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 they could make a movie out of us ▵ kiody

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(#)Sujet: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Lun 5 Sep - 18:22
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Ils auraient pu faire un film sur nous. C'est vrai, ils auraient pu. Ca aurait probablement été un super film, d'ailleurs. Un block-buster de l'été, à l'affiche dans tout les cinémas, le genre de comédie romantique un peu décalée mélan drame et chaos. Le genre de truc tout à fait à la mode, tu vois. Parce que c'est vrai, soyons réalistes, les meilleurs films romantiques sont ceux qui nous font passer du rire aux larmes du début à la fin. Et pour ce qui est de notre histoire.. Ils seraient bien tomber. Je ferait peut être ça, un de ses quatre ! Si ma carrière artistique ne subvient pas assez à mes moyens de petite fille riche et si mon père décide encore de me couper les vivres. J'écrirais notre histoire. Notre belle et malheureuse histoire. Je me ferait du frique avec un livre, pour commencer. Puis peu à peu, tellement de filles pré-ado fantasmeront sur le mystérieux Kieran qu'elles se mettrons à faire connaître le bouquin, qui deviendra un best-seller, qui deviendra un film. Sans me vanter, on sait que je réussi toujours ce que j'entreprend ! Mh, ou pas. Je crois que nous deux, c'est la première chose que j'ai réellement foirer en beauté. Mais quand je dis que j'ai foirer, c'était spectaculaire quand même ! La grande déception de ma vie, moi, Cody James, l'enfant chérie, la princesse des beaux quartier prête à tout quitter pour un garçon. Le cliché parfait. On me l'aurait dit que je l'aurais pas cru, pas moi. Allie ? Ouais, carrément ! Allie elle a toujours eu l'don de se foutre dans les problèmes et faire enrager notre père. C'est son truc, elle aime se faire remarquer et sortir avec des gars plus âgés, plus dangereux, tout le contraire de ce que la famille approuverait, c'est un super moyen d'attirer l'attention là où on a grandit. En fait, faire un pas hors du chemin tracer dés notre naissance, est une raison valable pour attirer l'attention, les commérages et la médisance. Vous croyez que vivre dans les mauvais quartier c'est dur ? Ouais, bien sûr. Mais pensez pas que vivre dans les beaux quartier c'est simple et facile tout les jours. Evidemment on a la vie de rêve en apparence et puis la plupart d'entre nous se plaisent à ce monde de faussetée et d'hypocrisie. Mais pour le reste d'entre nous, pour l'infime petite partie dôtée d'un esprit plus rebel que la normal, l'infime poignée de personne qui comme moi aimeraient pouvoir vivre leur vie comme elles le désirent.. La haute société Anglaise est un véritable cauchemar. Un prison dorée, si vous préférez. Pendant longtemps j'ai respecter les règles, j'étais trop peureuse pour affronter le monde seule, je me sentais en sécurité dans mon cocon, tandis que ma grande soeur était déjà partie conquérir la planète. Moi je restais sage, j'écoutais les consignes de papa sur le choix de mes futures études, celles de maman sur quel genre d'amies j'étais censée avoir, et puis celles de mon petit-ami/fiancé (probablement les plus hypocrites, puisque ce dernier s'envoyait la moitié de mon cercle d'amies derrière mon dos). Bref, j'étais l'enfant modèle, jusqu'au jour où .. Je ne le pouvais plus. Jusqu'au jour où d'un coup d'un seul, je me suis retrouvée amoureuse, follement amoureuse.. D'un autre garçon. Bien loin de mon cercle social, il était tout ce que ma famille méprisait et tout ce que moi j'aimais. Et puis il m'aimais, comme jamais on ne m'avait aimer. Malheureusement cette histoire, notre histoire à du prendre fin. Et me voilà deux ans plus tard, sur le sofa de l'appartement que nous partageons, à m'empiffrer de chocolat tandis qu'une nouvelle fois je regarde "The Notebook" en citant tous les dialogues. Et puis la porte s'ouvre enfin, il est tard et je somnole, la tête appuyée sur un coussin. Je sens la présence de Kieran dans le salon, à cette pensée un léger sourire en coin s'affiche sur mon visage sans que je ne puisse le cacher. Enfin, il était là.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Lun 5 Sep - 19:38

J'irais te chercher toutes les étoiles du ciel, je les broierai, et jetterai mon mélange dans tes yeux si c'est le seul moyen de retrouver cette petite étincelles que j'aimais tant.
Je commençais doucement à me faire à ma nouvelle vie d'ici. Ce n'était pas évident, j'avais quitté une grande ville où les rues étaient bondées de monde. Les new-yorkais sont toujours entrain de courir soit pour ne pas être en retard à son travail, soit pour ne pas rater son taxi, ou encore le bus, soit pour aller faire la queue au Starbucks Coffee avant d'aller au travail. Alors qu'ici, j'avais l'impression que c'était beaucoup plus tranquille. Bien sûr, il y avait tout autant de monde, mais on sentait moins ce stresse oppressant qui se dégageait dans les rues de la Big Apple. C'est que je commençais presque à me sentir bien ici. Bon, je devais avouer que lorsque j'étais à l'appartement, je me sentais moins bien. J'avais du mal à partager cet appartement avec cette fille que j'avais aimé comme un fou lorsque j'étais plus jeune. Lorsque je la croisais dans l'appartement, je ressentais cette boule au creux de mon estomac se formait. J'essayais d'être le plus naturel possible, mais elle devait surement sentir ce malaise entre nous. J'avais accepté de vivre avec elle, parce que je ne voulais tout simplement pas que n'importe qui partage cet appartement ae elle, pour peu qu'elle tombe sur un malade mental, je m'en serais clairement voulu toute ma vie. Je pensais qu'avec les jours qui passent ça irait mieux, mais dans le fond, je réalisais que pas vraiment. Ca me faisait tellement bizarre de réaliser qu'on était loin d'être ce que nous étions auparavant, et surtout de vivre ensembles sans pouvoir se comporter comme un couple. Nous sommes rester un bon moment ensembles contre le gré de son père. Nous avons partagé beaucoup de choses ensembles, j'aurai été prêt à tout pour elle, comme elle aurait été prête à tout pour moi, oui, prête à quitter sa famille, et partir loin d'eux juste pour être avec moi. Oui, ses parents n'ont jamais toléré notre relation. Vous comprenez, j'étais loin d'être un gosse de riche, j'étais le pauvre fils du petit maçon du coin, rien de bien transcendant. Monsieur James voulait un homme riche pour sa fille. Comme si être avec un homme riche allait la rendre plus heureuse. Ce n'est pas l'argent qui fait le bonheur, peut être qu'il y contribue, mais si c'est pour être avec une personne que l'on aime pas, cela ne sert à rien, et j'aurai largement pu la rendre heureuse rien qu'avec tout l'amour que je lui portais. Pour ne pas avoir à la croiser autant que ça, je passais le plus clair de mon temps dehors, il faut dire que mon boulot me prenait beaucoup de temps, je passais quasiment toutes mes journées au studio photo pour faire divers shooting, comme j'avais encore pu le faire aujourd'hui, seulement ce soir, mon père m'avait proposé de venir manger chez eux. Par pur politesse, j'avais prévenu Cody par le biais d'un message que je ne serais pas là pour manger, car oui, il nous était arrivé de manger ensembles le soir, mais bon, ce soir, je ne pouvais pas refuser ça à mon père, alors qu'il espérait sans doute que je puisse lui changer les idées.
La soirée s'était déroulée plutôt bien. Ca faisait du bien de passer un tel moment avec ma famille, même s'il manquait ma mère malheureusement. Le médecin avait peur que son état s'aggrave et qu'elle finisse par réussir à mettre fin à ses jours, ces quelques mots avaient suffit pour détruire mon père encore plus qu'il ne l'était déjà. Mais ce dernier était toutefois optimiste, et promettais à mon père de trouver une solution pour sortir ma mère de tout ça, un traitement puis l'envoyer dans un centre où elle serait aidée. C'était surement la dernière chose qui pourrait la sauver, alors on espérait de tout coeur que cela marche. Mais ce soir, et pour l'une des rares fois, on avait essayé de ne pas parler de ma mère. C'était mes frangins et moi qui avions préparé le repas à mon père puisque ce dernier rentrait tard du travail. A son arrivé, on pouvait voir cette lueur dans ses yeux, comme s'il était heureux de voir ses enfants aussi soudés et prenant soin de lui, il en avait bien besoin. Cependant, la soirée passait à une vitesse folle, et l'heure de rentrait approchée, puisque mon paternel embauchait tôt le lendemain matin. Quant à moi, il était l'heure de rentrer. Je faisais attention lorsque j'ouvrais la porte d'entrée pour ne pas faire de bruit, je n'avais pas envie de réveiller Cody qui dormait sans doute déjà. Seulement, je remarquais que la lumière du salon était allumée. Je me déchaussais, puis passais par la cuisine pour boire un coup avant de passer par le salon. Là, je la voyais allongée sur le canapé, à moitié endormie, avec The Notebook en fond sonore. Ce film me rappelait bien des choses. J'étais un mec certes, mais qu'est-ce qu'elle avait pu me faire regarder ce film, à l'époque on en riait, mais en y repensant, ce film nous faisait clairement penser à notre relation. Je m'approchais d'elle pour voir si elle dormait vraiment ou non. Tu devrais aller te coucher, tu t'endors, lui soufflais-je doucement, le tout accompagné d'un petit sourire. C'est pas comme si tu ne connaissais pas ce film par coeur en plus, ajoutais-je, dans le but de lui faire réaliser que je n'avais pas non plus oublier qu'elle aimait autant ce film. Je ne sais pas pourquoi, mais au lieu de quitter le salon et aller dans ma chambre, j'attendais qu'elle me réponde quelque chose. Comme si dans le fond, je n'avais pas envie de partir dans ma chambre, mais au contraire passer un petit moment avec elle.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Lun 5 Sep - 20:19
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Qu'est-ce que je racontes ! Notre film, on l'as déjà ! The Notebook, ou a définition même de notre relation en passant par Rachel McAdams & Ryan Gosling. A quel point j'aimais ce film, c'était dingue. Combien de fois je l'avais regarder ? Une bonne.. Centaines de fois, au moins. C'est juste que l'histoire nous ressemblait tellement.. A l'époque déjà, et à ce jour tout autant. J'étais fiancée à un autre, il était en couple avec une autre.. Tout était beaucoup trop compliqué et pourtant une chose une seule persistait, l'amour. L'amour fou, passionnel, intense et tellement fougueux que parfois, quand je me levais le matin et que je le croisais dans le couloir ma seule envie était de lui sauter au cou et de l'embrasser. L'embrasser, encore et encore, sans cesse. Plus jeunes, alors qu'on étaient amoureux j'pouvais passer des heures pendue à ses lèvres, à m'en donner des crampes à la mâchoire, je vous jure. Ses lèvres douces, chaudes, que j'aimais tant. Oh et ses mains sur ma peau, qui déclanchaient des frissons partout où elles se baladaient.. Le paradis. Ces moments là avaient été les plus heureux de ma vie. Quand il grimpais à me fenêtre tel mon roméo après que mes parents soient coucher, par exemple. On passait la nuit ensemble et au petit matin, pouf. Plus de Kieran. Rien qu'un petit mot déposer sur l'oreiller à côté de moi, un mot doux, très souvent pour ne pas dire toujours suivi d'un "je t'aime" qui me faisait sourire jusqu'au oreilles tout au long de la journée. Comme dis, je n'avais jamais été aimer comme ça avant lui, jamais aussi fort. Pour dire vrai je ne savais pas vraiment ce qu'étais l'amour avant Kieran. J'avais cru avoir rencontrer l'amour de ma vie en me mettant en couple avec Miles à un âge très avancé. Nos parents étaient aussi ravis que nos amis, nous n'avions pas encore atteint la fin de notre adolescence que déjà ils prévoyaient le mariage. Quand à l'âge de vingt ans tout juste, il m'a demander de l'épouser cela n'a choquer personnes, bien au contraire. Depuis ce jour, tout le monde essayaient de me presser à enfiler une robe blanche, mais je faisait tout ce qui était en mon pouvoir pour repousser la date fatidique. Et puis un jour Kieran Maddox avait débarquer sur le pas de ma porte et ce jour là, j'avais réaliser. J'avais compris que ce n'était pas possible, même dans une mois, un an ou dix, je ne pouvais pas épouser Miles. Je n'aimais pas Miles. Celui que j'aimais et que j'aime toujours se trouvait la porte en face de ma chambre, chaque jour. Et chaque jour, je devais subir la douloureuse épreuve de l'entendre téléphoner à sa chérie.. L'entendre lui dire qu'elle lui manquais, les entendre parler de leur appart à New-York, puis de leur nouvelle vie ici. Je me demandais toujours s'il lui avait dit pour moi.. Pour ma part, je m'étais retenue de dire à Miles qui était mon colocataire. De toutes façons, maintenant que papa avait décider de me refiler mon argent de nouveau, je n'étais pas obliger de leur dire que j'avais du faire appel à la colocation. D'ailleurs, j'avais également omis de dire à Kieran que j'avais récupérer mon argent, je ne voulais pas qu'il parte. J'aimais partager cet appart avec lui, même si je pouvais le sentir gêner à chaque fois que nous venions à nous croiser. Moi je ne l'étais pas, depuis que j'avais appris la vérité sur notre séparatio forcée, tout avait changer. Plus aucune rancune, colère ou rien d'autre. Tout ce que je ressentais, c'était de l'affection.. Et évidemment de l'amour, mais ça.. Il ne le savais pas. J'étais prête à accepter la proposition alléchante de Morphée quand je sentis la présence de Kieran dans la pièce. J'ouvris doucement les paupières pour l'entendre me conseiller d'aller au lit, ajoutant que je connaissais déjà ce film parcoeur. Mon sourire s'élargis un peu, combien de fois l'avais-je forcer à le regarder.. Je tentais de me redresser un peu, jetais un oeil à l'écran puis reposait mon attention sur lui. « Je t'attendais, en fait. » Lui avouais-je, le plus naturellement possible. « Tu veut bien finir de le regarder avec moi ? » Je continuais à le fixer, même malgré la pénombre et la mince lumière des lanternes disposées dans la pièce, il était magnifique, si ce n'est encore plus qu'habituellement. Je lui tendis ma main en le voyant hésiter un instant, je voulais vraiment qu'il reste. « S'il te plaît.. En souvenir du bon vieux temps. »
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Lun 5 Sep - 21:30

J'irais te chercher toutes les étoiles du ciel, je les broierai, et jetterai mon mélange dans tes yeux si c'est le seul moyen de retrouver cette petite étincelles que j'aimais tant.
A peine avais-je mis les pieds dans le salon que les voix des acteurs vinrent me décrocher un sourire. J'aurai reconnu ces voix, et ces dialogues entre mille. Elle regardait sans doute pour la mille et unième fois The Notebook. Ce film, j'avais parfois l'impression qu'il avait été réalisé à partir de notre histoire, et pourtant, on s'était mit ensembles bien après la sortie de ce film, mais clairement, l'histoire du film et la notre était tellement similaire. Cette fille riche qui tombe amoureuse de ce pauvre mec qui n'a pas un sous, et qui justement bosse dur pour en avoir. Cette relation n'a jamais été approuvée de son côté. Ses parents étaient formels, surtout son père, elle n'avait pas le droit de se mettre je cite "avec un pauvre type" comme moi. Voilà comment monsieur James me qualifier. En attendant, je reste persuadé que le pauvre type en question est la seule et unique personne a avoir aimé autant sa fille que je n'ai pu l'aimer. Peut être que je n'avais pas l'argent que monsieur voulait, mais j'avais de l'amour à lui donner, et à mon sens, tout l'amour que j'éprouvais pour elle valait tout l'or du monde. Mais bon, c'était comme ça selon eux. Autant vous dire que si papa James était au courant que sa petite fille adorée partageait cet appartement avec moi, il taperait surement un scandale. A mon sens, si Cody était aussi intelligente qu'elle ne l'avait été lorsque nous étions ensembles, elle ne dirait jamais à son père qu'elle est en colocation avec moi, car même si désormais j'avais changé et que ma situation financière aussi, je restais persuadé que cet homme avait toujours ce même à-priori sur moi et qu'il n'en démordrait pas car selon lui, j'étais avec Cody uniquement pour profiter de son argent, seulement jamais, je dis bien ô grand jamais je n'ai touché à un seul centimes de cette dernière, et pourtant plus jeune, je l'ai eu amené au restaurant, on en a fait des choses, mais j'ai toujours refusé qu'elle paye. Son argent, je m'en fichais royalement. Si j'étais avec elle, c'est parce qu'à mes yeux, elle était la fille qu'il me fallait, celle que j'aimais de tout mon être et de tout mon âme. Ca me faisait tellement bizarre de me retrouver dans la même pièce qu'elle a cet instant même. Disons que j'étais pas mal occupé, et je faisais en sorte que l'on ne se croise pas trop, car c'était une torture que de vivre avec elle et de ne pas pouvoir faire tout ce dont j'aurai envie de faire. De plus, je n'avais pas le droit de penser à cela quand on sait que j'étais en couple avec Chloé, mais... Je n'y arrivais pas. Rien que lorsque nous nous frôlions dans le couloir pour aller à l'opposé l'un de l'autre, je n'avais qu'une seule envie, rattraper sa main, et l'attirer contre moi afin que nos lèvres se retrouvent de nouveau, mais je savais que si je faisais ça, c'était foutu, j'en redeviendrais immédiatement accroc. Je ne pensais pas que malgré les années passaient je ressentirais toujours ces sentiments aussi fort pour elle. Je ne l'avais jamais oublié, disons qu'avec le temps, j'avançais parce qu'il le fallait, mais là, la revoir comme ça, et maintenant tous les jours faisaient remonter en moi tous nos souvenirs, tous ces sentiments que j'ai pu éprouver pour elle. C'était tellement fort, tellement intense, tellement puissant. Quelque chose d'inexplicable, moi-même, je ne pensais pas que c'était possible d'aimer autant.
Cependant, comme elle semblait presque s'endormir devant le film, je m'approchais d'elle lui soufflant d'aller se coucher, ne manquant pas de lui rappeler combien de fois elle avait pu voir ce film, et moi dont. Non parce que je peux vous dire que je restais presque certains que je connaissais pratiquement tous les dialogues de ce film tant elle avait pu me le faire regarder. Mais je devais avouer que je l'aimais uniquement parce qu'il reflétait notre histoire, parce que clairement, je n'étais pas le genre de film d'amour, mais bon, qu'est-ce qu'on ne ferait pas par amour. Elle m'en avait fait regardé bien des films de ce style là. Elle se redressait, pour m'avouer qu'elle m'attendait. A ce moment là, je ne savais pas quoi dire tant j'étais surpris qu'elle me dise ça, en vérité, je ne m'y attendais pas du tout. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me dise ce genre de chose. Pas maintenant du moins. Elle me proposait alors de rester avec elle pour regarder la fin. Je jetais un coup d'oeil en direction de l'écran pour voir où elle en était, et lorsque je retournais mon visage en sa direction, je vis sa main toute proche de moi, m'invitant à lui donner la mienne pour la rejoindre. Je serrais nerveusement la mâchoire, et prenais sa main dans la mienne. Une fois de plus ce contact eu pour don de faire bondir mon coeur dans ma poitrine et une bouffée d'air chaude s'enroulait autour de moi. J'aurai dû compter le nombre de fois où tu m'as fais regarder ce film, dis-je en souriant légèrement avant de venir prendre place à ses côtés pour le regarder. Quand je réalisais que ma main était encore liée à la sienne, je la lâchais difficilement. Je ne pouvais pas me permettre d'un tel contact alors que je savais pertinemment qu'elle était engagée officiellement auprès de cet homme. De mon côté, j'étais totalement perdu sentimentalement parlant. Je ne sais plus si je voulais vraiment que Chloé me rejoigne, alors qu'elle semblait si enthousiaste à l'idée de me rejoindre. Je commençais à me demander si c'était une bonne idée, si je devais vraiment continuer avec elle, quand on sait que mes pensées étaient occupées ailleurs. Elle attrapait la télécommande pour mettre play et ainsi continuer le film. Effectivement, j'avais toujours l'impression de nous revoir, la différence, c'est qu'Allie et Noah s'étaient retrouvés eux, contrairement à nous qui avions chacun quelqu'un. Elle était fiancée, et moi j'étais en couple avec Chloé. Je crois que ce film me fera définitivement penser à nous, lâchais-je spontanément quand la fin approchait. A ce moment-même, je regrettais d'avoir ouvert ma bouche, quel imbécile, pourquoi avais-je été lui dire ça. Puis dans le fond, nos fins étaient différentes, dans le film ils se retrouvaient, nous c'était bel et bien différent, et bien plus compliqué que ça. Tu as fais quoi ce soir, à part regarder The Notebook ? lui demandais-tu calant ta tête contre l'arrière du canapé, avant de te décider à la regarder dans les yeux. Enfin, c'était compliqué quand on sait que tu louchais parfois sur ses lèvres qui fut un temps t'appartenais.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Mar 6 Sep - 11:26
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Je lui avais tendue ma main et demander de rester pour terminer le film avec moi sans grand espoir qu'il accepte ma proposition. Depuis qu'il avait emménager ici, Kieran était très distant avec moi. Cette situation était drôle pour tout les deux, mais moi je comptais retrouver la complicité que nous avions avant, je comptais retrouver un semblant de relation, même amicale s'il le voulait bien puisque je respectais son couple.. Foutaises, en fait j'avais juste envie qu'il largue sa vielle meuf. Mais je ne le dirais pas, car cela aurait été égoïste vu qu'à mon doigt se trouvait la bague de fiançailles d'un autre. Il avait tout de même saisi ma main et m'avais surprise, le contact de sa peau contre la mienne me procurait toujours une multitude de frissons et me donnait une bouffée de chaleur si agréable, que j'aurais voulu que jamais ce sentiment ne s'arrête. Pourtant, après quelques secondes il avait finit par me lâcher, et j'avais baisser les yeux de l'écran comme un peu déçue que ce contact ne se termine si rapidement. Je souris tout de même à ses paroles. « Mh, il le fallait, c'est mon préféré après tout. » Le film se terminais, trop rapidement à mon goût. Je ne me concentrais plus vraiment sur l'écran, mais sur chaque geste de Kieran que je fixait du coin de l'oeil, sans qu'il ne s'en rende compte évidemment. Il était si beau, et j'avais tellement envie de me blottir dans ses bras. C'était débile d'être assise là, sur ce canapé, à côté du grand amour de ma vie et de n'avoir absolument aucun contact physique avec lui si ce n'est le frôlement de nos bras de temps à autre. Frôlement intentionnel, d'ailleurs. Alors que les dernières scènes passaient, Kieran soufflait que ce film lui ferait toujours penser à nous, et je déposait un peu timidement mon regard sur lui. J'avais envie de lui répondre que pour moi aussi, c'était le cas. Mais j'étais tellement surprise qu'il ose enfin parler de nous, au lieu de prétendre que nous n'étions que deux inconnus partageant un appartement quelconque, que je ne répondis rien. Finalement, il ajoutais, probablement pour changer de sujet une question tout aussi futile.. Qu'est-ce que j'avais fait ce soir.. Voyons. J'étais rentrée de l'école un peu tard, j'étais filée à la douche vu que la plupart de mon corps était remplis de peinture, puis je m'étais mise à l'aise dans un bon petit pyjama et finalement, je m'étais installée devant la télévision. Entre temps, j'avais choper mon ordinateur et avait stalker sa petite amie, je l'avoue. Les réseaux sociaux étaient d'une grande aide quand on veut connaître le visage de sa rivale.. Manque de pot, la mienne était loin d'être moche. En même temps, elle était en couple avec Kieran, donc comment pouvais-je l'imaginer moche. Elle était belle, et ils étaient beaux ensemble.. Trop beau. Une beauté qui me donnait la nausée. Cela m'avait donner envie de revoir nos photos, nous souvenirs, enfouis dans une boîte sous mon lit. Alors j'avais ouvert cette boîte et avait plonger dans notre histoire à pieds joints. Ses petits mots, nos photos, les tickets de cinéma, de restau, les dessins que je faisait de lui, la musique qu'il écrivait pour moi, j'avais tout garder. Tout. De peur qu'en laissant ses souvenirs s'envoler, j'en oublierais notre histoire et ce qu'il m'avait fait ressentir. Revenant à la réalité et réalisant que je ne lui avait pas encore répondu et qu'au lieu de ça je le fixait sans gêne, je me raclais un peu la gorge. « Ce que je.. Ce que j'ai fait.. » Ouvre la porte de ma chambre et tombe le nez sur mon lit remplis de nos souvenirs, et tu sera. J'haussait les épaules. « Rien de spécial, en fait. » Mentais-je. « J'étais crevée en rentrant de l'école, on a beaucoup bossé aujourd'hui. J'ai pris une douche et je me suis allongée ici. » Les gargouillis dans mon ventre ne furent pas long avant de se faire entendre, je me pinçait les lèvres avec une légère grimace. « Et j'en ai oublier de manger.. Je crois que je vais commander un truc. » Je voulu me pencher pour attraper le téléphone fixe, à peine ma parole terminée, mais celui-ci se trouvais du côté de Kieran, se qui fait que je du me pencher au dessus de lui et m'étais retrouvée la main sur le téléphone, mais le visage à quelques centimètres à peine du sien.. Mon souffle c'était couper, tandis que le sien caressait mon visage. Et puis tout se passa très vite dans ma tête, notre histoire défilait à cent à l'heure et j'eu envie de déposer mes lèvres sur les siennes.. Mais je me ravisait. « Hum, désolée.. » Lâchais-je simplement avant de me redresser, puis de me lever pour éviter le malaise et de composer le numéro d'un traiteur de rue pas très loin. J'avais bien besoin de manger, moi.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Mar 6 Sep - 16:54

J'irais te chercher toutes les étoiles du ciel, je les broierai, et jetterai mon mélange dans tes yeux si c'est le seul moyen de retrouver cette petite étincelles que j'aimais tant.
Encore une fois, je ne savais pas si passer du temps avec elle était une bonne idée. Sa présence me rappelais bien trop de choses. A chaque fois que je la croisais dans la maison, je nous revoyais tous les deux, se baladant main dans la main, plus heureux et amoureux que jamais. Cependant la réalité me rattrapait bien vite. C'était fini tout ça, il fallait que je me l'ancre dans la tête. Elle était fiancée. Et même si elle m'avait dit qu'il n'était rien pour elle, et qu'elle avait balancé cette bague qui pour moi avait beaucoup d'importance, je ne pouvais me retenir de penser qu'elle n'avait pas dit oui pour rien, et que quelque part, une part d'elle le voulait. Lorsque j'avais vu cette bague à son doigt, c'est comme si je m'étais pris un coup de poignard dans le dos. Le genre de chose à laquelle on ne s'attend pas, et qui fait plus de mal que de bien. En même temps, j'aurai dû m'en douter, j'aurai dû me douter qu'elle avait elle aussi refait sa vie. Le pire dans tout ça, c'est que je la revoyais au moment où la peine commençait à s'estomper. J'ai longtemps souffert de cette séparation, je dirais même de cette rupture brutale. Evidemment, je suis un mec, je ne suis donc pas le genre de personne à montrer ce qu'il ressent, ou à parler ouvertement de ce qui le travaille, mais je peux vous dire une chose. Il n'y a rien de plus douloureux que de perdre une personne qu'on aime plus que tout au monde. J'aimais cette fille plus que ma propre vie. J'aurai tout donner pour elle. Parfois, quand je me retrouve allongé sur ce lit, dans cette chambre qui se trouve être en face de la sienne, je me remets à penser, et je me demande ce que nous serions devenus si nous étions toujours ensembles à l'heure actuelle. Peut-être que je me serais jeté à l'eau, et que c'est ma bague qu'elle porterait à ce doigt. Peut-être qu'elle attendrait un enfant de nous. Ou peut-être tout simplement qu'on aurait déjà fondé notre famille comme on se l'imaginait. Une fois de plus, lorsque j'attrapais sa main qu'elle me proposait, j'eus une flashback. Le fameux soir où nous avions failli passer à l'acte. Je passerais sur le pourquoi tu n'avons pas été jusqu'au bout. Mais je n'oublierais malgré tout pas ce début de soirée qui fut tout simplement merveilleux. Façon, chaque moment passé avec elle, était un merveilleux. On avait beau avoir un fort caractère, nos disputes ne duraient jamais bien longtemps, tout simplement parce qu'on était pas capable de se faire la tête bien longtemps, on revenait toujours l'un vers l'autre. Alors que je repensais encore à tout ça, Cody me sortie de mes pensées face à la remarque que je lui avais fais à propos du film. Je me contentais alors de lui sourire, et quand je réalisais que nos mains étaient toujours liées, je lâchais difficilement la sienne. Si je m'étais écouté, j'aurai mêlé nos doigts ensembles, et j'aurai caressé la paume de sa main comme j'avais l'habitude de le faire. Mais je réalisais très vite que ce n'était pas possible. J'essayais alors de me plonger dans le film, mais rien à faire, je n'y arrivais pas, mon esprit étant bien trop occupé ailleurs pour se concentrer là dessus. Sa présence à mes côtés me déstabilisais, même si je faisais comme si de rien était, j'avais l'impression que nous étions comme deux inconnus, c'était tellement étrange.
Le générique de fin débutait, je me redressais alors quand cette remarque s'échappait d'entre mes lèvres. A l'instant même où elle était ressortie, je le regrettais. Pourquoi fallait-il que je reparle de notre relation. Putain, mais j'étais con ou bien. Je devais arrêter de ressasser le passé et accepter le présent, même si j'avais du mal a accepter la situation actuelle. Je n'avais pas le choix, c'était comme ça et pas autrement. Je décidais de changer de sujet, c'était sans doute loin d'être subtile, et elle s'en était surement rendue compte si elle me connaissait toujours autant qu'avant. elle me répondait alors qu'elle n'avait pas fait grand chose, qu'en rentrant des cours elle avait prit une douche puis s'était posée pour se reposer un peu, et qu'avec tout ça, elle n'avait pas mangé. Il était quand même presque vingt trois heure trente. Ca se passe bien les cours ? A ce moment-même, le film était terminé, Cody voulait attraper la télécommande, et sans doute pour ne pas me déranger, elle le fit d'elle-même, seulement voilà, elle se penchait sur moi, et en se relevant, nos visage ne se retrouvaient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Je pouvais sentir son souffle chaud se propager sur mes lèvres. Cette situation était gênante, bien trop de choses se bousculaient dans ma tête. J'essayais de me contenir, car ça n'aurait été que de moi, j'aurai plaqué mes lèvres contre les siennes tant j'en avais envie, mais je ne pouvais pas, je ne le devais pas. Alors je me retenais du mieux que je le pouvais, et Cody finit par réaliser de la situation dans laquelle nous nous trouvions, et reculait subitement, pour se lever, prenant soin de s'excuser. C'est.. C'est pas grave. Je secouais négativement la tête, avant de la balancer en arrière pour que celle-ci se retrouve contre le dossier sur canapé. Je passais nerveusement ma main sur mon visage, avant de glisser cette dernière dans mes cheveux pour les mettre en arrière. C'était un toc que j'avais quand j'étais nerveux. Je soufflais un bon coup et fini par me lever du canapé, mais une fois de plus, alors que je contournais ce dernier, et que Cody sortait de la cuisine, nous nous percutions. A croire que c'était fait exprès. Merde je suis désolé, je t'ai pas fais mal ? la questionnais-je dans un premier temps, tandis qu'elle venait tout juste de raccrocher. C'est bon, tu as pu commander quelque chose malgré l'heure ? lui demandais-je pour essayer d'engager la conversation. Putain quel boulet je pouvais être par moment.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Mer 7 Sep - 21:24
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« Oh, ouais. Ca me passionne alors ça va. » Et voilà que je me retrouvais pratiquement allongée sur lui, le visage à quelques centimètres à peine du sien, sans que je ne comprenne vraiment comment. J'avais agis trop rapidement et avant que je ne réalise à quel point cette situation pouvait être inconfortable pour lui, j'étais déjà si proche de lui qu'il ne fallait qu'un simple faux mouvement pour que mes lèvres ne se collent aux siennes. J'y pensais vraiment sérieusement une seconde, en aillant véritablement envie.. Et puis finalement, je m'étais redresser téléphone en mains ain de commander à manger. Je m'étais évidemment empressée de m'excuser avant cela, bien que je ne regrettais absolument pas ce contact. Si c'était la seule façon que j'avais de le toucher un peu.. J'avais commander machinalement japonais, j'en mangeais beaucoup plus depuis mon arrivée aux usa, comme si les américains raffolaient de poisson. J'avais rapidement passer mon appel puis déposer le téléphone sur le plan de travail et m'apprêtait à retourner dans le salon tête baissée. Kieran me rentrais dedans de plein fouet, et fort heureusement il m'avait retenue parce que j'aurais facilement terminée sur le postérieur sinon. Il s'excusait à son tour, me demandant si je ne m'étais pas fait mal.. Mais en réalité je ne pu répondre directement. Mes bras c'étaient pliés et mes mains étaient plaquées sur son torse, mon visage c'était automatiquement relever et une nouvelle fois je ne me retrouvais qu'à quelques petits centimètres du sien.. Je devais résister, une seconde fois. Je devais m'éloigner, je le savais, je le devais. Mes yeux examinaient chaque parcelle de son visage, chaque trait, qu'ils connaissaient pourtant parcoeur. Il n'avait pas changer.. Ou alors seulement sa petite barbe de quelques jours, ça avait changer. Il n'en avait pas avant, mais je crois que ça le rendait encore plus attirant. Il avait beaucoup mûri, j'en avais l'impression. J'avais connu un garçon, je me retrouvais dans les bras d'un homme. Je finit par me perdre dans ses yeux. Ses beaux, grands yeux bruns.. Si sombres, si profonds.. Si attendrissants. Et puis je baissait les yeux sur ses lèvres et là.. Je manquais de souffle un instant. Mon dieu ce que j'avais envie de l'embrasser. Envie de sentir son souffle contre ma peau, sentir ses lèvres jouer avec les miennes. Comme ce sentiment pouvait me manquer.. Celui d'être accrochée à sa bouche. « Non, j'ai rien.. Et ouais j'ai commander.. » Je voulais terminer ma phrase, mais je n'en fut pas capable. Je pouvais pas. Je pouvais pas, je suis une personne horrible mais je ne pouvais pas rester collée à lui de la sorte sans rien faire. Je ne pouvais plus prendre sur moi. J'avais eu envie de lui voler un baiser depuis ce jour où il avait débarquer devant ma porte. J'avais besoin de le retrouver, d'être à lui, juste une seconde de plus. Et sans que je ne puisse m'arrêter j'avais plaquer mes mains sur la nuque de Kieran et m'étais élevée sur la pointe des pieds pour me retrouver à sa hauteur. Mes lèvres étaient venues se plaquer sur les siennes d'une telle rapidité qu'il n'aurait pas pu l'arrêter avant que cela ne se produise. Et dés cet instant, dés ce moment où je l'embrassait.. Ce fut le feu d'artifice. Les papillons dans le ventre, tout le bordel réunis. L'envie de pleurer, l'envie de sourire, l'envie de sauter de joie, les frissons, l'impression qu'on va s'écrouler à terre. Mon dieu ce que c'était bon. D'ailleurs, on pouvait clairement remarquer que j'appréciais ses lèvres puisque je lâchais un petit gémissement alors que je ne décollais pas ma bouche de la sienne une seconde. Mes mains c'étaient guider dans ses cheveux et je me collais d'avantage à lui, ma poitrine complètement écrasée contre son torse. Finalement la sonnerie du téléphone nous sortis de notre moment.. Nos bouche se détachaient enfin une petite fraction de seconde, mais je ne déviais pas mes yeux de lui, je ne voulais pas que ça s'arrête. Je ne voulais pas répondre, je me fichais bien mal de qui pouvait appeler à cette heure, je voulais qu'il m'embrasse de nouveau. Je voulais ses foutus papillons de nouveau, alors je le fixait dans les yeux et je pense qu'il pouvait facilement comprendre que je n'avais qu'une seule envie à ce moment : qu'il réponde à mon baiser et reprenne possession de mes lèvres. Au diable qui était au bout du fil.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Jeu 8 Sep - 12:16

J'irais te chercher toutes les étoiles du ciel, je les broierai, et jetterai mon mélange dans tes yeux si c'est le seul moyen de retrouver cette petite étincelles que j'aimais tant.
Je m'apprêtais à lui répondre oui, mais ça, c'était avant qu'elle ne se retrouve sur moi, et qu'en se relevant nos visages ne se retrouvent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. C'était un supplice, comme si c'était fait exprès, comme si ce n'était pas déjà assez dur de vivre avec elle, de la croiser tous les jours, bah non, il fallait qu'on se retrouve dans cette situation, plutôt embarrassante, dans laquelle je ne savais pas comment réagir. Je crois que dans le fond, elle ne se sentait pas si à l'aise que ça. Et en même temps. Je pense très sincèrement que si nous n'étions pas avec quelqu'un, alors nous aurions sans doute réagi d'une autre manière, mais là, elle comme moi était engagé, et nous n'avions pas le droit de faire un faux pas. Elle s'excusait. Comme si elle avait besoin de s'excuser. J'avais envie de lui dire qu'elle n'avait aucune raison de s'excuser, je me contentais seulement de lui faire remarquer que ce n'était pas grave. Après tout, elle n'avait sans doute pas fait exprès de se retrouver dans une telle posture, puis elle n'avait sans doute pas calculé son mouvement, elle ne pensait pas qu'en se redressant elle se retrouverait si près de moi. Du moins, c'est ce que j'essayais de me dire. Elle s'éloignait finalement de moi, pour appeler un restaurant et commander un repas. Je restais un moment sur le canapé, puis fini par daigner me lever. Et encore là. Alors que je contournais le mur pour atterrir dans la cuisine, seulement, Cody en sortait, je vous laisse donc imaginer la suite. On se percutait, gentiment, mais suffisamment pour qu'elle manque de perdre l'équilibre. Ma main s'emparait de son poignet pour l'empêcher de chuter en arrière. Seulement, je ne m'étais pas rendu compte qu'en l'empêchant de tomber, je l'avais rapproché de moi. Je serrais fortement la mâchoire. Qu'est-ce qu'il se passait ce soir. Deux fois en l'espace d'une dizaine de minutes. Je m'assurais toutefois de lui demander si elle ne s'était pas fait mal. J'essayais de changer de sujet en lui demandant si elle avait réussi à se commander quelque chose au vue de l'heure. Visiblement, il y avait encore des restaurants ouverts et qui proposaient des livraisons. Maintenant que j'avais eu la réponse, j'aurai dû m'éloigner d'elle. Mais c'était impossible, je n'y arrivais pas. Et je n'y arrivais encore moins lorsqu'elle me surprenait à venir m'embrasser, sans retenue. Je restais là. De marbre. Quelques secondes. Appréciant la douceur de ses lèvres contre les miennes. C'est à ce moment même que je réalisais combien elle m'avait manqué elle tout entière, et surtout que je réalisais que je n'étais jamais parvenu à l'oublier. C'est là que la phrase "on oublier jamais vraiment son premier amour" prenait tout son sens. Elle se collait contre moi et je me laissais aller à prolonger son baiser. Mais voilà que le téléphone fixe de la maison se mit à sonner. Les sonneries persistaient. Comme si quelqu'un cherchait absolument à joindre Cody. Elle se détachait de moi, assez pour que nos lèvres se séparent, mais pas suffisamment pour se détacher complètement de moi. Elle était toujours collée contre moi, sa poitrine contre mon torse, ses battements de coeur s'alliant aux miens. Son regard se plongeait dans le mien, et très vite je m'y perdais, repensant à toutes ces fois où mes lèvres prenaient possession des siennes et où je n'arrivais pas à m'en détacher. Puis je repensais à Miles et Chloé, et à ce qu'on était entrain de faire. Mais... Ses yeux me réclamaient de recommencer. Son regard, je le reconnaissais, je savais ce qu'il voulait dire, ce qu'il signifiait. Je finis par plaquer ma main derrière sa nuque pour approcher son visage du mien. Le bout de mon nez collait au sien, je finis par prendre à mon tour possession de ses lèvres. C'était mal, on avait pas le droit de faire ça. On ne pouvait pas faire ça. Et pourtant, on bravait tous les interdits. Comme avant, comme lorsque nous sachions pertinemment que son père ne nous voulait pas ensembles, mais que malgré tout, on le faisait quand même. Et bien là c'était pareil. Elle savait tout comme moi qu'on avait pas le droit de faire ça. Que c'était comme tromper nos petits amis respectif, mais on le faisait quand même. Parce que dans le fond, on était toujours fou l'un de l'autre. Mais voilà que les sonneries de téléphone reprirent de plus belle, nous ramenant à la réalité. Je détachais difficilement mes lèvres des siennes, mon front se retrouvant contre le sien. Tu devrais peut être aller répondre, à cette heure-ci, c'est peut être important, soufflais-je même si je n'avais qu'une seule envie, c'était la garder contre moi. De plus, le livreur allait sans doute pas tarder à arriver. J'étais littéralement perdu. Etait-ce une erreur ? Je ne regrettais pas ce qu'il venait de se passer. Seulement, tout serait beaucoup plus simple si nous n'avions pas respectivement quelqu'un.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Dim 11 Sep - 13:56
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Je ne savais pas trop ce qui m'avait pris.. Ou si, je ne le savais que trop bien. J'en avais eu envie comme je n'avais jamais eu envie de quelque chose dans ma vie. C'était vital, vous comprenez. Je l'aimais. Je l'aimais tellement et je n'avais jamais cesser de l'aimer. Alors en me faisant vivre dans un appart avec lui durant plusieurs jours, dieu seul sait qu'il était obligatoire qu'à un moment ou à un autre cette envie ne me submerge et je ne laisse parler mes sentiments. Je n'aimais pas Miles, je ne l'aimais plus. J'avais de l'affection pour lui, mais rien de comparable à Kieran. Rien ni personne ne se comparait à ce que lui savait me faire ressentir. Et je ne pouvais tout bonnement plus me retenir, garder tout ça en moi était devenu bien trop difficile.. Je me devais de répondre à mes impulsions. Alors je m'étais jetée à son cou et avait plaquer mes lèvres sur les siennes comme si c'était la dernière fois que j'en avais l'occasion. C'était peut être le cas, il allait peut être me repousser, quitter cet appartement et je ne le reverrais plus jamais. C'était probable, mais maintenant de toutes façon c'était fait. Mes doigts se crispaient sur sa nuque tandis que mes lèvres restaient collées aux siennes. Après quelques secondes, je sentis qu'à son tour il se pris au jeu et répondit à mon baiser avec envie. J'avais envie de sourire, sachant que lui aussi en avait envie et peut être que lui aussi ressentais tout ça aussi intensément. Mais je me contentais de continuer le baiser, malgré la sonnerie de téléphone qui résonnait dans tout l'appart. Je m'en fichais bien mal de qui pouvait bien appeler, du pourquoi, je me refusait tout simplement à me détacher de lui. Pourtant, la personne insistait, comme un signe peut être que nous devrions arrêter. Je savais parfaitement que ce que nous faisons n'était pas bien, je savais que Miles en Angleterre ne se dérangeais pas pour combler notre distante dans les bras d'autres femmes, mais jusqu'ici je ne m'étais jamais aventurer à en faire de même. Seulement Kieran c'était différent, c'était déjà avec lui que j'avais tromper Miles il y a des années, je ne pouvais pas rester loin de lui. C'était tout bonnement impossible. Je me détachais à peine au bout d'un instant à cause du téléphone, mais n'avais toujours pas envie de répondre. Au contraire, je suppliais Kieran du regard de m'accorder encore un baiser, ce qu'il fit sans perdre de temps. Ce deuxième fut plus intense, un peu plus passionnel, nos langues venaient jouer l'une avec l'autre, je lâchais un soupir de bonheur et puis comme toutes bonne choses ont une fin.. Il se détachais de nouveau et plaquais son front au miens. Je gardais les yeux fermer un instant et me mordillais la lèvre, puis je soulevais mes paupières doucement pour le regarder et soupirais doucement. « Je m'en fiche en fait. » Lâchais-je honnêtement. J'en avais absolument rien à faire. Je pris les mains de Kieran dans les miennes et fit quelques pas en arrière, j'en lâchais une pour débrancher le fil du téléphone afin que les sonneries ne s'arrêtent puis je vennais embrasser son cou doucement. « Je veut qu'on se coupe du monde. J'ai besoin de toi, Kieran. » Soufflais-je doucement en le fixant dans les yeux. La vérité me heurtais de plein fouet, j'étais toujours amoureuse de lui et je me refusais qu'il le soit d'une autre. Il était à moi comme j'étais à lui, pour toujours on ce l'était promis. Je ne voulais pas qu'il fasse machine arrière, je voulais qu'il arrête de se prendre la tête et nous laisse être nous pour ce soir. Plus penser à Miles, plus penser à sa copine, rien qu'à nous deux trois ans en arrière. Plus de couvre feu, plus de parents sur le dos, du moins pas ce soir. Un appart pour nous tout seul. Tout ce dont nous avions toujours rêver, je voulais qu'il le réalise. « On retourne trois ans en arrière.. Dans le grenier de cette vielle barraque que tu avais emménager pour imiter la scène de "The Notebook".. » Soufflais-je à son oreille, la mordillant légèrement. « Juste avant d'être interrompu.. Juste ce petit moment où on était tout les deux contre le reste du monde.. Rien que toi et moi. Pour toujours. » Mes lèvres déposaient des baisers sur son cou alors que je lui murmurais ses mots.
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(#)Sujet: Re: they could make a movie out of us ▵ kiody  |   Lun 12 Sep - 18:01

J'irais te chercher toutes les étoiles du ciel, je les broierai, et jetterai mon mélange dans tes yeux si c'est le seul moyen de retrouver cette petite étincelles que j'aimais tant.
Tout s'était passé très vite. Je m'étais levé, je m'étais rentré dans Cody sans forcément le vouloir, et ses lèvres étaient venues se poser sur les miennes. Dire que cela ne me plaisais pas serait mentir. Bien au contraire, ce baiser me rappeler bien trop de choses. Ce baiser me rappelait notre premier baiser, encore une fois, elle était avec Miles. Mais elle et Miles, ça n'était pas ça, je devais avouer que j'étais l'origine de leur rupture. Ce soir là, alors que nous passions la soirée ensembles, malgré sa relation avec Miles, Cody passait beaucoup de temps avec moi. J'ai fini par craquer, et l'embrasser, je savais que je n'aurais pas dû, mais à ma plus grande surprise, elle ne m'avait pas repoussé. J'avais l'impression de revivre la même chose ce soir, seulement là, c'était l'inverse, malgré ses fiançailles avec Miles, elle n'avait pas hésité une seule seconde à s'emparer de mes lèvres. Sur le coup, j'avais été surpris, car je ne m'y attendais pas, je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse ça, pas maintenant du moins, et pourtant, je me laissais aller contre ses lèvres, prolongeant ce baiser. J'avais sûrement tord, c'était sûrement une très mauvaise idée, mais je n'arrivais pas à lutter, je n'arrivais pas à me détacher d'elle, comme si j'avais attendu ça depuis tellement longtemps. Au début, j'avais pensé à Chloé, pour moi, rien qu'un baiser s'était trompé. Mais... Chloé comptait-elle autant que Cody ? Et c'est alors que très vite, Cody parvenait à la chasser de mes esprits. Je me retrouvais dans cette bulle, la même que lorsque nous étions plus jeune en Angleterre. Là où il n’y avait qu’elle et moi et personne d’autre. On était bien tous les deux. On était heureux mais surtout amoureux. A ce moment même, j’avais l’impression qu’on ne s’était jamais séparés. Mais ces sonneries de téléphone nous coupaient dans notre moment et nous ramenaient surtout à la réalité. Cody se détachait de mes lèvres. J’ouvrais doucement les yeux pour croiser son regard azur. Je crois que s’il n’y avait pas eu ce téléphone, on serait encore entrain de s’embrasser. Je me remis alors à penser à nos petits amis respectifs, et à ce que nous venions de faire. Je savais que ce n’était pas bien, mais en même temps, je n’arrivais pas à lutter. J’essayais depuis le jour où j’avais posé un pied dans cet appartement. Je savais que  c’était une mauvaise idée, que c’était me frotter au danger, mais j’avais essayé, et voilà que j’avais craqué. Mais trompé pour trompé. Un baiser de plus ne changerait rien à ce que l’on venait de faire finalement. Alors, je cessais de penser aux autres, et pour une fois je pensais à moi. Ma main venait se glisser derrière sa nuque, attirant son visage tout près du mien. Je caressais ses lèvres avec les miennes, avant de l’embrasser tendrement, comme j’en avais envie finalement. Je voulais juste retrouver ce moment où il n’y avait qu’elle et moi contre le reste du monde. Où l’on se fichait royalement des autres, et de ce qu’ils pouvaient penser. Car oui, on avait souvent subi des critiques, vous comprenez une fille aussi belle, et aussi riche qu’elle avec un pauvre type comme moi, ça n’avait aucun sens. Mais à cette époque déjà, on s’en fichait tout simplement, après tout, du moment que nous étions heureux. Nous ne nous aimions pas pour notre statut social, à vrai dire, qu’elle soit riche ou pauvre, cela ne m’importais peu finalement. Si j’étais tombé amoureux d’elle, c’était pour sa personnalité, pour ce qu’elle était, ce qu’elle m’apportait, et non pour son argent. Mais le problème c’est que c’est ce dont tout le monde pensait. Heureusement que Cody ne se fiait pas aux « on dit ». Cependant, la personne qui essayait de la joindre se voulait être insistante, alors je finis par difficilement me détacher d’elle pour la laisser éventuellement aller répondre au téléphone. Peut-être était-ce de sa famille, ou encore le livreur ? Ou bien… Miles ? Rien que l’idée que cela puisse être ce dernier me filais la nausée. Pas maintenant. Par pitié. Cody s’exclamait qu’elle en avait rien à faire, attrapant l’une de mes mains pour m’entraîner avec elle. Je la regardais faire, et elle finit par débrancher ce téléphone qui en soit nous faisait littéralement chier. Une fois le téléphone débranché, elle me regardait dans les yeux pour me dire qu’elle voulait qu’on se coupe du monde, qu’on se retrouve juste elle et moi, qu’elle avait besoin de moi. A ce moment même, je cessais tout mouvement. Je n’en revenais pas qu’elle puisse me dire ça alors que… Elle était fiancée. Alors… C’était donc vrai, on oublie jamais son premier amour. Et le pire dans tout ça, enfin… non pas le pire… et le meilleur dans tout ça, c’est que ce qu’elle ressentait, je le ressentais aussi. J’avais toujours eu besoin d’elle, Chloé m’avait seulement aidé à aller mieux, mais elle n’avait jamais prit sa place, jamais je n’étais parvenu à tomber amoureux d’elle ou encore à lui dire que je l’aimais. Pourquoi ? Parce que dans mon fond intérieur c’était Cody, et ça le serait sûrement toujours. Cette fille, je l’avais dans la peau. C’est pour ça que je n’avais jamais réussi à l’oublier. Même avec Chloé, tout me rapportait à elle. Une chanson. Un film. Un objet. Un bijou. Un restaurant. Son plat préféré. Sa couleur préférée. En fait tout portait à croire que je ne pourrais pas l’oublier. Je posais ma main sur sa joue, pour la caresser doucement. Moi aussi Cody, soufflais-je dans un murmure quant au fait que j’avais besoin d’elle moi aussi. Je ne savais pas si j’avais eu raison de lui dire subtilement, mais il fallait qu’elle le sache. Elle rapprochait son visage du mien, avant que ses lèvres ne viennent me glisser quelques murmures au creux de l’oreille. Je fermais les yeux, me pinçant les lèvres en me souvenant de cette soirée, c’était le soir où on avait failli coucher ensembles pour la première fois. Comme je savais que The Notebook était son film préféré, j’avais essayé de faire en sorte que le décor soit à quelque chose près le même, et visiblement cela l’avait marqué. Chaque murmures me rappelaient combien ce moment avait été merveilleux avant que son père ne pénètre notre petit cocon. Ses lèvres dans mon cou me firent frissonner, tandis que je la faisais reculer jusqu’à ce que son dos n’heurte doucement le mur qui se trouvait juste derrière elle. Je ne pensais pas que tu te rappellerais de tout ça, soufflais-je avant de capturer ses lèvres avec les miennes, et de glisser mes mains sous son tee-shirt, juste au niveau de ses hanches pour retrouver la douceur de sa peau contre mes doigts. J’entourais ses hanches pour la serrer contre moi, et réaliser combien elle m’avait manqué. T’imagines pas combien j’ai rêvé de ce moment là, je t’ai jamais oublié Cody. J’ai seulement essayé d’avancer sans toi, j’avais pas le choix, il fallait faire avec, mais j’ai pas envie que ça se reproduise, lâchais-je en toute sincérité. Il fallait qu’elle sache que cette fille ne comptait pas comme elle pouvait le penser. Il fallait surtout qu’elle sache que j’avais été incapable de l’oublier malgré les années qui nous ont séparé. Je savais que c’est ce qu’elle pensait. Mais ce n’était pas possible, et j’avais comme la sensation qu’il en était de même pour elle. A bout de souffle je rompais notre baiser et posais mon front contre le sien, avant de ramener une de mes mains sur ses joues pour lui caresser. Tu m’as tellement manqué, Cody… lâchais-je dans un murmure. Comme si j’avais oublié que j’étais engagé auprès de cette fille. Comme si j’avais eu besoin de lui dire, besoin qu’elle le sache.
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