Quand la jalousie prend le dessus (Lexie&Nate)

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

Je n’avais pas voulu le faire entrer chez moi mais Sophia avait ébranlée notre conversation et même si je voulais qu’elle se termine, ce n’était pas le cas de Nate et j’avais besoin de savoir ce qu’il voulait me dire de plus. Une fois à l’intérieur, je manquais presque de trébuché dans les souliers du sexfriend de ma sœur. Ironique quand même la situation d’avoir chacun notre ami de lit à la maison en même temps. Bon, c’était différent. Le mien tentait de me faire comprendre qu’il s’en faisait pour moi. Lorsqu’il me dit qu’il voulait plus, mon cœur rata un battement mais je compris que c’était juste une manière étrange de s’exprimer de sa part… que ce n’était pas ce qu’il voulait au sens propre. En gros, il voulait qu’on continue à coucher ensemble mais il voulait aussi que je pense à lui quand j’avais besoin d’aide… ou juste quand j’avais besoin de quelqu’un. C’était bizarre. J’avais froncé les sourcils.

« Viens. »

Je tournai les talons pour qu’il me suivre jusqu’à ma chambre. Au moins, j’avais fait le ménage de cette dernière avant-hier donc elle était quand même présentable. La chambre de ma sœur et moi étaient d’ailleurs les plus belles pièces de la maison d’après moi car nous les avions personnalisés comme bon nous semblait. Je ne pris pas la peine d’allumer la lumière en fermant la porte derrière nous. J’avais une banderole de lumières autour de mon lit qui éclairait suffisamment. genre, comme ça. Ça avait quelque chose d’apaisant. Nate avait pris place sur mon lit et je devais dire que pendant quelques secondes, je trouvais ça un peu particulier de l’avoir ainsi dans mon environnement à moi. Je m’étais doucement approché de lui pour continuer notre conversation.

« Nate, T’as pas le droit de me dire que tu le prends mal de ne rien savoir de moi alors que moi, quand je me faisais du souci pour toi avec tout ce qui s’est passé à la guerre, tu t’es enfuis en disant que ça ne me regardait pas. Tu n’es pas mieux que moi là-dessus. »

Il savait beaucoup trop que j’avais raison. Nous avions le droit les deux à nos petits jardins secrets et à nos propres problèmes. J’avais voulu l’aidé… mais il m’avait repoussé alors pourquoi est-ce que moi, je devais m’ouvrir à lui de la sorte? Je soupirai en secouant la tête. Je reposai mon regard sur lui.

« Tu vas me rendre folle. Tu dis que tu peux plus me voir et là… tu me proposes ton aide. Tu dis que je ne suis pas spéciale… et ensuite tu me dis que je suis importante pour toi. Tu dis que tu ne veux rien de sérieux… mais t’es saoul et tu me dis que tu m’aimes. Tu fais ton jaloux quand je ne te donne pas l’attention que tu veux mais t’es toujours en train de me repousser quand je décide de t’en donner. Je te dis que je t’aime plus… parce que je pense que ça va faire en sorte que tu te sentes moins obligé d’être gentil avec moi et c’est pas du tout ça qui se passe. Ça flatte ton égo de savoir que je suis toujours folle de toi? C'est pour ça que tu fais tout ça? »

J’avais le besoin de vider mon cœur et ça me faisait du bien, quitte à ce que ça l’ébranle un peu. Il n’avait pas le droit de dire que je disais n’importe quoi quand tout ça… c’était des éléments bien réel de notre relation et ce, depuis plus d’un 1 an maintenant. Un silence s’installa entre nous.

« Je pense que t’as besoin de faire le point sur ce que tu veux. » Je le regardai dans les yeux la respiration bien rapide de m’être emportée de la sorte. Je pointai la porte fermée à nos côtés. « Là techniquement… c’est le moment où j’en ai trop dit et que tu décides de quitter. »

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Quand la jalousie prend le dessus

J'avais tout dit ce que je pensais à Alexie sur la situation de cette nuit comme quoi je ne savais rien d'elle et je dois dire que ça me frustrait vraiment. J'avais du mal à le croire d'ailleurs. Je pensais la connaître plutôt bien et c'était tout le contraire. Alexie m'avait demander de la suivre silencieusement jusqu'à sa chambre. Nous allions pouvoir parler plus fort. Je la suivis jusqu'à sa chambre et je fus étonné de voir dans quelle simplicité elle pouvait dormir. Et je dirais qu'avec les petites lumières autour du lit, ça faisait une ambiance très agréable, voire même très romantique. En fait, ça chambre lui ressemblait tout simplement, du moins la partie que je connaissais d'elle. Je pris place sur le bord du lit et j'écoutai ce qu'elle avait à me répondre. Elle semblait quelque peu fâchée. À la mention de la guerre, je ne sais pas pourquoi, mais ça m'avait aussi fâché. Je m'étais peut-être enfui, mais elle n'avait pas à savoir ce détail de ma vie qui me perturbait toujours la vie! Elle n'avait pas le droit de me reprocher de vouloir garder ça pour moi. J'avais croisé les bras sur ma poitrine et je dirais que j'avais eu du mal à la la laisser parler pour la suite. Elle était en train de vider son sac et j'accrochai sur la partie où elle mentionna que je lui avais dit je t'aime. Mon coeur avait fait un saut dans ma poitrine et je me sentais plutôt mal. Je mis ensuite une main dans mon visage parce que la suite n'était pas plus jolie non plus. Elle venait de décrire mes sautes d'humeur en moins de 30 secondes et je n'en étais pas fier du tout. J'avais aussitôt froncé les sourcils à cette attaque massive!!! J'étais venu ici pour l'aider, pas pour me faire démolir... J'avais baissé la tête et le silence régnait dans la chambre. Elle pointa la porte tout en me disant que c'était sans doute le moment où j'allais partir. Je m'étais levé sans plus attendre, parce que j'étais comme ça, elle venait de me provoquer, de me confronter et je détestais ça.

- Très bien Alexie, j'étais venue vraiment pour t'aider et toi t'as pas l'air d'en avoir envie! J'avais fait deux pas vers la porte avant de me retourner et revenir vers elle. Tu sais, ouais... je fais des gaffes, je suis pas parfait!!! ON a prit la décision ensemble de ne pas en parler à Amber! ON a choisi de mentir! JE suis venu à Londres pour toi et ouiii j'ai peut-être dit des trucs que je n'aurais pas dû et je m'en excuse! Si je suis parti si vite c'était parce que ce qui s'est passé là-bas, tu n'as même pas envie de le savoir! En fait, je ne souhaiterais jamais à personne de vivre ça juste pour te dire! Ne me demande pas d'en parler, je ne le ferai pas! Je sais sans doute pas ce que je veux, j'ai peut-être un trouble mental, j'en sais rien, mais bordel Alexie!!! Tu sais à quel point c'est compliqué avec ma soeur!

J'étais pourtant avec elle en ce moment et ma soeur était toujours en désintox. Je savais qu'elle serait encore frustrée que je passe du temps avec Alexie. Bref, j'étais complètement perdu... Autant je me laissais envouter par la jolie rousse, autant j'essayais de me contrôler, autant je perdait le contrôle! Alexie n'avait pas tort dans ce qu'elle avait mentionner, mais je dois dire qu'elle avait frappé fort, là où ça fait mal.

- T'es pas correcte de dire que ça flatte mon égo que tu t'intéresses encore à moi! On dirait que pour toi, je suis le pire des salauds que t'a jamais connu. T'en connais toi des salauds qui t'offre son aide???

Je le prenais très mal parce que peu importe ce qu'on disait, on avait une grande attirance l'un envers l'autre. Bref, elle venait de me décourager et je me demandais vraiment si elle avait besoin d'être rassurée maintenant qu'elle avait dit que j'étais l'homme le plus haïssable qui soit. J'étais plutôt remonté et disons que la chambre d'Alexie ne m'aidait pas à me sentir bien.

- Je te souhaite une bonne nuit!

Ce n'était pas vraiment comme ça que j'avais pensé finir ma nuit. Je ne voulais pas créer plus de vagues parce que sa soeur dormait à côté et que c'était inutile. Alexie avait vécue assez d'émotions comme ça avec sa mère malade et je la sentais plutôt fragile... Mais ce n'était pas la peine de que j'en prenne plein la gueule. Je ne me sentais pas bien de la laisser seule, mais après tout, peut-être que c'est ça qu'elle avait besoin et qu'elle préférait ne plus me voir. Je pouvais le comprendre.

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

Je m’étais littéralement vidé le cœur. Est-ce que ça avait été le meilleur moment pour le faire alors que j’étais autant à fleur de peau? Probablement pas mais il était trop tard maintenant donc je devais assumer. Après tout, je ne regrettais pas mes paroles, car tout était vrai… et ça se voyait bien dans la réaction de Nate qu’il savait parfaitement que j’avais raison. Toutefois, je regrettais le moment et voilà qu’il me répondait que lui, il regrettait d’avoir dit des choses qu’il ne pensait pas. Je n’allais jamais comprendre cet homme, il était beaucoup trop difficile à cerner, c’était déconcertant et ça me rendait malade. Puis, il se mit à parler de la guerre et je soupirai.

« Je ne disais pas ça pour ça… je disais juste ça pour que tu comprennes que moi aussi, j’avais le droit de ne pas tout te dire… car oui, je n’ai pas été défendre le pays et je n’ai pas vu l’enfer, mais sache que je suis loin de l’avoir eu facile depuis de nombreuses années. C’est deux combats différents, mais reste qu’on ne tient pas ni l’un ni l’autre à se confier. »

Il avait le droit d’être déçu de ne rien connaitre de cette partie de ma vie, mais il devait comprendre que j’avais également le droit de l’être concernant tout ce que je ne savais pas à propos de lui aussi.

« JUSTEMENT NATE!!!!!!! Tu penses que c’est pourquoi que j’ai autant de mal à te cerner hein? »

Il me répondit uniquement de passer une bonne nuit. Il était debout depuis un moment et il s’était mis à marcher vers la porte. NONNNN!!!! Mon cœur s’emballa dans ma poitrine. Je voulais juste me jeter vers lui pour l’empêcher de passer la porte. Je recommençais à pleurer, je paniquais. Je ne voulais pas me retrouver seule. Je voulais ne pas me retrouver sans lui.

« Embrasse-moi. »

Je l’avais dit d’une voix un peu trop forte probablement, mais c’était sorti comme ça, sans que je le contrôle vraiment. Nate s’était arrêté pour se tourner vers moi. J’avais les larmes qui coulaient silencieusement à nouveau sur mes joues. J’étais immobile au beau milieu de ma chambre et voilà qu’il avait tout doucement refermée la porte. Ça me donnait un peu d’espoir. Je le regardai sans rien dire, ma lèvre inférieure tremblait légèrement sous les pleurs. J’avais serré les poings contre mon corps avant d’ajouter :

« Je sais que je passe pour la pire bipolaire au monde, je sais que j’ai l’air folle et je suis désolée de t’avoir dit tout ça, ce n’était pas le moment, je sais juste plus où donner de la tête. Je sais que la meilleure chose à faire c’est de te tenir loin de moi et j’essaie de me faire croire que c’est ce que je veux mais ce n’est pas vrai. Il y a certaines choses dont je ne suis pas prête à parler, c’est tout.» J’essuyai les larmes sur mes joues en poussant un soupir. « Tu me fais beaucoup de mal, ce n’est pas un scoop mais je réalise que ça n’équivaut jamais au bien que ça me fait de t’avoir retrouvé, que ça ne soit que temporaire ou pas. »

Car je savais qu’entre nous, c’était toujours ça. On se voyait… mais on ne savait quand on allait pouvoir passer du temps à nouveau et pourtant, ça faisait un an qu’on continuait ce petit manège. Lui, ça lui plaisait, moi… ça me détruisait. J’étais beaucoup plus attachée à lui que lui était attaché à moi. On était toujours immobile l’un l’autre puis, j’ajoutai :

« Je ne veux pas que tu partes, pas maintenant, s’il te plaît… » dis-je la voix cassée.

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Quand la jalousie prend le dessus

Je voulais partir, je voulais partir d'ici parce que tout ce qu'avait dit Alexie sur moi me dégoûtait! J'avais ouvert la bouche pour parler de ce qui s'était passé à Londres quand elle m'avait dit ce qu'Hayden lui avait dit. Je n'en revenais toujours pas. Je pensais qu'il était tenu au secret médical!!! Pourquoi il lui avait dit qu'il était préférable qu'elle se tienne loin de moi? Je ne comprenais toujours pas et quand j'aurais l'occasion, j'irais le confronter là-dessus. Puis, elle m'avait fait mention qu'elle non plus elle voulait pas parler de tout ça avec moi. Ça me faisait réagir parce que sa vie familiale n'avait rien à voir avec la guerre. Elle n'avait même pas idée! Je lui avais souhaité bonne nuit et j'avais déjà ouvert la porte quand Alexie s'était levée pour me dire de l'embrasser le tout en pleurant. C'était à rien y comprendre. Je voyais bien qu'elle n'était pas dans son état normal, elle ne savait sans doute plus ce qu'elle disait même si c'était pénible à entendre. Je me tournai alors vers elle pour la regarder. Je dois dire que la vision d'elle qui pleure ne me plaisait vraiment pas. J'avais donc refermé la porte pour pouvoir continuer à parler plus intimement, ça ne me surprendrait même pas qu'on ait réveillé sa soeur. L'entendre dire que je lui faisais beaucoup de mal, me fit mal à mon tour... ce n'était vraiment pas ce que je voulais! On dirait qu'elle pensait que je faisais exprès... Je m'étais donc rapprocher d'elle pour la prendre dans mes bras et murmurer "chuttt"... Elle n'avait pas à s'en faire.

- Je vais rester... si c'est ce que tu as envie!

Je l'embrassai tout en prenant soin d'essuyer ses larmes sur ses joues. Ce n'était pas un baiser langoureux, c'était un baiser d'apaisement. Il me faisait autant de bien qu'elle pouvait lui en faire à mon avis. Je l'amenai vers son lit pour défaire les couvertures et je m'y glissai le premier pour l'attendre. Ses draps sentaient bons, ils sentaient Alexie. Un parfum légèrement fruité et sucré à la fois. Alexie se glissa devant moi et je restai collé à elle.

- Je pense qu'on se complique beaucoup trop la vie, ça devrait être plus simple que ça. Je veux que tu saches que je suis là pour toi, pour t'aider et non pour te faire de la peine.

Je détestais voir une fille pleurer, ça me mettait tout à l'envers et je ne pouvais pas m'empêcher de culpabiliser. Notre relation avait peut-être été trop loin, on était tous les deux trop accrochés à l'un et l'autre pour réussir à jouer les indépendants. Je ne sais pas... Je ne sais pas ce que je veux. Peu importe, tout ce que je peux dire c'est que je suis bien avec elle en ce moment et que je veux qu'elle aille mieux. Je me faisais du souci pour elle, car c'est bien la première fois que je la voyais comme ça.

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

Je ne me reconnaissais pas du tout. Moi qui était toujours en contrôle de tout, j’avais l’impression que tout partait de travers… et que moi aussi, je me perdais dans tout ça. J’avais beau essayer de garder la tête hors de l’eau… j’avais plus l’impression que mes poumons se remplissaient d’eau et que je commençais à suffoquer, à me rendre tout au fond. Et pourtant, je me disais que je devais continuer à me débattre, à essayer de regagner la lumière tout en haut mais la noirceur persistait et ma force diminuait. Ça par contre, je ne voulais pas l’Avouer à personne, je ne voulais pas que personne pense que j’étais faible, bien que là… avec Nate, je lui montrais beaucoup de ma faiblesse. C’était bien pour ça que j’étais aussi surprise par la tournure de la soirée. Ce dernier s’était rapproché de moi pour me serrer dans ses bras en essayant de me calmer. Je pris de grande respiration car j’en avais bien marre de pleurer ainsi. Puis, Nathaniel m’informa qu’il allait rester si j’en avais envie. J’avais relevé la tête vers lui pour me faire prendre le visage à deux mains et ses lèvres vinrent se poser bien doucement contre les miennes. J’avais fermé les yeux pour profiter de ce baiser qui me faisait un bien fou. On me recula jusqu’à mon lit pour bouger les couvertures. Nate s’y glissa le premier en m’ouvrant ses bras, je ne perdis pas une seule seconde à m’y réfugier. À ce qu’il me dit, je secouai la tête.

« Non, ça c’est de ma faute. Je suis capable de prendre le blâme quand il me revient. Je sais que tu ne me fais pas volontairement du mal. Toi, tu veux juste t’amuser. Je pensais que j’étais plus forte émotionnellement que ça. Je me suis fait prendre au jeu, c’est tout. »

Je n’avais pas honte d’en parler avec lui. Il savait que j’avais des sentiments pour lui car je lui en avais fait part avant mon départ pour Londres et il m’avait bien fait comprendre que ce n’était pas son cas. C’était un peu difficile pour l’orgueil quand même, mais on ne peut pas forcer quelqu’un à tomber amoureux de nous non plus. J’accotai ma tête contre l’oreiller pour le regarder dans les yeux. Sa main caressait doucement mon dos, j’étais vraiment bien. Même que j’appréciais l’avoir ici dans mon propre lit. Dire que je n’avais pas voulu le faire entrer dans l’appartement et là, il était allongé dans mes draps! J’étais beaucoup trop faible face à lui, ça en faisait peur.

« On peut continuer à se voir mais si je me sens pas bien dans tout ça, on va devoir arrêter. Mais je veux que ça soit facile, je veux que ça soit simple et sans prise de tête. Si j’ai envie de te voir en public, je veux pouvoir le faire sans avoir peur de se faire surprendre… J’ai assez de problème comme ça, je veux ne pas en plus m’inquiéter pour nous deux. D’accord? »

Et puis de toute manière, c’était mieux ainsi… que ça soit simple, que j’essaie une dernière fois. De toute manière, je savais qu’il ne voulait pas être en couple avec moi et de toute manière, je ne pouvais pas vraiment m’embarquer dans une relation sérieuse avec ce que je faisais. Je regardais toujours Nathaniel dans les yeux et je le trouvais tellement beau que je ne pu faire autrement que d’approcher mon visage du sien pour venir frotter mon nez contre le sien et ensuite déposer un baiser sur ses lèvres, puis un deuxième avant de remettre ma tête sagement sur mon oreiller.

« Ça va se passer comment avec ta sœur? Elle t’a quand même demandé de faire un choix… »

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Je n'aimais pas entendre dire Alexie qu'elle pensait être forte et pouvoir surmonter ce que nous avions vécu ensemble sans rien ressentir. Ça avait bien échoué, en même temps, je ne lui avais pas dit dès le départ mes intentions... En fait, je crois que tout aurais été différent si je n'étais pas partie en mission. Parce que je ne lui aurais pas pris sa virginité pour rien lui offrir en retour... Mais les choses ne se sont pas passées comme je le pensais et comme je l'aurais voulu. Elle me suivit dans son lit et je la serrai fort contre moi parce qu'elle avait besoin de réconfort. Je voulais lui apporter parce qu'elle comptait pour moi plus qu'elle ne le croyait.

- Ça me va.. rien de compliqué... rien de caché!

Nos deux nez se joignirent et elle déposa des baisers sur mes lèvres et à chaque fois, elle savait comment me rendre fou. Oui, j'étais fou de désir pour elle. C'était comme si j'étais obligé de la toucher sans cesse pour avoir cette dose de bien-être.

- hum... ne t'inquiète pas pour ma soeur, je vais m'en occupe. Elle ne va pas bien ces temps-ci. Mais elle a pas le droit de me dire qui je dois voir ou pas...

Ma soeur n'avait jamais rien dit sur mes autres conquêtes et je voulais qu'elle en fasse autant pour Alexie. Je sais que leur relation avait été brisée par notre relation secrète, mais la vie continuait et le fait est que je n'étais pas capable de rester loin de la jolie rousse bien longtemps. Amber m'avait fait choisir entre elle et Alexie et je savais qu'elle aurait dû mal à nous voir trainer ensemble à nouveau, mais j'avais le droit de voir qui je voulais non? En même temps, je m'en faisais pour ma soeur et j'avais peur qu'elle ne veule plus me parler. Je soupirai un instant avant de lui avouer la vérité.

- Elle doit sortir de désintox bientôt... elle avait commencer à boire beaucoup trop... donc je l'ai envoyé là-bas le temps qu'elle règle son problème. Tu as raison de dire que tu as de la difficulté à me suivre, parce que quand je suis avec toi, je me sens vraiment bien et en même temps, je me sens mal parce que ma soeur, ça lui fait mal. Je ne sais pas quoi faire Alexie... Ça me dépasse...

Des fois je me dis que dans l'armée c'était beaucoup plus facile que d'affronter des problèmes de sentiments. Je laissai mon visage collé au sien et je fermai les yeux. C'était enivrant de l'avoir encore avec soi et ça faisait plus de 24h00 que nous nous étions retrouvez. Difficile de se lâcher.

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On était sur la même longueur d’onde, rien de compliqué et rien de caché. C’était parfait, c’était tout ce que je demandais. Il fallait toutefois qu’il comprenne que si je trouvais ça trop difficile de continuer à le voir sans avoir plus, j’allais devoir couper les ponts. En même temps, j’avais cette source de revenu qui m’empêcher de vouloir une relation sérieuse car si je me mettais en couple, j’allais devoir arrêter tout ça. De toute manière, ce n’était pas comme si c’était prêt d’arriver. Je m’étais contenté de voler des baisers à mon beau policier aux lèvres parfaites. Puis, je décidai de glisser un mot à propos de sa sœur. Ce dernier m’informa que sa sœur n’allait pas bien ces temps-ci mais qu’elle n’avait pas à lui dire qui il pouvait voir. Puis, il soupira. J’avais froncé les sourcils car quelque chose semblait le troubler.

« Qu’est-ce qui se passe? »

Mon cœur fit un bon énorme dans ma poitrine qu’il m’expliqua qu’Amber était en désintox. C’était lui-même qui l’avait envoyé car son problème devenait intense. J’avais beaucoup de peine pour elle car c’était quelqu’un de super. Mais Nate n’avait pas à s’en faire, il avait pris la bonne décision. J’avais cligné des yeux avant de secouer la tête puis fermer les yeux. Tout ça… ça me dépassait. Qu’est-ce qui s’était passé dans nos vies bon sang? Moi qui faisais des trucs pas correct pour avoir de l’argent, Amber qui avait un problème d’alcool et Nate qui était traumatisé de la guerre. Beau tableau! Le ton de mon ami était tellement désespéré, et puis… qu’il me dise qu’il était vraiment bien avec moi me fit une petite fleur au cœur, car je pensais la même chose de lui. Je devais le rassurer, c’était la moindre des choses car il semblait confus, troublé… et un peu perdu.

« Tu sais Nate, je ne pense pas que ça soit le fait qu’on puisse être ensemble… du moins, se tenir ensemble qui affecte vraiment ta sœur. Je pense que c’est plus le fait qu’on lui a mentit qu’elle a du mal à digérer et c’est parfaitement normal en même temps. »

Moi aussi, à sa place, j’aurais probablement réagit ainsi. Bon, elle avait cherché à comprendre et lorsque je lui avais finalement avoué que j’étais amoureuse de son frère, elle m’avait ri au visage et ça m’avait mis hors de moi. Ça s’était terminé de manière un peu trop intense mais ça, Nathaniel n’était pas obligé d’être au courant.

« Elle a peut-être des problèmes, mais il ne faut pas non plus que tu te mettre tous sur les épaules non plus. Tu as fait ce qu’il fallait en l’envoyant là-bas et même si elle peut être en colère, elle va bien finir par te remercier car c’est pour son bien. Et pour ce qui est de notre histoire avec elle… il faut juste se dire qu’elle va bien finir par passer par-dessus un jour. Surtout si elle voit qu’elle n’y peut rien. »

Elle ne pouvait rien y faire. On avait beaucoup trop de mal à rester à l’écart l’un de l’autre et ni un ni l’autre, on voulait arrêter de se voir. Ça faisait plus de 24h que j’étais en sa compagnie et j’avais encore envie de l’avoir avec moi, j’en avais pas marre de tout. Je penchai légèrement ma tête contre son cou où je fis glisser mes lèvres doucement, venant y déposer quelques baisers. J’adorais son parfum et j’aimais sa présence à mes côtés. Je remontai ma bouche vers son oreille, je pouvais sentir son souffle chaud dans mon cou, c’était déstabilisant tellement c’était plaisant.

« Dors ici avec moi. » soufflais-je à son oreille. « Je vais même aller nous chercher un petit truc à manger… puisque le grilled-cheese est affreusement loin. Demain matin, je te libère, promis. »

Ça faisait quand même longtemps que nous étions ensemble et il devait bien en avoir marre un peu et vouloir se retrouver seul. Il était peut-être pas du genre non plus à découcher de chez lui, va savoir… j’attendais sa réponse en redressant la tête pour le regarder dans les yeux, un petit sourire sur le coin des lèvres.

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Alexie et moi avions beaucoup parlé depuis hier et je dirais que ça faisait du bien de mettre les choses au clair même si c'était dur de voir la vérité en pleine face. Mentir à Amber avait été stupide! On aurait dû tout simplement s'avouer dès le départ qu'on se fréquentait.

- T'as raison...

Et je pense que le fait que ma mère ait quitté mon père pour un autre type moins que rien avait été ce qui lui avait rappelé... Les mensonges... Je savais que je m'étais mis les pieds dans les plats et en plus de ça, je lui avait volé sa meilleure amie... Victoria, puis Alexie. Je ne suis pas sûr qu'Alexie voyait la gravité de tout ça. Je savais que j'avais plus à me faire pardonner que elle. Je fus soulagé qu'elle me dise que j'avais bien fait pour ma soeur de l'envoyer en désintox... Parce que ça avait été vraiment difficile de le faire et je me posais toujours les bonnes questions là-dessus. Je n'avais personne d'autre que moi pour prendre soin de ma soeur. Je devais être le grand-frère protecteur qui veille sur elle peu importe ce qui peut se passer. Je serrai fort Alexie pour lui glisser un baiser sur la joue, puis elle me demanda de dormir ici pour le reste de la nuit, ce qui me fit sourire aussitôt. Un instant, elle ne voulait pas que j'entre chez elle et l'autre instant, elle voulait que je dorme dans son lit.

- Très bien, je t'attends ici.

Je la regardai se lever pour aller chercher quelque chose à manger, j'avais un peu faim, je dois bien l'avouer. Pendant qu'elle quitta la chambre, j'en profitai pour enlever mes chaussettes et mon chandail pour me mettre à mon aise. Quand elle revint, Alexie avait les mains pleines, des biscuits, du jus et même des chips. On aurait dit qu'elle venait de dévaliser le garde-manger que pour moi. Nous nous installâmes au sol pour éviter de faire des miettes dans son lit. Elle retourna nous chercher des verres et elle ferma la porte. Ça avait l'air plutôt bon. Je saisis immédiatement les biscuits pour en engloutir un et je mâchai tout en déclarant que c'était le meilleur biscuit pour me moquer un peu d'elle. Puis, nous entendîmes des sons louches tout à côté ce qui me fit regarder Alexie un instant.

- Attends, ta soeur elle a quel âge déjà? Parce que.... Je me mis à écouter encore.... ouais il y avait des gens qui couchaient ensemble dans l'autre pièce. Je me mis à rire aussitôt.. j'aurais jamais cru. Woh... ta soeur a l'air de bien s'amuser dis donc!

J'avais cru que sa soeur avait quoi 12 ans... mais ce n'était définitivement pas le cas. Je ris un instant encore. Je voyais bien qu'Alexie était mal à l'aise. Elle n'avait pas à s'en faire pour ça, j'avais vécu pire que ça! Laissons-leur avoir du fun... Sa soeur devait avoir un petit ami ou une petite amie qui sait... Peu importe, la concentration de manger et de parler était difficile. Je pigeais ensuite dans le sac de chips pour en avaler, sel et vinaigre, c'est ce que je préférais. Alexie venait d'en manger.

- Attend...

Je m'étais approché pour lui embrasser les lèvres pour récolter le peu de sel qui y restais. Et je me séparai pour lui lancer:

-Délicieux!

Et je m'étais remis à en manger comme si de rien n'était. Je sais, j'étais un peu agace dans mon genre, mais en même temps les bruits de fonds étaient légèrement émoustillants. Sans doute pas pour elle puisque c'était sa soeur, donc, j'allais calmer mes ardeurs aussitôt. Après tout, nous avions bien couché ensemble deux fois déjà.

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Nate avait accepté de dormir à la maison. J’avais l’air de la fille qui ne savait pas ce qu’elle voulait et c’était probablement ça aussi mais là, maintenant que je l’avais avec moi dans ma chambre, je ne voulais plus le voir partir. J’avais donc littéralement prit tout ce qui m’était tombé sur la main pour retourner à la chambre et prendre place au sol avec Nate pour commencer à manger. Puis, d’un coup… on entendit des bruits étranges. J’avais l’habitude d’entendre ça mais c’était beaucoup trop gênant d’entendre ma sœur s’envoyer en l’air dans la chambre à coté en compagnie de Nathaniel.

« Elle vient d’avoir 20 ans. Et ça… c’est Éric. Dans environ deux minutes, tu vas l’entendre jouir comme une fille. »

Au moment où je le dis, on entendit un bruit et je pointai derrière moi en affichant un visage qui voulait dire : « je te l’avais dit » Nate se mit à rire et je fis de même en levant les yeux au ciel. Je m’excusai auprès de lui car bon, c’était un peu étrange mais ça ne semblait pas le déranger puisqu’il s’approcha de moi en me demandant d’attendre. Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes et je souris immédiatement contre ses dernières, mon sourire se continua lorsque nos visages se décollèrent. C’était donc délicieux, j’avais mordu ma lèvre inférieure en baissant quelque peu la tête pour prendre mon verre d’eau.

« Alors… qu’est-ce que j’ai manqué pendant mon absence? Il s’est passé quoi de ton côté? Tu sais que Brad attendait encore sa revanche au beer pong! » dis-je en riant. « Hey… je vais me mettre en pyjama, vu que t’es mis également à ton aise. »

Je me levai en essuyant mes mains un peu trop grasse sur mes jeans. Je me rendis à ma commode pour me sortir un pyjama et je me changeai immédiatement. Nate ne se gêna pas pour me relooker, tenant même le sac de chips dans ses mains comme s’il regardait un film. Je lui balançai mon t-shirt sur le visage pour rire avec lui.

« Pas de gêne hein Wilson! »

Il n’était clairement pas gêné de me regarder ainsi. Bon, je n’étais pas gênée non plus de me changer comme ça devant lui. On s’était vu sous toutes nos formes et puis, j’avais gardé mes sous-vêtements! Je revins vers lui une fois changé et je m’installai à nouveau devant Nate pour manger un biscuit. Les bruits de la chambre voisine s’étaient arrêtés, heureusement.

« Oh… et maintenant que j’y pense, j’ai besoin de voir ton téléphone. » Nate fronça les sourcils et je me mis à genoux devant lui en tendant la main. « Il y a une certaine photo que je dois m’assurer que tu as supprimé. Tu sais clairement de quoi je parle. »

C’était la photo que je lui avais envoyé alors que j’étais saoule et toujours à Londres. J’étais entièrement nue et dans mon bain. Je lui avais demandé de la supprimé mais une petite voix à l’intérieur de moi me disait clairement que ce n’était pas fait. Je m’avançai toujours à genoux devant lui pour me pencher et essayer de fouiller dans la poche de son pantalon à l’avant, là où je pouvais voir la forme de son iPhone. Ce n’était pas si facile que ça, vu qu’il était assis et ce dernier commença à enlever mes mains en me tenant les poignets pour me couvrir de baisers un peu partout. Il essayait de me changer les idées et me déstabiliser le petit!

« Mais arrête!!!! » dis-je en riant tout à balançant ma tête sur le coté. « Nathaniel, arrête!!!! » dis-je plus fermement en redressant la tête pour froncer les sourcils un instant. Ce dernier me regarda en imitant mon regard qui se voulait fâcher mais ce n’était pas le cas et je me mis à rire à nouveau. « Ok, c’est bon… je ne vais pas essayer de te prendre ton téléphone, je vais te laisser me montrer de toi-même que t’as été un gentil garçon et que la photo n’est plus là. »

Invité

QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

J'espérais que la soeur d'Alexie n'ait pas entendu trop de choses que nous nous étions dites parce que là, ça bougeait bien dans la chambre d'à côté, même que le mec jouissait comme une fille, ça nous fit bien rire Alexie et moi. J'espérais tellement que ça soit pas pareil pour moi quand même. Je m'étais jamais arrêté à ça. Je m'attendais à ce que sa petite soeur ait 12 ans, mais en fait elle en avait 20 ans. Pourquoi je n'avais jamais entendu parlé d'elle, je ne pouvais pas le dire, mais bon. Alexie voulu savoir pendant que nous mangions ce qu'elle avait manqué pendant son absence. C'était difficile de lui sortir des nouvelles comme ça...

- Je suis allé avec les gars au chalet et devine quoi??? William a retrouvé ta petite culotte!!!!

Je vis la surprise dans son visage, c'était tellement drôle de la façon que c'était arrivé en plus. Je m'étais bien amusés avec eux d'ailleurs. Je ne savais pas quoi dire de plus à Alexie sur ce qui s'était passé parce que de toute façon, ce n'était pas bien intéressant ma vie. Elle s'était ensuite levée pour mettre son pyjama et je dois dire que je ne la quitta pas des yeux. En même temps, je ne pouvais pas faire autrement, elle se tenait devant moi. J'avais beau l'avoir vu dans toutes sa splendeur, je ne m'en lassais pas.

- Aucune gêne Anderson!

Quand elle m'appelait par mon nom de famille, je ne pouvais faire autrement que d'en faire autant avec elle! Ensuite, vint le temps de discuter de mon téléphone. Je compris vite où elle voulait en venir, mais il n'était pas question qu'elle touche à mes photos, elles étaient sacrées.

- Ho non non, t'as pas à t'en faire.. elle est effacée! J'avais pris un ton faux et elle s'en était bien rendue compte c'est pourquoi elle avançait à genoux, voulant attrapé la poche de mon pantalon où j'avais mon Iphone. Alors, je lui avais attrapé les deux poignets avec qu'une mains et elle n'était pas capable de s'en défaire ce qui me fit rire et j'en profita pour l'attaquer de bisous. Son rire était génial! On entendit par contre sa soeur frapper dans le mur, je crois qu'on abusait... Je ne suis pas sûr que sa soeur m'apprécie vraiment, peut-être qu'en lui sortant mon numéro de charme, j'en sais rien. On mit notre main devant notre bouche pour étouffer les rires qui s'ensuivirent. Alexie me demanda ensuite de lui montrer que j'avais été un bon garçon, en lui montrant que je n'avais aucune photo d'elle. Bon... j'étais fait... Je sortis alors mon téléphone tout en lui lançant un petit regard coquin et j'ouvris mon album de photos. BOn, il y en avait des assez marrantes... des filles croisées comme ça et la fameuse photo d'Alexie qui avait fait parler Jordan et William au chalet. J'avais voulu les tuer, mais je n'allais pas le dire à Alexie quand même. Je pris un instant avant de la regarder pour finalement lui montrer que j'étais vilain.

- Je crois que tu t'es trompé depuis le début Lexie.... Je pense que je suis un vilain, un vilain garçon....

Je lui montrai vite sa photo pour aussitôt me lever et éviter qu'elle n'attrape son téléphone. Je tombai sur le dos sur le lit pour l'éviter, mais elle vint vite me grimper dessus pour essayer de l'avoir.

- Heyyy tu peux pas me faire ça, c'est la meilleure photo de mon répertoire!

Sérieusement, c'était vrai! Cette photo, je l'aimais bien! Elle m'avait envoyé ça alors qu'on s'amusait à skyper ensemble lorsqu'elle était à Londres. Je tenais mon Iphone au dessus de ma tête pour éviter qu'elle ne l'attrape heureusement qu'elle était petite et qu'elle manquait de force.

- Va falloir payer cher pour me la faire enlever celle-là. Tu me donnes quoi en échange?

C'était un petit défi que je lui lançais.. mais en même temps, je n'Étais pas sûr de succomber à l'effacer. Puis, si elle prenait mon téléphone, elle ne pouvait pas l'ouvrir sans avoir le code. Je la regardai intensément dans l'espoir qu'elle cède et encore une fois, on cogna dans le mur. Décidément, on était trop bruyant, mais pas pour la même raison qu'eux.

» 8: Quand la jalousie s'installe
» Tell me what I supposed to do now? Lexie & Nate
» Let me love you (Nate&Lexie)
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Quand la jalousie prend le dessus (Lexie&Nate)

Quand la jalousie prend le dessus (Lexie&Nate)

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