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 Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille

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(#)Sujet: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 12:58


Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul !
Salon de tatouage. Putain j’avais la flemme de me lever ce matin, je devais travailler toute la journée, le big-boss est en congé. Sincèrement, vu la soirée d’hier, j’aurais préféré rester dans mon lit, bien au chaud, dormir, fumer, manger, regarder la télé. Mais non, l’appel de la raison, de l’argent, de la passion. Du coup j’me suis levée de mon lit, en râlant – pour pas changer – alors déjà que je suis pas du matin mais quand en plus je me paye une gueule de bois … J’ai décidé de combattre le mal par le mal, un petit verre de vodka et elle était faite. Dans la salle de bain, cette grosse boule de poil est venue me souhaiter une bonne journée, entrelacée dans mes jambes, se collant et en miaulant, j’ai pris le temps de la prendre dans mes bras, de l’embrasser et la cajoler. Mettre mon nez dans son pelade si doux, soyeux et long qui sent la noix de coco – Car oui, madame aime prendre place dans mon armoire à vêtement. J’ai pris le temps sous la douche, je veux dire il faut bien que je trouve quelque chose qui me réveille plus ou moins bien que je sais que je vais avoir la tête dans le cul toute la journée. Je décide de m’habiller avec un débardeur large, mes converses et un petit shorty en jeans, un coup de maquillage, par ici, par là. Mascara, rouge à lèvre rouge, un coup de brosse et je pouvais dire que je suis enfin prête. J’regarde l’heure, je vais être en retard, c’est sûr. Je file dans la cuisine, j’attrape un biscuit et prend au passage mon sac en bandoulière et ma veste avant de me diriger en vitesse au salon.
Les clés dans la serrure, je franchis les portes de l’établissement. Ça sent le désinfectant, l’odeur me monte à la gorge, je suffoque. C’est pas la première fois que je vais tenir le salon toute seule mais ça me fait un peu flipper, j’sais pas j’dois prendre des responsabilités quand même, c’est pas trop mon truc. J’arrive tout juste, à l’heure, j’ai juste le temps d’allumer les lampes qu’un client rentre. Je l’accueille avec gentillesse – ce qui est pas mon fort. Il me parle de ses idées d’un éventuel tatouage, je l’écoute, le conseille et lui propose de repasser plus tard dans la journée pour lui montrer le dessin que je lui aurais créé. A peine partit, je prends une feuille et me lance, laisse parler mon imagination, me retrouver dans ma bulle.
Sur le pas de la porte, clope en bouche, je regarde les gens passer. J’en attends une, plus particulière, cette petite bombasse qui passe à chaque jours à la même heure, avec son petit déhanché et son élégance. A chaque fois que je la vois, j’ai l’impression que mes yeux vont sortir de ma tête, j’sais pas, j’ressens ce truc. Ce truc comme un aimant, envie de me coller à elle, de goûter à ses lèvres, de m’imprégner de son odeur. Je tire, retiens la fumée dans ma bouche quelques instants avant de l’extraire dans un nuage. Elle débarque, juste devant moi, avec sa petite jupe bien taillée lui donnant une silhouette à tomber par terre. Elle s’arrête devant le salon, prenant un air intrigué avant de fouiller dans son sac à main. Mes yeux commencent de son visage, descendent à sa poitrine, ses femmes, ses jambes longues et interminables, et ses pieds de princesse dans des escarpins. La clope entre mes lèvres, je la capture de mes doigts. J’peux vous aider mademoiselle ? Envie d’un tatouage ? C’est pas la première fois que je vous vois passer devant le salon … Dis-je en écrasant ma clope dans le cendrier se trouvant part terre. Je m’approche d’elle, je pourrais sentir son parfum à plusieurs kilomètres à la ronde, enivrant, séduisant.Vous avez perdu quelque chose peut-être ?





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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 13:32


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Une nouvelle journée s'annonce. Avec le week-end que j'ai passé, j'étais requinquée pour au moins trois mois. J'étais au top de ma forme. malgré tous les événements passés, Prunille Wexforth n'est pas une femme qui montre ses brisures intérieures. C'est plutôt une femme qui va montrer tout le contraire. C'est exactement ce que je fais. N'importe qui me connaissant saura qu'en réalité, je n'ai besoin que d'avancer. Je préfère sourire, continuer à vivre plutôt que de faire comme mon cher frère et de tomber dans une déprime complètement invivable. J'aurais pu me laisser abattre, c'est vrai. La mort d'une soeur et d'une mère, ce n'est pas facile. Pourtant, j'étais bien debout, sur mes habituels escarpins, prête à de nouvelles aventures. Mamère ne m'en voudra pas, ça j'en suis certaine. Je pense même qu'elle préfère ma réaction à celle de Charlie, là haut, si elle l'est. Elle voit sa plus grande fille rester digne et continuer à être une brillante avocate. Même si elle ne m'a jamais dit être fière de moi, je me laisse imaginer qu'elle l'est. J'enfile donc mes chers escarpins, une jupe parfaite qui laisse mes longues jambes idylliques bien apparentes, un haut fluide blanc laissant apparaître quant à lui un peu de la dentelle de mon soutien-gorge, juste ce qu'il faut pour être sexy et pas vulgaire. Je me maquille, rouge à lèvre rouge indispensable. Je me coiffe, ma crinière sauvage et pourtant si dressée. Je prends mon sac, après avoir vérifié ma manucure et pédicure parfaite. Je m'empare de mes lunettes de soleil et je file. Je ne suis pas l'avocate aujourd'hui mais l'accro de mode qui part à la chasse aux nouvelles expériences. Je ne pars pas en me disant que je ferais ci ou ça dans la journée. Je ne suis pas de ce genre là. Je préfère me dire qu'il arrivera des choses auxquels je ne m'attendais pas. Des rencontres, pourquoi pas. J'aime l'imprévu. Je pars sans savoir si je rentrerais chez moi le soir ou non.. Après tout, c'est ce qui s'appelle vivre, non?
Je passe devant tout ces magasins en allant vers le centre commercial, dans le centre ville. Soudain, de loin, je remarque encore cette jeune femme brune qui fume à la porte d'un salon de tatouage. Cela fait plusieurs fois que je la vois par là. Je l'ai forcément remarquée, elle est une de ces femmes qui ont, juste par le physique, un effet incroyable sur mes envies. Ses lèvres ont l'air incroyablement exquise et je suis certaine qu'elle cache un corps de somptueuse déesse coquine là dessous. Déjà, une femme aussi sexy qui fume face à un salon de tatouage, comment ne pas craquer? L'effet qu'elle me faisait était incroyable. Soudain, je me demandais si je n'avais pas oublié mon téléphone chez moi. J'étais tellement heureuse ce matin que j'avais sûrement la tête en l'air. Je m'arrêtais net, sans m'apercevoir que c'était juste face à cette jeune femme que je viens de décrire. Je commençais à fouiller dans mon sac à main quand je la sentais justement près de moi, parce que tous mes sens commencèrent à obéir à mon envie d'elle. Je relevais les yeux vers mon interlocutrice, lâchant un sourire coquin et un passage de main dans les cheveux. Elle me parlait. Cette voix, je ne pouvais déjà plus m'en passer tant que je ne l'aurais pas entendu enivrée à mes côtés. Elle me demandait si j'avais besoin d'aide, lâchant sa cigarette pour l'écraser. Rien que ce geste me donnait ces chatouilles dans le bas-ventre qu'on connait toutes. Je plissais les yeux, me mordillant très secrètement la lèvre inférieure. Elle m'avait dont remarquée aussi. J'usais de mon habituelle prestance, restant fière, ne me laissant pas abattre par ce corps qui m'attirait. Je la regardais alors qu'elle s'approchait de moi. Oui, je la matais en fait, une énième fois. Elle n'adoptait pas le même style vestimentaire que moi, enfin pas là tout de suite en tout cas et pourtant... Elle avait des converses, un short et un débardeur qui lui moulait juste le haut de la poitrine à souhait. Ce short, j'aurais voulu la voir de dos pour contempler ses courbes. Mais je levais le regard vers ses tendres yeux incroyables. Je sortais les mains de mon sac à main, ayant effleuré mon téléphone portable. Je pouvais totalement me concentrer sur cette jeune femme à présent. Voilà mon imprévu, que j'appréciais déjà grandement. Je levais un sourcil en ouvrant la bouche à mon tour, utilisant une voix claire, ajoutant une note de suave. Je suis ici et là... Je me perds souvent mais j'aime à me perdre en réalité surtout quand on m'offre de l'aide. J'ai toujours pensé avoir quelque chose qui me colle à la peau mais je n'ai jamais trouvé l'inscription parfaite ni l'endroit où le faire... Peut-être que je pourrais me perdre dans votre salon avec vous et vos précieux conseils. proposais-je à la jeune femme, qui faisait monter de plus en plus d'envies en moi. Je ne pouvais pas ignorer l'ouverture de son débardeur ni la douceur évidente de ses jambes, et encore moins son parfum arrivant doucement à mes narines tandis qu'elle s'approchait.





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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 14:01


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Elle est incroyablement belle, sexy, et ça ne m’étonnerait pas qu’elle suscite l’envie de beaucoup de personne sur cette terre. Rien que de la regarder ne pouvait créer en moi une envie, un plaisir, indescriptible. Lorsqu’un son sortit de sa voix, je fus encore plus sous son charme, elle a une voix étonnement belle, sexy et d’une douceur délicieuse, je pourrais manger ses mots, manger ses lèvres. Un léger sourire en coin apparaît sur mes lèvres parfaitement dessinée, est ce que je pouvais lire à travers ces lignes comme une rencontre un peu plus approfondie entre nos deux personnes ? Du moins je n’avais pas l’impression de la rendre indifférente, que du contraire, et j’étais encore plus excitée de me dire qu’elle devait sûrement venir d’une classe aisée, un peu trop même ? Et ça me faisait sourire, simplement car on ne s’attendant sûrement pas à ça de sa part. Mais bien sûr, cela n’est que supposition.Comment pourrais-je laisser dans l’embarras une jolie jeune femme comme vous … Elle me parle de tatouage, d’endroit, d’inscription, je vais sauter sur l’occasion, peut-être que cela me permettra de voir un peu plus de son corps, des endroits improbables, des endroits que peu de personnes peuvent admirer. Peut-être même me permettra-t-elle de la toucher, la caresser, pour sentir la douceur de sa peau – Pour voir si l’aiguille va adhérer à son corps bien sûr – bien que je n’en doute pas.  Plusieurs semaines que je la croise, que je rêvasse sur son corps, que je m’imagine l’odeur de sa peau, la douceur de sa poitrine, mes lèvres qui se déposent sur ses parties les plus intimes, que je rêve de sa respiration dans mon cou, de sa langue me parcourant, de son orgasme m’enivrant. Je me mets à ses côtés, ma main se posant au creux de ses reins, la poussant légèrement vers le salon. Allons-y, perdez-vous seulement … Dis-je en murmurant. Une fois rentré dans l’établissement, je retourne la pancarte et referme la porte derrière moi. C’était l’heure de ma pause de toute façon, je vous la consacre. Comme si c’était une plaie, bien sûr que non, je n’aurais pas espérer mieux pour passer une journée plus qu’excellente. Je sens la tension palpable, le désir, l’envie, la retenue aussi. Je me sens bizarre, si brusque dans mes gestes, me retenant de ne pas m’approcher d’elle, me retenant de déposer mes lèvres tendrement dans son cou. Elle s’avance dans le salon, je suis dos à elle et profiter pour la mater, dessiner ses courbes, rêver de son corps nu, des sous-vêtements qu’elle porte. Je me mors la lèvre inférieure, je suis en train de me dire que si cela tombe c’est une grande mascarade et que mon cerveau invente les avances qu’elle me fait. Je m’appuie contre le comptoir, mes yeux posés sur elle. Vous préférez une phrase ? Ou un dessin ? Toutes les fardes sont là.  Dis-je en montrant une armoire remplie de farde contenant divers tatouages déjà réalisés ainsi que des ébauches de dessins, d’idées. Faites à votre aise, je suis disponible si vous avez besoin de qui que ce soit. Finis-je par dire, insistant peut-être un peu trop sur les derniers mots. J’attrape mon crayon et dessine quelques traits sur une feuille, cependant mon attention est focalisée sur la jeune femme dont je n’arrive à retirer mon regard. Je prends place sur le tabouret, crayon en bouche, je le mastique.   Maintenant, si vous avez des idées, je peux toujours le dessiner … Il faut voir l’endroit où vous le voulez aussi … Il parait qu’en dessous de la poitrine ou au niveau des côtes c’est très tendance …




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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 14:35


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Elle s'approchait de moi, je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder de bas en haut.. Sans laisser aucun détails que je puisse voir dès maintenant m'échapper. Tout me plaisait. On aurait pu bien croire le contraire car elle est bien différente de moi par son look. Pourtant, elle dégage un truc sauvage, sexy, un peu rebelle qui m'attire incroyablement. Je pourrais tomber très facilement dans ses filets. Elle restait super féminine sans avoir besoin d'être autant féminisée par des escarpins que moi. Ses lèvres rouges me faisaient de l'oeil. Je tentais de lui répondre sans trop en faire, juste pleine de sous-entendus, car je ne suis pas le genre de femme à cacher ce qu'elle ressent. Oui, cette jeune femme qui m'est pourtant totalement inconnue m'attire sexuellement. Elle pourrait me rendre folle à lier. J'avais déjà envie de ressentir ses lèvres dans mon cou, son souffle contre ma poitrine, je voulais parcourir son corps de mes doigts, découvrir sa douceur, sa rage sexuelle. Tout mon corps la réclamait déjà mais, j'aimais la tension sexuelle qui s'installait, ça m'excitait encore bien plus. Puis il s'avérait qu'elle était vraiment tatoueuse et l'idée de lui montrer une partie de mon corps me rendait déjà encore plus dingue. Elle répondait à mes attentes en m'invitant à entrer dans sa boutique, me laissant prendre le pas. Dommage, j'aurais bien relooké ses jolies fesses mais, j'aurais l'occasion plus tard j'en étais sûre. En attendant, sa main sur mon rein m'avait envoyé du rêve au niveau de mon bas ventre. Je souriais, prenant donc le pas. Je profitais d'être face à elle imaginant qu'elle ne me lâchais pas du regard et peut-être même qu'elle réalisait mon propre désir fessier. Du coup, je jouais de ma marche pour l'en délecter. Je me retournais une fois dans la boutique et je voyais qu'elle retournait la pancarte pour signaler que c'était occupé. J'adoptais à nouveau un sourire coquin en coin et je posais mon sac à main, me croyant déjà sur un terrain conquis. Son murmure parcouru mon corps. J'aime impressionner, qu'elle n'ait d'yeux que pour moi. Elle me consacrait sa pause, chose qui m'excita encore. Très bien, j'essaierais de la remplir au mieux possible.. dis-je feuilletant déjà les dessins qu'elle me proposait, tout près d'elle alors qu'elle s'armait de son crayon. Son "quoi que ce soit" ne me laissait évidemment pas indifférente, je ne lâchais pas mon sourire de coin. Je sentais son regard sur moi. Je jouais avec mes lèvres, les laissant entrouvertes, prêtes à n'importe quoi. Je passais mon doigt dans mes cheveux, sur mon cou que je laissais apparaitre, puis sur mes lèvres. Je n'arrivais évidemment pas à me décider, jouant comme ça. Même ce crayon dans sa bouche m'excitait. Elle reprit la parole, je levais les yeux sur elle, avec un genre "je réfléchissais" et je l'écoutais attentivement. L'endroit qu'elle me conseillait me plaisait énormément. Je souris encore coquinement. MMh sous la poitrine ce n'est pas une mauvaise idée.. C'est discret, seules certaines personnes y auront accès... Peut être un qui part des côtes là et qui arriverait se glisser doucement sur le coin de ma poitrine.. Une phrase oui peut-être ou bien quelque chose de graphique, artistique.. Une plume qui caresserait cette partie ou bien des ailes... Quelque chose de doux et de sexy à la fois vous voyez où je veux en venir..? lui proposais-je pour lui inspirer un dessin. Je la regardais faire ses traits sur son cahier, je me penchais pour laisser ouvrir mon haut fluide sur le début de ma poitrine, regardant faussement son début de dessin. Je l'examinais en prenant des pauses qui laisserait aussi apparaitre la dentelle de mon soutien gorge. hmm oui plutôt comme ça, juste qui arrive sur le sein.. dis-je en la guidant dans le dessin avec un doigt sur le dessin, un autre qui caressait, à travers mon haut, la partie où j'imaginais que le tattoo soit. Je me rapprochais d'elle, juste ce bureau nous séparait. Je prenais une voix ultra suave, comme un souffle. Je sentais son parfum enivrer mes narines. Vous pensez pouvoir me faire tout ça maintenant? Je suis sûre que vous êtes capable de m'étonner et d'en faire bien plus peut-être... finissais-je en me reculant doucement du bureau, ne la lâchant pas des yeux. Je dois m'installer par là, je suppose? continuais-je, pour ne pas lâcher cette tension incroyable. Je m'avançais, profitant pour encore une fois imaginer son regard sur mes fesses et j'allais vers le siège du client. C'était clean, et confortable. En voyant ce siège, j'imaginais des tas de choses que je pourrais faire à cette jeune femme dont elle ne pourrait jamais se lasser. Je gardais mes idées bien au chaud dans ma tête, les réservant pour plus tard... Je me retournais vers elle, enfin elle était de dos et je pouvais jeter mon dévolu sur ses fesses. Baissée en plus, j'avais une vue incroyable. Tout son corps m'appelait. Elle était follement sexy. Il faut peut-être que je retire ça.. lançais-je alors d'un souffle sexy, me défaisant de mon haut fluide et laissant mon corps de déesse et mon soutien gorge rouge dentelle faire son effet. Peut-être qu'il faut que je me défasse de ça aussi.. dis-je me redressant, portant ma main à mon dos pour dégraffer mon soutien gorge, étant tout près d'elle. Je sentais son parfum et l'odeur de ses cheveux. Je ne la lâchais pas des yeux.





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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 15:01


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Crayon en bouche, assise sur mon tabouret, mes yeux ne pouvaient pas la quitter, à croire qu’elle le sentait, qu’elle le savait et qu’elle se rendait encore plus irrésistible qu’elle ne l’est. Elle faisait naître en moi un désir, mon regard posé sur elle, je sentais se désir monter dans le bas de mon ventre. Elle m’explique que l’endroit que je lui propose lui plait, et la façon dont elle m’en parle efface en moi tout soupçon, clairement, elle me fait des avances. Et j’en étais bien contente, de me dire que cette femme sur qui je rêve depuis des mois pourrait bientôt faire partie de mes nombreuses conquêtes. Quelque chose à votre image vous voulez dire ? Doux et sexy, tout comme elle. J’attrape mon crayon, prend une feuille vierge et commence un petit croquis. S’approchant de moi, elle se penche, son parfum m’enivrant, je n’avais qua lever les yeux pour me retrouver face à ses lèvres si pulpeuses, si parfaites. Son haut laisse apparaitre le début sa poitrine, laissant mon imagination prendre le dessus, son soutient gorge, ses formes, sincèrement, j’ai envie de la bouffer.  Son parfum titille mes narines, m’excite. Son doigt se pose sur le dessin pour me guider, son autre parcourt son corps à travers son chemisier. J’ai l’impression de voir tout au ralentit, d’être comme un chat, de voir chaque détail, de voir le chemisier plier sur la pression de son doigt, d’être la feuille qu’elle caresse, de voir ses lèvres en mouvement, doucement, me parlant d’une voix qui m’ensorcèle. Étrangement, je basculais entre deux modes, elle me faisait perdre tous mes moyens et de l’autre côté, j’avais envie de lui sauter dessus, lui faire plaisir, à ma manière. Elle s’écarte du comptoir, doucement, ne me quittant pas des yeux, avec des yeux de charmeuse, de séductrice. Bien sûr, tout ce que vous voudrez … Oui, installez-vous, à votre aise. Elle se retourne, se dirigeant vers le fauteuil en cuir. Mes yeux se posent instinctivement sur ses fesses si bien dessinée, ses fesses où j’imagine mes mains, les caressant, les empoignants.  Finissant le croquis, lui tournant le dos, je pose de nouveau mon regard sur elle. Juste à ce moment précis, elle retire son haut, dévoilant un soutien-gorge à dentelle rouge, parfait, séduisant, sexy. Défaire ça, aussi.. Est-ce que j’étais en train de rêver ou elle allait retirer son soutien-gorge ? Mon rêve allait-il devenir réalité ? Elle l’avait fait, voilà qu’elle se retrouve poitrine dénudée face à moi. J’admire son corps, sa poitrine généreuse, le bout de ses seins qui pointent, sa peau à l’air d’une douceur extrême. Je me redresse,  essaye de reprendre mes esprits, je m’approche et tire le tabouret pour m’installer à ses côtés, mes yeux ne pouvant se détacher de sa poitrine, sa poitrine que j’avais envie de parcourir avec ma langue. J'attache mes cheveux en un chignon décoiffé, laissant apparaître mon cou. Je me mords la lèvre, pose mon regard dans le sien. «  Je vais d’abord faire avec le calque, comme ça, ça vous donne une idée avant de faire quoi que ce soit … » Dis-je en me tournant vers le calque et en venant le poser à l’endroit où elle le souhaitait. Mon bras effleurant son téton, montant l’excitation en moi, j’avais l’impression que ma tête allait exploser, que j’allais exploser et que dans quelques secondes je n’allais plus savoir me retenir sur rien. J’attrape une petite éponge d’eau et le passe sur le papier calque, je vois sa peau qui frisonne, ses petits poils blonds qui se redressent. Mon cœur bat à la chamade, ma respiration se fait plus rapide, l’envie, le plaisir, l’envie maintenant. Je m’approche de sa peau, retirant le calque doucement, ma respiration saccadée contre sa poitrine, concentrée sur ce que je suis en train de faire pour ne pas casser le dessin que je lui avais concocté.  Je passe ma main sur le dessin maintenant posé sur sa peau, doucement, je prends le temps, enregistrant la texture de sa peau, m’en créant un souvenir. Ma main remontant doucement sur sa poitrine, comme une caresse, un effleurement. Magnifique … Finis-je par dire en murmurant.  Vous êtes magnifique … Il vous va à merveille, met vos seins en valeur ... Dis-je dans un souffle, ma main en suspens au dessus de sa poitrine, mon visage à quelques centimètres du sien. Je pouvais sentir sa respiration dans mon visage, son haleine sentant le bubble-gum.




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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 17:36


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J'étais à demi-nue devant la femme que je venais de rencontrer. Néanmoins, cela faisait un petit bout de temps qu'elle m'attirait. Son style, sa façon d'être, son sourire, son odeur, ses cheveux, ses yeux, tout me rendait folle chez elle. Maintenant que j'avais réussi - malgré moi - à l'attirer dans mes filets, je ne la lâcherais plus. J'ai entendu sa voix magnifique, je sens de près son parfum. Je suis en tête à tête avec elle. C'est imprévu ça m'excite. Elle m'avait clairement proposé de le faire sous le sein ce tatouage, et j'avais accepté. Je sentais très clairement qu'elle répondait à mes attentes sexuelles. L'excitation était folle. Je m'avançais vers le siège en cuir et retirais mon chemisier, ainsi que mon soutien gorge. Je le faisais par étapes, histoire de nourrir cette tension. Elle semblait un peu décontenancée mais essayait de reprendre ses esprits je pense. Elle ne lâchait pas ma poitrine des yeux. Elle attachait ses cheveux en chignon sauvage, chose qui me fit louper un battement de coeur. Son cou était apparent, je voulais y déposer mes lèvres. Sa peau était magnifique. Je commençais même à voir plus de peau avec son débardeur qui bougeait tant qu'elle s'approchait. Je ne la lâchais pas elle des yeux alors qu'elle posa son calque sur ma peau, à l'endroit voulu. Mon sein pointa alors qu'elle l'effleurait avec son bras, mes poils se redressaient avec la fraîcheur de l'éponge. Elle faisait de beaux gestes, elle prenait soin de ce qu'elle faisait. Je ne la quittais pas des yeux, ni ses mains près de ma peau. Ma respiration était courte, je sentais son contact contre ma peau alors qu'elle passait sa main dessus. Elle ne rata évidemment pas son calque. Sa main sur ma peau me donnait envie de sauter sur ses lèvres et de la faire jouir immédiatement. Je me contentais de l'imaginer encore. Nos visages étaient très près alors qu'elle complimenta le dessin. Tu as vu juste alors.. soufflais-je sans changer la proximité de nos visages et en la tutoyant. Je suis Prunille. lui dis-je me rendant compte que nous nous désirions sans savoir nos prénoms respectifs. Je sentais sa main constante sur ma poitrine, ne la lâchant pas des yeux, déviant parfois sur ses lèvres. Je suis toute à toi, Camélia soufflais-je alors me reculant tout doucement pour la laisser finir le travail et passer les contours avec l'aiguille sur ma peau. Cela picotait mais c'était supportable. En même temps, j'étais plus concentrée sur elle, ses gestes, sa peau, ses lèvres, son regard, son corps que sur la douleur.
Une fois fini, je me relevais doucement regardant le reflet du tatouage, encore rouge mais quand même magnifique il fallait l'avouer. Je l'adorais déjà. J'ai bien fais de te faire confiance, je l'adore.. soufflais-je tournant la tête vers elle. Je me tournais Et toi alors, comment tu le trouves finalement? demandais-je face à elle, poitrine sous le nez avec ce nouveau tatouage fait de sa propre main. J'aimais tellement quand tu avais ta main là.. soufflais-je prenant sa main, la reposant à l'endroit exact où elle était plus tôt, me rapprochant d'elle. Tu sens comme ma peau fraîmit sous ton contact? J'ai tellement d'images qui me viennent en tête, là tout de suite.. Tandis que sa main était sur le côté de mon sein, je vins attraper doucement sa hanche, l'approchant de moi. Je sentais à nouveau pour mon plus grand plaisir son parfum qui émanait de son cou nu. Je passais un doigt, effleurant la ligne de son cou à son torse, effleurant le début de poitrine de son débardeur. Ce contact me faisait frissonner encore, je voyais sa peau se redresser aussi. Pendant ce temps, je relevais discrètement son débardeur au niveau de ses hanches pour avoir le contact avec sa peau de cette main. Sa courbure était parfaite. Nous étions à quelques millimètres l'une de l'autre. Quand je passe là devant et que je te vois, cigarette en bouche, que nos regards se croisent.. Tu n'imagines pas ce que j'ai envie de te faire Camélia, combien mon corp te réclame dans ces moments là.. Je suis sûre que toi aussi, tu en rêves, pas vrai? lui demandais-je cash, parce que je n'aime pas passer par quatre chemins et que je sens qu'elle a autant envie de moi que j'ai envie d'elle. Je monte ma main de sa hanche à sous son sein, caressant le côté de son sein, partie féminine sensible. Dis moi que tu as autant envie de moi, là, maintenant, sur ce siège de cuir. dis-je clairement, sans hésitation, avec une pointe de sévérité mais toujours avec la voix suave qu'elle a l'air de tant aimer.





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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 22:01
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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 22:50


Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul !
Elle a fini le tatouage. Je le regarde dans la glace, évidemment il est parfait. Je n'en attendais pas moins d'elle. Maintenant que c'était fait, je ne pouvais plus attendre. Cette tension sexuelle nous étouffait toutes les deux, elle avait bien assez duré. Je me tournais vers elle, poitrine face à elle. Il était temps que je l'allume pour de bon. Qu'elle craque, qu'elle me fasse hurler de plaisir. Je savais qu'elle en était capable, c'était physique entre nous. Avant de nous connaître, nous nous voulions déjà. J'aurais très bien pu ne pas lui dire mon prénom, ça aurait été la même chose. On savait qu'on était attirée l'une par l'autre et qu'on avait besoin d'assouvir ce besoin physique. Que ce serait exquis. Je savais qu'elle saurait comment me faire du bien. C'était ainsi. Depuis des semaines elle m'attirait dangereusement et c'était fait. Nous étions toutes les deux, l'une face à l'autre. Ce désir planait autour de nous. Sa main sur ma poitrine un peu avant l'avait prouvé. J'avais envie d'elle comme jamais je n'avais eu envie de quelqu'un. Je m'approchais, l'attrapant par la hanche, caressant son cou, remontant son débardeur jusqu'à la base de son sein. Pas de soutien gorge. C'était encore plus sexy. Je lui disais ces mots sensuels, ces mot que je pensais depuis toujours. Elle les confirmait. Elle était claire, cash comme je l'étais. C'était incroyablement sexy. Au plus le temps passait, au plus elle ouvrait la bouche, au plus mon corps avait envie d'elle. Elle me promettait de ma faire jouir. Je souris une nouvelle fois en coin. Tout se réchauffe là en bas, ça devient sérieux. Je caressais sa poitrine, le début en tout cas.

Elle se recula, je la regardais. D'un coup, elle m'attrapa par les hanches pour me faire basculer sur le siège en cuir. Je souris. Je me laisse faire. Elle retire son débardeur et laisse sa poitrine, sur laquelle mes yeux s'arrêtent maintenant, apparaître. Je la regarde, je la détaille. Ses seins sont parfaits. J'ai envie d'eux maintenant, moi aussi. Je savais que ça viendrait. Elle craquait sur moi, et je la ferais jouir à mon tour. Elle me chevauchait et m'attrapait la lèvre inférieur. C'était sauvage, j'aimais terriblement ça. Je faisais de même. Je gardais sa lèvre entre mes dents, sans lui faire trop mal. Elle me caresse. C'est maladroit, mais c'est bon. Sûre de moi, j'empoigne ses fesses à travers son short. Puis je place une main autour de son sein que je malaxe parfaitement afin de la rendre folle. Je pince son téton comme il faut. Ses lèvres sont exquises. Je passe ma langue dessus. On devient folle, toutes les deux. Elle descend ses baisers dans mon cou, je le tend, j'aime terriblement ses lèvres. Elles m'électrisent de toute part. Elle va prendre le terrain sur ma poitrine, n'en fait qu'une bouchée. J'attrape ses cheveux, je retire son élastique pour vraiment les attraper, l'attirer à ma poitrine qui ne demande plus qu'elle. C'est terriblement bon, je laisse des sons de gémissements sortir de ma bouche. Je sens sa main se balader sur mon ventre, j'aime ça. Je sais qu'elle va descendre et mon sexe s'en délecte d'avance. Je sens que je suis humide. Elle s'attarde sur ma cuisse puis remonte ma jupe, elle se fait un chemin sur le côté de mon string puis tire dessus. haaw lâchais-je. C'était frustrant mais excellent. Elle se redresse, je la regarde. Je posais une main sur la sienne, qui était encore tout près de mon sexe. Tu rêves de moi depuis si longtemps, contentons-nous de faire tout ce qu'on a imaginer faire à l'autre. Sache qu'avec moi il n'y a pas de limites au plaisir, baise moi. lui dis-je très cash, avec une voix rauque de plaisir. J'étais sur la bourbe montante là. Un vrai manège à sensation. Soudainement, j'attrapais son bouton de shorty et je le faisais glisser le long de ses jambes. Je lui refoutais la tête entre mes seins et enfin je pouvais empoigner ses fesses de toute ma paume de main. Je l'attrapais bien fermement. Je m'occuperais d'elle après, je le sais, parce que là, je ne pouvais pas me défaire de sa main sur mon sexe. Embrasse-moi, mords moi, lèche-moi, délectes-toi de moi, prends moi, tout ce que tu voudras mais fais le lui dis-je avec autorité et excitation. Mais je n'y arrivais pas. Il fallait que je fasse quelque chose. Je rattrapais ses lèvres en guidant sa tête vers mes lèvres. Je passais mes jambes autour du siège pour me redresser à mon tour après avoir glissé ce qu'il restait sur moi et sur elle par terre. J'attrapais sa fesse pour l'attirer contre moi. Je l'embrassais à mon tour dans le cou... Mmmh la douceur de sa peau. J'allais embrasser sa poitrine, je jouais avec ses tétons, je la faisais gémir un moment. Puis, je relevais la tête comme elle et je la regardais dans les yeux. Je descendais ma main sur son épaule, ses seins, son ventre, j'effleurais son sexe et j'allais sur les cuisses. En même temps, je levais un sourcil et je souriais coquinement. Je voulais la rendre folle avant que soudainement j'aille caresser sa fleur humide. hmmm fis-je sentant son excitation de mon doigt. Je caressais alors son sexe et puis je profitais pour faufiler dans son entre intime un, deux puis trois doigts, faisant des va et vient. Je l'embrassais d'abord follement avant de reculer et de la regarder gémir, frôler le jouissement, laisser tomber sa tête en arrière, je tirais doucement ses cheveux, j'embrassais son cou, sa poitrine. Et c'est que le début lui soufflais-je, la voix rauque de désir. Je retirais mes doigts d'elle avant d'en suçoter l'un d'entre eux et de l'embrasser comme une folle, me laissant me faire allonger de nouveau sous elle. Je suis plutôt dominatrice d'habitude mais je sais qu'elle est capable de me surprendre et me faire jouir. Je veux qu'elle le fasse. Et je lui ferais. Elle ne m'oublierait jamais.




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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 23:26
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(#)Sujet: Re: Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul ! * Prunille  |   Sam 12 Sep - 23:55


Tu veux des papillons dans le ventre ? Mets-toi une chenille dans le cul !
J'ai limite l'impression de réaliser un rêve. Comme si de cette scène, j'avais toujours rêvé et qu'enfin je touchais ça du bout du doigt. Je l'avais longtemps observée, longtemps imaginée nue, en train de jouir, en train de m'embrasser, en train de me caresser... Tout ça avait traversé mon esprit. Le vivre maintenant, c'était une chose exquise et incroyable. Elle m'embrassait les seins, je lui fourrais la tête dedans. Je retirais son short, elle me tirait sur le string me laissant dans une frustration extrême. Je me redressais, je la regardais droit dans les yeux et lui enfilais trois doigts. J'usais de va et vient alors qu'elle était au bord du jouissement, j'arrêtais tout. Je voulais qu'elle s'en souvienne, je voulais être sa meilleure partie de jambe en l'air. Je voulais qu'on remette ça, qu'on se fasse de plus en plus plaisir à chaque fois. Elle avait gémi, je lui avait tiré les cheveux, je la rendait folle petit à petit. Je le sentais. Je portais mon doigt à mes lèvres, même ça ça lui plaisait. J'osais faire ce que j'aimais et rien ne semblait lui faire peur ou être trop pour elle. Nous étions vraiment faite pour avoir des relations physiques.

Dès lors, elle attrapa mes lèvres dans un baiser fou, entremêlant nos lèvres comme des folles. Elle reprit le dessus et malgré mon habitude je la laissais faire, parce que je savais qu'elle arriverait à me faire plaisir. Je ne doutais pas d'elle. Elle savait s'y prendre avec moi. Elle passa sa main dans mes cheveux. Hmm comme c'était bon. D'un coup, me regardant dans les yeux elle alla aussi m'enfourner de ses doigts. Elle y alla, va et vient de plus en plus rapide. Je gémissais en la regardant dans les yeux jusqu'à ce que je frôle de jouir, je laissais ma tête tomber en arrière mais au bord, elle arrêta. Elle se vengeait. Je relevais la tête. C'était horrible mais, j'aimais son initiative. Elle me rendait folle, elle aussi. Elle revint m'embrasser, puis alla dans mon cou, ma poitrine. Elle allait vers mon sexe, je le sentais, je le voulais. Je voulais sentir sa langue là en bas. Je la laissais faire. Elle écarta mes cuisses et repassa ses doigts que je sentais encore là en moi. Je recommençais à gémir qu'elle y mit sa langue. Je fis des cris avec plus de fougue, plus grave d'abord puis plus intenses. Elle me demanda de jouir pour elle. J'y étais, j'y étais presque. Cette heure de tension, puis ces frustrations.. C'était trop, je ne pouvais plus tenir, je mouillais de plus en plus et sa langue me rendait folle. Sa pression sur ma fesse était dingue. J'appuyais sa tête d'un coup contre mon sexe et je criais, je jouissais. Oh mon dieu! criais-je. Je pense que personne n'avait su me faire ça. Il fallait que je me venge, et sans attendre.

Pleine d'excitation, je me relevais. Je pris ses doigts pleins de ma mouille et je lui fis les frotter sur moi, tout du long de mon ventre et de ma poitrine. Je repassais mes jambes autour du siège, sans la lâcher des yeux. J'attrapais ses lèvres dans un baiser fou, parce qu'elle m'avait rendu folle et qu'elle allait payé pour ça. Je la préparais. Je la fis relever carrément, nous étions debout, l'une contre l'autre. J'allais la claquer contre le mur le plus proche. Je l'embrassais toujours, puis j'allais dans son cou, je prenais ses tétons que je suçotais pour commencer. J'y allais plus franchement que la première fois, je la tenais par le cou, l'empêchant de trop gigoter. Je savais que c'était frustrant. Puis je la lâchais pour la regarder dans les yeux à nouveau. J'attrapais sa fesse, plus près du vagin et de l'anus. C'était trempé. Je souris. Avec l'autre main, j'enfilais quatre doigts et commençais les va et vient là, debout l'une contre l'autre, sa jambe frottait contre mon sexe trempé, nos seins s'entrechoquaient. Je restais comme ça en restant proche de la faire jouir. Là, je passais ses jambes autour de mes hanches. Je la tenais par les fesses, frottant contre le vagin et l'anus pour l'amener sur le siège. Je la jetais presque dessus. Retourne toi lui dis-je alors comme un ordre. Elle s'exécuta. Là, j'attrapais son sexe pour qu'elle relève un peu les fesses. Je vais te faire mordre l'oreiller. lui dis-je avant de frotter sans entrer mes doigts, de plus en plus vite et avec pression. Elle gémissait fortement, c'était frustrant, je le savais. Puis j'approchais ma langue de son vagin. Je jouais avec son clito avec mon pouce, alors que d'autres doigts étaient encore en elle et que je léchouillais l'extrémité de son vagin, je donnais des coups de langues. Je voulais qu'elle jouisse comme jamais. Même deux fois à la suite s'il le fallait. D'abord comme ça, avec mes doigts et ma langue sur son vagin puis, je jouais avec mon autre main à l'extrémité de son vagin, jouant toujours avec son clitoris et en faisant des va et vient en elle, j'allais donner des petits coups de langues que je savais très bien irrésistible sur son anus. Chez nous aussi les filles, c'est une zone très sensible. Et hop, c'était gagné une deuxième fois. Je la retournais de force, je tenais ses mains contre le siège et j'y retournais. Elle ne pouvait plus bouger, excitation en plus. Je jouais entre son clitoris et son vagin. Elle mouillait comme une folle. Je voulais qu'elle dise mon nom.

Quand je sentais à sa voix qu'elle était à bout de tout, je me relevais, essuyant avec mon bras toute la mouille de ma bouche. T'es tellement bonne Camélia lui dis-je alors.




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