Vous avez tous deux, avec quelques minutes d'écart, remonté la plage sur plusieurs centaines de mètres pour vous rendre aux vestiaires, aller au fond de la pièce et entrer dans le local où se trouve le rendez-vous. C'est une pièce vide, rectangulaire, d'une quinzaine de mètres carré, neutre au possible, avec pour seul mobilier quelques étagères et une table. Lorsque vous êtes tous les deux là, un clic résonne : la porte est fermée à clé, le verrou est électronique et ne s'ouvre qu'à distance. Vous recevez chacun ce message, juste avant que le signal de vos portables ne soit brouillé, vous empêchant désormais de communiquer avec l'extérieur.

Nightmare

Je vois que vous êtes joueurs. Si vous espériez me rencontrer en face à face, c'est raté ! Mais vous êtes maintenant enfermés tous les deux dans cette pièce, que je suis la seule à pouvoir ouvrir. Pour sortir de là vous devrez au choix : soit vous battre jusqu'à ce que l'un de vous soit entièrement K.O. Ou vous envoyer en l'air. Ou les deux si l'envie vous prend  Si vous refusez vous passerez non seulement de nombreuses heures voire journées enfermés là, mais en plus de cela, ce qui arrivera ensuite vous fera regretter de ne pas avoir accepté. Faites le bon choix et voyez cette expérience comme... un moyen de vous détendre et de laisser libre cours à vos pulsions trop longtemps étouffées. Amusez-vous bien, des bisous.
PS : Je vous observe

Indications rp :
- Les conséquences s'appliquent dans le cas où le défi n'est pas réalisé conformément aux règles. Donc un sujet qui meurt d'inactivité sera puni par Nightmare
- A vous deux de vous mettre d'accord... ou d'y aller en freestyle.
- Pour toutes questions, vous pouvez mp Cupidon.

Lorsqu'il reçut ce message le sommant de se rendre dans le local numéro quatre, Erwan hésita quelques minutes, puis il s'excusa auprès de ses amis et se leva. Son téléphone serré fort dans sa main, il s'éloigna de la projection pour marcher en direction des vestiaires et se rendre dans ce fameux local. Il entra, la lumière était allumée, et à peine eut-il passé la porte que celle-ci se claqua derrière lui, et se ferma à clé. Il s'en rendit compte en entendant le bruit, alors que son regard avait été capturé par la jeune femme qui se trouvait déjà là. C'était Nightmare ? Est-ce qu'ils avaient rendez-vous ? Qu'est-ce qu'elle lui voulait ? Erwan avait peur, il ne comprenait rien et tout ce dont il avait envie, c'était de retrouver Chris et de rentrer chez lui. Malgré tout, il connaissait le pouvoir de Nightmare et ne voulait pas la contrarier. Son téléphone vibra en même temps que celui de la jeune femme, et le message qu'il y découvrit le laissa sans voix. Quoi ? Oh. Il se mordit la lèvre, relut pour être sûr, n'osa pas regarder la jeune femme face à lui. Se battre ou baiser. Il ne savait pas se battre, et il ne pouvait pas rentrer avec le visage défoncé. Quant à la baise... « Je veux pas me battre... » il souffla doucement, sans oser regarder la blonde qui se trouvait à quelques mètres. C'était gênant tout ça. Lorsqu'il s'agissait de son travail, il n'avait pas de malaise, mais ce soir et dans ce contexte, il n'était pas Erwan le callboy. « Tu peux me baiser s'il te plait ? » il demanda, avalant sa salive, s'étant fait à l'idée. Elle n'en avait peut-être pas envie, et tout ce qu'il lui resterait alors serait de la supplier de bien vouloir le baiser. Quant à lui, il pourrait très bien trouver un moyen de lui faire plaisir, même s'il n'avait pas d'expérience avec les filles.

J’avais reçu ce SMS qui me demandait de me rendre en temps voulu tout au fond du vestiaire, pour participer à un jeu qui, j’osais l’espérer, elle pimenté ma soirée. C’est lorsque l’heure fut que je me levai, laissant Clarke en plan au bar dans le but de m’y rendre. C’est à peine sur place que je fis face avec un grand élancé qui semblait tout aussi confus que moi par la situation. La porte se vérouilla puis, mon téléphone que je tenais à ma main se mit à vibrer, m’annonçant que je venais de recevoir un deuxième SMS. Je me penchai pour lire le tout et ma première réaction fut de lâcher un petit rire, mi amusée, mi nerveux. C’était tout de même pas sérieux, non? En relevant la tête, le jeune homme devant moi m’affirma qu’il avait pas envie de se battre. Moi non plus, du moins, pas particulièrement mais bon, si c’était réellement notre seul option? J’avais entendu dire que cette Nightmare pouvait être une sacrée malade. Je me mordis la lèvre inférieure, un petit moment en pensant à ce qu’elle pourrait bien dire contre moi et puis, en revoyant toutes les saletés que j’avais pu faire, à tout ce que je gardais bien en moi, je me disais que je tenais pas particulièrement à ce que tout soit dévoilé au grand jour. Alors que j’étais un peu perdu dans mes pensées, que mon cerveau roulait à toute allure, mon compagnon de cellule - parce qu’on pouvait limite appeler ça comme ça, me demanda, d’une manière beaucoup trop poli - genre comme s'il demandait une deuxième part de gâteau,  ça en était déconcertant - de le baiser. Aussitôt, je le dévisageai. « Quoi? Non!? » Je le regardai avec de gros yeux pendant qu’il avait l’air du pire petit soumis du monde entier. Je secouai la tête en faisant un petit tour du local. « Il doit bien y avoir une solution, c’est vraiment un jeu de merde cette histoire! » Je m’arrêtai devant une petite caméra dans le coin pour me faire aller la main à quelques reprises mais visiblement, il n’y avait rien à faire. En plus de ça, la porte était verrouillée et même si je forçais dessus, il n’y avait rien à faire, on était prit au piège. Je revins vers le jeune homme qui n’avait pas bougé d’un pouce depuis tout à l’heure, c’était vraiment sympa l’aide à vouloir foutre le camp d’ici en tout cas! Je soupirai en le dévisageant, l’air découragée. « Mec, on peut pas coucher ensemble, t’es clairement gay de chez gay! » J’étais pas du tout attirée par lui, je préférais lui foutre mon poing dans sa gueule.  .

Il était là avec une jeune femme toute belle, et ce message de Nightmare qui les condamnait à se battre, ou baiser. Il n'avait vraiment pas envie de ce genre d'angoisse ce soir, alors qu'il comptait simplement passer une super soirée avec ses amis et Chris surtout. Avec Chris... qu'il ne voyait qu'une fois par semaine. Il voulait retourner avec ses amis le plus vite possible, et là, il était enfermé et ne pouvait pas sortir sans obéir à Nightmare. S'il se faisait défigurer, son boss serait en colère et refuserait que Chris le reprenne hors de la maison close. Alors il n'avait pas d'autre option que de supplier cette jeune femme pour du sexe. Il souffla à l'inconnue qu'il ne voulait pas se battre, avant de marquer une longue pause, et de lui demander si elle voulait bien le baiser. Il accepterait de faire n'importe quoi. Evidemment, elle n'était pas partante pour ça. « Il doit bien y avoir une solution, c’est vraiment un jeu de merde cette histoire! » qu'elle lança en faisant le tour de la pièce. Erwan resta planté là, désespéré, la suivant du regard. Il n'y avait pas de solution, il en était certain, et si dire qu'il allait passer sa vie ici le rendait affreusement triste. Il devait absolument convaincre cette jeune femme de faire ce qui était demandé ! « Mec, on peut pas coucher ensemble, t’es clairement gay de chez gay! » Oh. Il la regarda avec un vrai air de chien battu, mais un peu perplexe tout de même. « Je suis pas gay. Enfin, je crois pas... » il répondit en fronçant les sourcils, pas tout à fait sûr de lui. Il ne s'était jamais posé cette question. « Je peux pas rester enfermé ici, s'il te plait... Je ferai tout c'que tu voudras, t'as juste à me dire » il supplia. Il se sentait nul, pas sufisant, et il se demandait comment il pouvait bien réussir à convaincre cette fille si belle de coucher avec quelqu'un comme lui. Comment il pourrait lui donner envie ? « Je suis vraiment pas mauvais pour le sexe, on me dit » il sortit, parce que c'était bien ce qu'on ne cessait de répéter : qu'il était né pour ça. Il était plutôt habitué à supplier pour être baisé, ça faisait partie de ses activités quotidiennes. Il espérait simplement qu'elle lui donne sa chance.

Je me retrouvais là, devant l’homme le moins viril que j’avais vu de ma vie et ce dernier me demandait de le baiser. Cette situation était tellement ridicule que je ne pouvais pas considérer me faire pénétrer par ce drôle de personnage. Ce jeu était de la merde, j’avais pas non plus envie de me battre mais visiblement, ça me semblait être le truc à faire. Il me disait pourtant qu’il n’était pas gay mais je n’y croyais pas réellement. « Tu crois pas? C’est quoi, t’es puceau? » Parce que bon… s’il ne savait pas c’était peut-être parce qu’il n’avait jamais couché. Il se mit à me supplier de ne pas faire ce que j’avais en tête, il était chiant là… On allait visiblement pas s’entendre sur quoi faire pour foutre le camp d’ici et éviter qu’on allait dévoiler des trucs à notre sujet. Le jeune homme ajouta qu’il était plutôt douer pour baiser, ce qui m’arracha un petit rire, tellement j’étais surprise. « Et qui dit ça? » demandais-je en fronçant les sourcils en m’approchant doucement de lui, parce que bon… il avait l’air de rien le mec. Il en avait peut-être une grosse mais même encore, ça servait à quoi d’en avoir une grosse si on savait pas s’en servir? J’avais beau me dire que je pourrais être agréablement surprise, j’avais pas du tout envie de m’écarter devant ce petit bonhomme. Je fus terriblement près de sa personne et je le sentais bien déstabilisé. Ok non, ça n’allait pas fonctionner, sans en dire plus, je lui balançai un coup de poing dans la gueule, tellement fort que j’entendis sa mâchoire craquer et ma main me fit terriblement mal. Merde, il avait une putain de tête dure!!!! Au moins, j’avais pu l'assommer au point où il perdit l’équilibre au sol. Je ne perdis non pas de temps pour me m’installer à califourchon sur lui en le tenant à la gorge avec la ferme intention de lui ramener des coups mais il ne semblait pas se défendre. Il me regardait avec ses grands yeux et pour la peine, sa vulnérabilité me destabilisai. « Mais tu fous quoi? Tu vas pas te défendre? » J’enlevai ma main d’autour de son cou pour lui tenir ses poignets de chaque côté de son corps, question de m’assurer qu’il n’allait pas m’en foutre un par surprise.

Quelle situation merdique ! Pour sortir de là, il allait devoir se battre avec cette fille, ou coucher avec elle, et Erwan était clairement favorable à la seconde option. Il ne voulait pas se battre, et surtout il ne pouvait pas se permettre de sortir de là défiguré. Alors la jolie blonde allait devoir le baiser, si elle le voulait bien. Et visiblement, elle ne le voulait pas. « Tu crois pas? C’est quoi, t’es puceau? » elle répliqua alors qu'il disait ne pas être gay, et Erwan secoua doucement la tête. Il essaya de se rendre plaisant, de lui prouver que c'était une bonne idée de coucher avec lui. C'était gratuit en plus. Il alla même jusqu'à certifier à la jeune femme qu'il était doué pour le sexe. Ca la fit rire, un petit rire qui le mit mal à l'aise. Elle se moquait de lui, et Erwan se sentait particulièrement triste à ce moment-là. « Et qui dit ça? » elle questionna, et c'était à se demander si c'était une vraie question, ou si elle voulait simplement se foutre de lui. « Des euuuh... les gens avec qui j'ai baisé » il répondit maladroitement, le regard fuyant, tandis qu'elle s'approchait de lui d'un pas conquérant, le mettant dans une position de petit chiot maltraité. Tout à coup, sans qu'il ne s'y attende, il se prit un coup dans la mâchoire qui le surprit et lui envoya une forte douleur, si bien qu'il perdit l'équilibre et finit parterre, allongé totalement. Il se tourna pour être sur le dos, et non, mauvaise idée, la jeune femme était là, assise sur lui avec ses mains autour de son cou. Oh. Ca, il connaissait bien. Ca lui rappelait Chris, et tous les autres types qui s'étaient amusés à lui serrer le cou... peut-être qu'elle aimait ce genre de choses ? Ca ne dérangerait pas Erwan, et il pourrait même y trouver un peu de plaisir. Il gesticula un tout petit peu, parce que tout ça provoquait des choses chez lui... des petits frissons. « Mais tu fous quoi? Tu vas pas te défendre? » elle lança soudain, le tirant à moitié de ses pensées, lâchant même sa gorge pour maintenir ses poignets plaqués au sol... ce qui n'arrangeait aucunement les choses pour Erwan. C'était le genre de chose qui avait tendance à l'exciter, au lit avec un client qui lui plaisait un minimum, se faire bousculer et malmener. « Je veux pas taper les gens » il lui dit simplement, ne cherchant d'ailleurs pas du tout la résistance contre les mains de la jeune femme. Il se tortilla un peu, parce que cette situation était bien étrange et qu'il ressentait de drôles de choses dans le bas de son ventre, des drôles de choses qui commençaient également à se répandre dans son boxer. « S'il te plait, s'il te plait, me défigure pas. S'te plait » il lui demanda à nouveau, très sérieux, essayant de la convaincre plutôt que de la supplier. Il gesticula encore, se pinçant les lèvres. Il ne savait pas du tout quelles étaient les intentions de cette jolie jeune femme, mais il espérait vivement qu'elle abandonne l'idée de le frapper, et qu'ils fassent le plus rapidement possible ce qu'il y avait à faire pour se sortir d'ici en vitesse. Il voulait retrouver Chris.

Bon, monsieur avait non seulement baisé, mais il l’avait fait plus qu’une fois et en plus, il se vantait être doué. J’étais pas très certaine de tout ça… il était loin de l’image de la bête de sexe ou même d’un mec qui aimait… coucher avec les femmes. et pourtant, il semblait vouloir baiser au lieu de se battre avec moi. Alors que moi, c’était tout l’inverse. Je décidai donc de prendre les choses en mains… et par mains, c’était le cas de le dire car je lui ramassai une bonne droite au visage, le laissant tomber, complètement étourdi au sol pendant que je me secouai la main. Je l’avais frappé en plein sur un os, ça faisait pas du bien mais c’était pas le temps de se plaindre, je voulais prendre cet avantage pour le mettre K.O immédiatement mais à peine étais-je au dessus de lui, à serrer son cou que je remarquai bien qu’il foutait absolument rien. Comportement qui eut le don de me déstabiliser complètement. Je lâchai donc sa gorge, prenant ses poignets à la fois en questionnant monsieur pacifique. Comme de raison, il voulait pas frapper quelqu’un. Mais merde, donnez-lui le prix nobel de la paix quelqu’un! Ça y est, monsieur était une bonne personne… manquait plus que ça. Eh voilà que pour ajouter à tout ça, il me suppliait de pas lui foutre la gueule de travers et pendant que je lui serrai plus fortement les bras, je sentis un truc contre mes fesses, il avait la pantalon moulant faut dire aussi donc c’était assez facile de sentir des trucs. « Je rêve ou t’es bandé? » Je le questionnai du regard et voyant qu’il ne savait pas trop quoi répondre à ma question, je soupirai. J’allais donc vérifier par moi-même. « Tu bouges pas! » Tout en restant sur lui, je me glissai vers l’arrière de sorte d’être au niveau de son entre jambe où je m'empresserai de détacher son pantalon pour y voir un sous-vêtement en dentelle. Je haussai les sourcils en riant. « Ok t’es gay ou terriblement déviant toi… » À mes paroles, il bougea, je poussai un petit soupire avant de me redresser sur mes genoux pour lui refoutre le dos au sol, les mains de chaque côté de sa tête. « J’ai dit BOUGE PAS sinon j’te défigure au point où même ta chère maman te reconnaîtrait pas. »  chuchotais-je, mon visage près du sien en ne bougeant pas pendant quelques secondes. Voyant qu’il allait m’écouter, je repris place pour finalement reprendre ce que je faisais, descendant un peu ses vêtements pour faire sortir son sexe à la vue. J’avais pas mal sentie, on avait un début de quelque chose. Intéressée, je relevai la tête vers lui. « T’as déjà bouffé une chatte ? »  

La jeune femme l'avait frappé et voilà qu'il se trouvait au sol, avec elle à califourchon sur lui. Position particulière, et maintenant, elle lui plaquait les poignets au sol. Il était immobile, sous son corps, et elle se demandait s'il ne comptait pas se défendre. Il répondit que non, qu'il ne voulait pas frapper les gens, et la laissait donc faire ce qu'elle voulait. Il ne s'était pas attendu à ressentir la moindre excitation, mais le fait d'être malmené et gesticulé ainsi réveillait quelque chose en lui, et peut-être que quelque chose lui plaisait chez cette fille. C'était étrange et nouveau, mais il n'y pensait pas plus que ça. Elle était forte et pleine d'assurance, il l'admirait un peu et avait comme pur réflexe de se soumettre sagement. « Je rêve ou t’es bandé? » Oh, oops. Il leva les yeux vers ceux de la jolie jeune femme, et même s'il ne répondit pas, il rougit un peu et eut la réaction très limpide de quelqu'un qui venait de se faire prendre et démasquer. Elle ordonna avec beaucoup d'autorité de ne pas bouger, et il obéit évidemment, l'ordre envoyant d'ailleurs une nouvelle décharge dans son sexe. Il vit la belle inconnue se mettre à lui défaire le jean, pour tomber face à face avec son petit string en dentelle et le porte-jarretelle qu'il avait prévu pour Chris. Ca la fit rire, et lui, il rougit encore plus. « Ok t’es gay ou terriblement déviant toi… » Il avait chaud de partout, un peu humilié, et bizarrement excité par ce sentiment. Il fit un petit mouvement, se redressa juste un peu en espérant arranger son problème, mais elle réagit sur l'instant et le plaqua au sol à nouveau. « J’ai dit BOUGE PAS sinon j’te défigure au point où même ta chère maman te reconnaîtrait pas. » Le boom de son corps contre le sol résonnait un peu dans l'air, et la tension soudaine entre leurs corps alors qu'elle le maintenait fermement. Visiblement, l'excitation montait encore en lui. Il dut contenir un petit gémissement. Soumis à cette magnifique jeune femme, il resta sage, et voilà qu'elle retournait voir dans son jean, le baissant pour bien révéler son sexe sous cette fine dentelle transparente. Il avait une petite érection, il le voyait bien, et il trouvait ça bien curieux mais aussi pratique. Finalement, ils allaient peut-être pouvoir baiser ! « T’as déjà bouffé une chatte ? » elle demanda d'un coup. La phrase aurait pu en choquer plus d'un, mais Erwan était bien habitué au langage cru, même si en général, ses fréquentations étaient plus masculines. Il se disait que ça ne changeait rien de trop radical. « Non... mais, je crois que j'pourrais peut-être bien aimer ça... » il avoua. Il n'en avait aucune idée, mais il fallait essayer pour savoir, non ? Il ne savait même pas s'il aimait réellement sucer des queues, et pourtant il le faisait souvent et prenait beaucoup de paisir avec certaines personnes... Quand à mettre sa langue entre les fesses, ça n'avait certainement rien à voir avec bouffer une chatte, mais au moins il avait un peu d'agilité avec sa langue. « Je... je sais bien utiliser ma langue » il sortit même, se disant que ça la convaincrait peut-être qu'il en valait le coup, et que c'était plus plaisant d'aller dans ce sens-là, plutôt que de le frapper jusqu'à ce qu'il perde connaissance. « Tu peux t'asseoir sur mon visage si tu veux, je m'appliquerai » il lui dit, se tortillant un tout petit peu, sentant son sexe gonfler en imaginant qu'elle vienne l'étouffer ainsi, maintenir sa tête entre ses cuisses et l'utiliser pour son plaisir. Il pensait vraiment être un bon partenaire, ou du moins, un bon jouet. Il avait couché avec beaucoup de gens, savait s'aventurer comme il le fallait avec chacun pour trouver ce qui faisait du bien. Même si jamais encore il n'avait fait ça avec une fille, Erwan pensait vraiment pouvoir assurer. Et surtout, il voulait sortir d'ici au plus vite.

C’est avec surprise que je remarquai que le jeune homme avait une réaction physique à notre contact. J’avais d’abord tenté la violence mais il en restait toujours avec son idée qu’on baise tous les deux. Ça me semblait terriblement stupide de le faire mais en voyant de mes propres yeux son érection, je me disais que peut-être, il y avait quelque chose à faire avec ça. Je continuais à lui donner des ordres, qu’il écoutait généralement bien. Je me demandais si c’était parce qu’il avait peur… ou bien parce que dans le fond, il aimait ça le petit cochon! Ou les deux? Va savoir! Je lui demandai s’il avait déjà bouffer une chatte, sa réponse fut négative, naturellement, mais il restait toutefois bien positif tant qu’à ses compétences. « Ouais, tu dois bouffer des culs toi dans ton petit string surtout! » dis-je en riant un peu. Il avait l’air d’un petit timide coincé mais bon, on disait parfois que c’était les plus pervers sexuellement parlant. D’ailleurs, ce dernier me fit une proposition assez surprenante, il avait le langage aussi coloré que moi car il me demandait de m’asseoir sur son visage. Je haussai alors les sourcils. « Si je veux? » répétais-je en riant tout en haussant les sourcils. C’était pas comme si j’avais réellement le choix. Je pensais en premier lieu qu’on allait pas pouvoir baiser, malgré qu’il semblait bien confiant, car monsieur avait tout d’un mec qui aimait se mettre dans le cul et puis rien d’autre. Mais là, à le voir durcir alors que je me trouvais par-dessus lui à l’humilier sans cesse, ça me donnait de petites idées. J’en avais vu passer des gars et des soumis comme lui, ils étaient assez faciles à reconnaître, disons-le. je me redressai un peu, de sorte de retirer ma petite culotte sous ma jupe et la balancer plus loin. « Vois ça comme un test. » Si je voyais qu’il assurait bien, on allait peut-être pouvoir passer à autre chose mais dans le cas où je voyais que je perdais mon temps, j’allais très certainement lui en foutre une - et plusieurs - au visage. C’était plus un problème pour moi d’utiliser trop de violence. Je me remis à genoux mais cette fois au-dessus de son visage, posant mon sexe au niveau de sa bouche, tenant fermement ses cheveux de l’une de mes mains. Je sentis sa langue sortir timidement de sa bouche, venant sculpter mes lèvres avant de rejoindre mon clitoris et y donner de petits coups constants. Mes sourcils se froncèrent, agréablement surprise par la sensation...

Il avait tout de même pas mal d'entraînement. Bon, pas avec les femmes, mais il savait contenter quelqu'un, et d'ailleurs, même chez les hommes, le plaisir venait de façons différentes pour chacun, et ça variait en fonction des personnes. Il y avait une base, mais tout variait ensuite, il fallait s'adapter. Alors, il se disait qu'avec une femme, ce serait pareil. Voilà pourquoi il était prêt à se lancer là-dedans sans trop de craintes. Il allait assurer, il espérait fort. « Ouais, tu dois bouffer des culs toi dans ton petit string surtout! » C'était partiellement vrai. Disons que ça lui était arrivé, qu'il aimait assez ça, surtout avec Chris, mais rares étaient les clients qui le lui demandaient. A vrai dire, sa clientèle était plutôt du genre à sa charger de son cul à lui, peut-être pas avec la bouche... mais autrement. Ca n'empêchait pas que certains aiment s'asseoir sur sa tête et se faire pomper l'anus. Mais bon. De toute façon, il se sentit tout petit face à cette jeune femme qui visiblement riait un peu de lui. C'était gênant, humiliant même, et ça avait le don de le faire bander. Du coup, il l'invita à s'installer sur son visage, mais seulement si elle en avait envie. « Si je veux? » elle releva. Elle était amusée par sa façon de parler peut-être ? En tous cas, elle riait. « Hummm oui je... c'est important... d'être euh consentant » il lâcha maladroitement, sans savoir où il allait avec sa phrase. Disons que ce n'était pas un sujet qu'il abordait souvent dans sa vie de tous les jours. Sa façon de faire le sexe quotidiennement, ça n'avait rien à voir. Ici, il ne travaillait pas, la jeune femme n'était pas une cliente... C'était différent. Enfin, il avait exposé sa vision des choses, maintenant c'était à elle de prendre une décision. Elle se débarrassa de son sous-vêtement, et il comprit avec ça que ça allait arriver. Wow, ok. « Vois ça comme un test. » Okay okay okaaaaay. Ca ne devait pas être siiiii compliqué. Il se rassurait comme il pouvait, mais bon, en tant que pute, il avait vu tout un tas d'entre-jambes, et c'était peut-être un peu différent, mais il allait trouver le chemin. Elle se mit au-dessus de son visage et il faisait bien sombre tout à coup, et tout ce qu'il voyait était... eh bien... c'était inconnu mais assez ressemblant à ce qu'il avait pu apprendre à l'école. Un coup d'oeil rapide, et il localisait à peu près ce qu'il fallait. Vu d'ici, ça avait l'air un peu menaçant, mais bon, il avait eu bien pire que ça au-dessus de sa tête ! Elle fut bientôt à son niveau, avec une main tenant fermement ses cheveux, ce qui excitait un peu Erwan, malgré le petit coup de stress, et il se décida à sortir sa langue, pour aller faire la rencontre de la chair qui se trouvait là. Le goût était intense, et la texture étrange. Ca faisait beaucoup de peau en tous cas. Il remonta vers ce qui semblait être le petit point magique dont il avait entendu parler... Et... il avait bien l'impression que ça plaisait à la jeune femme ! Il se félicita mentalement et s'encouragea du coup pour continuer sur cette voie, puisque c'était la bonne. Se faisant un peu aventureux, il varia les coups de langue et la façon de s'occuper d'elle, réagissant aux signaux que lui envoyait le corps qui le surplombait. Il prit un petit peu d'assurance et trouva quelques façons de lui faire plaisir, et pendant ce temps là, il se sentait bander encore. La jeune femme lui tirait les cheveux et il peinait un peu à respirer, à moitié asphyxié là-dessous. Une de ses mains glissa timidement vers son propre sexe pour se toucher un peu, se prenant en main pour faire quelques gestes lents, mais continuant bien à se concentrer sur le sexe de la blonde, gémissant parfois alors qu'elle écrasait son intimité contre son visage, l'empêchant de respirer. C'était bizarrement excitant de se faire utiliser de cette manière.