J’avais de grands plans pour Geane et moi ce soir, j’avais pris deux billets en direction des îles, vers Bahamas. Pour notre « lune de miel » qu’on a pas eu, et pourtant ça fait bientôt deux mois qu’on s’est mariés, jours pour jours, et ça faisait deux semaines que j’avais embrassé June. Sachant que Geane sortait peu, je voulais lui faire la surprise, qu’on aille tout les deux se changer les idées, puis rien de mieux de se retrouver tout les deux près de la mer et avoir du soleil comme temps. C’est pour cela, que je lui avais envoyé un message en lui disant qu’elle prépare sa valise, et qu’elle mette surtout des bikinis, j’étais encore au travail quand je lui avais envoyé ces messages tout mignons, j’essayais d’être un mari attentionné. Cependant, ma meilleure amie Alexie me manquait énormément, on s’était quitté en froid et bien tristement, je pensais à elle pendant une majorité de l’après-midi, j’avais même essayer de prendre des nouvelles à l’accueil, mais on refusait car les informations n’étaient que réserver à la famille, j’avais beau d’être chef en pédiatrie, mais je n’avais pas tout les avantages que j’avais auparavant à Newport étant chef de l’établissement.

Lorsque je finissais mon travail, et je signais les derniers papiers qu’il y avait à faire avant de partir une semaine en congé, j’étais libéré lorsque je déposais un pied hors de l’hôpital. J’ôtais ma blouse blanche une fois à l’intérieur de ma voiture, et prit la route pour rentrer chez moi, prenant soin de la garer dans le garage de la résidence, je comptais aller en taxis, c’était beaucoup moins cher, que voulez-vous, j’étais prévoyant. Je préférais laisser ma bagnole dans mon garage que plutôt à l’aéroport de Miami. Aussitôt, je sorti dehors, il faisait déjà nuit, je marchais rapidement, afin de dégringoler les escaliers, j’étais impatient, sans plus tarder, j’ouvrais ma porte de mon appartement luxueux, où je balançais mes clefs dans le petit trousseau, et de claquer la porte. « Je suis rentré! » Dis-je en haussant le son, afin que Geane m’entende, peut-importe se trouvait-elle, je m’avançais, et je vis une grande valise, je déboutonnais les manches de ma chemise, pour les remontés jusqu’aux biceps et de poser mes deux mains sur mes hanches. Je levais la tête, cherchant du regard Geane, elle se trouvait dans le salon, et elle se dirigeait vers moi avec un grand sourire. « Salut chérie ! » Dis-je tout souriant, où je me penchais vers celle-ci, pour déposer un délicieux baiser sur ses lèvres. Je posais doucement ma main sur l’épaule de ma magnifique femme, elle semblait très intriguée par ce que je lui préparais, elle ne s’en doutait surtout pas. « Tu te demande hein ? Où es-ce-que je vais t’emmener ? » Dis-je avec une voix mystérieuse, je reculais alors, et je partis dans ma chambre pendant plusieurs minutes, pour en ressortir avec une enveloppe dans la main, et nos deux passeports. « Pour toi. J’ai fait refaire ton passeport puisqu’on est mariés maintenant. » Dis-je, oui, on s’était marié pour pouvoir calmer les rumeurs que Nightmare avait lancé et que Seb ne s’approche plus de Geane. Je doute que cela ai marché, car je savais qu’elle continuait à voir Seb en cachette, je ne disais rien, j’attendais qu’elle vienne m’en parler. « Qu’en penses-tu ? On y va ? » Demandais-je en tendant mon bras, sachant que l’avion était prêt à partir dans trois petites heures, et j’avais tout juste le temps de finir les derniers préparatifs de ma valise et de manger un petit casse-croute au restaurant, ou bien on mangera dans l’avion, on verra au moment venue.

J’avais de grands plans, on devait aller en lune de miel, plus ou moins, mais en réalité, j’avais envie de changer d’air avec ma femme. Mais celle-ci ne semblait pas être aussi enthousiaste que moi, ce qui me fit un pincement au coeur, j’essayais de comprendre pourquoi elle ne voulait pas, pourtant c’était un beau cadeau. « Une semaine vraiment ? Là-bas ? Mais pourquoi ?! » Demandait-elle, je fronçais les sourcils en l’a regardant, j’avais envie qu’on parle, j’en avais assez de cacher des choses à Geane, surtout, elle était ma personne, mon tout que j’avais, et celle qui me comprenait le mieux. « Oui, parce que je pense qu’on mérite de s’éloigner un peu de Miami, et qu’on doit discuter un peu toi & moi. » Lâchais-je en défaisant le noeud de ma cravate, il faisait chaud ici, beaucoup trop chaud, et la cravate me serrait le cou. Je lui avais demandé ce qu’elle en pensait, je ne m’y attendais pas à cette réponse, où cette dernière serait au courant pour Alexie. « Mh Hayden, arrête.. Ça me gêne.. Je pensais qu’on partirais quelque jours et pas très loin.. Non vraiment, pars avec.. ta meilleure amie, je sais que votre relation n’est pas au beau fixe en ce moment. Et je me sens déjà assez mal comme ça. Je suis désolée. » Lâchait-elle en me caressant mon bras, je reculais doucement, je me posais des questions sachant que je ne lui avais pas parler de vive-voix d’Alexie, en effet elle me manquait ma meilleure amie, et je pensais prochainement aller l’a revoir pour éclaircir certaines choses. « Arrête. Il n’y a pas de quoi à être gênée d’accord, ça me fait complètement plaisir. Aller vient s’il te plaît, me laisse pas tout seul à savourer les cocktails dans les noix de coco. » Dis-je en souriant, j’attrapais la pile de linge et l’a mit dans ma valise avant de me retourner vers celle-ci, souvent voyager nous changes les idées, et on avait clairement besoin de se parler. Nathan aurait l’appartement pour lui pendant une semaine, ce qui m’arrangeait. « Qu’est-ce-qui ne va pas ? Ce n’est pas à propos de l’argent. Je le sais. » Dis-je en regardant dans les yeux de Geane. Je planquais mes mains dans mes poches de mon pantalon.

Ok, visiblement il y avait un sérieux problème, puisque Geane semblait être convaincue d’une chose qui s’avérait complètement faux. Et je dois dire que la situation me déplaisait que mon amie puisse penser cela, je savais depuis le début que notre mariage était un mensonge depuis longtemps, sauf qu’une fois qu’on y a joué trop longtemps le jeu, on rentre dans ce personnage, j’avais toujours fait attention puisque je cherchais tout de même à respecter Geane, on avait une réputation auprès de nos amis. « Si ! Bien sûr que si ! Tu sais à quel point je déteste profiter de ton argent, je me sens assez coupable là. Je fou ta vie en l’air et toi tu t’en fou Hayden. Ouvre les yeux ! Tu t’attends à quoi au juste ? » Disait-elle en s’approchant de moi pour me prendre la main, je l’a récupérais de suite étant énervé. Je fis un geste furtif dans mes cheveux en baissant mon regard pour profiter de m’éloigner de Geane, ma vie était déjà foutu depuis un long moment, je ne voyais pas ce que ça pouvait changer grand chose. J’avais plus Madison, j’avais plus Alexie, j’avais pratiquement plus rien, hormis Geane, je me pinçais l’arrête du nez en prenant une grande inspiration. « Je sais que tu m’aimes et tu sais que je t’aime aussi mais on est pas un couple. Ok, on s’embrasse, on se donne des petits surnoms, tu prends soin de moi, je fais des efforts en cuisine, mais ce n’est pas de l’amour et je ne mérite pas tout ce que tu fais pour moi. Je suis désolée. » Disait-elle, elle répétait sans cesse qu’elle était désolée, mais désolée pour quoi au juste, c’était elle qui m’acceptait pour ce que j’étais. Je me retournais vers elle, l’air énervé. « Désolée pour quoi Geane ?! » Lâchais-je sur un ton. « Je ne veux pas que tu perdes des gens que t’aimes à cause de mes histoires de merde là. » Disait-elle attristée, ça commençait à sérieusement m’énerver, puisque cette décision on l’avait prise ensemble, j’étais prêt à tout faire pour l’a protégé, même si j’avais échoué quelque part, mais au moins elle était en sécurité ici, du moins je m’en convainquais. « Ça suffit ! On a prit cette décision ensemble Geane. Dans le but, que je puisse te protéger, point barre ! Certes, ce n’est pas de l’amour, j’aime quelqu’un autre. » Dis-je en avouant, le coup de la colère fait dire des choses que tu gardais en toi depuis trop longtemps. Je pointais mon doigt sur mon torse d’une manière furtive. « JE ! Je t’ai épousé ! J’ai perdu Madison parce qu’elle m’en veut, je peux rien faire pour réparer cette erreur. J’ai perdu Alexie, parce que je ne suis jamais là. Et je ne veux pas te perdre, la seule personne qui me comprend ! » Lâchais-je sur un ton toujours en colère, je soupirais avant de prendre une grande inspiration en l’a regardant. « Je t’ai épousé, dans le but que tu arrêtes de voir Sebastian, et tu sais ce que je vois ? Tu vas encore le voir, quelque part tu l’aimes cet homme en dépit de tout ce qu’il t’a fait. Ai-je tort ? » Demandais-je à celle-ci en attendant une vérité honnête. Je m’en fichais, si il fallait qu’on divorce, on divorcerait, si il fallait qu’on reste marié, c’était très bien aussi, ça m’est égal en réalité. Mais il fallait clairement qu’on mette les choses au clair ce soir-là.

J’allais pété les plombs, car pour moi, Geane n’était pas la fautive dans notre histoire, on avait pris cette décision ensemble, on y voyait aucun mal, jusqu’à que ça nous tue à la finale, c’était trop beau pour être vrai. Elle était au plus mal, je me devais être présent dans sa vie comme je l’ai toujours fais, à croire que réparer mes erreurs je dois en payer le prix aujourd’hui, et je le paie encore continuellement. J’étais bien mieux tout seul, sans aucun attachement, je ne dépendais de personnes, je crois que je vais demander à repartir en Irak où on ne me verrait plus du tout, jusqu’à trouver la mort. Je déclarais qu’on avait pris cette décision ensemble, qu’elle n’était pas toute seule dedans, et qu’elle ne le sera jamais du moment que j’étais dans sa vie, mais j’aimais quelqu’un autre, June. Je ne sais pas pourquoi je lui ai pas dis simplement la vérité, sûrement parce que je cherchais à protéger ma soi-disante femme. « Mais voilà, je veux ne pas être un frein à votre histoire. Tu te rends compte de tout ce que tu vas louper avec moi ! Ça se trouve, c’est la femme de ta vie. » Répondait-elle, la femme de ma vie, soudainement mon coeur se lève, j’avais envie de rigoler, je n’étais pas encore prêt pour ce genre d’engagement, plus maintenant. J’avais perdu cet espoir depuis longtemps, j’étais convaincu à l’idée que personne ne puisse m’aimer, ça toujours été comme ça, et ainsi soit-il. Elle essayait de prendre le contrôle de la situation avant qu’il ne soit trop tard, sauf que j’étais bien conscient, mais ça avait durer trop longtemps à la finale, ça nous détruisait. « Mais enfin Hayden, tu te rends compte que tout le temps où tu n’étais pas avec elle, c’est parce que tu étais à mon chevet ou au boulot. Je prenais tout ton temps. Je ne veux pas te perdre non plus, mais je veux que tu comprennes que j’ai mes raisons d’être désolée ! C’est normal, non ?! » Lâchait-elle, je fronçais mes sourcils, c’était ma décision, elle n’avait rien à faire dedans, je l’ai choisi parce qu’elle avait besoin de moi, sans moi, elle ne serait jamais remonté la pente. « Geane, Geane. C’est parce que tu en avais besoin. Si j’étais près de toi, c’est parce que tu étais au plus mal quand tu as mis le fils d’un con au monde. » Dis-je, avant de reprendre la parole. « Tu ne peux pas être désolée pour ça. C’était ma décision, et je serais toujours là pour toi comme tu as été là pour moi. » Dis-je sincèrement, avant d’expliquer mon but dans cette histoire, je venais de lui avouer que je savais pour Sebastian, malgré mon travail, je trouvais le temps de fouiller son portable. Et c’était ainsi que j’avais découvert qu’elle continuait à le voir. Elle était tendu quand je lui disais que je savais à propos de cette histoire, je posais ma main sur ma hanche, l’air sérieux, fallait que je me détende, et que je fasse face à la réalité, ils menaient un amour destructeur. « Il sait tout Hayden. Enfin.. Il sait pour Riley et que c’est lui le père. Il sait qu’on est marié ensemble mais que c’est pour de faux. Il l’a pas très bien pris, mais je pense qu’il a réussi à calmer ses nerfs. » Dit-elle, j’ouvrais grands mes yeux, avais-je bien entendu ? Ce n’était pas possible ! Pourquoi elle l’avait dit ? Donc, tout ça avait servit à rien, maintenant Sebastian doit être sûrement à la recherche de son fils, et ça va mettre en danger Madison, ou moi. Puis Geane passait la main dans son cou, je remarquais des hématomes violets près de oreille. « Bref.. » Dit-elle, je m’approchais davantage vers elle, l’air curieux. « On fait quoi maintenant ? » Demandait-elle, je levais ma main pour dégager sa main, et je découvrais des marques affreux bien dissimulés grâce au fond teint, comment avais-je fais pour ne pas voir ça ? Je posais mon regard sur le sien. « C’est Sebastian qui t’a fait ça ?! » Demandais-je surpris, elle ne m’avait rien dit, ça allait trop loin, il fallait que je fasse quelque chose. Ma rage s’accumulait envers cette homme, ça allait beaucoup trop loin. « Tu es consciente que tu t’es mise en danger ? Moi, ou Madison parce que on lui a prit votre fils ?! » Demandais-je en colère, j’étais très énervé. Heureusement qu’on n’était pas dans l’avion en route pour les Bahamas. Je n’aurais pas pu me déplacer aussi facilement, ma première pensée c’était d’aller buter Sebastian pour une fois de toute. « J’hallucine Geane !! Tu prétends de nous aimer, mais en réalité tu nous mets en danger en te mettant en danger toi-même. Et c’est toi qui en paie les conséquences avec lui ! » Dis-je froidement.

La soirée prenait une autre tournure, je ne m’attendais pas à une soirée riche en révélation. Geane voulait divorcé, et mettre fin à tout ça, je n’étais pas contre de mettre fin à notre faux mariage, ça nous détruisait tout les deux, et ça nous coutait notre entourage. J’essayais de lui faire comprendre que je serais là peut-importe quoi qu’il arrive, non pas parce qu’elle est ma femme ou mon premier amour, c’est que j’ai toujours pensé que Geane méritait mieux après tout ce qu’elle a vécu. « Ce gosse est aussi le mien, arrête.. » Disait-elle, j’avais connu la vrai face de Sebastian, son côté sombre, je trouvais cela incohérent qu’il soit capable d’élever son fils, d’une manière ou d’une autre, nous étions tous persuadés qu’il le transformerait en un monstre comme lui. « C’est le tien, tu as tout les pouvoirs de le protéger de lui, et tu le sais. » Lâchais-je. Puis, je ne voulais pas que Geane porte tout le poids de mes décisions que j’ai fais avec elle sur ses épaules, c’était aussi mon secret, on devait être deux à le porter, mais qu’une seule, et de s’en vouloir pour les conséquences qui a eu lieu. « Hayden, ça va trop loin.. » Dit-elle la jeune brune en secouant négativement la tête, elle avait raison, ça allait beaucoup trop loin, nous n’avions plus de vies, on se ment l’un et l’autre, on se déchire, on détruit des amitiés, on est mal vu avec notre mariage. « Je sais, on divorce donc. » Lâchais-je en soupirant, avant de lever les yeux au ciel, avant de passer ma main dans mes cheveux, ma tension retombait doucement.
Puis, des révélations se font entendre, Sebastian était au courant de tout. Je m’étais approché doucement de Geane, où j’avais aperçu quelque chose sur son cou, des putains d’hématomes que je n’avais jamais vu, et celle-ci essayait de le cacher, mais en vain, je l’avais vu, sans hésiter je dégageais sa main qui était sur son cou avec l’air curieux, je me permis de demander si c’était l’abruti qui lui avait fait ça. « Je.. Non. C’est mon écharpe, je l’ai serré un peu trop fort. » Disait-elle, me prenait-elle pour un débile mentale ou bien ? Il fallait être sacrément con pour ne pas voir ce genre de chose, aussitôt ma colère remontait d’un cran. « Tu me prends pour un con dis-moi Geane là ? » Demandais-je impatient de savoir la réponse, j’étais prêt à attraper ma veste et foncé chez Sebastian pour le tabasser, tellement qu’il serait à l’hôpital pendant un mois. Mes doigts se resserrent en formant une boule de poing. Puis je commençais à lui citer les conséquences qui allait avoir puisque maintenant monsieur McKay est courant de tout. « Arrête ! Je lui ai pas dis où il était ! Et il ne veut pas de ce gosse, calme toi ok ?! » Hurlait-elle sur moi, j’écarquillais mes yeux en l’entendant parler, croyait-elle aux belles paroles de Seb, il semblerait bien que oui. Je me crispais d’un coup, serrant mes lèvres pour éviter de dire quelque chose que je regretterais. « Je vous aimes ok ? Je vous aime tous les trois et il ne vous fera rien d’accord ? Et tu ne lui feras rien non plus. On va divorcer, je vais sortir de vos vies et vous aurez plus à avoir à faire avec lui. Je fais mes valises demain, je ferais en sorte de me trouver un petit appart’ à louer. Merci pour tout, je ne te revaudrai jamais ça. » Disait-elle avant de m’embrasser sur la joue avant de quitter la chambre, où je rattrapais son poignet. « Je t’aime. » Lâchait-elle en me regardant, oui, c’était bel et bien la fin de notre histoire. Je tirais légèrement Geane, pour qu’elle reste encore dans la pièce. J’étais très énervé, mais je ne le montrais pas forcément, je voulais qu’avant tout Geane soit en sécurité. Je restais un moment sans voix pendant que celle-ci me regardait. « Je suis désolé Geane. Tu restes ici. » Chuchotais-je doucement, avant de poser ma main sur sa joue, j’admirais sa beauté, j’étais chanceux de l’avoir dans ma vie, elle m’a toujours compris, et j’espèrais qu’elle le fasse encore aujourd’hui. « Je t’aime, vraiment, je l’ai toujours fais. Sinon, je ne ferais rien pour te protéger aujourd’hui. » Commençais-je avant de froncer mes sourcils et de prendre une grande inspiration, avant de regarder son cou. Peut-être que je signais mon arrêt de mort ce soir-là, mais peut-importe, je m’en foutais. « J’espère que tu me pardonneras pour ce que je vais faire. » Dis-je doucement, avant d’attraper la porte de la chambre, et d’attraper les clefs de Geane qui était posé sur le comptoir, puis je me retournais où Geane me suivait avec de gros yeux. « Reste ici avant que je ne t’appelle. » Lâchais-je, avant d’ouvrir la porte, et de fermer à clef où se trouvait Geane, laissant aucune sortie à celle-ci, puisque j’avais pris les clefs. Je parti en direction du parking en enfilant ma veste pour monter dans ma voiture, et démarrer en trombe direction vers chez Sebastian.