Un pas en avant, trois en arrière. C'était un peu ce qu'il était entrain de se passer. Mais il était hors de question que tu quittes cette maison sans avoir pu mettre les choses au clair avec Savannah. Tu ne pouvais pas la laisser enfermer dans cette salle de bain sans la rejoindre. Enfin, la rejoindre était un bien grand mot quand on sait que tu te retrouvais face à cette grande porte fermée. Cette situation te faisait réaliser combien tu étais attaché à cette fille. Tu avais seulement du mal à l'admettre car tu avais bien trop souffert dans le passé, alors désormais tu te protégeais grâce à cette forte carapace que tu avais réussi à te construire, et il était tellement difficile de réussir à la percer. C'est comme si tu avais besoin que la brunette fasse ses preuves pour enfin pouvoir lui donner une chance, mais dans le fond, tu souffrais tout autant puisque tu étais toujours sur la retenue. Il t'arrivais parfois de craquer mais ça restait tout de même très rare. Mais ce soir, tu en avais marre, tu essayais de lâcher prise, mais ce n'était pas évident. Pourtant, Savannah, elle, ne cessait de tout faire pour te prouver qu'elle t'aimait sincèrement. Quelque part, tu la croyais, tu la connaissais par coeur, tu savais lorsqu'elle était sincère, et là, tu n'avais qu'à plonger ton regard dans le sien pour y déceler toute sa sincérité. Cette envie de la prendre dans tes bras te consumais de l'intérieur. Plus tu essayais de te retenir, plus tu souffrais intérieurement. Pourquoi obsédait-elle tant tes pensées ? Pourquoi mourrais-tu d'envie de plaquer tes lèvres contre les siennes passionnément ? Pourquoi étais-tu si faible face à elle ? Pourquoi te rendait-elle aussi dingue ? Peut être parce qu'au fond, tu étais amoureux. Seulement voilà, ce mot te faisait peur. Ca ne t'étais jamais arrivé. Mais il faut bien une première fois à tout. L'attachement te faisait peur. La perte te faisait peur. Mais parfois dans la vie, il faut savoir prendre des risques, peut être qu'à force de la repousser, tu finirais par la perdre pour de bon. Pour le moment, tu savais qu'elle ferait tout pour être avec toi, alors tu savais que quoi que tu fasses, elle s'accrocherait, mais le jour où elle lâcherait prise, tu tomberais bien bas, car il ne fallait pas se leurrer, tôt ou tard, elle réalisera que tu lui fais perdre ton temps, et tu feras parti de son passé. Est-ce que c'est réellement ce que tu voulais ? Je ne pense pas, alors il était peut être temps de réagir.
Sortant de sa salle de bain, tu l'observais, tu observais chaque trait de son visage pour voir qu'elle souffrait vraiment de ta réticence. C'est alors qu'elle s'emparait de ta main, à ce moment là, des frissons parcoururent l'intégralité de ton corps. Que faisait-elle ? Elle t'entraînait tout simplement dans sa chambre, et alors que tu te retrouvais dos à son lit, cette dernière te surpris en te poussant de sorte que tu tombes sur le lit pour finir en califourchon sur toi. Instinctivement, tes mains vinrent se poser sur ses hanches, tandis que la jeune fille ôtait son tee-shit avec une telle légèreté, pour ensuite le lancer par terre dans la chambre, se retrouvant ainsi en sous-vêtements. Tu prenais le temps de détailler chaque parcelle de son corps, te mordant ainsi la lèvre inférieur. Elle était vraiment parfaite. Tu t'écouterais tu ferais ce dont elle désire, mais tu ne pouvais pas te le permettre. Ca semblait être comme un adieu. Et tu sais très bien ce que veut dire ce mot. Adieu veut dire que tu ne reverras jamais la personne, et tu n'avais aucunement envie que cela arrive. Tu ne voulais même pas imaginer une vie où la brunette n'en ferait pas partie. Quoi qu'il arrive, malgré toutes les difficultés, tu avais besoin d'elle. Rien n'était simple parce que tu étais loin d'être simple, mais tu ne pouvais pas renoncer à elle. Et tu ne pouvais encore moins renoncé à elle quand elle prenait la parole pour t'annoncer qu'elle regrettait ce qu'elle t'avait dit précédemment car dans le fond, elle était incapable d'accepter parce qu'elle ne voulait pas avoir à vivre loin de toi. C'est tout ce que tu voulais, qu'elle reste là. Elle ajoutait qu'elle ne partirait que si tu partais avec elle. Et comme tu ne partirais pas, alors elle ne pouvait pas partir. « Non, tu...  » Elle se penchait pour s'emparer de tes lèvres dans un langoureux baiser. Rien que pour ça tu n'avais pas envie qu'elle parte. Elle savait comment s'y prendre avec toi pour te faire lâcher prise. Tu remontais doucement l'une de tes mains le long de son corps, prenant le temps de découvrir ce dernier avec tes mains, pour la glisser dans sa longue chevelure, mettant de l'intensité à votre baiser. Sa poitrine se posait sur ton torse, sa peau chaude contre la tienne te fis de nouveau frissonner. Elle te rendait complètement dingue, elle te faisait tourner la tête. « J'ai pas envie que tu partes, soufflais-tu entre deux baisers. Je vais essayer » déclarais-tu contre ses lèvres. Essayer de lâcher prise. Essayer d'avoir confiance en elle. Bien sûr, cette phrase avait crée un noeud au creux de ton estomac. Tu avais peur de te lancer, mais tu ne voulais pas qu'elle te file entre les doigts et qu'elle appartienne à un autre, tu t'en mordrais les doigts. Tandis que l'une de tes mains glissait dans sa chevelure, l'autre se baladait sur son corps, la serrant un peu plus contre toi. A ce moment précis, tu n'avais qu'une seule envie : envie d'elle. Tu t'étais tellement retenu que tu n'avais plus envie de partir, tu voulais rester avec elle, et faire de cette soirée, une soirée inoubliable. C'est pour cette raison que tu la fis basculer sur le côté, afin de te retrouver à ton tour sur elle. Tu faisais bien entendu attention à elle. Tes mains vinrent retirer ton tee-shirt que tu lançais à travers la chambre pour te retrouver torse nu. Redresser, tu prenais le temps de l'admirer, ton regard ancré dans le sien, tu t'en mordais la lèvre inférieur tant tu la désirais. Subitement la chaleur montait dans la pièce. Tu passais l'une de tes mains dans tes cheveux pour les remettre en arrière, avant de t'emparer de ses poignets pour les mettre au dessus de sa tête, et venir l'embrasser avec une passion indescriptible. Elle te faisait littéralement perdre la raison. Doucement mais surement tes lèvres quittaient les siennes à contre coeur pour venir parsemer son cou, puis son épaule de baiser avant de descendre jusque sa poitrine, enfin, la partie découverte de sa poitrine, cette dernière étant toujours cachée par le soutient gorge. Lâchant ses poignets, tu glissais tes mains sous son dos pour coller sa peau ardente contre la tienne. Pour une fois que tu te laissais aller sans penser aux conséquences. « Je commence à avoir un peu chaud, soufflais-tu contre sa douce peau légèrement humide. Je crois que... dis-tu en remontant doucement jusqu'au niveau de son oreille. J'ai très... très envie de toi » suite à ses murmures, tu lui mordillais le lobe avant de revenir embrasser son cou, puis sa joue, puis t'accaparer une nouvelle fois de ses lèvres, où ta langue se frayait un chemin pour rejoindre la sienne afin de jouer ensembles.

Tout était tellement compliqué avec Clyde. Un coup c'est oui puis deux minutes après c'est non. Je ne pouvais pas parti pour Paris en sachant que nous étions toujours au même stade. Et puis je lui avais fait la promesse de ne jamais le laisser, avec toutes ces personnes que l'ont abandonné, je ne voulais pas en faire partie. Il avait beau me blesser je reviendrais toujours vers lui. Je tiens tellement à lui que tout ce qu'il peut faire en mal ou en bien je serais toujours là, quoi qu'il arrive. Quand tout va mal je pense au jour où je suis tombé raide dingue de lui. Je le connaissais à peine mais je suis vite tombé sous son charme. Et la première chose qui m'a fait craquer était son sourire. Oh mon Dieu son sourire qui pouvait me tuer. Comment ne pas succomber ? C'est quand même fou comme on peut devenir accro à une personne en peu de temps. Ce soir j'étais bien décidé à ne pas le perdre une seconde fois. Nous étions dans ma chambre, un accès de folie je le poussais légèrement de façon à ce qu'il tombe sur mon lit pour me mettre ensuite à califourchon sur lui. Je ne savais pas très bien ce que j'étais en train de faire mais j'en avais tellement envie. Je retirais mon tee-shirt pour retrouver en sous-vêtement bien décidé à aller jusqu'au bout, sauf que ce dernier ne le voyait pas comme ça. Il me stoppait dans mon élan en me disant qu'il ne voulait pas le faire comme ça ... pas pour un au revoir. Je suis rétorqué alors que je ne compte pas partir, que je ne partirais pas sans lui et comme je sais qu'il ne me suivra pas donc comme ça c'est clair et puis que j'avais trop besoin de lui. -Non, tu... Sans qu'il puisse terminer sa phrase je me penchais vers lui pour l'embrasser langoureusement tout en plongeant mes mains dans ses cheveux. Ce dernier remontait l'un de ses amis le long de mon corps, ce qui me fils frisonner. Il prolongeait mon baiser avec intensité. Ma poitrine à moitié nue ce posait sur son torse. Je pouvais sentir son cœur battre à toute vitesse comme le mien. -Je n'ai pas envie que tu partes ... Je vais essayer. dit-il contre mes lèvres. Que veut-il dire par essayer ? Essayer d'être avec moi ? où simplement me donner ce que je veux à ce moment précis ... une nuit avec lui ? Même si je n'avais pas très bien compris je me laissais aller on verra bien ce qu'il en ait demain matin. L'une de ses mains vint glissait dans ma chevelure tandis que l'autre continuer à se baladait sur mon corps frissonnant. Il me serrait un peu plus contre lui. Ce mec me rendait vraiment mais vraiment dingue. Je crois que même dingue est trop faible pour escrimait ce qu'il me fait ressentir. Il me fit basculer sur le côté pour qu'il se retrouve à son tour sur moi. Il retirait son tee-shirt qu'il lançait au sol. Le souffle couper je le regardais dans les yeux mais au bout de quelques secondes mes yeux descendaient sur son torse nu. Je l'avais déjà vu torse nu mais jamais dans cette situation. Je me mordais la lèvre tout en le regardant. Il faisait chaud tout d'un coup. Il passait une main dans ses cheveux histoire de les remettre en place puis il emparait de mes poignets pour les mettre au-dessus de ma tête. Il m'embrassait alors avec une telle passion. Ses lèvres quittent les miennes pour se posaient sur mon cou puis sur mon épaule avant de descendre sur ma poitrine. « Clyde ... » soufflais-je, ces baisers me rendais folle. Et là tout de suite j'avais très envie de lui encore plus que d'habitude. Lâchant mes poignets, il glissait ses mains sous mon dos pour coller ma peau contre la sienne. Peau contre peau, mon corps frissonner encore plus. -Je commence à avoir un peu chaud. répliquait-il. -Je crois que... dit-il en remontant doucement au niveau de mon oreille. -J'ai très... très envie de toi. Murmurait-il en me mordillant mon lobe puis de nouveau il posait ses lèvres sur mon cou puis ma joue pour finir sur mes lèvres, où sa langue se frayait un chemin pour rejoindre ma langue pour ensuite jouer ensemble. Sans plus attendre je prolongeais son baiser qui était merveilleux.« J'en ai tellement envie ... si tu savais.» dis-je entre de deux baisers. Je passais mes mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge.« J'en ai toujours eu envie d'ailleurs. » ajoutais-je replaçant mes mains sur son torse pour caressais du bout des doigts.  Je descendais mes caresses jusqu'à son ventre puis me stoppais pour le regardais quelques secondes. Je déboutonnais son jean pour glissais par la suite l'une de mes mains dans son caleçon pour continuer mes caresses sur son entre-jambe 

Prise d'une pulsion, Savannah te bousculait de sorte que tu tombes dos sur le matelas, c'est alors qu'elle se mettait en califourchon sur toi. Putain, pas ça. Pas maintenant. Et voilà qu'elle ôtait son tee-shirt pour se retrouvait en soutien-gorge là, devant toi. Comment ne pas craquer ? Tu essayais de résister, mais ce n'était pas facile. Déjà qu'à chaque fois que tu te retrouvais face à elle tu mourrais d'envie de l'embrasser, mais là. C'était pire que tout. Tes yeux se posaient dans un premier temps, sur ses lèvres qui te suppliaient de l'embrasser, avant de descendre sur sa poitrine, encore cachée par son soutien gorge. Lutter commençait à être de plus en plus difficile. Mais tu ne voulais pas coucher avec elle juste par envie, et pas maintenant, pourquoi ? Parce que ça ressemblait à un au revoir. Et puis tu n'avais pas envie qu'elle pense que tu étais là juste pour coucher avec elle. Peut être que tu étais un gros connard, mais tu avais du respect pour elle. Il est vrai que tu passais le plus clair de ton temps à la repousser, mais ce n'est pas pour autant que tu n'avais pas de respect pour elle. Tu essayais de la préserver, lui faire mal une bonne fois pour toute. Mais rien ne l'arrêtait. L'amour qu'elle semblait avoir pour toi était plus fort que tout. Elle était prête à tout pour te le prouver, même à t'offrir son corps. Tes mains restaient figées sur ses hanches, tandis que tu voulais dire quoi que ce soit, Savannah t'en empêchais, à croire qu'elle ne voulait pas que tu la repousses encore. Ses lèvres contre les tiennes, son parfum enivrant. Comment ne pas craquer. Tu fermais les yeux, respirant son odeur, appréciant ce baiser. Et fichtre. Tu en avais assez d'écouter ta bonne conscience qui te suppliait de la laisser sortir de ta vie pour qu'elle se porte mieux. Tu n'en n'avais pas envie. Tu avais besoin d'elle dans ta vie. Le baiser rompu, tu la fis basculer afin de te retrouver cette fois-ci en position de dominant, comme tu aimais tant l'être. Tes mains entourèrent ses poignets pour les glisser au dessus de sa tête. C'est alors que tu plongeais des lèvres dans son cou, l'embrassant du bout des lèvres pour lui provoquer tout un tas de sensations, la rendre folle. Tes lèvres effleurèrent sa peau venant embrasser le début de sa poitrine que tu regardais, n'ayant qu'une seule envie, la découvrir d'avantage. Tes mains quant à elles découvraient peu à peu les courbes de son corps, elles vinrent même se glisser derrière son dos pour la coller contre toi, sentir la douceur de sa peau ardente contre la tienne. L'envie d'elle montait en flèche. La température dans cette pièce aussi. Tu commençais à avoir du mal à respirer, tant ton envie était prenante. Tes lèvres remontaient jusqu'à son oreille, lui murmurant avoir très envie d'elle. C'est alors que pendant que tu embrassais son épaule, cette dernière se redressait légèrement pour retirer son soutien gorge. Tes yeux vinrent directement se poser sur sa poitrine. Elle était juste... Parfait. Bien dessinée. Ni trop petite. Ni trop grosse. La taille parfaite en réalité. Tu te mordais la lèvre inférieur. Tu avais envie d'aller les toucher, les découvrir, tant avec tes mains qu'avec tes lèvres. Doucement, tu la fis se recoucher, et ses mains se voulaient être baladeuses, puisque l'une d'entre elle parvint à se nicher un passage jusqu'à ton sexe qui se voulait désormais être dur. Tout ceci était purement et simplement grâce à elle. Pendant qu'elle s'amusait avec ton sexe, appréciant les mouvements qu'elle pouvait entreprendre, l'une de tes mains vint malaxer sa poitrine fermement. Tu ne pouvais te retenir plus longtemps de l'embrasser, alors tu t'emparais de ses lèvres avec fougue avant de retirer doucement la main de Savannah qui se voulait plus entreprenante. « Attends » souffles-tu tout contre ses lèvres, les lâchant difficilement pour aller ensuite retirer ton pantalon, te retrouver ainsi simplement vêtu de ton boxer. Tu en fis de même avec Savannah, l'aidant à retirer son bas. Afin qu'elle se retrouve simplement vêtue de son dernier dessous. Tu prenais une nouvelle fois le temps de l'admirer, mais très vite, ton corps réclamait le sien, alors tu te reposais délicatement sur elle, glissant tes lèvres le long de son corps laissant ensuite tes dents retirer son sous-vêtements pour qu'ensuite ta langue vienne titiller ses parties intimes. Là maintenant, tu n'avais qu'une seule envie, ne faire plus qu'un avec elle. Tu ne pouvais plus attendre. C'était bien trop dur, mais lui faire du bien était quelque chose que tu appréciais. Et puis, plus c'était long, plus c'était bon.

Il était hors de question que je le laisse sortir de cette chambre sans qu'il est compris à quel point j'ai besoin de lui dans ma vie. Clyde est du genre têtu et il n'a pas beaucoup confiance en lui donc c'était assez difficile. J'avais beau lui dire que je ne le laisserais jamais ce dernier continuait tout de même à me repousser. Il fallait que je le fasse réagir. Il y a deux semaines un client m'avait proposé de le suivre à Paris pour trois mois afin de finir mon travail. Bien-sur sur le coup j'étais contente, qui ne rêveraient pas d'aller à Paris. Mais en y réfléchissant pour moi c'était une mauvaise idée d'acceptais. Refuser ce poste et sans doute une belle erreur et les gens penserons que je suis folle, c'est peu être le cas mais je ne voulais pas partir, du moins je n'en avais pas envie. La raison ? tout simplement Clyde. Depuis que je l'ai revenu j'arrête pas de lui répété que je ne l'abandonnerais jamais malgré tous ses efforts pour me repousser de sa vie alors oui je suis folle de refuser Paris pour Clyde mais je tiendrais ma promesse aussi longtemps que je le peux. Et puis Paris peut attendre quant à mon amour pour Clyde ça, ça ne pouvait plus attendre et ce soir j'étais bien décidé à avoir ce que je veux. Dans élan je le poussais sur mon lit pour me mettre sur lui. Je n'ai pas le genre de fille à ce jeter sur un mec mais avec lui tout était différent. Je ne sais pas ce qu'il va se passer après cet acte mais en aucun cas je le regretterais ... peu être que lui il le regretta.
J'étais prête à tout pour lui prouvais à quel point je l'aime et même si après cet acte tout sera différent bah tant pis j'en prends la responsabilité. Après un baiser intense, il me fit basculer afin qu'à son tour il se retrouve sur moi. Il entourait ses mains autour de mes poignets pour les mettre au-dessus de ma tête. Il glissait par la suite ses lèvres sur mon cou, ce genre de chose me rendait folle. Puis il descendait ses baisers sur ma poitrine quant a ses mains elle parcourait peu à peu ma silhouette. Il me plaquait davantage à lui, je pouvais sentir battre son cœur. Tout d'un coup il fessait bien hyper chaud dans cette chambre. Il m'avouait par la suite à mon oreille qu'il avait très ... très envie de moi. Cette envie été réciproque.Pendant qu'il posait ses lèvres sur mon épaule je me redressais légèrement pour retirait mon soutien-gorge. Je me sentais un peu gêner de me retrouver à moitié nu devant lui, je n'aime pas trop mon corps. Et puis Clyde avait peu être l'habitude des femmes mieux développer. Il me fit doucement recoucher, je le regardais tout en souriant je laissais mes mains se baladaient sur son corps musclé . Je caressais son torse puis descendirent mes mains jusqu'à son ventre, je déboutonnais son jean pour passait l'une de mes mains dans son caleçon. Tout en m'amusant avec son sexe, l'une de ses mains vint malaxer ma poitrine fermement. Mes mouvements que je fessais étaient de plus en plus entreprenant. Il s'emparait à nouveau de mes lèvres pour m'embrassais avec fougue avant de retirer doucement ma main.- Attends. dit-il contre mes lèvres. Il se redressait légèrement afin de retirer son pantalon et retirait ensuite le mien. Il se reposait délicatement sur moi glissant à nouveau ses lèvres sur mon corps. Je ne me lasserai jamais de ces baisers. Ses lèvres descendirent le long de mon corps laissant ensuite ses dents retirait mon dernier sous-vêtement. Suite à ça, sa langue vient titiller ma partie intime. « Clyde ... » dis-je en gémissant légèrement. J'agrippais les draps tout en fermant les yeux du au plaisir qu'il me procure. Malgré le plaisir qu'il me fessait je trouvais la force de me redresser pour l'attrapais afin qu'il revient à ma hauteur. Ce mec me rend complètement dingue et je n'ai jamais ressenti ça pour personnes.« Attend ... deux minutes.» Je passais une main dans pour fouiller dans ma table de nuit puis lui tant un préservatif.

La température augmentait considérablement dans la pièce. Tu ne sais pas si ce que vous vous apprêtiez à faire était bien ou non, mais tu t'étais bien trop retenu jusque là. Au début, tu étais réticent lorsqu'elle te demandait de lui faire l'amour, car cela sonnait comme un adieu, et tu ne pouvais pas concevoir de vous quitter de la sorte. Cette soirée t'avais fait réaliser combien tu avais besoin d'elle dans ta vie, et que tu ne supporterais jamais qu'un autre homme puisse prendre ta place. Pourtant, tu savais qu'elle méritait mieux, que tu ne serais jamais à la hauteur, mais tu ne pouvais pas concevoir qu'une autre personne prenne ta place dans sa vie. Tu la voulais pour toi et toi seul, même si tout portait à croire le contraire, passant le plus clair de ton temps à la repousser, elle te rendait complètement dingue. C'est pour cette raison que tu t'autorisais à craquer, tu en avais marre de te contenir, tu avais besoin qu'elle sache que ce qu'elle éprouvait était réciproque, mais comme tu avais du mal à mettre des mots sur ce genre de chose, les actes parlaient d'eux même. C'est ainsi que tu t'ouvrais physiquement à elle. Tu avais envie d'elle, vraiment. Son corps appelait le tien. Tout ce que tu voulais, là, c'était ne faire plus qu'un avec elle, unir vos corps pour la toute première fois. Mais avant ça, tu entamais les préliminaires afin de la rendre complètement folle de toi, et lui faire du bien comme elle était entrain de te faire en faisait des mouvements de vas-et-viens avec ton sexe. Ton souffle se coupait par moment, dû au plaisir qu'elle te procurait. Tes lèvres s'emparèrent des tiennes, tandis que ta langue se mêlait à la sienne. T'étais complètement accro à ses lèvres, ses baisers, sa peau contre la tienne. Ton coeur s'emballait dans ta poitrine, tandis que tu avais de plus en plus chaud, et de plus en plus envie d'elle. Tes lèvres quittèrent les siennes pour venir parsemer son corps de baiser, tantôt passionné, tantôt sensuels. Très vite, tu arrivais à ses parties intimes, vêtues d'un simple petit sous-vêtement, tu attrapais la petite ficelle entre tes dents et le baissais, pour ensuite pouvoir venir titiller son intimité avec ta langue. Chacun son tour. Tu sentais que ce que tu étais entrain de faire lui faisait éprouver du plaisir, et ça t'excitais de la savoir ainsi. Lorsqu'elle prononçait ton prénom avec une telle envie, un sourire se glissait sur tes lèvres tandis que tu continuais, avant qu'elle ne pose ses mains sur ta tête pour attirer cette dernière pour pouvoir t'embrasser. Tu restais là, au dessus d'elle, à l'embrasser avec fougue. A cet instant même, tu ne pensais plus qu'à elle et toi, et au moment qui s'offrait à vous. L'avantage, c'est que ce soir, tu étais totalement sobre, tu n'avais pris aucune substances, ni bu aucune goutte d'alcool, tu étais alors maître de tes actes, et tu avais pleinement conscience de ce que tu étais entrain de faire. Elle vous stoppait cependant dans votre élan, passant sa main dans sa table de nuit pour en dénicher un préservatif qu'elle te tendait. Un petit rire s'échappait de tes lèvres, te penchant légèrement sur le côté, pour fouiller dans la poche de ton jean et en sortir un. « Je vois qu'on est tous les deux équipés, lâches-tu en riant légèrement. Le tien ou le mien ? » Un sourire amusé ce glisse sur tes lèvres, tandis que tu viens l'étouffer en embrassant ta doucement, caressant la joue de cette dernière avec une certaine tendresse. Difficilement, tu te détaches d'elle pour retirer ton boxer. Un préservatif, est un préservatif, tu jetes le tien, et prends le sien ôtant le sachet de ce dernier avec la bouche, et enfiles celui-ci sur ton sexe avant de te repositionner au dessus de la jeune fille. Tes mains viennent se poser de chaque côtés de sa tête sur le matelas, et tu l'admirais l'espace de quelques minutes avant de franchir le pas et de la pénétrer avec une douceur incontestable, malgré l'envie, tu ne voulais pas prendre le risque de lui faire mal ou de la brusquer. Tu la regardais dans les yeux, un sourire en coin avant de commencer tes vas-et-viens en elle. Progressivement, tu augmentes la cadence de tes mouvements en elle, tout en soupirant de plaisir, le souffle étant parfois saccadé. Tes mains se baladaient sur ton corps tandis que ton bassin était en parfait accord avec le sien. Plus ça allait et plus tu accélérais tes mouvements en elle vous procurant à tout deux d'avantage de plaisir. Après avoir passé un bon et long moment, l'orgasme approchait, et c'est dans un dernier vas-et-viens que tu y parvenais, lâchant un râle de plaisir. Pour finir, tu t'emparais de ses lèvres, tout en réduisant la cadence de tes mouvements pour ensuite te sortir d'elle pour t'allonger à ses côtés, reprenant doucement ton souffle qui se faisait difficile. C'est alors que tu réalisais que votre acte n'avait rien de comparable à tous ceux que tu avais pu avoir avant, car avec toutes les autres filles, ce n'était qu'une attirance physique, avec elle, c'était bien plus que ça. Elle était loin d'être la fille d'un soir, elle était plus que ça à tes yeux, même si tu avais du mal à te l'avouer, tu ressentais quelque chose de fort pour elle, et ça te prenais aux tripes. Tu l'attirais contre toi, malgré la chaleur monstrueuse. Tu voulais qu'elle sache que tu ne regrettais rien. Tendrement, tu lui déposais un baiser sur la tempe. « Je peux rester avec toi ce soir ? » murmures-tu contre sa douce peau. Après un moment pareil, tu n'avais aucunement envie de partir, tu voulais tout simplement rester là, à ses côtés, la serrer fort contre toi.

Je lui avais clairement demandé de me faire l'amour. Bon d'accord dit comme ça, ça fait un peu la fille facile mais j'en avais tellement envie et ça depuis longtemps que c'est quelques mots son sortir tout spontanément. Sauf que lui il ne le voyait pas comme ça, pour lui si je lui demande cela c'était pour un au revoir. Quant est qu'il va comprendre que je serais incapable de le laisser, même pour trois mois. Dans une deuxième tentative ce dernier succombait et lâchait enfin prise. Il fessait une chaleur dans cette chambre tout d'un coup. Tout d'abord nous commencions par les préliminaires. J'avais glissé une main dans son boxer pour faire des mouvements de vas et viens avec son sexe. Au bout de quelques minutes ce dernier me stoppait dans mes mouvements qui se fessaient plus entreprenante. Ses lèvres descendirent le long de mon corps, il retirait avec ses dents mon dernier sous-vêtement suite à ça il vient titiller mon intimité avec sa langue. Je m'agrippais au drap tout en ferment les yeux. Il me rendait complètement fou. Son prénom s'échappait d'un gémissement et au moment ou je rouvrir les yeux j'aperçus un sourire. Sa fessais longtemps que je n'avais pas vu ce sourire, il m'avait tant manqué. Avec toute la volonté je posais mes mains sur sa tête pour l'attiraient pour à nouveau  l'embrasser. Nous nous embrassions avec fougue pendant quelques minutes puis je décollais mes lèvres des siennes pour me redressaient afin de passer ma main dans ma table de nuit pour en dénicher un préservatif que je le lui tant. Un petit rire s'échappait de ses lèvres. Et à ce moment-là j'ai encore plus envie de lui, ce rire aussi m'avait manqué. Il se penchait alors légèrement sur le côtté pour fouiller lui aussi dans sa poche de son jean pour en sortir un. Aller savoir ce qu'il fait avec un préservatif mais je le regardais avec un léger rire. -Je vois qu'on est tous les deux équipés. dit-il en riant légèrement.-Le tien ou le mien ? ajoutait-il avec un sourire amusé. « Et bah un pour maintenant et le deuxième pour la prochaine fois. » soufflais-je en le regardant d'autant plus amusé. Il vint m'embrasser tout en caressant ma joue avec tendresse. Je n'avais jamais vu Clyde aussi tendre que ce soir. Il se détachait légèrement afin de retirer son boxer. Il prit alors mon préservatif en ôtant le sachet avec la bouche, et enfile celui-ci sur son sexe. Ses mains viennent se poser de chaque côté de ma tête. Il me regardait pendant quelques minutes sans bouger, ce regard qui me fais complètement fondre. Ensuite il me pénétrait avec douceur. Il me regardait dans les yeux avec un sourire, je plongeais à mon tour mon regard dans le sien. Il commençait se vas et viens en moi, je passais mes bras autour de sa taille en le griffant légèrement le dos. C'était trop bon. Progressivement il augmente ses mouvements et plus mon gémissement se fessait plus fort. Je l'accompagnais dans le rythme de ses vas et viens. Ses mains se baladaient sur mon corps, un parcoure de frisson s'installait. Plus ça allait et plus il accélérait ses mouvements et après un bon ... très bon et long moment l'orgasme était tout prêt c'est dans un dernier va et viens qu'il parvenait. Il capturait mes lèvres en réduisant ses mouvements pour sortir de moi et s'allongeait à mes côtés. Ça fessait longtemps que je m'étais pas senti aussi bien. Pour moi c'était bien plus qu'une simple partie de jambe en l'air. J'aurais pensé que coucher avec lui aurait été bizarre mais là tout de suite j'aurais pu recommencer jusqu'à ce que la fatigue nous tue. Il m'attirait contre lui en posant ses lèvres sur ma tempe. -Je peux rester avec toi ce soir ? dit-il doucement contre ma peau.« Je ne comptais pas te laisser partir de toute façon.» soufflais-je en souriant. Je laissais mes mains se baladaient sur son torse. Au bout de quelques minutes je finissais par m'endormir dans ses bras.
Le lendemain matin lorsque j'ouvrir mes yeux, il étais environ sept heures. Je me redressais d'un coup en ne voyant pas Clyde à mes côtés.« Clyde ? » dis-je d'une voix paniquée. Il serait parti sans me dire au revoir . Peu était qu'il regrette d'avoir fait ça hier soir. Les larmes commençaient à couler sur mes joues. Sauf que ce dernier surgit quelques minutes après dans ma chambre.« Clyde ... je pensais que tu était parti.» ajoutais-je.

Des relations sexuelles tu en avais eu, bien que tu ne sois pas le genre de mec à coucher à droite à gauche juste pour agrandir ton tableau de chasse. Mais c’était bel et bien la première fois que tu couchais avec une fille en éprouvant de tels sentiments. Tu t’étais surpris toi-même à être aussi doux avec cette dernière, et dieu seul sait combien l’envie te submergeait, mais tu ne voulais pas la brusquer, tu voulais bien faire les choses, et lui faire ressentir combien tu ne la considérais pas comme toutes ces autres filles faciles, à tes yeux, elle était loin d’être une fille de plus. Elle était cette fille pour qui tu ressentais quelque chose de fort, même si tu avais encore du mal à te l’avouer, tu lui avais prouvé ce soir. Tu n’aurais jamais pu agir aussi tendrement avec elle si tu ne ressentais pas ces choses là. Ca aurait été une autre fille, tu aurais couché avec elle, et tu te serais barré juste après, mais là, c’était différent. Après avoir atteint le summum de votre acte, tu t’étais doucement retiré pour t’allonger auprès d’elle, et tu n’avais qu’une seule envie : celle de rester à ses côtés. A cet instant même, tu ne regrettais rien, au contraire, c’est comme si tu te sentais enfin soulagé. Pas soulagé d’avoir couché avec elle, mais soulagé d’avoir enfin réussi à t’ouvrir à elle. Même si tu ne trouvais pas les mots, les actes parlaient d’eux-mêmes. Ce que tu avais fais ce soir valait plus que milles mots. Tu n’étais pas doué dans ce domaine, tu arrivais plus à parler avec des actes qu’avec des mots. Tes bras l’entourèrent pour l’attirer contre toi. Tu humais son odeur avant de lui déposer un baiser sur la tempe, les yeux clos. Tu respirais doucement, essayant de reprendre ton souffle que tu avais perdu durant cet acte aussi merveilleux qu’il ait pu être. Cette première fois avec elle, restera graver dans ta tête. Pourtant, la soirée avait très mal démarré, et on aurait jamais cru que vous en seriez arrivés là, et pourtant, tu n’avais aucune envie de partir. Plus tu la repoussais, plus tu restais malgré tout. C’est comme si tu savais que si tu partais ce soir, tout serait définitivement fini, et tu n’avais aucunement envie que cela se termine. Rien ne serait sûrement jamais facile entre vous, mais une chose est sûre, tu ne pouvais pas te permettre de la laisser te filer entre les doigts, tu savais pertinemment que si tu la voyais aux bras d’un autre tu réagirais sans doute très mal. Dans un murmure, tu lui demandais si tu pouvais rester avec elle, tu ne voulais pas partir au risque qu’elle pense que maintenant que vous étiez passés à l’acte, retour à la réalité, de plus de ton côté, tu n’avais aucune envie de la laisser. Tu avais ce besoin de rester près d’elle, ce soir. Sa réponse te fit décrocher un sourire, tandis que ses doigts se baladaient sur ton torse te provoquant tout un tas de frissons. Il faut dire que tu étais plutôt sensible à cet endroit là. Alors que les minutes passèrent, caressant le bras de cette dernière, tu la sentis s’endormir. C’est dans un dernier baiser que tu rejoignais à ton tour les bras de Morphée.
Au petit matin, tu étais le premier à te réveiller, six heures et demi affichées le réveil. Dans tes bras se trouvait toujours ta belle. Tu la regardais dormir comme un bébé. Elle était vraiment adorable. Elle semblait bien, elle semblait reposée. Peut-être était-ce dû au fait que tu sois à ses côtés. Doucement, tu te levais prenant soin de ne pas la réveiller. Ramassant tes affaires un peu partout dispatchées dans la chambre, tu regagnais le salon pour les enfiler. Comme Savannah semblait dormir profondément. Tu sortais de chez elle pour aller chercher des petites viennoiseries pour le petit déjeuner. C’est en revenant que sans faire exprès tu fis un peu de bruit, quel gros naze. Tu espérais ne pas l’avoir réveillé vu l’heure qu’il était, tu comptais aller te recoucher à ses côtés. Tu posais la poche de viennoiseries sur la table de la cuisine, puis retournais dans la chambre afin de voir si la belle au bois dormant dormait encore, et finalement, elle était assise sur le lit, les yeux vitreux. Elle semblait avoir eu peur que tu sois partie, la laissant encore derrière toi. « Hey je suis là » lâches-tu d’une voix calme, te rapprochant d’elle pour prendre place à ses côtés, mais de sorte de te retrouver face à elle. « Disons que le jour m’a réveillé, et j’ai été chercher le petit déjeuner, mais il est tôt, rendors-toi si tu veux, je serais là à ton réveil » murmures-tu doucement, avant de prendre l’une de ses mains dans la tienne, enlaçant tes doigts aux siens. Intérieurement, tu te sentais tellement mieux depuis que tu t’étais autorisé à craquer, bien que quelque part, tu ais toujours cette crainte. Tu te souvenais de ce que t’avais dis Autumn, que tu ne pouvais pas te priver à cause de cette peur et qu’il fallait savoir parfois prendre des risques dans la vie. Alors tu étais prêt à prendre le risque avec Savannah.

Pourquoi est-ce si compliqué avec lui. Nous passions la plus par de notre temps à nous disputer. Mais ce soir-là j'étais bien décidé à lui faire comprendre que je serais toujours là pour lui et que même s'il fessait tout pour me repousser cela n'allait pas marcher. Dans une pulsion et tout spontanément je lui demandais de me faire l'amour. Pour lui c'était un au revoir si je voulais m'offrir à lui. Comment lui faire comprendre que si je voulais coucher avec lui c'est tout simplement que j'en meurs d'envie depuis longtemps et que tout simplement parce que je l'aime de toutes les manières possibles. Ce soir je ne voulais pas de dispute, je voulais simplement un moment avec lui-même si je sais que le lendemain rien ne sera plus comme avant. De toute façon plus rien n'est comme avant. Après avoir fini notre acte, il s'était retiré doucement pour ensuite s'allongeait auprès de moi. Sur le coup j'avais peur qu'il parte mais Clyde me prit par surprise lorsqu'il me demandait de rester ici pour la nuit. Bien sûr ma réponse était positive, il était hors de question pour moi de le laisser partir. Je me sentais tellement bien que c'étais la première fois depuis longtemps que le sommeil arriver aussi facilement. Je m'étais blotti dans ses bras tout en laissant mes mains se baladais sur son corps. Puis quelques minutes après je m'endormais.
Le lendemain matin lorsque j'ouvrir mes yeux, il était environ sept heures. Ça fessait longtemps que je n'avais pas aussi bien dormi. Sauf que quand j'ouvrir les yeux Clyde n'étais plus là. Il y avait plus une trace de lui. Mais où était-il passait ? Est-ce qu'il regrette d'avoir coucher avec moi. J'avais peu été une erreurs pour lui. Les larmes coulaient le long de mes joues. Je m'étais redressé la tête dans les bras. J'avais honte, je m'étais complètement jeter dessus sans lui demander son avis. Quelques minutes après je relevais la tête et vis Clyde sur le palier de la porte de ma chambre. -Hey je suis là répliquait-il d’une voix douce, se rapprochant de moi pour prendre place à mes côtés.-Disons que le jour m’a réveillé, et j’ai été chercher le petit déjeuner, mais il est tôt, rendors-toi si tu veux, je serais là à ton réveil. ajoutait-il en prenant l'une de mes mains.«Non, je ne suis plus fatigué.» dis-je doucement.« Je suis désolé, en ce moment je passe mon temps à pleurer.» soufflais-je. « Mais quand j'ai ouvert mes yeux et que je ne t'ai pas vu j'ai pensé que tu regrettais d'avoir coucher avec moi ... et puis hier je me suis jeté sur toi sans même te donner le temps de répliquer ... bon d'accord je suis pas entrain de dire que je t'ai violé. » Et voilà que je commence à paniquer, je dis n'importe quoi et je parle trop vite.«Mais je t'ai quand même pousser à le faire ... alors je suis désolé Clyde. » ajoutais-je en reprenant mon souffle. En le voyant silencieux mais toujours avec ce sourire que j'aime tant je repris.«N'en parlons plus...» dis-je en me levant, je ramassais mon tee shirt pour le remettre ensuite.« Mmmh je vais faire le café.» 

Ce qui devait arriver, arriva. Vous étiez passés à l’acte. Vous l’aviez fait, pour la première fois. Tu en avais envie. Ca te consumais de l’intérieur de t’en empêcher. Savannah, c’était bien plus qu’une simple fille, elle sortait du lot. Elle était différente. Elle n’était pas là juste pour coucher avec toi. Elle était follement amoureuse de toi. Oh oui, follement, parce qu’il fallait être folle pour tomber amoureuse d’un mec comme toi. Outre ton physique, tu n’avais rien de valorisant. Ta vie c’était de la merde. Ton mental c’était de la merde. Ton caractère aussi d’ailleurs. Et pourtant, elle ne cessait de foncer tête baissée, même si elle savait que tu allais la repousser, encore et toujours, elle fonçait. A croire qu’elle aimait ça que tu la repousses. Voilà pourquoi elle était folle. Mais ce soir, tu avais enlevé ce masque, et cette carapace pour t’ouvrir à elle. C’était ça ou tu risquais de la perdre, et même si tu savais que tu ne lui apporterais rien de positif, tu ne pouvais te résoudre à la perdre, à ce qu’elle ne fasse plus partie de ta vie, tu n’y arrivais pas, ce n’était pas envisageable. Tu avais beau essayer, au final, tu finissais toujours par d’une manière ou d’une autre revenir vers elle, certes avec une excuse mais tu revenais aussi. Il y avait sans doute une bonne raison pour que malgré tout tu t’accroches à elle comme ça, tu ne voulais seulement pas l’admettre. Ce mot, ces sentiments te faisaient peur. Alors tu essayais de faire comme si ça ne l’était pas, mais au vue de ta façon d’agir avec elle, ça ne pouvait être que ça. Regardes toi, allongé sur ce lit, la jeune fille contre toi. Tu n’es pas bien là ? A cet instant précis ? Tu aurais aimé que le temps se fige. Mais ce n’était pas possible. C’est donc les yeux clos, Savannah dans tes bras, que tu finis par t’endormir. Mais voilà que vous n’avez pas fermé les volets, et les rayons du soleil viennent t’agresser les yeux. Tu les ouvres alors doucement, et constates que la jeune fille dort toujours dans tes bras, paisiblement, elle semble reposée. Elle est si belle. Tu la regardes, tu pourrais la regarder pendant des heures, tu la sers doucement dans tes bras, lui déposant un baiser sur le front. Tu décides de te lever, pas pour partir, seulement pour aller chercher de quoi déjeuner. Tes affaires sont éparpillées un peu partout dans la pièce, c’est avec ce petit sourire en coin que tu les récupères, te souvenant du sort de chacune d’elles. Mais te rappelant surtout de la nuit passée. A ce moment-même tu te sentais tellement bien, tellement plus léger d’avoir réussi à passer le cap. D’avoir cessé de la repousser. Pour une fois. C’est alors que tu te rhabilles et quittes la chambre.
A ton retour, Savannah semble paniquée. Lorsque tu croises son regard vitreux, tu comprends très rapidement qu’elle a sans doute pensé que tu regrettais et que tu étais parti. Tu ne te serais jamais permis de partir comme ça, pas avec elle du moins. Avec les autres tu l’avais fais, mais là c’était différent. Tu t’approchais alors d’elle pour prendre place sur le lit, à ses côtés de sorte à te trouver face à elle. Au vue de l’heure, tu lui conseillais de se rendormir, mais visiblement, elle n’en n’avait pas envie. Ensuite, elle s’excusait, pour cette nuit, pour ce qu’il s’était passé, pensant que tu l’avais fais uniquement parce qu’elle t’avait demandé de le faire, au point de penser que tu regrettais ce qu’il s’était passé. C’est alors que tu secouais négativement la tête. Qu’elle pense ça ne te plaisais pas du tout car tu étais loin d’être comme tous ces autres mecs, à coucher comme ça pour le plaisir. « Si j’ai couché avec toi cette nuit, c’est parce que j’en avais envie, et uniquement parce que j’en avais envie » lâches-tu en la regardant dans les yeux. Cette dernière se levait en rattrapant son tee-shirt pour l’enfiler, toi, tu la regardais faire, te pinçant les lèvres. Tu n’avais qu’une seule envie, celle de la rattraper, et de l’embrasser, spontanément. C’est d’ailleurs ce que tu fis, tu te relevais rapidement, et avant même qu’elle n’ait eu le temps de franchir la porte de la chambre, tu la rattrapais par le poignet, et l’attirais contre toi pour t’emparer de ses lèvres dans un doux baiser cette fois-ci. « Les viennoiseries nous attendent » lâches-tu doucement tout contre ses lèvres. Puis vous quittez la chambre l’un après l’autre pour regagner la cuisine où tu as déposé le sachet avec votre petit déjeuner. Tandis que Savannah prépare le café, tu files sur la terrasse te fumer une petite cigarette. Les oiseaux chantaient gaiement tandis que le soleil était au rendez-vous, rien de tel pour passer une agréable journée.

Je n'aurais jamais pensé qu'on allait coucher ensemble, vu le début de soirée qu'on a passé à se disputer. Depuis que je le connais il ne cesse d'être dans mes pensées, faut dire que la première fois que je l'ai vu il m'avait marqué tout de suite. Son sourire était la première chose qui mon fait tombé sous son charme, ah ce sourire d'ange qu'il avait lorsqu'il me regardait. Ce genre de sourire a disparu le jour où nous avions appris la mort de notre amie. Depuis la mort de Sio', Clyde m'avait évité pendant un an jusqu'à qu'on se recroise dans le parc là où tout avait commencé et depuis ce jour nous passions notre temps à nous embrouiller, sauf que ce soir je ne voulais pas une dispute de plus avec mais juste passer une nuit avec lui. En lui demandant cache de coucher avec moi ce dernier repousser mes avances en pensant que si je voulais coucher avec lui c'était juste pour lui dire au revoir. Chose qui n'était pas le cas, je voulais juste coucher avec lui parce que j'en suis éperdument amoureuse et que j'en avais envie depuis pas mal de temps. Après une deuxième tentative il succombait. Après notre magnifique nuit, parce que oui elle a été magnifique. J'aurais pensé que coucher avec lui aurait été bizarre mais pas du tout. Bien au contraire ça était comme je l'espérais. Après notre acte il n'était pas question qu'il repart comme un voleur, je voulais qu'on reste dans ce lit jusqu'au lendemain. Mes mains se baladaient toujours sur son corps pendant que mes yeux se fermaient de plus en plus. 
Le lendemain matin, il avait disparu. Plus aucune trace de lui. Anéanti les larmes coulaient le long de mes joues. Et là à ce moment précis je me posais des milliers de questions. Sauf que quelques minutes après il était de nouveau sur le palier de la porte de la chambre. Sur le coup je me sentais soulagé mais aussi mal à l'aise qu'il me voit encore entrain de pleuré. Il s'approchait de moi puis s'installait à nouveau à mes côtés mais de façon qu'il soit face à moi. Il me prit la main. Je me mis à paniquer et commençais à parlais tellement vite que moi-même j'avais du mal à me suivre. -Si j’ai couché avec toi cette nuit, c’est parce que j’en avais envie, et uniquement parce que j’en avais envie. dit-il en me regardant dans les yeux. Je me levais alors du lit en rattrapant mon tee-shirt que j'enfiler directement en lui disant que j'allais faire le café, ce dernier se levais à son tour il m'attrapait le poignet avant que je n'ai eu le temps de franchir la porte de la chambre et m'attirait contre lui pour m'embrassait tendrement. -Les viennoiseries nous attendent. répliquait-il contre mes lèvres. Je prolongeais quelques minutes encore le baiser puis nous quittions la chambre pour regagner la cuisine.Une fois le petit déjeuner près nous passions à table. Mon téléphone se mis à sonner. « désolé il faut que je réponds.» dis-je en le regardant. " Bonjours monsieur Gyllenhaal." dis-je en quittant la table pour aller dans le salon." Oui pas de souci je serais là dans une heure environ." Une fois que j'ai rapproché, je regagnais la cuisine.« Je suis désolé Clyde c'était mon client et il veut absolument me voir ... mais il faut qu'on parle donc on se vois plus tard.» dis-je simplement. Après qu'il est fini ce dernier déposaient ses lèvres sur les miennes pour y déposer un léger baiser puis sorti de chez moi.