Don't know what to say to you now, standing right in front of you. :: sujets et autres
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# )Sujet: Re: Don't know what to say to you now, standing right in front of you. |
Mar 3 Avr - 0:43 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Je m’étais surprise moi-même à non seulement embrasser Matthew à lui laisser sous-entendre que je n’étais peut-être pas contre finalement, d’essayer un truc avec lui. J’y avais pensé longtemps oui… mais je ne pensais pas honnêtement être capable de lui en faire part. Pas que j’avais peur… ok oui en fait, j’avais un peu peur mais disons que c’était beaucoup de méfiance à son égard. Jamais après lui, j’avais fais confiance à qui que ce soit, je voulais pas avoir mal, c’était arrivé assez souvent. Mais encore une fois, j’avais été prise au piège par le même gars, comme quoi mon coeur était genre programmé pour l’aimer juste lui, je sais pas trop. J’étais tellement confuse et naturellement, la surprise de mon ex se fit remarquer. Il voulait savoir si j’étais sérieuse, je levai les yeux au ciel. « Non c’est une joke… est plate hein? » répondis-je, ironiquement. Ça serait pas mal moyen de ma part de faire ça, mettons. Ce dernier se mit à sourire comme un débile, c’était un peu difficile de ne pas sourire à mon tour. Il voulait plus d’explication. « Bin, disons qu’après notre conversation j’ai découvert que j’étais capable de ressentir des émotions, j’ai pas trop aimé ça donc j’me suis dis que ça devait bien dire quelque chose pour une personne frette comme moi, non? Pis ça me manquait de te traiter de con continuellement, j’avoue. » C’était un peu ma manière à moi de lui dire que j’avais eu de la peine et qu’il m’avait manqué. Ça, il l’avait comprit puisqu’il s’empressa de m’embrasser beaucoup plus longuement, baiser que je lui rendis, bien évidemment. Ça faisait du bien dans tout le corps. Matt mentionna par la suite qu’il n’allait pas avoir besoin de camoufler l’horrible tatouage que je lui avais fait sur le pectoral. « Aaaah, ça tu sais… t’es vraiment pas obligé de le garder, c’est pas l’oeuvre d’art du siècle hein! » Je lui avais barboué ça tout croche bien gelée et saoule mais bon, la signification derrière tout ça devait bien lui plaire au final, il faisait bien ce qu’il voulait hein : son corps, ses choix. Et de toute manière, il avait jamais été le meilleur pour prendre les bonnes décisions. D’ailleurs, le fait d’être en relation avec moi en était très probablement une et je cachais pas le tout, ça semblait pas le déranger vraiment. En attendant, il était bien heureux et… moi aussi je pense bien. Monsieur voulait fêter ça mais ne savait pas trop comment. « Honnêtement, j’ai vraiment besoin d'une bière.» Je m’en moquais bien de boire, j’allais pas le garder le bébé. Et puis, je voulais justement plus penser à tout ça. J’avais eu le temps de faire passer la pilule un peu et de me dire que c’était pas la fin du monde pour autant. J’allais me rendre dans une clinique, on allait m’aspirer le foetus et ça allait être terminé. On se leva donc du lit pour se rendre à la cuisine, naturellement qu’il avait de la bière, c’était pas mal juste ça qu’il avait dans son frigo, en fait. Je pris place sur le comptoir pendant qu’il s’occupait d’en ouvrir deux et s’approcha pour m’en donner une. Je le remerciai d’un sourire en cognant ma bouteille contre la sienne, apportant le tout à ma bouche en le regardant. C’était froid et ça faisait du bien pour faire passer l’émotion. Matt déposa sa bière sur le comptoir à mes côtés pour venir entre mes jambes et déposer un baiser sur ma joue puis jusqu’à mon cou, me faisant sourire pendant que je buvais une autre gorgée. Je libérai mes mains à mon tour avant de prendre son visage et l’embrasser sur les lèvres, laissant mes mains se frayer un chemin le long de son dos jusqu’à ses fesses dans son pantalon que j’empoignai à l’intérieur de son boxer. Je le sentis sourire contre mes lèvres et j’en fis de même avant d’ouvrir les yeux pour croiser son regard. C’était cool comme moment. J’enlevai bien entendu mes mains baladeuses pour les enrouler autour de son cou. « Quand j’ai déserté il y a deux semaines là… j’étais en Caroline du Sud avec ma mère. Six mois après qu’on soit emménagé là-bas après le divorce de mes parents, elle a fait un AVC. Les lésions formées à son cerveau ont paralysé la majeure partie de son corps et elle arrive à peine à parler. On peut plus vraiment parler elle et moi mais je vois bien dans ses yeux que ça lui fait plaisir quand je passe la voir. J’ai passé les dernières années avec elle mais quand j’ai eu la possibilité d’ouvrir ma maison de disque ici, j’ai sauté sur l’occasion de revenir. Je sais que c’est ce qu’elle voulait que je fasse. » Je venais de lui avouer tout ça, personne à part Joe savait ça en fait. Même pas mon père, même pas mon frère. Mais je me disais que si je voulais lui laisser de la place dans ma vie, je devais parler un peu plus de moi, non? Et puis comme ça, il allait comprendre un peu ce que j’avais fais là-bas, alors qu’il m’avait cru disparue. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Mer 4 Avr - 4:18 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
J'avais du mal à croire ce que je vivais en ce moment. Emma acceptait qu'on officialise notre relation tous les deux. C'était encore un peu surréel pour moi. Je me demandais d'ailleurs si ce n'était pas son état de vulnérabilité qui ne l'avait pas fait fléchir là-dessus. Après tout, cela faisait quand même 2 semaines que nous nous étions pas vraiment adressés à la parole. Ou bien c'était aussi les hormones de grossesse. J'y connaissais rien en fait. J'osais espérer que c'était vraiment ce qu'elle voulait au fond d'elle, car moi j'avais envie qu'on y plonge tous les deux, même si tout ça était effrayant et inconnu. Pis c'était pas vrai que j'avais l'intention de lui briser le coeur une autre fois. Curieux, je demandai quelques explications de ma belle. « Bin, disons qu’après notre conversation j’ai découvert que j’étais capable de ressentir des émotions, j’ai pas trop aimé ça donc j’me suis dis que ça devait bien dire quelque chose pour une personne frette comme moi, non? Pis ça me manquait de te traiter de con continuellement, j’avoue. » Je souris quand elle mentionna le fait qu'elle s'ennuyait de me traiter de con. C'était vrai qu'elle le faisait continuellement. Ça me dérangeait tellement pas, car je savais qu'elle aimait que j'agisse de la sorte. Cette fille là était faite pour moi, je le savais. Je savais également que sous cette carapace épaisse, elle était capable d'avoir des émotions. Ensemble, elle était elle-même. - Nonnn... attention trop d'émotions engendre le fait que tu deviennes plus humaine. T'es une petite émotive Emma... ça sert à rien de me le cacher ou de tout refouler. Jamais elle l'avouerait, mais je savais très bien que sous sa couche de commentaires désobligeants et son attitude de dure à cuire, elle était quelqu'un de bien normale. Je ne savais pas trop ce qu'elle avait vécu pour qu'elle se protège de la sorte, mais il était clair qu'elle jouait un personnage. Avec moi je sentais que c'était différent. J'avais vu la vraie Emma à plusieurs reprises. En ce moment, elle était simplement elle. Je lui fis part que finalement je n'avais aucune raison valable de faire disparaître le tatouage qu'elle m'avait fait sur le pectoral. Je m'en foutais un peu qu'il était pas sur la coche. De toute façon, mon poil le cachait en bonne partie. Ça ne pressait pas pour le couvrir. Pour le moment, il me faisait penser à Emma, donc je pouvais bien le garder plus longtemps. Je proposai de fêter notre union officielle, mais je ne savais pas trop ce qu'elle voulait faire au bout du compte. « Honnêtement, j’ai vraiment besoin d'une bière.» Je la regardai un peu étonné de cette annonce. Bon elle était enceinte, mais une seule bière ne devait pas faire trop de mal. Et puis, si elle le gardait pas au bout du compte...elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait. Elle m'avait pas demandé de faire une ligne de coke non plus. Je l'aidai donc à se relever et à sortir de mon lit. Nous allâmes dans la cuisine là où j'ouvris le frigo pour nous sortir deux bières. Je les ouvris une après l'autre avant d'en tendre une à ma nouvelle petite amie. Ça me faisait drôle d'ailleurs de penser à ça. Nous trinquâmes tout sourire avant de prendre une gorgée de cette bière bien froide. Je vins vers elle pour lui embrasser sa joue et son cou. Puis, elle m'embrassa, se fraya un chemin jusqu'à mes fesses pour bien les empoigner. Cela me fit sourire contre ses lèvres. Nous nous regardâmes dans les yeux, espiègles. Les mains d'Emma vinrent finalement s'enrouler autour de mon cou. Wow c'était sexy comme moment. Contre toute attente, Emma se confia à moi.« Quand j’ai déserté il y a deux semaines là… j’étais en Caroline du Sud avec ma mère. Six mois après qu’on soit emménagé là-bas après le divorce de mes parents, elle a fait un AVC. Les lésions formées à son cerveau ont paralysé la majeure partie de son corps et elle arrive à peine à parler. On peut plus vraiment parler elle et moi mais je vois bien dans ses yeux que ça lui fait plaisir quand je passe la voir. J’ai passé les dernières années avec elle mais quand j’ai eu la possibilité d’ouvrir ma maison de disque ici, j’ai sauté sur l’occasion de revenir. Je sais que c’est ce qu’elle voulait que je fasse. » Elle m'avait déballé le tout avec un sérieux sans bon sang. J'arrivais pas à croire ce qu'elle me disait. Je trouvais bien triste la situation de sa mère. Je pouvais comprendre qu'elle avait été la voir. Je réalisais bien gros que j'avais été assez connard merci en croyant qu'elle avait été retrouver se vieux débris de pervers d'Alexander sur son yacht. En même temps, je pouvais pas savoir. Elle ne m'avait rien dit. Emma devait avoir beaucoup de peine pour sa mère. La situation était assez triste merci. - Wow...ok...j'ai vraiment été un gros salaud pour ce que je t'ai reproché l'autre soir. Avoir su... excuse-moi! Ça ne justifiait pas tant non plus qu'elle m'ait ignoré toute une semaine. Je trouvais quand même ça beau qu'elle accepte de me partager ce secret assez personnel sur sa vie. En fait, je ne connaissais pas grand chose sur Emma. C'était toujours nébuleux ou elle évitait le sujet. Je ne demandais que ça d'en apprendre plus. Faut dire qu'elle ne posait pas non plus trop de questions sur ma vie personnelle, mais bon... j'essayais de lui répondre assez honnêtement. Je n'avais pas dévoilé ma bisexualité curieuse encore à ma copine. C'était pas trop le moment...mais je comptais bien de lui en faire part... - Pourquoi tu ne fais pas ramener ta mère à Miami ? Tu pourrais la voir plus souvent et veiller à ce qu'elle ait de bons soins... non ? À mon avis, ils pouvaient bien se le permettre financièrement. Je ne connaissais pas le revenue d'Emma, mais j'osais croire qu'elle était assez bien nanti. Je caressai la nuque de ma belle blonde avant de l'embrasser de nouveau. Le sujet était assez lourd et pas très festif... je préférais changer de sujet pour le moment. Déjà que la grossesse nous démoralisait. Y'avait que la naissance de notre couple qui était super ! Je pris une gorgée de ma bière. - T'emménages quand au juste ? dis-je alors avec un demi-sourire. Bien sûr c'était une blague ! J'étais loin d'être prêt à partager le même logement avec ma copine. En plus que mon 3 et demi était assez petit. Emma méritait quand même mieux. Son appartement à elle était beaucoup mieux.... mieux situé et beaucoup plus actuel et à la mode. Je voulais quand même rester dans mes affaires. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Mer 4 Avr - 6:00 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Naturellement, Matt cherchait des réponses à ce qui m’avait fait changer d’idées concernant nous-deux. En fait, en mettant les pieds ici plus tôt je n’aurais jamais pensé que les choses se seraient passées ainsi mais disons que je m’étais laissé aller dans tout ça et fallait pas se voiler la face non plus, comment je m’étais sentie suite à son départ de chez moi il y a de ça, plusieurs jours maintenant, me prouvait que je tenais plus à lui que je n’avais voulu me l’avouer moi-même. Eh voilà, il suffisait d’un petit échange pour convenir qu’on essayait d’être quelque chose tous les deux. Ça faisait bizarre, et puis monsieur se mit à dire n’importe quoi comme quoi j’étais une petite émotive et tout. Je lui ramassai un coup sur le bras en levant les yeux au ciel.« Pousse mais pousse égal là! Abuse pas! » J’étais quand même beaucoup moins émotive que la majorité des gens que je connaissais. C’était à se demander parfois si j’étais pas sociopathe ou je sais pas trop quoi. Bon ok, j’irais pas jusque là mais quand même… Disons qu’on avait tous nos problèmes hein! Bref, Matt voulait savoir ce que je désirais faire maintenant et je dirais pas non à me changer les idées de la grande émotion qu’on venait de vivre. En fait, j’avais déjà envie de passer à autre chose, ma décision était prise, bien malgré que ce n’était pas encore fait, je ne me voyais pas changer d’avis de toute façon. Je demandai donc au beau musicien une bonne bière et c’est cette demande qui nous conduit jusqu’à la cuisine où rapidement après avoir reçu mon doux réconfort, on en profita pour se coller un peu, s’affectionner l’un l’autre comme… le couple qu’on tentait d’être? Je jugeai bon le moment pour répondre un peu à ce que je n’avais pas été capable de faire la dernière fois. Disons que je me reprenais pas mal aujourd’hui! La surprise se fit voir sur son visage et rapidement, il s’excusa car il se sentait mal. « Non arrête donc de t’excuser pour rien! Tu savais pas, tu pouvais pas savoir. J’aurais pu être n’importe où, avec n’importe qui… » Je me demandais s’il avait pensé que j’avais décidé de me taper un voyage en tête à tête avec un autre gars, s’il n’y avait pas eu un peu de jalousie dans sa réaction… peut-être bien et maintenant que je savais ses sentiments pour moi, c’était justifié. Bref, ça venait d’être un gros pas pour moi de lui confier tout ça, c’était peut-être pas un secret mais c’était pas des détails de ma vie que j’aimais raconté. Je n’avais pas honte de ma mère mais ça avait le don de me rendre émotive et me rendre dans un pareil état devant les gens, c’était pas ce que je cherchais à tout prix, mettons. « Je sais pas trop, le centre où elle est est vraiment bien et elle connaît bien le personnel. Je voudrais pas la troubler plus qu’il ne le faudrait par autant de changement. Il faudrait que je fasse mes recherches et que je vois avec elle ce qu’elle en pense. C’est certain que ça serait plus facile… » Je haussai les épaules en apportant ma bière à mes lèvres, l’air pensive. Un jour, Daniel allait devoir être au courant que sa mère n’était plus celle qu’elle était Bien qu’il la détestait tellement… ça me rendait encore plus frustrée d’ailleurs, lorsqu’il lui manquait de respect en sachant qu’elle était complètement immobile dans un fauteuil roulant à attendre que sa misérable vie se termine un jour. Ce fut gentil de la part de Matt de me sortir de mes pensées en venant m’embrasser, j’avais pas besoin de me faire plus de mal qu’il ne le fallait. Sa petite question sur l’emménagement me fit bien rire. « T’es tu malade, je vivrais jamais ici en 100 ans! » déclarais-je en secouant négativement la tête. Je savais bien qu’il me niaisait. Comme si on allait se faire des projets aussi sérieux après 30 minutes de “ok on peut peut-être devenir quelque chose de sérieux, ou du moins, essayer” ça serait pas mal intense de notre part et pour une fille qui pas plus tard qu’il y a deux heures, refusait toutes formes de relations sérieuses, j’avais pas trop envie de rentrer dans l’intensité. Je voulais vraiment que ça soit smooth. Je pris une gorgée de plus de ma bière avant de croiser son regard de nouveau et hausser les épaules. « Par contre, si t’as envies qu’on se commande une pizza et ensuite m’inviter à dormir ce soir, ça serait vraiment correct! Ça me dérangerait pas tant que ça, dis-je, un petit sourire sur le coin des lèvres. « T’es chanceux mon agenda est libre ce soir, tu devrais en profiter! » Disons que j’avais pas envie de partir, j’avais envie de continuer à passer du temps avec lui. Naturellement, c’était pas quelque chose que j’allais dire bien ouvertement comme ça mais encore une fois, c’était quand même assez facile de deviner que c’était bien le cas. Mon petit-ami? Wow, bizarre! Prit son téléphone pour s’occuper de nous appeler le repas et par la suite, sans ajouter quoi que ce soit, il me souleva de sur le comptoir, enroulant mes jambes autour de son corps pour me transporter ainsi jusqu’au salon où il me fit tomber sur le canapé avant de s’installer à mes côtés tout en enroulant son bras autour de mes épaules tout en venant déposer un baiser sur ma joue, puis un deuxième. Je le savais lover et affectueux, mais pas à ce point! Faut croire qu’il s’était retenu auparavant. Je ne pensais pas avoir déjà reçu autant d’affection en si peu de temps depuis très longtemps. J’étais encore un peu ébranlée mais je me disais que j’allais probablement m’habituer un bon jour? « Je suis curieuse… t’as su quand? » lui demandais-je en tournant la tête vers lui en tentant d’être plus précise. « Que tu voulais essayer quelque chose de plus sérieux entre nous deux. » Il m’avait un peu posé la même question plus tôt. C’était à mon tour maintenant. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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# )Sujet: Re: Don't know what to say to you now, standing right in front of you. |
Sam 7 Avr - 4:11 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Emma m'avait avoué quelque chose sur elle qu'elle ne m'avait jamais dit auparavant. Jamais je n'aurais cru que sa mère avait autant des soucis de santé. Je trouvais ça assez triste en fait. La mienne était en pleine santé et je ne savais pas trop ce que je ferais si ça lui arrivait. Je serais complètement dévasté, ça c'était certain. Je demandais pourquoi elle ne faisait pas en sorte qu'elle reçoive des soins à Miami, comme cela Emma pourrait la voir plus souvent. Peut-être qu'elle n'y avait jamais pensé même puisqu'elle me répondit qu'elle allait faire des recherches pour voir si c'était possible. En même temps, ce serait assez profitable pour les deux. Je me demandais bien si le reste de sa famille était au courant. Emma était assez mystérieuse sur sa vie privée que ça ne m'étonnerait pas que personne ne sache rien. Puis, voulant détendre l'atmosphère, je lui demandai quand est-ce qu'elle emménageait avec moi. Bien sûr c'était une blague, j'étais pas rendu là du tout. « T’es tu malade, je vivrais jamais ici en 100 ans! » - Attention tu vas vexé mon chat! Le pauvre ! Cela me faisait bien rire. Je savais bien que mon appartement était pas très au top. J'avais juste les moyens pour me payer ça pour le moment. C'était bien suffisant. J'y étais pas souvent de toute façon. « Par contre, si t’as envies qu’on se commande une pizza et ensuite m’inviter à dormir ce soir, ça serait vraiment correct! Ça me dérangerait pas tant que ça. T’es chanceux mon agenda est libre ce soir, tu devrais en profiter! » Cela me faisait sourire. J'aimais bien cette proposition qu'elle reste à dormir chez moi. C'était bien rare d'ailleurs que l'on dormait ensemble. Quoique pour ça, peut-être qu'elle m'enverrait dormir sur la canapé, ça restait à voir. - Woww ! Oui je suis chanceux ! Si la demoiselle veut une pizza, elle aura un pizza. Pis c'est gratuit pour la nuit ! T'as une fournaise qui peut dormir collé à toi aussi ! Juste cette idée de dormir avec elle me rendait assez heureux. Bon, il y aurait sûrement pas de sexe, mais quand même y'avait pas que ça non plus...non ? J'osais croire que oui. C'était un peu nouveau tout ça. Et pourtant... je ne voyais pas ce que je pouvais faire de différent à d'habitude. C'était juste que là j'avais des petits papillons dans l'estomac. Un sentiment que je n'avais jamais ressenti. C'était tout bizarre. Je sortis donc mon téléphone de ma poche pour appeler chez Pizza Taxi. Ils avaient de la bonne pizza. Je commandai le tout avec une frite et du coke. Lorsque je raccrochai, je soulevai ma copine sur le comptoir pour qu'elle enroule bien ses jambes autour de mes jambes. Par la suite je la transportai jusqu'au salon. Je l'embrassai à quelques reprises lorsque je la déposai sur le divan. J'étais dont heureux qu'elle soit avec moi ce soir. «Je suis curieuse… t’as su quand? » lui demandais-je en tournant la tête vers lui en tentant d’être plus précise.« Que tu voulais essayer quelque chose de plus sérieux entre nous deux. » Je ne m'attendais pas à une telle question. Je ne pouvais pas répondre réellement à cette question. J'avais toujours eu le béguin pour elle. Que ça soit au lycée ou maintenant quand je l'avais revu. Je pouvais pas non plus dire quand est-ce que mes sentiments m'avaient vraiment convaincus de faire le saut. C'était pas très clair... - Même si tu me détestais, tu m'as tombé dans l'oeil le soir où t'es apparue pour voir jouer notre band. C'est le plus beau des hasards. Puis, je dirais que ça s'est concrétisé par petits moments... la visite de Kat Von D à son salon, lorsque tu m'as offert une guitare, le soir où je t'ai invité dans ce resto de riche de crève-faim, New-York... Je suis tombé sous ton charme. dis-je alors en jouant des sourcils. J'osais croire que c'était pareil de son côté. Bien sûr, on avait souvent des différends, mais ça n'empêchait pas de toujours replonger dans les bras de l'autre quelques instants après. En tout cas, c'était pas mal toujours comme ça. Je savais pas où ça nous mènerait tout ça, mais je voulais quand même tenter le jeu. - Je sais pas comment je vais annoncer ça à mes parents et à mes amis... Ils vont perdre connaissances, dis-je ne riant. Pour eux je suis un cas désespéré..... Mes parents vont vouloir te rencontrer.... Pis ils vont se rendre compte qu'ils te connaissent ! Ayoye les questionnements. J'appréhendais tout ça, mais je me disais bien que c'était pas obligé d'être dit tout de suite non plus. J'allais attendre un peu de toute façon. J'étais pas trop du genre à dévoiler ma vie privé sauf à mes potes. Et même aujourd'hui, je n'avais pas dit grand chose sur ce qui se passait entre Emma et moi. Je ne voulais pas refaire la même erreur deux fois. Quel connard j'avais été... - On jase pour jaser là, tu penses que je vais pouvoir rencontrer ton père un jour ? Ou bien ta mère ? Même si elle est pas trop en état... Je les avais jamais vu ! J'avais jamais rencontré ses parents, c'était dingue quand même. Seulement son frère que j'avais déjà croisé 1 ou 2 fois. Il ne m'aimait pas ben ben. J'osais pas trop penser faire une rencontre avec lui. Je doutais que ça ait changé. J'avais quand même entaché la réputation de sa p'tite soeur. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Sam 7 Avr - 7:14 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
« Une fournaise qui va très certainement finir par crisser le camp en bas du lit à force de me ronfler dans les oreilles, ouais! » Le pire dans tout ça c’est que ça lui dérangeait même pas que je le pousse ainsi. C’était même lui qui me disait de le faire. Il dormait tellement dur qu’il se rendait jamais compte de rien. C’était limite dangereux son sommeil, il pourrait y avoir le feu que monsieur serait encore couché, la bouche grande ouverte à faire le tracteur. Bon, à bien y penser, je savais pas trop si j’avais envie de rester finalement… mais à y voir la belle face souriante, mon petit doute décida d’aller se promener plus loin pour plus revenir. Je comprenais pas trop ce qui se passait entre nous deux présentement, mais ça me faisait sentir bien et c’était en plein ce que j’avais de besoin. Après avoir appelé la pizza, Matt revint vers moi pour me soulever dans ses bras et me transporter jusqu’au salon, sur le canapé afin de m’embrasser bien tendrement. Il était tellement affectueux, j’allais devoir m’habituer à tout ça. Puis, alors qu’on était là… l’un contre à l’autre ma curiosité prit le dessus et je le questionnai à propos de quand il avait su qu’il voulait être avec moi. Il se mit à ramener plusieurs souvenirs de la dernière année… parce que oui, ça faisait déjà plus d’un an qu’on s’était revenu pour la première fois après de nombreuses années. Il avait tellement raison de dire qu’un début, je le détestais… et même encore aujourd’hui, je le détestais encore mais c’était différent. Je le détestais surtout d’être terriblement sexy et me rendre toute faible à son égard. Disons que l’enjeu n'était pas le même. Je le regardai, un petit sourire sur le coin des lèvres.« On peut dire que t’es quand même un peu masochiste de t’intéresser à une fille qui t’insulte plus qu’autre chose! » J’imagine qu’il voyait mes bons côtés, c’était le cas de peu de gens. « Mais ça me dérange pas vraiment que tu le sois! » Je m’étais mise à jouer un peu avec sa main, ses doigts avec les miens. J’étais peut-être pas aussi affectueuse, démonstrative que lui mais disons que j’étais encore tellement sous le choc de la situation que j’avais du mal à me laisser aller complètement. Je ne m’étais pas préparée à m’embarquer dans une relation même si j’avais pas envie de regretter quoi que ce soit. Je savais au fond que je l’aimais Matt… et encore là, c’était pas la première fois que je le pensais de cette façon. J’étais d’ailleurs perturbée par tout ça et ça n’allait pas particulièrement mieux lorsque Matt se mit à me parler de sa famille, de ses amis… il me niaisait là de parler de tout ça comment? Je décidai de pas trop rentrer dans la conversation, je préférais pas trop y donner d’importance, c’était beaucoup trop rapide pour moi. « C’est pas parce que je suis là que t’es plus un cas désespéré tsé! » lâchais-je pour changer un peu la conversation vers une blague. Mais ça ne changea pas grand chose puisque mon copain me demanda maintenant si c’était possible un jour de rencontrer mes parents. Sur quelle planète il vivait là? Était-il tombé sur la tête? Qu’est-ce qui se passait avec lui présentement? Il avait besoin de se faire brasser un peu le coco pour lui remettre le sens à la réalité en face. « Ok là woh… pèse sur le break tout de suite! » dis-je en me redressant un peu tout en lâchant sa main. « C’est quoi là? Tu veux savoir comment je veux appeler mes enfants et quel genre de robe je veux à notre mariage? Calme-toi! » Je lui fis de gros yeux, il allait me faire capoter là à être aussi intense. C’était fou à quel point je le pensais pas comme ça. Lui qui disait ne jamais s’attacher, ne pas vouloir de relation sérieuse car il était d’une nullité là-dedans… là j’avais plus l’impression de sortir avec une petite gamine de 16 ans qui rêvassait de son conte de fées. « Pas plus tard qu’il y a trois heures, tu étais en train de t’acheter des capotes pour baiser tes groupies et hier, je suis pas mal certaine que les deux on pensait plus jamais se revoir à poil l’un l’autre… donc on peut y aller molo, juste profiter du moment et ne pas penser aux formalités ? » C’était cool, il était content au point où il voulait me présenter ses parents mais moi… je connaissais pas trop ça les belles familles. La seule que j’avais connu c’était les Sanders mais encore là, ça faisait 10 ans de toute ça. J’étais plus la même depuis, plus du tout. Au moins, il semblait pas trop mal le prendre. Nous connaissant, la situation aurait très bien pu se terminer aussi vite que moi qui quitte en claquant la porte, adieu les projets de dodos et de pizzas. C’était pas trop ce que je voulais... « En attendant j’espère que tu sais ce que ça implique de vouloir être avec moi? » lui lâchais-je en haussant les sourcils et en voyant son petit air perplexe, je m’approchai pour prendre place sur lui directement et venir frôler mes lèvres aux siennes. « Tu vas devoir gérer ma trop grande libido et être partant pour embarquer dans mes idées complètement folles. Ça te va? » chuchotais-je contre ses lèvres avant de venir capturer ces dernières pour l’embrasser bien intensément. Malgré tout tout… je pouvais dire que je ressentais une envie de lui. Quand je parlais de ma libido, même que rendu là, on pouvait parler de nymphomanie mais ça, c’était quelque chose qui allait rester entre mon medecin et moi, pour le moment. Puis, c’est à ce moment qu’on entendit : DING DONG… La pizza était là! Ok… ça nous sortait d’un moment de roulage de pelle à se dire des cochonneries assez solidement ça. Je me dégageai de sur Matt en soupirant pour le laisser se lever et aller répondre. Elle était mieux d'être bonne... dans le genre, plus délicieuse que d'avoir sa langue dans ma bouche. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Jeu 12 Avr - 3:25 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Ça me faisait réellement plaisir qu'Emma veuille rester pour la nuit. En même temps, je pouvais comprendre qu'elle était un peu perdue avec le fait qu'elle était enceinte et qu'elle allait sans doute se faire avorter. Ce devait tout de même être difficile comme décision. Si elle le faisait, j'allais tout de même me poser des questions à savoir si cela aurait été une fille ou un gars... comment il ou elle aurait évoluer dans notre monde... Il ne fallait pas trop que j'y pense. Je me voyais quand même mal être papa. Nous nous étions retrouvés sur le canapé collés comme des sardines à nous bécoter et à profiter du moment présent que tous les deux. Emma me trouvait pas mal maso que je m'intéresse à elle. En fait, il était vrai qu'elle m'insultait, mais je m'en foutais bien. Je ne savais pas trop pourquoi, mais j'avais le sentiment que c'était qu'une couverture à chaque fois que les insultes volaient. Il fallait croire que ça avait quand même fait en sorte de nous rapprocher. Puis, je me mis à parler de mes potes et de ma famille. Qu'ils allaient être en chocs de l'apprendre et avec raison. Je voulais surtout rencontrer la famille d'Emma, ce que je n'avais jamais pu faire... même durant le lycée. « C’est quoi là? Tu veux savoir comment je veux appeler mes enfants et quel genre de robe je veux à notre mariage? Calme-toi! » Elle semblait totalement paniquée à l'idée de tout ça. Je savais que j'avais peut-être un peu trop dépasser les bornes en précipitant tout ça...mais bon je disais pas que ça allait se faire demain matin non plus. C'était quand même une éventualité qu'il fallait considérer non ? Mais je pouvais comprendre que c'était beaucoup trop tôt. J'étais pas plus prêt à rencontrer sa famille non plus. Il devait être imposant son père en plus. Ma blonde me fit remarquer que pas plus tard que 3h je m'achetais des condoms et qu'on était pas mal certains qu'on allait pas se revoir. Elle voulait qu'on prenne notre temps et c'était okay avec moi. - Non non... je sais ça presse pas ! T'inquiète pas ! J'suis pas plus prêt que tu l'es... crois-moi ! J'voulais pas te faire peur. C'était juste que je connais pas grand chose de toi. Ça avait été con de ma part de lancer ça, mais on aurait dit que je ne savais pas trop comment gérer le fait que j'étais en couple. C'était beaucoup pour moi et sans doute aussi pour Emma. Il allait falloir y aller tranquillement pour pas qu'on se brûle tous les deux. « En attendant j’espère que tu sais ce que ça implique de vouloir être avec moi? » Dit-elle en se rapprochant de moi pour frôler ses lèvres contre les miennes. J'étais un peu perplexe par la suite des choses. « Tu vas devoir gérer ma trop grande libido et être partant pour embarquer dans mes idées complètement folles. Ça te va? » dit-elle en susurrant le tout. Bien sûr le tout m'alluma énormément. Fallait pas se leurrer, on était tous les deux avec une grosse libido. Moi j'étais prêt n'importe quand et n'importe où. Emma avait juste à me dire un truc cochon ou pire encore, juste me lancer un regard qui laissait sous-entendre la chose et le drapeau était déjà levé. Alors que j'étais en train de chauffer en frenchant ma copine, la sonnette se fit entendre. Merde ! Ça devenait justement intéressant nous deux. Je voulais bien manger de la pizza alors j'allai ouvrir pour prendre notre commande et la payer. Je déposai le tout sur la table. - Le dîner est servie ! Ce soir je te paie de la grosse gastronomie ! On ne se fit pas trop prier en attaquant la pizza et la frite. J'aimais bien la simplicité d'Emma. Elle avait pourtant l'habitude de côtoyer des mecs avec un tas de frics, mais au bout du compte, c'était avec moi qu'elle avait envie d'être. Je trouvais ça tout de même wow... Je devais être dont ben spécial pour elle. Alors que j'étais rendu à ma troisième pointe de pizza, j'me risquai quand même de parler à ce sujet. - Tu sais par contre que j'peux pas tout t'offrir ce que tu mériterais...ça me fait chier un peu disons. Mon salon va bien, mais encore instable au niveau des clients. Ça me dérangeait pas tant qu'elle faisait plus d'argent que moi, voire genre vraiment beaucoup plus que moi, mais quand même, l'orgueil mâle était là. Je ne connaissais pas les finances de ma copine, mais je savais qu'elle avait beaucoup plus que moi les moyens. Comme de raison Emma voulu me dire qu'elle s'en fichait bien de tout ça. Peut-être maintenant, mais je me doutais bien que ça allait ressortir un jour. Nous n'étions pas du tout dans la même classe sociale. Enfin, l'important était le moment présent non ? Nous étions bien tous les deux en ce moment et c'était l'important. Nous finîmes de manger! Je laissai tout les restes là pour le moment avant qu'on ne retourne se coller un peu sur le divan. Je me mis à lui masser les épaules, le dos et à lui couvrir de baisers à la nuque en même temps. Ça ne semblait pas déplaire à ma belle. - Tu veux qu'on fasse quoi avant d'aller au lit ? Un film ? Je ne parlai pas de coucher avec même si c'était pas l'envie qui manquait... mais bon, c'était peut-être pas son cas. Disons qu'en y repensant bien, le fait que je lui avais fait un enfant par accident me coupait un peu l'envie aussi. Valait peut-être mieux rester tranquillos.... pour une des râres fois. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Jeu 12 Avr - 4:23 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Ouais, j’avoue : il m’avait fait un peu paniquer en me parlant de rencontrer la famille l’un de l’autre. Je connaissais ses parents, ils étaient de bonnes personnes mais j’étais pas prête à des formalités comme ça. On était ensemble depuis deux heures, on pouvait pas prendre un peu notre temps? J’avais jamais été dans une relation et je savais même pas ce que ça impliquait donc j’avais besoin de prendre un peu mes repères et de me faire à l’idée de tout ça. Non pas que je me forçais à être avec lui, loin de là… jamais de je me ferais un truc pareil. Je l’aimais, Matt… vraiment beaucoup mais je restais moi… et j’étais un espèce de chat sauvage, voilà tout! Il savait dans quoi il s’embarquait. Et ça, ça impliquait aussi de devoir gérer ma grande libido et à voir de la manière dont il m’embrassait suite à mes propos, il était all in pour s’occuper de tout ça. L’espace d’un moment, j’aurais bien aimé qu’on se foutre à poil directement là, mais le livreur de pizza en avait choisi autrement! On se retrouva donc à la table à manger comme des gros porcs qui n’avait pas consommé de bouffe depuis 1 semaine et demi. C’était gras, c’était bon dans la gueule! Je pouvais pas demander mieux! Alors que je m’attaquais à la croûte, Matthew revint avec son sujet comme quoi il n’allait jamais pouvoir m’offrir le grand luxe. Je soupirai. « Pourquoi ça te fait chier autant? Je t’ai dit que j’en avais rien à faire de tout ça… arrête! J’ai pas envie de me faire couvrir d’or et de bijoux, ça m’intéresse pas du tout ce genre de vie. Si je fais mon métier Matt, c’est pas pour l’argent que ça implique, c’est parce que c’est ma passion. Je le ferais quand même pour le quart de ce que je gagne et que tu fasses la même chose de ton côté, c’est génial et encore mieux que si tu te faisais chier dans un bureau en veston à faire du 8 à 4. C’est une des choses que j’apprécie le plus chez toi donc moi c’est quand tu dis ça que ça me fait chier. » Je voulais qu’il arrête. Si je voulais quelque chose, j’allais me l’offrir… et de toute façon, je voulais jamais rien. Je m’habillais dans des magasins bien normaux, je faisais mon épicerie à la même place que tout le monde et mon appartement était oui, quand même plus beau que le sien mais ça n’avait rien qu’une grosse baraque comme en voyait sur le bord de la plage de Miami. Il n’y avait que ma voiture et mes voyages qui pouvait témoigner réellement de ma richesse, c’était pas mal tout! Suite à cette conversation, puis au repas, on se déplaça vers le salon où je me laissai masser les épaules. Honnêtement, c’était la première fois qu’on me faisait quelque chose du genre et c’était vraiment bon! J’en avais les yeux qui fermaient tout seuls… jusqu’à ce que mon copain prenne parole en me demandant ce que je voulais faire avant d’aller dormir, me proposant un film. Je soupirai. « Mmh… ou tu pourrais continuer à faire ça! » déclarais-je en lui parlant du fameux massage, ça détendait et ça faisait beaucoup de bien! « Je sais pas trop pour le film. J’ai l’impression que je vais tomber endormi comme une merde si on se tape un film, surtout après avoir mangé comme ça! Et clairement, te connaissant, ça sera la même chose pour toi. » J’avais jamais vu un gars qui s’endormait aussi vite. Surtout après avoir baisé, je pouvais comprendre le phénomène de l’endorphine au cerveau et tout… mais merde! Il avait le temps de dire deux mots qu’il ronflait! Un vrai papi épuisé… moi qui aimait les deuxièmes rounds! Bref, C’était tellement lourd ce qu’on avait mangé qu’avec un peu de noirceur à être allongée, c’était clair que j’allais tomber dans les bras de Morphée, mais si c’était ce que Matt voulait, arrêter de parler et finir par s’endormir, ça pouvait être une éventualité. Je me disais toutefois que quitte à dormir immédiatement, j’irais chez moi car le but c’était de passer du temps avec lui… consciente. Parce que clairement, c’était pas quand il dormait qu’il était la meilleure de compagnie, surprenament. « Matt? » Ce dernier posa ses beaux yeux bleus sur moi. « Y’a une chose que je vais te demander nous concernant, une promesse que je veux que tu me fasses… » Naturellement, il était intrigué. « Je veux jamais de promesse car je ne t’en ferai pas non plus. On a pas besoin de compliquer les choses et de vivre une déception au final. On garde ça simple ok? » Je voulais pas de belles promesses de futurs, de belles vie à deux et blablabla! Je voulais qu’on garde les pieds sur terre et qu’on s’ouvre à l’idée que ça n’allait peut-être pas marcher, que ça arrivait souvent ce genre de chose. Il m’avait déjà blessé une fois et oui, je mettais une certaine barrière pour ne pas que ça se reproduise. De son côté, il semblait très attaché à moi et je savais que mon amour pour l’indépendance allait probablement le blesser plus qu’une fois. Je voulais pas me montrer pessimiste mais bon, c’était pas mal un fait. Suite à mes propos, je me penchai pour venir déposer un long baiser sur ses lèvres, je voulais pas qu’on soit sur une mauvaise note, c’était pas ça le but. « Sinon...t’as dit que tu ne connaissais pas grand chose de moi… Y’a quelque chose que tu veux savoir à ce point que tu sais pas? » J’avais été surprise par son commentaire en faire car à mon avis, on connaissait quand même pas mal de chose l’un de chose, sans forcément s’être carrément posé des questions. Je trouvais ça tellement mieux comme ça : d’apprendre à connaître une personne avec le temps plutôt que précipiter les questions et tout. De toute façon, j’étais pas quelqu’un qui s’ouvrait facilement et la vie des autres m’intéressait rarement. Pourtant, je m’étais trouvé quand même assez ouverte à son égard et pas juste des cuisses! Il savait déjà beaucoup de moi de mon adolescence, de ma famille, de ma carrière, ma passion pour la musique et les voyages, ma meilleure-amie, Peut-être qu’il avait des questions bien précises à me demander et au lieu de le faire, il disait qu’il me connaissait pas vraiment, tout simplement. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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# )Sujet: Re: Don't know what to say to you now, standing right in front of you. |
Mar 17 Avr - 4:13 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Alors qu'on mangeait comme des défoncés la pizza que j'avais commandée, je revins sur le fait que j'étais désolé de ne pas pouvoir lui offrir tout ce qu'elle méritait. C'était vrai après tout, j'avais pas de Yacht quelque part, ni même de chalet où nous pouvions passer des semaines entières. Je me sentais assez minable merci d'ailleurs. Pourtant, elle voyait quelque chose en moi qui faisait en sorte qu'elle devait bien m'aimer pour ce que j'étais. Puis, là Emma me sortit le grand discours comme quoi elle s'en foutait bien de ne pas se faire couvrir d'or et de bijoux. Elle aimait son métier par passion pas pour l'argent et elle aimait réellement ma vie qui était plutôt simple. Bref, ça la faisait bien chier que je lui dise ça. Je pouvais bien comprendre, car ça montrait un côté chez moi un peu incertain. Je voulais lui plaire. Je voulais qu'elle m'aime aussi et je devais admettre que devant elle parfois je me sentais bien tout petit. J'aurais aimé être le gars qui pouvait lui faire la surprise comme lui offrir un voyage à quelque part ou bien tout simplement des vêtements sexy hors de prix. Je préférai ne pas lui en dire plus là-dessus et de terminer le repas avec d'autres sujets. Après le repas, nous allâmes au salon pour se reposer un peu. Je me mis à lui masser les épaules et je lui proposai un film, mais elle préférait le massage. « Je sais pas trop pour le film. J’ai l’impression que je vais tomber endormi comme une merde si on se tape un film, surtout après avoir mangé comme ça! Et clairement, te connaissant, ça sera la même chose pour toi. » Je ris juste à l'évocation de tout ça. C'était dont vrai. Je pouvais m'endormir n'importe où. Même si y'avait une fanfare à côté de moi, ça changeait rien, je me réveillais pas. Bien que j'avais méga mangé, j'étais pas encore tant fatigué plus qu'il ne fallait. J'étais quand même un couche-tard de nature. C'était pas pour rien que j'ouvrais mon salon jamais avant 10h00 le matin. Je continuais de masser les épaules et le dos de ma petite amie, elle avait trop l'air d'aimer ça. Je lui donnais à l'occasion des petits baisers à la nuque pour la faire frissonner. Puis, Emma se mit à m'interpeller directement, je cessai ce que je faisais pour la regarder. « Y’a une chose que je vais te demander nous concernant, une promesse que je veux que tu me fasses… Je veux jamais de promesse car je ne t’en ferai pas non plus. On a pas besoin de compliquer les choses et de vivre une déception au final. On garde ça simple ok? » Elle me regardait le plus sincèrement du monde. J'aimais dont ça quand elle me sortait des affaires de même. Ça prouvait qu'on était pas mal sur la même longueur d'onde. J'étais le gars le moins compliqué au monde. Par contre, pour Emma, je pouvais pas dire qu'elle était si simple que ça. Elle pouvait être parfaite un moment et l'autre devenir Hulk. - Okkk....tu me demandes de te promettre de ne jamais te faire de promesse ? Tu réalises ? dis-je en rigolant. Mais non c'est bien correct pour moi ça. Tu me connais de toute façon... la simplicité c'est mon affaire. Je suis nul dans les promesses en plus...donc oublie ça. Elle vint m'embrasser à ce moment. Un baiser long et assez intense. J'osais croire que ma réponse la satisfaisait. C'était vrai, en même temps, j'étais pas le genre de type qui promettait des trucs. Je savais trop bien que j'étais pas tant fiable pour les tenir de toute façon. Puis là, elle me demanda si je voulais savoir quelque chose sur elle étant donné que j'avais dit plus tôt que je ne connais pas grand chose d'elle.Je sais pas....tu en dis pas beaucoup sur toi. Je sais au moins pour ta mère maintenant. Tu me parles pas souvent des autres membres de ta famille. Ton père fait quoi ? C'est quoi ta relation avec lui précisément ? Ton frère ? T'as su comment que tu aimais aussi les femmes ? Ça m'intéresse ces histoires-là dis-je alors en jouant des sourcils. Savoir qu'elle couchait avec des filles, ça c'était sex à l'os. J'osais même espérer qu'elle allait accepter un trip à trois avec une fille un moment donné. J'aimais bien fantasmer des trucs de ce genre. Y'avait d'autres trucs futiles aussi à demander comme sa couleur préférée et ses fleurs préférées, mais ça, je me disais bien que j'avais amplement le temps pour le découvrir. Ça ne changerait pas grand chose dans ma vie de ne pas savoir maintenant. Déjà que mes questions allaient peut-être la saouler. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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# )Sujet: Re: Don't know what to say to you now, standing right in front of you. |
Mar 17 Avr - 4:51 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Je voulais pas faire de promesse à Matt et je ne voulais pas non plus qu’il me fasse de promesse pour me décevoir ensuite. Je n’avais pas une confiance absolue en lui, je préfèrais me méfier, c’était ma façon à moi de me dire que j’aurais peut-être moins de peine lorsqu’il allait être un gros connard de nouveau. De mon côté aussi, j’étais pas un exemple en suivre donc il allait pas pouvoir me reprocher quoi que ce soit également. Ce dernier était bien d’accord avec mon plan, je trouvais ça cool de trouver quelqu’un qui partageait un peu ma vision de la chose. Je l’embrassai donc bien tendrement, j’aimais ça faire ça… autant qu’avant, je lui donnais pas le droit de le faire! M’ayant affirmé plus tôt qu’il ne connaissait rien de moi m’avait surprise car je jugeais lui avoir dit beaucoup à mon sujet quand même. Je lui demandai donc ce qu’il voulait savoir et lorsqu’il me parla de chose dont je lui avait déjà fait part, je levai les yeux au ciel. « Si tu m’avais écouté pendant que je te disais tout ça à New-York, tu en saurais déjà plus sur moi. Je vais pas me répéter! C'est ça, fréquenter plusieurs filles en même temps, tu retiens rien! » lui dis-je en le poussant du bout de mes doigts, c’était son problème si elle s’en souvenait plus, je m’étais ouverte à lui concernant tout ça… pour lui expliquer comment j’en étais arrivé à ouvrir mon entreprise avec l’argent de l’héritage de ma grand-mère, que faire comme mon père et mon frère c’était pas quelque chose d’intéressant pour moi. « Sinon, je suis probablement la personne que mon frère déteste le plus au monde, je comprendrai probablement jamais pourquoi d’ailleurs mais j’ai un peu fait la paix avec tout ça… c’est un gros cave pas de vie! » En fait, j’avais probablement pas fait la paix mais je préférais faire tout comme. « Pour les filles, j’ai découvert que je les aimais après ma relation avec toi. Je voulais plus rien savoir des gars et je me suis rapprochée de Joe, ça été la première… » Il pouvait donc comprendre que c’était plus qu’une petite amitié. Elle datait de depuis longtemps et oui, on couchait encore ensemble aujourd’hui, j’osais espérer pour lui que ça ne pose pas de problème car je ne comptais pas non plus arrêter. Mais bon, c’était pas trop le temps de parler de tout ça… j’avais pas envie d’entrer dans un débat de quoi faire, quoi ne pas faire. Je me levai du canapé en m’étirant un peu. « Bon, grosse journée… je pense que j’ai envie d’aller m’étendre un peu. T’as un truc à me passer pour dormir? » J’allais pas dormir avec mes vêtements ni même avec mes sous-vêtements, c’était pas trop confortable. Après avoir fermé les lumières, on se rendit à la chambre de Matt qui me passa un grand t-shirt que j’enfilai avec rien en dessous, ça… c’était un vrai confort! Je passai à la salle de bain un instant, heureusement que je trainais toujours des trucs de toilette avec moi pour aller me glisser sous les couvertures ensuite où je tapotai un peu sur mon téléphone avant que Matt ne vienne me rejoindre pour se coller contre moi en simple boxer et m’embrasser. Naturellement, je détestais pas ça du tout sentir son corps presque nu contre le mien. Je lui rendis donc son baiser qui gagna en intensité jusqu’à ce que je décide de me déplacement carrément sur lui. C’était impossible pour moi à ce moment de rester calme, j’avais envie de lui malgré tout. Ma libido était jamais bien loin, surtout quand il était là, c’était pas un secret. Alors que ma main se glissa dans son boxer, je sentis que Matt n’était pas totalement réceptif à tout ça, éloignant son visage du mien en me regardant sans rien dire. « Quoi? » soufflais-je avant de revenir capturer ses lèvres… un baiser qu’il ne me rendit pas cette fois. Je reculai mon visage, enlevant ma main d’à l’intérieur de son boxer en plissant les yeux. Clairement, il en avait pas envie comme moi… « Wow! Sérieusement? C’est à cause du test positif c’est ça? Tu sais que ça me rend pas handicapée ou je sais pas quoi!? » Ok là, c’était ridicule, j’allais pas essayer de le convaincre de coucher avec moi. Je trouvais ça soudainement frustrant de me faire rejeter de la sorte et de dépendre de lui pour avoir du sexe. C’était pas comme ça que ça fonctionnait moi… quand j’en voulais, je trouvais facilement quelqu’un pour m’en donner. Là… j’allais sécher? Je me retirai de sur lui immédiatement. « C’est bon… dors! Je vais m’arranger toute seule au pire! » Quitte à me toucher seule de mon bord! C’était ridicule et je me sentais un peu insultée, ça gâchait fucking le moment! ⇜ code by bat'phanie ⇝
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# )Sujet: Re: Don't know what to say to you now, standing right in front of you. |
Jeu 19 Avr - 20:05 Emma&Matt Don't know what to say to you now standing right in front of you. Don't know how to fade in and out Don't know how to play it cool. Lose a little guard, let it down. We don't have to think it through. We've got to let go.
Emma prétendait que je ne l'avais pas écouter assez à New-York et qu'elle ne voulait pas répéter tout en me poussant quelque peu. Elle m'avait parlé de comment elle avait fait pour ouvrir son entreprise, oui, mais elle a jamais rien mentionné sur son père ou sur son frère. Elle me dit par contre que elle et son frère n'étaient pas en très bon terme. D'ailleurs Emma ne comprenait pas trop pourquoi. Elle le traitait de cave tout simplement. À la croire, il était vraiment un enfoiré. Je me demandais bien ce qu'il avait fait exactement pour qu'elle le déteste à ce point. « Pour les filles, j’ai découvert que je les aimais après ma relation avec toi. Je voulais plus rien savoir des gars et je me suis rapprochée de Joe, ça été la première… » Tout de suite j'avais un peu regretté ma question là-dessus. Moi qui pensait avoir des détails croustillants. Mais Joe ? Vraiment ? Elles étaient plutôt l'une contre l'autre la dernière fois que je les avais vu ensemble. J'aurais eu très peu de chance de pouvoir participer à un threesome là. Je me demandais bien si elles couchaient encore ensemble depuis peu malgré leurs querelles de filles. Enfin bref, c'était assez étonnant. Je me sentais quand même un brin mal d'avoir fait en sorte qu'elle ait pu détester les gars pendant un moment à cause de moi. J'avais été un beau connard. Emma se leva du canapé pour s'étirer un peu avant de me dire qu'elle voulait aller s'étendre un peu et qu'elle voulait que je lui prête un vêtement pour dormir. Je me levai. J'allai fouillé dans mon deuxième tiroir de ma commode pour en sortir un grand t-shirt du groupe Nirvana. Aussitôt entre les mains, ma copine l'enfila tout en laissant tomber les vêtements qu'elle portait avant. Je pris sa place quand elle quitta la salle de bain pour me préparer à aller au lit. Je revins en boxers m'allonger à ses côtés. J'embrassai Emma et le baiser s'intensifia au point où elle se retrouva sur moi. C'est là que j'eus un léger blocage niveau sexe, car en fait, je l'avais mise enceinte. C'était plutôt mal non ? J'avais vu plus tôt que ça l'avait bouleversé. J'éloignai mon visage un peu. Elle tenta une autre avance, mais je me défilai quelque peu. Je me sentais un peu stupide, mais tout de même, je ne savais pas si c'était raisonnable.« Wow! Sérieusement? C’est à cause du test positif c’est ça? Tu sais que ça me rend pas handicapée ou je sais pas quoi!? » Elle se retira immédiatement de sur moi frustrée que je ne lui donne pas ce qu'elle veut. Je me retrouvais dans une drôle de position quand même. Ce n'était pas que je n'avais pas envie d'elle, bien au contraire, mais avec ce qui s'était passé plus tôt, disons que ça me refroidissait un peu. - Je sais je sais ! m'empressai-je de dire tout simplement. Ce moment était un peu awkward quand même. J'étais pas bien là-dedans. C'était pas du tout mon genre de refuser des avances. J'étais un chaud lapin normalement et toujours prêt pour passer à l'aventure, mais là, disons que je ne savais pas trop quoi faire. En même temps, elle était déjà enceinte.... le risque était nul. Je voyais bien que ça frustrait à fond Emma et avec raison... Elle allait croire que j'avais pas le goût d'elle. Elle affirma que je pouvais dormir et qu'elle allait s'arranger toute seule. Toute seule ? Bin là.. Je pouvais pas laisser une fille se tripoter à côté de moi alors que je fais rien. ÇA ! Ça serait ridicule ! - Ok...j'veux juste que tu saches que si je t'ai pas sauté dessus encore à l'heure actuelle, c'est que j'ai pas envie que tu te retrouves dans le même état que tout à l'heure. J'me sens coupable et tu le sais. Mais t'as raison...le mal est fait donc...bon... Fallait que je me détende un peu d'abord et que je ne pense pas au fait qu'elle était enceinte. IL n'y avait aucun risque pour qu'elle tombe une autre fois enceinte. Je me recollai donc à Emma, car malgré les apparences j'avais très envie d'elle. Je l'embrassai à nouveau avec fougue. Ma main alla se glisser sous son t-shirt et même jusqu'à son intimité où mes doigts la fit gémir quelque peu. Il n'en fallut pas très longtemps pour faire ne sorte qu'Emma ne baboune plus. Je pouvais comprendre sa frustration de tout à l'heure, mais je pouvais tout aussi bien me faire pardonner. Ma bouche alla ensuite à la découverte de son entrejambe pour lui soutirer un orgasme avec ma langue. J'étais excité à fond aussi et je voulais avoir un peu de plaisir alors je retirai mon boxers pour la pénétrer par la suite. Nos deux corps dansaient à l'unisson à chaque mouvement du bassin. Après quelques positions différentes et bien du plaisir, j’atteignis l'orgasme à mon tour. Comme à chaque fois, ça avait été un vrai délice. Un moment fort en émotions. Nous étions pas mal sur la même longueur d'onde sur ça. C'était ça qui était bien. - Tu vois! Pas besoin de te finir à la mitaine avec moi ! dis-je alors en riant et un peu essoufflé de tout ça. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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