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Charisma & Léo

Je me retournais sur elle, pour me retrouver à califourchon sur elle. Je n'aimais pas tellement qu'on ait le pouvoir sur moi, même si ça m'excitait vraiment. Oui voilà, ça m'excitait. Sauf que pour un mec qui a jamais rien fais, ça perturbe un peu. J'ai pas envie de passer pour un pervers mais elle me chauffait vraiment à cet instant précis. J'essayais de ne pas trop en faire, histoire de ne pas la faire fuir car à présent que je ne voulais pas la faire fuir. Puis elle dit ces choses à propos de son obsession pour moi aussi. Elle me disait vouloir franchir le cap avec moi, je levais un sourcil, amusé et excité. Je la regardais dans les yeux, l'écoutant avec attention. Elle se mordillait la lèvre, c'était fou. Je ris à la phrase d'après, c'était plus fort que moi. Tu es une grande folle, Cha'. dis-je alors avec un sourire. C'était coquin ce qu'elle disait, plaisant mais très inattendu. Elle posa ses mains sur mes fesses et me ramena vers elle, dans un mouvement super excitant et elle simula doucement en italien. Oh mon dieu c'était tellement sexy. Charisma tu me cherc.. commençais-je alors qu'on frappait à sa porte. Elle me fit tomber me disant d'aller dans sa penderie, je m'exécutais dans le feu de l'action. Je me retrouvais au milieu des fringues de Charisma. Je n'écoutais pas vraiment ce qu'elles disaient, puisque c'était en italien, bien que je ramenais mon attention quand elle parlait car c'était incroyablement sexy. Elle s'en débarassait au bout d'un moment. Moi, j'avais senti que le plancher bougeait sous mon pied et j'avais ouvert.. de la lingerie vraiment sexy. Quand elle ouvrit la penderie, j'en cachais un derrière mon dos, le sourire aux lèvres. Oh c'est sûr que j'ai eu chaud là dedans, moi. sussurais-je levant le string dentelle que j'avais trouvé dans sa cachette. L'Italie a pleins de recoins à découvrir, hmmm..? dis-je la faisant reculer de plus en plus vers le lit. Je la fis tomber dessus, sur le dos. alors où en étions-nous..? dis-je jetant le string à l'autre bout de la pièce. ah oui.. ce fameux drapeau. dis-je avec un sourire aux lèvres, tout près des siennes, sans jamais les toucher. Elle continuait de s'aggripper à mon torse musclé. Je retirais alors mon tee shirt. comme ça c'est plus simple lui dis-je alors. J'attrapais alors son buste pour le coller contre moi, la serrer. Alors, tu mettrais pas un de ceux-là pour moi..? Je suis sûre que tu ne les mets jamais mais que tu en meurs d'envie. lui dis-je. Je me doutais que c'était à cause du truc avec ses parents, qu'elle les cachait. Mais si elle les achetait, c'était pour se faire plaisir, alors autant le faire. Parle moi en italien soufflais-je ensuite. Tu me ferais faire n'importe quoi avec cet accent ajoutais-je. ça m'excitait vraiment, vraiment vraiment. Je passais une main dans ses cheveux. L'Italie est vraiment pleine de surprise lui dis-je finalement. Je ramenais son buste contre moi, pour qu'elle soit bien contre moi quand je l'embrassais. Je passais l'autre main doucement sur sa cuisse. Sa peau était tellement douce, j'avais tellement envie d'y poser mes lèvres, de connaître chaque recoin par coeur. Oh non pourquoi je m'étais mis à imaginer ça..

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La tension entre nous était monté en flèche. La tension de deux corps attirés l’un par l’autre bien sûr. Rien de négatif cela va s’en dire. Je le cherchais tellement. En même temps, je me sentais tellement moi-même avec lui que je n’avais pas envie de me retenir et de contenir tout ce que je contiens d’habitude. Il me plait, je lui dis, je lui montre et je ferai en sorte de ne rien cacher. J’aime tellement sa présence que lorsque Dame Sophie a frappé à la porte, j’ai tout de suite été énervé. Heureusement que j’avais réussi à la mettre dehors sinon j’aurai été capable de faire n’importe quoi… comme je ne sais pas… une fugue ? Oui c’est ça… Une fugue… Mais comment tu as trouvé ça ! Coquin ! Dis-je en riant à mesure qu’il me faisait reculer pour que je tombe sur le dos, sur le lit. Le voir jeter le string à l’autre bout de la pièce me fit rire énormément. Quel fou !Mon pauvre string… il se fait maltraiter… Dis-je en continuant de rire. Il m’amusait. J’étais tellement heureuse en ce moment. Tellement moi-même. Léo est en train de changer ma vie…Je l’écoutais et je le regardais. Ses lèvres m’appelaient mais elles semblaient résigner à ne pas toucher les miennes pour l’instant. Il retira son t-shirt et mes yeux se figèrent. Cette musculature semblait plus délicieuse qu’une glace en pleine saison d’été. J’avais tellement envie de la toucher que je ne perdis pas de temps pour tater ses pectoraux. J’aimais tellement ce que je voyais. Fais en bouger un … Aller… Que je puisse juger la force de l’Amérique… Dis-je de façon coquine en me mordillant la lèvre, attendant qu’il le fasse. J’avais laissé une seule main sur son torse. Je voulais que son pectoral la soulève en quelque sorte… C’était amusant.
Puis il ramena mon buste vers le sien pour créer une proximité. Il était collé à moi, il était serré. Mmh, je pourrai éventuellement essayer de caser ça dans mon agenda… Je vais voir ce que je peux faire… Dis-je en souriant avant de l’embrasser dans le cou pour arriver jusqu’à ses lèvres. J’avais tellement aimé le contacte avec sa peau. C’était si bon, il était si virile. N’importe quoi tu dis ? Comme m’embrasser sur le bas du ventre ? Comme m’emmener en Amérique avec toi ? Comme me déshabiller ? Parce que j’ai envie que tu fasses ça… Que tu me déshabilles et que tu me retires mes sous-vêtements avec tes dents… Dis-je en italien à sa demande. Il ne savait pas ce que je disais, c’est pour ça que je m’étais permise de dire tout ça. Nos corps étaient déjà bien collés mais il les colla encore plus. Nos baisés étaient plus intense et la sensation beaucoup plus bonne. Je frissonnais sous les caresses de sa main sur ma cuisse. C’était excitant et plus je sentais sa main s’approcher de mon buste, plus je sentais l’excitation chatouiller mon corps tout entier et surtout le centre intime qui s’y trouve. J’aurai aimé renverser la situation mais il était beaucoup trop musclé pour que je réussisse cette opération. J’avais donc glissé ma main jusqu’au bouton de son jean pour le déboutonner avant de déboutonner les boutons de sa braguette. Je vais te retirer ton pantalon bel âtre… Dis-je en italien en souriant toujours de la même façon. J’aimais lui faire de l’effet, je me sentais puissante et femme. Et je vais poser mes mains sur ton boxer pour toucher tes fesses musclés et terriblement sexy parce que j’en suis fan depuis que je les ai vu la dernière fois. Dis-je en lui en riant un peu. Je l’embrassais ensuite en ressentais les vibrations de nos deux corps… c’était magique. Mes mains l’aidèrent à retirer son jean puis ne tarda pas à retirer son boxer pour libérer la bête. Je ne l’avais par contre pas regardé. Je ne le voulais pas. J’avais peur de voir ce qui pourrait entrer en moi. Je ne l’ai jamais fait et même si je me lâche un peu beaucoup ce soir, je suis effrayé par ce moment qui semble avancer à grand pas. A la place, j’avais donc attrapé sa tête pour l’embrasser avec énormément de désir et de spontanéité. Espèce de bombe sexuel… Dis-je en italien avant de le retraduire en anglais pour qu’il sache cette fois-ci ce que je disais.

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Je la taquinais avec les sous-vêtements que j'avais trouvé dans son armoire, bien cachés. Je riais légèrement à sa réaction, c'était trop mignon. Je la faisais reculer sur le lit, retirant mon tee shirt puisque mademoiselle aimait mater ce qu'il était caché dessous. Là, elle me demanda d'en faire bouger un, sa main dessus. Je riais. T'es vraiment dingue fis-je remarquer avant de le faire à sa demande, faisant un peu bouger sa main du coup qui était au dessus. Elle a beaucoup de force, l'Amérique. répondis-je alors, amusé, tout près d'elle. Je la ramenais près de moi, ramenant son buste contre mon torse, lui proposant un petit défilé. Je ris à sa réponse. Je sais pas pourquoi y'a un créneau qui va se libérer.. répondis-je alors avec un sourire aux lèvres. Ce n'est pas parce que je riais que je n'étais plus excité, au contraire. Elle me plaisait, c'est pour ça que je riais et aussi de cette façon qu'elle m'attirait de plus en plus. Pourtant c'était ma première fois aussi de mon côté et j'avais peur d'être maladroit, de faire n'importe quoi. Je n'ai jamais eu personne d'autre qu'Internet à qui en parler, de ces pulsions humaines que représente le sexe. Je lui demandais de parler italien, parce que j'adorais son accent et cette façon de parler.. Tu m'étonnes que c'est une langue synonyme de sexe, parce que c'était trop trop excitant. Je n'avais aucune idée de ce qu'elle pouvait me dire mais j'imaginais bien le contenu tout de même. Je caressais sa cuisse, remontant sa robe doucement alors qu'elle me déboutonna le pantalon et me l'enleva, continuant de parler italien, libérant aussi mon propre sexe en retirant mon boxer au passage. En gros, je suis à poil là tout de suite avec un sexe bien excité. Mais, je sentais le mal être puisqu'elle m'attrapait les lèvres, de peur de regarder ce qu'elle venait de libérer. Je répondais à ce geste, puisque je comprenais qu'elle ait peur. Je caressais sa joue ensuite. Tu es sûre que tu veux faire ça là maintenant? soufflais-je alors. Je ne savais pas comment m'y prendre mais je savais que je ne voulais pas qu'elle souffre d'une quelconque manière, qu'elle ait peur, qu'elle se force ou quoique ce soit. et puis du coup moi dans ma poche arrière, mon portefeuille y'a de quoi.. dis-je parlant de préservatif, évidemment. Au foyer, ils apprennent rien mais ils en distribuent depuis quelques mois, vu notre âge, ils ne sont pas bête quand même. Je savais qu'il fallait qu'on se protège, je n'étais pas si idiot que ça. Tu m'arrêtes si ça va pas, d'accord? dis-je continuant à relever sa robe caressant sa peau en passant, passant au dessus de son bas, puis de son soutien gorge, la retirant alors complètement. Je l'embrassais sur les lèvres et puis dans le cou, je descendais petit à petit, passant sur le tissu de son soutien gorge afin d'y aller doucement, son ventre, je caressais cette peau magnifique en passant. Déesse lui répondis-je alors en retard à son "bombe sexuel" précédent. J'arrivais en bas, ayant peur qu'elle ne fasse un mouvement de recul, j'y allais doucement, que ce soit avec mes lèvres qu'avec mes gestes.

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Son pec avait bougé à ma demande, ce qui m’avait énormément fait rire mais que je trouvais aussi craquant. C’était une vrai bombe sexuelle ce mec. Dingue de toi… Dis-je en lui faisant un petit sourire coquin, une fois de plus. C’était tellement naturel d’être comme ça avec lui. Je ne le connais depuis quoi ? Trois jours et pourtant, c’est comme s’il n’y avait eu que lui durant toute ma vie. Tant mieux, l’Italie cherche un allié de taille. Dis-je en souriant. On s’appelait l’Italie et l’Amérique depuis le début, c’était étrange mais mignon. Puis l’Amérique semblait aimer la lingerie qu’il avait trouvé sous mon planché. Du premier coup en plus, sans chercher. Ma mère aurait pu le trouver… Je vais devoir revoir mes cachettes. C’est bien possible ! Mais attention, le spectacle ne sera pas gratuit mon chéri. Dis-je en murmurant de manière sensuelle. Je savais faire ça aussi, c’était tout un art de séduire. Je me suis légèrement inspirée des soaps italiens mais qui pourrait le savoir ? Je l’avais donc déshabiller progressivement mais je n’avais pas oser regarder son sexe, de peur d’être effrayé car je savais où il terminera et je n’étais pas complètement à l’aise. Comme toutes les personnes qui le font pour la première fois je pense. J’en ai envie Léo, ne t’inquiète pas... Dis-je en souriant timidement car je sentais qu’il avait compris mon mal à l’aise. Mais il ne devait pas se fourvoyer, j’en mourrai d’envie. Attrape ton pantalon alors… J’avais complètement oublié ce détail. Dis-je en doucement en le regardant avant de lui sourire. J’essayais d’être moins tendu car j’étais déterminé à le faire avec lui. Je ne demandais que ça à cet instant malgré ma panique intérieur. Ses caresses m’aident à me détendre, je n’avais même pas remarqué qu’il avait retiré ma robe au départ. J’aimais tellement avoir ses mains toute fermes sur mon corps. C’était tellement appréciable. Je n’avais comme qui dirait plus la sensation de craindre cet instant. Il réussissait à me relaxer. Tu peux le faire… Je suis prête… Dis-je doucement en l’embrassant soudainement pour l’encourager à le faire car il semblait vouloir que mon bien. Je voulais l’encourager parce que ça ne devait pas être facile pour lui non plus. Fais moi découvrir l’Amérique mon cher monsieur ! Dis-je en riant légèrement pour détendre l’atmosphère. J’étais sérieuse mais je préférai le dire avec humour. Ça passait mieux disons.

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Je sentais qu'elle n'était pas tout à faite en confiance. En même temps, elle m'avait avoué que ce serait sa première fois, tout comme moi d'ailleurs. Au dessus d'elle, je me retrouvais nu. Elle ne regardait pas mon sexe et je l'avais remarqué, elle évitait à tout pris de le regarder d'ailleurs. Aloès, je m'inquiétais, lui demandant si tout allait bien, si ca allait. Je voulais qu'elle aille bien avant mes propres envies. Même si j'avais donc très envie d'elle, je ne voulais pas la brusquer qu''elle ait peur et ne me dise rien. Elle me disait d'aller fouiller dans mon pantalon pour prendre les préservatif de mon porte feuille qu''elle avait un peu zappé. Finalement, je ne suis pas si irresponsable que ça. Je lui souris, l'embrasse avant de me lever prendre mon pantalon. Je me demandais si elle regarderait du coup ou pas. Je revenais, assis sur le bord du lit je l'attirais à moi, hisoit assise contre moi. Je l'embrassais alors langoureusement et je posais mes mains sur sa peau, la caressant en l'embrassant. Puis je me reculais pour la regarder en la caressant. Elle était belle, ç'était fou. Tu es magnifique soufflais je alors doucement. Je la rallongeais pour l'embrasser sans attendre une minute de plus. La serrant contre moi à nouveau, je passais ma main dans son dos pour lui dénouer le soutien gorge. Je lui sourais et je descendais mes baisers dans son cou, retirant doucement son soutien gorge puisque moi même je découvrais ce que c'était et aussi pour être doux et qu''elle soit le moins mal à l'aise. Son corps me faisait un effet inédit. J'avais pu l'imaginer des tas de fois, ç'était meilleur que possible. Mes lèvres arriverent sur sa poitrine et bien que je continue avec douceur, ma respiration se fit courte. C'était tellement beau à voir, bon à embrasser. L'Amérique aime l'Italie... soufflais je remontant à ses lèvres , amenant ses jambes autour de moi, enfilant le préservatif discrètement et retirant son bas à la fois doucement. Très doucement je caressais sa poitrine et descendis sur son bas ventre le plus délicatement possible, tremblant un peu puisque moi même j'étais perturbé de faire ça pour la première fois. Pour me reprendre, je me mettais à la regarder dans les yeux. Je me disais qu'on aurait confiance l'un en l'autre et que ce serait le plus important. Je commençais à sentir sous mon doigt l'humidité de son sexe qui me perturba un peu plus. ca va Charisma? lui demandais je alors pour être sûr que ça allait, que je ne faisais rien de travers. De mon autre main je prenais fermement son visage entre mes doigts musclés, la regardant avec sincérité dans les yeux.

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J’avais osé regarder Léo lorsqu’il partit chercher son pantalon pour récupérer ses préservatifs. J’étais surprise de voir le calibre de ses parties génitales. Il semblait si raide, si grand, si gros. Ça ? Ça doit pénétrer l’intérieur de mon sexe. J’imaginais la chose… douloureuse. Mais je n’avais pas peur, j’étais prête, c’était ce que je voulais. Je me sentais capable de devenir une femme avec lui. J’ai confiance en lui, je veux que ce soit lui. Je veux que ce soit lui et personne d’autre. Personne d’autre. Pourquoi voudrais-je quelqu’un d’autre lorsque j’ai un homme aussi séduisant en face de moi qui fait émerger en moi des sensations inconnues à chaque fois que ses mains touchent mon corps, à chaque fois que sa langue s’entremêle à la mienne. C’était si bon, si bon de l’avoir près de moi, si bon de se sentir désirer autant et de désirer cette personne tout aussi fort. Merci.. Dis-je en profitant de ce qu’il faisait. Il était tellement doux, tellement attentionné, tellement parfait… Il embrassait terriblement bien que ce soit sur les lèvres ou sur ma poitrine. J’aimais ce que je ressentais, j’aimais ce sentiment d’excitation. Je sentais mes muscles se contracter au niveau de mon entre jambe et c’était pour le mieux. Il avait un effet dingue sur moi, un effet dont je ne suis pas prête de me lasser. L’Italie aime aussi l’Amérique. Dis-je doucement pour répondre à ce qu’il venait de dire. Nous étions sur la même longueur d’onde, c’était très étonnant mais aussi très naturelle. Je ne voyais pas les choses autrement aujourd’hui. Je voulais même plus encore, j’étais prête à ce que lui et moi ne formions plus qu’un. Je devenais folle, ça me chatouillait de l’intérieur. Plus il me touchait et plus je me sentais sous son emprise. Je le suis, c’est indéniable. Nos regards se croisèrent ensuite et je pus ressentir tout le bien qu’il pouvait me promulguer. Je me sentais tellement bien, je me sentais tellement désirée. J’étais réconfortée dans mon choix de lui faire confiance. Je pouvais voir dans ses yeux qu’il ne demandait qu’à assouvir mon bonheur et que j’étais sa priorité. Ca va, j’ai envie de toi plus que jamais… Let’s go… Dis-je doucement en déplaçant ma main vers son sexe pour le toucher. Ca m’intriguait… Je n’en avais jamais touché dans le passé. Je voulais savoir la sensation que ça faisait avant qu’il ne passe à l’action. Je le voyais gémir à mesure que je déplaçais ma main sur son sexe de haut en bas. Et toi Léo ? Ca va ? Dis-je en le regardant avant de lâcher son sexe pour qu’il puisse passer à l’acte. C’était un moment marquant de ma vie que je m’apprêtais à franchir. Je ne pourrai plus revenir en arrière et j’en suis bien consciente. Léo est le meilleur choix…  Peu importe ce qui arrivera, je ne le regretterai pas. C’est toi que je voulais... et c’est toujours toi que je veux. Dis-je pour être clair car ça pourrait mal se passer et si jamais ça se passe mal, je veux qu’il sache que je n’aurai aucun regret.

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C'était un acte vraiment étrange, et j'avais du mal à garder les idées claires. j'essayais de bien faire, en la mettant en confiance, en l'apaisant. Je faisais cela en la caressant en la couvrant de baisers, en lui disant qu'elle était belle, en lui disant que l'Amérique aimait l'Italie. Ca avait l'air de fonctionner alors je me disais que finalement je n'étais pas si nul que ça. Pour une fille bien souvent la première fois c'est quelque chose de magique, qu'on veut faire avec le bonne personne, dont on se souviendra bien, du coup, pour le mec ça devient une affaire d'état. On ne veut pas gâcher ça, pas faire de la merde, ne pas débander, ne pas mal mettre le préservatif, ne pas lui faire mal, ne pas lui faire du bien au contraire - tout ça ça entre en jeu et ça rend fou. Dans ma tête c'est le feu d'artifice entre tout ça, et du coup finalement c'est moi qui finissait par être mal à l'aise. Elle me répondit qu'elle était prête, qu'elle avait envie de moi et j'essayais de reprendre confiance à partir de ça. Mais quand elle entoura mon sexe entre ses mains, que je gémissais sous cet acte, je ne pensais plus à rien. Mais elle me retournait la question. Je la regardais alors qu'elle me lâchait pour nous mettre en position pour le faire, je la regardais dans les yeux. Elle continua avec cette phrase en disant que peu importe comment ça se passera elle ne regrettera pas, je souris sincèrement. Comment est-ce qu'en moins de deux minutes on peut passer par toutes ces étapes? Je l'embrassais follement comme réponse, prêt à lui donner ce qu'elle voulait, d'un coup, c'était venu de nul part. C'est mes lèvres sur les siennes que doucement, liant mon souffle au sien, j'allais approcher mon sexe du sien pour la pénétrer le plus doucement possible, bien tout le bien que ça me faisait et me donnait envie d'y aller. Une main dans ses cheveux, l'autre contre sa fesse, j'exécutais ces va et vient très lents, alors qu'elle grimaçait légèrement. J'essayais d'être le plus tendre possible. Je caressais sa joue. Je rapprochais à nouveau nos lèvres pour être doux ailleurs, puisqu'elle avait mal et que je ne pouvais rien y faire, il fallait attendre que ça passe. Quand je sentais rien que dans sa façon de m'embrasser qu'elle se détendait et qu'elle commençait à vraiment apprécier, j'y allais un peu plus franchement, prenant un peu plus de plaisir de mon côté et j'espérais du sien, lâchant des râles de plaisir. Je n'aurais jamais imaginé que c'était si bon. Je tenais sa fesse plus fermement maintenant, prenant confiance en les mouvements de nos deux corps qui ne faisaient plus qu'un à présent, dans cette danse folle qu'on apprenait ensemble. Je voulais tellement lui donner de plaisir, et pourtant on ne pouvait pas trop non plus faire de bruits. Du coup, je lui serrais la main, pour qu'elle lâche son bonheur ailleurs que dans des vrais cris, en dehors des gémissements, qui pourraient éveiller ses parents. Je sentais que son vagin se refermait de plus en plus autour de mon sexe et c'était l'extase, pour tous les deux. j'attrapais ses lèvres pour faire passer mon gémissement à son jouissement, tout en finissant dans le préservatif. Je sortais quand même rapidement d'elle, car ça ne devait pas lui être très agréable. Je n'osais pas regarder le sang qu'il devait y avoir. Mais, je regardais quand même. Il n'y en avait pas beaucoup, mais quand même. J'enlevais le préservatif pour le boucler et le mettre sur un mouchoir de côté. je vais t'aider à nettoyer ça.. qu'ils ne voient rien. lui dis-je alors. Je m'inquiétais trop pour trop de choses, je le sentais. Je la regardais et, j'avais encore envie d'elle. Je souriais et me mettant de l'autre côté du lit en sa compagnie, je me mettais à la réembrassais par petits baisers sur les lèvres. ça va, tu n'as plus mal? demandais-je alors, le sourire aux lèvres.

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Je ressentais l’envie d’aller plus loin et surtout la sensation que je le devais car je n’aurai jamais autant envie de le faire avec quelqu’un d’autre. Il arrive que parfois, certaines choses nous tombent dessus sans qu’on ne demande rien. Je me suis réveillée un beau jour et j’ai rencontré Léo de la manière la plus anodine qui soit. Ce qui devait arriver, arriva. Nous en étions là, c’était fusionnel, naturel, c’était la seule chose de vrai en ce moment. Un simple regard peut suffir et dans notre cas, le doute ne plane pas. Il m’avait embrassé et pénétré soudainement. Je m’étais mise à grimacer. J’avais mal, très mal. C’était très très serré. Je suppose que ça se dilatera avec le temps mais pour l’instant, je sens tout. Mais quand même partagé entre la douleur et le plaisir car mine de rien, mon corps en tremble. Heureusement qu’il était d’une douceur incroyable et heureusement qu’il n’allait pas vite. On s’embrassait de nouveau durant l’acte et plus ça allait et plus je me sentais bien, plus je me décontractais et plus je prenais de plaisir. C’était un moment intense. Je le vivais à cent à l’heure. Il faisait bien d’accélérer. Je commençais à gémir de plaisir en oubliant  légèrement la douleur. C’était un peu comme si le plaisir était plus fort que la douleur. Nos mains s’entremêlaient et se serraient de plus en plus. Cela m’évitait de crier même si je ne pensais qu’à hurler combien j’aimais ce moment, combien j’aimais être en sa possession. Je voulais autant être sa déesse que lui mon dieu. C’était magnifique. Je me sentais toute chose. J’avais encore mal mais j’étais heureuse. Je suis désolée d’avoir saignée... Mais ne t’occupes pas de ça. Je vais devoir aller les jeter très loin ou les bruler. Les bonnes sont de grosses rapporteuses. Dis-je en souriant avant de me masser légèrement au-dessus de mon sexe pour atténuer la douleur intérieur que je ressentais. Il m’embrassait et je n’eus qu’une seule envie… recommencer. Mais en vue du sang que je venais de perdre, ce n’était peut-être pas préférable. Je devrais réussir à survivre. J’ai couché avec un Américain, je pense être assez forte pour supporter tout ça du coup. Dis-je en riant avant de me tourner vers lui pour l’embrasser à mon tour en posant une main sur son torse. Je m’étais ensuite amusée à faire descendre deux à deux mes doigts. Je suis heureuse de t’avoir rencontrer Léo même si la légalité et toi n’êtes pas ami. Et tu sais… j’aimerai ne jamais avoir à te quitter… Mais je sais que tu vas devoir repartir un jour en Amérique… Dis-je doucement en embrassant son torse. J’étais consciente de ça. J’avais quand même voulu le faire car je ne voulais pas passer à côté d’un homme qui m’a donné des papillons dans le ventre dès que je l’ai rencontré. Il est et restera mon américain à moi. Peu importe la distance, je ne l’oublierai jamais. Il faut que je me lave… Dis-je doucement en me levant pour aller jusqu’à la porte. Aller viens, je ne suis pas la seule à devoir me laver. Mais attention aux bruits… Dis-je en lui souriant avant de marcher sur la pointe des pieds en direction de ma salle de bain. Mes parents ont la leur, les domestique aussi et moi aussi. On a tous notre salle de bain, ce qui nous facilite la tâche. En arrivant dans la salle de bain, je m’étais empressée de fermer la porte à clé. Au moins, on ne pourrait pas nous déranger. J’avais donc fait couler l’eau dans cette immense baignoire où nous pouvions facilement rentrer à 4. Elle était en or avec des jets et un propulseur de mousse. Bien que je sois habitué à ça, je ne m’en lasse jamais. En attendant que l’eau monte, j’avais enroulé mes bras autour du cou de Léo et en me rapprochant de lui, je pus encore sentir son sexe levé. C’était étrange mais aussi très drôle. Vous êtes si bien bâtît mon cher monsieur. Dis-je avant de l’embrasser délicatement en laissant le baiser devenir rapidement langoureux.

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Tout cela était venu vite, et bien. Nous nous étions rencontrés quelques jours auparavant, peut-être, mais nous étions jeunes et qui ne fait pas de choses comme ça sans trop réfléchir à notre âge? Pourtant, j'étais certain que je ne regretterais jamais ça. Nous l'avions fait dans les règles, avec préservatif, j'avais été doux, elle avait été patiente. ça avait été idéal. Elle était magnifique, un corps incroyable devant moi, nue alors que je n'en avais jamais vu jusque là. C'était vraiment étrange de se dire que c'était un peu "à nous" l'espace d'un moment, que nous en faisions ce qu'on voulait, qu'on devait le rendre heureux à ce qu'il jouisse. C'était très étrange comme sensation et à la fois vraiment bon. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Elle vint sur moi, doigts sur le torse elle jouait dessus. Elle me disait qu'elle les brûlerait, ces draps. Je souris, un peu amusé par cette idée. Ok comme tu voudras lui dis-je alors que ce sujet là était clos. Elle avait perdu du sang, et c'était normal, je savais que ça se passait comme ça chez les filles. Nous, on avait rien de physique qui changeait, c'était dans le mental. Je la voyais se tenir par le bas et je la regardais. Je caressais sa joue. j'ai vraiment essayé de ne pas te faire mal, promis. soufflais-je alors. Je n'aimais pas qu'elle ait mal, c'était par dessus tout. Mais elle avait l'air d'avoir apprécié quand même. J'avais lu des trucs sur le fait que la première fois d'une fille est souvent plus douloureuse qu'autre chose. Ah parce que c'est dans ta liste des choses à faire que tu peux cocher, c'est ça? plaisantais-je alors avec le sourire, pour qu'elle comprenne que je prenais ça sur le ton de la rigolade, évidemment. Et puis, elle me dit quelque chose qui me fit me racler la gorge, quand elle parlait de la légalité et moi. C'était quelque chose qu'elle avait retenu, qui faisait parti de comment elle me voyait et je n'aimais pas ça. Je ne répondais donc juste pas, surtout qu'ensuite le sujet de mon départ m'attristait autant qu'elle. Je la serrais juste d'avantage pour qu'elle ne voit pas que mon visage avait changé d'expression. Mais elle changea de sujet, heureusement pour moi. Elle proposait d'aller se laver. Je la suivais, de toute façon j'avais pas vraiment le choix. Sur la pointe des pieds, nous allions dans sa salle de bain privée évidemment. La baignoire qu'elle remplissait faisait la bonne taille pour accueillir tout le foyer. Elle était en or, probablement. Je bloquais dessus un moment avant que Charisma vienne entourer ses bras autour de mon cou. Elle était toujours nue, ce qui eut un effet direct sur moi. Mon sexe était redressé et moi aussi j'étais nu, alors elle le remarquait tout de suite et le commenta. Je ris légèrement. pour ton grand plaisir soufflais-je me laissant avoir dans son baiser qui devint langoureux. Je la serrais contre moi alors, puis j'allais la coller contre un des murs, doucement. Je me décollais doucement de ses lèvres, les touchant encore mais suffisamment pour pouvoir parler tu me redonnes des envies toi.. soufflais-je alors avant de sourire. Allons nous laver soufflais-je après l'avoir ré-embrassé un long moment et de nous passer dans l'eau. Je n'avais pas l'habitude des bains aussi luxueux que ça, ça me gênait presque. Cela faisait sept ans que je n'avais même pas eu droit à un bain tout court. J'écourtais alors le bain, lui empruntant une serviette pour me sécher rapidement. Nous retournions dans sa chambre. Il fallait que je lui explique le fossé qui nous séparait, je ne pouvais pas faire autrement. Face à des situations comme celles-ci, comment faire pour passer outre? Je m'asseyais sur son lit, du côté propre, lui tirant les mains pour qu'elle reste face à moi. J'ai quelque chose à t'avouer.. j'ai évité d'en parler jusque là mais.. il faut que tu le saches. lui dis-je alors. Je détestais les conversations sérieuses. En fait, j'avais peur qu'elle ne me voit plus comme avant quand elle le saura. Je ne veux pas de pitié ou, que sais-je. C'est juste pour que tu comprennes certaines de mes réactions peut-être que je pourrais avoir dans ces deux mois et demi et aussi celle donc que je viens d'avoir.. lui soufflais-je d'abord. Je passais par quatre chemins sans trop savoir où je me mettais. Je.. je suis en foyer en fait. On a été aidé par une association pour venir trois mois ici en Italie et c'est pour ça que je suis ici.. je fais le mur pour être avec toi parce que de toute façon, ils ne me cherchent plus je cherche à m'enfuir depuis que j'y suis.. dis-je en souriant un peu parce que ça m'amusait et en même temps je fronçais les sourcils, gêné. Je ne la regardais plus dans les yeux, j'avais tellement honte d'être qui j'étais. J'ai été adopté bébé mais à l'adolescence je leur aie fais la misère alors les services sociaux sont venus me chercher contre le gré de ma famille adoptive.. ça fait sept ans maintenant que je suis en foyer. Mais l'an prochain je serais majeur, je pourrais fuir pour de bon. lui confiais-je alors. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien y faire? Ce n'est pas ça que je voulais dire. Du coup tout ça moi.. ta chambre de fou, les domestiques, ta salle de bain énorme.. j'ai du mal parfois je.. j'ai pas l'habitude j'ai pas l'impression que.. j'ai le droit à tout ça alors, voilà comme ça tu sauras si j'ai une autre réaction comme ça. Mais je déteste en parler, je te le dis parce que je veux être honnête avec toi mais, ne fais jamais allusion à ça, s'il te plait. Je veux profiter du peu de temps que je peux avoir avec toi. lui dis-je alors finalement levant les yeux vers elle, serrant ses mains dans les miennes.