Ugo & Olivia

bar's open

J'avais décidé de suivre le bourgois vers le bowling, mais je fus un peu destabilisée par le fait qu'on se retrouva plutôt dans une boîte de nuit. Le videur nous avait fait entrer sans problème en reconnaissant le mec que j'accompagnait. Disons que je ne comprenais pas grand chose à ce qu'il voulait qu'on fasse maintenant que son bowling c'était à tombé à l'eau. Je roulai des yeux quand il m'indiqua que c'était facile de jouer la grande dans un endroit connu. Ce que je pouvais le trouver inutile quand même dans ses propos, je ne savais pas trop à quoi il s'attendait vraiment, mais j'étais une de ses filles qui sait s'amuser et qui aime attirer l'attention. S'il pensait me montrer qu'il était le roi de la place, il allait être doublé et ce, pas juste un peu.

- Intéressant soudainement ton bowling, mais tu sauras que toute terre inconnue ne le reste pas bien longtemps avec moi!

Ça ne me faisait pas bien peur son endroit parce qu'après tout, une boîte de nuit ça restait une boite de nuit et on inventait pas de nouveau la roue. Je savais quoi faire pour montrer au petit mec avec moi que je faisais ce que je voulais avec qui je le voulais. L'endroit était pas mal du tout quand même, donc il semblait sortir dans ce genre d'endroit. Il fit signe à une nana du bar et me regarda un instant avant de me faire un clin d'oeil. Je ne pu que lui répliquer en fronçant des sourcils? Il fichait quoi au juste? Tant pis! Je pouvais lui casser son coup en deux secondes, c'était pas difficile. Pendant ce temps là je pourrais m'amuser aisément. Je lui fis un petit signe de la main pour le saluer et je me dirigeai vers la piste de danse où je levai mes bras pour laisser la musique envahir mon être. Bien entendu, j'avais pigé dans ma poche un comprimé d'ecstasy que j'avais soigneusement glissé sous ma langue pour créer un effet splendide dans mon corps. Les mecs, ils étaient tellement en manque de sexe que je les voyais tous attirés comme des aimants à mon encontre. Je me permis d'en toucher plusieurs et une fois la danse terminé, on était prêt à m'offrir bien des verres. Le mec avec sa nana ils étaient bien près, c'est pourquoi je me permis d'arriver et mettre mon bras autour de son cou.

- Hummmm.. chéri t'as mis ta crème contre tes petites bibittes j'espère? Ça serait dommage que tu les refiles à d'autres... salutttt toi!

Je souris et on m'apporta des cocktails... J'en avais deux dans les mains. C'était du service ça et je ne savais même pas qui me les offrait. La nana ne resta pas bien longtemps avec nous et ça me fit rire un instant. Je posai un des verres sur le comptoir. Je commençais à avoir chaud, j'avais l'effet du comprimé qui commençait à faire effet.

- Alors satisfait de ma démonstration, ou il te faut encore du temps pour ravaler ta fierté?

Ma bouche se posa sur ma paille pour aspirer le délicieux nectar. J'étais franchement amusée, mais là franchement attirée. Je m'étais dangereusement approché, j'avais lâché la paille et maintenant je le regardai bien en face. Je ne voulais pas danser, j'avais assez donné, ma victoire me suffisait entièrement.

- Allez, on dégage de là! J'ai envie d'autre chose! Maintenant!

Je lui avais fait un signe de tête pour qu'on quitte cet endroit, mais j'avais pris soin de caler mon cocktail en entier avant de quitter cette boîte de nuit. Je rentrais chez moi, qu'il me suive et il aura pas mal une belle fin de soirée.

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Je lançais un jeu qui semblait rapidement la lasser. Je n'avais pas dépensé une heure de drague qu'elle venait déjà gâcher le tout avec un coup classique de "je suis ta nana et va pas lui filer ton herpès" pour que la nana s'en aille. Elle avait deux verres à la main - je doutais qu'elle les ait payés et tant mieux. Je n'avais donc pas de mal à prendre l'autre pour le descendre rapidement. Je remarquais vite qu'elle avait dû prendre autre chose que de l'alcool. Je souriais alors qu'elle me demandait si la partie était finie.

je remarque que tu te lasses vite, quand même. néanmoins j'aurais gagné une chose ce soir : tu ne me regardes plus comme le dernier des pédants qui passe la porte de ton bar

fis-je alors en finissant mon verre, ne la lâchant pas des yeux. je réfléchissais alors à un truc.

tu as mis la même chose que tu as pris dans mon verre ou pas?

elle aurait bien été capable, sait-on jamais. Non pas que je sois contre ce genre d'amusement, mais j'aime bien être au courant. Le verre n'avait pas un drôle de goût, c'était déjà ça. Je pense quand même qu'elle savait qu'elle n'avait pas à faire ce genre de truc pour m'avoir dans sa poche. C'était plutôt évident que c'était déjà le cas, en tout cas pour ce soir. Elle finit par déclarer qu'elle en avait marre et qu'elle voulait partir. Elle s'enfonçait dans la foule sans m'attendre, bien déterminée. Je ne savais pas quelle était sa destination mais vu son allure, elle avait une idée précise de la chose. Je la suivais sans réfléchir. Mais je finissais vite par comprendre. Quand elle ouvrait la porte, je devinais un endroit privé, chez elle donc. Elle ne perdait pas de temps. Le feu d'artifice de la soirée. J'avais bien envie d'être quand même dans la même dimension.

tu en as encore?

lui demandais-je alors qu'elle se retournait vers moi, une fois la porte fermée derrière nous. Je la regardais, droit dans les yeux, bien arrêté sur mon idée. Autant s'amuser jusqu'au bout, partager l'instant de la même manière, rendre ça encore plus jouissif. Je voulais qu'elle sache que j'étais au même niveau, contrairement à ce qu'elle avait pensé au tout début de notre rencontre. Elle le penserait sûrement encore demain matin mais en tout cas, j'avais montré une autre facette. J'entrouvrais alors ma bouche et je faisais signe avec le doigt vers ma lèvre inférieure. Je retirais ma veste que je posais aveuglément contre une chaise, sans la lâcher des yeux.

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Le mec devant moi avait le don de m'énerver en ouvrant la bouche, il ne manquait pas une occasion pour me dire quelque chose qui me faisait lever les yeux en l'air. Je n'aimais pas son petit air supérieur tout simplement. Je ne lui laisserais pas le plaisir que je lui dise qu'il a bien raison. En plus, il eu le culot de prendre le verre que j'avais déposé en trop sur le comptoir. J'avais ouvert la bouche un instant avant que je ne puisse dire quoique ce soit, qu'il l'avait déjà tout bu. Bon... ok tant pis! Il voulait maintenant savoir si j'avais mis un comprimé d'ecstasy à l'intérieur, je préférais jouer.

- Qu'est-ce que tu racontes? Si un mec louche a mis un truc dedans, je ne suis pas au courant.

Il avait peut-être observé ce que j'avais pris, mais je n'allais quand même pas lui en offrir après ce qui s'était passé... Je préférais jouer la carte innocente qui ne sait pas de quoi il veut parler. J'avais à mon tour bu tout le contenu de mon cocktail moi aussi. J'avais terminé mon verre, maintenant je voulais qu'on s'amuse déjà à autre chose. Ce mec là, était peut-être une plaie quand il ouvrait la bouche, mais il n'était quand même pas laid, même qu'il était bien attirant. Il ne me laissait pas indifférente alors je lui avais dit de me suivre s'il avait envie de goûter à autre chose. On marcha pendant un instant avant que je le conduise jusqu'à mon appartement. En entrant, il me posa une autre question sur mes comprimés et cette fois-ci je souris, ça avait le don d'être clair.

- Peut-être...

Il avait même entrouvert la bouche. Je sortis de ma poche un petit sachet avec des comprimés et je lui en sorti un que je lui montrai dans la paume de ma main. Le jeune homme le pris tout en me regardant sans broncher pour l'avaler.  Bon, maintenant que c'était passé, il ne manquait plus qu'une chose, passer à l'attaque. Il prendrait un peu de temps à faire effet quand même, alors j'ouvris mon armoire pour en sortir une bouteille de rhum qu'on allait se partager dans des verres. Je le regardai toujours qui ne bronchait pas.

- Ok, t'es peut-être pas un bourge comme j'ai dit, mais ça n'empêche pas que tu restes un connard. Tu sais bien baiser au moins?

Sourire satisfait sur mon visage, je pris une bonne gorgée de mon rhum. On était toujours tous les deux debout, je n'avais pas l'intention de l'inviter à s'asseoir, on allait commencer un tout autre jeu tous les deux.

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Elle m'amenait tout droit chez elle. J'avoue ne pas m'y attendre de sa part, je la pensais un peu plus fine que ça. Mais en même temps ça ne m'étonne pas. Elle est du genre franche, alors c'était presque logique finalement. Je l'avais mal cerné. On apprenait à se connaître, tous les deux. Bon je vous avoue aussi que c'était une très étrange manière de le faire mais tout de même. On avait été dans un système de jeu constant l'un vers l'autre, le gagnant et le perdant. Sur le coup, j'avais réussi mon plus gros coup : lui faire admettre que je n'étais pas un bourge.

Je venais de lui demander si elle en avait encore, puisque je devinais ce qu'elle avait bien pu prendre vu son état qui montait et montait. J'avais eu l'audace de demander ouvertement. Elle comprendrait que je n'ai pas de problème avec le fait de s'amuser et que de ce côté je n'avais pas franchement de limites.

En tout cas, pour le côté franche, c'était bien la qualifier. Alors que j'avalais le comprimé sans broncher elle voulait sûrement attendre un peu que ça me fasse effet et elle sortait de l'alcool accompagné de deux verres qu'elle servait. Je retirais alors ma veste de costume, la posant correctement sur une chaise non loin de là. Nous restions debout tous les deux car nous avions une bonne idée en tête. Il nous manquait juste le feu vert. C'est elle qui l'alluma. Alors que je prenais mon verre à mes lèvres, qu'elle m'ait dit que j'étais juste un connard. Je faisais une moue affirmative.

j'ai jamais dis le contraire

et je tapais mon verre contre son verre. ça, être un connard, j'assumais. Je n'avais pas peur de le dire. C'est la suite auquel je ne m'y attendais pas mais qui, encore une fois, semblait tellement logique de sa part. Elle me demandait si je savais au moins baiser. Je levais le sourcil alors en la regardant, sans que l'étonnement ne gagne mon visage. Je posais doucement mon verre en m'approchant d'elle. Je lui faisais face et elle non plus ne bronchait pas. Je réfléchissais un moment et puis tout à coup, je n'en étais plus capable. Je prenais son verre de sa main et je le posais moins délicatement que le mien. Je la forçais à reculer droit contre le mur et je n'attrapais sa hanche qu'une fois l'impact rencontré. L'impact m'amenait directement à ses lèvres que je prenais en otage en 0% de gentillesse. J'ouvrais son pantalon pour le glisser juste assez pour y passer ma main et m'occuper de son sexe déjà chaud sous sa lingerie fine. Elle était clairement sexy et moi je n'avais clairement plus le contrôle de mes moyens. Je me faufilais la main sous ce dessous pour y glisser quelques doigts et jouer avec son intimité. Mon autre main la tenait fermement contre le mur avant d'aller se débarrasser de son haut d'une main. Entre deux, je la claquais encore une fois contre ce mur sauvage. J'oubliais presque de respirer, ou alors j'oubliais que je le pouvais. Sans me rendre compte de mes gestes, je finissais une main contre un de ses seins et l'autre jouant avec les zones intérieures de son sexe. Je la rattrapais pour la pousser contre la table et qu'elle puisse s'y asseoir, à la bonne hauteur pour continuer cette affaire.

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Maintenant que nous étions chez moi et que j'étais plus que chaude, je voulais que m'envoyer en l'air avec le connard de que j'avais rencontré par hasard, mais quel connard!!! Pas n'importe lequel... parce que sinon il n'aurait pas atterri ici. Son physique ne me laissait pas indifférente et sa façon d'agir était remplie d'assurance. Il avait avalé la pilule que je lui avais donné sans plus attendre, mais il était maintenant question de temps avant que la petite flamme intérieure ne soit allumée comme la mienne... Je désirais bien découvrir ce qu'il valait niveau sexe, mais pour l'instant j'avais sorti une bouteille pour qu'on boive le tout tous les deux. À peine entamé notre verre, j'avais posé la question s'il savait bien baiser. Je lui avais regardé avec un sourire narquois et celui-ci avait bu une gorgée de son verre avant de poser le sien et également le mien pour le déposer sur la table. Je le regardais bien en face et je n'attendais qu'une chose de lui et il le fit. Il me plaqua contre le mur de la cuisine. Il attaqua mes lèvres de façon féroce, je ne pouvais qu'apprécier cette force. Sa main s'invita dans mon pantalon où je le sentis se diriger directement vers mon sexe, sa main me donnait du plaisir, mais laissant gémir face à ces caresses. Ma tête cognait contre le mur, mais tout ce que je voulais c'était encore plus. Je me débarrassai du haut de mon partenaire comme lui le fit pour le mien. Je le laissai me prendre pour me déposer sur la table et me débarrasser de mon pantalon et de ma petite culotte également. Maintenant que j'avais écarté les cuisses, j'avais dans la mire le pantalon de monsieur. Mes mains se posèrent sur ses épaules et glissèrent le long de ses pectoraux et de son ventre avant de m'arrêter à la fermeture de son pantalon. Je lui enlevai rapidement pour ensuite en faire autant pour son boxer, j'avais son sexe déjà bien dressé et bien impressionnant je dirais devant moi. Je le caressais doucement avant de le frotter contre mon sexe. J'étais totalement dans l'ambiance que j'avais du mal à réfléchir convenablement, je ne voulais que lui en moi.

- Putain file-moi mon sac, j'ai un truc.

Il avait regardé de chaque côté pour prendre mon sac qui était au sol près de l'entré et me l'avait lancé, j'avais attrapé un préservatif à l'intérieur pour le sortir et ouvrir le petit sachet. J'étais peut-être pas 100% présente, mais je savais que j'allais pas me faire venir en dedans sans capote certain. J'avais de nouveau attrapé son sexe pour le remettre bien en forme avant de lui enfiler la capote. Je me couchai de tout mon long sur la table pendant que le jeune homme entra en moi... Ce que je pouvais aimer ce passage là... sa queue bien droite provoqua en moi un frisson de bonheur. Il me tenait par les hanches et je dirais que j'adorais les coups de bassin qu'il m'envoyait. Ma table était à une excellente hauteur. Je gémissais à ses coups, mais après un certain moment je m'étais redressé pour l'attirer jusqu'à moi pour qu'il me suive sur la table. Nos verres s'étaient cassés au sol, mais je m'en moquais tout ce que je voulais c'était d'avoir un orgasme et si j'étais chanceuse... deux!

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Tu sais bien baiser au moins? Elle n'avait pas attendu longtemps pour le savoir. Alcoolisé et drogué, je n'attendais pas une seconde de plus pour avancer vers elle et prendre ses lèvres en otage. C'était purement sexuel. Le mur en prenait plein sa gueule. C'était violent, rapide, clair et précis. Je la déshabillais et je la touchais déjà et elle se débarrassait de mes propres fringues avant de se frotter à moi. Les préliminaires ont été purement orales. De toute façon, depuis la seconde où j'avais posé mes yeux sur elle dans ce bar, je ne pensais qu'à son corps nu sous ces vêtements. D'ailleurs, je peux dire que je n'étais pas déçu. Elle était vraiment pas mal. Elle dégageait un truc. C'est beau d'avoir l'attitude mais avoir le corps qui suit avec c'est pas mal non plus.

Rapidement, elle me demandait de la laisser fouiller dans son sac. J'allais la prendre et forcément, elle pensait à se protéger. Wow. Même droguée elle y pensait. Elle avait l'habitude, ça aussi fallait s'en douter. Elle avait de quoi sur elle, au cas où. Tant mieux. Elle me l'enfilait sans attendre une fois attrapé et on changeait de direction. On décollait vite sur la table, histoire de la faire hurler elle aussi. A la bonne hauteur, j'entrais en elle comme une clé dans sa serrure, comme un chargeur dans sa prise. Sa robe était relevée et ne me gênait même pas. J'avais l'impression que tout était fait pour qu'on puise baiser comme des bêtes et comme dans un de ces films. La drogue me prenait la tête, je ne contrôlais même plus mes va et vient. Elle m'attirait vers elle et nos verres se brisèrent par terre sans que nous ne réagissions d'un poil elle comme moi. Elle voulait savoir si je baisais bien? Je m'étais juré de l'entendre jouir. Et pas qu'une fois. Je lui ferais mordre la poussière, puisque j'étais un connard. Autant l'être jusqu'au bout. Un connard, selon le cliché, c'est un mec qu'on peut pas apprécié mais qui baise trop bien pour être ignoré, non? J'aime pas trop les clichés mais je pense être bien classé dans la catégorie. Je la regardais ardemment dans les yeux, laissant ma queue faire sa danse préférée en elle. J'aimais chacun de ses râles comme une victoire au sport, chacun d'entre eux était une fierté de plus. Je lui foutais ma virilité à la tronche, la rendant totalement vulnérable au sexe que je lui procurais. Il arrivait un moment où j'avais envie de bouger, où je décidais ne plus avoir une assez bonne emprise. Je décidais donc de la déplacer comme une poupée et de la baiser à même le sol, sur son tapis de salon. Je la retournais pour la pénétrer à nouveau le plus vite possible, en ayant une vue sur ses fesses en mouvement. Je la tenais par le cou, histoire d'avoir le meilleur angle et la meilleure force de coups de reins possible. Je ne m'arrêterais que quand elle aura jouit.. encore et encore.. et peut-être quand ça aura été mon tour, pourquoi pas.

C'est la tête mordant le canapé qu'elle donnait le dernier orgasme pour ce soir, puisqu'elle avait fini par m'avoir aussi. Haletant face à l'acte qui venait de se produire, je m'occupais sans attendre de la capote pleine pour l'enrouler et la jeter. Je retrouvais mon boxer pour l'enfiler avant de revenir vers elle. Je la regardais, nue, haletante. t'es pas mal pour une reine des abeilles. lâchais-je alors. tu devrais quand même arrêter la bière et envisager le sport. peut-être que là tu serais vraiment parfaite. Je lui faisais un signe de capitaine avec mes deux doigts sur la tempe un bruit de bouche comme pour dire "salut matelot". ouai j'avais dis ça. Un connard, c'est ce que j'étais, non? Un cliché, aussi? Autant l'être jusqu'au bout. Je continuais à retrouver mes vêtements pour les regagner. Je n'étais pas le genre à crécher à l'endroit où je venais de m'envoyer en l'air, surtout pas quand c'était chez la nana en question, et même si j'étais encore sous l'emprise de la drogue.

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Tout ce que je voulais en ce moment même c'était de combler mon appétit sexuel. On s'était pas mal tourné autour ce soir et maintenant on passait enfin aux choses sérieuses. J'étais peut-être pas du tout d'humeur au départ, mais finalement, il était pas mal mon genre pour m'envoyer en l'air celui-là. C'est en me remplissant complètement que je pouvais dire que je me suis laissé emporter par ses caresses, mais aussi ses coups de reins. Je pouvais dire qu'il m'avait fait grimpé aux rideaux et il ne s'arrêta pas là ce connard, il avait plus d'un tour dans son sac... Peut-être que le fait que je le nargue sur son talent sexuel avait fait en sorte de le faire tenir bon. Tout mon corps était chaud, il savourait ce moment comme jamais... Je sentais ce bien-être m'envahir. La table fut que le début de nos ébats parce que nous terminâmes le tout au salon. Tout ce que je pouvais dire c'était que je m'amusais vraiment bien, je pouvais sentir son souffle contre mon cou et ses mouvements me faisaient toujours autant de bien. Je ne pu que me laisser aller une dernière fois contre le coussin du canapé en l'entendant gémir lui aussi. Quand il se retira de moi je m'effondrai sur le canapé, je dirais que j'étais pas mal dans un état euphorique. Je n'avais pas envie de dire quoique ce soit. Je ne remarquai pas vraiment les gestes du jeune homme qui venait de me baiser, mais une fois près de moi il me murmura des trucs. Un sourire satisfait sur mes lèvres se laissait voir juqu'à ce qu'il mentionne que je devrais lâcher la bière et faire du sport comme ça je serai plus que parfaite.

- Je t'emmerde! Allez fout le camp de chez moi!

Est-ce que ça me dérangeait? Pas vraiment, j'avais eu ce que je voulais et lui aussi je pense bien. Il avait pris ses vêtements et avait quitter mon appartement sans plus attendre. J'avais attrapé la télécommande pour ouvrir la télévision et trouver quelque chose d'intéressant à écouter. Quand j'en aurais marre de traîner là, j'allais prendre une bonne douche et j'allais terminé la nuit dans mon lit.