Ugo & Calypso  

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Le jour passait à travers mes rideaux et mon téléphone vibrait pour la huitième fois , depuis ce matin . Mais qu'est ce qu'ils avaient tous à appeler si tôt . Enfin appeler c'est un grand mot , c'est plutôt me laissez des messages . Aujourd'hui était normalement mon jour de repos mais sa avait l'air mal parti pour ... Mon réveil indiqué 6h00 mais , ce n'est pas possible moi qui voulait dormir et profiter de ma journée perdu ...

Je me levais et décidé d'écouter mes message ...Le boulot encore où plutôt mon patron qui lui avait pas compris je pense que j'avais décidé de prendre une journée de repos mais ce fus peine perdue . Je reposais mon téléphone et me dirigeais vers ma salle de bain . Je passais environ une vingtaine de minutes devant mon dressing , serviette autour de ma taille . Je savait pas trop quoi mettre pour aller au travail , afin d'éviter les critique de mon patron sur ma tenue et le reste . Bingo , J'optais pour une blouse bordeaux qui allait parfaitement avec ma jupe en cuir noir ainsi qu'une petite paire de bottines noir à talons . Je laisser mes cheveux détacher et les fit boucler un peu . J'accesoirisais le tous avec une petite chaîne de couleur argent ainsi qu'une paire de boucle d'oreille plus discrète . Un peu de rouge à lèvres , un trait d'eyeliner et tout était parfait .

J'étais prête à partir , je pris mon sac et enfiler une verste pour aller avec le reste de ma tenue . Après une dizaine de minutes de voiture . J'arrivais enfin au cabinet où j'allais essayer de passer discretement loin de mon patron .. Je n'étais pas en état de supporter ces humeurs ni ces réflexions . Une fois à mon bureau , je fus pas étonner de trouver une nouvelle pile de dossier . Je posais mes affaires puis me mis au travail . Je tombais sur un dossier de divorce assez violent . J'essayer de préparer le terrain et aussi d'essayer de trouver un compromis mais sa allait être assez coton . J'appris à la dernière minute que la futur ex femme de mon client allait débarquer avec son avocat dans une heure . Je préparer la salle de réunion où allait ce passer la guerre pour le divorce . Et je relu le dossier pour trouver une erreur mais rien .. j'allais devoir Bleuffer .

Une heure plus tard , j'étais dans la salle de réunion avec mon client qui était pas mal stresser .. On attendait sa femme et l'avocat de cette dernière ... J'entendis frapper à la porte , je ne dis rien et les laisser rentrer .. On commencer enfin les négociationsa .. sur l'affaire en cours ..

Environ trois bonne heures de négociations et personne ne voulait changer de position , une vraie galère .. Je proposais qu'on fasse une pause et tous le monde accepta heureusement .. Je restais seule dans la salle de réunion et j'essayais de trouver une solution avant que mon boss me tombe encore dessus .

Ugo & Calypso  

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Mon travail, c'était toute ma vie. C'était rien de le dire, car c'était vraiment ma vie. 24h/24 j'étais avocat. Vraiment. Je n'avais pas tellement de vie privée, ni autre chose. Je dormais maître Tremblay et je respirais maître Tremblay. Ce n'est pas pour rien que ce cabinet levait mon nom. Quoiqu'il en soit, j'avais choisi d’agrandir mon empire et d'engager des jeunes avocats. Evidemment, je leur apprends ce que c'est, moi, le métier. Alors ils en ont des dossiers, parce que déjà on a pas mal de clients et aussi qu'il ne faut pas chômer dans la vie si on veut aller loin. Je gérais alors tout ça depuis mon bureau avec ma secrétaire, aujourd'hui en costume camel et blanc.

Il y en a une en particulier qui se montrait un peu... réticente à tout ça. En plus d'être avocat maintenant, j'étais un patron et il fallait que je gère la boutique. Alors oui, j'hésitais pas, entre deux rendez-vous dans mon bureau, à aller voir où ils en sont les petits loulous. Ils ont toujours de quoi se mettre sous la dent, et de quoi me montrer qu'ils veulent aller loin dans la vie. Là, c'était le tour de cette jeune demoiselle dont je parlais. Calypso. C'est surtout que je venais de devoir gérer un rendez-vous prévu pour elle avec d'autres clients, parce qu'elle n'était pas dans son bureau. On m'avait soufflé à l'oreille que depuis qu'elle était arrivée, elle était toujours sur le même dossier : un divorce. C'était quoi, cette histoire, encore? Elle avait d'autres affaires à gérer et c'est pas à ce rythme qu'elle allait de 1) rentrer chez elle tôt et de 2) montrer de l'efficacité que ce soit à moi et surtout aux clients. Je croisais le couple, enfin l'ancien couple dans le couloir. Je les saluais, enfin surtout notre client, et puis j'entrais dans la salle de réunion où on m'avait dit qu'elle serait. bonjour, mademoiselle bah oui, parce qu'elle m'avait bien évité en arrivant. je suis désolé de débarquer ainsi mais on m'a soufflé que tu étais dans la même galère depuis des plombs... faut que je t'envoie du renfort? je savais pas qu'on s'occupait du divorce des Trump, pour que ça dure autant de temps. dans ce cas là j'aurais évité de te faire confiance et de t'organiser un rendez-vous que j'ai dû moi-même gérer, du coup. lui fis-je alors clairement et distinctement. alors, c'est quoi le problème? fis-je en lui faisant un signe de tête et en regardant les dossiers qu'elle semblait potasser en suant des gouttes.

Ugo & Calypso  

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J'aurais mieux  fait de me casser une jambe plutôt que d'accepter ce boulot , si j'avais su . J'étais en salle de réunion à faire mon boulot tranquillement quand je vis le diable en personne débarquer . Le diable ? Mon patron qui avait comme passe-temps préféré me faire sortir des mes gongs . J'avais tout fait pour l'éviter ce matin mais ce fut peiner perdue . Je levais à peine les yeux de mon dossier pour le regardais quand je l'entendis me dire bonjour mademoiselle .. Pourquoi dans sa bouche sa sonner comme une insulte . "Bonjour monsieur " lui répondis-je sans émotion . Moi qui avait espère passer la journée sans le voir ce fut louper . Il me laissait pas le temps de parler qu'il repris la parole .. Quand il fit ces pseudo excuse , j'avais envie de lui rire au visage car sa sonne complètement faux et que je pouvais pas faire ça devant mon patron . Et on lui avait soufflé ma situation dans la salle de réunion encore les pétasses du boulot qui s'ennuyait et qui n'avait pas de potins croustillant à ce dire , qu'elles sont allait baver au patron .. Sa me fit lever les yeux aux ciel mais je décidais de pas cracher mon venin . "Non pas besoin de renfort ! Je le savais pas non plus avant ce matin, le dossier traîner sur le bureau d'une des secrétaires depuis des semaines , elles l'ont retrouvée que ce matin avant leur rendez-vous . " lui répondis-je du tac au tac . Je ne répondis pas au reste de son monologue sinon je risquais de ne pas être polie . Puis il posa enfin une question intelligente depuis le début de la conversation .. Ce qui me soulager un peu . " Le problème est que la future ex madame Trump refuse le divorce car elle ne veut pas perdre le nom de famille Trump et toutes les activités qu'elle a crée avec ce nom .. Et refuse n'importe quel somme d'argent en échange de l'abandon de ce foutue nom de famille . lui répondis-je cash . J'allais pas inventé autre choses .

Ugo & Calypso  

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Disons qu'il y en a qui n'ont pas les mêmes façons de voir les choses, et c'est certain que Calypso n'avait pas la même façon de voir les choses que moi. Je décidais d'aller lui secouer le coco à la petite, après avoir dû prendre un rendez-vous à sa place. J'allais voir ce qui se tramait dans ce bureau, alors que les clients se trouvaient devant la porte. Une pause? Bah tiens. Il fallait vraiment que je prenne les choses en main. Ce n'était pas ce que je préférais dans mon boulot, ce côté boss, mais bon, il fallait bien pour que la boutique fonctionne.

Je venais donc à la rescousse, lui adressant mon bonjour puisque comme souvent elle m'évitait. Je sais que je suis du genre rentre dedans mais dans la vie faut savoir affronter ses démons. Puis si elle se dispersait moins, elle pourrait être mon meilleur élément. Mais ça, elle le comprendrait sûrement jamais. Je venais la prévenir que ça parlait et j'écoutais ses arguments. si tu sors à un juge que c'est la faute des secrétaires tu peux quitter mon cabinet maintenant c'est la honte. lui sortais-je alors en jetant mon coup d'oeil sur le dossier qui la faisait tant suer. Finalement, je lui proposais mon aide et je lui offrais la chance de s'expliquer sur le cas. Je l'écoutais attentivement, avant que mon sourcil s'arque. Ok fais les rentrer. Comme on dit observe et apprends. lui fis-je alors en m'asseyant à cette table. Bonjour messieurs, dames, bienvenue chez Tremblay. fis-je en leur serrant la main. Là, il faudrait que j'improvise et que je ne passe pas pour un con - c'est à dire il fallait que je défende Calypso dans son incompétence. Melle McNamara n'était pas au courant, madame, mais sachezqu'on va réinvestir vos parts sur le marché. On vous propose de lancer votre propre activité, sans dépendre de votre ex-mari. Après tout, si vous divorcez, ce n'est pas pour être encore confondue avec monsieur, avec tout votre respect évidemment, monsieur. Il fallait improviser dans des impasses, rebondir, se montrer professionnel, réactif et surtout offrir des opportunités. Sur le coup, je faisais le boulot de son propre avocat. Après tout, vous avez déjà votre place. Aujourd'hui, vous avez l'opportunité d'être à la tête de cette activité et de n'avoir personne pour vous mettre de batons dans les roues. Je vous arrange un rendez-vous avec le meilleur cabinet de la ville pour parler communication, stratégie de marché et surtout investissement. fis-je en préparant un document sous ses yeux. Vivre toute sa vie dans les griffes d'un homme, y'a mieux, non? fis-je alors en lui tendant. Elle buvait mes paroles, évidemment. Je serrais sa main, puis celle de notre propre client qui était heureux de se débarrasser de tout ça, évidemment. Après, la concurrence, c'est le marché. Je vous souhaite une bonne fin de journée leur fis-je alors que nous nous quittions.

J'attendais qu'ils soient partis avant de me tourner vers la jeune femme. la réactivité. tu t'es laissé engloutir dans toutes ces histoires sans laisser l'opportunité venir à toi. le bluff ça existe aussi, et c'est primordial. c'est pas ta cliente, si elle coule, tant pis. par contre c'est la dernière fois que je sauve le nom de mon cabinet à cause de toi. allez y'a d'autres dossiers qui t'attendent que les "secrétaires ont oubliés".

Ugo & Calypso  

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Je fus assez impressionner du talent de mon supérieur mais jamais je l'avouerais devant lui . Après qu'il est réussi à arranger la situation avec la famille Trump en leur disant en sous-entendu mon incompétences .. Ce qui commençait à me faire bouillir de colère mais je ne pouvais rien dire .. En quinze minutes de discussions l'accord fut signer rapidement et chaque Trump quittait le cabinet d'avocat avec un sourire posait sur leurs lèvres .

Je refermais le dossier clos avec les papiers du divorce signé par les deux parties que j'allais devoir envoyés au juge pour valide officiellement leur divorce . Je pensais qu'il allait me laisser souffler un peu mais non , ce fut peine perdu .. Il m'en envoya plus la tronche comme d'habitude . En me précisant bien que c'est la dernière fois qu'il sauve le cabinet par ma faute . et que j'avais intérêt d'aller récupérer les dossiers auprès des secrétaires . " Bien monsieur , j'y vais . " Lui répondis-je simplement avec aucun ton particulier dans la voix .

Puis je fis ce qu'il me dit où plutôt ordonner avant qu'il décide de me virée . Je quittais la salle de réunion passée devant le bureau des secrétaires avant de retourner à mon bureau .. Où , je passais la journée à étudier , recevoir mes clients puis à intimider des gens au téléphone pour qu'il rendre les droits d'un roman à mon client . Je n'avais pas arrêter de la journée , j'avais même loupée la "pause déjeuner " pour travailler à fond comme souhaiter mon patron .. Il devait être dans les environ de 22h30 quand je décidais de regardais l'heure à ma montre .. J'avais encore deux dossiers à étudier ... Je décidais de les lire maintenant pour préparer le terrain pour demain mais , avant j'étais partis me chercher une énième café qui me servirai de dîner puis retourner à mon bureau pour découvrir le nouveau dossier qui m'attendais .

Ugo & Calypso  

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J'avais engagé cette jeune femme parce qu'on me l'avait demandé. On m'avait promis qu'elle allait être un brillant élément, et au fond je le pensais aussi. Je la trouvais juste hyper bordélique, que ce soit dans sa tête que dans son bureau, d'ailleurs. Je ne pensais pas que quelqu'un qui soit si tête en l'air puisse réussir à aller loin dans la vie. Pourtant, toutes les personnes engagées ici sont justement ici parce que je veux les aider à devenir quelqu'un, à devenir comme j'ai pu le devenir. Même si je suis du genre à écraser toute la concurrence, c'est le monde du travail qui est comme ça et je ne fais que suivre une logique. Alors oui, ce jour-là, je venais l'aider alors que je la voyais patauger dans son coin, devant m'occuper du rendez-vous qu'elle aurait dû honorer au lieu de brasser de l'air dans ce divorce. Je venais donc l'aider, non sans la bousculer un peu, et je la sortais de la "non-merde" dans laquelle elle pensait être. Je lui donnais une petite leçon, une énième leçon d'ailleurs sur ce travail. Je savais très bien qu'elle me détestait, et en fait, j'm'en fichais totalement. Je trouvais ça peut-être dommage parce que j'étais sûr qu'on pourrait s'entendre en dehors de ça. Mais j'étais toujours derrière son dos et je savais qu'elle le vivait mal, tant pis pour elle. Un jour elle comprendrait que c'est pour son bien, enfin je l'espérais qu'elle comprendrait.

Quelques heures plus tard, j'allais quitter le bureau et je faisais le tour pour voir qui restait. Je tombais sur elle, café à la main, sur un dossier. Le dernier que j'avais fais déposé sur son bureau. Un de plus sur un paquet de deux. Elle avait l'air au bout de sa vie. j'ai jamais refusé les uber eats fis-je alors que j'imaginais qu'elle se sentait privée de manger avec de café dans la main. si tu t'organisais mieux ce dossier supplémentaire tu ne l'aurais vu que demain matin et les deux autres auraient été bouclés aujourd'hui. lui fis-je alors au bord de la porte. je lui répétais toujours la même chose, c'était fatiguant. en t'engageant ici je pensais que tu ferais des progrès. apparemment c'est toujours pas acquis, et tu te prives de tes soirées. c'est bête, tu trouves pas? oui c'était limite méchant. mais j'm'en fou, de toute façon elle m'aime déjà pas. c'est dommage, je le répète. vu son physique et le mien, c'est clair qu'on aurait pu s'amuser autrement.

Ugo & Calypso  

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Il était environ 23 heures , j'espérais être la seule à être encore dans le bâtiment mais ce fut peine perdu .. Mon pire cauchemar venait de mettre un pied dans mon bureau . Je ne l'avais pas entendu rentrer .. Juste sa phrase qu'il m'avait fait un peu sursauter vu que j'étais à fond dans mon dossier .. Il me dit qu'il a jamais refusé les uber eats . Dans ma tête , je pensais heureusement qu'il les avait pas interdit mais , je le savais déjà . " Oui merci , je le savais .. Mais je n'est pas faim . " lui répondis-je avec un ton très neutre dans la voix . Il était tard et j'en avais marre de me prendre la tête avec lui à longueur de journée mais ce fut peine perdu . Car il était arrivé avec ces critiques habituelles et méchantes .. Je commencer à en avoir l'habitude même si sa commencer à me rendre triste .

Puis , il me donner des "sois-disant " conseils d'organisation de boulot.. J'eus pas le temps de répondre , qu'il recommencer à parler et ces paroles furent méchantes mais surtout blessantes mais , je décidais de rien dire et de tout garder pour moi . " Si je fais du si mauvais boulot pourquoi vous me virez pas ? Si je fais aucun progrès et que je nuis à la réputation de l'entreprise . lui répondis-je en le regardant droit dans les yeux , entendant une réponse .. Même si je savais qu'il allait encore me balancer des méchancetés .

Ugo & Calypso  

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C'est fou comme c'est simple de haïr son patron. C'est vrai. A la moindre remarque, on devient un gros connard. On a beau faire pleins de choses, se plier en quatre, on finit par vous détester. Alors oui, j'ai décidé de pas essayer qu'on m'apprécie. Je balance tout ce que je pense et je m'en balance. Notamment parce que je veux une évolution, en fait. Aujourd'hui, j'avais aidé, laaaargement, la petite Calypso. Je lui avais demandé de continuer ses dossiers en attendant, puisque je l'avais soulagé de deux des siens en une heure. Mais non, encore vers 23 heures, elle était encore au bureau avec trois dossiers, finalement. Je venais la voir, lui disant que les uber eats n'étaient pas interdits. J'avais bien remarqué qu'elle n'avait pas mangé. Avec le café qu'elle avait en main, elle aurait mal au bide. M'enfin. Elle me répondait qu'elle savait que ce n'était pas interdit. J'en profitais pour lancer une petite morale à laquelle elle répondait, limite avec rébellion. Elle me regardait des les yeux, genre prête à un face à face. Je souris de côté. Ridicule. Ok d'accord. Je prenais un post-it sur son bureau et un stylo. Je griffonnais dessus et je l'ajoutais sur son dossier. tu vas aller calmer ton comportement en finissant ses dossiers de chez toi demain, j'veux pas te voir. par contre tu reviens après demain c'est réglé, tu peux prendre les dossiers qu'on te laissera après-demain. Tu as ma parole que pour demain tu n'auras rien de plus. donc dans deux jours, tu as de nouveau trois dossiers. je faisais le point, histoire que ce soit clair entre elle et moi. ça te laissera le temps de réfléchir sur ta personne, sans te dire que c'est la faute de ton horrible patron. et tu me donneras la réponse à ça, en passant. allez dehors. fis-je en montrant le post-it puis en me reculant pour montrer la porte. Je lui offrais la possibilité de prendre ses clics et ses clacs et de rentrer bosser chez elle pour la journée de demain. Je devais fermer derrière elle, je n'allais pas lui laisser les clés. Sur le post-it, il était écrit "Pourquoi Maître Tremblay ne me vire t-il pas?". Je la regardais un moment. évidemment, si tu te rends compte que le soucis c'est ta motivation, je te laisserai m'en faire part. je te laisse y réfléchir.

Ugo & Calypso  

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Je me demandais franchement ce que je fessais encore dans ce cabinet  car , il est claire que entre moi et mon patron se n'est plus du tout vivable . Dès que je fais un truc et c'est toujours mauvais où complètement nulle . Même quand je restais dans mon coin en travaillant , je fessais quand même un truc de travers vu que je buvais du café au lieu d'avoir commander un Uber East . A chaque choses que je fessais , je devais limite me justifier . Heureusement il me suivait pas encore jusqu'au toilettes  , il en serai totalement capable ce fou .


Je lui demandais directement pourquoi il me viré si je fessais tout de travers et que sa le soulait profondèment .. J'eus le droit que à un ok d'accord puis je le vis écris sur un post-it puis me le posait sur mon dossier quand je vis ce qui était écrit , j'eu envie de lever les yeux au ciel . Je pensais en avoir fini avec lui mais non , il reprit la parole en disant que demain il voulait pas me voir au travail et deux revenir dans deux jours , j'avais du mal à suivre sa logique .. il me foutait limite à la porte . " Très bien patron .. " lui répondis-je simplement avec un ton neutre .


Je me  levais de mon bureau , rassemblait mes affaires comme il me le demandais je récupérais mes trois dossier pour travailler chez moi .. Je me retrouvais face à lui sur le pas de ma porte . "  Très bien je vais réfléchir monsieur ." lui répondis-je simplement en quittant mon bureau .  

Ugo & Calypso  

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Je lui avais donné l'occasion de réfléchir, de prendre le temps, de prendre du recul. Pendant la journée qui suivait, le travail continuait au cabinet sans elle. Elle avait eu l'ordre de rester chez elle, bosser de chez elle. Je ne serais pas là pour venir voir au soir ce qu'elle avait fait, ni recevoir des rendez-vous pour lesquels elle serait en retard. Le travail reviendrait normalement le surlendemain pour elle, et elle aurait eu le temps de savoir pourquoi je ne la virais pas. C'était dingue d'être si butée, d'être si... de ne pas réfléchir en fait. Je ne prenais pas les gens dans mon cabinet pour avoir des bras cassés, il y avait toujours une raison.

Le surlendemain, alors qu'elle arrivait au boulot, je n'intervenais pas. Je la laissais faire sa journée, prendre en cours ses nouveaux dossiers, faire son travail. En réalité, j'attendais que ce soit elle qui vienne me voir. J'en avais marre de devoir faire le premier pas sans arrêts. Ce n'était pas à moi de le faire. Alors je bossais à ma place, de mon bureau. Je recevais mes clients, refusant de me mêler des affaires de mes associés. Je savais qu'elle m'évitait la plupart du temps, alors je me doutais presque qu'elle n'assumerait pas, et clairement, ça me ferait réfléchir à sa place parmi nous.