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 It's time for the Round II darling [ feat. Rafael]

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(#)Sujet: It's time for the Round II darling [ feat. Rafael]  |   Jeu 11 Juin - 22:54
Alysse ∞ Rafael
There's nothing that I'd take back, but it's hard to say there's nothing I regret. Cause when I sing, you shout, I breathe out loud, you bleed, we crawl like animals, but when it's over, I'm still awake. A thousand silhouettes dancing on my chest, no matter where I sleep, you are haunting me

Une semaine était passée depuis la soirée sur la plage et Alysse se rendait compte que cela lui avait fait énormément de bien. Elle s'était enfin décidée de reprendre sa vie en main au lieu de se morfondre et de repenser au passé.. mais comment se remettre d'une telle chose.. Elle devait y aller progressivement, et elle avait réussit à sortir avec ses amis alors qu'elle ne les avait pas vu depuis près de deux mois. Elle avait fait un effort énorme pour ne pas craquer et partir en courant et pour faire bonne figure et la présence de Wane Taylor, son avocat, en short de bain au même événement n'avait pas été à la détendre. Elle avait malgré tout passé une très bonne soirée et cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas ri ainsi.. ni bu.. elle repensa à Charlie, qui était le seul à savoir, si on ne comptait pas son avocat dans le lot. Il avait été absolument parfait, et c'était tout comme s'il ne savait rien. Et Wane.. mon dieu elle en avait eu le souffle coupé comme toujours, et elle en avait presque oublier leur rencontre tant leurs conversations restaient téléphonique ou par mail. Le temps passait si vite et cela faisait déjà plus de 2 mois.. deux mois que c'était arrivé. Il n'y avait plus qu'autour de ça que se régentait sa vie.. elle y pensait à chaque seconde, à chaque fois qu'elle faisait quelque chose. Mais en deux mois, c'était beaucoup moins douloureux et elle commençait même à y être habituer. Elle pouvait même sortir faire ses courses et elle n'y pensait presque pas. Mais, ce qui l'a tourmentait toujours, c'était ces horribles cauchemars.. elle ne se rappelait pas tout à fait du visage de son violeur, mais elle se rappelait cette lueur dans son regard.. elle se rappelait la douleur et la jouissance haineuse qu'elle avait ressentit. Elle se réveillait toutes les nuits en criant et n'avait pas eu une nuit de sommeil convenable depuis longtemps cette nuit là.. elle était épuisée mais elle faisait de son mieux pour ne plus y penser. Elle se réfugiait dans l'alcool, ce qui, en fait n'était pas une nouveauté étant donné qu'elle avait toujours plus ou moins picolé dans sa vie. Elle ne se rappelait plus trop ce qui l'avait vraiment conduit à avoir une vie de parfaite salope en réalité. Elle avait toujours tout eu pour être heureuse.. sauf une mère peut-être... enfin, sûrement même.Mais qui aurait pu lui dire en naissant que sa vie serait aussi chaotique ? Elle n'avait jamais regretté sa façon de vivre, et elle ne le regrettera jamais... Mais cela ne l'empêchait pas de ce trouver pathétique.. et aujourd'hui encore plus qu'avant.

Bref.. cela faisait une semaine que la soirée était passé, et Alysse n'était même pas sortie de chez elle.. Elle avait passé la majeur partie de son temps à écrire.. ouai, elle écrivait pas mal ces temps-ci, assise par terre devant son canapé , des papiers et des photos pleins les mains. Elle construisait en parallèle de ses échanges avec Wane, une sorte de dossier parlant de son agression.. elle avait prise plusieurs photos de son corps, de ses blessures. Elle en avait en exemplaire photo, taille A4, plus petite ainsi qu'un dossier photo sur son ordinateur et une sauvegarde UsB... elle ne voulait pas prendre le risque de perdre ces preuves maintenant qu'elle n'avait presque plus aucune marque.. Son visage était redevenu le même qu'avant, les seuls signes de sa mélancolie étant ses poches sous les yeux et son airs fatigués, qui d'ailleurs, selon Aloysia, lui donnait un sacré charme. Sa meilleure amie avait cru sa version du ''j'ai énormément jouer aux jeux vidéos ce mois-ci.. tu me connais''... elle était vraiment naïve. Alysse se trouvait donc, comme toujours, assise par terre dans son salon, devant son canapé, regardant pour une énième fois les photos qui lui rappelait son viol. Elle avait aussi devant elle, plusieurs croquis.. heureusement pour elle était douée en dessin.. mais elle avait l'impression que tous ses dessins étaient différents.. et similaire à la fois et ce qui l'énervait le plus.. c'était que les visages sur ces croquis n'avait rien des obèses pervers dégueulasse des films américains.. Non ! Ce type aurait pu être top modèle putain ! Jetant devant elle les feuilles, les laissant s'étaler sur la table basse et par terre, elle soupira en basculant sa tête en arrière, s'étirant le cou..elle était si fatiguée. Elle passa sa main sur sa nuque, grimaçant en la sentant contracté et se leva alors pour se diriger vers sa cuisine.. elle portait son pyjama.. enfin ce qui lui servait de pyjama. Donc un shorty et un débardeur blanc accompagner de son beau peignoir en satin blanc qu'elle avait reçu de son père qui l'avait ramener de son voyage en chine.. bref.. elle avait lâcher ses cheveux qui avait un peu poussé et les avait laissé tomber sur ses épaules, complètement décoiffé et allant avec son look style du dimanche. Elle alluma la bouilloire et attrapa une tasse dans un placard et le café soluble.. elle y mit une cuiller et rempli sa tasse d'eau. Elle put alors sentir le réconfort dans la chaleur de sa tasse entre ses mains. Appuyée contre le plan de travail, elle soupira en fermant les yeux, reniflant l'odeur du café. Elle attrapa son paquet de cigarette et se dirigea vers la fenêtre qu'elle ouvrit, elle sortit un instant sur le balcon et regarda la vue qu'elle avait sur la ville de Miami.

Son chat vint se frotter à ses jambes en ronronnant, percevant avec force son mal-être, mais il ne pouvait rien faire.. personne ne le pouvait. Elle alluma sa cigarette et inspira fortement pour que le goudron vienne emplir ses poumons. Elle ferma les yeux en expulsant la fumer et finit par pousser son chat doucement avec les pieds pour qu'il aille voir ailleurs. Passant sa main dans ses cheveux elle prit un gorger de son breuvage caféine avant de poser la tasse sur le bord du balcon.. il était petit, mais agréable pour fumer et elle avait une vue à couper le souffle. Elle bascula sa tête en avant, laissant ses cheveux tomber devant son visage ; ceux-ci avaient beaucoup pousser, plutôt vite et lui arrivait dans le dos presque. Elle passa sa main dedans et par inadvertance, elle fit tomber sa tasse par le balcon ! Tendant le bras, elle la regarda alors se briser en mille morceaux sur le sol en bas... Les gens passant sursautèrent et virent la jeune femme penché à son balcon. Un homme hurla ''Pauvre folle'' la faisant sursauter. Elle cacha sa tête et s'assit sur le sol froid du balcon en prenant une profonde inspiration.. elle n'était pas là.. non elle n'était pas là. Elle était encore effrayé par les bruits extérieurs, mais cela allait mieux.. mais pas encore totalement. Elle se releva et laissa la baie vitré ouverte pour que cela rafraîchisse l'appartement. Elle se mit sur son canapé et alluma la télé, zappant sans but, avant de s'endormir.. d'un sommeil plutôt agité comme toujours. Elle ne se rendait pas compte de ce qui l'attendait.. encore une fois, elle ne savait pas que chez elle, n'allait plus être ce lieu de sécurité qu'elle pensait être. Grimaçant et gémissant dans son sommeil des ''non'' léger, elle était allongé, inoffensive dans son canapé, sa robe de chambre en satin glissant sur sa peau, dévoilant ses jambes et cuisses nu et son débardeur blanc remontant sur son ventre, où on pouvait voir la cicatrice blanche de la blessure qui était là autrefois..


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(#)Sujet: Re: It's time for the Round II darling [ feat. Rafael]  |   Dim 14 Juin - 2:31
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It's time for the Round II darling
Feat. Alysse

Elle essayait de mordre tout ce que ses dents pouvaient atteindre, ma mâchoire, ma nuque, ses ongles s'implantèrent dans la chaire de mes épaules, à m'en faire saigner... " Mmmhh, c'était vilain ça... " déclarai-je, en désserant à peine les dents, furieux, malgré mon sourire. Durement, je la retournais face contre le mur glacial de la ruelle, plaquant ses mains contre celui-ci. Son regard emplie de haine cherche le mien, elle se débatait violemment avant de mordre mon poignet pour se libérer et passer sous un de mes bras. Je lâchais un soupire en la voyant courir à perdre haleine... "Hey! J'ai pas 14 ans moi!  " je levais les yeux au ciel tout en frottant mon poignet, avant de remonter légèrement mon pantalon et d'en boucler la ceinture. Alors qu'elle traversait, une voiture arrivait en trombes au coin de la rue, elle allait se faire écraser cette conne. Cependant, elle eut de la chance. Comme dans les films d'action, elle a littéralement sauté par dessus le capot. Sans se rétamer à l'arrivée. " Jolie..." sifflais-je, impressionné tendis que tout le quartier a bien pu entendre le dérapage mal contrôlé de la cadillac. Elle valait bien une petite course poursuite cette jeune femme finalement. Je lui emboîtais donc le pas. " Revient ici petite ingénue! " ordonnais-je, sans parvenir à m'empêcher de rire de cette façon si satanique qui me caractérisait. J'adorais cela, être un grand méchant. 




Elle venait de s'arrêter, manquant de trébucher en vrillant sur la droite. Elle grimpais les échaffaudages extérieurs d' un immeuble comme si sa vie en dépendait... Enfin, c'était un peu le cas. Un ricanement m'échappa. Elle prenait les escaliers. Les prendre aussi serait trop long, je me décidais donc à escalader les balcons, allant de l'un à l'autre en utilisant ma force. J'avais une musculature qui ferait baver plus d'un top model, autant s'en servir. 


Légèrement éssoufflé, les abdominaux saillant, j'arrivais sur le toit en même temps qu'elle. Doucement, je retirais mon t-shirt noir avant de l'enrouler sur lui-même dans un geste ample pour mieux le tendre solidement entre mes mains, enlaçant alors solidement les fibres en coton entre mes doigts délicats d'homme. C'était curieusement très menaçant. Surtout agrémenté de ce sourire venu tout droit de chez Lucifer qui ne quittait plus mes lèvres. " N'hurle pas, tu vas juste me casser les oreilles, et tu n'a pas envie de ... " " AU SECOOOOURS! JE VOUS EN PRIS AIDEZ-MOI! " hurlait-elle de toutes ses forces, les larmes aux yeux... reculant le plus possible. Elle avait à moitié un pied dans le vide. Elle tremblait de tous ses membres. Pourquoi est-ce qu'elles criaient toutes au secours ? Comme si les rares personnes qui les entendraient allaient sortir dehors, se mettre en péril, pour les sauver. C'était ridicule. " Allez vient... Cela ne durera que quelques minutes et tout sera fini... " affirmais-je dans un sourire aussi malsein que mon regard était noir dans le sien tendis que j'approchais imperceptiblement, à pas mesuré. Son regard alternait entre le vide, il y avait huit étage, donc c'était la mort assurée, et mon regard de psychopathe. " Le choix est cornélien, hein ? " déclarais-je dans un murmure à son oreille, amusé, tout en passant le linge noir derrière sa nuque pour l'empêcher de sauter. En général, je ne prenais pas autant de risque aussi démesuré avec une des mes distractions. Elle pouvait très bien me pousser, avec l'adrénaline qui devait se trouver en elle. Elle en avait la force, mais pas forcément la conscience. Je resserai la bande que faisais le t-shirt la forçant à approcher son visage du mien, mon regard si particulier ne quittant plus le sien " J'ai pas 14 ans... j'ai 16 ans... " murmura-elle, je lui fis un sourire qui semblait tellement compréhensif... " En fait... " entamais-je, de ma voix basse, toujours dans ce même sourire, elle hocha la tête, en mordant sa lèvre inférieur, le regard vrillé dans le mien  " J'ai pas la patience... " déclarai-je dans un sourire en la poussant du haut de l'immeuble tout en éclatant d'un grand rire hollywoodien. Me penchant un peu en avant je regardais son corps disloqué sur le bitume en contre-bas. Une marre de sang grandissant autour de sa tête. Un sourire satisfait ne quittait plus mes lèvres. 

La nuit était longue encore. Du haut de l'immeuble, mon regard balaya la ville de Miami. La vue était imprenable. Je devrais peut-être installer les nouveaux locaux ici. Cela devrait satisfaire mes collaborateurs. D'ailleurs, ceux-ci m'avait fortement déconseillé de tuer la jeune femme que j'avais violé dans le cimetière deux mois auparavant: Alysse Purple... L'affaire occasionnait beaucoup trop de difficultés. Ce qui me foutait la rage. Je tuais des innocents tous les jours, et elle, on me la refusait pour la simple et unique raison qu'elle avait lancé une procédure contre ma personne. C'était... injuste... Cependant cette putain de procédure pouvait me coûter bien plus que quelques années de prison pour viol. Si la police commençait à fouiner dans mes affaires obscures, il tomberait les deux pieds joint dans mon réseau, dans mes trafics de mafieux. Du coup, depuis deux mois, j'étais partagé. Entre mon envie de la tuer et la menace sourdes des mafieux avec qui je travaillais si je venais à finir le travail sans leur consentement. Cependant, je n'aime pas les interdictions... j'avais été patient... deux mois que je me tenais loin d'elle. La laissant vivre alors que je m'étais promis de la tuer... Durant de longues semaines, elle m'avait obsédé. Je  savais tout de sa vie. Je l'avais suivi régulièrement dans la rue... Mes recherches s'étaient avéré fructueuses. D'ailleurs, son immeuble n'était pas très loin. Une petite visite ne pouvait pas faire de mal, si ? Un début de sourire se dessina sur mes lèvres...

Alors, courant sur les plateformes des bâtiments, sautant de toit en toit, avec une agilité qu'on voit rarement ailleurs que dans la jungle chez nos amis les singes, je m'y rendais. Descendant par le biais des gouttières et des balcons en utilisant chaque muscle de mon corps, particulièrement ceux de mes bras. Mon t-shirt dépassait de la poche arrière de mon pantalon. Ce qui affectait terriblement le style du  mafieux bien sous tout rapport que j'entretenais assidûment. Enfin. D'un pas souple, j'atterrissais sur son balcon. La baie vitrée était ouverte. Et bien, elle n'a peur de rien... Epoussettant doucement mes mains l'une contre l'autre, j'entrais, toujours furtif, le regard aux aguets. Examinant les lieux, passant par la cuisine, j'ouvris son réfrigérateur pour me prendre une bière que je décapsulais avec le coin d'une table... en essayant de faire le moins de bruit possible. D'autant plus en buvant quelques gorgées. En fait, toutes ces acrobaties m'avaient donné soif. Le téléviseur diffusait une émission. Cela couvrait parfaitement le son de mes pas, ce qui était parfait. Mais cela éclairait aussi un nombre incalculable de dessins au sol et sur la table basse. C'était toujours le même visage, le mien... Je fronçais légèrement les sourcils. Et après c'est moi qu'on traite de psychopate ? J'avais presque envie de rire... Néanmoins, je devais reconnaître que le regard, c'était le mien, si noir... Me dirigeant vers son ordinateur, je consultais ses mails. Ses échanges avec son avocat étaient for intéressant. Je transmettais tout sur ma boîte mail histoire d'avoir le dossier qu'ils montaient contre moi. Puis je pris bien soin d'effacer l'historique. Je remarquais ensuite une clef USB... Je la glissais dans ma poche, au cas où... Puis en me retournant je la vie endormi dans le canapé. De surprise, je reculais d'un pas et manquais de me prendre son bureau. Alors elle était là, endormie ? Je terminais ma bière, la posant délicatement sur le bureau, sans un bruit. Mon regard l'étudiait avec attention. M'approchant... Je savais que je ne devais pas...Mes collaborateurs me tueraient si je ne faisais que la toucher... Mais elle était ma vengeance. Attrapant mon revolver, je le sortais, le doigt sur la gâchette en la visant. Ce serait tellement jouissif... La tuer dans son sommeil. Alors qu'elle se pensait protégée... Mon regard balaya son corps de haut en bas. Mon arme, sans la toucher, fit de même tendis que je me déplaçais le long de son corps.


Toute vêtue de blanc... Son ventre dénudé... Je me rapellais très bien sa blessure, le goût de son sang sur ma langue léchant jouissivement la longueur de sa plaie...  Attrapant adroitement un coussin, je contournais la jeune femme, me plaçant derrière l'accoudoir, là où se trouvait son visage angélique qui cachait une rage folle lorsqu'elle la laissait s'exprimer. Solidement, je plaçais le coussin en question sur son visage pour l'étouffer. Je ne pouvais m'empêcher de rire en agissant... " Alors, je t'ai manqué Alysse ?  " énonçais-je dans un murmure à son oreille sans pour autant retirer l'objet qui pouvait lui enlever la vie. Puis, après à peine quelques secondes, je finis par l'enlever dans un léger ricanement digne d'un bel ange déchu. Je ne devais pas la tuer. Je le savais. Cependant, cela, elle, l'ignorait. Alors, je pouvais toujours jouer avec la jeune femme. Une lueur malicieuse dans le regard, j'en riais d'avance. Sans qu'elle n'ai le temps de réagir, je grimpais avec souplesse sur le canapé tant qu'elle était encore dessus, mon corps retrouva rapidement les courbes du sien que je bloquais sous la force du mien. Coinçant durement ses poignets au-dessus de sa tête sur l'accoudoir, j'entamais un léger mouvement de va et vient qui, je l'espérais, allait lui rappeler un jolie traumatisme. J'approchais mes lèvres de son oreille " Tu te souviens de ça Alysse ? " la questionnais-je dans un doux  sourire diabolique en sachant  pertinemment la réponse. Qui pouvait oublier une telle chose? C'était comme une deuxième intrusion, plus psychologique. Raviver sa mémoire, lui faire mal par le biais de ses propres souvenirs... Elle pensait peut-être que j'étais le mal en personne, mais elle n'avait encore rien vu... mon sourire froid s'élargit légèrement à cette pensée tendis que j'affirmais ma prise sur sa personne.  

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: It's time for the Round II darling [ feat. Rafael]  |   Dim 14 Juin - 17:48
Alysse ∞ Rafael
There's nothing that I'd take back, but it's hard to say there's nothing I regret. Cause when I sing, you shout, I breathe out loud, you bleed, we crawl like animals, but when it's over, I'm still awake. A thousand silhouettes dancing on my chest, no matter where I sleep, you are haunting me

Le sommeil d'Alysse était comme toujours agitée, mais elle se sentait tout de même un peu mieux. Peut-être était-ce le son de la télé qui l'a réconfortait où le fait d'avoir sentit l'air frais caresser son visage lorsqu'elle était sur le balcon quelques minutes plus tôt. Allongée sur son grand canapé, son visage se crispait parfois, gémissant dans son sommeil dans un cauchemar qui se voulait pour une fois moins agressif. Elle se reposait enfin un peu, et elle n'entendit même pas cet homme entrer dans son appartement et se servir dans son frigo. Elle dormait, les yeux clos et cet homme ne l'a remarqua même pas. Elle gigota un peu, apportant sa main à son visage et poussa un soupir, son cauchemar venant de prendre fin. Elle faisait un rêve qu'elle n'avait pas fait depuis bien longtemps... Elle se voyait, dans une belle maison et elle sortait dans le jardin, un sourire rayonnant au visage, lorsqu'un rire d'enfant se fit entendre. Une petite fille, les cheveux blonds et le visage rond, jouait et courrait dans le jardin, passant à travers un jet d'eau qui avait été installé là. C'était sa fille, sa fille qu'elle avait imaginé tant de fois.. mais dont elle ignorait tout aujourd'hui.. Pourquoi faisait-elle ce rêve encore une fois. Elle souriait, les bras croiser et le regard attendrit et maternelle qu'elle n'avait jamais eu. Mais tout d'un coup, les nuages se firent plus noir et des corbeaux tournoyèrent autour de la maison et du jardin, croassant et brisant le silence de leur imposante voix tournant comme des rapaces autour de la petite fille qui hurlait : MAMAN !!! MAMAN !! Alysse voulait hurler son nom, mais aucun son de sortait, elle ne connaissait pas son nom, elle voulait l'appeler et la sauver mais alors qu'elle allait faire un pas, une main puissante vint lui couvrir le visage, l'empêchant de respirer.. mais.. mais elle manquait réellement d'air ! De l'air !!! De l'air !!! Alors, Je t'ai manqué Alysse? cette voix résonna dans son rêve.... NON !!! Elle s'éveilla alors soudainement, sentant le tissus familier d'un de ses oreillers et l'air lui manquait.. Cette voix, cette voix !!! Les yeux s'emplissant de larmes, elle se mit à se débattre et remuer dans tous les sens pour se défaire de son emprise. Comment !! Comment l'avait-il retrouvé !! Pourquoi... pourquoi maintenant alors qu'elle se remettait tout juste de cette épreuve !! Elle tendit les main pour retirer celle de son agresseur qui maintenait l'oreiller fermement contre son visage, reconnaissant la forme et la rugosité de celles-ci comme s'il l'avait touché hier, et voulu le frapper, mais celui-ci retira alors l'oreiller soudainement quelques secondes plus tard, Elle prit une profonde inspiration, toussant un peu et crispant son visage et sa vision était plutôt trouble tandis qu'elle leva les yeux vers lui. Son visage.. son visage était le même, si froid, si horrible.. ce même charisme effrayant qui faisait de lui l'homme le plus intimidant et effrayant qu'elle n'avait jamais vu.. cette lueur dans le regard la tétanisait, et son regard grand ouvert vers lui témoignait de sa surprise et de sa peur présente.

Elle n'eut le temps de réagir qu'il passa sur le canapé, se plaça sur elle comme il l'avait déjà fait il y a déjà deux mois.. elle se sentit défaillir en le sentant une nouvelle fois sur lui. Son sang se figea et son cœur se mit à battre à tout rompre, non.. non il allait recommencer... Non pitié, tout sauf ça ! Une lueur d'effrois se vit sur son visage tandis qu'elle sentait ses poignets prient au piège entre les mains de son agresseur, placés au dessus de sa tête, contre l'accoudoir. Elle était à peine vêtu, son shorty et son débardeur blanc dévoilant parfaitement ses courbes quelques peu amaigri depuis ces derniers mois. Les poches sous ses yeux témoignaient parfaitement de son manque de sommeil mais comme toujours, et fidèle à elle même, elle ne cria pas. Pourquoi ? Pourquoi ne criait-elle pas, elle en avait pourtant envie. Elle voulait hurler, qu'on lui vienne en aide qu'on l'a libère de ce cauchemar, mais aucun son ne sortait de sa bouche. Elle était comme tétaniser et une lueur passa dans son regard lorsqu'elle le sentit entamer des mouvements de va et viens lent et léger contre elle. Elle ferma ses paupières fortement en le sentant se durcir contre elle..cet homme était le mal incarner. Mais elle ne devait pas défaillir, non elle ne devait pas lui faire ce plaisir : Tu te souviens de ça Alysse ? Chaque fois qu'elle l'entendait murmurer son prénom de sa voix pleine de sadisme et son sourire se figer sur ses lèvres humides, elle en frissonnait. Ouai elle en frissonnait.. Cet homme l'avait détruite ! Bien sûr qu'elle s'en souvenait, comment oublier. Et ce n'était pas l'acte en lui-même qu'il l'avait le plus détruite non, ce n'était pas la douleur, les cicatrices et les marques, ce n'était pas son sperme qu'elle avait sentit en elle non... La pire des humiliations, la pire des hontes était qu'il avait réussit à lui faire ressentir un plaisir qu'elle n'avait jamais connu, mélanger à cette douleur et ce sadisme qui l'a rendait folle. Il avait réussit à lui rappeler William, son premier amant qu'elle avait tuer de ses mains propres. William avait-il donc fait d'elle une femme aussi folle que son agresseur ? Elle serrait les poings qu'elle ne pouvait bouger tandis que la prise de son agresseur se faisait plus forte et que ses vas et viens se faisait plus pousser contre elle. Elle ne pouvait détacher son regard du sien, un regard plein de haine, empli de larme certes qui témoignait seul de son désespoir, mais la lueur animal qui se lisait dans les yeux de la jeune femme n'avait rien de la femme traumatiser. Rien ne pouvait laisser paraître de ce qu'elle ressentait au fond d'elle. Elle voulait hurler, se débattre, le supplier de la laisser partir et de la laisser vivre, mais cette femme était têtue et bornée et surtout, elle était une femme forte. On l'avait battu sa jeunesse, on lui avait arraché son bébé et il n'y avait rien eu au monde qui ne l'avait fait plus souffrir. Ce salop pouvait donc avoir son corps, son âme.. mais elle n'en avait déjà plus. Elle n'avait pas eu besoin de lui pour se haïr elle-même.. elle se dégouttait avant ça.

C'est à cela qu'elle pensait en cet instant même et alors que le silence se faisait dans la pièce, son visage se fendit dans un sourire : ''Et toi? Te souviens-tu de ça ?'' Sans lui laisser le temps de réagir elle vint frapper son visage avec son front, ce qui le sonna et il basculèrent tous deux sur le côté, tombant sur le sol, faisant voler quelques papier du portrait de son agresseur au sol à côté d'eux.. Elle se retrouva à califourchon sur lui et repéra le flingue, qu'elle attrapa pour le viser sur lui, sans une once de tremblement dans les mains. Une lueur de folie et de rage se perça dans ses pupilles tandis qu'elle le regardait sur le dos, près à l'attaquer. Elle pourrait tirer, elle pourrait l'abattre et se serait fini non ? Pourquoi ne tire-t-elle pas... au lieu de cela, plaquant le bout du revolver sur la tempe de son agresseur, elle se pencha sur lui, presque de façon féline et déclara dans un murmure : ''Je pourrais te buter non ? Là tout de suite ? Ce n'est pas comme si je n'avais jamais tuer de ma vie.. je n'en serais pas à mon coup d'essai..'' elle pouffa de rire, un rire forcer pour se donner une contenance et porta le pistolet à sa propre tempe : ''tu crois que tu m'as détruite, que tu as souiller mon corps et mon âme ? Tu crois ça ? Mais dis-moi, hein, comment se fait-il que tu n'es pas réussit à me tuer la première fois hein ? Pourquoi n'être pas revenu finir le travail plus tôt ? Tu avais honte ? Honte qu'une petite femme est réussi à te botter le cul ? Hahaha'' elle le frappa avec la crosse pour lui blesser l'arcade, histoire d'avoir une jolie cicatrice et qu'il soit sonner, pour ne pas trop réagir.. mais elle le soupçonnait de la laisser faire volontairement. Elle posa une de ses mains sur son torse nu et brûlant et frissonna à ce contact.. quoi ? Non, impossible... Elle secoua la tête, et replaça le bout du revolver sur la tempe de cet homme et se pencha vers lui, son peignoir en satin les enveloppant tout les deux.. A quelques centimètres de ses lèvres, elle murmura : 'Je suis sûr que tu n'as pensé qu'à moi, que je t'ai obsédé pendant tout ce temps hein ? Pourquoi serais-tu là sinon ? Pourquoi ne pas m'avoir juste tuer ? Hein ? Pour t'amuser encore une fois c'est ça ? Je suis si bonne que ça ? Tu es maso en faite, tu veux que je t'éclate les burnes encore une fois.. ça peut s'arranger..'' Glissant la main qui était sur son torse, elle se saisit fortement des parties de celui-ci à travers son jean et pressant avec force, tirant et ne lâcha pas sa prise : ''Dis-moi, enfoirée ? Je parie que tu n'embrasses jamais tes victimes, ça leur donnerait trop d'importance non ? Ce serait trop intime non ? Puis, toi le romantisme c'est loin d'être ton truc, moi non plus mais tu sais quoi ? Je vais faire une exception pour toi..'' elle sourit en coin, comme une tigresse et pressa ses lèvres aux sienne. MAIS ALYSSE TU FOUS QUOI LA FUIS !! hurlait son subconscient.. mais ce comporter ainsi lui faisait presque oublier à quel point elle était effrayer.. et ce comporter ainsi le choquerais... cela ferait diversion et... et elle ne se contrôlait pas.. Mon dieu cet homme l'avait rendu complètement folle ! Elle lâcha ses lèvres, saisissant sa lèvre inférieur avec les deux presqu'à sang et, toujours le flingue sur sa tempe, elle l'observa de haut... se rendant compte qu'elle venait d'embrasser son violeur, et qu'il était là dans la pièce, et comme si elle venait de reprendre conscience, sa main se mit à trembler sur le revolver, et elle n'arriva plus à bouger. Elle saisit le flingue avec ses deux mains, le visant à la tête, et ses yeux toujours plein de larmes et le cœur battant à tout rompre, les lèvres humides.


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(#)Sujet: Re: It's time for the Round II darling [ feat. Rafael]  |   Lun 15 Juin - 3:35
Il y avait cette folie qui dansait telle une flamme dans mon regard quand je la regardais. J'étais comme captivé par son regard, sans même en avoir conscience. C'était comme si toute mon obsession c'était rappelé tel un boomerang lorsque j'étais monté sur son corps que le mien n'avait pas encore oublié et dont j'imprimais correctement les courbes afin de débuter une belle torture digne de ma réputation dans le milieux. Lorsque je la voyais, j'avais toujours cette envie de la salir, de la pervertir... C'est pourquoi j'avais ce sourire cruel dont j'avais le secret quand mon corps commençait doucement à maltraiter le sien. Sadiquement, je lui demandais si ce mouvement de va et vient lui rappelait quelque chose... Exprès, je l'avais sussuré à son oreille, doucement tout en articulant bien chaque mot pour qu'elle entende bien la tonalité abjecte et sincère du son de ma voix. Seulement lorsque je croisais de nouveau son regard, la frayeur s'était comme envolée, remplacée par quelque chose de beaucoup plus sombre, animal et vicieux. Un sourire naquit naturellement sur mes lèvres. C'était tout ce que j'aimais: la folie. Mes goûts sont très... Particuliers, je sais. Ce qui s'avérait être aussi mauvais signe. Et effectivement, j'eu à peine  le temps de plisser le nez par méfiance qu'elle me frappa violemment à la tête. 

Tendis que que nos corps roulèrent sur le côté, mon dos se prit violemment son sol dure, évidemment il fallait que ce soit moi qui me le prenne! Elle entoura mon corps de ses jambes à l'aspect si féminin que je ne manquais d'observer malgré l'impact, haussant un sourcil appréciateur, plus pas habitude que pour la flatter. Même si ce n'était pas vraiment le moment. Elle saisit la distraction de sa défense offensive afin de s'emparer de mon arme et de la pointer sur mon visage. Sur le sien on ne pouvait lire aucun tremblement, aucune peur... Surprise... Mes sourcils se froncèrent légèrement. Mais c'est qu'elle s'était endurcie... Un sourire étira doucement mes lèvres, une lueur rieuse dans le regard. Ma langue passa imperceptiblement sur ma lèvre inférieur. J'étais curieux...  " Et bien, vas-y, tire... " la provoquais-je. Intimement, j'étais convaincu qu'elle n'avait pas ce qu'il fallait pour être une meurtrière. Cependant, j'avais tellement foutu le bordel dans sa vie, dans sa tête, que peut-être, la folie l'emporterait sur sa raison. Elle plaqua le revolver froid sur ma tempe, elle semblait si sûre d'elle... quelque chose à l'étage inférieur se mit sérieusement à enfler, elle pouvait en sentir la bosse entre ses jambes tendis que mon regard ne dérivait plus du sien. Le silence était long, intense... Elle se colla littéralement contre mon torse nu, ce qui m'étonna d'une manière que je ne saurai trop juger... Ses premiers mots me laissèrent sceptique. Un de mes sourcils se haussant avec surprise. " Oh non... Ne me dit pas que tu as tué le chaton de la voisine... C'est tellement mal Alysse... " énonçais-je en appuyant bien chaque mot pour marquer mon ironie, en laissant échapper un léger rire. Pour l'instant, je la laissais prendre le contrôle, parce que je savais que je pouvais renverser la vapeur en deux secondes. Et puis,je  n'oubliais pas que la règle numéros 1 était : Ne pas tuer Alysse Purple. Cependant, c'était aussi la règle que j'avais le plus envie d'enfreindre actuellement. Enfin, entre autres... Je me la violerai bien une deuxième fois... 

Puis elle se mit à me provoquer, à m'enerver en affirmant que je pensais l'avoir détruite alors que c'était, selon ses sarcasmes, faux. Mes dents grincèrent immanquablement. Cela ne pouvait pas être vrai... elle mentait! J'avais besoin de détruire pour me sentir bien. Si je ne détruisais alors ma vie perdait tout son sens. C'était ainsi que mon esprit de détraqué fonctionnait. J'hochais négativement la tête. Elle se mit à éclater de rire. Je ne trouvais pas cela drôle. Alors que j'allais la renverser pour tout bonnement l'étrangler avec la rage qu'elle m'inspirait, elle me donna un coup de crosse dans le crâne. Ne manquant pas de l'entailler méchamment. Mais c'est qu'elle mord! Mon regard assombrit ou comment m'énerver davantage, mon regard noir se vrilla intensément dans le sien. Elle ne mesurait pas l'erreur monumentale qu'elle commettait. Et le pire, c'est qu'elle en rajoutait. J'étais littéralement entrain de grogner. L'animal en moi, furieux, prêt à l'assaut, ne souhaitait que la déchiqueter. Cependant, malgré ma respiration haletante, je me retenais, controlant mes envies de meurtre en serrant les poings de toutes mes forces. Ne la cogne pas Rafael! Me répétais-je. Pense aux mafieux... Rafael PENSE AUX MAFIEUX. Mon regard incendiaire ne quittait plus le sien. Je crois que fusiller du regard pouvait être employé dans ce cas précis. Elle posa sa main sur mon torse devenu brûlant. A vrai dire tout mon corps s'était transformé en brasier ardent. Même à l'étage inférieur, ce qui ne faisais qu'exploser le baromètre de mon agacement déjà à son maximum. Cependant, trop aveuglé par la rage, je ne remarquais pas son tremblement incompréhensible lorsqu'elle me toucha... Elle approcha ses lèvres des miennes, et par instinct, je reculais sans pour autant perdre ne serait-ce qu'une lueur d'agressivité dans mon regard. 

Cependant lorsqu'elle commença  à parler, je semblais calme, impassible, alors qu'à l'intérieur j'étais véritablement effervescent... Comment osait-elle seulement me parler ainsi ? Cependant, il fallait reconnaître qu'elle n'avait pas tort sur tous les points... elle devinait assez judicieusement en vérité. Comment pouvait-elle seulement cerner certaines partie de ma personnalité ? C'était ... privé... indécent... J'allais exploser. Je voulais juste la retourner et la prendre bien comme il fallait pour la faire taire et lui faire comprendre qui dominait ici. Et aussi pour l'empêcher de m'atteindre d'une façon que je refusais à quiconque. Personne ne m'approchait. J'approchais. Elle avait dépassé une putain de limite, un cap dont personne ne revenait vivant. Et lorsqu'elle se mit à attraper mes couilles, c'était la goutte d'eau. J'allais exploser sauf qu'elle se mit  à m'embrasser. C'était si félin... si sensuel, si étrange et inattendu surtout. A vrai dire j'étais carrément sous le choc. Sauf qu'au lieux de la repousser, je la laissais faire. Je ne comprenais plus rien. C'était du jamais vu. Et quand mon regard croisa de nouveau le sien, je ne cherchais plus à comprendre. Sans qu'elle n'ai le temps de réagir, je la retournais violemment au sol, échangeant nos places, la regardant à peine un instant, ses lèvres aux abords des miennes. Puis sans réfléchir au revolver qu'elle tenait toujours dans la main, je l'embrassais de la même façon qu'elle l'avait fait, ajoutant une passion sauvagement animale, toute ma haine s'entre-mêlant à un désir brûlant lorsque mes lèvres dévoraient les siennes plus que les embrassaient. Alors que j'aurai pu aisément aller plus loin, je mis fin à ce moment carrément sur-réaliste " Tu trouves ça romantique ? " enfin, je l'ouvrais. Et à présent, je comptais plus la laisser prendre autant d'initiatives avant d'avoir terminé. Ma question faisait référence au fait que je venais de l'embrasser alors que j'éprouvais juste une haine intense pour elle la plupart du temps. Mon regard percuta durement le sien. " Réponds! " ordonnais-je sans lâcher son regard du mien. J'étais brutal. Je n'arrivais plus à réfléchir à ce que je faisais. Un moment, je voulais le tuer, et l'autre... je croisais son regard et j'avais terriblement envie de l'embrasser. C'était un vertige flippant. 

J'étais à la limite de trembler. Surtout agrémenté au fait que je ne supportais pas la perte de contrôle, cela pouvait rapidement devenir dangereux. Le regard noir, je brûlais, même si j'essayais de rester impassible. " Tu penses que je suis obsédé par toi ? Tu penses que je ne dors plus la nuit tellement ton visage hante mes nuits ? " entamais-je en laissant ma rage bien connue se propager jusque dans le bout de mes doigts qui désespérait d'élire domicile sur sa nuque, accompagné d'une envie de faire mal comme jamais. Je laissais un rire diabolique m'échapper avant de défaire la boucle de ma ceinture habilement. " Mon obsession n'est RIEN comparé à ma folie. " déclarais-je tel un dément, en enlevant ma ceinture d'un coup. le regard fou dans le sien, elle avait touché une corde sensible ce soir, à savoir si elle avait trouvé laquelle. " Tu penses tout savoir, tu crois que tu peux tu permettre de me provoquer sans en subir les conséquences ? " ma voix n'était plus q'un murmure, d'autant plus menaçant. Maintenant, c'est elle qui allait mordre la poussière. Un sourire bien sadique se dessina sur mes lèvres. Prestement, je me levais, pour mieux la soulever dans mes bras, qu'elle le veuille ou non. De toute façon, j'étais plus fort qu'elle. Je l'emmenais, sur le plan de travail de la cuisine. J'allais la cuisiner aux petits oignons mouahaha. J'allumais la plaque sur laquelle elle était assise. " Ne bouge plus... " ordonnais-je par sadisme. D'une main, je récupérais mon revolver que je plaçais dans sa bouche, entre ses lèvres en maintenant sa tête de mon autre main ayant glissé mes doigts dans sa chevelure blonde pour les tenir à la racine comme j'aimais si bien le faire. Si je tire un coup de feu, on croirait à un suicide...Et je serai tranquille avec les mafieux... Cependant, j'avais envie de jouer d'abord... " enlève ton haut. " la sommais-je, sans bouger tout en vrillant mon regard malicieux dans le sien. Oui c'était encore mieux, si elle devait le faire elle-même. La plaque commençait vraiment à chauffer... Un léger rire m'échappa. Je reculais alors dans un coin pour juste la regarder se brûler les fesses. J'étais prit d'un véritable fou rire. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas fendue la poire ainsi. 
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(#)Sujet: Re: It's time for the Round II darling [ feat. Rafael]  |   Mer 24 Juin - 15:55
Alysse ∞ Rafael
There's nothing that I'd take back, but it's hard to say there's nothing I regret. Cause when I sing, you shout, I breathe out loud, you bleed, we crawl like animals, but when it's over, I'm still awake. A thousand silhouettes dancing on my chest, no matter where I sleep, you are haunting me

Le temps semblait s'être arrêter dans l'appartement numéro 7 du septième étage de ce vieil immeuble dans le centre de Miami Beach et c'était vraiment devenu un délire sans nom. Alysse ne se contrôlait plus et la peur n'était rien comparée à l'adrénaline qui se propageait dans tout son corps tandis qu'elle faisait tout pour distraire son agresseur.. elle réfléchissait à peine et en faite, elle se sentait complètement folle ne contrôlant absolument pas ses gestes. Elle l'avait frapper.. deux fois !! Et le pire était ce baiser fougueux et sauvage qu'elle lui avait donné ! Pourquoi avait-elle fait ça ? Elle voulait le surprendre, le désarçonner pour mieux fuir, mais elle ne fuyait toujours pas ! Elle aurait pu le frapper jusqu'à le rendre inconscient comme elle l'avait déjà fait, mais elle n'y faisait rien. Ce malade avait une emprise sur elle, elle s'en rendait compte et cela la rendait malade ! Elle avait envie de vomir en sentant son cœur battre à tout rompre et son sang faire vibrer son sang dans ses tempes et son crânes. Elle sentait entre ses cuisses le jean de son agresseur se serrer de plus en plus, la bosse se formant davantage à chaque fois qu'elle faisait quelque chose. Pourquoi réagissait-il comme ça ?! Il était complètement malade.. le fait de le sentir entre ses cuisses contre elle ainsi la fit perdre un instant sa raison et il en profita pour soudainement échanger leur place. Elle se retrouva sur le dos et lui se trouva entre ses cuisses. La peur s'empara d'elle alors, pensant qu'il allait la frapper et le violer comme il l'avait déjà fait.. c'était ce qu'il faisait.. Mais non ! Ce qu'il fit eut raison de la folie de la jeune femme.. Il l'embrassa, comme elle l'avait fait avec une passion animal et une frénésie presque torride.. non, complètement torride. Elle écarquilla un instant avant de fermer les paupières fermement, serrant les poings son dos se cambrant sans qu'elle ne s'en rende compte. Elle ne le repoussa pas.. pourquoi ne le repoussait-elle pas putain !! Elle le laissa lui dévorer les lèvres en lui rendant presque son baiser et la jeune femme commença à être même échauffer ! QUOI ?! Mais que se passait-il dans cette maison bordel ! Lorsqu'il détacha ses lèvres des siennes, son regard se planta dans le sien et sa voix machiavélique résonna dans son esprit : ''Tu trouves ça romantique ?'' haletant, sa poitrine se soulevant au rythme de son cœur, elle ne sut quoi répondre, le regardant presque aussi surprise qu'effrayée. ''Répond !!'' ordonna-t-il, la faisant frissonner des pieds à la tête et la jeune femme ouvrit les lèvres pour répondre, comme soumise à son dominateur : ''Je.. Je.. Non.. je..'' elle était perdu, perdu face à cet homme qui l'avait violé deux mois auparavant et qui se trouvait sur elle à présent, et qui l'avait embrassé par dessus le marché. Pourquoi ne l'avait-il toujours pas violé ? Qu'attendait-il ? Il n'était pas ce genre d'homme à prendre son temps et encore moins à prendre des pincettes comme il le faisait.. car oui, il en prenait vraiment !

"Tu penses que je suis obsédé par toi ? Tu penses que je ne dors plus la nuit tellement ton visage hante mes nuits ?'' La jeune femme gardait les yeux écarquillés, le fixant, les bras poser de chaque côté de son visage, la main gauche tenant toujours le revolver qu'elle avait comme ainsi dire oublié, et elle l'écoutait, toujours aussi estomaquer.. son ton était différent. Avant, ce soir là.. il avait ce ton si joueur, si animal mais là.. la folie et le trouble ainsi qu'une sorte de frustration semblait l'habiter tandis que ses questions semblaient être plus des affirmations à ses lèvres et à la vue de la jeune femme. Elle avait apparemment toucher une corde sensible et une part d'elle avait envie de sourire de satisfaction, mais pour l'instant, les rôles étaient échangé et c'était à son tour de l'observé, confuse et ne comprenant pas se qu'il était en train de se passer. ''Mon obsession n'est RIEN comparée à ma folie'' déclara-t-il comme un dément qui essayait de se convaincre qu'il n'était pas malade. La jeune femme ne retint pas ses mots et déclara presque dans un murmure, sans aucun expression sur le visage : ''Il y a bien une obsession alors...'' Il était toujours entre ses cuisses, elle pouvait sentir son érection contre son entre jambe et cela la troublait plus que cela ne l'effrayait et cela la rendait folle de pouvoir ressentir quoique ce soit pour un malade tel que lui. Elle avait envie de le tuer, oui, elle voulait le voir couvert de sang réduit en charpie et dès qu'elle entendant sa voix, elle se figeait et n'arrivait plus à se contrôler. Il avait retiré sa ceinture d'un coup brusque en la faisant sursauté et la jeta quelques mètre plus loin : ''tu crois tout savoir, tu crois pouvoir me provoquer sans en subir les conséquences ?'' son murmure glaça le sang de la jeune fille et elle secoua la tête négativement en tremblant alors un peu : ''Non.. je ne voulais pas.. je'' elle ne put terminer sa phrase qu'elle se sentit soulevée loin du sol. Par réflexe elle passa ses mains autour de la nuque de son agresseur au lieu de lâcher prise pour pouvoir s'enfuir, sachant qu'elle tenait toujours son revolver en main ! Mais elle voulait savoir ce qu'il allait se passer … Mais merde ! Alysse Purple, est-ce que ta vie t'a-t-elle dénué de toute moral et de tout esprit saint !!??? Quel était ce jeu auquel il jouait merde ?! Il l'a posa alors brutalement sur les plaques vitrocéramique de sa cuisine et alluma celle-ci.. Non mais il se foutait du monde ou quoi ?!!! ''Ne bouge plus'' sa voix était menaçant, dominatrice et animal et sans même s'en rendre compte, elle hocha la tête comme une pauvre petite chienne soumise ! Puis, soudainement il attrapa le flingue et le plaça dans la bouche de la jeune femme qui écarquilla les yeux d'effroi. Elle voulut reculer mais il lui agrippa les cheveux d'une main ferme en appuyant sa tête contre l'embout du flingue. Elle ne le lâcha cependant pas des yeux, ses prunelles se troublant de larmes et son corps commençant à trembler. ''retire ton haut'' elle écarquilla davantage les yeux. Pourquoi lui ordonnait-il cela ?! Pourquoi devait-elle le faire.. elle sentait la plaque chauffer à travers son peignoir en satin qui la protégeait un peu.. Mais elle ne craignait rien.. il y avait une protection sur les plaques qui permettait de s'éteindre lorsque le poids étaient supérieure à 45 kg.. elle faisait 50kg.. elle déglutit lorsqu'il recula pour l'observer, son sourire sadique accrocher à ses lèvres si bien qu'elle voulait lui arracher à coup de poing !

La plaque s'éteignit d'elle même lorsque ça commençait enfin à être désagréable sans qu'il ne s'en rende compte et elle put alors réfléchir tandis qu'il l'observait toujours, s'impatientant apparemment.. Il ne l'a frappait pas. Il l'avait même laisser le frapper mais ne lui avait pas rendu ses coups. Il l'aurait fait sans hésiter normalement ! Pourquoi ne l'avait-il pas frapper ? Non pas qu'elle s'en réjouissait pas, mais elle se questionnait. Il était étrange, comme s'il y avait une force qui l'interdisait de la marquer et cela la rassura en partie. Il était hors de question qu'elle se laisse faire encore une fois, hors de question qu'il l'ai aussi facilement. Il voulait la voir horrifié, il voulait la violé, qu'il n'est pas son consentement, il se voulait brutale et aimait voir les femmes se débattre et pleurer face à son pouvoir. Et bien... il n'aurait pas ce qu'il désirait ! Le regard de la jeune femme s'assombrit alors à ses nouvelles pensées et un sourire s'accrocha à ses propres lèvres. Elle ne lui demanda pas l'autorisation et laissa ses jambes toucher le sol maladroitement, ne le quittant pas des yeux, dans un geste lent. Sans dire un mot, elle laissa alors glisser son peignoir en satin blanc sur ses épaules, jusqu'à ce qu'il vienne délicatement atterrir sur le sol. Une bretelle de son débardeur blanc qui dévoilait sa poitrine menue tombait sur son épaule et ses cheveux long en pagaille lui donnait un aspect à la fois innocent et sauvage qui la rendait folle. Elle ne le quittait pas des yeux et elle voulait jouer elle aussi.. elle avait une impression, un préssentiment qu'il ne pouvait pas réellement faire ce qu'il voulait et elle avait comme le sentiment qu'il y avait quelque chose qui l'attirait qu'il ne pouvait contrôler et elle jubilait à cette idée, se sentant folle. Elle avança vers lui, s'appuyant au plan de travail. Il l'observait, comme surpris, ou outré de la voir si pleine d'audace et de courage. Elle avança ses hanches et murmura : ''Tu veux me faire du mal. Tu veux me violer non ? Tu veux me faire payer de m'en être sortis la première fois n'est-ce pas ? Mais qu'attends-tu alors pour me tuer ? Vas-y, ce serait plus simple non ? Ho mais excuse moi, tu veux jouer non ? Mais c'est tellement plus drôle lorsque tu as le contrôle, lorsque ta proie se débat, se met à pleurer, hurle et te supplie d'arrêter... Mais je ne te donnerais pas se plaisir p'tit enfoirée.'' elle pouffa de rire, son cœur ne cessant de tambouriner dans sa poitrine et sa conscience lui hurlant de fuir et d'appeler les secours. Mais au lieu de ça et guider par une sorte de pulsion suicidaire, elle avança vers lui. Elle devait lui donner ce qu'il ne voulait pas, elle devait paraître consentante non.. elle DEVAIT être consentante à ce qui lui arrivait. L'accepter et le vivre sereinement pour qu'il soit dépiter et ne sache quoi faire. Il n'avait sûrement jamais été confronté à ce genre de situation, et il ne pourrait lui faire du mal, ni l'a violer si elle le désirait. Oui voilà la solution ! Voilà où elle était.. elle devait accepté son propre viol pour s'en défaire.. !! Mais c'était COMPLETEMENT fou !!!

Elle arriva juste en face de lui, alors qu'il tenait toujours son flingue et attrapa son poignet pour qu'il dirige l'arme jusqu'à sa poitrine, pour le provoquer comme toujours et de son autre main, elle l'avança vers sa nuque qu'elle saisit avec une douceur qui avait pour but de le surprendre : ''Vas-y.. tire, et tu seras enfin libérer de l'emprise que j'ai sur toi. Cette emprise que j'ai eu à partir du moment où je t'ai frapper dans ce cimetière jusqu'à ce que tu sombres dans l'inconscience. Tire.. ou baise-moi, là, maintenant..'' elle le voyait sous le choc et elle se mit à rire, avant de prendre le flingue brusquement et recula d'un petit pas en le visant à bout portant, elle pouvait le tuer, là.. Mais cela ne faisait pas partie de son plan et apparemment, s'il l'avait laisser faire, c'était qu'il savait aussi ce qu'elle faisait... Elle appuya alors sur la gâchette pour retirer le chargeur et jetant les deux plus loin sur le sol. Elle avança de nouveau, se collant à lui, à l'en dégoûter, son corps se couvrant de décharger électrique et avança à son oreille, sa main poser sur son torse nu et chuchota : ''Tu veux que je me débatte, que je te frappe, que je te supplie de ne pas me violer. Mais que dirais-tu si je te dis que je veux que te me prenne dans l'instant, que je te désire, que je veux tes lèvres sur mon corps ? Tu n'es pas habituer hein ? Pauvre garçon perdue..'' mais merde qu'est-ce qu'elle foutait là ?? Elle recula de nouveau, dos à lui, comme une suicidaire, et tira sur le bas de son haut qu'elle monta au dessus de sa tête pour le jeter ensuite au sol, puis, se penchant en avant, elle glissa son shorty contre ses cuisses, le faisant descendre et dévoilant ses fesses. Elle retenait son corps de trembler tant elle ne savait pas ce qu'elle faisait, mais il ne réagissait toujours pas.. C'était vraiment flippant !!! Elle prit une profonde inspiration en attrapant son peignoir au sol et le fit glisser sur elle, se retrouvant pour seul habit celui-ci.. puis, elle vint se rasseoir sur le plan de travail, là où il l'avait poser et le regarda alors, attendant sa réaction.. : ''Cela ne te plait pas hein ? Alors casse-toi de chez moi. Casse-toi de chez moi si une femme qui te demande de la baiser ne te suffit pas. J'ai entamer des poursuites contre toi ok ! Tu m'as violer une fois, UNE fois. Et je peux t'assurer que la deuxième fois cela ne sera pas un viol, HORS DE QUESTION enfoirée ! Je te laisserais faire de moi ce que tu veux, je jouirais même si ce simple fait peut te dégoutter même de me toucher ! Donc vas-y, viens, je suis toute prête !'' s'exclama-t-elle, les cheveux tombant devant son visage tordu par la colère.


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