu'il souffrait malgré lui de cette situation. Quand j'ai couché avec Wayne avec Bellamy on se voyais déjà, on passait déjà beaucoup de temps ensemble et j'étais incapable de plus expliquer pourquoi j'avais fait cela cette nuit là. 
Quand j'avais décidé de quitter Eliam il y a trois ans j'avais cru que mon monde cela avait été tellement dur mais je me rendais à présent compte que rien ne pouvait comparer avec ce que je ressentais maintenant. J'étais morte de trouille, j'avais peur de ne pas pouvoir affronter la situation que si ce résultat était positif ne pas pouvoir assumer d'être une maman et surtout je crois j'avais peur de le perdre. En l'espace de six mois Bellamy avait pris une place considérable dans ma vie, je ne voyais plus la vie sans lui et avec tout cela et les hormones n'arrangeaient en rien les choses. Je lui confiais être terrifié, que je n'avais pas prévu cela car je voulais voir le monde j'avais tellement de choses en tête des choses que je ne pourrais pas faire avec un bébé dans ma vie, je paniquais complètement " Je voulais profiter de la vie avant de construire une famille et je voulais surtout avoir un bébé avec un homme que j'aime et qui m'aime suffisamment pour avoir une famille avec moi" lui dit je " Et si j'étais une mauvaise mère ? et si je n'aimais pas mon bébé ? " lui confiais-je. J'avais eu la plus merveilleuse des mamans qui elle n'avait jamais connu la sienne, et pourtant je doutais de pouvoirs apporter quelque chose à un enfant maintenant. Il y a un an et demie cette situation il l'avait vécu, il était papa et lui non plus n'avait prévu et pourtant a l'heure d'aujourd'hui il adorait son petit bout-choux et il lui apportait le meilleur " Merci sa compte beaucoup pour moi bb " dit je en déposant un baiser sur ses lèvres. J'étais touché qu'il prenne la situation autant a cœur, et pourtant s'il ne l'avait accepté je crois que j'aurais compris même si cela m'aurait brisé le cœur. 
Je me levais et me plantais devant le lac. J'avais besoin qu'il écoute ce que j'avais à lui dire. J'étais persuadé qu'un jour il me quitterait car la situation était trop lourd à supporter. Bellamy se leva et m'entourait de ses bras en déposant un baiser sur mon front en tentant par tous les moyens de me rassurer, car il voyait que j'étais vraiment mal " Je ne pense pas que tu es un connard au contraire tu es le garçon le plus sincère et le plus entier que je connaisse et sais que tu me soutiendras quoi qu'il puisse arriver mais j'ai besoin que notre histoire ne passe pas en second plan je refuse que tout cela définisse notre histoire d'amour je veux vivre une histoire comme toutes les filles de vingt ans " dit je en tournant ma tête vers lui alors que je croisais son si beau regard " J'ai besoin de toi ...  " dit je en prenant doucement sa main et entremêlait mes doigts au sien, je n'avais pas besoin de lui en dire plus il savait ce que je pouvais ressentir et surtout il savait que je l'aimais. 
Après ce petit passé au lac je lui proposais de rentrer à la maison, j'avais envie de me retrouver avec lui le temps d'une soirée. Je lui donnais les clés de ma voiture pour le laisser conduire. Une dizaine de minutes plus tard on était enfin chez moi, je sortais mes clés et ouvrais la porte de chez moi " Fait comme chez toi je vais commander à dînée et prendre quelque chose à boire " dit je en m'allant dans la cuisine. Je commandais une pizza et attrapais une bière et me dirigeais vers les salons ou je trouvais Bellamy planté devant mon mur de photo. Et merde, j'avais complètement oublié d'enlever certaines photos dont celle d'Eliam et moi que mes parents avaient accroché quand nous sortions ensemble. J'approchais de lui " Je n'est pas eut tant de les décrocher " dit je envoyant son regard river sur une photo d'Eliam et moi au bal de promo où on s'embrassais, j'étais vraiment gêner pour le coup " Je me contre fiche de ses photos " dit je en le regardant, je ne voulais pas qu'il doute de moi. Cette maison appartenait à mes parents il est vrai que j'avais beaucoup de choses à changer et en priorité ce mur et ses nombreuses photos qui appartienne à mon passer.
 .
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive   |   Mer 22 Juil - 23:54
hannah + bellamy
when we like, it's necessary to know how to forgive

Hannah était paniquée à l'idée d'avoir un bébé et sa réaction était totalement compréhensible. Qui ne l'aurait pas été ? Sa grossesse n'était pas désirée et à nos âges, où nous ne sommes pas encore complètement sorti de l'adolescence, avoir un enfant n'était certainement pas dans nos priorités. Cette scène me donnait une désagréable impression de déjà-vu. Sauf que cette fois, je ne ferais pas d'erreur. J'y avais longuement réfléchi, ces derniers temps. Je ne comptais pas m'imposer comme le père de l'enfant, loin de là ; ce n'était pas mon rôle mais celui de Wayne et j'avais déjà assez à faire avec le mien. En revanche, j'allais être là pour Hannah. Cette histoire me tenait à coeur et j'avais vraiment envie de l'aider, de lui montrer que je n'étais pas complètement con. Hannah était l'une des rares personnes sur cette planète qui comptait sincèrement pour moi et qui me donnait envie de donner le meilleur de moi-même. D'arrêter de me comporter comme un branleur et d'agir comme un vrai homme. Les choses n'avaient pas toujours été faciles entre nous, et généralement, c'était de ma faute. Oui, je l'avouais, un peu difficilement certes car admettre mes erreurs n'était chose facile, mais j'en avais bien conscience. Ma nature méfiante et secrète nous avait causé bien des soucis. Mais j'avais envie de prouver à Hannah qu'elle n'avait pas tort de me faire confiance et de me pardonner mes conneries. J'aimais à penser que peut-être je n'étais pas simple à vivre, mais que j'en valais la peine. Je me comportais souvent comme un connard mais j'étais capable de beaucoup de choses pour ceux à qui je tenais vraiment. Il y avait littéralement deux Bellamy, celui que j'étais d'habitude et celui que j'étais avec Hannah. J'avais envie de lui montrer qu'elle avait choisi le bon côté de moi-même. Je lui avais dite beaucoup de jolies paroles jusque là, mais maintenant, il était temps de le prouver. C'était bien beau de dire je t'aime à toutes les sauces (mais on ne pouvait pas dire que je lui dise beaucoup, malheureusement), encore fallait-il le prouver par des actes. J'étais déterminé à la soutenir dans cette épreuve, quoi qu'il arrive.

À fleur de peau, Hannah était en train de se livrer entièrement à moi, tous ses sentiments, ce qu'elle pouvait ressentir. Principalement de la peur, en fait. Elle était aussi désemparée que moi je l'avais été quand Adela m'avait annoncé sa grossesse. Mais finalement, nous étions parvenus à nous en sortir, alors pourquoi pas Hannah ? De plus, j'étais là pour la soutenir. Et j'avais un minimum d'expérience niveau couches. " Je voulais profiter de la vie avant de construire une famille et je voulais surtout avoir un bébé avec un homme que j'aime et qui m'aime suffisamment pour avoir une famille avec moi" me dit-elle. Pour le coup, elle n'avait pas totalement tort. Je ne savais pas tellement quoi lui répondre. En tout cas, ce gosse aurait un mère qui l'aimerait de tout son être, j'en avais la conviction, et c'était toujours mieux que rien. Pour ma part, j'avais eu la "chance" d'avoir deux parents mais qui ne s'occupaient guère de moi. Je ne leur en voulais pas, enfin du moins pas à ma mère, mais j'estimais qu'il valait mieux avoir un parent aimant que deux se fichant royalement de leur gosse. " Et si j'étais une mauvaise mère ? et si je n'aimais pas mon bébé ? " Pour le coup, elle n'avait pas de soucis à se faire là-dessus. « Ne te pose pas ce genre de questions. Toute mère aime son enfant. Tu as peut-être trop de soucis pour y penser en ce moment, mais je suis déjà sûr que tu l'aimes déjà, cette petite chose. Et si c'est pas le cas, je serais encore là pour te botter les fesses » argumentai-je avec une petite dose d'humour made in Bellamy. " Merci sa compte beaucoup pour moi bb " dit-elle avant de m'embrasser doucement. Puis, je lui parlais à coeur ouvert. Je lui expliquais qu'elle ne devait pas avoir peur que je la quitte pour cela. Ça aurait été vraiment stupide ma part ! Pour le coup, j'étais vraiment sincère. J'exprimais ce que je ressentais sans aucun artifice. " Je ne pense pas que tu es un connard au contraire tu es le garçon le plus sincère et le plus entier que je connaisse et sais que tu me soutiendras quoi qu'il puisse arriver mais j'ai besoin que notre histoire ne passe pas en second plan je refuse que tout cela définisse notre histoire d'amour je veux vivre une histoire comme toutes les filles de vingt ans. J'ai besoin de toi ... " fit-elle. Elle me touchait sincèrement. C'était comme si elle réussissait à réveiller mon côté sensible qui dormait en moi depuis très, très longtemps. Sa situation était plutôt horrible mais malgré tout, nous allions réussir à surmonter tout ça, j'en avais la certitude. À ce moment-là, je ne pensais plus à rien, je ne songeais plus à mes mensonges qui resurgiraient prochainement. Il n'y avait qu'elle et moi. Et le bébé, mais bon, il n'avait pas son mot à dire dans l'histoire celui-là. « Ce n'est pas ce petit imbécile qui grandit dans ton bide qui va commander ta vie, crois-moi. T'es une battante, tu vas vivre ta vie comme bon te semble. Tu sais, j'en ai vu d'autres dans la vie, et c'est pas ce truc même pas encore né qui mettra en péril notre relation » fis-je en la prenant dans mes bras.

Nous décidâmes ensuite de nous rendre chez elle. Elle me laissa conduire, ce qui en soit n'était peut-être pas une bonne idée. Je n'avais même pas mon permis, je roulais beaucoup trop vite et mon respect pour le code de la route était plus qu'approximatif. Néanmoins, nous arrivâmes entiers et vivants à bon port. " Fait comme chez toi je vais commander à dînée et prendre quelque chose à boire " me dit-elle en s'engouffrant dans la cuisine. J'étais toujours impressionné par sa villa, très grande et luxueuse. Je me demandais toujours comment j'avais fait pour arriver là, moi le gosse des rues, celui qui avait presque toujours connu la pauvreté. À Tijuana, notre maison était minuscule et surtout, peuplée de cinq filles bordéliques et d'une mère qui n'arrivait pas à suivre la cadence. Ici, je vivais dans un appartement très correct avec Cassidy (qui se trouvait être la meilleure amie d'Hannah, comme quoi le monde est petit!) mais ce n'était rien comparé au luxe de la demeure d'Hannah. Avec mon allure de mauvais garçon, je contrastais vraiment avec la propreté immaculée de l'endroit. Je me rendis dans le salon et posai ma veste sur le canapé —en cuir véritable, évidemment. Je remarquai ensuite des photos accrochés au mur, que je n'avais jamais remarqué auparavant, et pas n'importe quelles photos. Celle d'Hannah et Eliam, son grand amour. Il y en avait tout un tas où ils s'embrassaient, se câlinaient. " Je n'est pas eut tant de les décrocher. Je me contre fiche de ses photos " me dit-elle. Je sentais sa gêne dans la voix. Mais à vrai dire je m'en fichais pas mal. Je n'étais pas très matérialiste mais je comprenais l'attachement qu'elle devait avoir pour ces photos. Après tout, j'aurais sûrement moi aussi garder des images d'Andrea si voir son visage ne me faisait pas aussi mal. « Vous aviez l'air… heureux » soufflai-je. Ce garçon était si différent de moi… Il avait sage, calme. J'étais tout l'inverse. Qu'est-ce qu'Hannah pouvait bien me trouver, quand même ? « Bah, je m'en fiche, il est beaucoup moins beau que moi » plaisantai-je. Je m'approchais d'Hannah et la pris dans mes bras. Là, j'étais vraiment dans un état qui s'approchait du bonheur. « Je suis tellement content de t'avoir trouvé. Tu peux même pas t'imaginer. C'est… Tu ne te rends même pas compte à quel point je me sens meilleur avec toi. Comme si j'étais quelqu'un d'autre » Bon dieu, qu'est-ce que je pouvais l'aimer cette fille. Plus je m'attachais à elle, et plus j'étais effrayé. Mais je l'aimais et ce sentiment dépassait tout.

Emi Burton
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