(#)Sujet: always missing you / léo. | Jeu 11 Oct - 18:25
léo and jade
always missing you.
Quelqu'un t'aurait décrit celle que tu es aujourd'hui y'a quelques mois, tu l'aurais envoyé baladé c'est certain. Même que tu essaies de ne pas trop te faire d'espoir, les choses roulent trop bien pour que ce soit normal. Enfin, normal est un grand mot, mais tout ton énergie est consacrée à tenter de faire de ta vie quelque chose. Comme ça, tu penses pas trop à ces derniers mois mouvementés. Puis, ils t'ont pas amené que du malheur, ils t'ont grandement rapprocher de ton Léo. Léo qui est dans tes pensées même quand tu ne le veux pas. Alors que votre relation n'a toujours pas de titre, ton coeur lui appartient il le sait bien. Plus de pile dans ton téléphone depuis la matinée. La dernière chose que tu as réussi à lui faire parvenir c'est de ne pas s'inquiéter. Ton chargeur était chez lui. Il avait un coeur trop grand, tu savais que si tu ne répondais plus à ses messages alors que tu as pris l'habitude de le faire, il courrait dans toute la ville à la recherche de ton cadavre. Parce qu'il a connu le pire le pauvre, tu sais qu'il imagine le pire. Alors une journée sans portable fonctionnel. Tu en as l'habitude, tu as longtemps été trop paumée pour avoir un téléphone. Tu l'es encore. Tu commences à faire des shoots grâce à l'amie, mais tout ça gratuitement. Tu dois faire ton nom. Puis ces images te serviront pour se porte folio que tu dois avoir pour parvenir à un jour être payée. C'est sur celui-ci que tu travaillais aujourd'hui. Sans avoir vu le temps passé, tu avais finis par passer une bonne partie de ton temps à essayer de choisir quelles photos seraient idéales pour présenter à des agences. Puis à chercher comment aborder les agences. Tu as toujours de la difficulté à saisir comment tout ça fonctionne. Tu écoutes les conseils de tes proches. Tu as réussi à te débrouiller pour faire quelques photoshoot et tu en es pas mal reconnaissante. Ton attitude et ton gros caractère aurait pu ruiner ses opportunités, mais tu retenais la princesse en toi. Faut commencer quelque part que tu te répétais. Puis, tu voulais donner un sens à cette fausse couche. Alors tu continuais d'avancer sans regarder derrière. Anxieuse face à tout ce monde nouveau, tu passes sans doute trop de temps à réfléchir avant de prendre une décision, mais ça t'occupes alors tu ne te plaindras jamais. Tu voulais rejoindre Léo maintenant que tu avais fait un choix sur ses images de toi. Ça te perturbe encore un peu de les regarder. Il ne serait pas fier de tes vieilles habitudes, mais tu avais retrouver un coin dans une ruelle que tu connais bien pour dormir quelques heures. Te reposer et faire passer du temps avant de pouvoir le rejoindre. Tu savais qu'en soirée, il serait occupé et même si tu essaies de changer, tu restes trop orgueilleuse pour aller chez lui faire comme si c'était chez toi. Tu avais ensuite finis dans les toilettes de fast food ouvert 24h pour enfiler une robe que tu avais déniché d'un shoot. Pas volée cette fois-ci. Mais puisque tu travaillais gratuitement, on t'offrait souvent les vêtements. Ton sac à main commence à déborder même s'il est gros. Tu devrais lui trouver un domicile fixe rapidement. Tu as l'habitude de te faire une beauté dans des endroits du genre, mais tu t'arranges toujours pour être rapide. Tu savais que tu le trouverais en boîte parce qu'il a pas le choix vraiment s'il veut continuer d'avoir un toit. Tu as bien hâte pour lui que ce soit du passé. Tu laisses ton sac au vestiaire comme tu fais chaque fois que tu sors. Tout ce qui t'appartient te suit partout ou presque. Y'a beaucoup de gens ce soir, même si la fin de la nuit approche. Tu n'es pas surprise il y a toujours un tas de monde dans ce genre d'endroit à Miami. Tu cherches que lui. Dans le passé, tu aurais voulu utiliser des substances pour rentre l'ambiance plus intense. Tu aurais au moins chercher à te faire offrir un verre par un homme qui t'aurait abordé. Les gens changent faut croire. Tu ne vois pas ces hommes alors qu'il doit bien en avoir un qui t'a aperçu. Ton regard qui le cherche dans la foulé de gens. Tu le trouve vite à une table et tu traverses la foule pour le retrouver. Il se fait tard, mais que le voir au loin te donne de l'énergie. Je peux me joindre à vous? Quand tu prends la parole, tu t'assoies face à lui souriant plus que tu ne le devrais. Tu ne peux pas t'en empêcher. Je devrais surement aller rejoindre mon petit copain, mais il travaille ce soir... Tu réalises que tu viens de mettre un nom sur votre relation et rougie sans doute trop rapidement en t'emparant de sa main qui était sur la table. Tu me manquais. C'est pas dans tes habitudes d'être choux, mais c'est pas dans tes habitudes de l'appeler ton copain non plus. @Léo P. Mills
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Dim 14 Oct - 23:42
léo and jade
always missing you.
J'étais au boulot que j'espérais ne plus être celui-là très longtemps. Énormément de choses horribles m'était arrivé ces dernières semaines, à moi comme à Jade, la femme que j'aimais. C'était sûr que c'était elle, de toute façon je le savais avant que tout cela n'arrive. Il y avait eu des gros bas et quelques hauts dans cette histoire. Là, nous étions en pleine croissance vers le haut. J'espérais et je priais même pour que ça continue ainsi. Disons qu'à chaque fois que je m'investis ainsi dans une histoire, elle finit par capoter. Après, j'ai assez la tête sur les épaules pour me rendre compte qu'avec moi on ne trouverait jamais un couple normal, logique, habituel. Evidemment que j'aurais un couple torturé, complètement malade, pas tellement stable. N'empêche qu'il arrive un moment, quand tu aimes véritablement quelqu'un, où tu veux une certaine stabilité. Du moins, trouver qui vous êtes. Depuis que je la connaissais, Jade me faisait tourner la tête. On ne cessait de se rendre fou, de manipuler l'autre, de rendre jaloux, de faire des crises de possessivité, de faire l'amour pour se disputer derrière... elle passait deux heures chez moi avant de fuir dans la rue, je la faisais suivre en secret par mon équipe, car c'est comme ça que je suis. Elle le sait. Je fouillerai la ville jusqu'à être sûr qu'elle soit en sécurité. Evidemment, depuis toujours, j'aurais préféré qu'elle reste avec moi. Néanmoins, le côté débrouillard et rebelle de Jade était quelque chose que j'aimais et que je me devais de respecter.
Néanmoins, ces derniers mois j'avais pas mal enfreint cette règle. Je lui avais caché qu'elle était enceinte, pour la faire suivre et l'empêcher de faire des conneries, pour qu'ensuite elle me déteste pour avoir fait ça (compréhensible...) et que je me prenne finalement une balle pour la protéger, et qu'elle finisse par perdre cet enfant... Accrochez-vous bien car ça va être brutal, toutes ces péripéties nous avaient rapproché. Et plus que jamais. On avait décidé de passer un cap, de devenir responsable. J'avais déjà essayé d'y arriver, plusieurs fois. La dernière fois, c'était pour Mackenzie qui m'avait laissé comme une vieille chaussette. Dorénavant, je sentais qu'il y avait quelque chose de différent. Peut-être que c'était parce que je voulais y croire mais, je sentais que j'allais enfin y parvenir. Faut dire que là, c'était nettement différent, on allait le faire ensemble. Cette grossesse et cette perte m'avait donné envie... de recommencer. Mais cette fois-ci correctement. Que cet enfant ne naisse pas avec des parents, un mac manipulateur dans les boites de nuit et l'autre sdf voleuse et droguée. Non. On voulait évoluer, devenir des gens "biens" à notre manière. Alors je lui avais parlé du mannequinat, et je n'avais pas été le seul. Elle voulait le faire seule, y arriver seule pour ensuite me faire prendre le bateau avec elle.C'était son idée, ça, car je n'y avais jamais pensé. Mais c'était le même boulot : manager. Cette fois-ci, ce serait pour celle que j'aime et légalement. Je la mènerai au bout du monde tout en la gardant près de moi. J'étais hyper motivé.
Je savais qu'elle faisait pas mal de shoots en ce moment pour remplir son book et elle tenait à le faire seule. Même si je mourrai d'envie d'être là, je continuais ma vie en la laissant faire car elle y tenait. Si je voulais que ça marche, cette fois-ci, je devais faire des efforts. Je continuais donc mon boulot illégal en attendant qu'elle m'invite à bord du bateau qui nous en mènerait loin. Evidemment que quelque part on saurait que c'est toujours au fond de nous, tout ça, mais ça ferait parti de notre évolution, de notre histoire.
Aujourd'hui, elle ne répondait plus. Je me doutais qu'elle ne devait plus avoir de batterie car elle faisait attention à ça depuis la dernière fois. Elle savait que je remuerais la ville pour la retrouver de toute manière. Mais je savais quel était son programme de la journée et je comptais lui faire confiance, cette fois-ci. J'allais travailler en me disant qu'elle finirait par trouver de quoi recharger le téléphone et me donner des nouvelles. Mais j'avais droit à mieux, ce soir. J'avais droit à une belle surprise. Alors que je veillais sur mes escorts de loin comme d'habitude dans ce bar bien fréquenté de la ville, une jeune femme s'avançait vers la table. Il ne me fallait pas plus de vingt secondes pour la reconnaître et les gars qui étaient à ma table s'en allèrent automatiquement. Elle me demandait si elle pouvait s'asseoir en me vouvoyant. Je souriais en lui faisant signe de la tête. Cette robe lui allait que trop bien. J'avais des étoiles dans les yeux à la voir. Depuis qu'on avait pris cette décision je... non pas qu'elle ne l'était pas avant mais je la trouvais plus belle que jamais. Elle s'épanouissait et c'était la plus belle chose que j'avais pu voir de ma vie. c'est pas joli joli, ça, mademoiselle. lui fis-je en commandant des boissons de la main au barman de notre place, répondant à sa phrase sur le petit ami qu'elle aurait dû rejoindre, évidemment elle parlait de moi. il pourrait faire des efforts et se libérer, tout de même. une si belle compagnie. fis-je alors que les verres apparurent sur la table face à elle. Je le levais pour trinquer alors qu'elle s'emparait de ma main. Je répondais en la serrant tendrement. Les mots d'amour se faisaient rares entre nous, mais quand même plus fréquent qu'avant - où ils étaient juste inexistants - elle m'avait déjà nommé copain juste avant, c'était deux fois plus que d'habitude. ma petite amie me manquait aussi lui fis-je en lui adressant un clin d'oeil pour répondre à tout ce qu'elle avait dit depuis qu'elle était assise à cette table en levant le verre à mes lèvres. tu es magnifique. fis-je en parlant de la robe qui la mettait bien en valeur. racontez-moi votre vie mademoiselle et peut-être que vous n'aurez plus à l'attendre bien longtemps lui fis-je en souriant en coin, reprenant son petit jeu de tantôt pour savoir tout simplement comment s'était passé sa journée durant laquelle j'avais trépigné d'avoir un message ou des nouvelles. ensuite j'aurais une proposition à vous faire lui fis-je en caressant son bras libre du bout du doigt avec un regard bien aguicheur. Trop de pensées en si peu de temps. Je voulais savoir sa journée, la faire danser, lui faire l'amour, lui parler pendant des heures... elle me rendait dingue. Je ne savais même plus par quoi commencer.
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Lun 15 Oct - 14:07
léo and jade
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L’univers autour de vous ait bruyant et dérageant. Ton attention pourrait être si vite perdu entre la musique qui fait tout vibrer dans la place tellement elle résonne ou alors les gens qui circulent si près de vous. Tu à l'habitude d'être sur tes gardes, de guetter des arrières. Tu es une fille de la rue, on ne peut pas te changer. Quand il est avec toi peut-être que c'est son habitude de tout contrôler qui te rend ainsi, où le confort qu'il t'apporte, mais tu perds de plus en plus ses habitudes qui t'ont si longtemps servie. Tu étais rentrée dans cette endroit dans l’optique de le trouver lui et maintenant que tu partageais sa table, tu en oubliais le monde dérangeant autour de vous. On vous apporte une boisson et sans broncher tu acceptes le verre. Ça te ramène un peu sur terre dans un monde où vous n'êtes pas que vous deux. Je te dérange pas j’espère? Votre petit jeu t’amusait, mais il restait entrain de travailler. Tu ne voulais pas semer d’embrouilles. Si tu étais présente, tu restais peut-être une distraction de trop. Mais il te répond de la même façon que tu l’avais abordé. Ton sourire grandi, comprenant que ta présence n’était pas de trop. Tu hausses les épaules avant de reprendre la parole. Il connait pas sa chance, je sais! Tu plaisantais évidemment. C’était plutôt toi ici qui était chanceuse ici. Choyée même qu’il soit toujours à tes côtés après tout ce que tu lui as fait voir. Chanceuse que ses yeux ne regarde que toi depuis que tu l'as retrouvé alors qu'il y a plein d'autres femmes autour de vous qui pourrait le divertir peut-être mieux que toi. Tu n'avais pas envie d'aller trouver quelqu'un avec qui danser que pour le rendre jaloux comme tu l'as fait tant de fois. Les mois que vous veniez de surmonter avait été suffisamment pour vous rapprocher. Pour vous unir d'une façon différente qu'un jeu de jalousie pouvait le faire. Quand il mentionne sa petite amie, ton coeur s'emballe de plus belle. Une vraie gamine. Tu n'as jamais laissé ton coeur s'attaché à qui conque avant lui. En plus de l'éternité que tu as pris pour en prendre conscience, ça a fallut encore plus de temps que tu lui dises. Tu n'étais pas du genre à partager tes sentiments facilement. C'était quelque chose que tu faisais tellement maladroitement de toute façon Léo ne pouvait pas s'attendre à une déclaration d'amour quotidienne, mais il te connaissait assez pour savoir que ta présence ce soir où les efforts que tu mets sur cette avenir valent bien plus que des mots. Ce futur, tu le veux pour vous deux et tu as bien hâte qu'il s'y joignent. Merci. Tu n'aimes pas les compliments et tu n'as jamais vraiment réfléchi au pourquoi. Peut-être parce que tu en as pas l'habitude où parce que dans les rues tu as appris à te méfier de tout ce qu'on te dit. Léo tu sais qu'il est sincère et tu choisis de laissé tes craintes de côté et accepte volontiers ses douces paroles au lieu de les repousser comme tu sais si bien le faire. Tu rigoles un instant alors qu'il se remet à te vouvoyez. Ses mains sur ta peau captes tout ton attention. Tu aimerais bien que cette table entre vous disparaissent pour l'embrasser. Votre dernier baiser remonte à un moment. Ou alors il y a toujours trop de temps entre vos rencontre maintenant. Tes journées te gardent occupés. Trop occupé, mais tu tiens le coup parce que tu veux sortir de ce monde dans lequel tu survis depuis tes seize ans. Il est temps que tout ça change. Encore plus pour lui qui vit dans l'illégalité constamment. J'ai passé la journée a essayer d'organiser mon book. Je pense que j'ai fait assez de shoot pour présenter quelque chose de bien. De varié, mais j'sais pas comment organisé tout ça, ou quelles photos choisir. Et toi, comment était ta journée? Tu avais délaissé le jeu une seconde pour lui expliquer brièvement ce que tu avais fait aujourd'hui. Tu voulais savoir ces occupations aussi. Tu espérais toujours le mieux pour lui. Tu avais toujours peur qu'il lui arrive quoi que ce soit. Dans son domaine, c'est le risque à prendre et depuis cette balle que tu as vu de près tu as toujours un peu peur de le perdre. Peut-être que c'est elle qui vous avait unis après tout? Peut-être que d'avoir si peur de lui dire adieu t'avait forcé à t'ouvrir à une possibilité t'être heureuse à deux. Vous croyez qu'un point de vue extérieur m'aiderait? Mon copain dirait surement juste qu'elles sont tous bien... Auriez-vous la gentillesse d'y jeter un coup d'oeil? Pas toute suite. Tout ça était dans ton sac de toute façon. Tu prévoyais repartir avec lui ce soir, tu ne venais pas à lui ce soir que pour son avis sur tes images. Il avait une proposition pour toi et même si celle-ci piquait ta curiosité, tu pensais qu'à danser maintenant. Quelque chose que tu avais toujours adorée faire. Avant sa rencontre. Avant la rue même. C'était une échappatoire du monde réel pas toujours joyeux faut dire. Alors que tout vas bien présentement. Tu veux l'amener danser avec toi. Tu as chercher assez longtemps à le fuir, là tu ne veux qu'être avec lui. Tu avais déposé ton verre sur la table pour te lever et la contourner. Je pourrais vous remercier avec une danse? Mon copain comprendrait je crois. Tu lui pendais une main. Après tout, tu savais être galante toi aussi. Mais tu le tires contre toi dès qu'il se redresse. Tu déposes finalement un baiser sur ses lèvres que tu désirais depuis bien avant ton entrée dans le club. @Léo P. Mills
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Mar 16 Oct - 23:23
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Je n'avais pas eu de nouvelles de Jade depuis le matin. Elle ne devait plus avoir de batterie sur son téléphone. Le truc c'est que, quelques semaines plus tôt, j'aurais été capable de faire fouiller la ville pour me rassurer de sa sécurité. Pourtant, depuis lors, j'avais décidé de faire des efforts et de prendre sur moi. Je savais qu'elle faisait tout pour qu'on est, tous les deux, une vie meilleure, et je lui faisais confiance là dessus. Je voulais qu'elle le sache, ça ne serait pas en la faisant suivre pour m'en rassurer que je lui ferais comprendre ça. Je lui faisais vraiment confiance. Toutes ces complications nous avaient finalement rapprochés et fait évoluer, surtout. Nous avions pris conscience l'un comme l'autre que nous devions prendre le taureau par les cornes et mener une vie meilleure. Elle avait réussi à accepter qu'elle ferait une mannequin exceptionnelle et j'avais accepté de devenir, à mon tour, son manager, quand elle aurait un minimum. En attendant, je passais petit à petit les rennes à mes collègues qui bientôt ne le seraient plus. Heureusement pour moi, on se connaissait assez pour qu'ils comprennent et tout se passait du coup pour le mieux. Ce soir, quand Jade arrivait à ma table, ils partaient et savaient que là ils avaient les rennes. Elle me demandait si elle dérangeait parce qu'évidemment je travaillais mais c'était bien, je pouvais observer sans rien devoir faire, ça les entraîner. Alors je fis non de la tête à Jade. Même en temps normal de toute façon, les gars savaient qu'elle était plus importante que tout. Elle faisait parti de la famille de toute façon. Je savais que même si je m'éloignais du milieu de la rue, ils auraient toujours mes arrières, et les siens. On jouait un petit jeu rigolo avant qu'on ne prenne notre sérieux - qui ne durait pas longtemps - on prenait plaisir à se raconter un peu nos journées. Elle m'expliquait pour le book, me disant qu'elle pensait avoir de quoi faire et puis me demandait pour moi. Je n'avais pas de journées aussi intéressantes que les siennes. votre vie, mademoiselle, est un peu plus intéressante. lui fis-je alors en souriant. Elle savait ce que je voulais dire. Je ne voulais pas la presser mais j'avais hâte de pouvoir rayer tout ça. Je me suis levé, j'ai pensé à toi, je suis allé courir, prendre un café puis j'ai rejoins les mecs pour faire un brief. ils reprennent un peu tout ça petit à petit. avant de se faire une bouffe et de rejoindre les filles et... me voilà. fis-je alors. tout ça évidemment sans que tu quittes ce truc là haut fis-je en tapotant mon crâne et je lui souriais. Heureux comme j'étais, elle finissait par me demander mon avis sur ses photos. Enfin, elle relançait le jeu qu'on avait commencé plus tôt pour le faire. Je souriais alors en coin comme j'aimais le faire. l'amour rend aveugle, c'est ça le problème. Comptez sur moi pour être subjectif fis-je en lui lançant un clin d'oeil. Ce n'était pas grand chose mais j'aimais qu'elle me demande mon avis. C'était tout nouveau cette situation, ce "nous" qu'on se créait très doucement alors chaque détail me faisait quelque chose. Après que je lui fasse une proposition elle me tendait la main pour aller danser. Je souris, amusé de cette idée. En temps habituel elle serait partie danser avec quelqu'un d'autre pour me rendre fou. Là, c'était ma main qu'elle prenait. Je lui souris et évidemment que je la prends pour l'emmener sur la piste de danse. D'abord, elle initiait tout ça en posant ses douces lèvres sur les miennes. Je me sentais comme revivre. Cela faisait un moment que se séparait notre dernier baiser de l'instant présent. Je profitais en lui offrant un beau baiser bien long et profond, lui montrer avec celui-ci combien elle me manquait. Puis dans un sourire je me reculais doucement pour la regarder et la faire d'abord tourner sur elle même puis nous dansions. Tantôt en riant tantôt plus sensuellement. Elle me manquait c'était horrible. Cette sensation d'avoir envie de lui parler des heures, puis de lui faire l'amour des heures puis de reparler encore des heures. Je profitais de l'instant présent. Je lui offrais des verres entre deux danses. J'oubliais que les mecs avaient pris les rennes. Pas pour bien longtemps.
Nous aurions dû changer d'endroits. Car un mec - je ne sais pas si c'était un concurrent ou un client qui se la croyait trop - profitait d'une seconde où Jade s'éloignait de moi pour l'accoster. Il ne me fallut pas plus d'une seconde pour venir vers lui et je m'en mangeais une sans même avoir eu le temps de le voir venir. Heureusement, mon équipe arrivait attraper le mec par derrière, par les bras et un troisième vint vers moi. emmène jade derrière, je vous rejoins. file. fis-je tantôt à mon gars et à Jade qui avait vu toute la scène. Il fallait que ça arrive, tout était trop parfait. J'aurais dû y penser, on était sur le même terrain et c'était le risque. Pendant ce temps, on tirait le gars à l'arrière et je lui réglais son compte. Comme il fallait. Déjà qu'on touche pas à une de mes escorts mais encore moins à Jade. Après ça, j'essayais de faire au plus vite, un de mes gars me fila de la glace pour ma tempe et je filais rejoindre Jade à l'arrière du bar, dans une espèce de loge ou de salle de pause pour les employés. Je fis un signe à mon gars pour le remercier et le congédier et il sortait. je suis désolé.. fis-je alors en m'asseyant près d'elle, caressant sa joue. j'aurais dû t'emmener ailleurs tout de suite.. je retirais ce truc ridicule de ma tête pour la regarder. Je prenais ses mains dans les miennes. Je voulais me rattraper. La soiré avait si bien commencé... encore une fois ma situation avait tout gâché. je t'emmène danser ailleurs? c'est que j'comptais bien te voler à ton petit ami, moi. fis-je alors avec un petit sourire pour effacer tout ça de son esprit. Je savais bien que ça l'inquiétait. et c'est ce regard là aussi qu'elle me faisait que je ne voulais plus voir. ou alors on va directement dans la case chez moi, j'ai des enceintes et on pourra danser en tout intimité fis-je en faisant un peu mon crouneur pour la faire sourire. Je caressais doucement sa main, avant de soupirer légèrement. tu vois c'est pour ça que je veux qu'on y arrive. et on va y arriver. fis-je alors un peu plus sérieusement.
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Ven 19 Oct - 2:25
léo and jade
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La soirée commençait si bien. Au rythme des chansons vous oubliez vos soucis. Il n'y avait que toi et lui sur cette piste de danse. Il réussissait à faire rentre tes jambes molles juste en te faisant tournoyer après ce long baiser que tu aurais voulu ne jamais connaître le fin. La seule chose qui te rassure c'est que tu sais qu'il y en aura encore plein. Tu n'as plus envie de le rentre jaloux avec d'autre. Tu n'as plus envie de séduire les plus vilains pour parvenir à avoir ce que tu voulais. Tu avais trouvé bien mieux que ce qu'ils avaient à offrir. Tu faisais enfin confiance en quelqu'un à en oublier ce qui vous entour. À en oublier que vous n'êtes jamais vraiment seul. Que son métier fait en sorte que les embrouilles le suit partout. La peur c’est quelque chose que tu as l’habitude de côtoyer. Alors qu’un jour, c’était une façon de courir après l’adrénaline, de donner un sens à ta vie. Aujourd’hui tu recherches un peu plus la stabilité. Y'a pas si longtemps, tu aurais couru vers le danger pour te sentir en vie. Maintenant, tu crains ces moments de peur qui te ramène juste dans des souvenirs plus sombres. Tu as hâte d’être capable de dire à Léo de tout lâcher ses folies. Mais tu fais toujours aucun ou presque pas d’argent. Pas assez pour avoir un manager. Pas assez pour qu'il arrête toute suite. Pour lui assurer une sécurité quelconque. Aujourd’hui, il a peut-être ses hommes qui assurent ses arrières. Il y avait quand même quelqu'un qui était venu piler sur votre moment de bonheur. Qui te tire hors de cette danse et qui te ramène dans tes craintes jamais bien loin. Te retrouvé seul dans la salle des employés avec l’un de ses confrères en silence alors que tu lui demander ce qui lui arrive. Tu aimes Léo pour son côté passionnel, mais parfois ça attire les ennuies. Tu veux qu'il te revienne vite, sans blessure pour que vous reprenez cette danse où vous l'aviez laissé. Tu souhaites que ce gars en sortira pas trop amoché, mais avec les hommes de Léo, tu en doutes fortement. Tu réalises alors que tu serres les dents nerveusement que tu en as marre. Que tu as eu assez peur la dernière fois pour le reste de votre vie ensemble. Les coups de feu résonne encore dans ta tête si tu y réfléchis bien. Tu ne sais pas si tu es plus en colère contre cet homme qui venait tout gâcher ou tes émotions qui prennent le dessus. Est-ce que c’était un hasard qu’il avait chercher à t’approcher ou c’était pour déranger Léo. Toi qui détestait savoir qu’il te faisait suivre dans le passé. Tu commences à comprendre. À te demander s’il avait déjà eu besoin qu’un homme de protège d’un danger extérieur. Ça t’avait toujours agacé purement parce que tu pensais qu’ils étaient là pour t’empêcher de faire des conneries. Pour surveiller tes idioties. Tu es bien capable seule de te mettre dans le pétrin, jamais une seconde tu avais penser aux gens de son monde à lui. Sans avoir mis de terme sur votre relation dans le passé, les gens qui connaissent Léo savaient que tu représentais beaucoup pour lui. Alors que tout ce temps, tu assumais que la balle qu’il avait pris pour toi été hasardeuse, peut-être que l’homme derrière l’arme visait bien toi. Que pour atteindre Léo, on cherchait à te faire mal à toi. Il aurait pu mourir cette journée là. Ce soir, on t’a tirer loin de la scène, tu ne sais pas si cette confrontation avait mal tournée. Tu te voyais déjà nettoyer le sang sur son visage gonflé Tu n’as pas envie de retourner chez ce médecin à compter les minutes avant de savoir qu’il te reviendrait. Tes pensées s’entremêlent rapidement dans ton crâne. Peut-être aurais-tu dû attendre qu’il termine ses affaires ce soir et le retrouver à son appartement. Vous aviez eux droit à quelques minutes de pause. Où il n’était que ton copain, mais ses activités illégales vous avaient vite rattrapées. Il finis par te rejoindre et ton coeur se calme malgré la glace sur son visage qui t’alarme. Tu soupires quand il s’excuse. Tu ne lui en veux pas. Ces activités c’est ce qui lui a permis de survivre tout ce temps. Tu sais ce que c’est de devoir faire quelque chose qui ne te plait pas pour assurer ta survie. Tu n’es pas stupide. Y'a bien des choses que tu regrettes encore aujourd'hui que tu as fait pour survivre. Tu lui souris pour le rassurer. Pour le faire voir que tu n’es pas fâché contre lui. Est-ce que ça va aller? Que tu réponds alors qu’il te demande ce que tu voulais faire par la suite. Tes envies de danser s’étaient vite envolé quand on t’avait traîner ici. Elles te reviendront. Elles te reviennent toujours. Ta main qui retrouve la sienne, tu te sens déjà un peu mieux. Allons chez toi, il y aura personne pour nous déranger. Est-ce que vous alliez devoir toujours terminer enfermé tous les deux pour qu’il ne lui arrive rien. Puis même si cette grossesse est dû passé, tu n’oses pas imaginer quand il aurait été impossible pour toi de cacher ton ventre au monde entier si tu aurais dû être vigilante. Si les gens qui veulent le faire chier lui auraient su qu’il allait devenir papa. Ta tête tourne trop vite. Des pensées du genre tu n'as pas l'habitude de les gérer. Quand les choses tournaient mal tu trouvais moyen de taire ton esprit avec des drogues. Tu ne te donnais pas le droit d'avoir peur. Dans la rue, ça amène que des problèmes. Dis-moi, pourquoi tu me faisais suivre? C'était pas seulement pour savoir ce que je faisais de mes journées, pas vrai? Dernière question sérieuse. Tu devais apprendre à communiquer si tu ne voulais pas repartir dans tes folies de junkie. Il continue de t'amuser avec ses mots et tu ris quand il parle de te voler à ton petit copain. Et toi, tu prends la glace qu'il avait déposer sur la table pour la ramener à son oeil gonflé. Et tu crois vraiment que tout ça arrêtera? Tu veux vraiment y arriver toi aussi. Et des incidents comme celui-ci te donnent encore plus de raisons de travailler fort. Tu es juste inquiète pour lui. Pour vous. Combien de coup il a encaissé et combien il en aurait d'autre? J'en peux plus d'être ici. Allons-y. Tu voulais laissé cette incident de côté et profiter du reste de la soirée avec lui. Tu n'avais pas passé du temps de qualité avec Léo depuis un moment et tu ne pouvais pas laissé ce malfaiteur vous voler cette soirée. Tu ne le laisserais pas gagner. C'était qui? Il voulait quoi? Léo te connaissait assez bien pour savoir que tu aurais des questions. Que tu revenais toujours la dessus parce que tu voudrais comprendre? C'était pas mon copain en tout cas. Il a des tendances à être jaloux, mais il gagne toujours. Tu te calme doucement puisque tu reprends les plaisanteries quand vous êtes en route pour la voiture qui vous ramène vite à son appartement. Ta main dans la sienne, sa peau sur la tienne te garde sur terre plutôt que dans tes peurs. Ça ne prend pas très longtemps pour vous arriver à destination. On t'avait remis ton sac avant que tu quittes le club. Tu le laisses dans l'entrée avant de tirer Léo sur son divan. Allez reposes-toi un peu. Tu vas dans la cuisine puisque même si ce n'est pas chez toi, tu as l'habitude d'agir comme si ce l'était. Sortant deux verres pour les remplir de la boisson préféré de Léo. Il en avait toujours dans ses armoires. Il méritait bien un autre verre après tout ça. Peut-être que pour le moment, c'était mieux de vous voir ici. Autant pour lui que pour toi. Il pouvait laisser ses gardes tomber, puisque c'est seulement derrière la porte de cette appartement qu'il n'y a que vous deux. Tu sors un sac de petit pois du congelot et lui remet après avoir amener les verre au salon. Tiens. Sinon demain tu vas me faire peur. Tu l'embrasses avant de retourner dans l'entrée. Tu sors de ton sac ton portable pour le brancher maintenant que tu retrouvait ton chargeur. Léo serait content que tu puisses lui répondre le lendemain. On danse ou tu veux regarder ça toute suite? Tu avais finis de te balader dans sa demeure. Assise à ses côtés maintenant, tu lui mets entre les mains ce qui deviendra un jour ton book, mais qui reste aujourd'hui un tas de photos. C'est difficile de ne pas chercher à le toucher. Tu passes ta main dans sa nuque pour jouer avec ses cheveux alors qu'il amène son verre à ses lèvres. Tu le distrais peut-être, mais c'était aussi peut-être ton but. Tu as conscience qu'il n'a pas mis de musique encore, mais tu lui devais une danse et tu avais envie de bouger. Il observera tes photos que tu trouves boiteuses plus tard. Dans ce processus, tu as appris que tu étais peut-être perfectionniste ou alors jamais satisfaite de ce que tu entreprenais. Tu te relèves pour allumer ses enceintes en te déhanchant avant même que la musique se rend à vous oreilles. Peut-être que c'était pour le mieux cette incident. Tu étais toujours plus à l'aise loin du regard des autres. Avec lui encore plus. Tu venais de lui dire de se reposer. Pourtant tu l'invitais à danser la minutes suivante. Tu sais danser, mais tu ne suis pas le rythme de la chanson assez dynamique. Tu préfères le serrer contre toi un instant. Chose que tu n'avais pas fait depuis votre dernière rencontre. Tu n'aimais pas mettre des mots sur tes sentiments, mais tu lui démontrais dans chacune de tes efforts que tu tenais à lui. Tu laisses tes mains parcourir son corps pour terminer dans son dos. Puis l'intervention de ce soir, tu essayerais de l'utiliser pour te donner la force de continuer. De travailler juste un peu plus fort encore pour le sortir de tout ça. Pour vous sortir de tout ça, parce que tu n'iras nulle part sans lui. Puis maintenant, tu te remets à suivre le rythme de la chanson alors qu'il est celui qui mène, tu le fais quand même tourner sur lui-même en rigolant. Tu pourrais rester debout toute la nuit avec lui. Tu ne remarquerais surement pas le soleil se lever tellement il occupe toutes tes pensées. @Léo P. Mills
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Dim 21 Oct - 21:18
léo and jade
always missing you.
J'étais ravi que Jade m'ai rejoins au boulot. Elle était si belle, ça faisait tellement longtemps que nous ne nous étions pas vu. Je profitais de sa présence, de la voir, de son sourire, de son odeur. Le moment que nous partagions était parfait. Nous dansions tous les deux comme si nous ne l'avions jamais fais. C'était hyper agréable de juste être ensemble et de ne se soucier de rien. le problème c'est qu'autour de nous, les gens se souciaient encore de qui nous étions. ou plutôt, de qui moi, j'étais. il fallait donc bien que quelque chose gâche ce moment, qu'il y ait un drama à un moment donné. Rien ne peut être parfait. et ce ne pouvait pas l'être ce soir, du coup. Une bagarre éclatait et je devais mettre Jade en dehors de ça. Elle attendait dans les arrières du bâtiment et je faisais au plus vite pour qu'elle s'inquiète le moins possible. Bon le seul petit soucis c'était mon œil, un peu gonflé par l'événement. Je cherchais à lui faire oublier, comme je le pouvais, mais je savais bien que cet événement avait changé son envie de faire la fête. oui ça va j'ai vu bien pire lui fis-je alors en souriant légèrement et lui caressant la joue. elle était la chose la plus importante de ma vie, c'était officiel. Elle occupait mes jours, mes nuits. Si j'avais décidé de changer de vie, d'en adopter une plus saine, c'était pour elle. Elle représentait ce que je voulais être, ce que je voulais devenir et construire. On se battait tous les deux pour ça et ça comptait vraiment pour moi. Elle me proposait d'aller au calme chez moi et j'approuvais. Je l'emmenais rapidement à la maison sans repasser par la salle. Les mecs s'occuperaient du reste. j'avais pour le peu ignorer sa question sur la raison du pourquoi je la surveillais, au début de s grossesse. Elle voulait avoir toutes les raisons. Elle devait avoir une puce à l'oreille, avec ce qu'il venait de se passer. Elle me demandait aussi si je pensais que tout cela allait finir un jour et j'allais la rassurer, mais pas sur le lieu. Il fallait qu'elle change d'air, pour cela. Je la sentais bien trop perturbée pour le moment. Elle me faisait quand même des blagounettes en gardant notre esprit précédent sur les petits amis... Je riais à ce qu'elle me disait, comme quoi si ça avait été son copain il aurait gagné. Comme c'était comme si elle parlait de moi, ça me fit sourire.
Je gardais donc le silence jusqu'à arriver chez moi. Elle avait l'habitude. Elle était comme chez elle, je lui avais toujours dis. Elle commençait donc par aller me chercher d'autres petits pois dans mon congélateur pour me les filer, avec une petite réflexion qui me fit encore, rire. Elle avait le chic pour me faire oublier des situations embarrassantes, elle aussi. On était tous les deux sur la même longueur d'onde, sur ce côté-là. Moi, je lui avouais juste vouloir changer de vie à cause de ce genre d'événement. Il fallait maintenant qu'on en parle, de tout ce qu'elle m'avait dit. Je suis encore désolé.. lui fis-je alors qu'elle me servait ma boisson préférée. merci tu es parfaite fis-je entre deux, lui souriant, tapotant mon oeil de froid pour ne pas que ça soit trop moche demain. je ne voulais pas te répondre mais je sais qu'il faut qu'on en parle, que je te rassure. fis-je alors en prenant un air trop sérieux dont on avait peu l'habitude : quoiqu'en ce moment, on était bien obligé. les gars savent que je veux changer. ils prennent petit à petit la relève et ils nous protégeront de tout ça.. comme je l'ai fais avec toi, oui. ça me fait rire quand tu me dis que c'est moi qui subis énormément de tes choix de vie.. je suis content que tu te rendes compte que maintenant, puisque c'est bientôt fini, mais oui je te protégeais aussi de ça. fis-je alors en levant les épaules. Etre quelqu'un à qui je tiens craignait aussi, vu les ennemis que j'avais en ville. mais bientôt on y pensera plus. lui fis-je alors en lui souriant. Puis elle me sortait son book et elle me demandait si je voulais toujours danser ou le regarder. Je levais mon verre à mes lèvres. Je sentais bien que l'envie de danser l'avait reprise et je ne pouvais pas passer à côté, même si je mourrais d'envie de voir ces photos. Je prenais sa main pour la suivre dans sa petite danse, pas en rythme au début puisqu'elle se serra contre moi, m'offrant un moment silencieux de tendresse que j'appréciais énormément. Tout ça avant évidemment de reprendre le rythme, je la faisais sauter, elle me faisait tourner en riant. Tout recommençait. Là, on a un vive aperçu du pourquoi nous sommes un couple unique, atypique. On fonctionnait comme ça. Cela faisait une bonne heure qu'elle me faisait danser sur tout et n'importe quoi. On devait être au beau milieu de la nuit, voire le petit matin, j'en savais rien. Je perdais la notion du temps quand elle était là.
Je commençais à avoir faim alors je demandais une pause pour croquer dans un truc qui trainait dans le frigo et je lui en donnais aussi. Je la regardais en me rendant compte encore une fois que je voudrais que ce soit toujours comme ça. Qu'on vive tous les deux à notre rythme, sans que personne n'ait rien à nous en redire, qu'on vive comme on le souhaite et où on le souhaite. J'étais essoufflé de cette danse. Ce n'est pas pour ça que c'était l'heure de dormir. Je te promets qu'on reprends ça après je meurs d'envie de voir ces photos, moi! Je scrutais le book fermé depuis un petit temps déjà. Je savais que j'allais complètement craquer. Je courais alors dans le canapé pour attraper le book en premier et je l'ouvrais : je ne fus pas déçu, au contraire. Je caressais les photos comme si je voyais des oeuvres d'art. tu es tellement belle. soufflais-je alors. Je les dévorais, ces photos, avant de retrouver son regard en réel en face de moi, elle avait l'air d'attendre une réaction, même si je l'avais déjà donnée. Je me levais doucement pour lui faire face puis je m'approchais de plus en plus. Quelques centimètres à peine nous séparait. J'attrapais son visage dans ma main tendrement. jade soufflais-je amoureusement en la scrutant puis je posais mes lèvres contre les siennes. D'abord tendrement puis avec passion. Une passion qui collait nos corps et commençait une toute autre danse. La musique était toujours allumée, ce qui en donnait vraiment l'impression. Elle vint s'asseoir sur moi dans le canapé, après que j'ai reculé doucement, sans que nos lèvres ne se séparent. Je pouvais bien la serrer contre moi, profitant pour parcourir une première fois son corps au dessus de ses vêtements. Puis nous retirions petit à petit nos vêtements, se relevant pour nous aider. J'en profitais pour la claquer doucement contre un mur et la soulever du sol, ses jambes autour de mes hanches. Depuis quelques mois, nos échanges physiques avaient quelque peu changer : pas en moins bien évidemment, mais il y avait quelque chose en plus qui changeait tout. Un déclic. C'était toujours sauvage et passionnel mais avec une touche de... tendresse. J'ai du mal à l'expliquer. C'était comme ça. Nous arrivions dans la chambre et nous tombions sur le lit, laissant le reste de ce qui nous séparait en tissu. Je caressais chaque parcelle de son corps et l'embrassait aussi. Pas mal de temps séparait la dernière fois où j'avais pu le faire, elle me manquait bien trop. J'en profitais alors, rattrapant le temps perdu pour lui faire un tas de choses agréables. La tête entre ses jambes, je vins lui donner du plaisir avec la langue. La faire jouir une première fois, car je ne comptais pas m'arrêter là. Je voulais l'emmener au septième ciel, comme toujours.
Je ne sais pas non plus combien de temps cet acte durait, le soleil devait déjà offrir ses premières lueurs, j'en sais rien. Peu m'importait. Notre souffle était chaud et je la serrais contre moi, dans ces draps. Je jouais avec ses cheveux, pensif. je t'ai fais oublié ton mec, là, non? fis-je alors en clin d'oeil à notre soirée. Je riais légèrement avec elle. je ne t'ai toujours pas parlé de ma proposition... lui fis-je alors plus sérieusement dans perdre mon sourire. je pensais que... enfin tu ne te sens pas vraiment chez toi, ici, je le sais... enfin je... tu me dis ce que tu en penses hmm, sérieusement. lui fis-je. je pensais que tu pourrais aller choisir un chez nous. enfin si tu veux que je vienne avec toi je viens, hmm, mais c'est toi qui choisis. Peut-être que comme ça tu te sentiras vraiment chez toi et puis... je veux commencer une nouvelle vie dans tous les domaines. J'ai trop de... souvenirs ici. Bons évidemment mais pas toujours. Moi aussi je voudrais... enfin me sentir chez nous. tu en penses quoi? j'avais tourné ma langue quarante fois dans ma bouche avant de parler. Le sujet du domicile était très particulier avec Jade mais avec cette vie qu'on se construisait je pensais que ça irait ensemble... enfin elle voudrait peut-être vivre seule, j'en sais rien. Je voulais savoir justement ce qu'elle en pensait là tout de suite. Je voulais cette solution pour être toujours avec elle ou du moins le soir pour dormir. Mais je comprendrais qu'elle ne soit pas du même avis.
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Jeu 25 Oct - 0:48
léo and jade
always missing you.
On t'aurait dit que tu serais amoureuse de Léo à un point à laisser tes gardes tomber quelques mois plutôt tu aurais surement rigoler. Pour cacher les sentiments déjà bien vrai que tu avais pour lui et parce que jamais tu ne laisses personne entrer sous cette carapace qui te sert de maison maintenant. Moins de gens voient à l'intérieur, moins tu risques de les blesser. Ou d'être blessé en retour. Danser avec lui était devenu quelque chose que tu adorais tellement. Dans les clubs, vous vous amusiez comme des gamins à vous tournez autour. Dans son salon, à l'abris de tout regard, il n'y avait aucun angoisse. Les bagages que vous aviez traîner tous les deux s'estompaient si facilement au rythme de la musique. La soirée n'avait pas été gâché malgré l'interruption plus tôt. C'était même mieux ici, un endroit que tu as bien peur d'appeler ta maison, même si tu finis toujours par y retourner. Quand Léo finit par arrêter pour se diriger vers le frigo, tu le suis sans descendre de votre nuage. Une partie de toi toujours surprise de ta façon d'agir, l'autre bien heureuse de profiter du moment présent. Tu manges avec lui sans trop parler. Debout dans le salon, bougeant nerveusement pour t'occuper l'esprit. Il regarde tes photos et ça réveille un peu de papillon dans ton abdomen. Tu ne sais toujours pas si tu aimes le résultat final puisque ça te fait étrange de te regarder. Jamais avant Léo tu aurais osé rêver d'un avenir du genre pou toi. Ça arrive aux autres le succès et les belles histoires d'amour tu n'as jamais vraiment essayer de t'ouvrir à la possibilité que toi aussi tu as droit à ce genre de chose. Tu avais si peur d'être déçu. Ton sourire démontre bien que la vie avait choisi autrement pour toi. Elle te prouvait que tu avais eu tord. Léo était toujours à tes côtés et semblait y être pour y rester. Ton coeur qui s'emballe quand il revient près de toi. Ce regard, tu resteras toujours surprise qu'il te regarde avec cette lueur. Il est le premier que tu aimes et sans doute le premier que tu laisses t'aimer dans tes vingts années de vie. La famille, tu ne sais pas trop ce que ça représente. Tu as laissé la seule personne qui comptait derrière pour fuir vos problèmes. Alors qu'il est à quelque centimètre de toi, tu te promets de ne pas refaire la même erreur. De tout faire pour ne pas briser ce que vous aviez. Il est ce qui se rapproche le plus d'une famille pour toi à présent. Quand vos lèvres se retrouvent le monde arrête de tourner. La musique, tu ne t'entends plus vraiment tout ton corps ne répond qu'au sien. Tes mains qui essaient de mémoriser la sensation de sa peau contre elles. Vous ne faites plus qu'un et tout ton être suit ses actions pour terminer sur le divan par dessus lui. Tu n'arrêterais jamais de l'embrasser, il se fait peut-être tard mais tu es pleine d'énergie. Ton souffle qui se mélange au sien. Tu te détache de lui que pour lui retirer son t-shirt. Quand vous vous relevez, tu sais déjà où cette danse se terminera. Tout est différent avec lui. Tu as eu d'autre partenaire et c'était surement à cause du manque d'affection entre toi et eux ou ce mur que tu ne laissais pas tomber. Mais jamais tu n'avais désirer quelqu'un comme tu le désirais lui. Chaque fois que vous terminiez dans son lit, tu étais surprise par la passion encore plus grande qui prenait le dessus sur vous. Ton coeur battait si fort parfois que ça t'en donnait le vertige. Toi qui n'aime pas la routine, tu sais que tu ne te lasserais jamais de partager ce genre d'intimité avec lui. Tu cherches toi aussi à le combler à travers la tendresse qui vous anime. Le temps n'a plus d'importance à présent. Cette passion entre vous, tu pensais qu'elle se calmerait avec le temps. Que c'était temporaire, mais plus tu passes de temps avec lui et plus il t'enivre. Son parfum te fait oublier son nom et quand vous êtes tous les deux, plus rien ne fait de sens. Sur ce monde, il n'y a que vous deux et rien ou personne ne t'arrachera le bonheur que tu retrouves dans ses bras. Le soleil se levait dehors, tu te demandais bien quelle heure il pouvait être. Il n'y avait qu'avec lui que les nuits passaient si vite. C'était pratiquement le seul temps que vous aviez ensemble depuis que tu prenais ta vie en main. Que tu cherchais à te faire un nom dans cette industrie que tu connais si peu. Dans ses bras, protéger du monde sous ces draps clairs, tu continues d'embrasser ses épaules et la peau à laquelle tu as accès alors qu'il caresse tes cheveux bonds. Tu ris quand il reprend la parole. Ce jeu vous avait suivis jusqu'ici. Je pense que rien ni personne pourrait me le faire oublier. Tu as pas l'habitude d'utiliser tes mots pour lui parler de tes émotions. Mais puisque tu parles de lui à la troisième personne, c'est peut-être plus facile. Puis dans sa chambre, alors que le monde s'était arrêter pour vous, tu pouvais te permettre d'être sensible. Personne était-là pour te faire mal. Tu souris, le laissant parler, se perdre dans ses mots. Tu sens qu'il est nerveux avec cette proposition. Tu le comprends, tu es si bonne pour fuir, partir quand les choses deviennent trop vraie. Tu recules un peu pour le regarder dans les yeux. Une partie de toi à envie de sortir du lit. De lui dire que ta maison c'est la rue. Mais ta maison, c'est lui. Ton coeur le sait. Ta tête aussi, mais elle aime ne rien t'admettre celle-là. Tu es silencieuse, songeuse alors que ses mots fait du sens. Tu n'es pas partie en peur pour une fois. Tu te visualises plutôt cohabité avec lui. C'est le seul chez qui te t'es réveillé le lendemain sans fuir avant qu'il ne le remarque. Tu as presque eu son enfant. L'idée de vivre sous le même toit n'était pas nouvelle même si avant tu l'avais vu avec un berceau. Une image brève que tu avais chassée rapidement de ton être. Pour te protéger. Peut-être que tu savais que ce bébé ne verrait jamais le jour. Tu l'as si maltraiter. Je pense que c'est une bonne idée. Ta main dans la sienne, tu l'amènes à tes lèvres pour l'embrasser. Pour chasser ses souvenirs qui viennent te hanter parfois. Vous avez l'opportunité de recommencer. D'avoir une vie nouvelle tous les deux. Ensemble, plus fort que tout. Tu ne veux pas manquer cette chance. Une nouvelle vie vient avec des risques et pour une fois tu vas les prendre. Je te promets pas de toujours être agréable. Mais je me vois bien me réveiller auprès tous les jours. Enfin, si on dort. Tu plaisantes pour le rassurer. Pour qu'il voit que ses mots ne t'ont pas fait peur. Mais tu veux trouver l'endroit avec lui. Tu ne veux pas choisir pour vous deux. On commence nos recherches toute suite ou tu veux dormir? Tu aimerais bien dormir, mais tu as aussi envie de fouiner dans les petites annonces du coup. Mais je veux pas tout choisir. Si c'est notre chez nous, je veux le faire à deux. Ici, ce n'était pas chez toi en partie parce que tout était à lui, puis en même temps tu ne lui reproches rien. Il vivait ici avant de te connaître. Tu ne veux pas non plus qu'il se sente de trop dans tes affaires. Ça sera les vôtres et vous y serez heureux. Une promesse que tu te fais parce que tu ne peux pas gâcher votre histoire. Tu dois à ce bébé qui t'a réveiller de devenir meilleure.
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Dim 28 Oct - 10:18
léo and jade
always missing you.
Jade est tout ce que j'ai. Tout ce que je veux avoir. Je me bats pour elle chaque instant et bien qu'elle ne pense pas toujours le mériter, je lui prouve qu'elle vaut bien mieux que ce qu'elle ne pense. Nous étions un couple étrange, depuis le départ. Un couple hors du commun, disons. Un chef de groupe d'escort et une nana qui a fugué et qui préfère être à la rue. Deux personnes qui ne sont pas ensemble mais qui se chamaillent sans arrêt parce que l'un est allé danser avec un(e) autre. Cela avait pris du temps mais finalement, avec pas mal de travail et de temps (et il nous en faudrait encore), on réussissait à être à peu près des gens normaux. Enfin, je n'ai jamais dis que je voulais qu'on soit un couple banal : de toute façon, je ne pense pas qu'un jour nous pourrions l'être. Tout de même, j'espérais à un avenir dans lequel Jade et moi vivrions ensemble, trouvions un emploi stable ensemble, une vie meilleure ensemble. C'est pour cela que je lui proposais qu'on se trouve un chez nous. Sur le coup, j'avais bien hésité avant de lui en parler. pour m'obliger à la faire, je lui avais dis dans le bar déjà que j'avais une proposition à lui faire. J'étais donc obligé de lui dire. Nous avions passé une bonne soirée - sans le coup que je m'étais pris à la tronche entre deux - et ça me faisait un bien fou de la retrouver. preuve supplémentaire que je voulais qu'elle soit sans arrêts avec moi. Je lui laissais du temps, car elle en avait besoin. Elle faisait son book petit à petit et ce dernier commençait à prendre forme. Alors, je me disais que, comme j'allais pas tarder moi-même à quitter mon "travail" pour un meilleur, nous pouvions aussi trouver un chez nous. Déjà parce qu'ici j'avais peur qu'elle se sente trop "chez moi" et puis pour marquer notre passage vers une vie meilleure. A la base, je lui proposais de regarder seule car je savais le mal qu'elle avait à se sentir chez elle quelque part. Je ne voulais pas qu'on regarde ensemble et qu'elle se plie à mon avis juste pour me faire plaisir et risquer de la perdre encore une fois. je voulais qu'elle choisisse le logement pour être sûr qu'elle s'y sentirait bien. Mais d'elle même, elle me disait vouloir choisir avec moi. Que cette idée vienne d'elle me faisait énormément plaisir. d'accord, on regarde ensemble. lui fis-je alors en souriant. Elle me proposait de regarder maintenant - forcément l'idée étant placée... Ok mais attends. lui fis-je en allant vers ma chambre. on va regarder au lit. Comme ça, on est au calme au chaud et on prends la tablette pour regarder. lui fis-je en préparant le lit. Je savais qu'elle irait me voler un tee shirt pour dormir et je la laissais faire. Je mettais la tablette prête sur la table de chevet et je retirais mon propre haut et mon pantalon, me retrouvant en caleçon. J'allais la prendre dans mes bras de derrière alors qu'elle venait à peine de finir de mettre un de mes tee shirt. Je l'embrassais dans le cou tendrement puis je la portais, en riant légèrement, jusqu'au lit. Je lui mettais la couette sur ses jolies jambes que j'embrassais au passage et je lui donnais le plaid. tu veux autre chose avant que je m'installe? lui demandais-je telle une princesse, en souriant. Puis je m'installais près d'elle en lui tendant ma tablette. On installait une application de vente de biens et on se mettait à regarder dans le coin. J'avais passé mon bras derrière elle pour la tenir contre moi, mon nez près de ses cheveux. une petite vue sur la mer ça te dit pas? lui fis-je alors en lui montrant les appartements carrément spacieux qui donnaient un balcon avec vue sur la mer. Je t'imagine bien le matin, ouvrir la baie vitrée et te perdre dans la vue de l'océan. lui fis-je alors en souriant. Bon j'avoue, j'étais pas du genre à prendre de la merde quand même. J'avais pas mal d'argent et on allait en gagner encore plus, j'étais sûr. Je m'étais toujours débrouillé pour pouvoir m'offrir ce que je voulais, alors offrir ce que Jade voulait m'importait encore davantage. tu n'as qu'à enregistrer ce que tu voudrais aller voir et demain j'appelerais pour prendre rendez-vous. fis-je alors tendrement contre son oreille. d'ailleurs! ma sœur m'a proposé son aide, elle tient un studio photo lui annonçais-je. j'avais carrément oublié avec tout ça.
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Jeu 1 Nov - 15:31
léo and jade
always missing you.
Ça faisait du bien de retrouver le calme avec Léo. Avant que votre couple devienne sérieux, vous passiez beaucoup de temps ensemble. Il n'y avait peut-être que vous qui voyait que de l'amitié entre vous deux. Ou alors vous avez aimiez surtout fermer vos yeux pour profitez de la liberté qui venait avec le genre d'amitié qui vous unissait. Aujourd'hui, vous aviez traverser bien pire que tu aurais osé imaginer et en étiez ressortie un item. Tu l'appelais ton copain même si ça te faisait encore un peu étrange de dire que tu est avec quelqu'un. Tu ne veux pas partager ton intimité avec personne d'autre à présent. Les autres hommes ne t'ont jamais fait sentir en sécurité comme Léo le faisait malgré les dangers qui venaient avec son métier. Il t'avait peut-être menti, mais avait réussi à regarder ta confiance comme personne. Tu ne voulais pas te détacher de lui, mais la proposition de terminer la soirée dans sa chambre te plaisait. Le suivant, le chemin que tu faisais était presque automatique. Tu savais quel tiroir ouvrir pour trouver ses t-shirts. Tu en prends un pour être confortable pour la nuit. Puis la nuit fut parsemée de tes rires quand il s'accrocha à toi par derrière pour embrasser ta nuque tendrement. Comment avais-tu pu résister à son charme aussi longtemps? Faut dire que les choses étaient un peu différente quand vous n'étiez pas officiellement un couple, mais il avait toujours été si attentionné. Tu as longtemps fermé ton coeur à l'idée de plus parce qu'il est trop bien pour toi que tu te répétais. Tu n'es pas la demoiselle la plus romantique qui soit, mais pour lui tu apprendras. Il t'installe dans son lit plus confortable que les bancs de parcs quand il te demande si tu veux autre chose. Au lieu de répondre avec des mots, tu le tires jusqu'à tes lèvres pour l'embrasser et le remercier avant qu'il s'installe à tes côtés. La tête sur le haut de son torse alors que son bras t'entour, tu pourrais t'endormir si ce n'était pas de la tablette que tu avais entre les mains qui vous permet de rêver à une vie à deux. Ça serait un mensonge de dire que ça ne t'effraie pas. Tu entreprends beaucoup de changement dans ta vie. Rapidement. Parfois ta tête tourne à imaginer où tu étais trois mois plus tôt et où tu serais dans dans trois mois. Peut-être que c'est de ne pas savoir où tu seras ou comment tu t'y rendras qui t'angoisse. Peut-être que ce sont les responsabilités et les engagements que tu as l'habitude de repousser qui t'inquiètent. Tu pars avec rien d'autre que Léo et ton sac qui t'attend dans l'entrée. Tu devrais plutôt voir que tu n'as rien à perdre, pas grand chose du moins. Mais lui, tu ne veux pas risquer de la voir partir de ta vie. Tu connais ton côté impulsif, tu viens avec tes problèmes et ton côté têtue. Ça serait pas mal c'est vrai, mais c'est trop cher. Tu n'as pas le même budget que lui. Tu aimerais bien piler sur tes principes, mais tu ne vois pas comment ça serait équitable de le laisser payer tout. Surtout que s'il se lasse de toi, tu n'aurais plus rien. Tout lui appartiendrai. Haussant les épaules, tu continues de regarder les annonces un peu perdu entre la fatigue et tes pensées. Cherchant des annonces qui valent la peine pour vous deux de visiter. Tu en vois quelques unes qui font rêver, d'autres plus modeste plus réaliste pour toi qui commence à faire ta carrière. Léo t'avait déjà parler de sa soeur, dans le passé tu aurais jamais cru la croiser. Ni même qu'il veule de la présenter. Tu n'es pas la fille modèle disons-le. Tu cherches à t'adoucir, à devenir à la hauteur du regard de Léo quand il te regarde, mais tu restes loin de la perfection. Ta soeur? Que tu dis avant d'avaler ta salive et continuer de regarder l'écran lumineux. Tu lui as parler de moi? Tu n'as personne à qui parler de Léo. Tu as laissé tout le monde derrière quand tu as quitter New York. Tu avais une famille, une cousine qui était comme une soeur, que tu as fuit dans la peur. Tu n'y penses pas trop souvent puisque tu as bien honte de tes actions. Ton coeur un peu plus adulte que quand tu es partie à seize ans regrette de l'avoir abandonner dans tout ça. Elle aussi avait besoin de fuir. Tu chasses tes inquiétudes et souris à Léo. Ta petite amie serait pas très heureuse de savoir que tu parles d'une autre nana. Tu rigoles en posant un baiser sur sa joue. C'est sympa de sa part. Tu la remercieras pour moi, j'ai pas mal de photo déjà, j'pensais commencer à aller voir des agences bientôt. Mais si j'ai besoin de plus de photo, je m'en souviendrai. Tu fermes la tablette puisque tes yeux se font lourds alors que le soleil est bien installer dans le ciel. Tu viendrais avec moi? Après tout, c'est son devoir de manager te d'accompagner à ce genre de chose. Tu tires la couverture jusqu'à ta poitrine avant de lui donner un dernier baiser. Bonne nuit Léo. T'accrochant à lui pour les prochaines heures de sommeil, tu sais que tu dormiras comme un bébé puisque tu te réveilleras à ses côtés. @Léo P. Mills
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(#)Sujet: Re: always missing you / léo. | Jeu 8 Nov - 11:07
léo and jade
always missing you.
Une page se tournait. Je le savais et elle le savait, par dessus tout. Nous faisions un gros bout de chemin et nous y arrivions parce que nous le faisions ensemble. je n'en pouvais plus de mener la vie que je menais, à être dans l'illégalité permanente, dans la manipulation permanente. Nous avions trouvé tous les deux un compromis qui m'irait parfaitement. j'avais hâte de l'entretenir. Elle avait déjà commencé, de son côté, à construire la base de cette idée. Elle allait faire prendre des photos, monter des books. D'ailleurs, j'étais censé rentrer et le regarder et avec toutes les idées que nous avions, je ne l'avais même pas fais. Je savais qu'elle irait très vite loin alors forcément, je voulais qu'on vive ensemble. Elle avait l'habitude de rester chez moi de temps en temps mais je savais qu'au fond elle ne se sentait pas chez elle. Je n'aimais pas ça. Du coup, je lui proposais, non sans peur de sa réaction, de choisir un chez nous. je lui proposais de le faire seule parce que je savais comme le sujet était sensible avec elle. Je voulais que ça marche et je mettais toutes les chances de mon côté. Je voulais qu'on construise une vraie vie tous les deux, avec notre complicité, notre façon d'être ensemble. Personne d'autre que nous ne pouvait comprendre et à la bonne heure. Même ma soeur avait du mal, je le savais bien. Je lui en avais parlé parce qu'il fallait qu'elle sache ma vie mais je savais qu'au fond elle n'était pas d'accord sur tout. J'étais sûr d'une chose : je voulais réussir avec elle. Je ne ferais rien sans elle. C'était donc quelque chose d'indispensable.
J'étais heureux quand elle me disait vouloir qu'on fasse ce choix ensemble. Moi, évidemment, je lui proposais un appartement de fou avec vue sur la mer. Tout de suite, elle voulu garder les pieds sur Terre et elle feuilletait les annonces, la tête un peu dans les nuages. Je voyais qu'à ses gestes, elle regardait tant des choses comme j'avais décrite que des choses plus modestes. hey soufflais-je en caressant ses cheveux, les mettant en arrière pour embrasser son épaule. Je prenais la tablette que je mettais de côté. on regardera ça plus tard. si ça te va on attends quelques mois pour acheter un appartement comme on en rêve. oui parce que je suis sûr que dans quelques mois tu auras assez de renommée pour qu'on puisse toi comme moi se payer ça. lui fis-je alors en souriant et la prenant dans mes bras. Je lui parlais alors de ma soeur, de ma discussion avec elle. Elle semblait touchée que je parle d'elle à ma grande soeur. évidemment faut bien qu'elle sache qui est sa belle soeur fis-je alors en riant. elle t'adorerait lui fis-je alors tout à fait sûr de moi. Et c'était vrai. Elles étaient toutes les deux aussi douces l'une que l'autre, même si elles n'ont pas la même vie. Elle me fit alors la blague de plus tôt, au sujet de mon autre petite amie imaginaire qui est en fait, elle. Je ris à sa blague. c'est vrai que je vais finir par me faire griller, si je continue fis-je en riant légèrement. Elle s'installait comme pour s'endormir. Il était très tard, faut dire, voire très tôt. Elle me disait qu'elle avait déjà les photos qu'il lui fallait mais qu'elle retenait la proposition de ma soeur. Elle voulait aller voir des agences pour les vendre, maintenant. Elle finissait par me demander si je viendrais avec elle. évidemment, où tu voudras. soufflais-je alors que je sentais son souffle ralentir et son esprit s'en aller au pays des rêves. Je profitais de cet instant un petit moment, la regardant dormir, puis je lui suivais.
Le lendemain matin, je me levais en sursaut en me rendant compte que je n'avais même pas regardé son book. Je me défaisais doucement de son étreinte, je remettais bien la couette sur elle et je fuyais dans la cuisine faire le petit déjeuner. J'avais une idée en tête. Aujourd'hui on irait dans les agences et je voulais marquer le coup. Je mettais tout sur un plateau, avec son book. Quand j'arrivais, elle se réveillait doucement avec les rayons du soleil qui tapait sur le sol de la chambre. bonjour déesse. lui fis-je alors en souriant. Je ne parlais pas fort, elle se réveillait à peine. Je déposais le plateau sur le lit et allait l'embrasser doucement sur le front. tu as bien dormi? lui demandais-je alors. tu vas me prendre pour un fou mais je me suis réveillé en trombe en me rendant compte que je n'avais même pas regardé ça. fis-je le book en main. Je m'asseyais près d'elle, amenant le plateau du petit déjeuner à sa hauteur quand elle fut redressée et j'ouvrais son book. Je caressais doucement chaque photo, en souriant. Elle était tellement belle. Et encore, les photos n'étaient pas hyper professionnelles, on voyait que c'était des photographes "simples", du début de carrière. J'imaginais déjà les photos qu'elle ferait plus tard. Je souris et je tournais la tête vers elle. est-ce que je peux être jaloux de l'appareil photo ou pas? fis-je alors en souriant. Là je me rendais compte qu'en venant avec elle, j'aurais sûrement du mal avec les gens qui voudraient son image. Je considérais d'un certain côté qu'elle était à moi. Mais en même temps, justement cette beauté fatale que les autres regarderaient sans toucher, était à moi. Et j'étais fier. je suis très fier de toi. si les agences ne sont pas convaincus je ne sais pas ce qu'il leur faut. on va passer une bonne journée lui fis-je alors en lui souriant, l'embrassant tendrement sur les lèvres et piquant un pancake de son plateau. je te propose un petit cadeau de manager pour ton premier jour d'agence : je t'achète ce que tu vas porter aujourd'hui pour cette journée de folie. On oubliera jamais cette tenue. Ce sera celle avec laquelle tout a commencé fis-je en mimant avec mes mains de grandes lettres capitales. Je lui souriais. Je prenais ma tasse de café sur son plateau. qu'est-ce que tu en dis? lui fis-je en souriant. J'étais hyper enthousiaste. Je ne doutais pas une seconde en ce que nous faisions. C'était agréable, à un point fou.