Remember the past and never forget

beautiful léo and charisma

On s’entendait si bien… C’était une grande évidence. Quand il me souriait, mes lèvres faisaient de même sans que je ne commande rien. C’était naturel. C’est pour cela que cette première fois avec lui semblait si naturel. Je me sentais en sécurité et désirée, c’était parfait. Il n’a jamais cherché à me faire mal comme il le dit si bien. Il a été doux et attentionné. Manque de chance pour lui, les douleurs étaient inévitables mais il est clair qu’il les a rendus supportable. C’est ça. Il ne me manque plus qu’à cocher la case « coucher avec un américain pour la deuxième fois » et puis qui sait, d’ici là, j’aurai peut-être trouvé d’autres choses à cocher ? Donc si tu as des idées, n’hésite pas. Dis-je en offrant à ce dernier un magnifique sourire. Il était si beau, si agréable à regarder… J’étais folle de ce que je voyais.
Dans la salle de bain, Léo avait fini par me coller contre le mur. Chose qui m’avait tout particulièrement mise en haleine. C’était sexy et la température n’avait qu’augmenter. Difficile de faire autrement lorsque notre corps se retrouve face à un autre corps nu et que les bras robuste de notre partenaire nous plaque gentiment contre une surface lisse et froide. Ce n’est qu’un avant-gout de ce qu’il pourrait arriver dans un futur proche. Murmurais-je près de ses lèvres avant qu’on ne s’embrasse et se touche un long moment. J’en avais profité pour le toucher de partout, bras, fesses et même son sexe. Je me rendis compte qu’il était facile de donner du plaisir un homme sans pour autant parler de pénétration. Il y a à mon avis plein de chose que je dois encore découvrir dans ce domaine. Puis on décida d’aller se laver. Je m’étais assise dans la baignoire entre ses jambes. Je me sentais si bien que j’aurai pu y rester des heures. C’était un bain tendre et doux. Je n’avais pas hésité à le caresser pour le nettoyer. C’était catégoriquement relaxant. Et une fois relaxé complètement, nous étions sortis du bain pour regagner la chambre après s’être séchés. Il prit place sur le lit du côté propre et attrapa mes mains pour me confier plusieurs choses qu’il avait sur le cœur. Je l’avais écouté attentivement. J’étais à la fois surprise, peinée et compatissante. Ses confidences le rendaient encore plus important à mes yeux car même si ça fait peu de temps que je le connais, je me sens déjà si proche de lui. Doucement, je m’étais assise sur lui en gardant ses mains serrées avec les miennes. Je les avais même entremêlés puis mon regard s’était posé sur lui. J’étais assise de côté, ce qui me permettait de lui parler face à face. Ca n’a pas dû être facile de me dire tout ça… J’apprécie vraiment que tu l’ais fait tu sais… Dis-je doucement en le regardant avant de retirer une main pour caresser doucement son visage aussi tendrement que possible. Tu n’as pas être gêné par tout ça… L’argent ce n’est qu’une chose dans la vie… Je me lave dans une baignoire en or, j’ai des domestiques etc mais à quoi bon quand tu ne peux pas vivre ta vie quand tu l’entends ? Toute ma vie est dictée, c’est ce qui va avec cette vie alors crois-moi, tu n’as pas eu une vie facile à vivre mais tu n’aurais pas aimé non plus avoir celle que j’ai eu. Il y a quelque part dans le monde des personnes heureuses de ce qu’ils ont et ils ne sont pas forcément riches. Dis-je en continuant de le regarder et de caresser sa joue. Et depuis que je te connais Léo, j’ai compris que pour être heureux, il faut faire de sa vie ce dont on a envie. La richesse ou la pauvreté nous aide seulement à répondre à nos besoins primaires mais le vrai luxe de la vie, c’est de se sentir bien. Et je me sens bien depuis que je t’ai rencontré… Je me sens vivante, je me sens appréciée à ma juste valeur, je me sens appréciée pour ce que je suis et si tu ressens la même chose que moi, tu verras qu’on oubliera ensemble tout le reste. Tu oublieras ton foyer, tu mettrais tes misères passés de cotés et tu croqueras la vie à pleine dent jusqu’au bout. Dis-je simplement avant de l’embrasser pour clôturer le sujet car j’en étais persuadée. Il n’y avait pas plus persuadée que moi. Je m’étais donc levé pour ouvrir mon immense dressing qui se trouvait dans la pièce d’à côté (relié à ma chambre) et choisir une tenue pour ce qu’il me restait de ma soirée avec lui. Je ne sais pas quoi mettre, tu m’aides à choisir ? Dis-je en lui souriant de manière enjouée. Cette culotte ou ce string ? Demandais-je avant de lui jeter dessus lorsqu’il se rapprocha. Il fait toujours assez chaud dehors, je vais mettre une robe… Celle-ci ? Qu’est-ce que tu en dis ? A moins que je mette une jupe à place ? Demandais-je en la mettant devant moi pour qu’il puisse imaginer. Un instant de séduction ? Pas du tout…

Remember

Charisma & Léo

Cela me faisait du bien de lui raconter tout cela, de lui annoncer la vérité. Mais par dessus tout, je priais pour ne pas qu'elle me prenne en pitié à partir de maintenant, sous prétexte qu'elle puisse faire ceci ou cela et pas moi au vu de son statut social ou du mien. Mais au vue de sa réponse, je sentais bien que j'avais bien fait de lui dire, je n'étais pas déçu. Elle prenait les choses comme je les pensais, que l'argent ne faisait pas le bonheur forcément. Même si je volais et manipulais les gens pour avoir ce que je voulais, c'est parce que la société le veut. Pour que je vive à fond, il faut que je le fasse. Charisma ajouta aussi qu'avec moi elle sentait que tout était différent et que j'oublierais cela tant que nous étions ensemble, chose dont j'étais tout à fait convaincu aussi. Je lâchais une de ses mains, lui rendant sa caresse sur la joue qu'elle venait de m'adresser. qu'est-ce que je vais faire sans toi, quand je devrais partir.. soufflais-je alors très sincèrement. Je me râclais la gorge, car ça devenait peut-être un peu trop sérieux à mon goût à vrai dire. Mais je sentais vraiment que je m'étais retiré un poids en lui annonçant tout ça. Le sujet était clos, je lui avais avoué, passons à autre chose. Elle semblait penser la même chose car elle m'emmena dans son dressing choisir sa prochaine tenue. Je m'appuyais sur un mur la regardant choisir, me montrer des choses. J'avais un petit sourire coquin aux lèvres, elle me cherchait c'était évident. Je la regardais faire tout ça, m'approchant parfois. Elle me montrer une robe, une jupe. Je souriais, amusé et excité à la fois. Je prenais la robe de ses mains que je fis tomber par terre, même chose avec sa jupe, je posais ma main contre sa taille nue, une autre dans son cou. Sinon comme ça je trouve que tu es ravissante aussi. dis-je alors avant de la porter contre mes hanches et de l'embrasser contre sa porte de dressing, un peu violemment mais sans lui faire mal, l'embrassant langoureusement. Puis, je la reposais doucement, et je me mis à regarder dans son dressing. Je jouais avec le feu, comme elle. Je regardais dans les affaires sexy qu'elle cachait. J'en sortais un body en dentelle. ça dis-je. Je sortais de son armoire normale un short taille haute que j'imaginais très bien sur elle, je lui tendais. voilà, avec des petites baskets de ville genre stan smith, tu ne va pas rester très longtemps habillée. dis-je alors avec un sourire, passant tout près d'elle pour aller récupérer mes propres habits. Elle voulait sortir encore, à ce que je voyais, alors allons-y. Je m'habillais, la laissant elle-même s'habiller puis nous sortions dans un silence le plus complet. Là, on courait dans des bois tout près de là. Je me mettais devant elle, la faisant monter sur mon dos pour ensuite courir au milieu des arbres en riant. J'aimais tellement l'entendre rire. Puis, je remarquais un arbre en haut de tout ça qui aurait une magnifique vue. viens dis-je commençant à grimper à l'arbre avant d'atteindre la plus haute branche solide pour nous accueillir tous les deux assis. On voyait un bout de la ville, de la mer de là haut. c'est cool de sentir qu'on peut faire n'importe quoi, que tout est possible, qu'est-ce que tu en dis? soufflais-je alors avant de la regarder tendrement. Je l'embrassais doucement puis je retournais à la contemplation de la ville. Puis, je l'aidais à descendre et une fois en bas, je la faisais reculer malgré elle contre un arbre et là, je l'embrassais langoureusement, main à moitié dans son cou et en liant mes doigts dans ses cheveux que je détachais de cette queue de cheval. De mon autre main, je la tirais contre moi par la hanche.

Remember the past and never forget

beautiful léo and charisma

Ca m’avait fait quelque chose qu’il se confie à moi. Je venais d’apprendre quelque chose de profond sur lui, quelque chose dont il avait du mal à parler. Ca voulait dire beaucoup.  Nous étions en quelque sorte dans les mêmes problèmes sauf que nos milieux sociaux divergeaient. Tu ne pourras rien faire sans moi… donc tu reviendras vivre ici quand tu seras majeur… Dis-je en souriant. J’étais déjà triste rien qu’à l’idée qu’il puisse s’en aller et que je ne le revois jamais. Je gardais aussi en tête que lorsqu’il partira, il m’oubliera… Il rencontrera surement une autre fille, peut-être mieux, peut-être moins bien mais il rencontrera quelqu’un de nouveau. Il me gardera dans ses souvenirs et avancera surement dans sa vie sans moi… Cette simple pensée me chamboule, il vaut mieux que je pense à autre chose car je me suis tellement attachée à lui en si peu de temps que je risque d’énormément souffrir lorsqu’il partira. Je ferai mieux de profiter de lui tant que je le peux encore.
J’avais ensuite proposé plusieurs vêtements à Léo, je voulais qu’il m’aide à choisir et certainement continuer de le séduire. On arrête jamais ces choses-là quand on est attiré par quelqu’un je crois.  Peu à peu mes vêtements s’étaient retrouvés sur le sol et sa main sur ma taille pendant que l’autre main s’était posé sur mon corps. Je sentais déjà la chaleur intérieure de mon corps se modifier. J’aimais tant qu’il me touche comme il le faisait. Et en plus, on a la même tenue. Murmurais-je entre deux langoureux baisés. Je gémissais même sans vergogne. Léo me rendait folle. Je m’étais laissée embarquée dans un voyage spirituellement coquin. Plus nous nous embrassions et plus j’imaginais une scène sauvage entre nous. Je le voyais m’arracher mes vêtements et faire grimper mon plaisir à deux milles à l’heure dans une chambre d’hôtel. Surement parce que j’ai toujours imaginé les gens coucher dans ces établissement. Il choisit ensuite ma tenue en n’oubliant pas de regarder dans ce que j’avais de sexy. Petit coquin.  Ça sera donc ça mon cher monsieur. Dis-je amusée alors qu’il était parti s’habiller. Je n’avais pas hésité à le regarder partir. Cette vue était disons-le, unique. Puis nous étions sortis sans faire de bruit avec dans mes mains les draps ensanglantée et une fois dehors, je les avais caché dans la paille qu’on brûlait tous les jours. Personne ne les remarquera et ils brûleront ni vues ni connues. Nous nous étions ensuite mis à courir ou du moins Léo car j’étais bien trop occupée à rire en étant sur son dos. C’était tellement drôle. Et en redescendant, avec son aide, nous nous étions assis sur une branche d’arbre solide. La vue était magnifique, c’était agréable d’être avec lui.   C’est cool oui... Mais tu veux savoir ce qui est encore plus cool ? C’est de se dire qu’ici, on semble être invincible… Comme si le monde était à nous… Dis-je avec un petit sourire avant qu’on ne se regarde tendrement et qu’on s’embrasse de la même manière. C’était presque comme dans les films… c’était tellement romantique d’être là. Mais beaucoup plus sexy d’être sur le sol. Léo m’avait ensuite fait descendre pour me plaquer contre un arbre et défaire ma queue de cheval. Il m’embrassa langoureusement en même temps. C’était si bon. Puis il me tira vers lui en attrapant mes hanches. Je veux cocher sur ma liste que j’ai couché avec le plus bel américain dans les bois. Dis-je en souriant avant de déboutonner son pantalon et de le baisser entièrement. J’avais eu son boxer en même temps, une pierre de cou. Je m’étais mise à regarder son sexe un instant avant de l’embrasser doucement. C’était étrange… Mais je l’avais embrassé. Un petit bisou comme ça. Rien de plus puis je m’étais relevé pour l’embrasser  langoureusement. Léo était si désirable… Je n’avais pas perdu de temps pour l’aider à baisser mon short et mon body à dentelle. Puis j’avais entremêlé mes bras autour de son cou pour pouvoir m’agripper à sa taille en l’enroulant avec mes jambes. J’ai envie d’aventure... Dis-je en montrant ma bonne humeur.

Remember

Charisma & Léo

A peine descendus de cet arbre d'où nous avions refait le monde, je la plaquais contre un autre pour l'embrasser follement, juste par envie. Elle me rendait fou, c'était plus fort que moi de le faire. Son visage dans la lueur de la nuit était à tomber par terre, je ne pouvais pas y résister une minute de plus. Surtout maintenant que je connais exactement ce qu'il se cache sous ces vêtements. Elle enleva mon pantalon, envahie par les mêmes désirs que moi et reparlant de cette liste. il va falloir que je vérifie ce qu'il se cache sur cette liste soufflais-je alors avant de lâcher un petit souffle de désir quand elle posa ses lèvres sur mon sexe. Cela avait été court, mais c'était bon. C'était même follement bon. Je ne pouvais plus attendre maintenant de lui faire l'amour. Elle m'aida à retirer son short et son body et j'allais caresser doucement son sexe, collé à elle, nez contre nez, la regardant tantôt dans les yeux, tantôt regardant ses lèvres, laissant le désir monter en nous. Elle vint entourer ses jambes autour de mes hanches après que j'ai attrapé un autre préservatif de mon pantalon par terre. dis-le moi en italien et je te donnerais le monde soufflais-je alors comme réponse à son envie d'aventure. J'enfilais le préservatif avant de la pénétrer doucement contre cet arbre dans cette forêt en pleine nuit, une main sous ses fesses. Je faisais des va et vient contre ses hanches, la serrant contre moi, l'embrassant comme un fou. Cette fois-ci, je sentais qu'elle appréciait plus que la première fois. Elle n'avait pas eu l'étape justement de la première fois et là elle prenait vraiment du plaisir, je le sentais et ça m'excitait encore plus. Je lâchais des râles de plaisir le sentant si excitée. Elle était tellement belle, tellement sexy. Je n'aurais jamais imaginé découvrir le sexe avec une fille aussi magnifique, à vrai dire. Mais je lui faisais bien l'amour, mélangé à du pure sexe là contre cet arbre avant de jouir avec elle. Nous tombions dans l'herbe alors après avoir remis nos bas respectifs et je la prenais dans mes bras, à bout de souffle. on va aller à la foire, au bord de la ville dis-je alors après avoir repris un peu mon souffle. Je me levais et prenais sa main. Allez, viens dis-je alors allant vers cette foire au bord de l'eau. Je l'aidais à passer par dessus l'entrée et j'allais faire déconner le système de sécurité pour pouvoir être tranquille et faire fonctionner les manèges moi-même. n'aies pas peur dis-je alors lui prenant la main. tu veux aller faire un petit tour sur le cheval du carrousel une barbe à papa à la main? dis-je alors en souriant, la regardant, marchant à l'envers vers le carrousel pour l'instant, éteint.

Remember the past and never forget

beautiful léo and charisma

J’étais impuissante face à cette pulsion qui m’envahissait. Je ne pouvais pas la contenir. Je le désirais, j’avais envie de le toucher, de le sentir, d’être à côté de lui, contre lui, liée à lui… C’était puissant. Tu ne peux pas la regarder. C’est comme un journal intime, c’est privé.   Dis-je en souriant. Puis mes lèvres s’étaient posés sur son sexe, chaud, un peu humide, dur et raide. J’avais été à l’aise cette fois ci, j’avais osé le regarder et même le toucher. Je pense qu’avec le temps, je pourrai même devenir sa meilleure amie, je ne sais pas. Fais moi l’amour, j’ai envie d’aventure. Dis-je en italien, le regard posé sur lui, mes jambes enroulant sa taille. Il mit le préservatif et me pénétra, ce qui me donna un plaisir inouï. Je n’aurai jamais pu me sentir aussi bien. C’était tellement bon en fait. Je gémissais sous ses vas et viens. Ses mains fermes sous mes fesses et ses baisers intenses me rendaient folles. J’étais en combustion la plus totale. Je lâchais des petits « oh » avec mon accent italien, ce qui rendait mon excitation encore plus démonstrative. Quand je le sentis jouir, je n’avais pas pu empêcher l’humidité s’installer sur l’extrémité de mon propre sexe. Nous nous étions ensuite rhabiller avant qu’il me colle contre lui pour me proposer un plan pour le restant de la soirée. Je n’avais pas hésité une seule seconde pour le suivre. Et sans plus attendre, je l’avais suivi jusqu’à là-bas. La foire était éteinte et fermé mais ça n’empêcha pas Léo de prendre la situation en main. Nous escaladions l’entrés et heureusement qu’il était là, sinon je serais tombée. Je sentais une toute autre forme d’excitation s’installer en moi. C’était amusant. On va avoir la foire rien que pour nous ? C’est ça que tu es en train de me dire ? Demandais-je toute enthousiaste.  C’était si excitant, je n’aurai jamais pensé ça possible. Je n’avais qu’une hâte, faire les attractions avec lui. Oui !  Allons chercher les barbapapa Dis-je alors avant de me mettre à courir. Ma main tirait la sienne vers l’un des stands de confiseries. Léo alluma l’électricité du stand pour que je puisse ensuite les faire en taille XXL. Elles étaient énorme, vraiment énorme.  Et une barbe à papa pour monsieur, une ! Dis-je en lui donnant la première avant de l’embrasser et de passer à la deuxième. Quand les deux furent fabriqués, nous nous étions tout de suite dirigés vers le carrousel. Léo l’activa alors que j’étais déjà dessus. Il me rejoignit en montant à bord alors qu’il s’était mis en marche. C’était drôle, j’aimais beaucoup.   L’interdit, c’est excitant… J’espère qu’on ne viendra pas nous embêter ici !  Dis-je en pensant aux autorités. J’espère qu’ils ne gâcheront pas notre moment. Je dégustais ma barbe à papa avec plaisir, j’en avais même mis quelques un dans la bouche de Léo moi-même. J’ai envie de faire un manège à sensation, viens ! Là-bas, il a des looping. Dis-je comme une enfant après notre tour de cheval. Je me sentais si bien sous cette nuit étoilé. Léo semblait être une belle rencontre, une merveilleuse rencontre.

Remember

Charisma & Léo

Elle voulait vivre des aventures et moi, je voulais lui en donner. Je me promettais de lui faire vivre tout ce que je pouvais avant de partir d'ici. Cette idée d'ailleurs m'effrayait de plus en plus. J'avais tellement peur qu'elle m'oublie à peine parti, que si un jour nous nous retrouvions, ce serait en parfaits inconnus. Trois mois dans une vie, qu'est-ce que c'est? Une amourette adolescente, rien de plus. Le truc qu'on raconte à ses enfants quand ils se posent des questions vingt ans après, mais sinon on y pense plus vraiment. Je savais que même si mon chemin croisait celui de quelqu'un d'autre et même si je la voyais elle avec un autre un beau jour dans le futur, je n'oublierais jamais ces moments et que peut-être si au contraire ça ne marchait avec personne, je savais que ça marcherait toujours avec elle. Je saurais qu'on a ce truc unique tous les deux et jamais avec quelqu'un ou pas je le nierais dans le futur, je le savais très bien. Si un jour j'avais des enfants avec quelqu'un d'autre je leur raconterais, et j'aimerais même qu'elle fasse encore parti de ma vie. Je ne suis pas naïf, je sais très bien qu'on a beaucoup de chances de se retrouver dans longtemps, qu'elle aura trouver quelqu'un d'autre, que oui nous sommes des adolescents, même si cette idée me terrifie et qu'aujourd'hui si quelqu'un l'approchait je serais capable de le tuer, c'était ainsi. Si mes parents adoptifs m'ont bien appris une chose c'est ça : ne pas trop espérer de la vie, faire peser toutes les hypothèses pour ne pas tomber de haut. Nous étions dans cette foire tous les deux, rien que nous deux. Elle semblait être complètement sur le cul qu'on soit là rien que nous deux, que tout soit pour nous deux. Elle voulait faire un grand huit. Mangeons la barbe à papa avant dis-je le faisant avant d'aller en effet vers ce grand huit que nous faisions, j'allais faire imprimer la photo à la fin. Regarde moi ça dis-je lui montrant en mourrant de rire de nos têtes là dessus. Puis je prenais sa main l'emmenant vers un stand de fléchettes. Même si on est à deux, on triche pas. dis-je mettant des fléchettes pour elle et pour moi. Celui qui fait péter le plus de ballons gagne la peluche. dis-je m'y mettant. Evidemment, je gagnais, je le savais d'avance, elle boudait un peu et je riais. Je l'embrassais partout sur le visage avant de prendre ce dernier entre mes mains et de la regarder dans les yeux. Allez, choisis ta peluche c'est pour toi. dis-je alors, craquant complètement. Puis, j'entendais du bruit. merde je crois qu'on nous a vu. dis-je alors voyant une ombre plus loin. Heureusement, nous étions proches des grillages des extrémités de la foire. J'entendais un chien. cours prenant la peluche et allant vers la barrière que j'aidais Charisma à monter avant de moi même la monter, de descendre lançant la peluche, de l'aider à descendre et nous courions. Personnellement je riais, parce que j'adorais l'adrénaline de se faire prendre. Plus loin, je m'arrêtais de courir parce que je l'entendais à bout de souffle. ça va? demandais-je le sourire aux lèvres. Je vais te raccompagner, il faut que tu dormes. On se voit demain, l'aventure commence maintenant. soufflais-je alors au bord de ses lèvres avant de reprendre le chemin vers chez elle.

Le lendemain, on se retrouvait au même endroit que d'habitude sauf que je venais la chercher, en voiture. Je la klaxonnais avant qu'elle ne monte. Bonjour princesse, prête pour le grand saut? demandais-je, lunettes de soleil sur le nez. Je démarrais. Je me garais près d'un grand espace libre, où se trouvait un hélicoptère. Un saut en parachute, ça fait parti des aventures que tu voulais? demandais-je alors sortant de la voiture et marchant pour rejoindre l'équipe de l'hélicoptère, prenant la main de Charisma. On a deux mois pour faire des trucs de fous ensemble, alors faisons-les dis-je ensuite avec le sourire. Par contre, je ne veux pas partir d'ici sans savoir parler un mot d'italien, parce que moi aussi j'ai envie de te souffler des choses.. dis-je alors sourire aux lèvres. Puis nous arrivions pour monter dans l'hélico. Je me tournais vers elle, après qu'on ait salué l'équipe qui allait nous prendre en charge. prête? dis-je alors. Moi j'étais tout excité, perso.

Remember the past and never forget

beautiful léo and charisma

J’avais ri comme jamais je n’avais ri auparavant. Habituellement, je n’avais pas la chance de faire tout ça. C’était pour la classe moyenne comme dit mère mais moi j’aurai aimé faire ça souvent. J’aurai aimé vivre comme une ado ordinaire. Je ne prends pas les autres de haut comme mère et père le font. Je me demande même si je suis leur fille par moment. Mais regarde ta tête ! T’es à mourir de rire. Mais bon, t’es toujours aussi… Dis-je en souriant de manière coquine sans terminer ma phrase. Je voulais m’amuser à le séduire de cette façon. En lui faisant des sous-entendus… On partit ensuite au fléchette, ça semblait être très divertissant. Je n’ai jamais joué à ça auparavant mais quand j’écoute Léo parler, il me donne envie d’y jouer. Je l’avais donc regardé avec le sourire et je m’étais mise à jouer dynamiquement en montrant mon envie. Je souriais, je riais quand je ratais mais je voyais bien que Léo gagnait contrairement à moi donc je m’étais mise à bouder. Oui, je boudais, je voulais gagner. Ce n’est pas juste. Seulement, Léo ria et m’embrassa un peu partout sur le visage, ce qui me fit sourire mais j’essayais de continuer de bouder jusqu’à ce qu’il attrape mon visage pour me dire de choisir une peluche. Je faisais mine de bouder un instant avant de choisir une grosse peluche. Elle était si belle. Je comptais bien la garder avec moi dans mon lit pour dormir. Oh putain  Léo ! Dis-je en italien, surprise et sous tensions. Je m’étais mise à courir avec lui jusqu’à ce qu’on escalade ensemble pour se sortir de là. Entendre ce chien m’avait perturbé et  fichue une sacrée trouille. J’avais terminé de courir, j’étais à bout de souffle et je sentais bien Léo se fiche de moi. C’était la fin de la soirée, il me raccompagna chez moi et mentionna que l’aventure commença aujourd’hui… Je n’avais donc pas cessée d’imaginer ce qu’il pourrait se passer.
Le lendemain, je l’avais rejoint à notre point de rendez-vous habituel. Je trouvais ça à chaque fois excitant de me retrouver là. Je ne savais jamais à quoi m’attendre et encore moins aujourd’hui. Il vint me chercher en voiture, ce qui me surprit énormément mais je le trouvais si craquant à l’intérieur que ma surprise n’était pas restée trop longtemps. J’étais trop pressée de l’embrasser, de lui parler, de le sentir et de le toucher. Je suis prête à vous suivre jusqu’au bout du monde chauffeur ! Souriais-je en montant à bord du véhicule. Je l’embrassais avec envie puis mon regard se posa sur lui. Ses lunettes lui allaient bien mais je pense qu’elles m’iraient bien mieux. Je lui avais donc pris furtivement pour les mettre sur ma tête en souriant tel une gagnante. Puis je m’étais mise à rire et pour rendre la situation plus amusante, j’avais placé mes lunettes de soleil sur sa tête. Il était bien beau comme ça. C’est un programme parfait ! Dis-je très enthousiaste. Ma main s’était posé sur la sienne car j’aimais beaucoup le mal qui se donnait pour me faire plaisir. Je vous apprendrai l’italien mon beau monsieur mais je veux quelque chose en échange… Dis-je en continuant de caresser sa main. Je veux que tu poses pour moi et que je te dessine… nu…Dis-je en souriant coquinement. J’avais ce beau projet depuis quelques temps, de dessiner tout ce qui me marquait, tout ce qui était important pour moi, tout ce qui me ferait rêver. Et Léo… il me fait rêver. Sa musculature de rêve et son visage tendre, sexy et obscure. Puis je lui répondis que j’étais prête et on monta avec lui et l’équipe à bord de l’hélicoptère. On s’équipa puis l’hélicoptère prit de l’altitude. Je n’arrive pas à croire qu’on va faire ça, qu’on va sauter… C’est… merveilleux. Dis-je en le regardant avec un grand sourire puis je mes lèvres se posèrent sur les siennes une nouvelle fois. C’était bon. C’était grandiose, je me sentais divine. On suivi la petite formation puis ils nous laissèrent sauter ensemble. Léo me tenait dans ses bras, je me sentais trop bien. C’était incroyable. L’adrénaline ne cessait de s’accentuer, c’était extraordinaire.  C’est géant ! Criais-je en entremêlant nos doigts. La vue était magnifique… Quand on fut sur la terre ferme, je lui avais sauté dessus pour qu’il me porte et que je le couvre de baiser. C’était juste trop bien et je voulais lui faire savoir de la meilleure manière qui soit.

Remember

Charisma & Léo

J'étais allé la chercher au même endroit que d'habitude, et aujourd'hui j'arrivais en voiture tranquillement à cet endroit précis, la prenant au passage. Elle m'avait demandé de vivre des trucs de fou alors j'avais pris une journée pleine de surprises. J'en fais peut-être trop pour certains, mais après tout nous n'avions plus que deux mois pour vivre des choses extraordinaires et tant que je le pouvais, je le faisais. Alors là c'était un saut en parachute qui était prévu en ce début d'après-midi, et elle n'était pas à la fin de ses surprises. Arrivés là-bas, je lui demandais de m'apprendre l'italien avant que je parte et elle me relança une requête à laquelle je ne m'attendais pas, mais qui était une bonne surprise. tu dessines? demandais-je alors, un regard et un sourire coquin accompagnateur. Je prenais ses mains dans les miennes, tendrement. on fera ça. lui répondis-je alors, ravi de cette idée. C'était excitant et vraiment sexy. Je regrettais de ne pas pouvoir lui rendre la pareille, je trouvais ça tellement beau les dessins. Enfin, nous montions et le gars m'expliquait tout bien correctement pour que nous puissions sauter ensemble, l'un contre l'autre, main dans la main. J'écoutais bien correctement et exécutais ce qu'il voulait que je fasse, parce que Charisma avait vraiment l'air ravie de cette idée. Ca me foutait un peu la trouille mais, je savais que je gérais et juste de voir Charisma comme ça me donnait confiance en moi. Alors nous sautions et c'était dingue, c'est vrai. Elle me serrait les mains alors que j'enclenchais le parachute pour deux. Elle criait et je souriais, c'était juste ouf comme impression. Encore une fois, c'était comme si on contrôlait le monde entier, que tout était possible. A peine arrivés sur la terre ferme qu'elle me sautait dans les bras, je la rattrapais au vol et elle me couvrit de baisers. j'avoue que c'était pas mal avouais-je alors le sourire aux lèvres. Maaais c'est pas fini. dis-je alors le sourire aux lèvres, prenant sa main pour retourner à la voiture après avoir remercié l'équipe. Je prenais un sac dans le coffre et en sortait une boite. Ouvre. dis-je alors. Alors qu'elle ouvrait, elle trouvait ceci à l'intérieur. Je souriais. cadeaaau! Et tu vas pouvoir vite l'essayer.. dis-je levant les yeux vers où nous étions - le centre aquatique animalier. viens, les dauphins nous attendent. lui dis-je prenant le sac et la main qui ne tenait pas le petit cadeau. Je donnais nos noms à l'accueil et nous allions nous changer. Je tirais sa main rapidement pour que nous entrions dans la même cabine et doucement j'allais passer ma main dans ses cheveux, m'approchant d'elle, posant mes mains sur ses lèvres, la tirant contre moi. j'ai rêvé de toi dans ce maillot de bain.. et je ne te cache pas mon état quand je le faisais.. soufflais-je entre deux baisers, alors que mon envie d'elle montait en flèche.

Remember the past and never forget

beautiful léo and charisma

Il voulait apprendre l’italien et j’étais plus que ravie de lui apprendre. Par contre, je voulais en échange qu’il pose pour moi. Je voulais le dessiné nue et mettre en pratique mon talent. J’ai un joli coup de crayon que j’aime utiliser. En fait, ça, c’est un passe-temps, c’est un plaisir au quotidien. Des fois je m’installe sous un arbre pour dessiner ce que je vois, parfois je fais des caricatures de mes professeurs et même de mes parents. J’aime dessiner, ça me détend et me canalise. Ça m’aide à m’évader en penser quand je ne peux pas le faire physiquement. Je lui avais donc fait signe de la tête que je dessinais avant qu’il m’affirme que ça se fera. J’étais heureuse qu’il accepte, ce sera surement un beau portrait. Puis on monta à bord et on sauta plus tard. C’était une sensation extraordinaire, c’était dingue, une réel aventure ! Je ne m’étais pas retenu pour lui sauter dessus et partager avec lui ma joie. Je l’avais embrassé de partout tellement j’étais excité. On partit ensuite jusqu’à la voiture car ce n’était apparemment pas terminé. Il ouvra le coffre pour en sortir une boite. Une boite qu’il me donna et que j’ouvris sans plus attendre. C’était magnifique. J’étais surprise, heureuse et émue intérieurement. Je voulais ne pas trop le montrer mais je montrais mon contentement. Je l’avais alors embrassée automatiquement. C’est… adorable… merci. Dis-je avant qu’on parte dans le centre aquatique et plus précisément en cabine. Il me tira vers lui, passa sa main dans mes cheveux et toucha mes lèvres. J’étais si proche que je pouvais ressentir le désir que véhiculait mon Léo. C’était un rêve torride… mais pense tu que la réalité puisse l’être encore plus ? Demandais-je en passant ma main dans son pantalon pour que ma main atteigne son sexe. J’avais envie de le toucher et de le serrer un peu. Je pouvais le sentir déjà si dur, si long et si robuste. Je sens déjà la température monter, pas toi ?Dis-je en souriant de façon coquine et sournoise en retirant intégralement mes vêtements pour me retrouver nu et mettre mes sous-vêtements sur sa tête. Il avait envie de faire connaissance avec toi ceux-là.. Dis-je en le regardant avant de retirer son t-shirt et de lui lècher doucement le torse en partant du bas du ventre jusqu’au téton puis jusqu’à son cou. Juste un petit avant-goût… Si tu es sage. Dis-je en prenant le maillot de bain pour l’enfiler et sortir de la cabine. On rejoignit le maître-nageur et l’expéditeur qui nous expliqua comment ça allait se passer avant de nous faire pénétrer dans l’eau pour se familiariser avec les dauphins. Qu’est-ce qu’ils sont doux… C’est géant !Dis-je en souriant à Léo, caressant le dauphin. C'était agréable de passer des moments comme ça. Comme si je n'avais jamais vécut avant de le rencontrer.

Remember

Charisma & Léo

Dans la cabine pour se changer, la température montait peu à peu. Elle vint prendre mon sexe dur entre ses mains, me susurrant des mots que j'aimais tant. Elle se déshabillait, me posant ses sous-vêtements sur la tête. Je souris, amusé. Je les pris pour les ranger alors qu'elle me disait qu'ils voulaient faire connaissance avec moi. Je me déshabillais aussi, ne ratant pas de la regarder, et elle vint passer ses lèvres de mon bas-ventre à mon cou, m'annonçant une suite si j'étais sage. Je levais un sourcil, pensant tout à fait le mériter alors, je jouissais d'avance. Alors j'aurais la suite soufflais-je alors qu'elle enfilait son nouveau maillot de bain. Je l'avais parfaitement choisis, entre nous. Il épousait ses formes comme s'il avait été fait pour elle. Tout ça m'excitait, mais là en maillot de bain ça se verrait alors il fallait que je me calme. J'essayais alors de faire descendre la température de moi-même avant de la suivre vers les dauphins. Elle se mit à les toucher, alors qu'on nous donnait les instructions pour ne pas leur faire mal et obtenir leur confiance. Ce n'était pas si difficile, puisque les dauphins adorent généralement les humains. Faut dire qu'on les traite pas mal bien de manière générale, des câlins ils doivent en avoir tous les jours. A les voir, je comprenais pourquoi on les chérissait tant, d'ailleurs, c'était de magnifiques bêtes. Je regardais Charisma, qui semblait ravie, alors je répondis à son sourire communicatif. Je caressais à mon tour le dauphin, acquiesçant à sa remarque. Puis, on nous lançait à l'expérience, il fallait se mettre à l'eau. J'y allais alors, la main de Charisma dans la mienne. Petit à petit, le maître nageur nous proposait plusieurs choses à faire avec les animaux. D'abord, leur tenir juste la nageoire et se laisser aller pour mettre en place la confiance entre les deux individus. Alors que je m'approchais de Charisma, les dauphins vinrent nager autour de nous, comme pour créer un cocoon. Je regardais alors les animaux avec le sourire avant de regarder Charisma et de l'embrasser tendrement, là un dauphin vint s'en mêler pour nous embêter sûrement et me volait Charisma, nous riions. Les dauphins maintenant en confiance avec nous, nous faisait faire quelques prouesses sous l'eau, ou sonnèrent une impulsion à Charisma pour faire un saut dans les airs par exemple. Elle se débrouillait comme une chef, j'étais béha devant elle. Puis, le maître nageur me proposait une sorte de course avec le dauphin , évidemment de manière égale. On effectuait un parcours dans l'eau en même temps. Après ça, on eut le droit de leur donner à manger. J'en avais beaucoup appris aujourd'hui et c'est avec le regard d'enfant que j'avais vécu tout ça. Avec mes parents adoptifs, j'avait été voir un spectacle de dauphins et ils m'avaient promis que quand je me débrouillerais dans l'eau j'irais nager avec eux - juste avant que je me fasse prendre par les services. Alors c'était un peu aussi en pensant à eux, loin en Amérique, que je faisais ceci. Peut-être qu'une fois majeur, je pourrais leur montrer tout ça en les retrouvant. Nous sortions de là c'était la fin de journée, le début de soirée. On se changeait, se séchait et reprenait la route. Je viens ce soir, quand toutes les lumières sont éteintes? Tâche de dormir un peu avant, car tu n'es pas là de dormir tant que je serais là. lui soufflais-je alors amusé avant de repartir après l'avoir déposé et l'avoir embrasser.

Plus tard donc dans la nuit, je venais encore dans l'écurie lui faire des signes de lumières pour lui dire que j'étais là, comme la dernière fois. et si on allait en faire, du cheval? lui soufflais-je alors que j'avais retrouvé ses mains et ses lèvres. Les chevaux nous menaient dans un coin fleuri, éclairé par la lune et les étoiles. Ils restaient là, à nous laisser à deux. Je l'emmenais s'allonger là, entre les fleurs. Tu sais pourquoi je n'ai pas envie de dormir? Parce que j'ai peur que tout ça soit un rêve. lui soufflais-je alors, Charisma dans mes bras. Elle était ma première histoire d'amour alors, j'avais peine à y croire. Je la regardais alors, caressant sa joue et je posais mes lèvres sur les siennes tendrement. Je la serrais alors contre moi, une main contre sa hanche. Naturellement, le baiser se fit plus langoureux. J'avais constamment envie d'elle. Tu étais tellement sexy dans ce maillot de bain.. soufflais-je alors contre ses lèvres, histoire de faire monter la tension comme on aime. Je me souvenais qu'elle voulait me dessiner nu à un moment, alors on ne manquerait pas de moment comme cela.