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Charisma & Léo

Dans ce petit coin d'eau chaude, j'amenais Charisma. Je commentais l'intimité et la chaleur de cet endroit, elle me l'expliqua. Je lui fis un sourire, m'approchant d'elle avant de déclarer la guerre qu'elle attendait, j'en étais sûr. J'allais l'entraîner dans l'eau et ressortais. J'étais étonné, car elle ne revenait pas. Puis je comprenais vite pourquoi, cette coquine m'avait retirer mon short au dessus de mon boxer. Oh j'y crois pas dis-je alors qu'elle remontait, avec plus loin, avec son petit air coquin. T'es pas possible dis-je l'approchant, jouant carrément à sa guerre. Elle me lançait tout à coup pleins d'eau dans la tête pour m'aveugler limite mais j'avançais toujours pour l'attraper. Elle hurla en italien et me montait dessus sans attendre. Je me mis à rire. Cet italien c'était vraiment trop sexy. Elle tentait de me faire tomber, je le sentais bien. Mais à la place, j'attrapais ses pieds, priant pour qu'elle soit chatouilleuse, ce qui était vrai. Cela baissa sa garde et je pu la jeter à l'eau sans qu'elle se retienne à moi sans prévenir. Je me mis à rire à gorge déployée. alors petite italienne on boude? dis-je la regardant sortir de l'eau, m'approchant d'elle, attrapant ses mains avant qu'elle m'attaque. chhttt on se calme, j'ai plus de force, l'amérique gagne, c'est tout, faut accepter les écheeecs dis-je l'attrapant finalement dans mes bras, riant. Je sais qu'en fait tu veux matter mes fesses. lui soufflais-je à l'oreille, me reculant d'elle, sourcil levé. Je sortais alors de l'eau, je me retournais dos à elle, je me pliais pour lui montrer mes fesses furtivement avant de rire et de me retourner, prenant mon short. Voilà ce que tu voulais, princesse. dis-je alors en riant. on se dit à dans deux jours..? dis-je voyant qu'on devait retourner rendre le bateau. Un peu les pieds balans, j'allais vers le bateau, rhabillé, auprès de Charisma. Elle était tellement belle, c'était incroyable. Comment on pouvait être à la fois canon, drôle, adorable, intelligente...? En revenant, à notre endroit de rendez-vous, je l'embrassais encore sur le front. à dans deux jours soufflais-je.

Je ne pouvais pas attendre deux jours, le lendemain déjà, c'était la torture. Je décidais alors de refaire le mur alors qu'on était en sortie. Je décidais de la chercher, me disant qu'aux endroits hupés j'aurais une chance. Je tombais sur une plage avec des casinos, des restaurants hupés, je tentais ma chance. Je tombais sur le bon, je remarquais sa famille à une table. Je m'arrangeais avec le serveur pour faire passer un mot discrétement à Charisma, parce que je savais comment était sa famille. Cela disait d'aller voir dehors, qu'il y aurait quelque chose qu'elle adorait, et dire qu'elle allait faire un tour ou quoi. Je restais dehors, près de l'entrée, caché. Dès qu'elle était sortie, cherchant à droite à gauche, j'arrivais de derrière et je la prenais dans mes bras de derrière, l'embrassant sur la joue. Je ne pouvais pas attendre, je te kidnappe lui dis-je alors. Je prenais sa main pour marcher alors plus loin, s'éloigner. dis-moi ce que tu veux qu'on fasse? Un petit tour dans une arène? un amphithéâtre? demandais-je alors. Nous y allions alors, dans ces endroits pleins d'histoires. Nous arrivions tout en haut, c'était magnifique en fait. Surtout avec elle, faut dire. Je regardais quelque instant, puis je la regardais elle. dommage, ici pas de raisons d'enlever un vêtement.. dis-je avec humour. Puis je baissais ce sourire pour qu'il soit plus sincère. Puis, tenant sa main dans la mienne, je l'attirais à moi et je l'embrassais sans réfléchir. Je n'en pouvais plus de m'en retenir, ses lèvres m'appelaient tellement.

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Léo a gagné une bataille, c’est vrai mais il n’a pas gagné la guerre. Je me vengerai de cet américain. USA contre Italie. Que le meilleur gagne même si perdre à ses avantages. Regarder ses fesses était une belle chose en soi surtout si je dois attendre deux jours pour le revoir. C’était long… ça semblait déjà interminable et je n’avais pas encore envie de rentrer. Je voulais rester avec lui, je ne voulais plus le quitter. Je serais bien restée là à regarder les étoiles mais ce n’était pas prévu… On se quitta alors, difficilement mais obligatoirement. Heureusement qu’il m’avait embrassé sur le front. C’est la chose à laquelle je m’accrocherai durant les deux prochains jours. Le soir même, je ne pensais qu’à lui. Ses baisés sur mon front, son doux sourire, son rire communicatif, son aisance… Sa belle musculature. Je ne rêvais que de lui. Mon beau Léo…

Le lendemain, mes pensées se dirigèrent vers lui dès le réveil. J’étais à la fenêtre de ma chambre, adossé au coussin, le plaid contre moi. Je regardais l’homme de l’écurie s’occuper des chevaux. C’était agréable et paisible à la fois. Mais mes parents sortis de cet état lorsqu’ils m’ont forcé à les accompagnés. C’était rasoir. Je détestais ce milieu. Ces gens… Ces manières. Mon dieu… Je veux vivre ma vie. Il y a tellement de chose à faire… pourquoi se limiter à ce genre de chose ? Enfin bref… J’étais assise à une table, complètement ennuyée… Quand soudain, on m’apporta un mot. Le serveur n’était pas resté, impossible de le questionner. Veuillez m’excuser, je vais me rafraichir. Dis-je en me levant délicatement pour gagner discrètement l’extérieur. Je cherchais de gauche à droite, j’espérai que c’était Léo. Je ne pensais qu’à lui. Il me hantait. Et c’était bien lui. J’étais aux anges. Ses bras m’avaient entouré par derrière et ses lèvres étaient venues se déposer sur ma joue. Je n’ai pas arrêté de penser à toi. Dis-je très heureuse. Je voulais qu’il me kidnappe. Je voulais qu’il m’emmène loin d’ici… Je le suivrais jusqu’en Amérique…
Allons dans une arène ! J’en connais une très belle à te montrer. Dis-je pleine d’enthousiasme. Nous étions arrivés là-bas très vite… Nous n’avions pas perdu de temps pour atteindre le sommet. J’aimais imaginer ce qu’il se passait ici dans le passé. Ça devait être beau à voir. Aujourd’hui, on ne voit plus de combat comme il y en avait jadis. Sauf si tu te mets en tenue de gladiateur, tu seras un peu dévêtue. Dis-je en riant. Ça aurait été drôle mais je ne suis pas certaine que la jupe le rende sexy pour autant. Il tenait mes mains et mon regard tenait le sien. Il me tira vers lui soudainement puis m’embrassa sans que je ne m’y attende. C’était surprenant et spontané. Je l’avais regardé avec un moment de pause avant de déposer une main sur sa nuque pour l’embrasser à mon tour et intensifier le contacte de mes lèvres sur les siennes. J’aimais tellement ce que je sentais. Ces bonnes vibrations, cette complicité, cette envie partagée. C’était beau. C’était intense. Je ne pensais qu’à ça depuis hier. Dis-je en souriant avant de me détacher de lui en laissant mes doigts effleuré sa joue avant de rompre le contact. Ce soir... vers vingt-trois heures, mes parents dormiront. Je veux que tu te faufiles dans mon domaine. C’est un grand château mais tu trouveras facilement l’écurie. Il n’y aura plus personne. Je veux que tu viennes. Lui dis-je avant de l’embrasser de nouveau. C’était inévitable. Je n’arrivais plus à me séparer de lui. Cette complicité… cette alchimie… était beaucoup trop grande.  Mais je réussi à me détacher un peu, en passant mon  bras derrière lui pour que ma main atteigne son épaule. Je veux t’avoir sur mon téléphone... pour te regarder quand tu n’es pas là... Dis-je en prenant plusieurs selfie. Parfois je souriais, parfois je rigolais, parfois je le regardais, parfois je l’embrassais, tout le temps j’étais heureuse.

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Charisma & Léo

Je ne pouvais pas attendre, en réalité. Même si je voulais remettre les deux jours en jeu, ce n'était pas possible. Chaque seconde qui me séparait d'elle me tuait. Je n'arrêtais pas de gesticuler dans tous les sens. Tant pis, je partais de ce groupe ennuyeux qui me laissait penser à autre chose. Je cherchais dans les restaurants un peu huppé et je trouvais où était sa famille. Je la faisais sortir, et je la kidnappait. Elle m'avouait que je lui avais manqué, je souriais. On allait dans une arène, et là je ne pouvais plus tenir. Le regardant dans les yeux, ainsi, je l'embrassais. Ses lèvres étaient tellement douces, j'hallucinais. Je ne pouvais pas m'en passer, dès à présent. J'en avais tellement rêvé, je l'avais tellement imaginé. Je souriais alors qu'elle me dit qu'elle y pensait aussi. on est deux soufflais-je alors, de côté. Elle gardait sa main sur ma joue, j'aimais ce contact. j'avais du mal à me concentrer. Je la laissais pourtant, ne voulant pas qu'elle l'enlève. Elle m'invitait à la rejoindre dans son écurie, dans son domaine vers minuit. C'est en réponse à comment enlever nos vêtements? dis-je de manière malicieuse. je ris légèrement. Je serais là dis-je plus sérieusement, posant ma main dans son cou quand elle vint m'embrasser, encore. Puis, elle s'empara de son téléphone pour prendre pleins de photos. Je profitais alors pour la chatouiller, la faire rire, l'embrasser, que les photos soient naturelles. Je ne voudrais pas que tes parents s'inquiètent, on se voit ce soir soufflais-je alors l'embrassant. J'abusais peut-être, mais j'avais tellement attendu que j'en profitais. On descendait, et je la laissais au restaurant difficilement. Je rejoignais le groupe où je l'avais laissé. Je ne pensais qu'à ce soir. Ce serait pas simple de fuguer la nuit, mais j'y arriverais. La nuit tombante, je profitais du silence dans les rues pour sortir et fuir vers le domaine. J'arrivais à l'écurie, comme elle l'avait dis. Je faisais n reflet de lumière avec mon tél, sans savoir où était sa chambre, je ne pouvais pas aller vers une fenêtre. Mais si elle m'avait dit de venir là, c'était qu'il y avait une raison. Mais elle arrivait ici, directement. tu ne m'avais pas menti, pour moi c'est un château, pas un endroit où on vit. dis-je avec humour. Je venais de dire qu'en gros j'étais pas habitué, je venais d'à moitié avouer ma situation. Et merde. Je devais vite passer à autre chose. J'attrapais sa main alors. alors, tu me réserves quoi? demandais-je avec un petit sourire, caressant sa joue.

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Je voulais l’avoir avec moi… je voulais passer du temps avec lui et l’inviter semblait être la meilleure option pour ce soir. Je ne pouvais pas disparaître soudainement jusqu’à demain… Je devrais prendre mes précautions si je veux continuer de revoir Léo. Peut-être… peut-être pas… Dis-je pour l’embêter. Il aimait m’embêter aussi, je ne pouvais pas me priver de le faire non plus. Ce fut un moment rapide mais très agréable. Les photos, les chatouilles, les sourires, les bisous, c’était ça la vie.
Le soir, j’attendis que mes parents partent dans leur appartement pour dormir. C’était loin de mes appartements qu’ils ne remarqueraient pas mon absence. J’étais descendu dans les cuisines pour attendre au loin l’arrivée de Léo. Je l’attendais secrètement mais avec impatience. Je voulais tellement le revoir et aussi longtemps que possible cette fois ci. J’étais au domaine et même si je sortais, personne ne le saurait. Je m’étais imaginée son arrivé sans cesse depuis notre escapade secrète. Je revivais ce que je ressentais pour lui à chaque instant. C’était intense. Je m’étais même revêtue plus joliment et refais une beauté. Je voulais lui plaire… il le méritait… mon beau Léo…
Une lumière apparut à l’écurie, ça devait être son signal. Je partis immédiatement et l’admira. Il était tellement beau… tellement séduisant. Il me fait craquer. On ne vit pas ici, on étouffe… Mais oui, c’est chez moi et ici, c’est mon endroit préféré. Je viens là pour m’isoler de tout… Dis-je en souriant dans sa direction. Je m’avançais encore plus de lui. Il prit mes mains, ce qui me fit déjà frissonné. Et quand il toucha ma joue, j’eus l’impression de mourir. C’était tellement  bon de sentir sa peau sur la mienne. Je te réserve tellement de chose... Dis-je en plaçant mes lèvres sur les siennes pour lui donner un baiser profond et langoureux. Je voulais montrer toute l’envie que j’avais pour lui... Suis moi... Dis-je en souriant sans lâché sa main pour le guider. Il faisait noir mais je réussissais à voir ce que je voulais voir. Nous passions par les cuisines en arrivant au château avant de prendre les escaliers et de se diriger dans ce long couloir qui menait jusqu’à ma chambre. C’est là que je dors... Dis-je en fermant la porte derrière lui. C’était étrange d’avoir un homme dans ma chambre. C’était bien la première fois et si mes parents le savaient, il me couperait les vivres. J’avais allumée quelques bougies pour installer une ambiance chaleureuse. Tu restes combien de temps en Italie ? Dis-je en le regardant avant de me rapprocher de lui pour attraper ses mains et les caresser.

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Même dans la nuit, je trouvais assez facilement l'adresse de Charisma. La domaine tapait dans l'oeil, faut dire. Les lumières de la nuit rendait l'endroit encore plus somptueux. Je ne faisais définitivement pas parti de ce monde-là. Je cherchais l'écurie, qu'elle m'avait décrite plus tôt dans la journée. Même si c'était énorme, ce n'était pas difficile à trouver. Puis, une fois sur place, j'envoyais des signaux lumineux pour lui dire que j'étais là, et elle apparut dans la lueur de la lune. Je souriais, me sentant mieux maintenant qu'elle était là. Je voulais, j'avais besoin plutôt d'un contact à présent et je prenais ses mains dans les miennes tendrement. Elle se laissait faire, évidemment. Je commentais mon impression sur la demeure, sa remarque me fit rire. En fait tu aimes quand ça pue. dis-je, puisqu'un écurie sent les chevaux évidemment et ça ne sent pas toujours bon. Je disais ça pour la taquiner, c'est vrai que c'était un bel endroit. Je ris alors voyant sa tête se décomposer et caressa sa joue. Puis, je lui demandais ce qu'elle pouvait bien me réserver. Après tout, c'était son idée que je vienne chez elle. Sa réponse me fit sourire, et le baiser qu'elle m'offrit ensuite m'enchanta encore davantage. Elle prit ma main ensuite et me tira vers l'intérieur. Je ne dis plus rien, au cas où on passerait près de zone dangereuse genre "chambre des parents" et ne pas les réveiller. J'attendais donc d'arriver où elle m'emmenait pour parler. La destination n'était autre que sa chambre. je regardais autour de moi, en souriant. C'était spacieux, et totalement elle à vrai dire. et là où tu rêves de moi. la taquinais-je alors m'approchant d'elle. Elle allumait des bougies. Je la regardais faire, un peu hypnotisé par les flammes. Elle posa la question un peu fatidique. Je me râclais la gorge. oh heu.. que trois mois. lui soufflais-je alors avant de lever la tête vers elle. Enfin c'est pas mal, trois mois, mais là il reste deux mois et demi et.. enfin c'est court pour.. pour vivre des tas de choses avec toi. avouais-je alors. C'était la première fois que je ressentais ça pour quelqu'un et je n'arrivais pas à m'y faire, ni à ne pas être maladroit dans mes propos, je ne savais pas quoi dire ou pas. Je caressais ses mains à mon tour, face à elle. Alors j'aimerais profiter un maximum avant de rentrer en Amérique. lui soufflais-je caressant sa joue. Je veux partir en me disant que je connais par coeur la plus belle jeune femme d'Italie. ajoutais-je alors, un petit sourire aux lèvres. Alors dis moi tout! Ce que tu aimerais faire plus tard - et oublie le rêve que tes parents veulent te mettre en tête, je ceux te connaître toi - tes plus grands rêves, ce que tu adores, ce que tu détestes, tes qualités, ce que tu me diras être des défauts, tout. Et je verrais ce que je peux accomplir le plus pour toi en deux mois et demi. lui soufflais-je alors. J'étais totalement sincère, évidemment. Je voulais vivre un maximum de choses avec elle, je n'avais pas froid aux yeux.

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Sa venue m’enchantait énormément. Je jouais avec le feu car si mes parents apprenait qu’un homme me rend visite, il m’enverrait dans un pensionnat très loin d’ici. C’est toujours la même chose de toute façon… Prisonnière de ma propre vie. Si tu savais à quel point ! J’aime sentir l’odeur du crottin de cheval, de la paille humide et du bois craquelant... Mais tu sais ce que j’aime encore plus en ce moment ? C’est ton odeur mélangé à tout ça. C’est harmonieux. Dis-je en riant. C’était à mon tour de chercher la guerre et j’espérai bien remporter cette bataille. L’Italie ne doit pas perdre contre l’Amérique.
On était ensuite allée jusqu’à ma chambre. Je nous voulais loin de mes parents et dans un endroit intime où on pourrait profité l’un de l’autre. Et où je rêve de toi… en tenue de tarzan…te balançant sur une liane. Dis-je amusée. J’avais décidé d’allumer des bougies pour nous mettre dans une ambiance romantique. Léo me donnait toujours cette envie là… Je n’avais jamais été aussi désinvolte qu’avec lui. Je me sentais réel, je me sentais vivante et j’avais l’impression que je pouvais tout dire, tout faire et être comprise. Deux, trois mois seulement… C’est tellement peu… Dis-je en m’approchant de lui, déjà triste d’apprendre ça. J’étais déçue qu’il en aille si prochainement. J’avais peut-être tort de m’attacher autant à lui mais c’était plus fort que moi. Je l’ai dans la peau depuis que mon regard a croisé le sien pour la première fois. Nous étions sur la même longueur d’onde apparemment car il voulait vivre un maximum de chose avec moi, il voulait que je me livre à lui, en savoir plus… J’étais face à lui et je n’arrivais pas à me détacher. J’adorais le son de sa voix, j’adorai son parfum, sa présence et sa façon de parler. Il est sexy, terriblement sexy… J’avais déposé mes fesses sur le lit en l’incitant à faire de même. J’aimerai travailler dans le monde artistique… Je ne sais pas encore quel métier exactement mais j’ai beaucoup d’imagination, de créativité… J’aimerai danser, j’aimerai faire parler mon corps sans parler… Mais j’étudie le journalisme alors je suppose que c’est dans ça que je finirai. J’aime beaucoup écrire donc ça ne me dérange pas. Mais je ne serais pas la femme d’un homme puissant qui ne fait rien de sa vie à part dépenser de l’argent. Ce n’est pas mon genre. Dis-je en déposant ma tête sur son épaule. J’étais si bien en ce moment. Je me confiais à lui comme si je l’avais toujours fait. Sinon je rêverai d’aller en Amérique… de faire du roller sur la plage en bikini, d’aller dans un club de striptease et de voir le show d’un chippendale rien que pour moi… Mince… Je t’ai vraiment dit ça à toi ? Désolé, c’est le genre de chose qu’on dit à ses copines. Mais bref, il y a tellement de chose qui me ferait rêver en Amérique.   Dis-je avec beaucoup d’émerveillement en jouant avec les doigts de Léo, cherchant mes défauts et mes qualités. Je suis entière, pas du tout influençable, divertissante d’après ce que l’on dit, douce… Mais aussi lunatique… Rancunière et j’écoute trop mon cœur parfois… Ça pourrait me jouer des tours. Et toi ? Dis-moi en plus ? »’ Dis-je avec un beau sourire. Tu as des frères et sœurs ? Tu souhaites devenir quoi ? Quel est ton type de femme ? Tu as de l’expérience avec les femmes ? Enfin je veux dire, tu as eu combien de petite amie dans ta vie ? Dis-je en pensant à l’embrasser de nouveau. Je ne le ferai pas, je l’ai assez fait. Je ne suis pas collante mais il m’attire tellement que j’ai envie d’être encore en contact avec lui ?  J’ai envie que tu m’embrasses comme tu n’as jamais embrassé personne auparavant. Dis-je en le regardant.

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Charisma & Léo

Je savais que nous n'avions que deux gros mois pour être ensemble, apprendre à se connaître. Le truc, c'est que Charisma me plaisait.. vraiment.  J'avais réellement envie de faire des tas de choses avec elle, de la voir sourire des milliers de fois, de la faire rire, de l'étonner, de la surprendre, de l'embrasser, de la prendre dans mes bras, de lui parler des heures et des heures. J'avais besoin de tout ça. Alors, je lui aie demandé de tout me dire, de tout me raconter, puisque nous étions là. Elle commençait alors par me raconter qu'elle aurait voulu être dans l'artistique, alors que je m'asseyais à côté d'elle sur le lit. Mais, qu'elle était dans le journalisme et que ça ne l'embêtait pas plus que ça. Je fis une grimace. Cela ne me plaisait pas vraiment qu'elle ne fasse pas ce qu'elle voulait, au final. Même si le journalisme ne lui déplaisait pas trop, ce n'était pas le meilleur de ses projets. Mais je continuais à l'écouter, sans la couper. Elle ne voulait pas se marier à un con, en somme. Elle jouait avec mes doigts, continuant son récit. Elle me dit qu'elle adorerait aller en Amérique et m'énuméra les raisons pour.. ça finissait avec des chippendales, je ris alors qu'elle s'excusa. Non t'inquiètes c'est ce que.. tous les touristes font quand ils viennent.. dis-je avec ironie pour la taquiner avant de rire et de la laisser continuer avec ses qualités et ses défauts. Oui tu es douce. dis-je alors en souriant, sincèrement. Puis, elle me retourna plusieurs questions. J'hésitais, parce qu'en fait elle ne s'attendait sûrement pas à mes réponses. Je suis orphelin. J'ai une soeur adoptive mais on m'a retiré de cette famille y'a six ans. Je suis en foyer. Je fuis pour te voir. Je ne sais pas ce que je vais faire de ma vie parce que j'ai pas vraiment été à l'école depuis qu'on m'a retiré de ma famille. Et aussi c'est la première femme qui m'intéresse depuis toujours. Mais, elle me coupa alors que je cherchais mes mots me demandant de l'embrassant comme je n'avais jamais embrassé personne. Le truc c'est que, à part des bisous comme ça dans des jeux débiles enfantins, je n'avais jamais embrassé personne. Alors je l'embrassais avec le plus de passion et de désir que je le pouvais. Puis, je me reculais doucement, restant près de ses lèvres, mais assez pour la regarder dans les yeux. Charisma je.. je n'ai jamais été intéressé par une fille enfin.. si comme ça vite fait physiquement mais.. jamais comme ça. Tu es la toute première. soufflais-je alors, passant sur ses autres questions pour l'instant car je savais que c'était ce qui l'intéressait le plus. Je serrais ses mains contre moi. et je ne te mens pas, c'est pas un barratin de loveur ou quoi, je te jure. dis-je alors riant légèrement, ne sachant comme d'habitude pas être sérieux plus de trente secondes. Donc mon type de femme bah je suppose que c'est blonde.. intelligente.. douce.. divertissante.. entière.. créative. dis-je alors avec un petit sourire, avant de l'embrasser à nouveau.

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J’appréciais discuter avec lui. C’était doux, agréable et léger. C’est exactement ce que je me suis toujours imaginée vivre avec un homme. Et pas n’importe lequel… Celui qui aurait fait chavirer mon petit cœur. Léo donnait tout pour que je sois à l’aise avec lui. C’est ce qui comptait le plus. Il avait réussi à me faire rire et pouvait transformer une gêne en moment amusant comme pour les chippendales. Quelle idée de lui lancer ça… Du grand Charisma. Tu peux m’appeler la douceur de l’Italie, je ne t’en voudrai pas. Dis-je en riant, conquise par son humour. Je lui avais un tas de question soudainement, je voulais aussi en apprendre plus sur lui, je voulais en savoir tellement que j’aurai été capable de lui pondre un questionnaire. Il me donne tellement d’envie. Ce n’est pas tous les jours qu’on a la possibilité de rencontrer quelqu’un avec qui on est si fusionnel dès le départ. J’avais tellement d’enthousiasme en moi que je n’avais pas attendu bien longtemps pour lui dire de m’embrasser. Je voulais qu’il le fasse. Je ne pensais qu’à ça soudainement. Un peu comme une obsession qui picore l’inconscient. Je n’ai pas énormément d’expérience niveau garçon… J’ai eu des amourettes, des amours de vacance mais si je dois répertorier le tout, ça se compte au nombre de trois. Pas plus, pas moins. Léo compris. Et bien entendu, c’était tout un secret car si mes parents l’avaient appris, je serais bonne sœur aujourd’hui. Il m’expliqua en plus qu’il n’avait jamais été intéressé par une fille. J’eus la peur de ma vie, j’eus l’impression qu’il s’apprêtait à m’annoncer qu’il était homosexuel. C’était un soulagement quand je compris que non. Je trouvais ça mignon d’être la toute première fille qui l’intéressait autant. J’espère que je serais à la hauteur alors… Mais tu sais… Je n’ai pas plus d’expérience que toi dans tout ça… C’est nouveau pour moi… d’être folle de quelqu’un… comme ça… Dis-je sincèrement en profitant du contact de ses mains avec les miennes, du regard qu’il posait sur moi et de l’alchimie qui était présente entre nous. Je te fais confiance depuis le premier jour Léo… Je sais que tu es sincère, que ce n’est pas du baratin de loveur… Ne t’inquiète pas du tout pour ça. Dis-je en souriant, très amusée par sa façon d’être. Léo ne se prenait pas au sérieux et c’était ce qui m’amusait en ce moment. Il était aussi léger que moi par moment et j’adorai ça. Pouvoir être comme quelqu’un d’autre sans que ça fasse trop. Et puis, je le sentais profond. C’était attendrissant et très touchant. Il m’affirma comment était son type de femme du coup et pour ça, il énuméra les qualités que je lui ai dit juste avant. Je me sentais rougir mais la gêne fut dissoute quand il m’embrassa à nouveau. Je fus immédiatement transporté par le désir qu’il me faisait ressentir. C’était la première fois que j’avais envie de plus…. Que j’avais envie d’exister comme une femme à part entière. Tu es tellement beau… Dis-je doucement entre deux baiser avant de poser mes mains sur ses joues pour intensifier les choses et nous faire tomber radicalement sur le lit. Je ne sais pas comment mais j’avais terminé à califourchon sur lui. C’était très intense et très vivant. Je sentais un désire puissant pour la première fois. Je ressentais des vibrations énormes. Léo me faisait beaucoup d’effet. Mon américain… Dis-je en souriant contre ses lèvres avant de m’en emparer de nouveau, laissant mes mains apprécier des morceaux de sa musculature en se baladant.

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Charisma & Léo

Je me tenais assis face à elle, alors qu'on se faisait des confidences vraiment.. confidences. Elle m'avait demandé si j'avais déjà eu des femmes dans ma vie, je sentais qu'elle en était persuadée et pourtant, pas du tout. A part des petits bisous par ci par là, jamais je n'avais eu simplement le temps de craquer pour une fille. Et aujourd'hui, ça m'arrivait, il me le semblait. Charisma avait un effet vraiment fou sur moi. Elle me manquait à la seconde où je la quittais, je voulais la revoir chaque seconde, je la voyais partout, je pensais à elle, je voulais la voir sourire, rire, je voulais poser mes lèvres sur les siennes, prendre ses mains, avoir un contact, faire des trucs de fou avec elle, son petit accent italien me plaisait énormément, elle est belle, vraiment parfaite. Je ne peux donc pas m'empêcher de poser mes lèvres contre les siennes, encore et encore rien qu'en la regardant. C'était automatique, ça m'appelait. Elle m'avouait à son tour qu'elle aussi c'était une première et qu'en plus de tout elle me faisait confiance. Je souris, puis malicieusement je rajoutais Ohhh l'Iltalie craque pour l'Amérique avec humour. Je caressais sa joue et puis l'embrassais à nouveau. Je lui disais que du coup mon genre de femmes ça devrait être sa définition. Elle répondit en me disant que j'étais beau. Je n'eue pas le temps de répondre qu'elle m'embrassait, main sur mes joues. Dans son élan, Charisma nous fit tomber sur le lit. Elle se retrouvait à califourchon sur moi, riant légèrement. Puis, elle souffla avec un possessif et m'embrassa, là, à califourchon sur moi. Faut dire que ça me faisait vraiment un effet de fou, cette position. Je tentais de garder la tête froide et je la fis basculer à son tour sous moi, me retrouvant à mon tour à califourchon sur elle. Hmm je t'ai vu venir, avec ta position de domination là. C'est l'Amérique qui gagne, mademoiselle. puis je regardais ses mains sur mon torse. Hmm et ça profite, hmm? dis-je m'approchant doucement de ses lèvres, avant de l'embrasser à nouveau. J'allais passer ma main dans ses cheveux pour accentuer ce baiser. Je me laissais faire, j'étais complètement à l'aise avec elle. Peut-être trop, d'ailleurs. Je n'avais jamais fais de choses pareilles, alors du coup quand je men rendais compte, je me reculais un peu de ses lèvres. arrête moi si ça va pas parce que là je crois que je deviens accro dis-je alors autant pour être sérieux en mettant une tâche d'humour, à ma bonne habitude. Tu veux encore me voir tout nu, toi. ajoutais-je avant de rire.

Remember the past and never forget

beautiful léo and charisma

Je crois que maintenant, je suis capable de comprendre l’expression « Le ciel m’est tombé sur la tête » car c’est exactement ce que je ressens avec Léo. Il m’est tombé dessus sans que je ne le demande, sans que je ne m’y attende et sans que je le veuille. Maintenant, je ne peux plus envisager de ne pas l’avoir près de moi. Sa présence me rend vivante. Je me sens moi-même parce qu’avec lui, je suis moi-même. Je ne fais pas semblant, aucunes fausses notes.   Parce que l’Amérique n’attendait que ça. Dis-je en souriant avant de rire tout de même. C’était amusant de nous stéréotyper comme ça. On était en quelque sorte symbolique aux yeux de l’autre. D’ailleurs, je n’avais pas pu m’empêcher de l’embrasser de nouveaux  mais en nous faisant tomber sur le lit dans mon élan. Je l’avais embrassée avec tellement de panache qu’il n’avait pas pu faire autrement. Je m’étais retrouvée à califourchon sur lui en peu de temps mais dans l’intensité du moment, il reprit position à ma place, bien décidé. Et en quel honneur mon cher monsieur ? Demandais-je amusée. Tant qu’à faire… autant le faire bien. Dis-je avant que ses lèvres ne s’accrochent aux miennes. C’était si doux. Je me sentais tellement bien. C’était comme avant les yeux fermés et imaginer une belle plage paisible. Je ne t’en veux pas… Je te pardonne même de devenir accro… Dis-je avec un petit sourire coquin. Seulement… j’espère que tu trouveras la force de me pardonner aussi. Je dois t’avouer que… j’ai envie de franchir le cap avec toi… tu m’obsèdes… donc oui, je suis aussi accro. Dis-je en continuant de lui sourire avant de me mordiller la lèvre. Je veux voir ce que cache l’Amérique derrière son drapeau si tu vois ce que je veux dire. Dis-je en lui faisant un sourire malicieux avant de poser deux mains sur ses fesses et  de les ammener d’un coup pour qu’il fasse un mouvement que je qualifierai d’excitant.   Ouuuuh… Monsieur… Léo… Dis-je en italien avec le sourire coquin que je pouvais avoir. Puis sans que je ne m’y attende, on toqua à la porte. Mamzelle Charisma, ici dame Sophie, j’ai entendu du bruit. Tout va bien ? Je vais rentrer pour m’en assurer… Dit-elle en italien. Mes yeux s’écartèrent et je poussai Léo d’un coup. Vite dans ma penderie ! Vite ! Là-bas !  Dis-je en lui prenant la main pour le jeter dedans et fermer la porte au même moment que Dame Sophie ouvrit. Je comptais me vêtir pour la nuit… Et puis si je veux faire du bruit, je peux faire du bruit. Je suis dans mes appartements. Dis-je directement. Oui Mamzelle mais il ne faut pas en faire trop de peur de réveiller vos parents… Je vais vous aider à choisir. Dit-elle en s’approchant. Non non non ! Dame Sophie, ça suffit ! Vous sortez maintenant et vous me laissez sinon je mettrai la musique à fond ! Oust ! Oust ! Oust !  Ordonnais-je en pointant du doigt la porte. Elle partit et sans plus attendre, je partis fermer ma porte à clé pour ne plus être dérangée.  Je pris tout de suite le chemin de la penderie pour ouvrir la porte. On a eu chaud Robin ! Dis-je amusée en cherchant sa tête parmi mon linge.