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 toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)

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(#)Sujet: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Lun 5 Sep - 20:44

Prend ma main tu feras mon bonheur, embrasses-moi tu feras battre mon coeur.
Presque plus d'un mois c'était écoulé depuis ton agression. Tout n'a pas toujours été simple. L'abdomen est un endroit fragile. Et la personne qui t'as touché ne t'as pas raté, encore heureux qu'elle ne t'ai pas touché un organe vital, ce qui aurait pu te coûter la vie. Tu étais désormais sorti de l'hôpital, cela faisait presque quinze jours. Si tu étais resté autant de temps au centre hospitalier, c'est parce que tu y étais rentré pour une hémorragie interne, et ils avaient préféré te garder plus longtemps pour être sûr car ce n'est pas rien ce genre de chose, une fois de plus. Mais tu avais eu beaucoup de chance de t'en sortir aussi bien, car tu aurais pu avoir pire. Sortir de cet endroit t'avais fait le plus grand bien, dans cette chambre, t'avais l'impression de tourner en rond, tu avais le droit de quitter cette dernière pour allait faire un tour dans le petit jardin du centre, mais ce n'était pas non plus, la sortie du siècle, il n'y avait rien à voir à l'extérieur, tu ne pouvais rien y faire. Toi, tout ce que tu voulais, c'était pouvoir vagabonder dans les rues de Miami à bord de ton skate, aux côtés de ton fidèle destrier : Marlon, ton petit berger allemand qui grandit plus vite que tu ne l'aurais espéré. Heureusement que Savannah était là pour s'en occuper durant ton séjour à l'hôpital. En revanche, lorsque tu es rentré chez toi, ce dernier t'as fais la fête du siècle, comme si tu l'avais abandonné quoi. Maintenant que tout commençais à se tasser, tu reprenais enfin du service. Ca te faisais du bien de te sentir enfin libre, de pouvoir sortir où tu veux, quand tu veux, et surtout de pouvoir voir Savannah lorsque cela t'enchantes, car malheureusement quand tu étais enfermé dans cette chambre, il y avait des heures de visites, et par conséquent, vous ne pouviez pas vous voir tant vous le vouliez. Mais maintenant, c'était fini, tu avais envie de rattraper le temps perdu. Tu voulais lui prouver que tu faisais des efforts pour elle. Il fallait bien qu'elle comprenne elle aussi que c'était ta première véritable relation, que tu ne savais pas forcément comment agir, mais bon, tu essayais et c'était déjà beaucoup.
Tu savais qu'aujourd'hui, comme tous les autres de la semaine cette dernière travaillait. Bon, elle t'envoyait des petits messages au cours de la journée malgré tout. Toi de ton côté, depuis que tu avais été viré de ta formation, tu ne faisais plus rien à part vendre de la drogue. Seulement, tu t'étais un peu calmé depuis l'incident lors de cette soirée avec Siobhän. Tu ne voulais pas trop tenter le diable car pour le moment tu étais encore vulnérable, tu n'avais pas la force de te battre, et puis ta plaie était peut être cicatrisée, mais elle restait encore fragile. La journée te paru longue. A la base, Savannah et toi n'aviez pas prévu de vous voir, mais... Tu ne l'entendais pas de cette oreille. Toi, tu avais envie de passer ta soirée avec elle. Subtilement, tu la testais par message, savoir ce qu'elle allait faire ce soir. Visiblement rien, tu avais même réussi à savoir l'heure à laquelle elle débauchait. Parfait, tu prenais une douche une petite heure avant de partir, et t'habillais plutôt bien. Dans un petit coffre bien caché chez toi, tu prenais quelques billets qui suffiraient pour la soirée, et quand l'heure approchait, tu sautais dans ta voiture pour aller rejoindre ta belle à son travail. Pour ne pas qu'elle te crame, tu garais la voiture un peu plus loin de son boulot, puis tu descendais et t'approchais de son boulot. Sur la droite, à la sortie de ce dernier se trouve une petite rue, là où tu étais justement. Tu savais pertinemment que c'était son chemin, passait devant cette rue pour rejoindre non loin de là sa voiture. Tu guettais de temps à autre en sortant ta tête pour regarder l'entrée de son boulot, quand tu la vis sortir. Tu te planquais alors dans la rue, et lorsqu'elle passait, tu l'attrapais par le poignet et l'attirais vers toi avant de la plaquer contre le mur doucement, bien entendu, et de venir déposer tes lèvres contre les siennes. Surprise, soufflais-tu tout contre ses lèvres, avant de replacer l'une de ses mèches rebelles derrière son oreille. J'espère que tu n'as pas eu de changement de plan de dernière minutes parce que tu peux attraper ton téléphone et leur dire que t'es plus dispo, ajoutais-tu avec ce petit sourire sur tes lèvres. Cela faisait longtemps que tu ne t'étais pas senti aussi bien, senti aussi vivant. C'était entièrement grâce à elle tout ça. C'était elle qui te rendait vivant, comme si elle avait ravivé cette flamme à l'intérieur de toi. Tu avais peut être eu du mal à t'ouvrir, mais maintenant, une chose est sûre, depuis que tu avais enfin craqué et que tu avais laissé tes envies et ton coeur agir, tu te sentais désormais mieux. Ca te faisais du bien de pouvoir être enfin toi-même avec elle, de pouvoir agir comme bon te semble, l'embrasser sans retenu, la serrer dans tes bras dès lors où tu en as besoin, ou tout simplement te balader main dans la main avec elle dans les rues de Miami.
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Jeu 8 Sep - 19:01
   

   
ft. Clydannah.

   
toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin.

   
   

   

Un mois avait passé après l'agression de Clyde. Et en sortant de la chambre d'hôpital je lui avais faits la promesse de ne pas me mêler de cette histoire. Je ne peux pas dire que j'ai oublié cette histoire, depuis un mois je vis dans l'angoisse, la peur qu'un jour quelqu'un me le retire de ma vie. L'homme que j'aime à des ennuis et je ne peux rien faire pour lui. Depuis sa sortie tout n'est pas rose entre nous mais nous avions plutôt bien avancer. Et je peux dire que chaque jour qui passe à ses coter je l'aime davantage.Je m'étais occupé de tout pendant son séjour à l'hôpital, il ne voulait pas que je l'aide pour ses ennuie mais je pouvais au moins l'aide dans autre chose, il m'avait demandé de m'occuper de son chien, malgré ma peur de ses bêtes je ne pouvais refuser.C'était nettement plus sympa de se retrouver hors d'une chambre d'hôpital. Pendant un mois nous nous sommes pas beaucoup vu, tout d'abord j'avais mon travail ensuite il a dès horaire précis donc ce n'était pas toujours facile de se voir et puis j'avais sincèrement du mal à le voir dans cet état donc je m'y rendais le moins possible tout en prenant tout de même de ses nouvelles.La journée était assez compliqué et assez dur. Tout d'abord je suis arrivé en retard mais comme je suis mon propre patron ça va. Ensuite je me suis embrouillé avec une cliente donc je pense que j'ai perdu mon contrat. J'espère sincèrement que je pourrais ouvrir bientôt mon magasin. « Sarah, je te laisse fermer ce soir. » dis-je à mon assistante en prenant mon sac.« Bonne soirée à demain.» ajoutais-je avant de sortir dehors. Ma voiture était garée dans la petite rue comme toujours. Arriver non loin de ma voiture on m'attrapait par le poignet et m'attirais en me plaquant contre le mur, sur le coup j'ai eu vraiment peur, j'ai eu un certain temps à réagir. Clyde se trouvait devant moi, il déposait ses lèvres sur les miennes.- Surprise. Souffrait-il contre mes lèvres puis il replaçait une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille.-J'espère que tu n'as pas eu de changement de plan de dernière minutes parce que tu peux attraper ton téléphone et leur dire que tu es plus dispo. ajoutait-il avec ce sourire que j'aime tant. « Tu m'as fais peur imbécile. dis-je en le regardant tout en souriant. Ne refais plus jamais ça. dis-je avant de l'embrasser brièvement.Tu as de la chance d'être canon chéri sinon je t'aurais tuer. Je le poussais légèrement pour me détacher de lui. Bien sûr que je suis dispo pour toi, toujours mon amour. » ajoutais-je en souriant. J’avais passer une mauvaise journée, Clyde est arrivé au bon moment. Et puis je n'étais pas vraiment au top en ce moment donc le savoir avec moi me fais le plus grand bien. Je l'aime tellement. 

   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Ven 9 Sep - 18:43

Prend ma main tu feras mon bonheur, embrasses-moi tu feras battre mon coeur.
Après ce qu'il t'étais arrivé. Tu ressentais une certaine appréhension quant à sortir seul de chez toi. Mais il le fallait, tu ne pouvais pas t'arrêter sur ça. Tu n'en parlais à personne. Mais dans le fond, tu craignais que cela se reproduise, même si tu prétendais le contraire devant Savannah pour la rassurer. A l'hôpital, tu avais d'ailleurs réussi à la faire céder pour ne pas se mêler de toute cette histoire, tout simplement parce que tu ne voulais pas qu'il lui arrive le même sort. S'ils avaient été capables de s'en prendre à toi, nul doute qu'ils seraient capables de s'en prendre à elle, uniquement pour te toucher indirectement et faire de ta vie un enfer. Depuis ta sortie, tu avais vu Siobhän deux fois, et fort heureusement, durant ton hospitalisation, il ne lui était rien arrivé, malheureusement elle n'avait pas pu te rendre visite car elle était censée être morte pour la ville. Aujourd'hui, alors que tu étais seul chez toi, tu testais un peu Savannah sur ce qu'elle comptait faire après le boulot. De ton côté, tu prétextais que tu restais tranquillement chez toi, à te reposer car tu avais encore un peu mal à ta plaie qui commençait à bien cicatriser d'ailleurs. Bon, il est vrai que par moment tu ressentais encore une certaine douleur, mais tu n'essayais de ne pas trop lui en parler pour ne pas l'alarmer, mais là, c'était l'occasion pour qu'elle ne se doute de rien. Tu étais tellement impatient de la retrouver que finalement, tu trouvais que la journée était particulièrement lente. Bien que tu t'occupais à regarder la télé, squatter les réseaux sociaux, il n'en demeure pas moins que tu avais vu les heures passer. Mais alors que l'heure approchait, tu bondissais de ton canapé pour aller prendre ta douche, au moins, le temps passerait plus vite. Tu enfilais un jean noir, ainsi qu'un petit haut clair. Posté devant le miroir de la salle de bain, tu passais un coup de main furtif dans tes cheveux, puis allais ensuite fumer une petite cigarette sur le balcon. Bon, ne tenant plus en place, tu finis par attraper ta casquette que tu mis sur la tête, puis tes clés de voiture et hop, tu te rendais au Sud de la ville, là où se trouvait le studio de ta petite amie. Tu te garais un peu plus loin, de sorte qu'elle ne voit pas ta voiture pour n'avoir aucun doute, et pour éviter que l'effet de surprise ne soit gâché. Tout en fumant une petite cigarette, tu allais te faufiler dans une petite rue deavnt laquelle elle passait constamment pour se rendre à sa voiture. Au moins, tu serais sûr de la chopper au passage. Et pas manqué, quelques minutes après l'heure de sa débauche, elle passait devant cette rue, et tu attrapais son poignet pour l'entraîner avec toi. Là, tu la plaquais doucement contre le mur, et vins l'embrasser tendrement. Ne parvenant pas à quitter ses lèvres, tu lui soufflais quelques murmures. Un sourire se glissait sur tes lèvres lorsque cette dernière te disait que tu lui avais fais peur. C'était le but recherché en même temps, lâchais-je avec ce même sourire sur les lèvres. Au moins, tué, c'est que tu peux être violente des fois, lâchais-je avec malice, avant de la rattraper tandis qu'elle t'avait repoussé. Par contre, je te permets pas de me repousser comme ça, dis-tu d'un air sérieux, avant de lui voler un baiser. C'est dingue comme sa simple présence pouvait te faire autant de bien. Tu avais attendu ce moment toute la journée. Seulement, tu n'avais pas l'impression qu'elle soit en super forme. Ca ne va pas ? la questionnais-tu, en la regardant dans les yeux. Tu la connaissais assez pour savoir quand elle allait bien, mais également pour savoir quand quelque chose clochait, et là en l'occurrence tu n'avais pas l'impression qu'elle soit au top de sa forme, disons que tu l'avais connu beaucoup plus enjouée. Je te fais un peu le topo de la soirée, j'imaginais t'inviter au restaurant, puis après on pourrait aller se balader un peu, et pour finir, tu pourrais... dormir à la maison ? Je te conduirais au travail demain matin si tu veux, lui proposais-tu en espérant que le programme lui convienne. Ton hospitalisation t'avais réellement fait prendre conscience que tu avais vraiment besoin d'elle dans ta vie, plus que quiconque. Alors même si ça n'avait jamais été facile entre vous, et que ça ne le serait surement jamais, tu voulais essayer de bien faire les choses pour elle. Et puis, t'être ouvert à elle avait été bénéfique, tu arrivais peu à peu à enfin être totalement toi avec elle. A devenir doux, attentionné. Les relations, tu n'en n'avais jamais eu, elle était ta première et donc il en va de soit que tu ne savais pas trop comment t'y prendre, mais tu essayais de faire de ton mieux pour la satisfaire.
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Dim 11 Sep - 22:31
   

   
ft. Clydannah.

   
toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin.

   
   

   

Depuis que tout ça à commencer, je vis dans la peur. La peur qu'un jour je me retrouve sans lui. Il avait des problèmes et la seule chose qu'il veut c'est que j'oublie tout ça. Mais comment faire semblant que tout aille pour le mieux ? Lorsque je n'ai pas de ses nouvelles pendant quelques heures je m'imagine le pire. Je ne supporterais pas qu'il lui arrive de nouveau quelque chose, j'en suis incapable. Je suis peu être qu'une femme et que je ne suis pas assez forte pour eux mais s'il lui arrivait encore quelque chose je serais capable du pire pour lui. Ce fait maintenant plus d'un mois qu'il est sorti de l'hôpital et il ne veut toujours en parler de ce qu'il sait passer, bien sûr je n'insiste pas quand il sera prêt à me faire plus confiance je serais là. Cette journée est de pire en pire. J'avais qu'une hâte c'était de rentrer chez moi, prendre un bon bain et dormir. En sortant de mon travail, je me dirigeais vers ma voiture qui se trouvait dans une petite rue non loin. À quelque centimètre de ma voiture, on m'attrapait par le poignet et m'attirait en me plaquant contre le mur, sur le coup j'ai eu vraiment peur, j'ai eu un certain temps à réagir. Clyde se trouvait devant moi. Il m'a fait extrêmement peur. il m'avait embrassé tendrement en me soufflant quelques mots contre mes lèvres. -C'était le but recherché en même temps. dit-il avec un grand sourire.Je lui rétorquais en le poussant légèrement que j'aurais pu le tuer. -Au moins, tué, c'est que tu peux être violente des fois. dit-il d'un air malicieux avant de m'attraper à nouveau.-Par contre, je te permets pas de me repousser comme ça. répliquait-il sérieusement. Il m'embrassait à nouveau sans que je puisse dire quelque chose, je prolongeais tout de même brièvement son baiser. -Ça ne va pas ? demandait-il en me regardant dans les yeux. Je secouais la tête négativement. -Je te fais un peu le topo de la soirée, j'imaginais t'inviter au restaurant, puis après on pourrait aller se balader un peu, et pour finir, tu pourrais... dormir à la maison ? Je te conduirais au travail demain matin si tu veux. ajoutait-il tout content. « Alors déjà de un, Van Acker même si tu me permet pas, je fais ce que je veux oublie pas ça, de deux, attention à toi si je deviens vraiment violente et ensuite on va au restaurant que si c'est moi qui invite et pas question de me dire non, tu sais très bien à quel point je déteste quand on me dit non. pour la balade je suis d'accord et pour dormir chez toi on verra si tu es sage. dis-je en souriant. Ces derniers temps ça n'allait pas fort mais quand je suis avec lui j'oublie certaine choses. Et toi tu vas mieux ? » demandais-je. Le pauvre dans une journée je dois lui demander si ça va toutes les dix minutes. Je suis toujours inquiète pour lui.« Tu veux aller manger où ? » demandais-je en marchant vers ma voiture.Ces derniers temps je suis assez distante avec lui mais il ne faut pas qu'il doute à quel point je l'aime 
   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Lun 12 Sep - 18:01

Prend ma main tu feras mon bonheur, embrasses-moi tu feras battre mon coeur.
Aller retrouver Savannah était la seule chose qui te poussait à sortir de ton cocon. Tu te serais écouté, tu ne serais jamais sorti de chez toi. Mais il le fallait, il fallait que tu sortes. Que tu vois le jour, ce n'est pas toi qui jadis ne supportais pas de rester plus de deux heures chez toi à ne rien faire ? Il me semble si, alors ce n'était pas le moment de faiblir. Tu devais aller de l'avant malgré ta blessure, malgré ton agression. Le pire dans tout ça, c'est que tu ne savais pas qui s'était. Peut être que c'était cette femme qui venait de te frôler, ou bien cet homme qui tournait dans cette petite ruelle sombre. Et pourquoi pas ce groupe d'ado complètement perché assit sur cette table de pique nique ? Tu n'en n'avais strictement aucune idée, mais tu essayais de garder la tête haute, jouer le mec sûr de soit, tu sais le faire ça. C'est justement tout ce que tu sais faire tien, pour ne pas paraître pour un faible. Attendant patiemment dans cette petite rue, tu finis par attirer ta petite amie vers toi, ça te faisais un bien fou de la retrouver, de sentir son parfum venir embaumer tes narines, ou encore, ce sourire qui te donnais une meilleure forme. Tu ne pouvais te retenir plus longtemps de l'embrasser. Savannah semblait vraiment surprise, il faut dire que vu comme tu étais placée, tu avais vraiment dû  la surprendre et lui faire un peu peur, elle ne tardait pas d'ailleurs à te traiter d'imbécile, bon sur ce coup là, elle n'avait pas totalement tord, mais tant que ce n'était que toi qui l'attirais ainsi dans une petite ruelle, c'était bon. Elle te repoussait légèrement pour se séparer de ton étreinte. Cela t'étonnais un peu, alors tu l'attirais de nouveau vers toi, la menaçant d'un air amusé. Mais tu sentais bien que quelque chose n'allait pas depuis ces derniers temps, elle semblait distante envers toi, et ça ne cessait de se faire ressentir. Tu ignorais encore ce qu'il pouvait bien se passer, c'est pourquoi tu lui demandais si ça allait, mais elle contournait ta question en parlant d'autre chose, en s'éternisant sur tes autres remarques. Comme tu avais envie de passer la soirée avec elle, tu lui avais proposé dans un premier temps d'aller manger au restaurant pour ensuite dormir chez toi, au quel cas, tu l'emmènerais au travail le lendemain matin. Elle semblait plutôt d'accord pour manger au restaurant à une condition, celle de payer. Tu levais les yeux au ciel, comme si tu comptais la laisser payer. Mais tu hochais la tête positivement, comme si tu baissais ta garde et acceptais, mais bon, ce n'était pas ton dernier mot. Tu ne comptais pas en rester là. Bon, on verra ça alors, répondais-tu, en souriant légèrement lorsqu'elle te dit qu'en ce qui concernait dormir chez toi, elle le ferait que si tu étais sage. Etant donné que tu la sentais quelque peu distante, tu n'insistais pas, tu n'avais pas forcément envie de la forcer à faire quoi que ce soit, si elle avait envie de dormir avec toi, elle savait que ta porte lui était grande ouverte, dans le cas contraire, tu ne broncherais pas, même si tu avais envie de passer la nuit avec elle, et la ramènerais chez elle. C'est alors qu'elle te demandait comment tu allais. Ce n'est pas comme si elle ne passait pas son temps à t'envoyer des petits messages la journée pour prendre connaissance de ton état. Je vais bien, t'inquiètes pas, c'est plutôt à toi que je devrais demander ça, lâchais-tu en la regardant, tandis que vous marchiez tranquillement dans la rue. Mmh, je ne sais pas trop, tu sais que de ce côté là, je ne suis pas vraiment difficile. On pourrait se faire un petit restaurant français ou japonais, histoire de changer un peu ? lui proposais-tu, car manger américain c'était ce que vous faisiez tout le temps, et ce soir, tu n'avais pas forcément envie de gros burger, mais plutôt de quelque chose qui vous sorte un peu de votre quotidien.
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Mar 13 Sep - 15:04
   

   
ft. Clydannah.

   
toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin.

   
   

   

C'est dur de ne pas savoir comment aider la personne qu'on aime plus que tout. Clyde est le genre de personne qui n'aime pas être aidé. Ça fait un peu plus d'un mois qu'il est sorti de l'hôpital et il ne sort pas beaucoup de chez lui après ce qu'il a vécu je comprends tout à fait mais ça fait dur de le voir comme cela, je n'ai pas l'habitude. Chaque fois que je sors de chez lui, j'ai peur à l'idée de ne plus le revoir. La personne qui la agresser est toujours dans la nature et elle peut revenir à n'importe quel moment pour finir son travail. J'essaye de rester forte pour lui, de ne rien lui montrait mais à un moment donner je ne veux plus y arriver. La journée avait déjà mal commencé, ce matin je m'étais réveillé en retard ensuite j'ai perdu un contrat qui valais gros et faut dire quand ce moment ma vie n'est pas de tout repos. En sortant de mon travail, je me dirigeais en vitesse dans la petite ruelle ou se trouver ma voiture, j'avais qu'une hâte c'était de rentrais chez moi pour me détendre un peu. À quelque centimètre de ma voiture, une personne m'avait attrapé par le poignet pour ensuite me plaquait contre le mur. Heureusement pour moi ce n'était pas une personne qui voulait m'agresser, oui parce que depuis ça je deviens un peu parano, mais tout simplement mon petit ami qui a eu la brillante idée de me faire une surprise. Bien sûr j'étais très contente de le voir, surtout dehors. Il me fit un petit topo de la soirée qu'il avait prévu. J'acceptais sans hésitation  à une condition que c'était moi qui payer le restaurant.- Bon, on verra ça alors. répondait-il en souriant.  Pour ce qu'il était de dormir chez lui, je lui rétorquais seulement s'il était sage. Par la suite il me demandait si tout allait bien, Clyde me connaissait mieux que personne et il savait quand ça n'allait pas, mais pour le moment je ne veux pas l'inquiéter donc je lui répondis en secouant négativement la tête puis lui demandait à mon tour. -Je vais bien, t'inquiète pas, c'est plutôt à toi que je devrais demander ça. dit-il en me regardant. «Ne t'inquiète pas pour moi.» répondais-je tandis que nous marchions, par la suite  je lui demandais ce qu'il voulait manger ce soir. -Mmh, je ne sais pas trop, tu sais que de ce côté-là, je ne suis pas vraiment difficile. On pourrait se faire un petit restaurant français ou japonais, histoire de changer un peu ? me proposait-il. Ces derniers temps j'étais distante avec lui mais je ne voulais pas l'inquiéter davantage avec mes problèmes donc j'ai préféré mettre un peu de distance entre nous mais j'avais qu'une envie c'est de le retrouver donc il fallait que je face un petit effort le temps d'une soirée. Arriver à ma voiture je le plaquais sur la portière puis passais mes bras autour de son cou.« J'ai une bien meilleure idée. dis-je en l'embrassant tendrement quelque seconde après je repris. Et si on allait chez moi puis nous commandions japonais et pour finir tu seras mon dessert, parce que je suis gourmande donc il me faut un dessert. dis-je tout près de ses lèvres avec un sourire amusée.Je suis désolé d'être un peu distante ces temps-ci, j'ai envie de me rattraper ce soir.» Ajoutais-je en jouant avec ses cheveux.
   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Mar 13 Sep - 16:35

Prend ma main tu feras mon bonheur, embrasses-moi tu feras battre mon coeur.
L'effet de surprise avait fonctionné comme sur des roulettes. Elle était loin de s'attendre à ce que tu sois là à l'attendre à sa sortie de boulot. Rien qu'en l'embrassant, tu pouvais sentir ce parfum que tu aimais tant. Ce soir, tu avais prévu de passer avec elle. Rien que tous les deux, en amoureux. Au final, entre vous, ça n'avait jamais été évident. Entre passer le temps à vous repousser, puis ton agression qui était survenue pile au moment où tu te sentais enfin de passer le cap pour te poser avec elle, ça n'avait pas été de tout repos. C'est pour cette raison que ce soir, tu avais envie de souffler un peu, passer du temps avec elle, à vous changer mutuellement les idées. Parce que tu avais bien senti que ces derniers temps, elle était distante. Tu essayais de chercher pourquoi, mais tu avais du mal à trouver la réponse. Etait-ce toi le problème ? Peut-être, et dans le fond, si tel était le cas, tu ne pourrais pas lui en vouloir, vu tout ce que tu lui as fais. Mais bon, quelque part, ça te touchais. Parce que tu essayais de faire en sorte de faire bien les choses, pour que cela marche entre vous, mais tu sentais que de son côté, elle s'éloignait doucement de toi. Ouais, ça te faisais peur, même si tu ne laissais absolument rien paraître. Parce qu'après tout, ce n'était pas ton style de montrer ce genre de choses aux autres. Toi, tu préférais que l'on pense que tu te fiches de tout, mais c'était juste pour te protéger. Mais dans le fond, énormément de choses t'affectes, seulement voilà, tu as ce don si particulier faire comme si tu te fichais de tout alors qu'au fond, t'es mal. Tu pourrais rire aux éclats alors qu'à l'intérieur tu serais brisé, mais t'étais comme ça, et on ne pourrait pas te changer. Ca te portais parfois, voir même souvent tord, car tu laissais trop souvent penser que tu te fiches de tout, et les gens ne pensaient pas forcément du bien de toi, mais si ça te permettais de rester fort aux yeux de tous, alors ce que pensaient les autres, tu le laissais de côté. Dans le fond, seul toi en connaissait la vérité. C'était l'essentiel. En ce qui concerne le programme de la soirée, elle semblait plutôt d'accord, sauf sur le fait de dormir chez toi, là où elle marquait une certaine petite opposition, tu n'insistais pas. Evidemment que si tu lui avais proposé, c'est parce que tout simplement, tu savais qu'en pensant la soirée chez elle, plus dure serait la séparation en la raccompagnant chez elle, mais bon tu respectais ses choix. Vous vous mettiez alors en route, direction sa voiture, quand sur le chemin, elle te demandait comment tu allais. La plaie se refermait doucement, et cicatrisait à son rythme, se voulant parfois être douloureuse. Mais ne souhaitant pas l'alarmer pour si peu, tu la rassurais en lui disant que ça allait, mais tu essayais de retourner la question pour en savoir plus à son sujet, mais encore une fois, se fut un échec total. Encore une fois, tu te tus, tout simplement, mais arrivé à sa voiture, elle te surprenait à te plaquer contre cette dernière pour enrouler ses bras autour de ton cou, et tout de suite, un sourire illuminait ton visage, tandis que tes bras vinrent entourer sa taille pour l'attirer tout contre toi. Elle prétendait avoir une meilleure idée. Alors tu arquais un sourcil interrogateur, mais ses lèvres vinrent se poser sur les tiennes pour t'offrir un tendre baiser, baiser auquel tu ne pus te retenir de répondre avec tout autant de tendresse, remontant l'une de tes mains sur sa joue pour la lui caresser. Le baiser rompu, et ta main toujours sur sa joue, ta petite amie t'expliquait son programme, et finalement, ce n'était pas plus mal, surtout la fin, ah... la fin te fit sourire d'avantage, laissant même échappé un petit rire amusé. Comme je vois que je n'ai pas le choix, je me vois dans l'obligation d'accepter, dis-je en roulant les yeux au ciel, avant de lui voler un bisou. Ce programme me convient parfaitement à condition que... tu sois également mon dessert, parce que tu sais combien tu es mon dessert préféré, repris-je alors en venant l'embrasser dans le cou, avant de lui mordiller légèrement ce dernier d'un air amusé. Elle s'excusait alors d'être si distante avec toi. Je ne sais pas ce que tu as, ni pourquoi tu es comme ça, mais j'espère que ça va s'arranger, répondis-tu alors d'un air plus sérieux que tu ne l'avais été précédemment. J'ai pas envie que ça s'arrête nous deux, soufflais-tu alors à cette dernière, en posant ton front contre le sien, frottant par la même occasion le bout de ton nez contre le sien. Tu avais tout, sauf envie de perdre ce que vous étiez actuellement entrain de construire. Même si cétait difficile. Tu ne te voyais pas tout arrêter. Tu avais besoin d'elle dans ta vie. Besoin d'elle plus que personne. Et tu savais pertinemment que si tu venais un jour à la perdre. Tu tomberais bien bas. Elle était devenue cette force qui te permettais d'avancer, de t'aider à t'en sortir.
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Mer 14 Sep - 21:54
   

   
ft. Clydannah.

   
toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin.

   
   

   

Ça pour une surprise, sens était une. Clyde était sorti pour passer me prendre au boulot alors que ça fait plus d'un mois que je dois le supplier de sortir. Cet homme est beaucoup de surprises et j'adore ça. Depuis quelque temps il vit de sale moment et il arrive tout de même à me faire plaisir alors que moi depuis quelques mois je suis distante avec lui. C'est dernier temps je suis compliqué avec lui, je le repousse légèrement sans pour autant l'aimer comme une folle, mais en ce moment je pète un peu les plombs et je ne veux en aucun cas le mêler dans mes histoires après ce qu'il a vécu. Bref, ce soir il fallait que je mette le temps d'une soirée mes problèmes et que je sois totalement à lui. Il m'avait fait son topo pour la soirée mais encore une fois je m'étais montré distante. Nous étions en train de marchais l'un à côté de l'autre vers ma voiture, une fois devant je le plaquais doucement contre la portière et avait passé mes bras autour de son cou, quant à lui il entourer ses bras autour de ma taille pour m'attirer vers lui. Je déposais mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser tendrement il prolongeait mon baiser en posant une main sur ma joue qui caressait doucement, quelques secondes après je décollais légèrement mes lèvres des siennes pour lui proposer une idée encore mieux que la sienne. Une soirée rien que tous les deux chez moi, au calme. Je lui proposais de commander japonais ... puis pour finir il serait mon dessert. -Comme je vois que je n'ai pas le choix, je me vois dans l'obligation d'accepter. dit-il en roulant des yeux avant de me faire un bisou. - Ce programme me convient parfaitement à condition que... tu sois également mon dessert, parce que tu sais combien tu es mon dessert préféré. soufflait-il en venant m'embrasser dans le cou qui le mordiller légèrement, ce genre de chose me rend complètement folle, j'adore. Par la suite de ça je m'excusais alors de mon comportement ces derniers temps. -Je ne sais pas ce que tu as, ni pourquoi tu es comme ça, mais j'espère que ça va s'arranger. répondait-il d'un air sérieux.- Je n'ai pas envie que ça s'arrête nous deux. Ajoutait-il en posant mon front contre le mien, il frottait le bout de son nez contre le mien.«Oh mon Dieu Clyde, il n'a jamais eu question que je te quitte. Retires-toi ça de la tête? dis-je en reculant un peu de lui pour le regardaient dans les yeux. Je n'arrive même pas à me passer de toi alors comment veux-tu que je te quitte ? soufflais-je en me détachant complètement de lui. On y va, je meurs de faim ... d'ailleurs je me demande si je ne vais pas commencer par le dessert.» lui dis-je amusée. Il fallait vraiment qu'il se retire ça de la tête, même si je suis distante ces temps-ci je serais incapable de vivre sans lui. 
Nous montions dans la voiture direction chez moi, le trajet ce fils dans le plus grand des silences. Une fois arriver, nous descendions puis rentrions dans la maison. Clyde avait l'habitude de venir donc maintenant il fessait comme chez lui.« Je vais commander japonais; j'arrive. dis-je en prenant mon téléphone. Comme je mangeais souvent avec Dani je savais ce que j'allais commandais et j'en suis sur qu'il aimera. Quelques instants après je le retrouvais dans le salon, il était assise sur le canapé. Et voilà ça arrive dans vingt minutes. dis-je en m'installant sur ses genoux. Je le regardais quelques instants sans parler. Il faut que je te dise quelque chose Clyde mais promet moi de ne pas flipper. »dis-je sérieusement. Son regard en disait long et attendait la suite. « Au risque de gâcher la soirée mais il faut vraiment que je t'en parle. soufflais-je. Je ne voulais pas t'embêter avec ça mais ... il y a quelques semaines ma mère a fait plusieurs malaises qui l'ont emmené à l'hôpital. Ils ont fait faire plusieurs examens et ont détecté que c'était un cancer ... généralisé. Il y a quelque années elle a réussi à combattre son cancer du sein mais un autre est arrivé et il sait généraliser.Ma grand-mère l'avait aussi donc ils ont aussi dit que cela pouvait être héréditaire. La semaine dernière j'ai faits plusieurs examens ... les résultats sont dans quelques jours.» Ajoutais-je. En le voyant pas réagir je posais mes mains sur ses joues.« Heyy bébé, ne tant fais pas pour moi ... N'oublie pas que ta copine est forte.J'ai réussi à t'avoir et Dieu seul sait comment je me suis battu pour que tu sois enfin avec moi  donc rien ne vas m'arrêter même pas cette maladie ... et avant de paniquer attendons les résultats.» répliquais-je en souriant. Je ne voulais pas lui faire peur mais il devait le savoir.

   
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Jeu 15 Sep - 12:57

Prend ma main tu feras mon bonheur, embrasses-moi tu feras battre mon coeur.
La sentir près de toi te faisais le plus grand bien. Ces derniers temps, rien n'était évident pour toi, et pour vous. Ton agression t'avais marqué d'une certaine manière. Tu comptais de venger de es personnes qui s'en prenaient à Siobhän et qui s'en étaient aussi prit à toi, mais avant cela, tu voulais que ça s'arrange pour toi, physiquement parlant. C'est pour cette raison que depuis que tu étais sorti de l'hôpital, tu ne sortais pas beaucoup à l'extérieur, préférant rester chez toi. Heureusement que Savannah était là pour te booster un peu, te forcer à sortir, sinon, si elle n'était pas là, tu passerais tes journées entières et tes nuits chez toi. De plus, ces derniers temps, tu la trouvais un peu distante envers toi. Ce qui t'amenais à te poser bien des questions. Sur l'origine de ce changement à ton égard. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui tu avais décidé de lui faire une petite surprise, celle d'aller la chercher au travail, et visiblement, cela lui faisait le plus grand des plaisirs. Seulement voilà, lorsque tu lui proposais de dormir chez toi, encore une fois, tu la sentais réticente, comme si elle ne le voulait pas, mais qu'elle n'osait pas te le dire ouvertement. Evidemment, cela te fis quelque chose, mais tu ne bronchais pas, et la laissais faire ce qu'elle voulait, du moment que tu passais la soirée à ses côtés, c'était ça le plus important. Vous vous mettiez alors en marche, quand lorsque vous arriviez à la voiture, cette dernière te surprit à te plaquer contre la paroi de cette dernière pour te bloquer entre elle et la porte. Cet acte te fis sourire, et donc tu passais tes bras autour d'elle pour l'attirer un peu plus contre toi. Tu lui fis alors part de tes craintes, quant au fait que tu avais bien remarqué qu'elle semblait distante à ton égard. Elle-même l'avait avoué. Et dans le fond, tu avais peur qu'elle ne veuille pas continuer avec toi, mais qu'elle ne te le dise pas maintenant car tu n'étais pas au top de ta forme avec ton agression. Même si ça n'avait jamais été facile entre vous, et que la vie avait décidé de mettre bons nombres d'obstacles sur votre chemin, tu te rendais réellement compte que tu avais besoin de Savannah dans ta vie, pas seulement en tant qu'amie, mais bien plus que ça. Tu avais besoin de pouvoir l'embrasser lorsque tu en avais envie, de pouvoir la serrer dans tes bras, sentir la douceur de sa peau contre la tienne. Tu étais prêt à t'engager avec elle, et ce depuis un petit moment maintenant, seulement avec ton agression, vous n'aviez pas pu faire tout ce qu'un couple peut faire, c'est pour cette raison que ce soir, tu avais prévu de l'amener au restaurant, mais, elle changeait d'avis, préférant passer la soirée chez elle, et commander japonais. Tu n'étais pas contre cette idée, bien au contraire. Même si tu aurais aimé l'inviter au restaurant, tu savais pertinemment que tu le ferais plus tard. Elle te rassurait toutefois à te dire qu'il n'avait jamais été question de te quitter. Quelque part, au fond de toi, tu te sentais plus libre, car quelque part, cela te travaillais un peu. C'est tout ce que j'avais besoin d'entendre, lâchais-tu, avant de l'embrasser sur le front, tandis qu'elle prétendait vouloir commencer le dessert. Je suis tout à toi, répondais-tu un petit sourire amusé en coin des lèvres. Vous vous détachiez l'un de l'autre pour monter en voiture.
Alors que tu prenais la route, chacun de vous deux restiez silencieux. Elle avait le visage tourné vers la fenêtre, à regarder le paysage, toi, tu avais les mains posé sur le volant, concentré sur la route. Tu la croyais quand elle te disait qu'elle ne voulait pas te quitter, mais ça ne t'empêchais pas que cela t'inquiètes un peu. Mais tu essayais de chasser ces pensées négatives de ton esprit pour passer une bonne soirée avec elle. Arrivé chez elle, tu te garais puis vous vous rendiez dans son appartement. Comme elle te prévenait qu'elle allait commander japonais, toi tu te rendais dans le salon pour t'asseoir sur le canapé. La tête posée sur le dossier du canapé. Elle ne tardait pas à te rejoindre en disant que la commande arrivait d'ici une vingtaine de minutes, prenant place sur tes genoux. C'est alors qu'elle prit un ton sérieux, immédiatement, tu redressais ta tête pour pouvoir être plus attentif à ce qu'elle avait à te dire. C'est alors qu'elle t'expliquait qu'il y a plusieurs semaines, sa mère a enchaîné les malaises, au point qu'on lui découvre un cancer généralisé, et comme on sait que cette maladie est souvent héréditaire, puisque visiblement sa grand-mère l'avait eu aussi, elle te faisait part des examens qu'elle avait passé afin de voir si elle était positive ou pas. Sur le coup, ton visage s'était décomposé, tu t'attendais à tout, sauf à ça. Et même si elle n'avait pas encore les résultats, et que s'il faut tout allait bien pour elle, tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter pour elle. Elle venait alors poser ses mains sur tes joues, pour croiser ton regard, et essayait de te rassurer tant bien que mal avec une petite touche d'humour. Mais... Quand bien même tu serais positive, cela ne veut pas forcément dire que la maladie s'est développée, mais juste que tu risquerais potentiellement dans le futur que cette dernière se développe non ? Puis peut-être qu'elle ne se développera pas même si tu es positive ? Evidemment, tu te posais tout un tas de questions. C'est comme si d'un coup, tout ton monde s'écroulait, et que le château de cartes que vous étiez entrain de construire venait de s'écroulait sous une brise de vent. J'ai pas envie d'imaginer le pire Savannah, j'ai pas envie d'imaginer un futur dans lequel tu ne serais plus... lui avouais-tu en toute sincérité. C'est bien la première fois que tu lui parlais du futur, et que tu envisageais d'aller plus loin avec elle. Tu n'avais encore jamais abordé ça avec elle. Parce qu'avant, tu ne cessais de la repousser. Mais maintenant, tu étais sûr d'une chose, tu voulais que vous deux ça tienne. Tu étais prêt à faire des efforts, auxquels tu n'aurais jamais pensé, juste pour que ça tienne. J'ai pas envie que ça gâche notre soirée... Et si on oubliait tout le temps d'une soirée ? Ce n'était pas évident avec ce qu'elle venait de te dire, et avec ce que tu vivais actuellement, mais tu avais juste envie de profiter d'elle. Profiter de ce petit moment en amoureux qui s'offrait à vous. Juste, préviens moi quand tu as les résultats, dis-tu doucement, avant de rapprocher son visage du tien et de l'embrasser délicatement. Maintenant on parle plus de ce qui m'est arrivé, et de tout ça... soufflais-tu en caressant sa joue.
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(#)Sujet: Re: toi et moi, c'était pas de la chance, c'était le destin (clydannah)   |   Jeu 22 Sep - 23:11
   

   
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Nous sommes tous à la recherche de cette personne unique qui nous apportera ce qui nous manque dans notre vie. Et si on ne parvient pas à la trouver on n'a plus qu'à prier pour que ce soit elle qui nous trouve. Et heureusement pour moi, cette personne je l'ai trouvé. Il m'a fallu pas beaucoup de temps pour savoir que Clyde était cette personne, c'était une évidence lui et moi. Même si je me suis battu pour lui faire comprendre, ça en valais la peine, et si c'était à refaire je le refaisais sans hésitation. Ces temps-ci j'étais légèrement distante avec lui, je m'excusais alors de mon comportement envers lui. Il me rétorquait d'un air sérieux qu'il ne voulait que nous deux s'arrête et qu'il espérait que ça s'arrange. Je suis peu être comme ça en ce moment avec lui mais il est hors de question que je le quitte ou un truc dans ce genre, je serais incapable de faire ça, j'en suis éperdument amoureuse. 
Nous montions tous les deux dans la voiture, chacun de nous deux restait silencieux. J'avais le visage tourné vers la fenêtre, à regarder le paysage et lui il avait les mains posées sur le volant. Au fond de moi je savais qu'il avait encore des doutes sur ma sincérité, je le sentais inquiet. Arrivé chez moi, il se garait ensuite nous nous rendions dans mon appartement. Je lui prévenais alors que j'allais commander japonais, quant à lui il fessait comme chez lui, il avait l'habitude maintenant. Je ne tardais pas à revenir vers lui, en lui rétorquant que la commande arrivait d'ici une vingtaine de minutes. Je prenais ensuite place sur ses genoux. Je pris une bonne inspiration et commençais à lui expliquait ce qu'il pouvait se passer en ce moment dans ma vie . L'air paniqué j’asseyais de le rassurer.- Mais... Quand bien même tu serais positive, cela ne veut pas forcément dire que la maladie s'est développée, mais juste que tu risquerais potentiellement dans le futur que cette dernière se développe non . Puis peut-être qu'elle ne se développera pas même si tu es positive ? dit-il dans un premier temps. - Je n'ai pas envie d'imaginer le pire Savannah, je n'ai pas envie d'imaginer un futur dans lequel tu ne serais plus... soufflait-il. Je le regardais dans les yeux.« Oh Clyde. lui dis-je d'une voix cassante. J'étais tellement dépité par cette nouvelle que je n'ai même pas écouté le docteur et il la bien vu, il m'a dit de revenir avec mes résulta pour mieux m'expliquer ce qu'il peu arriver pour la suite. soufflais-je en prenant l'une de ses mains dans la mienne. Ne l'imagine pas alors  mon amour parce que je te fais la promesse que quoiqu’il arrive je me battrais ... pour toi. Avant cela il ne parlait jamais du futur ... aujourd'hui je sais enfin qu'il tient vraiment à moi et qu'il m'aime vraiment comme il peut me le dire. Et puis même si cela devait arriver sache que je te hanterais Van Acker. répliquais-je avec un léger rire. En voyant sa tête je vis qu'il ne trouvait pas ma blague très drôle. Pardon je n'aurais pas dû.» dis-je. -Je n'ai pas envie que ça gâche notre soirée... Et si on oubliait tout le temps d'une soirée ? soufflait-il. -Juste, préviens-moi quand tu as les résultats. annonçait-il doucement avant d'approcher son visage du mien pour m'embrasser tendrement.- Maintenant on parle plus de ce qui m'est arrivé, et de tout ça. ajoutait-il contre mes lèvres tout en caressant ma joue. Je secouais la tête pour lui faire comprendre que je suis d'accord. Il fallait que le temps d'une soirée j'oublie tout ce qu'il sait passer, et que je sois totalement bien avec lui. Je regardais ma montre.« Encore 15 minutes avant que le repas arrive ... mais j'ai une envie folle de mon dessert. dis-je en déposant mes lèvres sur son coup que je mordillais légèrement ensuite je remontais mes lèvres aux crues de son oreille. Couche-toi. lui ordonnais-je. Je me soulevais légèrement pour qu'il puisse s'allonger sur le canapé. Une fois qu'il soit totalement dessus, je me mis à califourchon sur lui. Je t'aime tellement Clyde.» ajoutais-je en passant mes mains sous son tee shirt pour le retirais ensuite. Je l'embrassais langoureusement puis descendais mes baisers sur son menton puis repasse sur son coup pour finir sur son torse. 

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