(#)Sujet: Re: I can't live without you | Mar 8 Déc - 0:50
Jason & Emily
I can't live without you
Mon visage s'illumina de nouveau quand Jason déclara qu'il apprécia mon gâteau au chocolat, mais qu'au final le sexe avait été meilleur. Je dirais que c'était mission réussi dans ce cas. Et puis, je n'avais pas à dire comment j'avais apprécié ou pas, je pense qu'il s'en était bien rendu compte vu l'expression que je mettais pendant l'acte. J'étais fière de moi quand même, après tout, Jason avait eu le droit à un traitement VIP, il avait sauvé ma vie, alors je pouvais bien lui donner une soirée agréable. Est-ce que ça faisait de moi une mauvaise fille pour autant? Je ne crois pas! Je ne sais pas trop si on allait se revoir parce que je ne viendrai certainement plus à la piscine, je me contenterai du sable et de la mer maintenant. Mon accident m'avait quand même causé un traumatisme. Puis, sans m'y attendre, Jason proposa que je lui donne mon numéro. Wowww!!! Je me sentais soudainement privilégiée. - Owwwii!!! Je suis bien d'accord, je pense que ça pourrait être chouette, par contre, je vais te laisser mon numéro comme ça, ça t'évitera d'avoir un appel dès demain matin... hahaha. Tu m'appelles quand tu as envie de faire quelque chose il n'y a pas de problème.
Je sortis de ma bourse un stylo, mais vu que je n'avais pas de papier... Je pris la main de mon sauveur pour y écrire mon numéro de téléphone en y laissant un petit coeur. Je trouvais mignon mon geste, en espérant qu'il ne s'efface pas en attendant qu'il arrive chez lui. S'il avait vraiment la conviction de me téléphoner, il le ferait, sinon...... échec. Je le trouvais très intéressant Jason, il avait l'air de quelqu'un de beaucoup attentionné et j'adorais ça. Ça faisait changement des mecs que je rencontrais la plupart du temps. Alors que je rangeai tous les trucs du pique-nique dans le panier, le beach boy m'arrêta dans mon élan et j'écoutai ses remerciements à mon égard. Ça m'alla droit au coeur. Je mis ma main sur mon coeur parce que ça me toucha.
- Hooo tu es adorable, vraiment, tu sais passer proche de la mort, ça te fait réaliser que la vie est courte et qu'il faut en profiter. Si au moins tu as passé une bonne soirée, c'est l'essentiel, je tenais à te remercier. Si je suis là aujourd'hui, c'est grâce à toi.
Ce fut plus fort que moi, mes lèvres allèrent chercher un autre baiser de sa part. Sérieusement, je ne pouvais pas me sentir plus émue quand même. Je me détachai du jeune homme pour finir de ramasser et Jason s'occupa de la couverture. Il faisait frais en se levant, j'avais hâte de retrouver le chauffage de ma voiture. Il attrapa mon panier et il me suivit jusqu'à ma voiture comme un vrai gentleman.
- Merci.... et tu m'appelles quand tu veux.
Je lui fis la bise cette fois-ci et je le quittai avec le coeur qui bondissait de joie dans ma poitrine.
good vibes.
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(#)Sujet: Re: I can't live without you | Mar 15 Déc - 14:20
Emily & Jason i can't live without you.
F
inalement, je ne savais plus trop quoi penser de ce qui venait de se passer. Emily avait été très amicale au départ et me remerciait de l'avoir sauvé mais on avait fini par faire l'amour sur cette plage comme deux étrangers qui se laissent simplement aller à leurs envies. Je ne regrettais pas ce qui venait de se passer mais j'avais l'impression qu'elle le regrettait un peu. Je lui avais quand même proposer de lui donner mon numéro, histoire qu'on reste en contact parce que j'avais apprécié autant sa cuisine que ses attentions, et que son corps. Elle me donnait alors le sien, préférant que ce soit dans ce sens là pour éviter qu'elle ne me contacte déjà dès le lendemain. Je souriais légèrement en la regardant écrire son numéro dans ma main. Ca veut dire que si moi je ne t'appelle pas demain, tu seras déçue ? demandais-je sur un ton un peu taquin. Je ne pense pas que je l'appellerais demain mais dans quelques jours sans doute, au moins pour savoir si elle se remet toujours bien de son choc. Alors qu'elle s'était ensuite mise à débarrasser les affaires, je l'arrêtais un instant pour la remercier de ce qu'elle venait de m'offrir. A son tour, elle me remerciait une nouvelle fois d'avoir été son sauveur et je réalisais alors à quel point mon métier était une belle façon de gagner sa vie, à sauver des inconnus. On se quittait ensuite simplement, repartant l'un et l'autre à nos vies respectives avec un espoir de se recroiser une autre fois pour partager un repas peut-être plus raffiné.